La revue de ce jeudi commence par la réunion du C4 sur le coton. La place de pionnier qu’occupe le Mali n’y est pas étrangère. Suivront les résultats obtenus par notre pays dans le Doing business 2016 et les inventions brevetées d’un professeur d’anglais devenu inventeur. La visite de l’Ambassadrice de France au Conseil du District de Bamako viendra compléter la revue de ce 27 octobre 2016.
Diala Thiény Konaté
Le cabinet d'avocats ouvrira une antenne début novembre à Dubaï. Elle couvrira également le Maroc et l'Afrique de l'Ouest.
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Les négociations autour du grand marché transatlantique et du traité de libre-échange transpacifique s'accompagnent d'innombrables promesses de la part des gouvernements et des entreprises : créations d'emplois, croissance, ouverture de nouveaux marchés, amélioration des relations diplomatiques, etc. Cette partition fut déjà jouée sur l'air d'une célèbre chanson de Dalida (« Paroles, paroles ») au début des années 1990, au sujet de l'Accord de libre-échange nord-américain (Alena). Entré en vigueur le 1er janvier 1994, ce marché commun devait diriger le Mexique, les Etats-Unis et le Canada vers un avenir radieux. Vingt ans plus tard, un rapport publié par Public Citizen's Global Trade Watch (1) permet de dresser un bilan.
Promesse Réalité En 1993, Gary Hufbauer et Jeffrey Schott, chercheurs au Peterson Institue for International Economics (PIIE), expliquent que l'Alena permettra d'augmenter l'excédent commercial des Etats-Unis par rapport au Mexique, avec à la clé la création de 170 000 emplois dans les deux ans suivant l'entrée en vigueur du traité. Moins de deux ans après la mise en place de l'Alena, Hufbauer reconnaît que ses hypothèses en matière d'emploi étaient erronées. Il explique alors au Wall Street Journal : « L'effet de l'Alena en matière d'emploi est proche de zéro… La leçon pour moi, c'est que je ne dois pas m'aventurer sur le terrain des prévisions. »En effet, l'Alena n'a pas créé les centaines de milliers d'emplois promis aux Etats-Unis. En 2004, l'Economic Policy Institute (EPI) estimait que l'Alena avait contribué à la disparition d'un million d'emplois dans le pays. L'EPI a aussi calculé que l'augmentation du déficit commercial des Etats-Unis vis-à-vis du Mexique a détruit à elle seule environ 700 000 emplois entre 1994 et 2010.
Certains défenseurs de l'Alena reconnaissent que le traité pourrait entraîner des suppressions d'emplois aux Etats-Unis. Mais, assurent-ils, les travailleurs américains en sortiront quand même gagnants : ils pourront acheter des produits importés moins chers. Pour de nombreux produits de consommation, la promesse d'une baisse des prix n'est jamais devenue réalité. Bien que les importations de denrées alimentaires depuis le Canada et le Mexique aient augmenté de 239% depuis l'entrée en vigueur de l'Alena, le prix moyen des aliments aux Etats-Unis s'est renchéri de 67%. Les éleveurs et les agriculteurs des Etats-Unis sont les travailleurs qui profiteront le plus de l'Alena : les exportations agricoles augmenteront considérablement, promettent les partisans du traité en 1993. Les exportations agricoles des Etats-Unis se sont accrues depuis l'Alena, mais les importations ont encore plus augmenté. Ainsi, concernant les produits agricoles, le déficit commercial annuel moyen des Etats-Unis par rapport au Canada et au Mexique a augmenté de 174% entre les périodes 1988-1993 et 1994-1999. « Nous espérons 7,5 milliards de dollars de ventes supplémentaires au cours des dix prochaines années. Ces ventes pourraient permettre de créer dix mille emplois chez General Electric et ses fournisseurs. Nous croyons ardemment que ces emplois dépendent du succès de ce traité. » (M. Michael Gadbaw, responsable international de General Electric, 21 octobre 1993.) General Electric a supprimé 4 936 emplois aux Etats-Unis depuis la mise en place de l'Alena, à cause des importations en provenance du Canada et du Mexique ou de la décision de délocaliser une partie de la production dans ces pays. « Grâce à l'Alena, Chrysler prévoit d'exporter 25 000 véhicules au Mexique et au Canada en 1995, et 80 000 en l'an 2000. Ces ventes permettront la création de 4 000 emplois aux Etats-Unis en 1995, chez Chrysler et ses fournisseurs. » (« Nafta : We need it. How US companies view their business prospects under Nafta », National Association of Manufacturers, novembre 1993.) Chrysler a supprimé 7 743 emplois aux Etats-Unis depuis la mise en place de l'Alena, à cause des importations en provenance du Canada et du Mexique ou de la décision de délocaliser une partie de la production dans ces pays. « L'Alena éliminera les incitations à délocaliser nos activités au Mexique. Les entreprises américaines serviront mieux le marché mexicain en exportant qu'en délocalisant. Caterpillar considère que la diminution des droits de douanes, conjuguée à l'augmentation de la croissance, accroîtra la demande au Mexique de 250 à 350 machines par an. »(Trade Partnership, « The impact of Nafta on Illinois », Washington, D.C., juin 1993.)
Caterpillar a supprimé 4 936 emplois aux Etats-Unis depuis la mise en place de l'Alena, à cause des importations en provenance du Canada et du Mexique ou de la décision de délocaliser une partie de la production dans ces pays.Depuis 2008, Caterpillar a licencié 483 travailleurs de son usine de Mapleton (Illinois), pour cause de délocalisation d'une partie de la production au Mexique. La multinationale a aussi licencié 105 employés de Pendergrass (Géorgie), du fait de l'augmentation des importations depuis le Mexique.
Selon le président mexicain de l'époque, M.Carlos Salinas de Gortari, cet accord contribuera à réduire le flux des migrants quittant le Mexique pour se rendre aux Etats-Unis : « Le Mexique préfère exporter ses produits que ses habitants », explique-t-il en 1993 avant d'ajouter que les Etats-Unis ont le choix entre « accueillir les tomates mexicaines ou accueillir les migrants mexicains qui cultiveront ces tomates aux Etats-Unis. » Pendant les trois années précédant l'adoption de l'Alena, le nombre de migrants mexicains rejoignant chaque année les Etats-Unis était stable. Puis celui-ci est passé de 370 000 en 1993 à 770 000 en 2000. Cette augmentation coïncide avec l'inondation du marché mexicain par le maïs subventionné produit aux Etats-Unis.Le nombre de clandestins mexicains aux Etats-Unis a augmenté de 144% depuis l'Alena, passant de 4,8 millions de personnes en 1993 à 11,7 millions en 2012.
Grâce au développement des échanges avec les Etats-Unis et le Canada, l'Alena entraînera une augmentation du taux de croissance au Mexique. Depuis 1994, au Mexique, le taux de croissance annuel moyen par habitant s'élève à un dérisoire 1,1%. Ainsi, après vingt ans d'Alena, la croissance mexicaine cumulée s'établit à 24%.Par contraste, entre 1960 et 1980, le produit intérieur brut par habitant de ce pays avait augmenté de 102%, c'est-à-dire 3,6% de moyenne annuelle. Si le Mexique avait continué à ce rythme, il serait aujourd'hui proche du niveau de vie européen.
Selon ses partisans, l'Alena offrira la possibilité de renforcer et d'améliorer les liens unissant les Etats-Unis, le Mexique et le Canada. Le Mexique et le Canada comptent parmi les pays qui s'opposent le plus souvent à la politique des Etats-Unis, dans le cadre de l'Alena, mais aussi à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) où le Canada a déposé trois fois plus de recours contre les Etats-Unis que ceux-ci n'en ont émis contre lui. Après l'Union européenne, le Canada a lancé plus de recours à l'OMC contre les Etats-Unis que n'importe quel autre pays. Le Mexique prend quant à lui la quatrième place sur la liste des pays défiant les Etats-Unis à l'OMC.(1) Public Citizen's Global Trade Watch, « Nafta's 20-year legacy and the fate of the Trans-Pacific Partnership » (PDF), Washington, D.C., 2014.
Un groupuscule jihadiste somalien se revendiquant du groupe Etat Islamique s’est retiré jeudi de la localité de Qandala au Puntland (nord-est), 24 heures après en avoir pris le contrôle, a-t-on appris auprès d’habitants et de source sécuritaire.
« Les combattants ont quitté la localité tôt ce (jeudi) matin mais ils ne sont pas partis très loin », a rapporté à l’AFP Abdiweli Adan, un chef coutumier de la région.
Il a ajouté que le drapeau noir des jihadistes était toujours visible sur le toit d’un bâtiment administratif de ce petit port situé sur le golfe d’Aden, en face des côtes yéménites.
« Des pêcheurs les ont aperçus dans les montagnes avoisinantes », a expliqué M. Adan, ajoutant que les combattants avaient quitté les lieux comme ils étaient arrivés: sans combattre.
Un responsable sécuritaire de la région semi-autonome du Puntland a expliqué à l’AFP que les jihadistes avaient quitté les lieux devant l’imminence de l’arrivée de troupes.
« Le Puntland a dépêché des centaines de forces spéciales pour s’occuper de ces terroristes. Malheureusement, ils ont pris la fuite avant que les troupes n’atteignent » Qandala, a assuré le responsable, Cabdirisak Mohamed, depuis la capitale régionale Bossasso, située à environ 70 km à l’ouest de Qandala, sur la côte.
Selon M. Mohamed, la prise de Qandala, qui soulève des interrogations quant à ses motivations, se résume à « une tentative désespérée d’attirer l’attention ».
Le groupe en question est dirigé par le Somalien Abdulqadir Mumin, un ancien membre des shebab qui a fait défection au profit du groupe Etat islamique en octobre 2015. Jusqu’à présent, il s’était surtout signalé par des vidéos de propagande diffusées sur internet.
Néanmoins, le département d’Etat américain a inscrit Abdulqadir Mumin en août sur la liste des terroristes internationaux, en faisant de facto une cible potentielle d’attaque de drone, une méthode utilisée à plusieurs reprises contre les dirigeants des shebab, le principal groupe jihadiste en Somalie, affilié à Al-Qaïda.
Un commerçant de Qandala, Abdukadir Saïd, a d’ailleurs rapporté le survol de la localité par un aéronef pendant les six heures précédant le départ des jihadistes.
Sur fond de transhumance politique, le Rassemblement pour le Mali (RPM) du président malien Ibrahim Boubacar Keita s'est restructuré en vue de la présidentielle de 2018, après la récente défection de 5 députés en septembre dernier.
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Le dernier rapport de la Banque mondiale au sujet de la situation économique et sociale au Maghreb (à l’exception de la Mauritanie) tire un bilan qui en dit long sur le statu quo et le manque de perspectives en la matière : l’Algérie, la Libye, le Maroc et la Tunisie « ont en commun les mêmes grands défis socioéconomiques avec, au premier rang d’entre eux, les taux élevés du chômage chez les jeunes et la nécessité d’y remédier en développant le secteur privé pour créer des emplois plus nombreux et de meilleure qualité ». Les inégalités qui persistent représentent « un obstacle majeur à l’objectif visant à mettre fin à l’extrême pauvreté dans le monde d’ici 2030 ».
De fait, les pays maghrébins sont toujours en quête d’un modèle de développement. Leurs économies se trouvent dans une situation de dépendance extérieure, pour l’importation (agricole en particulier) comme pour l’exportation (en hydrocarbures). La succession et la combinaison de politiques étatistes et de politiques d’ajustements structurels (ou de libéralisation de l’économie) ont échoué à sortir ces pays d’un sous-développement indiqué par le faible niveau du PNB annuel par habitant.
Après les indépendances nationales, dans le contexte de la Guerre froide et de confrontation idéologique, les orientations politiques et économiques ont divergé : d’un côté, l’ouverture à l’économie de marché, aux investissements privés et à la société de consommation (cas de la monarchie marocaine) ; de l’autre, l’adhésion au modèle socialiste de révolution agraire et d’industrialisation de l’économie, sous la tutelle d’un État interventionniste (Algérie, mais aussi Tunisie et Libye).
Dans les années 1980 et 1990, la libéralisation et la privatisation de l’économie ont produit de la croissance et des richesses, mais mal réparties (corruption et népotisme obligent). Malgré l’émergence de classes moyennes à la fin des années 1980, le libre-échange n’est pas synonyme de développement pour des pays maghrébins marqués par de fortes inégalités sociales et territoriales, et un chômage massif de la jeunesse urbaine et diplômée qui peine à trouver sa place sur le marché du travail et dans la société.
Aujourd’hui, les conclusions générales de la Banque mondiale sont claires et tiennent en trois points : l’extrême pauvreté régresse dans l’ensemble du Maghreb, mais de larges pans de la population risquent de retomber dans la pauvreté, tandis que le chômage, particulièrement élevé chez les jeunes, reste un défi de taille. Au-delà de ce panorama global, le rapport de la Banque mondiale apporte quelques analyses plus fines. Le niveau de pauvreté et de chômage diffère selon l’âge, le sexe et les territoires.
Ainsi, l’Algérie subit très fortement la baisse des prix pétroliers. Les capacités de redistribution sociale de l’Etat sont mises à l’épreuve dans un contexte déjà socialement tendu, avec 10% de la population – soit 4 millions de personnes – qui vivent dans une situation de précarité et risquent de basculer sous le seuil de pauvreté. Une réalité qui renvoie aussi aux disparités territoriales que connaît le pays : « La pauvreté est deux fois plus répandue dans le Sahara, et trois fois plus élevée que la moyenne nationale dans la région des steppes ».
En Libye, la situation plus alarmante compte tenu des conséquences de l’insécurité et de l’instabilité politique sur la production pétrolière, quasi-unique source de revenus du pays. Ce pays potentiellement riche voit une frange de plus en plus importante de sa population côtoyer la pauvreté : avec 435 000 personnes déplacées et 1,3 million d’habitants en situation d’insécurité alimentaire, la Banque mondiale souligne que « plus d’un tiers de la population aurait besoin d’une aide humanitaire ».
Si la croissance économique au Maroc a permis d’enregistrer un recul du taux de pauvreté (de 8,9% en 2007 à 4,2% en 2014), le taux de chômage reste élevé chez les jeunes urbains (38,8%) et les inégalités demeurent criantes dans ce pays où 19% de la population rurale vit encore dans la pauvreté ou risque d’y basculer.
Enfin, en Tunisie, les projections de la Banque mondiale indiquent que la pauvreté a augmenté à la suite de la révolution de 2011, avant de revenir, en 2012, à son niveau précédent. Le taux de pauvreté extrême a stagné à 1,9 % sur la période 2013-2016, mais le rapport indique une légère baisse de la pauvreté modérée (passée de 8,3 % en 2013 à 7,9 % en 2015). Reste que le chômage continue d’atteindre des niveaux préoccupants, avec 22% chez les femmes et 31,8% chez les jeunes (31,2% chez les jeunes diplômés).
Dans le contexte de ralentissement de l’économie mondiale, la faiblesse persistante des prix du pétrole, l’escalade des tensions internes et régionales, les perspectives de reprise de la croissance à brève échéance sont peu encourageantes. Les Etats sont-ils pour autant condamnés à la passivité ? Pour que la jeunesse maghrébine retrouve espoir dans son avenir, les Etats n’ont d’autres solutions que faciliter l’égalité d’accès aux opportunités économiques.
Október 25-én tartották Szolnokon az MH 2. vitéz Bertalan Árpád Különleges Rendeltetésű Ezred és a Terrorelhárítási Központ közös gyakorlatához illesztett bemutatót. A mozzanatok több helyszínen zajlottak, helyszínenként más-más szituációt modellezve és bemutatva a honvédség, a rendőrség és az Országos Mentőszolgálat együttműködését egy esetleges valós helyzetben. A bemutatón - ahogy a gyakorlaton is - az MH 86. Szolnok Helikopter Bázis, az MH 1. Honvéd Tűzszerész és Hadihajós Ezred és az MH Katonai Rendészeti Központ katonái is részt vettek.
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Az első helyszín a tiszaligeti Városi Sportcsarnok előtti tér volt. A modellezett szituáció szerint civilek várják, hogy beléphessenek a sportcsarnokba, amikor robbantásos terroristatámadás történik.
A bombát egy szemetesbe rejtették a terroristák, így közvetlenül a várakozó civilek mellett robban.
A téren tartózkodók közül a szerencsések el tudják hagyni a helyszín, a sérültek azonban ott maradnak és a robbanásnak egy áldozata is van.
Művér és segélykérő kiáltások; a sérülteket alakító statiszták meglehetősen élethűen alakítják szerepüket.
Elsőként a városban járőröző rendőrök érnek a helyszínre, felmérik a helyzetet és biztosítják a helyszínt.
A rendőrök után megérkeznek a mentők is és azonnal elkezdik a sérültek ellátását.
A járóképes sérülteket a rendőrök a tér átellenes oldalára kísérik, ellátásuk is ott történik rövidesen.
A helyszín biztosítását a honvédség különleges erőinek katonáival erősítik meg.
A levegőben megjelenik egy AS350-es könnyű helikopter, amely az ilyen helyzetekben légi megfigyelési vagy vezetési pontként használható.
A tűzszerészek keresőkutyával kutatnak további robbanószerkezet után.
A honvédség egyik géppuskatornyos Mercedes terepjárója is a helyszínre érkezik.
A honvédség és a rendőrség egészségügyi szakképesítésű emberei elindulnak az első súlyos sérülttel.
A másik súlyos sérülttel az OMSZ emberei sietnek a mentőautó felé; ahogy teszik ezt nap mint nap az ország különböző pontjain.
Civil és katonai mentőkocsi. Mindkettő Mercedes, utóbbi páncélozott.
A tűzszerészek a kutya jelzése alapján egy könnyű, távirányítású robotot küldenek a szemeteshez. A robot karján lévő kamera segítségével látják, hogy pontosan milyen tárgyról van szó, hogyan lehet megfogni és elmozdítani azt.
A szemetesben talált gyanús zsákot a robot elszállítja a helyszínről.
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A Thököly úti volt laktanya már egy túszmentő akció helyszíne volt. A forgatókönyv szerint az egyik épület emeleti helyiségeibe fegyveresek hatoltak be és túszul ejtettek néhány embert. Többeknek sikerült elbújniuk a túszejtők elől, akik egy rendőrségi behatolástól tartva eltorlaszolták a bejáratot. A túszok kiszabadítását a Terrorelhárítási Központ és a Különleges Rendeltetésű Ezred emberei közösen hajtják végre.
A TEK emberei páncélozott szállító járműveken érkeznek a helyszín közelébe és az épületet gyalogosan közelítik meg.
A behatolást az egyik földszinti ablakon kezdik meg.
A levegőben megfigyelési feladattal egy AS350-es köröz.
Túsz és túszejtő az emeleti ablakban.
A támadás két irányból történik, a földi behatoló csoport fentről kap erősítést. Az épület tetejéhez egy Mi-8-as közelít, hogy gyorsköteles módszerrel kirakja a különleges erők katonáit és a terrorelhárítók embereit.
A gép mozdulatlanul függeszkedik az épület felett, a kötelet leengedték, a tető felől behatolók megkezdik a leereszkedést. Közben az épületben lövések dörrennek.
A külső gyűrűt biztosító katonák egy Humvee segítségével "megnyitják" a kijáratot, amelyen keresztül a kiszabadított túszok és a behatoló csoportok elhagyhatják majd az épületet.
A menekülési útvonal egy ablakon át vezet, a kijutást a TEK-esek segítik.
A különlegesek is elhagyják az épületet, az akciónak vége.
A különleges rendeltetésű ezred géppuskatornyos, páncélozott Humvee járműve elhagyja a helyszínt.
BTR-80-as a Terrorelhárítási Központ színeiben.
A Terrorelhárítási Központ embere protektoros kesztyűben markolja az MP5-öst.
A Humvee tornyában egy 12,7 mm-es géppuska van, a különleges erők katonái M4A1-es gépkarabélyt fognak.
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A közös gyakorlaton Szolnok kiemelt fontosságú intézményeinél és helyszínein is megjelentek a honvédség és a terrorelhárítók eszközei és emberei.
A helyszín a vasút- és autóbusz állomás alkotta csomópont, ahova a honvédség egy Humvee-t állított.
A Terrorelhárítási Központ egyik BTR-80-asa az autóbusz végállomás mellé települt.
A TEK másik BTR-je a vasútállomás bejárata mellett kapott helyet.
A vasútállomásra történő belépés csak a különleges erők és a terrorelhárítók közösen végrehajtott ellenőrzése után lehetséges. Először a bal oldalon álló katona ellenőrzi a belépni szándékozót, aki a további vizsgálat idejére a földre teszi csomagját. Mialatt a személyi ellenőrzés megtörténik, a terrorelhárítók kutyája is végigszimatolja a csomagot. Ha minden rendben, az illető beléphet az állomás területére.
Géppuskás Humvee a Tisza felett átívelő közúti hídnál.
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Fotó: Szórád Tamás