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Diplomacy & Defense Think Tank News

Les Suédois et l’immigration, fin du consensus ? (2)

Fondapol / Général - Mon, 27/08/2018 - 19:16

Considérée comme la grande référence du modèle social-démocrate européen, la Suède a longtemps bénéficié d’une solide réputation de pays consensuel. Cependant, ce pays semble désormais confronté à des défis inédits. Il faut noter en particulier l’apparition de nouvelles formes de criminalité favorisées par le développement de zones d’exclusion sociale résultant de problèmes liés à l’immigration […]

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Les Suédois et l’immigration, fin de l’homogénéité ? (1)

Fondapol / Général - Mon, 27/08/2018 - 18:35

L’histoire de l’immigration en Suède est unique. Ce pays est longtemps resté une société homogène jusqu’à ce qu’une immigration récente mais massive modifie sensiblement sa composition démographique. Ces vingt dernières années, la Suède a vu la part de sa population non occidentale passer de 2 % à 15 % de la population totale, soit une […]

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Mais que se passe-t-il en mer de chine méridionale ?

IRIS - Mon, 27/08/2018 - 18:03

Dans un rapport publié la semaine dernière, le département de la défense américain avertit sur la possible introduction de matériel nucléaire par Beijing en mer de chine méridionale suscitant l’inquiétude de Manille. Si elle se vérifie, que penser de cette introduction compte tenu de l’accord de la Chine pour adhérer un code de conduite dans la région ?

Le code de conduite associant la Chine et les pays de l’Asean sur la mer de Chine méridionale, s’il a le mérite de rompre avec une tradition d’approches bilatérales peu propices à un règlement définitif des différends, reste une promesse plus qu’une réalité consommée. Difficile de savoir s’il sera respecté par les différents acteurs engagés d’une part, difficile aussi de savoir quelle interprétation de l’équilibre dans la région est faite par les acteurs concernés. En clair, ce code de conduite est fragile.

Cependant, mettre en avant les capacités nucléaires chinoises (nous parlons ici des sous-marins nucléaires) dans la zone comme un nouveau problème est faire preuve d’une très grande hypocrise. D’abord parce que le patrouillage de ces engins dans la zone ne date pas d’hier et ne concerne pas que la Chine, et ensuite parce que la base navale au sud de la province de Hainan est directement orientée vers la mer de Chie méridionale. En clair, les sous-marins chinois doivent nécessairement passer par cette zone pour entrer et sortir de leur base. Le problème serait cependant plus sensible si la présence de matériel nucléaire stationné dans les îles polderisées était avérée. Mais cela ne semble pas être actuellement le cas.

Posons plutôt le problème à l’envers, en nous demandant à quoi doit servir un rapport de ce type. Les inquiétudes, sans doute légitimes, exprimées par des acteurs de la région sont la réponse. Dans le jeu de dupes que se livrent Washington et Pékin, l’objectif est de s’attirer la sympathie des acteurs régionaux, et la diabolisation de l’autre est l’arme la plus efficace.

Le président Philippin Rodrigo Duterte le 17 août a déclaré penser que la Chine « sera juste » dans ses revendications en mer de Chine et que les Philippins verront peut-être Beijing comme « un bon voisin ». Cette vision du président philippin n’est-elle pas très optimiste considérant les activités de la Chine dans les Spratley’s Islands et compte tenu du fait que, selon un sondage, huit philippins sur dix pensent que la Chine ne devraient pas être laissée sans surveillance dans les eaux pouvant être revendiquées par les Philippines ? Que penser de l’attitude de Rodrigo Duterte sur cette question ?

Depuis son arrivée au pouvoir il y a deux ans, Rodrigo Duterte a alterné le chaud et le froid dans la relation avec la Chine. Il déclarait encore en mai dernier qu’il était prêt à la guerre avec la Chine si cette dernière ne respectait pas ses engagements… Derrière ce qui ressemble à une ambivalence se cache un style fondé sur une approche très réaliste (et sans doute propre au populisme de Duterte, qui cherche avant tout à asseoir son leadership et sa crédibilité en interne), et qui ressemble parfois dans la méthode à ce que fait Donald Trump aux Etats-Unis, à savoir jouer sur une rhétorique musclée pour étendre le champ de la négociation. Le problème est que les Philippines ne sont pas les Etats-Unis, et les propos du président philippin sont ainsi à mettre en relation avec les capacités dont il dispose, a fortiori face à un géant comme Pékin. Mais clairement, il n’est pas dans une logique de confrontation avec Pékin, et privilégie au contraire un rapprochement dont il espère définir les contours et dans lequel il souhaite surtout trouver des avantages. Il ne fait que symboliser une tendance qui se généralise à l’ensemble de la zone, et se caractérise par un principe de soumission à Pékin en échange de faveurs, souvent associées aux projets des nouvelles routes de la soie et les investissements massifs qui l’accompagnent.

L’analyste Ted Galen Carpenter dans une tribune publiée sur « China US Focus » explique que les Etats-Unis devraient faire de modestes concessions à la Chine pour faire baisser les tensions en mer de Chine. Mais n’est-ce pas là la pire des choses à faire et une approche très naïve des objectifs chinois ?

L’idée de faire quelques concessions à la Chine n’est pas nouvelle aux Etats-Unis, et s’inscrit dans une mouvance intellectuelle qui fait la promotion depuis quelques années d’un « Grand Bargain » (grand marchandage) dans la relation Washington-Pékin. Ce marchandage doit, selon ceux qui le défendent, permettre aux Etats-Unis de conserver des acquis en Asie, là où une attitude plus agressive vis-à-vis de Pékin se traduirait inexorablement par un recul de Washington. Ce principe de négociation s’appuie sur une vision réaliste des développements dans la zone et des rapports de force entre grandes puissances, et associe des réflexions géopolitiques et économiques. L’idée est ainsi de trouver un équilibre permettant d’éviter un basculement vers un hégémon et donc, en d’autres termes, de s’assurer que chacune des grandes puissances y trouve son compte. La politique asiatique de l’administration Trump semble accorder au Grand Bargain un certain crédit, en faisant des échanges commerciaux la pierre angulaire de la relation avec Pékin, et en refusant un rapport de force stratégique avec la Chine dans la zone. A l’inverse, et à titre d’exemple, la stratégie du pivot vers l’Asie de l’administration Obama, portée à l’époque par Hillary Clinton, cherchait à maintenir l’hégémon américain dans la zone, notamment en s’appuyant sur plusieurs partenaires régionaux. Cette stratégie n’est pas parvenue à endiguer la montée en puissance chinoise, aussi bénéficie-t’elle désormais de peu de crédit. L’analyse de Ted Galen Carpenter, du think tank conservateur cato Institute, s’inscrit dans cette réflexion. Plutôt que de préconiser un rapport de force qu’il juge contre-productif et presque contre-nature (si on se réfère à l’irrésistible montée en puissance chinoise), il cherche une solution de compromis pouvant permettre aux Etats-Unis de s’associer à la Chine dans la région, plutôt que de chercher à la contrer. L’idée n’est pas mauvaise, et le diagnostic de l’échec de la stratégie du pivot est sans doute pertinent. Problème cependant, il semble sur ce dossier comme sur d’autres que les analystes américains fonctionnent en cercle fermé, sans tenir compte des souhaits de Pékin, tout autant que de ses capacités. Ainsi, que pensent les Chinois du Grand Bargain? C’est sur ce point que la « naïveté » mentionnée ici trouve son sens, et traduit les limites de la politiques asiatique (pour ne pas dire chinoise) de Washington, d’une administration à l’autre.

Pakistan-Chine : des relations (comptables) dangereuses

IRIS - Mon, 27/08/2018 - 17:15

Les aléas climatiques saisonniers malmenant durement ces derniers jours le Sud de l’Inde (cf. inondations meurtrières au Kerala) ont en grande partie accaparé l’attention de la communauté internationale, accordant une attention moindre aux événements politiques en cours dans une autre partie du sous-continent indien. En effet, le 18 août, à Islamabad, le Parlement pakistanais investissait Imran Khan, le dirigeant du PTI – récent vainqueur du scrutin parlementaire national du 25 juillet – dans ses nouvelles fonctions de Premier ministre. Un événement politique davantage marqué du sceau de la fébrilité que de la félicité… Ce n’est pas une tâche aisée qui attend le nouveau chef de gouvernement de cette République islamique de 206 millions d’habitants. L’agenda national du nouveau gouvernement déborde effectivement de priorités à prendre à bras le corps : environnement sécuritaire national dégradé, relations avec les pays voisins (Afghanistan, Inde) détériorées, image extérieure abimée, contexte économique sinistré. De l’avis général, c’est entre autres domaines sur ce dernier dossier que l’habileté de cette ancienne gloire nationale du sport doit en priorité s’exercer, tant le contexte comptable domestique s’avère ténu. L’occasion de revenir sur la dimension ‘comptable’ de l’étroite relation sino-pakistanaise, à l’aune des fragilités budgétaires d’Islamabad.

Une thématique d’actualité

Début août, The Heritage Foundation[1], un prestigieux think tank américain, s’interrogeait – comme nombre d’observateurs[2] – sur le risque pour le Pakistan de tomber à court terme dans ce que d’aucuns décrient comme la Debt-Trap Diplomacy de Pékin, arguant que la proximité économique entre la République islamique et la République populaire s’exerce au profit de cette dernière (en sa qualité de créancière), au détriment de la première (en sa position moins avantageuse de débitrice). Le très net déséquilibre comptable s’explique par le fait que Pékin s’est progressivement substituée à Tokyo, à grand renfort de milliards de dollars de prêts consentis – à des conditions financières guère avantageuses pour les finances publiques pakistanaises exsangues[3] – comme premier prêteur d’Islamabad. La déshérence des ressources nationales disponibles et la raréfaction des financements extérieurs vers le Pakistan – le fait principalement de son image extérieure écornée – ont mécaniquement fait au fil du temps de la Chine, par ailleurs déjà l’alliée stratégique ‘naturelle’ du Pakistan, sa principale source de financement. Une évidence que l’on observe tout particulièrement dans le secteur – très consommateur en ressources – du financement des infrastructures, domaine où la seconde nation la plus peuplée d’Asie méridionale affiche des carences majeures ; et où l’ambitieuse Chine abonde en velléités de financement de projets industriels et énergétiques dans le sous-continent indien et au-delà…

OBOR / BRI / CPEC : des acronymes servant (en priorité) les desseins de l’ex-empire du Milieu

En situation chronique de crise énergétique[4] et de raréfaction des sources extérieures de financement[5], le Pakistan peut opportunément compter sur la trésorerie abondante de la République populaire voisine et de sa kyrielle de projets énergético-industriels, articulés autour de l’ambitieux projet de nouvelles routes de la soie ou OBOR (One Belt One Road) / BRI (Belt and Road Initiative). Partie intégrante de ce projet international majeur – mais controversé pour nombre d’experts -, le China-Pakistan Economic Corridor (CPEC, d’un coût global supérieur à une soixantaine de milliards de dollars[6] !) donne la mesure des besoins de l’un (Pakistan) et des arguments comptables de l’autre : le partenaire chinois devrait a minima financer les trois quarts de cette coûteuse entreprise bilatérale, à des conditions comptables pas forcément des plus avantageuses[7] ; pour un allié stratégique qui plus est.

Ce CPEC envisage nombre de projets dont le plus connu est le développement du port en eau profonde – et sa zone industrielle (Gwadar Special Economic Zone) – de Gwadar sur la mer d’Arabie (littoral du Baloutchistan), dont la gestion fut confiée en 2015 à un prestataire chinois pour un bail de longue durée (43 ans) …

État (précaire) de l’économie

Ces financements colossaux se conçoivent dans un cadre économique national ténu, nonobstant une croissance somme toute convenable ces trois dernières années (croissance moyenne annuelle du PIB + 4,7%). Classée en position peu flatteuse par la Banque mondiale[8], l’économie du ‘pays des purs’ affiche selon la State Bank of Pakistan une dette extérieure préoccupante (de l’ordre de 92 milliards $) très orientée à la hausse dernièrement. Une situation de grande fragilité comptable alors que les réserves de changes ne couvrent actuellement qu’à peine deux mois d’importations et que le service de la dette est jugé « intenable’ » à court terme par une batterie d’experts.

La jurisprudence régionale : un florilège inquiétant

À l’instar du Center for Global Development (Washington), certains lanceurs d’alerte évoquent les risques que l’ambitieuse BRI chinoise fait peser sur l’équilibre économique de divers gouvernements régionaux complaisants : le Sri Lanka et le financement par Pékin – en échange du management pour 99 ans … – de l’exorbitant port en eau profonde de Hambantota (8 milliards $), le projet pharaonique (autour de 10 milliards $) peu ou prou similaire de zone économique spéciale de Kyaukphyu en Arakan (Birmanie), figurent parmi les manifestations les plus parlantes.

Un début de prise de conscience ?

Certaines capitales régionales ont récemment évoqué auprès de leur partenaire chinois leur réticence à creuser davantage leur dette publique pour des projets industriels contestés par leur population ; c’est notamment le cas de Katmandou (Népal) qui, en novembre dernier, annula la construction d’un barrage hydroélectrique (financée et réalisée par la Chine) initialement paraphée avec Pékin. Islamabad sembla du reste s’inspirer de cet exemple népalais puisque le mois suivant (décembre 2017), elle annula le financement par la Chine de la construction d’un mégabarrage hydroélectrique (4500 MW) au coût prohibitif (14 milliards $). Début août, le ministère des Finances birman annonçait que le très ambitieux projet portuaire de Kyaukphyu en Arakan, développé par la société chinoise Citic Group, serait nettement revu à la baisse pour ne pas pénaliser le budget national[9]. Tout récemment, le 21 août, le Premier ministre malaisien Mahathir Mohamad officialisait l’annulation de deux coûteux mégaprojets soutenus par la Chine – l’East Coast Rail Link et le Trans-Sabah Gas Pipeline –, mentionnant la nécessité de réduire la dette nationale et d’éviter un possible défaut de paiement[10]

Changement de cap à Washington : tout bénéfice pour Pékin ?

En début d’année, l’administration américaine, sous la houlette du tempétueux locataire de la Maison-Blanche, a ‘réajusté’ sa traditionnelle mansuétude vis-à-vis du Pakistan, dans la foulée d’un tweet (le 3 janvier 2018) du chef de l’exécutif américain : « Les États-Unis ont bêtement donné 33 milliards de dollars d’aides au Pakistan ces quinze dernières années (…). Le Pakistan n’a rien fourni en retour, si ce n’est des mensonges et de la duplicité, prenant nos dirigeants pour des idiots (…). Ils abritent les terroristes que nous chassons en Afghanistan sans grande aide. C’est fini ! »

Plus près de nous, fin juillet, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo confirmait les intentions nouvelles de Washington à l’endroit d’Islamabad, déplorant la perspective qu’un prochain prêt du FMI puisse être alloué au Pakistan, en partie pour rembourser les dettes dues aux créanciers chinois[11]

De l’assistance à la dépendance

Quelques jours après le scrutin parlementaire du 25 juillet, Pékin a octroyé à Islamabad – à la demande des autorités pakistanaises, inquiètes de leur possible insolvabilité à court terme – un prêt de 2 milliards $ ; un trimestre plus tôt (avril), des établissements bancaires chinois avaient déjà consenti un prêt similaire d’un milliard $.

Cette énième manifestation ‘d’empathie’ pékinoise (par ailleurs non gratuite au sens strictement comptable du terme) à l’endroit de l’exsangue Islamabad a un coût dépassant de loin la seule dimension financière. Dans le contexte de reformatage en cours de la « politique pakistanaise » à Washington, de diminution des sources extérieures de financement offertes à Islamabad et d’augmentation exponentielle de ses besoins domestiques, on voit mal le gouvernement Khan être capable de s’exonérer d’un tel parrainage ; nonobstant les dangers évidents associés à pareille dépendance.

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[1] ‘’Is Pakistan About to Be Caught in China’s « Debt-Trap Diplomacy »?, The Heritage Foundation, 8 août 2018.

[2] À l’instar du Straits Times du 19.01.2018 (‘’Pakistan and China’s debt trap diplomacy), de l’Economic Times du 11.12.2017 (‘’A grim reminder for Pakistan how it is sliding into the Chinese debt trap’’) ou encore de l’Express Tribune (Pakistan) du 11.12.2017 (‘’CPEC could develop into Pakistan’s debt trap’’)

[3] Dans son édition du 18 août 2018, le New York Times estime à 10 milliards $ les réserves de changes du Pakistan, soit à peine de quoi couvrir deux mois d’importations.

[4] Le 18 août 2018, première journée en fonction du nouveau Premier ministre Imran Khan, une énième coupure de courant plongea dans le noir des heures durant, Karachi, 1er pôle démographique et économique national…

[5] Depuis la fin des années 80, le FMI a consenti une douzaine de prêts au Pakistan ; un 13e serait considéré prochainement, malgré les réticences des États-Unis, son principal contributeur.

[6] Dont la moitié, environ, concentrée sur des projets énergétiques.

[7] Le taux d’intérêt ‘’classique’’ de la China Exim Bank – entre 2 et 2,5% – ne s’appliquerait pas au financement de l’ensemble des projets ; certains observateurs (FMI ; Centre for Global Development) évoquent des taux bien supérieurs de l’ordre de 5%.

[8] Au 147e rang sur 190 pays évalués par l’étude Doing Business (http://francais.doingbusiness.org/rankings).

[9] South China Morning Post, 2 août 2018.

[10] ABS-CBN News, 21 août 2018.

[11] Reuters, 31 juillet 2018.

Energiewende: Regional erzeugte Energie regional nutzen

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 27/08/2018 - 15:51
Oberstes Ziel der bayerischen Energiepolitik ist eine sichere, bezahlbare und umweltverträgliche Energieversorgung. Bis Ende 2022 wollen wir schrittweise aus der Nutzung der Kernenergie aussteigen. Derzeit kommt über 40 Prozent der Bruttostromerzeugung in Bayern aus erneuerbaren Energien.

Des élections sous tension en RDC - trois questions à Jean-Michel Huet

Institut Montaigne - Mon, 27/08/2018 - 11:47

Alors que Joseph Kabila, dont le second mandat s’est achevé en décembre 2016, a déclaré ne pas se présenter à l’élection présidentielle de République démocratique du Congo (RDC) prévue le 23 décembre prochain, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a annoncé ce vendredi 24 août la liste des candidats validés. Considérant…

France : comment les partis écriront l’an II du Macronisme ? / Matteo Salvini, hold up sur l’Italie ?

Fondapol / Général - Sun, 26/08/2018 - 18:48

Pour la rentrée de l’Esprit Public, Aurélie Filippetti, ancienne Ministre de la culture, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au Monde,Thierry Pech, directeur général de la Fondation Terra Nova, Dominique Reynié, professeur de sciences politiques à Sciences po et directeur général de la Fondation pour l’innovation politique ont débattu sur les idées des partis en France et sur […]

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Le combat des chefs en Europe

Institut Montaigne - Sun, 26/08/2018 - 17:51

Tout est en train de se mettre en place pour le grand combat en vue des élections européennes du mois de mai 2019. Les adversaires s’échauffent pour mieux s’affronter. D’un côté, Matteo Salvini et Viktor Orbán, de l’autre Emmanuel Macron. Les premiers ne cessent de critiquer le second, encore récemment lors de leur rencontre du 29 mai à Milan : le Ministre de l’intérieur italien a fustigé « les élites financières de Soros et dirigées par Macron…

Flucht und Migration: Gibt es eine neue Balkanroute?

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 24/08/2018 - 14:27
Nach den denkwürdigen Ereignissen 2015, als hunderttausende Flüchtlinge und Migranten über den Balkan nach Europa zogen, haben sich die Fluchtrouten ins Mittelmeer verlagert. Die Balkanroute scheint geschlossen zu sein. Aber: trügt die Ruhe in Osteuropa und auf dem Balkan?

Qui est Imran Khan, nouveau Premier ministre pakistanais ? 3 questions à Christophe Jaffrelot

Institut Montaigne - Fri, 24/08/2018 - 10:35

Sorti vainqueur des élections générales qui se sont tenues en juillet dernier au Pakistan, Imran Khan, ancienne star du cricket, a pris la tête samedi 18 août d’un gouvernement de coalition. Il a prononcé le lendemain son premier discours en tant que Premier ministre, présentant sa vision d’un “nouveau Pakistan”. Christophe Jaffrelot,…

Soziale Infrastrukturen : Eine gute Versorgung sollte keine Frage des Wohnortes sein

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 24/08/2018 - 09:33
Kindertagesstätten, Alten- und Pflegeheime, Krankenhäuser, Beratungsstellen und Vereine – wie können all diese Einrichtungen in der Fläche vorgehalten werden, also auch außerhalb der Ballungszentren? Schließlich sind das nicht nur Infrastrukturen, die für die Organisation unseres Lebens wichtig sind, sondern auch für den gesellschaftlichen Zusammenhalt.

The Culture of Sustaining Peace

European Peace Institute / News - Thu, 23/08/2018 - 17:04

On Wednesday, September 5th, IPI together with the Al-Babtain Foundation are cohosting a policy forum during the annual UN High-Level Forum entitled “The Culture of Sustaining Peace.” This event seeks to provide input into the high-level forum by building upon the Declaration and Programme of Action on a Culture of Peace adopted by the UN General Assembly in Resolution 53/243 in 1999.

Remarks will begin at 1:15pm EST*

Thanks in part to high-level discussions at the 72nd session of the UN General Assembly, 2018 has seen marked progress in understanding what it takes to sustain peace. Increasingly, international actors and analysts are looking at the positive elements of peace. Instead of asking, “What causes war and how can we fight it?” people are asking, “What makes a peaceful society and how can we build and sustain it?”. Exploring the connections between culture, peace, security, and development is key to answering this question.

In the multilateral system, the concept of the “culture of peace” originated in 1992 in a program of the UN Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO). The concept of “sustaining peace” came out of the 2015 Advisory Group of Experts Review of the Peacebuilding Architecture and was affirmed in dual resolutions by the UN General Assembly and Security Council on peacebuilding and sustaining peace in 2016. How do these two concepts relate? How can they work together? On the sidelines of the 2018 High-Level Forum on the Culture of Peace, participants at this policy forum will discuss the connections between these two agendas and how they can be used to advance peace worldwide.

Welcoming Remarks:
Hon. Kevin Rudd, Former Prime Minister of Australia, Chair of the IPI Board of Directors

Opening Remarks:
H.E. Mr. Miroslav Lajčák, President of the UN General Assembly
Mr. Abdul Aziz Saud Al-Babtain, Director and Founder of the Al-Babtain Foundation

Speakers:
H.E. Mr. Masud Bin Momen, Permanent Representative of the People’s Republic of Bangladesh to the United Nations
H.E. Ms. Maria de Jesus dos Reis Ferreira, Permanent Representative of the Republic of Angola to the United Nations (TBC)
Mr. Fabrizio Hochschild, Assistant Secretary-General for Strategic Coordination, United Nations Executive Office of the Secretary-General
Ms. Rosa Emilia Salamanca, Director of the Corporación de Investigación y Acción Social y Económica (CIASE)

Moderator:
Hon. Kevin Rudd, Former Prime Minister of Australia, Chair of the IPI Board of Directors

Mobilität der Zukunft: Das richtige Verkehrsmittel für den richtigen Zweck auf der richtigen Strecke

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 23/08/2018 - 15:18
Die Metropolen der Welt kämpfen mit Staus, Parkplatzmangel in den Innenstädten und nicht zuletzt Luftverschmutzung. Welche Modelle können helfen, ohne die Menschen in ihrer Mobilität einzuschränken?

Mobile Reporting: Der Journalist und das Smartphone

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 23/08/2018 - 14:22
Die Medienlandschaft ist schnelllebig. Sowohl technisch als auch auf Basis von Plattformen und Darstellungsmöglichkeiten geht ein stetiger Wandel durch die Branche.

Mythos Bayern: Schicksalstage im August

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 23/08/2018 - 10:03
Der Hausvertrag von Pavia, die Gründung des Englischen Gartens, die Geburt König Ludwig II. und der Verfassungskonvent auf Herrenchiemsee. Viele prägende Ereignisse in der Bayerischen Geschichte haben sich im August zugetragen.

Festliche Eröffnung: Zweites Auslandsbüro der Konrad-Adenauer-Stiftung in der Ukraine

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 23/08/2018 - 00:00
Im Rahmen der Festveranstaltung zur Eröffnung in Charkiw betonte der Vorsitzende Prof. Dr. Norbert Lammert die Bedeutung der deutsch-ukrainischen Beziehungen.

Neue Migrationsroute?: Irreguläre Migration aus Westafrika sucht neue Wege

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 23/08/2018 - 00:00
Im Sommer 2018 mehren sich Berichte, wonach Migranten mit Pirogen und anderen Booten über das Meer in Richtung Kanarische Inseln aufbrechen.

Trabajar, trabajar, trabajar?: 100 Tage Regierung Carlos Alvarado Quesada in Costa Rica

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 23/08/2018 - 00:00
Der neue Präsident versprach, das Land verantwortungsvoll, intelligent, ausgewogen und kraftvoll zu führen. Die Bilanz der neuen Regierung fällt gemischt aus.

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