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Agrégateur de flux

Voies sur berges: "A Paris, le trafic automobile a diminué de 28% depuis 2001"

L`Express / Politique - dim, 25/09/2016 - 16:35
Ce lundi, le conseil de Paris vote la fermeture à la circulation des voies sur berge de la rive droite de la Seine. Enseignant à l'université Lille 1, Frédéric Héran, spécialiste des questions de mobilité, explique pourquoi il est favorable à ce projet.
Catégories: France

Espagne 2016, seconde patrie de Buridan

IRIS - dim, 25/09/2016 - 16:26

On connaît le drame absurde vécu par l’âne de Buridan. Affamé et assoiffé, il meurt de faim et de soif, incapable de choisir entre bol d’eau et seau de céréales. Buridan n’est peut-être pas l’inventeur de cette histoire. Il aurait pu l’être. Comme il pourrait être aujourd’hui le chroniqueur incontesté du feuilleton électoral ouvert en Espagne en décembre 2015, et toujours en septembre 2016 bobiné sur un logiciel débranché.

Incapables de faire des choix, des alliances parlementaires, les partis politiques espagnols s’enferment dans un autisme ayant interdit toute sortie majoritaire de décembre 2015 à septembre 2016.

Les acteurs du drame, partis politiques comme électeurs, et in fine, la démocratie parlementaire, y survivront-ils? Pendant longtemps l’Espagne aura été exemplaire et montrée comme telle. Elle est en effet sortie d’une interminable dictature militaire sans effusion de sang. Les adversaires historiques avaient confectionné une Constitution mêlant eau et vin. Assurant une convivialité démocratique acceptable, cette nouvelle Espagne avait été donnée en exemple aux pays et peuples en quête de sortie de dictature, de l’Amérique latine à l’Europe de l’Est.

Le pays survit tant bien que mal à cette situation insolite. Le Roi, Philippe VI, est opportunément mis à contribution. De la conférence des Nations unies sur les migrations à l’Assemblée générale de l’ONU. Son père, Juan Carlos, qui avait abdiqué, a été pourtant sollicité pour représenter l’Espagne à la signature de l’accord de paix entre Colombiens des FARC et le gouvernement. En transition prolongée, l’exécutif est dans l’incapacité constitutionnelle de répondre aux attentes pressantes de la Commission européenne. Tout comme de prendre une quelconque initiative législative ou internationale. Certes les apparences sont sauves. Le pays marche sur la vitesse acquise. Mais pour combien de temps encore? L’OCDE s’en est inquiétée. Le ministère espagnol des affaires étrangères a tiré lui aussi une sonnette d’alarme: « notre pays est un canard boiteux international ».

De fait, la machine a relativement bien fonctionné de 1978 à 2015. De droite à gauche, les partis politiques se querellaient dans les limites autorisées par la Loi fondamentale, respectant les compromis et les non-dits de la transition démocratique. Deux grands partis, l’un de centre gauche, le PSOE, et l’autre de centre droit, l’UCD, puis le Parti Populaire, ont monopolisé pendant 35 ans les aspirations modérément opposées des électeurs. Bien huilé, ce va-et-vient centriste balançait mollement et sans heurts majeurs les Espagnols et leur pays, de droite à gauche.

La mécanique s’est brutalement enrayée le 20 décembre 2015. Ce jour-là le parlement Janus, tel Shiva, écrasant les démons du passé, a bourgeonné. Le bipartisme a pris du plomb dans l’aile. Le consulat parlementaire exercé par le PP et le PSOE était désormais contesté de droite à gauche, en passant par les périphéries géographiques, par Bildu, la Coalition des Canaries, Ciudadanos, Compromis, Convergence et Union, la Gauche Républicaine catalane, le Parti nationaliste basque, Podemos, formation agrégat de diverses familles, En marea, En Comu Podem… Les lapins multicartes partisanes sortis du chapeau des électeurs n’ont pas été en mesure d’inventer l’usine à gaz qui aurait permis de fabriquer une majorité. Les lignes rouges respectives des différentes familles politiques les uns à l’égard des autres ont contraint à répéter l’exercice électoral.

Mieux, ou pire, le 26 juin 2016, le parlement élu le 20 décembre 2015 dissous faute d’entente a resurgi de ses cendres. Indifférents au crime de lèse-démocratie modèle de la transition, les électeurs ont de nouveau semé leurs choix à tout vent. Bis repetita placent. Grosso modo les Espagnols ont confirmé le 26 juin 2016 leur option préférentielle pour une représentation éclatée. Les partis politiques ont été renvoyés à la case départ. Les deux partis historiquement dominants ont été à nouveau contestés à droite et à gauche par de nouveaux venus. Les hauts-le-cœur réciproques avaient empêché de trouver un compromis majoritaire de décembre 2015 à juin 2016. La feuille de route des différents partis restait en septembre 2016 toujours aussi insensible au message des électeurs. La date butoir fixée par la Constitution, pour une nouvelle dissolution, le 31 octobre, se rapproche. Faute de majorité à cette date, un retour à la case électorale serait incontournable.

Comment en est-on arrivé là? Le Parti Populaire a péniblement négocié un accord avec la nouvelle formation de centre droit, Ciudadanos. Le seul représentant de la Coalition des Canaries s’est joint à l’entente. 137 PP plus 32 Ciudadanos plus 1 CC, font 170. Manquent encore six députés pour former une majorité. Le Parti nationaliste basque et feu Convergence et Union de Catalogne, formations de centre droit en d’autres temps, en 1996 avaient apporté les voix manquantes au PP. C’est aujourd’hui exclu. Fort de sa majorité absolue depuis 2012, le PP a fait la sourde oreille à toutes les revendications basques et catalanes. L’alliance du PP avec Ciudadanos, parti explicitement centraliste, exclut toute hypothèse allant dans cette direction.

Au centre gauche, Podemos a mangé les communistes de la Gauche démocratique, mais a laissé filer ses homologues de Galice (En Marea) et de Valence (Compromis). Podemos soupçonne publiquement le PSOE de complaisance à l’égard du PP. En clair d’être capable de s’abstenir pour donner au PP et ses alliés une majorité minimale lui permettant de gouverner. Podemos refuse toute perspective de pacte à trois, Podemos plus PSOE plus Ciudadanos, proposé par les socialistes. Socialistes qui refusent mordicus de faciliter par leur abstention la perpétuation du PP de Mariano Rajoy aux commandes de l’Espagne. Le ménage à trois est par ailleurs tout aussi inacceptable pour Ciudadanos. Podemos met sur la table la perspective d’une alliance avec le PSOE, les indépendantistes basques et catalans. Ce mariage à 5 permettrait en effet de passer la ligne majoritaire de 176 sièges. Mais le prix à payer serait lourd de conséquences. Les indépendantistes catalans (17 sièges) conditionnent leur soutien à un feu vert de la majorité ainsi constituée à leurs aspirations souverainistes. Le PSOE refuse cette perspective qui engagerait L’Espagne, selon eux, dans une aventure institutionnelle aux conséquences imprévisibles.

Si dissolution il y a, compte tenu des délais fixés par la Constitution, ce troisième rendez-vous avec les urnes devrait être organisé… le 25 décembre. Autant dire que tous les partis se regardent en chiens de faïence et cherchent des boucs-émissaires. Ciudadanos, Podemos et le PP font porter le chapeau au PSOE. Le PSOE en refusant de s’abstenir, pour les uns (PP et Ciudadanos) ou de s’allier avec les indépendantistes (Podemos) serait le fauteur de trouble. Mais pourquoi faire simple quand on peut compliquer les choses. L’impasse collective a provoqué une montée d’adrénaline au sein du PSOE comme de Podemos. Tandis que Ciudadanos s’interroge sur la pérennité de son alliance avec le PP. Quant aux partis indépendantistes catalans, la paralysie du système politique espagnol les pousse à imaginer une fuite en avant, catalane pur sucre.

La crise économique, les scandales de corruption, le repli nationaliste du parti Populaire, ont brisé les consensus fabriqués pendant la transition démocratique. L’Espagne institutionnelle est comme paralysée par l’ampleur du drame. Alors que la montée collective du doute menace d’envoyer par-dessus bord les partis de gouvernement, l’unité nationale, la Royauté, et de plus en plus le respect des valeurs démocratiques.

Szegregált élethelyzetek felszámolása komplex programokkal (ERFA) / EFOP-2.4.1

PAFI - dim, 25/09/2016 - 16:26
Felhívás a szegregált élethelyzetek komplex programokkal történő felszámolására.
Catégories: Pályázatok

"Paris sans voitures", fer de lance de la politique écologique d'Anne Hidalgo

France24 / France - dim, 25/09/2016 - 16:11
La moitié de Paris est fermée à la circulation des voitures, dimanche, sauf exceptions, pour la deuxième édition de "Paris sans voitures". C'est l'une des initiatives de la maire, Anne Hidalgo, pour rendre sa ville plus propre et moins bruyante.
Catégories: France

Enquête sur ces harkis restés en Algérie

Le Monde Diplomatique - dim, 25/09/2016 - 16:03
Abandonnés par le gouvernement français, des milliers de supplétifs de l'armée furent assassinés dans les mois qui suivirent l'indépendance. Pourtant, la plupart des harkis continuèrent à vivre en Algérie avec leurs familles. Depuis cinquante ans, ils sont victimes d'une relégation sociale quasi (...) / , , , , , , , , , , , , , - 2015/04

Osztrák lapok: fordulópont az európai menekültügyi politikában a bécsi találkozó

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - dim, 25/09/2016 - 16:03
BÉCS. Ugyan konkrét döntés nélkül ért véget, mégis fordulópontot jelent az európai menekültügyi politikában a szombati bécsi találkozó az osztrák lapok véleménycikkei szerint.

Arab Spring Aftermath: Libya

Foreign Policy Blogs - dim, 25/09/2016 - 15:57

The North African state of Libya has experienced a tumultuous period of state collapse in the years since the fall of its erratic dictator Colonel Muammar Gaddafi. In 2011 Gaddafi was overthrown in a cross-country uprising which began in the eastern city of Benghazi and came to be backed by many Western and Arab states, in particular the U.S., UK and France.

Gaddafi and the other mid-level officers who took part in the 1969 coup against King Idris were modernizers who emulated the Western model of a centralized unitary state but this ideal remained a work in progress right down to Gaddafi’s fall. But the modern state of Libya was a colonial construct which was crafted from three provinces by the UN after World War II. These were ‘Tripolitania’ in the west, ‘Cyrenaica’ in the east, and the southern ‘Fezzan’ area, a desert mostly inhabited by Tuareg and Tubu tribes.

The fall of the dictator destroyed the fragile post-colonial state which his iron-fisted rule had held together and exposed the many gaps in expectations between Libya’s different political constituencies. After 42 years of highly personalized rule by the colonel, mechanisms for resolving disputes between them were weak to non-existent and the rebels soon began to fight amongst themselves.

Success in Libya’s fractious regionalized and tribal politics has always rested on good coalition building. During the Arab Spring the country experienced a successful negative coalition which mobilized against the colonel’s regime; for example Berber militias in western Libya were among the first forces to join the eastern Benghazi-based uprising.

But the winning coalition was unable to translate this success into a post-Gaddafi positive coalition, i.e. the victors could not agree on a common program of political action while state institutions became paralyzed by in-fighting and rival appointments to senior functions. Real power quickly devolved down to the commanders of private militias operating across the country, presently thought to number nearly 2,000.

A civil war began between those militias aligning themselves with an Islamist-dominated ‘National Salvation’ government based in the capital Tripoli and those who backed the internationally recognized parliament based in the eastern city of Tobruk. The resulting chaos allowed Islamic State (IS) militants to gain a foothold in parts of the country, galvanizing the international community into making an effort to suppress the group and rebuilt a centralized authority in Libya.

In one sense therefore the Arab Spring experience seems to have taken Libya full circle since its creation as a post-colonial monarchy after World War II. Western countries and the UN are once again trying to unify its different regions, this time under a new ‘Government of National Accord’ (GNA).

But in another sense a drastic fragmentation of political power has taken place in one of the few Arab countries to successfully overthrow its long-time dictator. While recurrent attempts to build a positive coalition of parties to overcome this state of disintegration have failed so far the central reliance on oil for the economy to function provides an enduring fiscal incentive to Libyan leaders to continue trying.

Oil represents 98% of the revenue of the government and Libya needs to pump a minimum of 800,000 barrels of oil a day under its current economic model in order to be able to pay public sector salaries, invest in much-needed infrastructure and maintain its collapsing economy.

The heavy defeats recently inflicted on the Libyan branch of IS once again proved Libya’s various actors can come together in a negative coalition when it suits their interests. Now plans to return the country’s oil sector to operation and end a series of damaging blockades may spur the creation of new mechanisms to bridge the gaps between Libyan factions and finally kick-start the political process of building a lasting democratic central government.

Libya following the Arab Spring remains a work in progress; much will be determined by the success or failure of the UN-backed GNA. If this experiment collapses then the rise of another Gaddafi-style strongman or the permanent fragmentation of the country between its east and west are likely to be its longest lasting legacy.

The post Arab Spring Aftermath: Libya appeared first on Foreign Policy Blogs.

Colibri: un millier de parachutistes participent à un exercice interallié à Caylus

Lignes de défense - dim, 25/09/2016 - 15:18

 

Lu dans l'AFP:
"Un millier de militaires parachutistes français, allemands, américains, espagnols et britanniques ont participé dimanche à un exercice interallié grandeur nature dans la région de Caylus (Tarn-et-Garonne). L'objectif de l'exercice Colibri, qui se déroule jusqu'à mercredi sur plusieurs départements d'Occitanie, est de "partager les savoir-faire spécifiques du domaine des troupes aéroportées" et de "réussir à faire des opérations conjointes avec les alliés" pour démontrer que les unités peuvent interagir pour contrôler une zone de conflit, a expliqué à l'AFP l'officier de communication de la 11e BP.
La 11e Brigade parachutiste (BP), basée à Toulouse, figure parmi les participants à cette 48e édition de l'exercice sous commandement français, aux côtés de la 1ère LuftlandeBrigade d'Allemagne, de la 173e Airborne des États-Unis, de la BRIPAC d'Espagne, et de la 16e Air Assault Brigade du Royaume-Uni.
Sous un ciel voilé, 400 parachutistes ont sauté dimanche d'avions de transport tactiques français et américains (Transall, Casa et Hercules) sur la zone de l'opération aéroportée à Caylus, où un village a été reconstitué pour les combats, avec des enseignes comme La Poste, une crèche, ou encore un bar-tabac".

Mais, en ce dimanche, on en parle aussi ailleurs, par exemple sur les fils Twitter de nos alliés (pas encore sur les nôtres):

etc etc

Catégories: Défense

L’ancien grand rabbin de France, Joseph Sitruk, est mort à l’âge de 71 ans

France24 / France - dim, 25/09/2016 - 14:27
L’ancien grand rabbin de France, Joseph Sitruk, s'est éteint dimanche à l’âge de 71 ans. Dès l’annonce de sa mort, les réactions ont abondé pour saluer la mémoire de cet homme réputé comme chaleureux.
Catégories: France

Sarkozy : nos ancêtres étaient les Gaulois et aussi «les tirailleurs musulmans»

LeParisien / Politique - dim, 25/09/2016 - 14:12
Quelques jours après ses propos sur les « ancêtres gaulois », qui ont provoqué un tollé à gauche comme à droite, Nicolas Sarkozy a fait un pas de côté, samedi soir, lors d'un meeting à Perpignan (Pyrénées...
Catégories: France

New report confirms grim outlook for elephants

BBC Africa - dim, 25/09/2016 - 13:55
Elephant populations in Africa have declined by around 111,000 over the past ten years according to a new study presented at the Cites meeting in South Africa.
Catégories: Africa

Harkis : François Hollande a-t-il raison de reconnaître la responsabilité de la France ?

Le Figaro / Politique - dim, 25/09/2016 - 12:45
 Le vote est clos. Vous avez été 40.277 participants.
Catégories: France

Stage de danses grecques avec Georgios Antonopoulos

Courrier des Balkans - dim, 25/09/2016 - 12:23

Stage de danses grecques avec Georgios Antonopoulos 24 et 25 septembre 2016
Lieu : Salle des Fêtes Place Roger Salengro 691540 Décines (aile gauche de la Mairie)
L'association ELIES organise un week-end de danses grecques avec comme chorégraphe Georgios Antonopoulos, danseur dans le groupe ELKELAM d'Athènes , qui nous enseignera les danses de toute la Grèce.
Programme :
Mini stage : Samedi matin : 9h30-12h30 débutants et débutants +. Participation aux frais 15€.
Stage : Samedi (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

Stage de danses grecques avec Georgios Antonopoulos

Courrier des Balkans - dim, 25/09/2016 - 12:23

Stage de danses grecques avec Georgios Antonopoulos 24 et 25 septembre 2016
Lieu : Salle des Fêtes Place Roger Salengro 691540 Décines (aile gauche de la Mairie)
L'association ELIES organise un week-end de danses grecques avec comme chorégraphe Georgios Antonopoulos, danseur dans le groupe ELKELAM d'Athènes , qui nous enseignera les danses de toute la Grèce.
Programme :
Mini stage : Samedi matin : 9h30-12h30 débutants et débutants +. Participation aux frais 15€.
Stage : Samedi (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

The EU is not the USSR

Ideas on Europe Blog - dim, 25/09/2016 - 12:22

A Brexiteer in the BBC Question Time audience last Thursday compared the EU to the Soviet Union. It’s an entirely false and unfounded comparison.

There is absolutely no resemblance between the EU and the USSR. Such comparisons are reckless, childish and nonsensical.

It shows no understanding or respect for those people who truly suffered and were horribly murdered in their millions under both the Communist and Nazi regimes.

The EU has democracy, human rights and free market trade as the non-negotiable membership requirements for all members.

All member states of the EU volunteered to join, and all are free to leave.

The USSR was not a democracy, but a one-party state. There were no human rights, or respect for life. There was no free market, but a state controlled one.

Member states of the Soviet Union were forced to join, under threat of violence that was often used to bludgeon any member state that didn’t comply.

No countries caught up the Soviet sphere of control were free to leave, until the Soviet empire itself collapsed.

Far from being a one-party state, the European Union is made up of many governments, and democratically elected MEPS, from right across the political spectrum.

The EU is a democracy with free movement of its people, unlike the sealed borders and oppressive one-party state that represented the now defunct Soviet Union.

Membership of the EU is open to any European country which respects the inherent values of the EU, as laid down by the Treaty of the European Union (TEU).

Anyone who’s lived in a Soviet Union controlled country will immediately recognise the profound differences between USSR values and EU values.

The EU values include, “respect for human dignity, freedom, democracy, equality, the rule of law and respect for human rights, including the rights of persons belonging to minorities.”

Before becoming a member, a country has to demonstrate that it has a stable government guaranteeing, “democracy, the rule of law, human rights, respect for and protection of minorities, the existence of a functioning market economy, and the capacity to cope with competitive pressure and market forces within the Union.”

Furthermore, unlike the Soviet Union, which consumed member states, countries applying to join the EU didn’t do so fearing the loss of their national identities and cultures; quite the opposite.

Indeed, the motto of the European Union is, “United in diversity”.

This signifies how European countries have come together, in the form of the EU, to work for peace and prosperity, while at the same time being enriched by the continent’s many different cultures, traditions and languages.

Frankly, the differences between the European Union and the Soviet Union couldn’t be more stark. Indeed, the former Iron Curtain countries who became members of the EU have seen their nations transformed for the better.

These erstwhile Soviet-sphere countries who voluntarily joined the EU include the Czech Republic, Estonia, Hungary, Latvia, Lithuania, Poland, Slovakia and Slovenia.

These countries suffered decades of Nazi and Communist rule, and it will take time for them to fully recover.

However, their return to the family of Europe will, I believe, reap great rewards in future, as these countries restore their dignities, independence and wealth-creating abilities.

In time, they will be sufficiently recovered to become net-contributors to EU funds, helping our continent to be safer and more prosperous.

And the signs are looking exceptionally good. These countries are now among the fastest growing economies of Europe.

Poland, for example, sailed through the world-wide economic crisis unscathed. Since 2007 its economy has grown by a third, and it now has Europe’s fastest growing number of millionaires.

And Romania was recently described by The Economist magazine as ‘the tiger economy of Europe’.

Both Poland and Romania are economically stable countries, with low inflation, relatively low public debt (public debt of Romania is only at 39% of the GDP), low interest rates and a relatively stable exchange rate.

GDP growth in Romania is around 4% and in Poland around 3.5% – rates that our British government could only dream about. British businesses are significantly benefiting from the export markets in both Poland and Romania.

Research from KPMG shows wealthy Poles spend 18% of their income on luxury goods, and aspirational Poles spend 13% on luxury goods – representing great export opportunities for British businesses.

Poland is Tesco’s largest Central European market, with over 440 stores and nearly 30,000 employees, and serving more than 5 million customers per week.

Romania is also a successful export market for British businesses, currently worth about £1 billion a year.

Commented Enterprise Network Europe, “Romania represents a high-growth market close to home, offering the prospect of major new business partnerships and considerable catch-up potential within the European Union.”

Former USSR member, Estonia, has become the world’s most advanced country in the use of internet technologies. Just a generation ago, it was still under Soviet domination as a very poor backwater on the Baltic Sea. Now it is a developed country and a member of both the EU and NATO.

According to the Cato Institute, “The Estonians now have the rule of law, the lowest debt-to-GDP ratio in the EU, a balanced budget, free trade, and a flat-rate income tax — all of which have led to their high economic growth and prosperity.

“The Estonians now rank globally number 22 out of 152 countries on the Human Freedom Index, number 8 out of 186 economies on the Index of Economic Freedom, and are in the number 1 category in the Freedom in the World report.”

Without becoming members of the EU, it’s highly unlikely that any of this could have been achieved.

Britain has also hugely benefited from EU membership. We first applied to join the European Community back in 1961, when it became clear that we were no longer a super power.

Our Empire was finished, our Commonwealth diminished as was our relationship with the USA, together with our reduced standing in the world following the failure at Suez.

It was seen by successive Conservative and Labour governments that our future economic survival depended on becoming part of the European Economic Community (later to be called the European Union).

We eventually joined in 1973, following the democratic agreement of Parliament, and confirmed by a decisive referendum in 1975.

Britain has prospered during its membership of the EU.

In 1962, one year after we applied to join the EEC, Spain also applied. The country was then ruled by military fascist dictator, Franciso Franco.

The application was flatly and unanimously rejected by all EEC members. The reason? Because Spain wasn’t a democracy.

Doesn’t that say something about the difference between the EU and the USSR?

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Other stories by Jon Danzig:

To follow my stories please like my Facebook page: Jon Danzig Writes

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#Brexit supporter in #BBCQT audience wrong to compare #Britain in the #EU with the #USSR. My response: https://t.co/j54NaZ0JrI pic.twitter.com/sAU80of7nP

— Jon Danzig (@Jon_Danzig) September 25, 2016

 

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Catégories: European Union

La réunification de la Bretagne, un combat perdu ?

LeParisien / Politique - dim, 25/09/2016 - 12:19
En tête de cortège, des lettres géantes formaient le mot « réunification ». Plusieurs milliers de personnes, 2 500 selon la police et 10 000 selon les organisateurs, ont défilé hier dans les rues de...
Catégories: France

Zur Tradition des Biers : 500 Jahre Bayerisches Reinheitsgebot

Hanns-Seidel-Stiftung - dim, 25/09/2016 - 12:13
Bayern und seine Bewohner ohne Bier, Biergarten und das damit verbundene Lebensgefühl? Unvorstellbar! Mehrere Seminare spürten im September auf Kloster Banz der Entwicklung und Bedeutung des "bayerischen Nationalgetränks" nach.

Le Danube impérial de Bucarest à Munich

Courrier des Balkans - dim, 25/09/2016 - 11:59

Le Danube est l'un des fleuves les plus fascinants du monde, traversant sur près de 3 000 km pas moins de dix pays avant de se jeter, par un vaste delta, dans la mer Noire. Cette formidable traversée de l'Europe centrale est aussi une traversée de l'Histoire dans laquelle se mêlent une cohorte de peuples, d'influences, d'art et de cultures différentes. Inéluctablement entraîné vers l'Orient, le Danube vous fera vivre une véritable épopée. De la conquête ottomane au XVIe siècle qui s'arrêta aux portes de (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

Le Danube impérial de Bucarest à Munich

Courrier des Balkans / Serbie - dim, 25/09/2016 - 11:59

Le Danube est l'un des fleuves les plus fascinants du monde, traversant sur près de 3 000 km pas moins de dix pays avant de se jeter, par un vaste delta, dans la mer Noire. Cette formidable traversée de l'Europe centrale est aussi une traversée de l'Histoire dans laquelle se mêlent une cohorte de peuples, d'influences, d'art et de cultures différentes. Inéluctablement entraîné vers l'Orient, le Danube vous fera vivre une véritable épopée. De la conquête ottomane au XVIe siècle qui s'arrêta aux portes de (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

Le Danube impérial de Bucarest à Munich

Courrier des Balkans / Croatie - dim, 25/09/2016 - 11:59

Le Danube est l'un des fleuves les plus fascinants du monde, traversant sur près de 3 000 km pas moins de dix pays avant de se jeter, par un vaste delta, dans la mer Noire. Cette formidable traversée de l'Europe centrale est aussi une traversée de l'Histoire dans laquelle se mêlent une cohorte de peuples, d'influences, d'art et de cultures différentes. Inéluctablement entraîné vers l'Orient, le Danube vous fera vivre une véritable épopée. De la conquête ottomane au XVIe siècle qui s'arrêta aux portes de (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

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