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Afrique

Coopération : Le montant de l'aide publique au développement reçue par le Burkina s'établit à 1 232 milliards de FCFA en 2020

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:54

Le ministère en charge de l'économie a rendu public le rapport 2020 sur la coopération pour le développement (RCD), cet après-midi du jeudi 23 septembre 2021, à Ouagadougou, grâce au soutien financier du PNUD qui a contribué à son édition.

Le rapport sur la coopération pour le développement est un outil d'analyse et d'information sur les flux d'aide qui épouse l'esprit de la déclaration de Paris sur l'efficacité de l'aide publique au développement (APD). Il décrit l'évolution des flux financiers de l'aide extérieure reçue et analyse leur répartition par instrument et par type de financement, par secteurs de développement ainsi que par source de financement.

Ce jeudi 23 septembre 2021, le ministère en charge de l'économie a sacrifié à un devoir de redevabilité qui veut que le gouvernement rende compte des flux des ressources financières mobilisées sur la période 2019-2020 avec l'accompagnement des partenaires techniques et financiers (PTF). Ce devoir de redevabilité a été tenu en présence des PTF à l'occasion de la cérémonie officielle de publication de la 22e édition du rapport sur la coopération pour le développement (RCD).

La ministre Pauline Zouré a traduit sa reconnaissance l'ensemble des acteurs qui ont facilité l'élaboration de ce rapport

La ministre déléguée, chargée de l'aménagement du territoire et de la prospective, Pauline Zouré, a noté avec satisfaction une augmentation de l'APD qui s'établit à 1 232 milliards de F CFA, soit une hausse de 38,3% par rapport à 2019.

« Ce qui est intéressant cette année, c'est de montrer et dire que nous avons beaucoup plus reçu des dons parce que la constitution de l'APD pour 2020, c'est 65,5% de dons, contre moins de 30% de prêts. C'est un indicateur qui montre que la communauté internationale a vraiment un élan de solidarité envers notre peuple qui est confronté aux défis sécuritaire et à la crise de la pandémie de la maladie à coronavirus. Cela montre aussi qu'il y a une confiance renouvelée dans la tenue des finances publiques et dans la gouvernance financière de cette aide. Ce qui encourage donc l'ensemble des partenaires à continuer à nous soutenir sur les chantiers du développement », a signifié Mme Zouré.

Les PTF ont pris part à la cérémonie

Elle précise que l'APD en 2020 a été essentiellement absorbée par cinq secteurs de planification que sont : le secteur "travail, emploi et protection sociale", le secteur "santé" ; le secteur "environnement, eau et assainissement" ; le secteur "production agro-sylvo-pastorale" et le secteur "infrastructures de transport, de communication et d'habitat". Le volume global de l'aide absorbé par ces cinq secteurs est estimé à 1 129 millions de dollars, soit 52% de l'APD totale reçue en 2020.

Dans l'ensemble, les ressources décaissées au cours de la période ci-dessus citée ont servi largement à combler les besoins de financement du PNDES 2016-2020, a affirmé la ministre déléguée, chargée de l'aménagement du territoire et de la prospective. Après avoir salué la qualité et l'excellence des relations du Burkina avec ses partenaires, elle a saisi l'occasion de la présente cérémonie pour faire un clin d'œil aux PTF pour le PNDES II que le gouvernement est en train préparer afin d'aborder la conférence internationale des partenaires.

L'activité a refusé du monde

« Nous avons constaté une présence massive de nos partenaires à nos côtés pour la mise en œuvre du PNDES I. Nous espérons qu'il en sera de même pour le PNDES II pour lesquels nous avons positionné des axes stratégiques qui permettent d'inverser la tendance de la pauvreté pour pouvoir amorcer une période de résilience eu égard à toutes les difficultés que nous traversons », a-t-elle formulé.

Malgré des progrès tangibles aux plans technique et graphique, le rapport 2020 reste perfectible. C'est pourquoi Mme Zouré a dit que les services techniques du département en charge de l'économie sont disponibles pour recevoir les observations ou suggestions susceptibles d'améliorer la qualité des prochaines éditions.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net

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Burkina/Dori : Les mécanismes de prévention et de répression de la torture enseignés aux jeunes du Sahel

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:54

Le ministère de la Justice, des droits humains et la promotion civique organise du 20 au 25 septembre à Dori, des sessions de formation à l'endroit 150 participants de la région du Sahel. Le thème de la formation repartie en trois sessions porte sur les mécanismes de prévention et de répression de la torture et des disparitions forcées. La cérémonie d'ouverture, de cette série de formations financée par le PNUD, a été présidée par le gouverneur de la région du Sahel.

Au Burkina Faso, les jeunes défenseurs des droits humains sont souvent confrontés à des difficultés dans la mise en œuvre de leurs missions de défense des droits humains. Il s'agit notamment des atteintes à leurs droits en tant qu'humains ou une mauvaise compréhension de leurs actions sur le terrain par la population. Cela est dû à la non maitrise des textes nationaux et l'insuffisance de mécanismes de protection devant les instances judicaires.

Pour leur permettre de mieux s'approprier les textes et conventions, le ministère de la Justice des droits humains et de la promotion civique a réuni 150 participants, venus des quatre coins de la région du Sahel à Dori. Ils sont de jeunes défenseurs des droits humains, des membres des forces de défense et de sécurité et des agents médicaux. L'objectif est de leur permettre de se familiariser avec les outils fondamentaux des droits humains nationaux et les instruments internationaux.

L'activité a été organisée par le ministère en charge des droits humains, en partenariat avec le ministère de la Sécurité ainsi que d'autres partenaires civils que sont le MBDHP, l'AJDDH, L'ODJ, l'Association des femmes juristes, etc. La formation s'étend sur six jours. Les communications portent entre autres sur « les instruments de lutte contre la torture : la convention contre la torture et autres peines ou traitement cruels inhumains ou dégradants » ; « Le protocole d'Istanbul » ; « les mécanismes de prévention des actes de disparitions forcées »...

Isabelle Ouédraogo directrice générale par intérim de la défense des droits humains.

Les forces de défense et de sécurité et les agents médicaux constituent des acteurs de premier plan dans la protection et la répression des violations des droits humains, selon Isabelle Ouédraogo, conseiller en droits humains et directrice générale par intérim de la défense des droits humains. Ce qui explique leur implication aux différentes sessions qui vont du 20 au 25 septembre 2021.
Quant aux jeunes défenseurs des droits humains, Isabelle Ouédraogo estime qu'ils pourraient être des relais auprès de leurs communautés s'ils s'approprient certaines conventions et protocoles liées à la torture.

Le gouverneur de la région du Sahel, le colonel-major Salifo Kaboré, patron de la cérémonie, a remercié le système des nations unies qui, à travers le PNUD, a appuyé l'organisation de l'atelier au profit des jeunes. Il a expliqué que, face à une situation donnée, il y a un certain nombre de prescriptions nationales et internationales qu'il faut respecter. A l'en croire, la jeunesse est l'avenir d'un pays et cette formation est la bienvenue car elle va permettre à ces jeunes de mieux connaître les fondamentaux des droits humains, les conventions nationales et protocoles des droits humains et de faire en sorte que les droits humains soient pris en compte dans la région du Sahel.

Daoula Bagnon/Correspondant Dori

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Ouagadougou : Trois réseaux de malfaiteurs mis hors d'état de nuire

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:54

Ce sont au total sept (07) personnes, formant trois (03) réseaux différents, qui ont été mises aux arrêts par la Police Nationale. Ces groupes de présumés voleurs et trafiquants de stupéfiants, dont les membres ont un âge compris entre 16 et 29 ans, s'adonnaient à des activités illicites dans la ville de Ouagadougou et ses environs.

Le groupe des trafiquants étaient en collaboration avec des individus à partir de pays voisins, qui leur livraient « leurs marchandises » par l'intermédiaire de leurs acolytes appelés « passeurs ». Les produits sont ensuite distribués à des grossistes qui sont chargés de la vente.

Les deux (02) autres groupes, spécialisés dans les vols et cambriolages, évoluaient en binômes, identifiaient leurs cibles qu'ils filaient, et une fois arrivés dans une zone propice, les dépouillaient de tout objet de valeur trouvé en leur possession. Les produits de vol sont soit écoulés sur le marché, soit placés dans leurs propres boutiques de vente de pièces détachées.

Les investigations de la Brigade de Recherches du Commissariat Central de Police de la Ville de Ouagadougou ont permis de saisir une arme à feu, des munitions, vingt-cinq (25) kilogrammes de stupéfiants, une vingtaine de motos de diverses marques, des téléphones portables, des numéraires et divers autres objets.

La Police Nationale remercie, encore une fois de plus, la population pour sa collaboration qui a permis l'atteinte de ces résultats. Par ailleurs, elle l'invite à toujours signaler tout cas suspect aux numéros verts mis à sa disposition : les 17, 16 et 1010.

La Police Nationale, une force publique au service des citoyens !

Source : Police nationale

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Energies renouvelables au Burkina : Au-delà des intentions, la société civile invite à plus d'actions

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:53

Ouagadougou abrite les 23 et 24 septembre 2021, le forum national des organisations de la société civile sur les énergies renouvelables. Il s'agit d'une initiative du Centre d'études et d'expérimentations économiques et sociales de l'Afrique de l'Ouest - Association internationale (CESAO-AI), en collaboration avec la Coalition nationale des OSC pour la promotion des énergies renouvelables et l'accès à l'énergie durable au Burkina Faso (CNPDER/BF). La cérémonie d'ouverture a connu la présence du directeur de cabinet du ministre en charge de l'énergie, Idrissa Konditamdé.

Trente pour cent de la population d'Afrique sub-saharienne ont accès à l'électricité, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables. Et selon une étude de la Banque mondiale réalisée en 2017, plus de la moitié des 54 pays du continent africain a un taux d'électrification de moins de 20%. Dans l'espace CEDEAO, seulement 54 % de la demande en énergie est couverte alors que l'Afrique de l'ouest dispose d'un important ensoleillement qui varie entre cinq et sept kilowattheures par mètre carré et par jour.

Pour le directeur du Centre écologique Albert Schweitzer (CEAS), Henri Ilboudo, l'accès à l'énergie reste donc un grand défi surtout pour les populations en milieu rural malgré les différentes initiatives mises en œuvre par les Etats. « Il faut faire en sorte que ces énergies en faveur des énergies renouvelables quittent le domaine des intentions pour être une réalité », a-t-il déclaré à la cérémonie d'ouverture au forum national des organisations de la société civile sur les énergies renouvelables.

Une vue des participants

Une dynamique régionale

Ce forum qui se tient les 23 et 24 septembre est organisé par le Centre d'études et d'expérimentations économiques et sociales de l'Afrique de l'Ouest - Association internationale (CESAO-AI) en collaboration avec la Coalition nationale des OSC pour la promotion des énergies renouvelables et l'accès à l'énergie durable au Burkina Faso (CNPDER/BF).

Selon le coordinateur régional de CESAO-AI, Dramane Coulibaly, ce forum intervient dans une dynamique régionale pour ce qui est de l'action de CESAO car il est le deuxième après celui du Bénin et précède les foras du Mali, du Niger et du Sénégal.

Idrissa Konditamdé, directeur de cabinet du ministre de l'Energie, Bachir Ismaël Ouédraogo

Un plan d'actions de plaidoyer en vue

Au cours de la rencontre, les participants discuteront des résultats et l'analyse de l'état de mise en œuvre des initiatives africaines sur les énergies renouvelables au Burkina. Ce sera également l'occasion pour eux d'élaborer un plan d'actions de plaidoyer en faveur des énergies renouvelables. Selon le président du CNPDER/BF, Charles Didace Konseibo, les OSC veulent jouer un rôle de contrôle sur la mise en œuvre des initiatives dans lesquelles le pays s'est engagé aussi bien au plan national, sous régional et international pour permettre un accès durable des populations aux énergies renouvelables.

La société civile de plus en plus écoutée

Selon lui, les OSC n'étaient pas suffisamment écoutées mais depuis la mise en place de la coalition, la société civile est impliquée au fur et à mesure au niveau du ministère de l'Energie dans toutes les actions en rapport avec les énergies renouvelables. « Nous estimons que nous sommes légitimement la courroie de transmission entre les populations à la base et les gouvernants.

Dramane Coulibaly, coordinateur régional de CESAO-AI

Objectif de 30% en 2025

« Au Burkina Faso, le taux d'électrification national était de l'ordre de 45 % en 2020. La part des énergies renouvelables dans la production nationale d'électricité, elle est évaluée à 17 % toujours en 2020 », a déclaré le directeur de cabinet du ministre en charge de l'énergie, Idrissa Konditamdé. Tout en saluant le dynamisme des OSC dans le secteur des énergies renouvelables, il a rappelé l'ambition du gouvernement qui est de porter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à 30% d'ici 2025.

Charles Didace Konseibo, président du CNPDER-BF

Rappelons que le forum entre dans le cadre du projet sur la « Participation de la société civile des pays francophones d'Afrique de l'Ouest au pilotage des initiatives africaines sur les énergies renouvelables en Afrique » (PaSCOP/ARI). Mis en place par le CESAO-AI et ses partenaires tels que MISEREOR, Power Shift Africa et Germanwatch, ce projet intervient au Bénin, au Burkina Faso, au Mali, au Niger et au Sénégal.

A l'issue de la cérémonie d'ouverture, les forumistes ont posé pour la postérité

Selon Safiatou Nana du CESAO-AI, ce projet vise à contribuer à la sécurité énergétique en Afrique en mettant l'accent sur une énergie abordable, fiable, durable et moderne à travers les opportunités promues par l'initiative de l'Afrique sur les énergies renouvelables. D'ici 2022, il ambitionne construire un réseau solide, bien informé et crédible d'ONG et d'acteurs non-gouvernementaux dans les cinq pays.

HFB
Lefaso.net

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Modernisation de l'état civil au Burkina : Les acteurs réfléchissent sur la mise en œuvre

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:53

Le ministère de l'Administration territoriale et de la décentralisation (MATD) a organisé ce jeudi 23 septembre 2021 à Ouagadougou, un atelier de validation et de restitution des résultats d'une étude sur l'enregistrement des naissances. Organisée en tandem avec la Direction générale de la modernisation et de l'état civil (DGMEC), l'initiative entre dans le cadre du "Programme d'appui à la modernisation de l'état civil au Burkina Faso" (PAMEC).

L'étude sur la modernisation du système de l'état civil a été initiée en 2018 par le gouvernement burkinabè à travers la Direction générale de la modernisation et de l'état civil (DGMEC). En termes de résultats depuis son élaboration en 2018, les indicateurs donnent une amélioration dans l'enregistrement des enfants.

Au niveau national, peut-on lire dans le rapport de l'étude, de 2018-2019, le taux d'enregistrement des naissances, des enfants de zéro à onze mois, on note respectivement 56,0% et 56,5%. A cela s'ajoute d'autres indicateurs qui traduisent aussi une évolution de la situation. De ce fait, le taux d'enregistrement des naissances dans le délai légal a augmenté de 0,7 points, en passant de 53,7% en 2018 à 54,4% en 2019.

« Ne pas posséder un acte de naissance constitue une grave privation pour l'enfant », a indiqué le directeur général du DGMEC, Maxime Bouda.

Au regard de ces chiffres, il y avait la nécessité de réfléchir sur les voies et moyens pour rendre plus efficace le système d'enregistrement, selon le directeur général de la modernisation et de l'état civil, Maxime Bouda. L'objectif de cet atelier est « d'améliorer la performance du système de l'état civil au Burkina Faso en offrant à chaque enfant né sur le territoire national, un acte de naissance » a-t-il expliqué.

Pour le directeur général de la modernisation de l'état-civil, l'enregistrement des faits d'état-civil, en l'occurrence l'enregistrement des naissances des enfants, est une « préoccupation majeure pour les autorités ». Il ajoute que tout enfant né au Burkina doit disposer d'un acte de naissance parce que c'est un droit. C'est pourquoi dit-il, nous saluons l'engagement des acteurs et des partenaires dans l'aboutissement de cette étude qui est à mi-parcours.

La représentante de l'UNICEF, Raoelison Arisoa, salue l'initiative

Depuis 2018, l'Union européenne (UE) et le Fonds des nations unies pour l'enfance (UNICEF) accompagnent financièrement cette étude du MATD. La représentante de l'UNICEF, Raoelison Arisoa, a encouragé le MATD pour son engagement dans la mise en œuvre de ce programme. Elle a exprimé la disponibilité de son institution à appuyer l'initiative.

Le programme s'étend dans toutes les 13 régions

Cette étude, pilotée par l'Institut supérieur des sciences de la population (ISSP), concerne toutes les treize régions du Burkina selon le coordonnateur national de l'étude Dr Moussa Bougma. Mais à entendre le coordonnateur, la prise en compte de toutes ces contrées n'a pas été effective. Et ce, dit-il, à cause de l'insécurité, du problème de dotation de matériel mais aussi d'une insuffisance de ressources humaines qualifiées. Cet atelier d'évaluation à mi-parcours du programme, pense-t-il, va être une occasion pour identifier les préoccupations afin d'aplanir les différentes difficultés. « Pour faire ce travail d'enregistrement, il faut des équipements, des personnes qualifiées, l'implication des communautés », a-t-il souligné.

Le coordinateur de l'étude, Moussa Bougma, se dit satisfait du bilan à mi-parcours

Le déroulement du PAMEC, a-t-il ajouté, s'étend jusqu'en 2022. Il s'est déroulé en quatre phases. Il s'agit, entre autres, de la collecte les données en rapport avec les indicateurs, de l'évaluation de ces données, du renseignement des indicateurs et de l'analyse de la situation au démarrage du programme et celle à mi-parcours dans le but de formuler des recommandations.

Serge Ika Ki (stagiaire)
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Football : Le Faso-foot devient la "Ligue 1 LONAB"

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:53

La Fédération burkinabè de football (FBF) a procédé, le jeudi 23 septembre 2021, à la présentation de la nouvelle dénomination du championnat national de football et de son logo.

C'est l'une des décisions majeures de Lazare Banssé depuis son élection à la tête de la Fédération burkinabè de football en août 2020.

En effet, il a décidé de changer l'appellation du championnat national de football et de lui donner un logo. Pour ce faire, il a convié le public sportif, le jeudi 23 septembre, pour la présentation de la nouvelle identité du championnat.

Le premier changement porte sur l'appellation du championnat qui passe de Faso-foot à Ligue 1 LONAB. « Nous avons retenu pour faire simple parce que ce nom est déjà utilisé dans d'autres pays », a expliqué Lassina Sawadogo, président du comité de présentation du nouveau logo.

Le Secrétaire général du ministère des Sports et loisirs, Herman Yabré (milieu) a représenté le ministre Dominique Nana à la cérémonie

Un logo pour le championnat

Le comité exécutif dirigé par Lazare Banssé a décidé de confectionner une identité visuelle au désormais ex-Faso-foot. Il s'agit du buste d'un cheval surmonté d'une crête. « Le Comité exécutif a voulu le logo simple et ancré dans nos traditions culturelles », a indiqué Lassina Sawadogo.

Des acteurs du football burkinabè ont été témoins de la présentation du nouveau logo du championnat national

Le buste, selon le président du comité d'organisation de la présentation du logo, symbolise la force du cheval. Ce qui exprime les fortes aspirations du comité exécutif de faire du football burkinabè un football solide. Le buste est orienté vers la droite. Ce qui signifie, selon les concepteurs du logo, l'avenir, les perspectives de notre football. D'autres éléments très visibles du logo sont le ballon et la mention LONAB qui est le sponsor officiel du championnat.

Iron Biby, nouveau recordman mondial de Log Lift, a tenu à saluer l'initiative du comité exécutif de la FBF

Selon Lazare Banssé, ces innovations répondent au souci d'offrir quelque chose de qualité aux Burkinabè. « En procédant ce jour, jeudi 23 septembre 2021, date que je mentionne à dessein afin qu'elle compte, à la présentation du visuel du championnat national et à la divulgation de sa nouvelle dénomination « ligue 1 LONAB », la FBF entend matérialiser une vision du futur qui veuille que les produits qu'elle offre soient de toute première qualité », a relevé le président de la Fédération burkinabè de football.

Un des principaux axes du programme de Lazare Banssé, le projet d'adoption de ce label, vise à diversifier les sources de revenus de la fédération et le renforcement de ses fonds propres.

Yannick Laurent Bayala (costume bleu), journaliste sportif à la retraite et auteur du terme Faso-foot, a été honoré pour ses efforts de promotion du sport burkinabè.

Pour cela, l'équipe de Lazare Banssé a pu convaincre la LONAB d'associer son image au championnat. « Je me dois aussi de dire, qu'en choisissant la FBF et le championnat national, notre société entend conforter son engagement et sa pleine implication dans la mise en œuvre des politiques en matière de sport et de loisirs », a avancé Léandre Sedego, représentant le directeur général de la LONAB.

En rappel, la Ligue 1 LONAB débute ce samedi 25 septembre 2021 avec le choc ASFA vs ASFB au Stade municipal Issoufou Joseph Conombo à partir de 15h30.

Jacques Théodore Balima
Lefaso.net

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L'engagement envers le service client se traduit par des gains financiers – Directeur Général du Groupe UBA

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:30

Le directeur général du groupe, United Bank for Africa (UBA) Plc, Kennedy Uzoka, a annoncé que la banque a enregistré une amélioration significative de ses performances opérationnelles et financières en raison de son engagement sans faille à fournir des produits et services visant à répondre aux demandes de ses clients.

Uzoka a fait cette déclaration lors de la conférence en ligne des investisseurs/analystes, au siège de la banque à Lagos, au Nigeria, tenue le jeudi 16 septembre 2021, à la suite de la publication de ses résultats pour le semestre clos le 30 juin 2021.

UBA a enregistré une augmentation de 33,4% de son profit avant impôts qui a atteint 76,2 milliards de nairas en juin 2021, contre 57,1 milliards de nairas enregistrés au cours de la même période de 2020, se traduisant par un rendement annualisé des capitaux propres moyens de 17,5% contre 14,4% l'année précédente. Le profit après impôts qui a atteint 60,6 milliards de nairas, montre une augmentation significative de 36,3% par rapport aux 44,4 milliards de nairas enregistrés en 2020, tandis que les bénéfices bruts sont passés de 300,6 milliards de nairas à 316 milliards de nairas en juin 2020 ; soit une croissance de 5,1%.

Cet exploit a été enregistré malgré l'environnement commercial et économique difficile en raison de la lenteur des activités suite au confinement général à dans plusieurs pays à cause de la pandémie de la Covid-19.

Le DG du Groupe a exprimé son optimisme quant au fait que la banque est sur la bonne voie pour atteindre et même dépasser ses objectifs pour l'exercice, ajoutant que son souci de satisfaire ses clients reste au cœur de toutes ses activités.

« Nous sommes très engagés à atteindre une croissance prudente et responsable de nos emplois, de la qualité de notre bilan et de la santé globale de la banque. Nous continuerons d'équilibrer notre appétit de croissance avec la nécessité de maintenir un très bon portefeuille sain de nos actifs. Notre philosophie axée sur le client reste le socle de notre stratégie. Nous voulons assurer une expérience client positive pour tous nos clients. De plus, nous souhaitons offrir nos services bancaires qui prennent principalement en compte les attentes de nos clients. Et en effet, comme nous le disons, à UBA, nos clients sont nos employeurs ultimes », a expliqué Uzoka.

Tout en exprimant son optimisme quant au fait que l'économie nigériane et l'économie globale continueront de redresser et de rebondir après l'impact négatif de la pandémie de la Covid-19 au cours du dernier trimestre de 2021 et jusqu'en 2022, M. Uzoka a assuré aux investisseurs et aux participants du programme, l'engagement de la banque à maintenir le professionnalisme et à continuer d'assurer le strict respect des règles et règlements régissant nos opérations dans toutes les filiales. « Avec l'engagement infaillible de tous nos excellents et merveilleux employés, du conseil d'administration et de la direction, nous continuerons à maintenir le cap en vue de la réalisation des objectifs de notre entreprise », a-t-il noté.

Le directeur financier de UBA, Ugo Nwaghodoh, qui a évoqué pour sa part la diversification géographique de la banque dans les économies clés en Afrique et au-delà, a noté que UBA a enregistré une croissance impressionnante des revenus d'intérêts et des revenus nets, avec une croissance constante du financement et des dépôts des clients.

Il a aussi souligné que même si l'environnement opérationnel reste largement incertain et volatil, malgré une amélioration marquée du stress macroéconomique causé par la Covid-19, UBA continuera à renforcer sa résilience grâce à son modèle d'entreprise géographiquement diversifié pour soutenir la croissance des bénéfices bruts du Groupe.

“Nous restons fidèles à nos objectifs de 18 % et de 15 % respectivement pour nos filiales en Afrique et la croissance des dépôts pour l'exercice 2021, car nous continuons à investir dans des opportunités de croissance dans toutes les régions où nous sommes présents, tout en gérant prudemment le capital et le bilan,” a-t-il mentionné.

United Bank for Africa Plc est une institution financière panafricaine de premier plan, offrant des services bancaires à plus de vingt-cinq millions de clients, dans plus de 1 000 agences, dans 20 pays africains. Présente aux États-Unis, au Royaume-Uni et en France, UBA connecte les personnes et les entreprises à travers l'Afrique par le biais de services bancaires de détail, commerciaux et d'entreprise, de paiements et de transferts de fonds transfrontaliers innovants, de financement du commerce et de services bancaires auxiliaires.

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Burkina Faso : Vers l'élaboration d'une stratégie nationale de développement de l'agroécologie

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:30

Élaborer une stratégie nationale de développement de l'agroécologie au Burkina Faso en vue d'en sortir un plan d'action pour sa mise en œuvre, c'est tout le sens de l'atelier de « validation du rapport de l'analyse diagnostique de la situation agroécologique du Burkina » qui s'est ouvert le jeudi 23 septembre 2021 à Ouagadougou.

Le Burkina Faso a décidé de se doter d'une stratégie nationale de développement de l'agroécologie dans le but d'atteindre une autosuffisance alimentaire, fournir aux populations une alimentation de qualité et assurer une production agricole durable et respectueuse de l'environnement.

« L'agroécologie propose des systèmes de production alternatifs qui s'inspirent du fonctionnement des écosystèmes pour préserver la biodiversité et optimiser les relations entre agriculture, élevage, foresterie et environnement », a souligné le secrétaire général du ministère en charge de l'agriculture, Yassia Kindo, à l'ouverture des travaux de l'atelier.

Yassia Kindo, secrétaire général du ministère de l'Agriculture

Pour lui, la transition agroécologique est un processus complexe de longue haleine. Il estime que c'est seulement en conjuguant les efforts et les ressources et en intégrant cette approche dans les systèmes de productions que le défi de la sécurité alimentaire pourra être relevé. « De nos jours, l'agroécologie est reconnue comme un levier qu'il il faut désormais actionner pour rendre l'agriculture plus durable », a-t-il ajouté.

Avant de clore ses propos, Yassia Kindo, a encouragé les différents participants aux travaux à examiner les propositions faites par les consultants.

Cet atelier a été initié par le ministère de l'Agriculture, des aménagements hydro-agricoles et de la mécanisation (MAAHM) à travers le projet d'agriculture contractuelle et transition écologique (PACTE).

Ses objectifs spécifiques sont de restituer l'étude diagnostique de la situation de l'agroécologie au Burkina Faso, d'examiner et de valider la vision de cette forme culturale telle qu'elle est définie par les consultants. Un autre objectif spécifique est d'examiner et d'entériner les axes stratégiques proposés par les consultants.

Le consultant Issa Martin Bikienga a, au cours de cet atelier, présenté le rapport de l'analyse diagnostique de la situation de l'agroécologie au Burkina Faso aux différents acteurs présents, pour une définition et une vision claire de la stratégie à mettre en place.

Le consultant Issa Martin Bikienga, l'un des auteurs du rapport de l'analyse diagnostique de la situation de l'agroécologie au Burkina Faso

« La sécurité alimentaire des ménages ruraux est toujours précaire au Burkina Faso. Le pays est globalement déficitaire une année sur quatre. La situation s'est aggravée ces dernières années avec la crise sécuritaire au nord et à l'est du pays, engendrant plus d'un million de déplacés internes », a-t-il fait savoir dans son introduction.

Il ressort du rapport que les atouts issus de la mise en œuvre de modes de production agroécologique sont multiples. Ce sont, entre autres, la gestion économe et efficiente des ressources naturelles renouvelables et non renouvelables, le soutien à l'agriculture familiale et la promotion de l'agriculture paysanne, la gestion durable de la fertilité des sols, la réhabilitation des terres perdues ou dégradées, l'accroissement de la production agro-sylvo-pastorale etc.

David Tiemtoré, chargé de projet du PACTE

Le rapport énumère aussi des facteurs défavorables à l'adoption des pratiques agroécologiques comme la faible mécanisation, les difficultés d'accès des femmes et des jeunes à la terre ainsi qu'aux financements…

Ce qui implique une stratégie qui soit à même de répondre efficacement à l'ensemble des besoins indispensables pour une agroécologie opérationnelle au Burkina Faso.

« L'élaboration de la stratégie nationale de développement de l'agroécologie est un des résultats attendus de la mise en œuvre du projet d'agriculture contractuelle et transition écologique. Nous sommes donc ici avec les consultants pour restituer auprès des acteurs, les principales conclusions du diagnostic mais aussi proposer la vision et les différents axes sur lesquels la stratégie va être bâtie », a indiqué David Tiemtoré, chargé du projet PACTE.

Ce sont 36 projets impliquant plus de cent organisations paysannes et plusieurs milliers de producteurs qui font la promotion des techniques agroécologiques, sélectionnés et financés par le PACTE, selon Lucien Rossignol, chef de mission du PACTE.

Lucien Rossignol, Chef de mission du PACTE

Financé par l'Agence française de développement (AFD) et piloté par le ministère en charge de l'agriculture, le PACTE cible les agriculteurs vulnérables au Burkina Faso. Son action vise à accompagner les agriculteurs vers une agriculture vivrière plus contractuelle à l'image de celle du coton.

La logique d'intervention du projet est basée sur une approche contractuelle intégrant plusieurs acteurs des filières que sont les coopératives de producteurs agricoles, les acheteurs publics, les transformateurs agro-industriels, les institutions financières et les opérateurs du développement.

Le PACTE a pour but de satisfaire la demande alimentaire par le développement de l'agriculture contractuelle, l'intensification agroécologique et la professionnalisation des acteurs avec un budget de plus de 18 milliards de francs CFA.

Hamed NANEMA
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Sud-Kivu : UNMAS sensibilise les déplacés internes de Kahololo sur le danger des mines anti-personnel

Radio Okapi / RD Congo - Fri, 24/09/2021 - 12:15


Le service de lutte anti-mines des Nations unies (UNMAS) a sensibilisé, jeudi 23 septembre, les déplacés internes de Kahololo, dans les hauts plateaux du territoire d’Uvira, au Sud-Kivu. Cette sensibilisation a porté sur le risque lié au reste explosif de guerre. 

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L'ONG WEP-Burkina en atelier de consultation sur la prise en compte du genre

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:00

L'ONG WEP-Burkina a organisé un atelier de consultation régionale sur la prise en compte du genre dans les objectifs du développement durable (ODD). Cette activité a été placée sous le patronage de Justin Somé, gouverneur de la région du Nord. C'était le mardi 21 septembres 2021 à Ouahigouya.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet Women 2030, l'ONG WEP Burkina, a entrepris une randonnée dans les régions du Burkina Faso, pour des échanges avec les organisations de la société civile et des femmes pour susciter leur participation active à l'action publique et le suivi de la mise en œuvre des ODD à travers des plans locaux de développement.

Après la Boucle du Mouhoun et le Centre-ouest, l'ONG était dans la région du Nord pour poursuivre les mêmes objectifs. C'est dans l'optique de contribuer aux efforts consentis par le gouvernement à travers le suivi de la mise en œuvre des ODD et des autres politiques nationales, que l'ONG WEP-Burkina a organisé la présente consultation régionale.

Des participantes outillées pour le suivi de la mise en œuvre des ODD et des autres politiques nationales

Au cours de la cérémonie d'ouverture des travaux de l'atelier, la coordonnatrice nationale de l'ONG, Zénabou Sègda, a indiqué que sa structure travaille à faire du Burkina Faso un pays émergent, sans inégalités. Elle a fait remarquer que, très souvent, il n'y a que des hommes qui sont au niveau des instances d'où l'exclusion des femmes dans les prises de décisions. « C'est pour cela que nous sommes là, pour partager notre expérience afin de voir dans quelle mesure nous pourrions travailler à ce que cessent ces inégalités », a soutenu, Madame Segda.

Zénabou Sègda coordinatrice nationale ONG WEP BURKINA

Pour le gouverneur de la région, Justin Somé, « La prise en compte de l'approche genre et l'attention particulière accordée aux femmes sont des conditions indispensables à l'atteinte des objectifs du développement durable ». Saluant l'initiative de l'ONG WEP Burkina et de son groupe de plaidoyer pour un monde meilleur, l'autorité régionale a laissé entendre que la région du Nord apprécie l'intérêt pour l'atteinte des ODD et ne ménagera aucun effort pour faciliter les interventions et les actions de l'ONG dont l'objectif final est de renforcer les capacités de la société civile, des femmes et autres associations sur le suivi de la mise en œuvre des ODD au Burkina Faso.

Justin Somé, gouverneur de la région du Nord

Au cours de la formation, la quarantaine de participants issus des organisations féminines, des représentants des collectivités territoriales, de structures et organisations partenaires, et de groupements et coopératives agricoles/maraîchères a échangé sur plusieurs thématiques.

Il a été question pour l'ONG, de présenter son agenda 2030, les ODD, ainsi que leurs lien avec le plan national de développement économique et social (PNDES), d'établir une situation de base de la mise en œuvre des ODD assortie de recommandations. Les participants ont été outillés afin de pouvoir intégrer dans leurs activités la question du genre, l'analyse des politiques ainsi que le plaidoyer, le coaching et l'éveil des consciences.

Photo de famille avec l'autorité régionale Justin Somé

A la faveur de cette activité, des groupements et coopératives agricoles/maraîchères ont bénéficié d'un renforcement de capacités en techniques de production en agroforesterie, en utilisation de la fumure organique et pesticides naturels ainsi que sur les techniques de lutte anti érosive.

Yann NIKIEMA
Lefaso.net

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COVID-19 au Burkina : Un décès, neuf guérisons et 24 nouveaux cas, à la date du 22 septembre 2021

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 12:00

514 échantillons ont été analysés à cette date. Les 24 nouveaux cas confirmés sont répartis entre Ouagadougou avec seize malades, deux à Kaya, cinq à Boromo et un à Bobo-Dioulasso.

Le nombre de décès passe à 179 et le nombre de guérisons à 13 787.

Avec ce décès et ces neuf guérisons à la date du 22 septembre 2021, le nombre de cas actifs est, lui, de 150.

Lefaso.net

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Avis de recrutement de cuisinier

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 10:30

Un restaurant situé à Ouagadougou, à la cité des 1200 logements et en plein essor, cherche à renforcer son équipe.
Profil recherché : Cuisinier (e) spécialisé (e) en cuisine européenne et en pâtisserie avec un âge compris entre 20 et 45 ans.

Les dossiers de candidatures composés du CV et d'une lettre de motivation contenant la prétention salariale doivent être envoyés à l'adresse mail suivant : onmartin06@gmail.com avec copie à meetrys@gmail.com
Procédure de recrutement : sélection sur dossier, entretien avec un jury et un test pratique.

Date limite de dépôt des dossiers : le 1er octobre 2021 à 17h 00
Plus de renseignements : 00226 60 79 26 28
NB : Le CV doit contenir les noms et les adresses de deux personnes de référence.

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ODI cherche à contracter les services d'une entreprise pour réaliser une enquête qualitative et quantitative

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 09:00

ODI cherche à contracter les services d'une entreprise pour réaliser une enquête qualitative et quantitative au Burkina Faso. Les entreprises intéressées sont priées de contacter a.nunezlopez@odi.org.uk pour le document de demande de propositions. La date limite de soumission des offres est le 27 septembre 2021.

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La Tempête des Tropiques : « Un curieux détournement attribué au ministère des Sports ! »

Radio Okapi / RD Congo - Fri, 24/09/2021 - 08:34


Revue de presse du vendredi 24 septembre 2021


Les allégations de détournement des fonds au ministère des Sports et l’évolution de l’état de siège intéressent les journaux parus vendredi 24 septembre à Kinshasa.

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Décès de SAWADOGO Tembila Jean Baptiste : Remerciements et Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 08:30

Le YIPELNAABA de Barkuitenga ;
Le KOOSNAABA de Ziniaré à Barkuitenga ;

Les grandes familles SAWADOGO, NASSA, COMPAORE, ZEMDE, BAYI, KAFANDO, CONSEIBO, à Barkuitenga, Guilongou, Ziniaré, Kuila, Kolguinguiecé, Tanghin Gombgo, Ouagadougou et Grenoble (France) ;

Les grandes familles OUEDRAOGO et BELEMVIRE à Basnéré, Kaya, Ouagadougou ;
Les familles alliées : OUEDRAOGO, SAWADOGO, COMPAORE, SANFO, KABORE, KABRE, KY, KIENTEGA, TRAORE, ZABSONRE, ZOMODO, SIMPORE, ILBOUDO à Bissiga, Yako, Poa, Zagtouli, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Tougouri, Absouya, Kadtenga, Pousg-Ziga, Dem, Tenkodogo, Koudougou, Kaya ;
Monsieur SAWADOGO Maurice, Fondateur du Groupe Scolaire Bao yam à Ouagadougou et sa famille ;

Monsieur NASSA Etienne, ses frères et sœurs à Ouagadougou ;
Monsieur COMPAORE Basile, ses frères et sœurs à Ouagadougou ;
La veuve COMPAORE/SAWADOGO Rose Clarisse à Ziniaré ;
La veuve COMPAORE/SAWADOGO Antoinette à Ouagadougou ;
Monsieur SAWADOGO Dieudonné et épouse à Ziniaré ;
Madame OUEDRAOGO/SAWADOGO Suzanne et époux à Ziniaré ;
Madame BELEMVIRE/OUEDRAOGO Mariam et époux à Kaya
Les enfants : Agathe, Roland, Sylvie, Laetitia, Viviane et Serge ;
Les petits enfants, les cousins, les neveux, les nièces

Très touchés par les marques de solidarité, de sympathie, d'amitié et de réconfort, vous réitèrent leurs sincères remerciements et leur reconnaissance pour les soutiens multiples et multiformes que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu le samedi 24 avril 2021 et de l'inhumation le mardi 27 avril 2021 de leur frère, époux, père, grand père, oncle, beau-père,

Monsieur SAWADOGO Tembila Jean Baptiste
Inspecteur de l'Enseignement du Premier Degré à la retraite,
Ancien Président du Conseil Régional du Plateau Central

Leurs remerciements vont à l'endroit de :
Madame OUEDRAOGO/COMPAORE Antoinette à Ziniaré ;
Monsieur Eddie KOMBOIGO, Président du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) ;

Monsieur COMPAORE Jérôme, Conseiller Spécial du Premier Ministre ;
Aux honorables députés de la province de l'Oubritenga ;
Aux députés BA Saidou et TAPSOBA Alexandre ;
Monsieur OUEDRAOGO Blaise Corneille, ancien Gouverneur ;
Monsieur ZABRAMBA Joachim, ancien Président du Conseil Régional du Plateau central

Monsieur ILBOUDO Dieudonné à Ziniaré ;
Madame SOME Berthe à Ziniaré ;
Madame KABORE L Rosine à Ouagadougou ;
Monsieur ILBOUDO Léonce de la Clinique ILBOUDO à Ouagadougou et son personnel ;
Madame ZOUNGRANA/SAWADOGO Joséphine, ses frères et sœurs à Ouagadougou ;

Aux autorités politiques, administratives, coutumières et religieuses de la ville de Ziniaré, particulièrement à ;
Madame le Gouverneur de la Région du Plateau Central et son personnel ;
Monsieur le Président du Conseil Régional de la Région du Plateau Central et son personnel ;

Monsieur le Haut-Commissaire de la Province de l'Oubritenga et son personnel ;
Monsieur le Préfet du département de Ziniaré et son personnel ;
Monsieur le Maire de la Commune de Ziniaré et son conseil municipal ;
Messieurs les Maires d'Absouya, de Zitenga, de Ourgou Manega, de Dapelgo, de Nagreongo et leurs conseils municipaux ;

Monsieur le Médecin chef du District sanitaire de Ziniaré et son personnel ;
Monsieur le Curé de la Paroisse Saint Paul de Guilongou et son équipe pastorale ;
La Communauté Chrétienne de Base (CCB Saint Augustin) du secteur N°1 de Ziniaré ;

Madame le Commissaire de Police du Commissariat de l'Arrondissement de Nongremassom et son personnel ;
Madame le Commissaire de Police du Commissariat de l'Arrondissement de Baskuy et son personnel ;

La police municipale de la ville de Ziniaré ;
Au Secrétaire général de la section provinciale du CDP ;
Aux différentes délégations ;
A la population de Ziniaré ;

Aux parents, amis, collègues et connaissances.
Ils s'excusent auprès de tous ceux dont les noms n'ont pu être cités.
Que le Dieu de miséricorde vous rende au centuple vos bienfaits.

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Décès de NASSA/ZIDA Alphonsine : Faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 24/09/2021 - 08:00

- Les grandes familles NASSA, ZONG0, à Nassoulou, Ouagadougou, Montréal Le Tansoaba de Yako,

Les grandes familles ZIDA, MINOUNGOU à Yako, Yalgbrado, Tenkodogo ZIDA François à Ouagadougou

NASSA Pierre, pasteur à Tambmissé ZIDA Charles à Ouagadougou,

NASSA Sylvain

La grande famille ZIDA à Tansobongo et à Yalgbrado
NASSA Philippe
Mme NASSA Pauline à Goundi
Monsieur NASSA Eliezer, étudiant à Montréal,
NASSA Christnonga Salomée

Pasteur NASSA Daniel à la SONABEL
Ont la profonde douleur de vous informer du décès de leur épouse, mère, sœur, et tante NASSA/ZIDA Alphonsine, Gestionnaire comptable à la SONABEL.

Décès survenu le 22 Septembre 2021 au Centre Médical International de Ouagadougou des suites de courte maladie

Programme des obsèques :

Samedi 25 septembre 2021 :

19h à 21h, veillée au domicile familial, sis à Ouaga 2000

Dimanche 26 septembre 2021 :

14h levée de corps à la morgue de CHU de Bogodogo, suivie de l'enterrement au Cimetière Municipal de Gounghin

(Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux car leurs œuvres les suivent). Apocalypse 14 :13

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