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Diplomacy & Defense Think Tank News

Publications, Sur la route des hommes sans nom

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
Bernard-Henri Levy compile dans son dernier livre, "Sur la route des hommes sans nom" paru eux editions Grasset le 5 mai, les différentes causes qu'il a défendues, de l'Afghanistan au Kurdistan et au Donbass. Il explique aussi les raisons qui le poussent à s'engager pour ces causes parfois perdues ou ignorées du grand public.

Culture, Choix du public pour le prix Lux

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
Pour la première fois, le film lauréat du Prix cinématographique européen LUX sera désigné à 50% par les députés européens et à 50% par le public. Jusqu'au 16 mai, les 3 films finalistes - Drunk de Thomas Vinterberg, L'Affaire Collective d'Alexander Nanau, et La Communion de Jan Komasa - peuvent être vus sur la plateforme Festival Scope, et une note peut leur être accordée sur la plateforme luxaward.eu. La cérémonie de remise du Prix se tiendra le 9 juin.

Culture, Nuit européenne des musées

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
La 16e édition de la Nuit européenne des musées se tient le 15 mai dans certains pays, y compris virtuellement. En France, le Musée de l'armée organise une table ronde numérique à partir de 19h consacrée à la campagne de Russie de Napoléon. Le même jour à 20h30, le Musée national de Varsovie organise une visite nocturne du parc des sculptures. A Barcelone, tous les musées de la ville sont en fête à partir de 18 h pour célébrer l'événement tout au long de la soirée. En Belgique les musées de Bruxelles proposent des activités tous les jeudis soirs jusqu'au 10 juin. En Irlande, en Allemagne et en Autriche, la manifestation est repoussée à l'automne.

Culture, Concerts de réouverture à la Scala de Milan

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
La Scala de Milan rouvre ses portes avec trois concerts dirigés par Riccardo Chailly le 10 mai, Riccardo Muti le 11 mai et Daniel Harding le 17 mai. Cette réouverture correspond au 75ème anniversaire de la reconstruction du théâtre. Le concert du 10 mai sera diffusé par Rai Cultura sur Raiplay à partir du 11 mai, puis disponible en vidéo pendant une semaine. Celui du 17 mai sera diffusé en direct sur le site de la Scala et sur ses chaînes Facebook et YouTube à 19 heures.

Culture, Printemps de Prague en ligne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
Pour sa 76ème édition, du 12 mai au 3 juin, le festival international de musique du Printemps de Prague, qui se tiendra en public si cela est possible, propose 22 concerts à suivre gratuitement en direct et en streaming.

Culture, Festival de théâtre de Berlin en ligne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
La 70ème édition du festival international de théâtre de Berlin se tient en ligne du 13 au 24 mai. 10 pièces sont au programme, et des discussions sont organisées sur l'avenir du théâtre à l'ère de la pandémie.

Culture, Les années folles au Guggenheim de Bilbao

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
Le musée Guggenheim de Bilbao accueille jusqu'au 19 septembre une exposition consacrée aux années 1920, les années folles, où le désir de changement et l'esprit d'innovation ont inspiré les arts et encouragé l'expérimentation. En intégrant des mouvements tels que le Dadaïsme ou le Bauhaus, l'exposition dévoile prés de 300 oeuvres de Berlin, Paris, Vienne ou Zurich, représentant la peinture, la sculpture, le dessin, la photographie et le cinéma.

Bicentenaire Napoléon, Commémorations du Bicentenaire

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
Le Président français Emmanuel Macron a présidé, le 5 mai, aux commémorations du bicentenaire de la mort de Napoléon, devant le tombeau duquel il a déposé une gerbe aux Invalides. Dans un discours prononcé à l'Institut de France, il a estimé que "l'œuvre totale de Napoléon tout en clair-obscur" continue de forger la France. L'historien Jean Tulard a fait la part entre le "légende noire" et la "légende dorée" pour souligner que l'histoire du Premier Empire est "plus large et plus objective". Des cérémonies ont également été organisées du 5 au 9 mai à Sainte-Hélène.

Bicentenaire Napoléon, La mort de Napoléon, naissance d'une légende

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
La Fondation Napoléon propose sur son site des dossiers thématiques, dont l'un sur la mort de Napoléon, avec des documents numérisés, des vidéos et des articles d'historiens, pour comprendre cet empereur ainsi décrit par Chateaubriand : "Vivant, il a manqué le monde ; mort, il le possède".

Bicentenaire Napoléon, Napoléon, naissance de la légende

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 10/05/2021 - 02:00
Le Mémorial de la bataille de Waterloo présente l'exposition "Napoléon : de Waterloo à Sainte-Hélène, la naissance de la légende" jusqu'au 17 octobre, réunissant des œuvres originales et des objets authentiques du monde entier, dont certains viennent de Sainte-Helène, pour évoquer l'exil et la naissance de cette figure mythique.

Mehrwertsteuersenkung hat deutsche Wirtschaft im Corona-Jahr 2020 gestützt

Zusammenfassung:

Die vorübergehende Mehrwertsteuersenkung in der zweiten Jahreshälfte 2020 hat die Wirtschaftsleistung in Deutschland um 0,5 Prozent erhöht. Das zeigen Modellsimulationen am DIW Berlin. Der Effekt auf das Bruttoinlandsprodukt hätte sogar bei rund einem Prozent liegen können – wenn die Mehrwertsteuersenkung vollständig an die VerbraucherInnen weitergegeben worden wäre. Dennoch hat sie ihr Ziel, kurzfristig den Konsum zu stabilisieren, erreicht. Insbesondere die Nachfrage nach Gebrauchsgütern wie Elektrogeräte, Möbel, Fahrräder und Autos profitierte. Der Wermutstropfen dabei: In vielen Fällen handelte es sich um vorgezogene und nicht um zusätzliche Käufe – entsprechend geringer ist die Nachfrage insbesondere in diesem Jahr. Unter dem Strich dürfte sich die Mehrwertsteuersenkung daher nicht selbst finanziert haben. Es ist deshalb ratsam, parallel zum Konsum auch gezielt private Investitionen zu stimulieren.


Zögerliche Ratifizierung des EU-Wiederaufbaufonds: Ein Weckruf aus Finnland

SWP - Mon, 10/05/2021 - 00:10

Eine Entscheidung des Verfassungsausschusses des finnischen Parlamentes bereitete dieser Tage Kopfschmerzen: Mit einer knappen Mehrheit von neun zu acht Stimmen verfügten die Abgeordneten, dass das Parlament das große EU-Konjunkturpaket für den wirtschaftlichen und sozialen Wiederaufbau nach der Pandemie, Next Generation EU (NGEU), mit einer Zweidrittelmehrheit statt wie üblich mit einfacher Mehrheit ratifizieren muss. Damit ist die Regierung auf Stimmen der Opposition angewiesen. Mit dem Konjunkturpaket steht und fällt auch der mehrjährige Finanzrahmen der EU für die Jahre 2021-2027. Die finnische Regierung brachte das in eine schwierige Lage, und eine Zeit lang sah es so aus, als könnte die Ratifizierung scheitern. Dass sich die Situation in einem traditionell verlässlich pro-europäischen Land dermaßen zuspitzen konnte, ist ein Weckruf, grundsätzlicher über die Ursachen dieser Entwicklung und mögliche Folgen für die EU nachzudenken.

Nein zur Transferunion

Der Verfassungsausschuss begründete sein Votum damit, dass das NGEU mit EU-eigener Schuldenaufnahme den Charakter der Union fundamental verändern und Finnland in einem nie dagewesenen Maße zwingen würde, Souveränität zu übertragen. In dem Beschluss kulminierte eine Debatte, die seit der Vorstellung der deutsch-französischen Initiative für einen Covid-Wiederaufbaufonds im Mai 2020 in Finnland kontrovers geführt wird. Ein zentrales Argument gegen das Konjunkturpaket stützt sich auf eine simple Rechnung: Finnland soll knapp drei Milliarden aus dem Fonds erhalten, aber bis zum Jahr 2058 über sechs Milliarden Euro einzahlen.

Eine zusätzliche Dramatik erhielt die Situation, als die Nationale Sammlungspartei (Kansallinen Kokoomus) ankündigte, sich in der am 12. Mai anstehenden Abstimmung zu enthalten. Obwohl die Partei eine der traditionell europafreundlichsten Parteien Finnlands und die einzige pro-europäische Oppositionspartei ist, könne sie das Paket als weiteren Schritt in Richtung Transferunion nicht unterstützen, so ihre Begründung. Sie bemängelte auch, dass das Paket für Finnland schlecht verhandelt worden sei. So habe die Regierung unter Premierministerin Sanna Marin die Änderungsvorschläge der Partei in den Verhandlungen ignoriert, darunter insbesondere die Forderung, den Anteil der nicht zurückzuzahlenden Zuschüsse im NGEU zu reduzieren. Auch habe sie sich nicht effektiv genug mit den sogenannten »frugalen Vier« – Dänemark, Niederlande, Österreich und Schweden – verbündet. Die Regierung hielt dagegen, dass Finnland im neuen langfristigen EU-Haushalt, über den am Mittwoch mitentschieden wird, insgesamt gut 500 Millionen Euro für Landwirtschaft und Regionalförderung für die dünn besiedelten Regionen Ostfinnlands bekommen hat. Das sei weit mehr, als Finnland mit den »frugalen Vier« an Beitragsrabatten hätte aushandeln können. Zudem lasse sich die Rolle Finnlands als Nettozahler in der EU nicht ändern.

Am vergangenen Freitag kam die Entwarnung: Weil sie sich nicht auf eine gemeinsame Haltung zum NGEU einigen konnte und aus Angst vor den Folgen für die EU hat die Nationale Sammlungspartei die Empfehlung zur Enthaltung zurückgezogen. Damit hat sich die Situation entschärft. Zwar haben einige Abgeordnete der Oppositionspartei – und selbst vereinzelte Vertreterinnen und Vertreter der regierenden Finnischen Zentrumspartei (Suomen Keskusta) – angekündigt, gegen das NGEU zu stimmen, doch die Zweidrittelmehrheit für die Ratifizierung gilt als sicher. Das bedeutet jedoch nicht, dass die Kontroverse über die finnische EU-Politik beigelegt ist. So fordern Expertinnen und Experten in Finnland, dass grundsätzlich über die Zukunft der EU nachgedacht wird, anstatt immer wieder krisengetrieben neue Integrationsschritte zu improvisieren.

Kein Verständnis für flexible Interpretation der Verträge

Zu Finnlands Staatsräson gehören ein sehr starkes Bekenntnis zur Rechtsstaatlichkeit und ein legalistisches Verständnis von internationalen Abkommen. Dies spiegelt sich auch in der Debatte über den Wiederaufbaufonds und seine Ratifizierung wider. Viele kritische Stimmen bewerten die enorme Schuldenaufnahme durch die EU auf der Grundlage des Art. 122 AEUV als Verstoß gegen die EU-Verträge bzw. im besten Fall als ihre sehr großzügige Interpretation. Entgegen den Empfehlungen von Expertinnen und Experten setzte sich diese Haltung im Verfassungsausschuss durch. Während die Bedenken an sich legitim sein mögen und die Rechtsgrundlage durchaus hinterfragt werden kann, haben unter anderem finnische Europaabgeordnete den Verfassungsausschuss scharf kritisiert: Er habe sich in die Vertragsinterpretation eingemischt, die in die alleinige Zuständigkeit des Gerichtshofs der Europäischen Union (EuGH) falle. Der finnische Präzedenzfall berge damit die Gefahr, dass die Interpretationshoheit des EuGH durch Eingriffe nationaler Institutionen unterminiert wird.

Angst vor Marginalisierung innerhalb der EU

Die Diskussion um das NGEU in Finnland bringt auch die Ängste kleinerer EU-Staaten vor einer Dominanz des deutsch-französischen Tandems zum Ausdruck, die sich nach dem Brexit noch verstärkt haben. Die Länder fürchten, in eine tiefere politische und fiskalische Integration gezwungen zu werden, ohne dass eine angemessene Diskussion über den politischen und rechtlichen Rahmen stattfindet. Die EU und die Eurozone werden in den kommenden Jahren viele wichtige Themen angehen müssen, wie zum Beispiel fiskalische Regeln oder die Stabilisierung der übermäßigen Staatsverschuldung. Die soeben gestartete Zukunftskonferenz bietet eine Gelegenheit für Berlin, auf seine Partner in Helsinki zuzugehen und ihre Bedenken in die Debatte über die Zukunft der Union einzubringen. So könnte Deutschland, ein traditionell enger Verbündeter Finnlands in der EU, ein starkes Signal aussenden, dass die Anliegen der kleineren Mitgliedstaaten gehört und ernst genommen werden.

Zögerliche Ratifizierung des EU-Wiederaufbaufonds: Ein Weckruf aus Finnland

SWP - Mon, 10/05/2021 - 00:10

Eine Entscheidung des Verfassungsausschusses des finnischen Parlamentes bereitete dieser Tage Kopfschmerzen: Mit einer knappen Mehrheit von neun zu acht Stimmen verfügten die Abgeordneten, dass das Parlament das große EU-Konjunkturpaket für den wirtschaftlichen und sozialen Wiederaufbau nach der Pandemie, Next Generation EU (NGEU), mit einer Zweidrittelmehrheit statt wie üblich mit einfacher Mehrheit ratifizieren muss. Damit ist die Regierung auf Stimmen der Opposition angewiesen. Mit dem Konjunkturpaket steht und fällt auch der mehrjährige Finanzrahmen der EU für die Jahre 2021-2027. Die finnische Regierung brachte das in eine schwierige Lage, und eine Zeit lang sah es so aus, als könnte die Ratifizierung scheitern. Dass sich die Situation in einem traditionell verlässlich pro-europäischen Land dermaßen zuspitzen konnte, ist ein Weckruf, grundsätzlicher über die Ursachen dieser Entwicklung und mögliche Folgen für die EU nachzudenken.

Nein zur Transferunion

Der Verfassungsausschuss begründete sein Votum damit, dass das NGEU mit EU-eigener Schuldenaufnahme den Charakter der Union fundamental verändern und Finnland in einem nie dagewesenen Maße zwingen würde, Souveränität zu übertragen. In dem Beschluss kulminierte eine Debatte, die seit der Vorstellung der deutsch-französischen Initiative für einen Covid-Wiederaufbaufonds im Mai 2020 in Finnland kontrovers geführt wird. Ein zentrales Argument gegen das Konjunkturpaket stützt sich auf eine simple Rechnung: Finnland soll knapp drei Milliarden aus dem Fonds erhalten, aber bis zum Jahr 2058 über sechs Milliarden Euro einzahlen.

Eine zusätzliche Dramatik erhielt die Situation, als die Nationale Sammlungspartei (Kansallinen Kokoomus) ankündigte, sich in der am 12. Mai anstehenden Abstimmung zu enthalten. Obwohl die Partei eine der traditionell europafreundlichsten Parteien Finnlands und die einzige pro-europäische Oppositionspartei ist, könne sie das Paket als weiteren Schritt in Richtung Transferunion nicht unterstützen, so ihre Begründung. Sie bemängelte auch, dass das Paket für Finnland schlecht verhandelt worden sei. So habe die Regierung unter Premierministerin Sanna Marin die Änderungsvorschläge der Partei in den Verhandlungen ignoriert, darunter insbesondere die Forderung, den Anteil der nicht zurückzuzahlenden Zuschüsse im NGEU zu reduzieren. Auch habe sie sich nicht effektiv genug mit den sogenannten »frugalen Vier« – Dänemark, Niederlande, Österreich und Schweden – verbündet. Die Regierung hielt dagegen, dass Finnland im neuen langfristigen EU-Haushalt, über den am Mittwoch mitentschieden wird, insgesamt gut 500 Millionen Euro für Landwirtschaft und Regionalförderung für die dünn besiedelten Regionen Ostfinnlands bekommen hat. Das sei weit mehr, als Finnland mit den »frugalen Vier« an Beitragsrabatten hätte aushandeln können. Zudem lasse sich die Rolle Finnlands als Nettozahler in der EU nicht ändern.

Am vergangenen Freitag kam die Entwarnung: Weil sie sich nicht auf eine gemeinsame Haltung zum NGEU einigen konnte und aus Angst vor den Folgen für die EU hat die Nationale Sammlungspartei die Empfehlung zur Enthaltung zurückgezogen. Damit hat sich die Situation entschärft. Zwar haben einige Abgeordnete der Oppositionspartei – und selbst vereinzelte Vertreterinnen und Vertreter der regierenden Finnischen Zentrumspartei (Suomen Keskusta) – angekündigt, gegen das NGEU zu stimmen, doch die Zweidrittelmehrheit für die Ratifizierung gilt als sicher. Das bedeutet jedoch nicht, dass die Kontroverse über die finnische EU-Politik beigelegt ist. So fordern Expertinnen und Experten in Finnland, dass grundsätzlich über die Zukunft der EU nachgedacht wird, anstatt immer wieder krisengetrieben neue Integrationsschritte zu improvisieren.

Kein Verständnis für flexible Interpretation der Verträge

Zu Finnlands Staatsräson gehören ein sehr starkes Bekenntnis zur Rechtsstaatlichkeit und ein legalistisches Verständnis von internationalen Abkommen. Dies spiegelt sich auch in der Debatte über den Wiederaufbaufonds und seine Ratifizierung wider. Viele kritische Stimmen bewerten die enorme Schuldenaufnahme durch die EU auf der Grundlage des Art. 122 AEUV als Verstoß gegen die EU-Verträge bzw. im besten Fall als ihre sehr großzügige Interpretation. Entgegen den Empfehlungen von Expertinnen und Experten setzte sich diese Haltung im Verfassungsausschuss durch. Während die Bedenken an sich legitim sein mögen und die Rechtsgrundlage durchaus hinterfragt werden kann, haben unter anderem finnische Europaabgeordnete den Verfassungsausschuss scharf kritisiert: Er habe sich in die Vertragsinterpretation eingemischt, die in die alleinige Zuständigkeit des Gerichtshofs der Europäischen Union (EuGH) falle. Der finnische Präzedenzfall berge damit die Gefahr, dass die Interpretationshoheit des EuGH durch Eingriffe nationaler Institutionen unterminiert wird.

Angst vor Marginalisierung innerhalb der EU

Die Diskussion um das NGEU in Finnland bringt auch die Ängste kleinerer EU-Staaten vor einer Dominanz des deutsch-französischen Tandems zum Ausdruck, die sich nach dem Brexit noch verstärkt haben. Die Länder fürchten, in eine tiefere politische und fiskalische Integration gezwungen zu werden, ohne dass eine angemessene Diskussion über den politischen und rechtlichen Rahmen stattfindet. Die EU und die Eurozone werden in den kommenden Jahren viele wichtige Themen angehen müssen, wie zum Beispiel fiskalische Regeln oder die Stabilisierung der übermäßigen Staatsverschuldung. Die soeben gestartete Zukunftskonferenz bietet eine Gelegenheit für Berlin, auf seine Partner in Helsinki zuzugehen und ihre Bedenken in die Debatte über die Zukunft der Union einzubringen. So könnte Deutschland, ein traditionell enger Verbündeter Finnlands in der EU, ein starkes Signal aussenden, dass die Anliegen der kleineren Mitgliedstaaten gehört und ernst genommen werden.

Die US-Bündnisse mit Japan und Südkorea

SWP - Mon, 10/05/2021 - 00:00

Die bilateralen Bündnisse der USA mit Japan und Südkorea bilden das Fundament der Sicherheitsarchitektur im Indo-Pazifik. Die Stärke dieser Bündnisbeziehungen ist damit von weitreichender Bedeutung für die Stabilität und Sicherheit der gesamten Region.

In den letzten Jahren standen beide Bündnisse vor großen Belastungs­proben. Unter dem ehemaligen US-Präsidenten Donald Trump verschärften sich laufende Debatten über die finanzielle und verteidigungs­politische Lastenteilung. Sicherheitspolitische Entwicklungen im Indo-Pazifik – vor allem Chinas machtpolitischer Aufstieg und Nordkoreas militärische Aufrüstung – haben zudem neue Fragen nach Zusammenarbeit und Koordination aufgeworfen.

Die Bündnisse haben sich angesichts dieser grundlegenden sicherheits­politischen Veränderungen als bemerkenswert stabil erwiesen. Ihre zu­neh­mende Fokussierung auf die Bedrohungen durch China und Nord­korea birgt indes Risiken für den allianzinternen Zusammenhalt. Denn obwohl Washington, Tokio und Seoul strategische Sichtweisen und Ziele gegenüber diesen beiden Ländern im Wesentlichen teilen, gibt es teils erhebliche Differenzen mit Blick auf die Prioritätensetzungen und die Wahl der Mittel.

Die trilaterale sicherheits- und verteidigungspolitische Zusammenarbeit der USA mit Japan und Südkorea wird vor allem durch das historisch be­lastete Verhältnis der beiden asiatischen Länder erschwert. Für Washing­ton gewinnen stattdessen plurilaterale Formate wie die »Quad« an Bedeutung, an der sich Südkorea jedoch nicht beteiligt.

Die Bündnisse genießen in den drei Hauptstädten eine breite innen­politische Unterstützung. Während der Präsidentschaft Trumps galt dies für beide Parteien im US-Kongress. Der neue US-Präsident Joseph Biden hat die Stärkung der sicherheitspolitischen Allianzen, auch in Asien, zu einem zentralen Ziel seiner Administration erklärt.

Die US-Bündnisse mit Japan und Südkorea

SWP - Mon, 10/05/2021 - 00:00

Die bilateralen Bündnisse der USA mit Japan und Südkorea bilden das Fundament der Sicherheitsarchitektur im Indo-Pazifik. Die Stärke dieser Bündnisbeziehungen ist damit von weitreichender Bedeutung für die Stabilität und Sicherheit der gesamten Region.

In den letzten Jahren standen beide Bündnisse vor großen Belastungs­proben. Unter dem ehemaligen US-Präsidenten Donald Trump verschärften sich laufende Debatten über die finanzielle und verteidigungs­politische Lastenteilung. Sicherheitspolitische Entwicklungen im Indo-Pazifik – vor allem Chinas machtpolitischer Aufstieg und Nordkoreas militärische Aufrüstung – haben zudem neue Fragen nach Zusammenarbeit und Koordination aufgeworfen.

Die Bündnisse haben sich angesichts dieser grundlegenden sicherheits­politischen Veränderungen als bemerkenswert stabil erwiesen. Ihre zu­neh­mende Fokussierung auf die Bedrohungen durch China und Nord­korea birgt indes Risiken für den allianzinternen Zusammenhalt. Denn obwohl Washington, Tokio und Seoul strategische Sichtweisen und Ziele gegenüber diesen beiden Ländern im Wesentlichen teilen, gibt es teils erhebliche Differenzen mit Blick auf die Prioritätensetzungen und die Wahl der Mittel.

Die trilaterale sicherheits- und verteidigungspolitische Zusammenarbeit der USA mit Japan und Südkorea wird vor allem durch das historisch be­lastete Verhältnis der beiden asiatischen Länder erschwert. Für Washing­ton gewinnen stattdessen plurilaterale Formate wie die »Quad« an Bedeutung, an der sich Südkorea jedoch nicht beteiligt.

Die Bündnisse genießen in den drei Hauptstädten eine breite innen­politische Unterstützung. Während der Präsidentschaft Trumps galt dies für beide Parteien im US-Kongress. Der neue US-Präsident Joseph Biden hat die Stärkung der sicherheitspolitischen Allianzen, auch in Asien, zu einem zentralen Ziel seiner Administration erklärt.

Dissecting aid fragmentation: development goals and levels of analysis

Aid fragmentation is widely denounced, though recent studies suggest potential benefits. To reconcile these mixed findings, we make a case for studying differences across aid sectors and levels of analysis. Our cross-national time-series analysis of data from 141 countries suggests aid fragmentation promotes child survival and improves governance. However, just looking across countries has the potential to blur important within-country differences. We analyse subnational variation in Sierra Leone and Nigeria and find that the presence of more donors is associated with worse health outcomes, but better governance outcomes. This suggests that having more donors within a locality can be beneficial when they are working to improve the systems through which policies are implemented, but harmful when they target policy outcomes directly. A survey of Nigerian civil servants highlights potential mechanisms. Fragmentation in health aid may undermine civil servants’ morale, whereas diversity in governance aid can promote meritocratic behaviour.

Dissecting aid fragmentation: development goals and levels of analysis

Aid fragmentation is widely denounced, though recent studies suggest potential benefits. To reconcile these mixed findings, we make a case for studying differences across aid sectors and levels of analysis. Our cross-national time-series analysis of data from 141 countries suggests aid fragmentation promotes child survival and improves governance. However, just looking across countries has the potential to blur important within-country differences. We analyse subnational variation in Sierra Leone and Nigeria and find that the presence of more donors is associated with worse health outcomes, but better governance outcomes. This suggests that having more donors within a locality can be beneficial when they are working to improve the systems through which policies are implemented, but harmful when they target policy outcomes directly. A survey of Nigerian civil servants highlights potential mechanisms. Fragmentation in health aid may undermine civil servants’ morale, whereas diversity in governance aid can promote meritocratic behaviour.

Dissecting aid fragmentation: development goals and levels of analysis

Aid fragmentation is widely denounced, though recent studies suggest potential benefits. To reconcile these mixed findings, we make a case for studying differences across aid sectors and levels of analysis. Our cross-national time-series analysis of data from 141 countries suggests aid fragmentation promotes child survival and improves governance. However, just looking across countries has the potential to blur important within-country differences. We analyse subnational variation in Sierra Leone and Nigeria and find that the presence of more donors is associated with worse health outcomes, but better governance outcomes. This suggests that having more donors within a locality can be beneficial when they are working to improve the systems through which policies are implemented, but harmful when they target policy outcomes directly. A survey of Nigerian civil servants highlights potential mechanisms. Fragmentation in health aid may undermine civil servants’ morale, whereas diversity in governance aid can promote meritocratic behaviour.

La nueva estrategia de la UE para Rusia: un equilibrio de debilidad

Real Instituto Elcano - Fri, 07/05/2021 - 13:33
Mira Milosevich-Juaristi. ARI 53/2021 - 7/7/2021

La nueva estrategia de la UE para Rusia será un equilibrio de debilidad.

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