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Diplomacy & Defense Think Tank News

Mission Impossible?

SWP - Wed, 04/07/2018 - 00:00

Die Umbrüche in der arabischen Welt seit 2011 haben in drei Ländern zu Bürgerkriegen geführt: in Libyen, Syrien und im Jemen. In allen drei Fällen versuchen die Vereinten Nationen, Abkommen zwischen den Konfliktparteien zu vermitteln, die auf Befriedung durch Machtteilung zielen. Dabei kann die UN auf ihre etablierte Führungsrolle bei Vermittlungsbemühungen verweisen, die eine Beendigung von Bürgerkriegen zum Ziel haben.

In den drei hier untersuchten Konflikten sind bislang allerdings sämtliche Bemühungen der UN gescheitert, sie durch Machtteilung zu beenden. Im Jemen und in Libyen haben Machtteilungsabkommen nicht verhindert, dass Konflikte andauern bzw. neu ausbrechen. In Syrien ist es den UN nicht einmal gelungen, direkte Verhandlungen über Machtteilung zwischen den Bürgerkriegsparteien zustande zu bringen. Mittlerweile ist es angesichts der veränderten militärischen Kräfteverhältnisse unrealistisch geworden, das ursprüngliche Ziel eines politischen Übergangs – zu erreichen.

Die Studie gibt Antworten auf folgende Fragen: Weshalb erweisen sich diese drei Konflikte als so widerspenstig gegenüber Lösungsversuchen? Welche Aspekte der Konfliktkonstellationen stehen einem Erfolg der UN-Bemühungen entgegen? Welche Faktoren im Ansatz der UN erschweren den Erfolg? Was lässt sich daraus für künftige Vermittlungsbemühungen lernen? Und wie können Deutschland und Europa zu Fortschritten beitragen?

Inhaltsverzeichnis

Problemstellung und Empfehlungen
S. 5–6

Die UN und Verhandlungslösungen für Bürgerkriege: Eine Donquichotterie?
S. 7-14

Wolfram Lacher
Libyen: Die Wette, die nicht aufging
S. 15-28

Muriel Asseburg
Syrien: UN-Vermittlung als Spielball von Regional- und Großmachtinteressen
S. 29-46

Mareike Transfeld
Jemen: Konflikteskalation trotz UN-vermittelter Machtteilung
S. 47-61

Schlussfolgerungen und Empfehlungen
S. 62-64

Abkürzungen und Literaturhinweise
S. 65

Die Kurden im Irak und in Syrien nach dem Ende der Territorialherrschaft des »Islamischen Staates«

SWP - Wed, 04/07/2018 - 00:00

Für die Regierungen der westlichen Länder ist der Gang der Dinge in Syrien und im Irak ernüchternd. Für die Kurden, die in diesen beiden vom Krieg gezeichneten Staaten leben, ist er dramatisch. Denn mit dem Sieg über den IS endete für die Kurden Syriens und des Irak eine Periode, in der sie sich einerseits einem existenzbedrohenden Gegner gegenübersahen, andererseits aber Teil militärischer Bündnisse waren, auf die sie sich – auch weil die kurdischen Kämpfer für diese Bündnisse unverzichtbar waren – verlassen konnten. Mit dem Ende des Krieges gegen den IS ist diese Unverzichtbarkeit zur Disposition gestellt und die Kurden beider Länder sind erneut mit der Tatsache konfrontiert, dass sie keine natürliche Schutzmacht haben.

Doch wie steht es um die Kurden selbst? Auf welcher wirtschaftlichen, sozialen und politischen Basis beruhen ihre Forderungen nach Selbstbestimmung? Wieweit deckt sich die Politik kurdischer Akteure mit ihrer Rhetorik von einer kurdischen Nation, die durch das Gefühl eines gemeinsamen Schicksals und die Erwartung einer gemeinsamen Zukunft geeint sei und die indes über einen minimalen politischen Konsens verfügt?

Die Autorinnen und Autoren der Studie werfen einen kritischen Blick auf die zeithistorischen, ökonomischen und politischen Parameter des Handelns und Entscheidens kurdischer Akteure. Martin Weiss analysiert die Gründe für das politische Scheitern des Unabhängigkeitsreferendums der irakischen Kurden 2017. Caner Yildirim und Gülistan Gürbey leuchten das energiepolitische Potential des kurdischen Nord-Irak aus. Arzu Yilmaz deckt Dynamiken des Verhältnisses zwischen den beiden größten kurdischen Parteien des Nahen Ostens auf. Und Katharina Lack schildert die Machtverhältnisse unter den Kurden Syriens.

Inhaltsverzeichnis

Problemstellung und Empfehlungen
S. 5–8

Martin Weiss
Rückschlag auf dem Weg zur Selbständigkeit – Kurdistan-Irak vor und nach dem Unabhängigkeitsreferendum
S. 9–27

Caner Yildirim/Gülistan Gürbey
Das energiepolitische Potential Irakisch-Kurdistans
S. 28–45

Arzu Yilmaz
Gegeneinander, miteinander: Die KDP und die PKK in Sindschar
S. 46-57

Katharina Lack
Die Lage in den kurdischen Gebieten Syriens: Politische Akteure und ihre Entwicklung seit 2011
S. 58-78

Günter Seufert
Resümee: Eine insgesamt ernüchternde Bilanz kurdischer Politik und westlichen Engagements im Nahen Osten
S. 79–86

Anhang
S. 87-88

Le football en Russie : entre passion et enjeu politique

IRIS - Tue, 03/07/2018 - 17:32

« Le football reste au service du pouvoir, instrument de propagande, hier soviétique, aujourd’hui russe ». En Russie, le football est un sport populaire, mais avant tout une arme politique, de l’époque soviétique à aujourd’hui. L’actuelle Coupe du monde en est la parfaite illustration de la diplomatie du sport entamée par Vladimir Poutine depuis 2002, politique au service de son pouvoir. Le point de vue de Régis Genté, co-auteur du livre « Futbol : le ballon rond, de Staline à Poutine, une arme politique » (Allary Éditions, 2018) avec Nicolas Jallot.

Votre ouvrage “Futbol – le ballon rond de Staline à Poutine” décrit l’importance prise par le football au cours du XXe siècle, en rappelant que “le lien entre football et politique a survécu à la disparition de l’URSS, tout en ayant muté”. Pouvez-vous revenir sur ces changements ?

J’ai le sentiment que ces changements sont plutôt à regarder pour l’usage en politique intérieure qu’en politique extérieure. Le régime soviétique était totalitaire, ce qui n’est pas le cas de celui de M. Poutine. Or, un régime totalitaire va chercher chacun dans sa sphère privée, pour lui dire que penser, qui soutenir, etc. Ce régime a donc aussi tenté de contrôler chaque recoin du football, tâchant d’ériger par exemple les joueurs en modèle de citoyens soviétiques, comme l’URSS d’après-guerre l’a fait avec Lev Yachine, le légendaire gardien du Dynamo de Moscou et de la Sbornaïa (sélection nationale). Il y avait aussi, pour prendre un autre exemple, une grande attention portée à qui remporte le championnat. Ce dernier a échu pour ses vingt-deux premières éditions à des clubs de Moscou (Dynamo, Spartak, Torpedo, CSKA…) parce que le Kremlin ne voulait pas que les républiques de l’Union tirent une trop grande fierté des victoires de l’équipe porte-drapeau de leur nation, notamment l’Ukraine et la Géorgie avec les Dynamo de Kiev et de Tbilissi. Et quand ces derniers vont remporter leur premier titre, respectivement en 1961 et 1964, ce qui était le signe de changements d’équilibre au sein de l’URSS, le pouvoir va utiliser cette nouvelle donne pour se montrer dans le cadre de la guerre froide comme le parangon de l’ « amitié entre les peuples », alignant une Sbornaïa composée de nombreux non-Russes. La Russie de Vladimir Poutine laisse quant à elle aller les choses à bien des égards, même si le sport fait l’objet d’une grande attention et qu’il est un des outils utilisés par le Kremlin pour satisfaire sa grande ambition qui est de replacer le pays sur le devant de la scène diplomatique et géopolitique mondiale. Le pouvoir se contente surtout en politique intérieure de se concentrer à des fragments de la société au moyen du football, comme les franges très nationalistes que l’on retrouve dans les « virages » (tribunes d’ultras) des clubs russes ou comme la jeunesse des républiques musulmanes du Caucase du Nord, tentée par l’islamisme du fait de la profonde dépression socio-économique qui frappe des républiques comme la Tchétchénie ou le Daghestan.

Vous revenez longuement dans votre ouvrage ainsi que dans le documentaire “KGB, arme du football”, sur l’histoire de Nikolaï Starostin et notamment sa relation avec Béria, mais également avec le pouvoir russe. Pouvez-vous expliquer pourquoi ?

D’abord parce que les quatre frères Starostine font figure de pères du football russe et que leur histoire alternant le rocambolesque et le tragique est entrée dans la légende. En quelques mots, disons que Lavrenti Beria, qui à partir de 1938 devient le patron de tout l’appareil sécuritaire de l’URSS de Staline, va les expédier au goulag en 1942 parce qu’avec le Spartak de Moscou, qu’ils ont fondé avec comme « sponsors » les coopératives alimentaires et les Komsomols (jeunesses communistes) alors dirigés par le rival politique de Beria qu’était Alexandre Kossarev, ils étaient devenus très populaires et que leur équipe avait damé le pion au Dynamo de Moscou. Et au fond, pour Nicolas Jallot et moi-même, cette histoire est apparue comme celle du match entre le peuple et le pouvoir soviétique. Ce n’est pas que le Spartak était réellement « l’équipe du peuple », ainsi que ses dirigeants ont eu le génie de le faire « baptiser », car c’était aussi une équipe du pouvoir. Mais sans doute que les aspirations du peuple, animé par sa passion simple pour le jeu, ont été mieux écoutées, mises en application sur le terrain, par le Spartak, dont le jeu était plus spontané, plus libre, que celui de l’équipe des « flics », de son grand rival le Dynamo de Moscou. Pour moi, en tant que journaliste qui s’est spécialisé depuis seize ans sur l’ancien espace soviétique, s’intéresser à cette relation Beria – Starostine a aussi été une occasion de regarder dans ce qui fonde les tensions au sein d’un régime dictatorial, comment deux tenants du pouvoir, deux visions d’un même pouvoir, Kossarev et Beria, peuvent s’opposer et chercher à obtenir le soutien du peuple, le « stade » en l’occurrence, pour défendre leur position dans les couloirs du Kremlin. Même dans un régime aussi dictatorial et totalitaire, il faut avoir si possible le stade derrière soi.

Pouvez-vous revenir sur la phase de candidature et la volonté pour Vladimir Poutine d’organiser un tel évènement ?

Pour ce qui est de l’arrière-fond d’abord, je voudrais rappeler que la Russie d’aujourd’hui a sur ce point un vrai point commun avec l’URSS de Staline ou de la période de la guerre froide. Bref, l’on a à faire aux fondamentaux de la Russie, que je déclinerai en trois points : 1°) Un pays qui depuis deux siècles se définit de façon obsessionnelle par rapport à l’Occident et qui va notamment sur le terrain du sport pour prouver la supériorité ou la légitimité de ses projets politiques, qu’ils soient bolchéviques ou autoritaro-conservateurs comme aujourd’hui. D’où l’affaire du dopage d’État révélé quelques mois après les Jeux olympiques d’hiver de Sotchi. 2°) Un pays qui rêve de puissance, mais sait très bien qu’il est une « puissance pauvre », c’est-à-dire dont les ambitions politiques sont bien au-dessus de la réalité de la puissance, économique notamment, et qui pour combler ce déficit doit bluffer en jouant de la puissance symbolique qu’offre le sport. 3°) Un pays qui se sert du sport pour faire admettre dans l’opinion publique, rendre acceptable, la nature de son régime et ce qui va avec, une économie bridée par le manque de liberté et la corruption. Je crois que sur la base de ces trois points, outre les enjeux en termes d’image que l’on offre au monde et qui sont eux commun avec tous les autres États candidats à l’organisation d’évènements sportifs planétaires, on peut comprendre pourquoi il était si important pour M. Poutine d’accueillir ce mondial. C’est une politique très réfléchie, avec notamment le géant gazier russe Gazprom qui est sponsor de la FIFA, ou encore la profonde réforme du sport lancée par M. Poutine dès 2002 et qui sera plus tard baptisée « Russie, puissance sportive ». On voit avec ce « slogan » combien la question de la « puissance » est au cœur des préoccupations du président russe lorsqu’il se tourne vers le sport, d’autant que le mot russe choisi en l’occurrence, « dierjava », est celui qui servait au XIXe siècle pour désigner la puissance de l’empire du Tsar.

Votre ouvrage s’achève avec la Coupe du monde en Russie de 2018. Si vous revenez sur les différents enjeux pour Vladimir Poutine au moment de la compétition, quelles seront les conséquences pour la Russie de cette Coupe du monde une fois achevée, sur sa diplomatie en termes de football ?

Difficile à dire pour le moment. Il ne faut pas exagérer la puissance du sport. Il est un miroir de la politique et de la société, mais pas ce qui les fait changer, me semble-t-il. C’est la diplomatie qui utilise le sport, pas le contraire. J’ai le sentiment que M. Poutine est en passe de faire admettre dans les opinions publiques que la Russie a organisé un bon mondial et qu’il a offert une image acceptable de lui, même si celle-ci aura été extrêmement superficielle et standardisée. Hormis les observateurs attentifs ou avertis, peu se diront que ce pays qui prétend affirmer sa souveraineté à tous les niveaux ne fait en réalité que « singer », mot très important dans la langue « politique » russe, l’Occident et le monde globalisé. Il suffit de regarder l’esthétique des stades de ce mondial pour s’en convaincre, ou se repasser les cérémonies d’ouverture et de clôture des JO d’hiver de Sotchi de 2014. Mais M. Poutine mise sur le rouleau compresseur du façonnage grossier des opinions publiques et se dit que les voix critiques ne seront pas audibles, d’où sa fermeté à ne pas relâcher les prisonniers politiques que son régime détient, du cinéaste de Crimée Oleg Sentsov au directeur de la branche de Tchétchénie de l’ONG Memorial Oyoub Titiev. Pour lui, la conséquence espérée est que son régime deviendra la norme, à une époque où les démocratures et régimes résolument autoritaires ont le vent en poupe.

Élections fédérales mexicaines : la victoire de Lopez Obrador, un tournant pour le pays ?

IRIS - Tue, 03/07/2018 - 14:26

Andrés Manuel Lopez Obrador a été élu à la présidence du Mexique avec plus de 53% des voix. Cette victoire historique de son parti Morena (Mouvement de régénération nationale) – premier parti de gauche mexicain au pouvoir – permet d’assurer la majorité au Parlement, de remporter la mairie de Mexico, ainsi que la présidence de quatre États. Au terme d’une campagne d’une rare violence, et dans un contexte de tensions avec son voisin nord-américain, les défis sont multiples pour le nouveau chef d’État mexicain. Le point de vue de Jean-Jacques Kourliandsky, chercheur à l’IRIS.

L’élection de Lopez Obrador et de son parti Morena est-elle un signe d’espoir pour le pays ? Comment cette élection a-t-elle été perçue par la communauté internationale ?

Espoir est le mot clef. La population est fatiguée par la montée en puissance du crime et des enlèvements. Fatiguée également par un quotidien difficile pour les plus modestes, alors que la corruption n’a jamais atteint des seuils aussi élevés. Fatiguée aussi par la violence verbale du président des États-Unis et les mesures répressives prises à l’encontre des migrants et des résidents mexicains. Enfin, fatiguée de vivre dans la peur du lendemain, la peur de la police et des autorités, en particulier dans certains États de la Fédération, comme Puebla et Veracruz.
Le vote émis est celui d’une revendication démocratique, d’une nouvelle et plus authentique transition que celle effectuée sous la tutelle du Parti action nationale (PAN, droite) en 2000.

Le vainqueur de la présidentielle a promis « des changements profonds » et « sans dictature ». Quelles vont être les priorités du nouveau chef d’État mexicain ? Quelle posture faut-il attendre du Mexique sur la scène internationale, notamment dans sa relation avec les États-Unis ?

Andres Manuel Lopez Obrador, autrement appelé AMLO, a promis une quatrième rupture démocratique aux Mexicains. Une transition qui prétend refonder le pays pour le bien de tous, les entrepreneurs comme les pauvres, les laïques comme les croyants. Il a tendu la main au président actuel, Enrique Pena Nieto (Parti révolutionnaire institutionnel, PRI), dont il a salué la bonne attitude démocratique, contrairement à celle de son prédécesseur, Felipe Calderon (PAN). Il a également tendu la main à ses adversaires vaincus. Durant sa campagne et dans la déclaration faite au soir de sa victoire dimanche dernier, il a davantage annoncé des orientations que des mesures et réformes précises. La première est celle de construire la patrie de tous, riches comme pauvres. Les entrepreneurs a-t-il dit y auront une place garantie dans l’économie mexicaine, et les plus modestes seront sa priorité.

De plus, AMLO souhaite mettre la lutte contre la corruption au cœur de son projet. Cette dimension a un caractère fondamental d’éthique politique. Lutter contre la corruption permettra de dégager des moyens financiers afin d’engager un programme de valorisation de la structure productive et de lutte contre la pauvreté. Il n’y aura donc pas, a-t-il ajouté, de nécessité d’augmenter les impôts ou de nationaliser des biens privés. Seule exception, qui renvoie aux valeurs du souverainisme défendu par le PRI des origines, la reconquête de la souveraineté pétrolière, remise en question par le PRI, le PAN et le PRD (Parti de la révolution démocratique).

En matière de politique étrangère, peu de mesures ont été annoncées. Ici encore reprenant le corpus du PRI historique, AMLO a signalé que la politique extérieure du Mexique serait axée sur la défense de la souveraineté, la non-ingérence, et des relations de coopération sur la base du respect mutuel avec l’ensemble des États du monde. Il a remercié, sans citer les chefs d’État lui ayant adressé leurs félicitations dimanche soir. Une seule petite phrase a fait référence aux États=Unis, avec lesquels il souhaite avoir de bonnes relations de coopération sur la base d’un respect mutuel. On notera que pendant sa campagne, Lopez Obrador n’a effectué que peu de déplacements en dehors du Mexique : il a rencontré le président équatorien, Lenin Moreno, et l’ancienne présidente chilienne, Michelle Bachelet, ainsi que le chef du Parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn, marié à une Mexicaine.

Ces élections ont été marquées par de nombreuses violences, dont l’assassinat de 145 hommes politiques, campagne considérée comme « la plus sanglante » de l’histoire mexicaine. Comment analysez-vous cette situation ? Quelles sont les mesures souhaitées par Lopez Obrador pour lutter contre l’impunité de la violence ?

La violence a franchi un seuil inquiétant à partir de 2006. Cette année-là, le président Felipe Calderon (PAN) avait décidé de mobiliser les forces armées contre le crime organisé. Les grands réseaux ont été fragmentés en petits groupes antagonistes de plus en plus incontrôlables. Une guerre territoriale a ensanglanté le Mexique (200 000 morts depuis 2006). La décision prétendait contourner l’inefficacité des polices gangrénées par la corruption et le différentiel en armements, les délinquants achetant à la frontière avec les États-Unis des armes de plus en plus performantes.

Le contexte électoral a exacerbé ces rivalités entre bandes locales. Pour assurer leur mainmise territoriale, elles ont cherché à éliminer physiquement les candidats prétendant rompre avec ce mode de fonctionnement, ou souhaitant introduire d’autres bandes dans un territoire considéré comme le leur. Des milliers de bulletins ont été par ailleurs volés afin d’empêcher l’élection. Ce climat a pu être utilisé par les adversaires d’AMLO pour dissuader les électeurs d’aller voter. La participation a eu ainsi une valeur démocratique de vote contre la peur. Le parti Morena avait contesté en décembre passé la loi de sécurité nationale couvrant l’action des forces armées, considérant que ces dernières étaient ainsi libres de mener des actions contraires aux droits de l’homme, alors qu’elles sont elles aussi atteintes par la pénétration de la corruption.

Sur la question préoccupante qu’est la violence intérieure, AMLO a annoncé la constitution d’un commandement unifié en matière de sécurité. Il a également signalé qu’il allait consulter les ONG de défense des droits de l’homme ainsi que le Conseil des droits de l’homme des Nations unies qui a lancé un message d’alerte sur le Mexique il y a quelques jours.

HSS-Interview : Venezuela - ein Land in der Krise

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 03/07/2018 - 14:21
Die ideologische Wirtschaftspolitik der Regierung Maduro ruiniert den ehemals reichen Erdölstaat. Die Bevölkerung hat politisch resigniert, die Opposition ist gespalten. Ist Veränderung auf demokratischem Wege so überhaupt noch möglich?

Putins Russland: Sechs weitere Jahre

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 03/07/2018 - 10:15
Nach einem von der OSZE als unausgewogen kritisierten Wahlkampf setzt Wladimir Putin auf Kontinuität und alte Vertraute. Gleichzeitig gibt es Gesprächsbedarf mit Europa: Nord Stream 2, der schwelende Konflikt in der Ukraine und "gemeinsame Initiativen" mit Frankreich. Was kann Europa von Russland erwarten?

Las geringonças (“artilugios”) y los “Frankensteins”: convergencias y retos de gobernabilidad en Portugal y España ante los desafíos de la UE

Real Instituto Elcano - Tue, 03/07/2018 - 04:29
Comentario Elcano 38/2018 - 2/7/2018
Patrícia Lisa

Respaldados por la ausencia de significativas fuerzas xenófobas y eurófobas, los mensajes de los gobiernos de Portugal y España de cara al debate sobre el futuro de Europa son de un claro y excepcional pro-europeísmo y a favor de una mayor integración.

IPI Live Events During the High-Level Political Forum on Sustainable Development

European Peace Institute / News - Mon, 02/07/2018 - 18:56

Thursday, July 12, 1:15pm EST
Bringing Words to Life: How Are the SDGs Supporting Peace, Justice, and Inclusion?
This event focuses on early successes of the 2030 Agenda for Sustainable Development—not only in regards to SDG 16 but across the agenda (SDG16+)—to foster peace, justice, and inclusion at the local and national level.

Watch Live Register to Attend

Monday, July 16, 1:15pm EST
Fostering Entrepreneurship & Innovation to Achieve Sustainable Development Goals
Taking place during the High-Level Political Forum, this event will discuss the role of entrepreneurship in realization of social and economic gains, and showcase success stories from entrepreneurs working on these issues.

Watch Live Register to Attend

Tuesday, July 17, 8:15am EST
Affordable Housing for All
This event examines ongoing and future government efforts to improve access to adequate housing, seeking to increase the awareness of UN member states of the challenges of housing from a more holistic perspective and their commitment to repositioning housing at the center of national development strategies.

Watch Live Register to Attend

Tuesday, July 17, 1:15pm EST
Reaching Internally Displaced Persons to Achieve the 2030 Agenda for Sustainable Development
In this event, participants will discuss the link between development policies and internal displacement by sharing tangible examples of actions that governments, civil society, and the international community are taking to help implement the SDGs by including IDPs.

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Reaching Internally Displaced Persons to Achieve the 2030 Agenda for Sustainable Development

European Peace Institute / News - Mon, 02/07/2018 - 18:25

On Tuesday, July 17th, IPI is hosting a policy forum event entitled “Reaching Internally Displaced Persons to Achieve the 2030 Agenda for Sustainable Development.

Remarks will begin at 1:15pm EST*

Internally displaced persons (IDPs) are among the most vulnerable people in the world. Many are forced to leave their belongings and their work behind, and their physical and mental health is often affected by the events that led to their displacement. The 2030 Agenda for Sustainable Development, which pledges to “leave no one behind” and specifically mentions IDPs as a vulnerable group that must be empowered through efforts to achieve the Sustainable Development Goals (SDGs), provides an opportunity to put the particular plight of IDPs back on the radar of the international community.

This year marks the twentieth anniversary of the Guiding Principles on Internal Displacement. This anniversary provides an opportunity to reflect on what needs to be done and to foster multi-year action aimed at protecting IDPs and preventing and solving internal displacement (as highlighted in the Multi-stakeholder Plan of Action for Advancing Prevention, Protection and Solutions for Internally Displaced Persons 2018–2020).

In this event, participants will discuss the link between development policies and internal displacement by sharing tangible examples of actions that governments, civil society, and the international community are taking to help implement the SDGs by including IDPs.

*If you are not logged into Facebook, times are shown in PST.

Affordable Housing for All

European Peace Institute / News - Mon, 02/07/2018 - 18:09

On Tuesday, July 17th, IPI together with the Kingdom of Bahrain and co-organized by the Governments of Angola, Bulgaria, Malaysia, and Paraguay in collaboration with UN-Habitat and the UN Development Programme (UNDP), will cohost a policy forum event aimed at sharing experiences and strengthening political commitment to the provision of adequate housing for all.

Remarks will begin at 8:15am EST*

Opening remarks are anticipated from high-level UN officials and the event will feature remarks from ministerial-level heads of delegation from Angola, the Kingdom of Bahrain, Bulgaria, Malaysia, and Paraguay. These five countries, representing five different regions of the globe, are currently working with UN-Habitat and UNDP to strengthen housing policy frameworks and improve access to adequate and affordable housing. The collaboration of these five countries with UN-Habitat and UNDP is a unique example of a partnership seeking to catalyze efforts to achieve the SDGs.

The objective of this side event is to discuss ongoing and future government efforts to improve access to adequate housing and to achieve SDG Target 11.1: “By 2030, ensure access for all to adequate, safe and affordable housing and basic services, and upgrade slums.” In addition, it aims to increase the awareness of UN member states of the challenges of housing from a more holistic perspective and their commitment to repositioning housing at the center of national development strategies.

Speakers:
Hon. Eng. Basim Bin Yacob AlHamer, Minister of Housing, Bahrain
Hon Ms. Ana Paula Chantre Luna de Carvalho, Minister of Territorial Planning and Housing, Angola
Hon. Mr. Nikolay Nankov, Minister of Regional Development and Public Works, Bulgaria
Hon. Ms. Maria Soledad Nunez Mendez, Executive Minister National Secretariat of Housing and Habitat, Paraguay
Hon. Ms. Zuraida Kamarudi, Minister of Urban Wellbeing, Housing and Local Government, Malaysia

Moderator:
Mr. Warren Hoge, Senior Adviser for External Relations, International Peace Institute

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Quels sont les différents types de coffres de rangement possible ?

RMES - Mon, 02/07/2018 - 17:54

Ranger est tout simplement un art de vivre et de donner une certaine aventure merveilleuse à nos invités. Les femmes sont bien strictes pour ce mot rangement, et c’est très bien. Voici les modèles de coffres de rangement qui ne vous donneront plus la manie de rangement.

Un geste de magicien pour avoir de l’ordre

On n’est pas dans le monde de Merlin et sa magie pour dresser les balais et les poussières à entrer dans la poubelle. Disons qu’on est plus habile que lui et adopte la méthode de rangement dans le coffre. Un coffre bien dominant, mais aussi décoratif, et ça marche.
On distingue plusieurs modèles disponibles sur le marché avec ses caractéristiques et son design qui se réfèrent à votre type d’emplacement et à votre goût, mais aussi son utilité. Oui, car un coffre ne sert pas uniquement à ranger les choses, mais aussi à affirmer votre style de décoration pour que la salle soit vivante et gaie. On peut donc choisir plusieurs coffres selon la chambre. En partant de la salle de séjour, en passant par le couloir, et la salle de bain et les toilettes, la cuisine, les chambres des bambins, des parents et la salle d’ami sont argumentées par les coffres de rangement originaux, drôles, vintage, et campagnard

Un coffre pour un espace

Quand on habite dans un appartement, on a du mal à ranger notre maison. C’est parce qu’il n’y a plus d’espace pour mettre un autre placard, une armoire ou un buffet. Pourquoi ne pas changer de déco et choisir des coffrets de rangement et des mobiliers en même temps.

  • Commençons par le coffre Malle: comme son nom l’indique, ce coffret ressemble à une valise ou une malle à l’époque. Celui-ci peut servir de table basse, et rajouter par un travail de capitonnage, il servira de fauteuil pour les Guest. Bien fermé, on y range les jolis couverts, les verres et quelques bouteilles apéritives, les albums photo et les magazines de loisirs. Ce coffre sera en bois pour être plus présentable tandis que la malle en métal est bonne pour le couloir, à mettre des chaussures et des sacs, ou dans le garage pour ranger les outils. 
  • Découvrons le coffre à jouets: c’est le rangement parfait pour les jouets, mais avec son design plus fantaisie, on sentira que l’enfant prendra du plaisir à ranger ses affaires. On peut séparer le coffre par des compartiments.
  • Coffre à banc et le jardin : ces deux modèles de coffre ont les mêmes textures pour un matériel de rangement, mais aussi une chaise pour passer du bon temps dans le jardin.

Avec cette astuce de déco, on observe un panorama de luxe avec de la classe, puisque les coffres sont haut de gamme avec une belle finition de travail.

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Fostering Entrepreneurship & Innovation to Achieve Sustainable Development Goals

European Peace Institute / News - Mon, 02/07/2018 - 17:48

On Monday, July 16th, IPI together with the Kingdom of Bahrain, Tamkeen, Global Entrepreneurship Network (GEN) and the Kauffman Foundation are cohosting a policy forum on “Fostering Entrepreneurship & Innovation to Achieve Sustainable Development Goals.”

Remarks will begin at 1:15pm EST*

The role of the private sector is recognized throughout the 2030 Agenda and particularly in SDG 17 which highlights the need for an inclusive partnership. The 2030 Agenda explicitly calls on the private sector to use creativity and innovation to address sustainable development challenges.

The private sector is the key driver of economic development. A strong driver to achieving many of the Sustainable Development Goal (SDGs) comes through the enablement of “Entrepreneurship”. Governments can greatly rely on the talent of innovators and entrepreneurs in the implementation of SDGs and to drive policy change to pave the way for break-through innovation. Government agencies, at all levels, play an important part in developing the right entrepreneurship eco-systems for their markets and cultures.

Taking place during the High-Level Political Forum, this event will discuss the role of entrepreneurship in realization of social and economic gains, and showcase success stories from entrepreneurs working on these issues.

Opening remarks:
Mr. Ahmed H. Janahi, Tamkeen
Ms. Safa Sharif, Tamkeen

Speakers:
Dr. Nasser Qaedi, Chief of Investment and Marketing, Tamkeen
Mr. Jonathan Ortmans, President, Global Entrepreneurship Network
Representative from Kauffman Foundation (TBC)

Moderator:
Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser, International Peace Institute

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Bringing Words to Life: How Are the SDGs Supporting Peace, Justice, and Inclusion?

European Peace Institute / News - Mon, 02/07/2018 - 17:06

On Thursday, July 12th, IPI together with Saferworld are cohosting an expert-level event on, “Bringing Words to Life: How Are the SDGs Supporting Peace, Justice, and Inclusion?” The event will take place at IPI on the margins of the United Nations High Level Political Forum (HLPF).

Remarks will begin at 1:15pm EST*

The 2030 Agenda for Sustainable Development—and its crosscutting commitments to build peaceful, just, and inclusive societies—offers an unprecedented opportunity to strengthen and transform preventive action. However, the 2030 Agenda risks being seen as a disconnected policy framework that does not help those working for peace, justice, and inclusion at the national or local level to bring about meaningful change. Therefore, it is critical to showcase experiences from around the world that demonstrate the value of the 2030 Agenda in supporting existing initiatives and action to build inclusive and transparent institutions and expand access to justice at all levels.

Taking place during the 2018 High-Level Political Forum, this event seeks to showcase early successes in using these commitments—not only in Sustainable Development Goal 16 but across the agenda (SDG16+)—to foster peace, justice, and inclusion at the local and national level. Participants will also discuss how the UN and member states can learn from these experiences and better support those seeking to make the most of the 2030 Agenda to promote positive peace. The event format will encourage greater participation from all in attendance.

Opening Remarks:
Sandra Pellegrom, Head of Development, Humanitarian Affairs and Human Rights, Permanent Mission of the Kingdom of Netherlands to the United Nations
Member-state representative (TBC)
Conversation Leads:
Abdijalil Afqarshe, Saferworld
Katy Thompson, UN Development Programme
Zainab Hassan, Somaliland Non-State Actors Forum
Dr. Abdulhammed Suliman, Peace Research Institute, University of Khartoum

Moderator:
Jimena Leiva Roesch, Research Fellow, International Peace Institute

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Brennpunkt Iran: Kann Europa das Atomabkommen mit dem Iran retten?

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 02/07/2018 - 14:18
Mit ihrem einseitigen Austritt aus dem Iran-Abkommen haben die USA der internationalen Diplomatie schweren Schaden zugefügt. Ist das Vertrauen zerstört oder können die verblieben Vertragspartner die Lücke füllen?

Kunst, Kultur und die Agenda 2030

Bonn, 02.07.2018. Wie kommen kubanische Künstler auf die Idee, einen umgedrehten Tisch als Boot im karibischen Meer zu benutzen? Die Videoinstallation des Künstlerpaars Jennifer Allora und Guillermo Calzadilla nimmt Bezug auf die puertoricanische Insel Vieques, welche über 60 Jahre von den USA als Stützpunkt und Ausbildungsstandort genutzt wurde. Mehr als fünf Jahrzehnte wurden auf dieser von außen so idyllisch wirkenden Karibikinsel Waffentests durchgeführt. Hinterlassen haben sie eine von Bombentrichtern gekennzeichnete Landschaft und ein unter anderem mit Blei und Quecksilber verseuchtes Ökosystem. Die Inselbewohner wurden ihrer Lebensgrundlage beraubt. Bürgerinitiativen vor Ort fordern Gerechtigkeit und Entschädigung von der US-Regierung. Gehör bekommen die Inselbewohner von Vieques bisher keines. Dies möchten die beiden in Puerto Rico lebenden Künstler ändern: Der umgedrehte Verhandlungstisch wird zur Forderung nach ausgewogener Kommunikation und gewaltfreier Konfliktlösung. Diese Aufnahme ist auch das Titelbild der Wanderausstellung „Zur Nachahmung empfohlen! – Expeditionen in Ästhetik und Nachhaltigkeit“, die momentan in Bonn gezeigt wird. Welche Rolle können Kunst und Kultur bei der Transformation hin zu nachhaltiger Entwicklung spielen? Lebensgrundlagen für alle zu schaffen und diese nachhaltig zu gewährleisten, ist das Kernanliegen der 2015 verabschiedeten Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung. Mit diesem Beschluss haben sich alle Staaten verpflichtet, die darin enthaltenen 17 Ziele (Sustainable Development Goals, SDG) zu erreichen. Die Agenda ist ein großer Fortschritt, da sich mit ihr Industrie-, Schwellen- und Entwicklungsländer gleichermaßen zur Transformation verpflichten. Darüber hinaus beschränken die Ziele sich nicht auf eine bestimmte Zahl von Anliegen, sondern verlangen Fortschritte in allen Dimensionen nachhaltiger Entwicklung, also ökologisch, ökonomisch, sozial, aber auch politisch und kulturell. Insbesondere mit SDG 4 „Hochwertige Bildung“ benennt die Agenda die Bedeutung der kulturellen Grundlagen für nachhaltige Entwicklung. Hier und an weiteren Stellen betont die Agenda die Bedeutung gerade auch von kultureller Vielfalt für das Erreichen der SDGs. Seit dem Beschluss der Agenda vor drei Jahren haben viele Staaten Absichtserklärungen zur Umsetzung der Ziele formuliert, aber von der Erreichung der Ziele sind wir in Deutschland, Europa und weltweit noch weit entfernt. Es besteht die Gefahr, dass sich die Umsetzung in bürokratischen und diplomatischen Prozessen erschöpft und eine umfassende Transformation dadurch nicht erreicht wird. Jenseits von Exekutive und Diplomatie zeigt die Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung in Gesellschaft und Wirtschaft noch viel zu wenig Resonanz. Auch wenn die Agenda in einzelnen Bereichen durchaus als Bezugspunkt genutzt wird, wird Nachhaltigkeit zu oft noch auf ökologische Themen oder technische Innovationen reduziert und spielt darüber hinaus bislang weder in der öffentlichen Diskussion noch in politischen Programmen eine maßgebliche Rolle. Auch in Deutschland hat sich die Agenda 2030 als Leitprinzip und prägendes Element in den Bereichen Politik und Wirtschaft noch nicht durchgesetzt. Wie die Künstler Allora und Calzadilla sowie die gesamte Ausstellung „Zur Nachahmung empfohlen! – Expeditionen in Ästhetik und Nachhaltigkeit“ eindrücklich zeigen, hat Kunst die einzigartige Fähigkeit, Zusammenhänge zu veranschaulichen und Menschen auf emotionaler Ebene anzusprechen. Kunst und Kultur sollten als wichtiges Medium zwischen komplexen Herausforderungen und den gesellschaftlichen Akteuren verstanden werden. Auch ein Brückenschlag zwischen Kunst und Kultur einerseits und Wissenschaft andererseits schafft vielfältige gegenseitige Bereicherung. So kann mit Hilfe der kulturellen Dimension der Zugang zu komplexen Themen ermöglicht und durch Perspektivwechsel auf eine andere Art auf das Thema Nachhaltigkeit aufmerksam gemacht werden. Die oben genannte Ausstellung oder das jährliche „Concert for a Sustainable Planet“ in der New Yorker Carnegie Hall wollen Dialoge fördern und Aktivitäten inspirieren. Kunst kann überraschende Blickwinkel öffnen, Themen Gehör verschaffen und sichtbar machen, was auf den ersten Blick oft nicht gesehen werden will. In Deutschland wird die Errichtung eines „Fonds für Ästhetik und Nachhaltigkeit“ schon seit langem von vielen Persönlichkeiten des öffentlichen Lebens unterstützt. Die Verbindung von Kunst und Wissenschaft kann neue Türen in eine nachhaltige Zukunft öffnen. Janina Sturm and Ronja Fitz, Sustainable Development Solutions Network (SDSN) Germany

Face à la crise politique de l'Union européenne : l'indispensable combat culturel sur les valeurs

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 02/07/2018 - 02:00
Un socle de valeurs qui méritent d'être qualifiées d'européennes apparaît ainsi non seulement parce qu'une grande partie du monde les perçoit (et parfois rejette) comme telles, non seulement car elles sont historiquement d'origine européenne, mais aussi parce qu'il y a une interprétation et...

Fondation, Prix franco allemand des médias

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 02/07/2018 - 02:00
Le Grand Prix Franco-Allemand des Médias sera remis le 4 juillet à Jürgen Habermas, sociologue et philosophe allemand. Le Prix Franco-Allemand du Journalisme (PFAJ) récompensera aussi des contributions journalistiques dans 5 catégories (Vidéo, Audio, Écrit, Multimédia et Jeunes Talents). La Fondation est l'un des soutiens du Prix. Le 3, un forum d'experts sera organisé par la Fondation Genshagen sur le thème "Solidarité et convergence en Europe : Quelles issues à la crise en Europe?".

Fondation, Rapport Schuman sur l'Europe, l'état de l'Union 2018

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 02/07/2018 - 02:00
Le "Rapport Schuman 2018 sur l'état de l'Union" est disponible en français et en anglais. Cette édition analyse les défis auxquels l'Europe doit faire face. Un entretien exclusif avec le président français Emmanuel Macron, un article du président du Sénat français sur le rôle des parlements nationaux dans le processus européen, des cartes et statistiques commentées, offrent une vue complète de l'Union européenne. Vous pouvez le commander en ligne sur notre site, le trouver au format numérique ou en librairie.

Conseil européen, Accord trouvé sur les migrations

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 02/07/2018 - 02:00
Les 28 chefs d'Etat et de gouvernement sont parvenus le 28 juin à un accord sur les migrations avec notamment la création de centres d'accueil sur le sol européen, sur la base du volontariat et l'instauration de dispositifs d'accueil situés en dehors de l'Union. Ils ont aussi adopté des conclusions sur la sécurité et la défense, l'emploi, la croissance et la compétitivité, l'innovation et le numérique.

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