Comme son titre d’animal de compagnie l’indique, le chien est un animal sociable qui apprécie la compagnie des hommes. Cependant, les chiens peuvent aussi rester seuls de temps en temps. C’est notamment le cas lorsque vous partez au travail et que les enfants partent à l’école. Pour cette fois, nous allons voir combien de temps vous pouvez laisser votre compagnon à quatre pattes seul et ensuite, nous verrons comment faire en sorte qu’il se sente à son aise pendant votre absence.Venez voir ce site de dressage de chien, il est très complet.
Combien de temps peut-on laisser son chien seul ?Avant tout, sachez que chaque chien a son propre niveau d’autonomie. C’est-à-dire que certains peuvent très bien se débrouiller plusieurs heures en l’absence de son maître, tandis que d’autres vivrons très mal cette expérience, même dans une courte durée. Néanmoins, on peut familiariser un chien à l’absence de son maître en l’y habituant petit à petit. Tout dépend de la socialisation de l’animal. Un chien bien éduqué et bien socialisé par son maître peut très bien s’adapter à la solitude pendant plusieurs heures (entre 5 à 8 heures : c’est la durée maximum d’une journée de travail). D’un autre côté, les chiens qui ne se font pas à l’idée de vivre sans leur maître ne tiendront pas plus de deux heures, seul à la maison.
Cette différence dépend en grande partie de la personnalité de l’animal. Mais il se peut aussi que le mode de vie auquel vous habituez votre chien joue un rôle dans ce comportement. L’idéale, c’est de les habituer dès leur plus jeune âge à votre absence. Mais l’apprentissage doit se faire petit à petit.
Voyons maintenant ce que l’on doit faire pour que nos amis canins passent des moments seuls en toute confiance et en toute sérénité.
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Comment laisser son chien seul à la maison ?Pour qu’il se sente bien lors de votre absence, il ne faut surtout pas que votre chien s’ennuie. Donc, pour l’occuper au maximum pendant la période où il est seul, laissez-lui des jouets. De cette façon, il ne remarquera pas votre absence vu qu’il est occupé à jouer et à s’amuser.
Vous pouvez aussi laisser la télé ou la radio allumée pendant votre absence. Comme ça, la maison ne sera pas totalement silencieuse. Cela peut aussi mettre votre chien à son aise quand on sait que le silence augmente le stress de l’animal causé par la solitude.
Par ailleurs, assurez-vous aussi que votre animal dispose d’un lit bien confortable où il pourra se reposer après avoir joué.
A ne pas oublier, il faut aussi que votre chien puisse avoir accès à l’extérieur de la maison pour qu’il puisse faire ses besoins sans salir la maison.
Mais il arrive aussi de temps en temps que vous soyez absent pendant plusieurs jours et que vous devez laisser votre compagnon à quatre pattes. Dans ce cas, la meilleure chose à faire est de le confier à quelqu’un qui puisse s’occuper de lui parce que l’animal ne pourra jamais se débrouiller tout seul pendant une telle période.
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Nous utilisons les piles tous les jours. De la télécommande à l’appareil photo numérique, en passant par les consoles et les petits appareils électroniques de la maison, nous faisons usage des piles pour alimenter tout ce panel d’appareil. Toutefois, le renouvellement des piles peut s’avérer agaçant puisque leur durée de vie est assez courte et leur recyclage très délicat.
Face à ces difficultés, la solution est toute trouvée. Il s’agit des piles rechargeables qui constituent aujourd’hui la meilleure solution pratique pour éviter les changements intempestifs de piles. Quels en sont les avantages ?
Pour ceux qui recherchent un chargeur de piles, venez voir ça.
La praticitéUne pile rechargeable est toujours moins contraignante qu’une pile ordinaire à plusieurs égards. Sur le plan de la praticité, la pile rechargeable ayant une durée de vie naturellement plus longue à celle des piles ordinaires, elle peut être utilisée sur des appareils à long fonctionnement comme une horloge par exemple sans qu’on ne soit obligé de changer les piles toutes les semaines.
De plus, la capacité de la pile rechargeable est supérieure à celle de la pile classique ce qui fait que vous pouvez l’utiliser pour des appareils dont le fonctionnement nécessite beaucoup d’énergie tel que les appareils photo numérique sans vous soucier de vous retrouver à court de batterie d’une seconde à l’autre.
Lorsqu’on est en vacances ou en sortie entre amie et qu’on se retrouve à la campagne, on peut disposer d’une prise électrique sans que sur un rayon de plusieurs kilomètres, aucun super marché ne soit présent. Dans ces conditions, il serait difficile de se procurer des piles si toutes celles que vous avez apportées se vidaient. Or, les vacances sont synonymes de souvenirs et donc de photos. Si votre appareil photo ne peut plus fonctionner alors que vous êtes en vacances, vous avez un sérieux problème. Avec les piles rechargeables, vous n’aurez plus ce genre de problème à partir du moment où vous disposer d’une prise électrique à côté. Il vous suffit brancher votre chargeur de pile et de les recharger pour une nouvelle utilisation.
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L’autonomieUne pile rechargeable vous rend autonome en même temps qu’elle est autonome. Non seulement, vous n’êtes plus esclave des piles qui se déchargent au bout de quelques minutes et qu’on ne peut d’ailleurs pas recycler, mais aussi, votre pile dispose de capacité faisant qu’elle peut fonctionner suffisamment longtemps.
Si votre appareil ne nécessite pas beaucoup d’énergie, la pile rechargeable pourra durer très longtemps avant de se décharger. Dans le cas contraire, où l’appareil consomme beaucoup d’énergie, vous pourrez utiliser votre pile autant de fois que vous le voulez à partir du moment où celui-ci peut encore recevoir de la charge.
Le caractère économiqueLa pile rechargeable est une solution économique parce qu’elle représente un investissement sur le long terme et en même temps moins onéreux que la pile classique. En faisant un petit calcul, on se rend vite compte qu’une pile rechargeable peut être 10 fois moins chère qu’une pile classique pour une utilisation régulière de pile puisque le kit de pile rechargeable vous coûtera environ 20 euros alors qu’à ce prix, vous n’aurez que 5 piles classiques de 4 euros.
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01.07.1958
"Männer und Frauen sind gleichberechtigt"- Vor 60 Jahren tritt das Gleichberechtigungsgesetz in Kraft.
01.07.1948
Vor 70 Jahren wurde mit den Frankfurter Dokumenten ein Grundstein auf dem Weg zur Gründung der Bundesrepublik Deutschland gelegt.
07.07.1843
Vor 175 Jahren wurde die erste Dampfschifffahrt auf dem Chiemsee erlaubt.
12.07.1908
110. Geburtstag von Jakob Baumann
19.07.1978
40. Todestag von Karl Sigmund Mayr
27.07.2003
15. Todestag von Rudolf Birkl
Le mini-sommet européen du 24 juin à Bruxelles organisé pour adresser la « crise migratoire » n’a pas permis de déboucher sur une solution à 28. En s’éloignant des valeurs que sont le pluralisme, la non-discrimination, la tolérance et la solidarité – énoncées dans l’article 2 du traité de l’Union Européenne –, c’est tout le sens du projet européen qui risque de se perdre.
L’absence de conclusions communes au terme du mini-sommet européen qui s’est tenu ce dimanche à Bruxelles consacre un peu plus les divergences et tensions qui opposent les Etats et les institutions de l’Union sur le dossier migratoire. Les pays du groupe de « Visegrad » (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie) sont allés jusqu’à « boycotter » l’évènement, adoptant ainsi une stratégie de la chaise vide qui symbolise à la fois leur défiance à l’égard de la chose européenne et leur refus de toute logique de solidarité sur ce dossier migratoire.
Un sens de l’irresponsabilité qui ne leur est pas propre, comme l’atteste l’épisode de l’Aquarius. Au-delà de la condamnation politique et morale de l’Italie et de Malte qui ont réfusé l’accès à leurs ports, le jeu des hypocrisies a prévalu sur les obligations juridiques à l’égard de l’Aquarius : le devoir des Etats européens de porter assistance aux personnes en détresse en mer – en leur offrant un lieu sûr dans des délais raisonnables – découle directement du droit international de la mer [1]. La France n’est pas en position de donner une quelconque leçon de morale européenne à l’Italie. Pour justifier son silence assourdissant, malgré la proximité de ses côtes et de ses ports, la France s’est engluée dans une série d’arguties juridiques qui contribuaient in fine à légitimer le discours anxiogène sur l’accueil des réfugiés, réduits à une menace sécuritaire et identitaire. Une décision élyséenne ni à la hauteur des valeurs républicaines et européennes, ni en harmonie avec le discours qu’avait Emmanuel Macron en tant que candidat à l’Elysée. Le geste humanitaire du gouvernement espagnol à peine formé par la gauche sauva l’honneur de l’Europe, sans pouvoir apporter de solution pérenne à une crise migratoire qui nourrit la crise existentielle dans laquelle s’enfonce chaque jour un peu plus l’Europe depuis le débat sur le traité de Maastricht au début des années 1990, puis sur la Constitution européenne une dizaine d’années plus tard.
L’onde de choc populiste ou national-identitaire qui a amené Donald Trump à la Maison Blanche traverse également le Vieux continent d’Est en Ouest et du Nord au Sud. Si cette défaillance collective nourrit les replis et les populismes nationaux, les réponses de nature essentiellement technocratiques – il n’existe pas de « boite à outils » magique pourrait-on rétorquer – ne sont pas à la hauteur des enjeux foncièrement politiques et axiologiques. Car dans cette « crise migratoire » cristallisée autour du bassin méditerranéen, c’est aussi le sens du projet européen qui se perd, c’est le doute d’un destin commun qui s’instille plus que jamais. Quelle Europe voulons-nous ? Une forteresse repliée sur elle-même tel un village fictif dans un monde globalisé ou une Europe réaliste (car oui, les flux de migrants et de réfugiés peuvent représenter une chance pour le Vieux continent) et solidaire, digne de ses valeurs fondatrices, celles-là même qui lui ont permis de recevoir le prix Nobel de la paix (en 2012) ?
Derrière ce questionnement, c’est la question de l’identité européenne qui se pose avec force. Celle-ci doit se libérer des passions tristes renouant avec le mythe de la pureté des origines – civilisationnelles, ethniques, religieuses, etc. – pour mieux renouer avec son essence humaniste et cosmopolite, conforme aux fondements axiologiques de la construction européenne rappelés en ces termes par l’article 2 du traité UE : « L’Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’État de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités. Ces valeurs sont communes aux États membres dans une société caractérisée par le pluralisme, la non-discrimination, la tolérance, la justice, la solidarité et l’égalité entre les femmes et les hommes. ». Partant, tout accord ou dispositif européen tendant à repenser le règlement de Dublin, ou à instituer un droit d’asile européen, devra porter la marque de ce socle de valeurs. Dans le cas contraire, c’est l’idéal européen qui s’en trouvera dénaturé.
En attendant, l’incapacité des Etats européens à apporter une réponse commune à la hauteur des valeurs censées incarner leur projet politique trahit leur inconsistance. Celle-ci se traduit par la prévalence de choix guidés par des considérations égoïstes et courtermistes qui s’avèrent contre-productives et relativement inefficaces. Ainsi, et suivant un schéma qui risque de se répéter, une semaine à peine après l’arrivée en Espagne des 630 migrants à bord de l’Aquarius, un nouveau bateau – le Lifeline – transportant près de 200 migrants cherche un port européen où accoster…
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[1] Voir les amendements à la convention internationale sur la recherche et le sauvetage maritimes de 1979, dite convention «SAR», adoptés par l’Organisation maritime internationale (OMI).