Session 2021-2022
Le Président du conseil scientifique du Centre agréé de Formation à l'Expertise Comptable du Burkina Faso porte à la connaissance des étudiants et des travailleurs qu'il est ouvert dans le Centre agréé de Formation à l'Expertise Comptable et Financière du Burkina Faso (CFECF-BFA) :
la préparation aux diplômes DECOGEF (BAC+3) – DESCOGEF (BAC+5) -DECOFI (BAC+8) conformément à l'article 2 du règlement No 3 /2020/CM/UEMOA,
le recrutement de cinquante (50) étudiants en première année pour une formation au Diplôme d'Etudes de Comptabilité et Gestion Financière (DECOGEF) de l'UEMOA. Le diplôme est de niveau licence (BAC+3).
1- Conditions d'admission
Peuvent faire acte de candidature :
Les titulaires du diplôme de baccalauréat (toutes séries) conformément aux articles 4 ; 5 et 6 du Règlement N°03_2020_CM_UEMOA instituant le Diplôme d'Etudes de Comptabilité et Gestion Financière (DECOGEF) commun aux Etats de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA).
2- Admission
Les candidats présélectionnés à l'issue d'un examen de leur dossier seront soumis à un entretien avec le jury de sélection qui retiendra la liste finale des candidats admis.
3- Frais d'inscription et de formation
Les frais d'inscription annuelle s'élèvent à cinquante mille (50 000) Francs CFA.
Les frais de formation par an s'élèvent à un million (1 000 000) FCFA payables en trois (03) tranches dont 50% à l'inscription.
4- Composition du dossier
Une demande manuscrite non timbrée, adressée au Président du Conseil Scientifique du centre ;
Une photocopie certifiée conforme à l'original (par la Mairie ou le Commissariat de police) du diplôme de Bac ;
Quatre (4) photographies récentes portant au verso votre nom, prénoms et votre signature ;
Une pièce d'état civil ou tout document permettant d'établir votre filiation ;
Les relevés de notes des années de seconde à la terminale ;
Le relevé de notes du BAC ;
Une photocopie de la quittance de paiement des frais de dépôt des dossiers.
5- Dépôt des dossiers de candidatures :
Dépôt des dossiers de candidatures : du 23 Août au 30 Septembre 2021 ;
Présélection : 09 octobre 2021 ;
Entretiens : 16 octobre 2021 ;
Résultats : 23 octobre 2021 ;
Réunion avec l'administration : 30 octobre 2021 ;
Début des cours : 08 novembre 2021.
Le dépôt des dossiers a lieu du lundi au vendredi, de 8 heures à 12 heures 30 minutes et de 13 heures 30 minutes à 15 heures 30 minutes
Au Centre agréé de Formation à l'Expertise Comptable et Financière (sise à l'Université de Technologie et de Management (UTM) / Tel. 25 48 37 01
Pour toute autre information complémentaire, contacter le Centre à l'adresse suivante : consortiumburkina@gmail.com, tél. : 25 48 37 01.
NB : Les frais de dépôt des dossiers s'élèvent à vingt-cinq mille (25 000) francs CFA. Payable auprès de la comptabilité du Centre.
La formation est dispensée en présentiel et en cours du jour. La présence aux cours est obligatoire.
Le Président du Conseil Scientifique
Pr Rabiou CISSE
Chevalier de l'Ordre national
Officier de l'Ordre des Palmes académiques
Ampliations :
DAOI
IBAM
IUFIC
ONECCA
APIST
DGESUP
Les grandes familles DIASSO à Cassou, Ouagadougou, Bobo Dioulasso, Abidjan, Abuja, Accra, Libreville, Londres, Paris,
Sa majesté le Chef du Canton de Cassou
La famille de feu DIASSO Goliou Alphonse
La famille NIANGAO à Lué
La famille BIYEN à Ya
Les familles Alliées
Le colonel DIASSO Yacouba Pierre à Ouagadougou
DIASSO Madeleine épouse Sankara, ses Frères et ses Sœurs
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leurs épouse, fille, mère, grande mère et arrière grande mère, Madame DIASSO née NIANGAO Kakora Véronique.
Le décès est survenu le 20 Août 2021 à Ouagadougou des suites de maladie.
Le programme des obsèques se présente comme suit :
Jeudi 26 août 2021
• 16 h 00 : levée du corps à la morgue du CHU de Bogodogo suivie du transfert de la dépouille au Domicile familiale à Dapoya
• 20 h 00 veillée de prière
Vendredi 27 août 2021
• 08 h 00 : levée du corps au Domicile familiale à Dapoya
• 09 h 00 : Absoute à la Paroisse Sacré Cœur de Dapoya suivi du transfert de la dépouille à Cassou.
Samedi 28 août
• 8 h00 : Levée du corps au domicile au domicile familiale à Cassou
• 10 h 00 : Inhumation à Cassou
L'Union pour la république (UPR) a animé une conférence de presse, ce samedi 21 août 2021 à Ouagadougou, pour donner sa lecture sur la situation nationale et la vie du parti.
L'UPR sort de son silence. Créé en 2004, ce parti est à sa troisième conférence de presse. N'ayant obtenu aucun siège suite aux législatives de novembre 2020, le parti de Me Toussaint Abel Coulibaly annonce son prochain congrès extraordinaire pour le samedi 11 septembre 2021 à Dédougou.
Me Toussaint Abel Coulibaly et ses camarades vont se retrouver dans leur fief pour parler de la « renaissance », car, au cours de cette conférence de presse, le président a reconnu que le parti est à son déclin. « Il faut faire un bilan sans complaisance, en tirer des enseignements afin de mieux poursuivre notre contribution au développement national », a-t-il indiqué.
Situation nationale oblige, l'UPR s'est prononcée sur l'insécurité que connaît le Burkina Faso. Pour le président, Me Toussaint Abel Coulibaly, le changement de membres de gouvernement seul ne suffit pas, il faut le soutien de toute la population. « Il y a une grande majorité des citoyens qui se contentent de juger l'action des combattants », constate l'UPR.
« Certes, le gouvernement doit être en première ligne de ces différentes luttes mais devons-nous pour autant nous contenter de juger l'action du gouvernement sans y apporter concrètement notre contribution patriotique », s'interroge le président du parti, le seul à prendre la prendre la parole durant la conférence de presse. Il prône une solidarité de toutes les couches qui va galvaniser les combattants au front.
Au cours de ce tête-à-tête avec les hommes de médias, l'UPR a suggéré un forum national exclusivement sur la sécurité.
M.L.C
Lefaso.net
Les promoteurs immobiliers estiment que plusieurs dispositions de la nouvelle loi affecteront considérablement leurs activités. Ils l'ont fait savoir aux hommes et femmes de médias ce samedi 21 août 2021 au cours d'un déjeuner de presse. Estimant avoir épuisé tous les recours auprès du ministère de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Ville (MUHV) pour que soient prises en compte leurs préoccupations, ils espèrent que leur ministère de tutelle reverra sa position avant que la loi ne passe à l'Assemblée nationale.
Les promoteurs immobiliers voient en de nombreux points de l'avant-projet de loi portant révision de la loi n°057-2008/AN du 20 novembre 2008 portant sur la promotion immobilière au Burkina Faso, une remise en cause de plusieurs de leurs acquis. En effet, ils estiment que le projet de loi remet en cause le droit du propriétaire terrien de céder librement ses terres et apparait comme un moyen pour l'Etat de récupérer les terres des particuliers.
De plus, arguent-ils, le projet de loi remet en cause tous les engagements c'est-à-dire les protocoles d'accord notariés, les contrats d'engagements sociaux et les délibérations des conseils municipaux conclus entre les collectivités territoriales, les promoteurs immobiliers et les propriétaires terriens et particuliers. En retirant aux sociétés de promotion immobilière privées le droit de mobiliser des terres, de lotir, de restructurer et de commercialiser les produits fonciers pour octroyer ces droits exclusivement aux sociétés de promotion immobilière d'Etat (SONATUR, CEGECI), la nouvelle loi va, selon les promoteurs immobiliers, créer une discrimination négative.
Face à ce qu'ils qualifient d'incohérences et de violations contenues dans le projet de loi, les promoteurs immobiliers ont fait un ensemble de propositions pour "une réforme juste et équitable" lors de l'atelier de relecture de la loi tenu du 31 mai au 05 juin 2021 à Manga, dans le Centre-Sud. Il s'agit du maintien de la possibilité du promoteur de pouvoir accéder à la terre afin de pouvoir tenir compte du faible pouvoir d'achat de la population tel que prévu par la loi présente.
Pour ce faire, ils proposent une clé de répartition qui va consacrer 60% de la superficie totale du proiet destiné à la réalisation des logements socio-économiques et 40% à la promotion foncière. Aussi, la possibilité pour les promoteurs de pouvoir toujours mobiliser le foncier auprès des propriétaires terriens en partenariat avec l'Etat et les collectivités territoriales ainsi que la cession à l'Etat contre déduction des taxes sur le titre foncier de 25% des terres mobilisées en milieu rural, afin d'apurer le passif foncier urbain et résorber les zones d'habitations spontanées (non-loties).
Ayant constaté dans le document final de l'avant-projet de loi, qu'aucune de leurs propositions n'a été considérée, les promoteurs immobiliers ont saisi la Chambre de commerce. Celle-ci a adressé au MUHV, une correspondance demandant le report de l'atelier devant valider l'avant-projet de loi, pour pouvoir approfondir la réflexion et élargir les consultations pour une réforme juste et équitable. Aucune suite favorable n'ayant été donnée à ce courrier, les promoteurs ont refusé de prendre part à l'atelier d'élaboration des décrets d'application de la loi, estimant que la démarche du MUHV de les inclure n'était pas sincère.
La coordination des associations des promoteurs immobiliers invite les plus hautes autorités à se saisir de la question afin, disent-ils, d'éviter que la bombe à retardement tant redoutée n'explose.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Certains écoliers, élèves ou étudiants du Burkina profitent des vacances pour préparer l'année scolaire à venir. Au lieu de se reposer et de se distraire comme les autres, des élèves de familles désargentées mènent des activités commerciales pour engranger un peu d'argent afin d'assurer la prochaine rentrée scolaire. Pour écouler leurs marchandises, ils écument les artères des grandes villes et les lieux fréquentés.
Ils sont dans la vente de crédit de recharge de téléphones, d'effets d'habillement, de fruits, de maïs ou de poissons frais, etc. Ils doivent parfois déjouer des tentatives d'escroquerie, de vol et faire face à des clients malveillants.
S'ils arrivent à surmonter ces difficultés, ils deviennent des soutiens pour leurs parents en contribuant aux dépenses quotidiennes de la famille. Ils leur offrent également un peu de répit en assurant eux-mêmes une bonne partie des dépenses de l'année scolaire.
C'est le cas de D.I, un élève en classe de 6e. Depuis maintenant trois ans, chaque vacance il aide son papa en faisant le vendeur ambulant dans les maquis et autres lieux pour proposer ses services.
« Mon papa possède une boutique. Pendant les vacances, comme que je n'ai pas les moyens de m'offrir un voyage comme mes autres camarades, j'aide mon papa dans sa boutique. Je prends des cigarettes que je vends dans les maquis et autres lieux de rassemblement. Il y a 200 FCFA qui me reviennent sur chaque paquet de cigarettes que j'arrive à vendre. Je peux vendre par jour 10 paquets et même plus souvent », nous a dit le jeune garçon.
Il ajoute : « J'aide mon papa dans sa boutique du lundi au vendredi. Et le weekend, je suis apprenti dans un garage de voitures. Là-bas, je peux avoir 500 francs par jour. Grâce à tout cet argent que je me fais pendant les vacances, j'arrive à payer des fournitures scolaires. »
« Pendant les vacances, nous aidons notre tante à vendre du charbon et des épis de maïs. Par jour, on peut gagner 500 FCFA, voire plus si le marché est bon. Grâce à cet argent, nous arrivons à payer nos scolarités », nous ont confié A.O et S.O, tous en classe de CM1.
B.S, une élève en classe de 6e, elle écume les lieux fréquentés comme les gares routières, pour écouler son stock de biscuits et de mouchoirs. « Moi je vends du biscuits et des « lotus » à la gare d'une compagnie de transport de la place. Par jour je peux me faire mille francs ou plus. Mes journées s'étendent de 8h à 17h. Je ne suis pas la seule à la maison qui travaille pendant les vacances. J'ai deux frères aussi qui le font. L'un est apprenti maçon et l'autre est cireur de chaussures. Celui qui fait la maçonnerie, le fait avec mes cousins venus passer leurs vacances chez nous », témoigne-t-elle. D'après elle, les bénéfices engendrés par ce petit commerce serviront à l'achat de fournitures scolaires.
Elève en classe de 5e dans un lycée situé en province, T.T a l'habitude de "monter" à Ouagadougou pendant les vacances pour aider son oncle dans ses activités. Et à l'en croire, il s'en sort assez-bien. « Pendant les vacances, je viens en ville pour aider mon oncle dans sa poissonnerie. J'arrive à gagner cinq milles francs par jour grâce à la vente du poisson. Mon oncle nous traite très bien et j'adore travailler avec lui. A la fin des vacances je retourne dans mon village aider mes parents à payer mes frais de scolarité », confie-t-il.
Patricia COULIBALY (stagiaire)
Lefaso.net
Dans le milieu de la photographie, il fait partie de ces jeunes qui ont appris sur le tas. En 2007, un appareil photo en main, il immortalise tout ce qu'il lui tombe sous les yeux jusqu'en 2014 où il décide, après l'obtention du baccalauréat, de vivre pleinement son rêve d'enfant. Aujourd'hui, propriétaire de Vision Associée, l'une des plus importantes structures spécialisées dans la photo et la vidéo, Abdoul Nachire Ussen Sawadogo a le vent en poupe. A l'occasion de la journée mondiale de la photographie célébrée chaque 19 août, nous sommes allés à sa rencontre. Découvrons l'homme. En images.
Herman Frédéric Bassolé
Lefaso.net
Dans un message signé par son président Laurent Dabiré, la conférence épiscopale Burkina-Niger a présenté ses condoléances aux familles éplorées au Burkina Faso tout entier pour les pertes en vies humaines engendrées par l'attaque survenue le 18 août 2021 sur l'axe Arbinda-Gorgadji.
Laurent Dabiré a invité tous les fidèles catholiques à intensifier la prière, pour que règne à nouveau la paix au Burkina Faso.
Lefaso.net
Owena, c'est Ouédraogo Wend-kuni Natacha à l'état civil. En 2014, elle est élue Miss Université. C'est l'un des plus importants concours de beauté au Burkina. Après, elle décide de vivre pleinement son rêve d'enfance, celui de la musique. En fait, la musique et elle, c'est une histoire de passion. Elle est membre de la chorale de son église depuis son bas âge. Dans la foulée, elle a produit plusieurs singles à succès dont M'mawa et ma liberté.
Après ces grandes réussites, Owena a disparu des radars. Mais en réalité, ce n'est qu'un répit. De l'afro pop, elle est sur la voie de changer de genre musical. Désormais, il faudra compter avec elle dans la musique religieuse. Elle prépare un album dédié uniquement au seigneur. C'est du gospel. Owena nous l'a dit au cours d'une visite qu'elle nous a rendue. Entretien !
Dimitri OUEDRAOGO
Auguste Paré (Vidéo)
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Le ministère de la Santé a fait, dimanche 22 aoùt 2021, le point d'un cas suspect de fièvre hémorragique au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bogodogo, peut-on lire dans un communiqué dudit ministère publié sur sa page Facebook. Il s'agit d'un patient de 22 ans qui a été admis aux urgences médicales dudit CHU.
Selon le ministère de la Santé, le patient en question est arrivé au Burkina Faso, il y a deux jours en provenance de Niancarré / Kadiolo dans la République de Côte d'Ivoire (RCI). Après un parcours dans deux formations sanitaires du district sanitaire de Ziniaré (Région du Plateau central), il a été reçu aux urgences médicales (UM) du CHU-Bogodogo, dimanche.
Au regard de la situation sanitaire qui prévaut en ce moment dans la sous-région, une enquête étiologique s'impose, selon le ministère de la Santé. « Le patient a été immédiatement isolé par l'équipe du CHU-B conformément aux normes recommandées, une démarche diagnostique et de prise en charge sont en cours », peut-on lire dans le communiqué.
Toutefois, le ministère tient à informer le public que le Burkina Faso a renforcé son système de surveillance épidémiologique afin de faire face aux différentes menaces sanitaires.
Source : Page Facebook du ministère de la santé
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L'Association aidons les jumeaux au Burkina Faso (ASSAJUM) a organisé ce dimanche 22 août 2021, la première édition de « Twins GALA FOOT » à Bonam à l'endroit des jumeaux. C'est un match de Gala qui a opposé les enfants du quartier Pissy aux enfants jumeaux de l'ASSAJUM. Il avait pour objectif d'épanouir les enfants jumeaux de la rue.
Pour cette première édition, l'équipe des enfants jumeaux a trouvé la bonne formule. Ils ont vite imposé leur rythme à l'équipe adverse. À la cinquième minute, Ghislain Ouédraogo 1er jumeau fait trembler le filet de l'équipe adverse. Il ouvre ainsi le score 1#0. L'attaque devient mordante et les jumeaux n'en démordent pas. Mais cinq minutes plus tard, Bonam égalise et ajoute un autre but à la quinzième minute portant le score à 1#2 pour Bonam. À la vingtième minute, l'arbitre siffle la fin de la première mi-temps. C'est le temps de reprendre des forces.
À la reprise, les encadreurs de l'équipe de Bonam procèdent à un remaniement de l'effectif pour donner du sang neuf. Les résultats sont visibles dès la deuxième minute de la deuxième partie du jeu, quand le capitaine profite de l'inattention de la défense des jumeaux pour équilibrer le score. Quatre autres buts suivront six minutes après. L'étau se serre autour des jumeaux. A la 29ème minute du jeu, l'équipe de ASSAJUM obtient un penalty. Un pénalty que le leader Ghislain Ouédraogo n'a pas pu concrétiser.
Après ce coup manqué, les jumeaux reprennent petit à petit la maitrise du jeu. Ils marquent 4 buts dans la dizaine de minutes suivantes, ramenant ainsi le score à égalité. ASSAJUM 5 Bonam 5. Le juge du match siffle la fin du temps imparti et décide de passer aux tirs aux buts. Les jumeaux l'emportent par 5 tirs à 4.
A l'issue de cette rencontre aussi physique que technique, et plein d'engagements, l'équipe vainqueur reçoit une coupe et la somme de 10 000 FCFA et des prix spéciaux. Quant à l'équipe de Bonam, elle reçoit également un prix d'encouragement et des prix spéciaux.
Selon la présidente de l'ASSAJUM, l'objectif de cette première édition est atteint. « Twins GALA FOOT a permis aux enfants jumeaux de la rue de jouir de leur droit à s'amuser avec leurs camarades », a affirmé Madame Fatimata Yoda. C'est toute heureuse que la marraine de ce maracana, Madame Aminata Sinka partage ses sentiments : « Ce fut un plaisir pour moi de voir ces enfants s'épanouir. De voir que eux aussi ils ont le droit de s'amuser avec d'autres enfants du quartier, qu'ils ne sont pas seulement destinés à être toujours dans les rues pour mendier. Ils ont aussi le droit de développer des talents comme tous les autres enfants ».
L'ASSAJUM sensibilise les parents des enfants jumeaux, afin de les retirer de la rue. Pour y arriver, elle regroupe les mères des enfants jumeaux autour des activités comme la production des produits locaux et des formations en saponification. Depuis sa création en 2013, environ 100 mères de jumeaux ont été récupérées de la rue.
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Le vendredi 13 Août 2021, le Premier ministre Christophe Joseph Marie DABIRE faisait la promesse au nom du Président du Faso et du gouvernement burkinabè, de la remise d'une villa à Hugues Fabrice ZANGO, médaillé de bronze au triple saut des Jeux Olympiques Tokyo 2020. Moins d'une semaine après, les clés de la villa F3 ont été officiellement remises à son géniteur, Jacques ZANGO, le fils étant reparti en France pour raison de calendrier.
C'est une villa de type F3 bâtie sur une parcelle de 350 m2 composée de deux chambres plus un salon, d'une cuisine interne, de deux salles de bain entièrement carrelées, remise officiellement au médaillé de bronze Hugues Fabrice ZANGO. D'une valeur de 29 millions de francs CFA, cette villa de haut standing, logée dans la cité de la Diaspora route de Koubri est un acte du gouvernement burkinabè à l'égard de celui-là qui a offert une chance au pays des hommes intègres, de bénéficier d'une portion de place dans le concert olympique des nations.
C'est tout heureux que le père de l'athlète, Jacques ZANGO a reçu les clés de la villa des mains du Directeur Commercial du Centre de Gestion des Cités (CEGECI). « Je suis vraiment content pour mon fils et pour moi-même parce que depuis qu'il est revenu de Tokyo, nous avons été témoins de l'amour et de la solidarité du peuple burkinabè autour de lui. Et cela nous honore parce que c'est le Burkina qui gagne. Je viens de recevoir les clés de sa villa et je remercie grandement et au nom de la famille Zango le Président du Faso, le premier ministre et le ministre de l'habitat pour cette gratification » a déclaré Monsieur ZANGO à l'issue de la cérémonie de remise officielle des clés de la villa.
Le Directeur commercial du CEGECI, Halidou LOUGUE quant à lui a traduit sa reconnaissance au gouvernement pour le choix porté sur la cité de la Diaspora pour mettre à la disposition du médaillé de bronze Hugues Fabrice ZANGO une villa. Il lui a souhaité d'en faire bon usage au nom du Directeur Général du Centre de gestion des cités.
En rappel, Hugues Fabrice Zango est le premier athlète burkinabè a décroché une médaille olympique et le premier sur le plan Africain dans la catégorie triple saut. Cette médaille de bronze, il l'a décrochée le 5 août 2021, lors des jeux Olympiques de Tokyo 2020.
I CONCEP
Quatre clubs dont l'Union sportive de Ouagadougou vont évoluer en deuxième division la saison 2021-2022. C'est la conséquence de la décision de l'Assemblée générale, réunie ce samedi 21 août 2021 à Tenkodogo, chef-lieu de la région du Centre-Est, qui a rejeté la tenue d'un championnat à 18 clubs durant la saison qui va démarrer.
C'était l'une des décisions les plus attendues de la rencontre de Tenkodogo. Les acteurs du football burkinabè avaient pour mission de statuer sur le championnat à venir.
En effet, suite à l'annulation du championnat 2019-2020 due à la pandémie à Covid-19, le Fasofoot de la saison suivante s'était joué à 18 équipes avec pour finalité de reléguer quatre clubs. Ce qui ramenerait le championnat à seize équipes.
Mais à la fin des neuf mois de compétition, certains ont souhaité que seules deux équipes soient reléguées en division inférieure. Mais l'Assemblée générale vient de statuer définitivement sur la question. Pour la saison 2021-2022, ce sont seize équipes qui vont jouer le championnat au lieu de dix-huit.
Conséquence, l'USO, Rahimo, Léopards de Saint Camille et KOZAF descendent en deuxième division. Ce qui n'a pas manqué de provoquer la colère des partisans du championnat à 18 clubs. « Une commission ad'hoc sera mise en place pour poursuivre la réflexion sur la question », a annoncé Lazare Banssé, président de la Fédération burkinabè de football.
C'est aussi une commission ad'hoc qui va réfléchir à la modalité de mise en œuvre des engagements notamment financiers pris par le président de la FBF avec les clubs pendant la campagne.
Les acteurs du football ont aussi validé l'affiliation de plusieurs clubs de football. Ils ont aussi décidé que la saison 2021-2022 doit débuter courant septembre 2021. La date reste à déterminer.
A l'issue de l'AG, la saison peut maintenant commencer au grand bonheur des amoureux du ballon rond burkinabè.
Jacques Théodore Balima
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Le médaillé de bronze Hugues Fabrice Zango grâce à un saut de 17,12m s'est classé 2e au Meeting Diamond League d'Eugène en Oregon aux Etats-Unis. Il se positionne ainsi derrière le médaillé d'or olympique Pedro Pichardo (17m63) et devant l'Américain Donald Scott 17m0.
Cette performance permet à Hugues Fabrice Zango de se qualifier pour la finale de la compétition prévue pour le 09 septembre 2021.
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La coordination des associations des promoteurs immobiliers a convié les hommes et femmes de médias, ce samedi 21aout 2021, à un dîner de presse. Objectif, éclairer les journalistes pour qu'ils puissent, selon eux, relayer la bonne information sur la position des promoteurs immobiliers quant à l'avant projet de loi qui consacre la révision de la loi N°057/AN du 20 novembre 2008.
Entre autres raisons avancées pour réviser la loi, il est reproché aux sociétés immobilières la vente des terrains nus, la non viabilisation des sites, l'accaparement du foncier rural à des fins de promotion immobilière ainsi que la démesure des superficies.
Mais pour les promoteurs immobiliers, on ne peut dissocier le foncier de la promotion immobilière. Ils ajoutent qu'en vendant les terrains nus, ils permettent à plusieurs Burkinabè qui n'ont pas les moyens d'acquérir des logements, de pouvoir faire de l'auto-construction. Pour ce qui est de la non viabilisation des sites, ils pointent du doigt les dossiers non traités des sociétés immobilières par le ministère en charge de l'urbanisme, ce qui rend difficile l'investissement.
Les promoteurs immobiliers reprochent au projet de loi d'être restrictif en ne permettant qu'à l'Etat seul et aux sociétés d'Etat de faire de la mobilisation foncière. Aussi, la remise à plat des accords avec les propriétaires terriens engendrera plusieurs difficultés de part et d'autre vu l'engagement de chaque partie.
Invités à l'atelier de relecture de la loi , les promoteurs immobiliers ont fait un ensemble de propositions pour la prise en compte de leurs préoccupations. Il s'agit notamment du maintien du modèle mixte tel que en vigueur avec une formule souple qui va permettre de destiner 60% de la superficie totale du projet à la réalisation de logements socio-économiques et 40% à la promotion immobilière. Autre proposition, le maintien de la possibilité de toujours mobiliser le foncier auprès des propriétaires terriens.
Ayant constaté qu'aucune de ces propositions n'a été prise en compte, les promoteurs immobiliers ont engagé des démarches avec l'appui de la chambre de commerce, démarches qui n'ont pas abouti.
Les promoteurs immobiliers soutiennent que si l'on n'y prend garde, cet avant-projet de loi risque d'engendrer une situation ingérable et de nombreux conflits au sein de la population. " Nous ne sommes pas hostiles à l'idée de réforme, seulement nous militons pour une réforme juste et équitable sans restriction des droits acquis", ont-ils laissé entendre.
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Le projet Yidgiri a organisé un atelier d'amendement, de restitution et de validation des résultats de l'étude d'évaluation des marchés et des voies nutritionnelles les mercredi 18 et jeudi 19 août 2021 à Kaya. Présidé par le secrétaire général de la région du Centre-Nord, représentant le gouverneur, l'atelier a réuni les experts de la nutrition et les partenaires technique et financier.
Selon les enquêtes nutritionnelles SMART de 2020 de la Direction de la nutrition, le taux de malnutrition chronique s'élève à 25% au niveau national et plus de 40% dans certaines régions du Burkina. Chez les femmes en âge de reproduction, le taux d'anémie dépasse 50% et est au-dessus de 70% chez les femmes enceintes.
Face à cette situation préoccupante, le projet USAID Yidgiri, à travers sa composante nutrition, avec l'appui du gouvernement du Burkina Faso et d'autres partenaires au développement, se donne pour ambition de développer des stratégies pour améliorer l'état nutritionnel des populations de ses zones d'intervention à travers l'augmentation de la consommation d'aliments locaux sains et riches en nutriments.
C'est donc pour mieux comprendre et analyser l'environnement alimentaire et nutritionnel de ses zones d'interventions, que Yidgiri a réalisé, au cours des mois de septembre et octobre 2020, une étude d'évaluation des marchés et des voies nutritionnelles dans les régions du Centre-Nord, de l'Est et du Sahel. Une étude dont les résultats ont été présentés aux acteurs du domaines et partenaires pour amendement et validation au cours de deux ateliers tenus le mercredi 18 et le jeudi 19 août 2021 à Kaya.
« L'objectif de cet atelier est de faire une analyse complète du contenu du rapport, recueillir les propositions d'amélioration afin d'aboutir à la validation des résultats de l'étude par les experts du domaines », a déclaré le représentant de la directrice Pays de l'USDA, Dr Benjamin Boltz.
Cet atelier qui a regroupé les experts de la nutrition, notamment les spécialistes des structures étatiques nationales et des régions du Centre-Nord, du Sahel et de l'Est en charge de la nutrition, les partenaires RISE II, les clusters régionaux santé, nutrition et sécurité alimentaire, l'Unicef et le PAM. Il a été présidé par le secrétaire général de la région du Centre-Nord, Robert Zoungrana, représentant le gouverneur.
Dans son discours, Robert Zoungrana a reconnu l'intérêt d'agir dans le domaine de la nutrition dans les trois régions. « Etant dans une situation de détresse alimentaire due à l'insécurité que vit la région, une action de ce genre ne peut qu'être salutaire », a-t-apprécié. Des propos appuyés par les experts du domaine. « La crise sanitaire a rendu la situation alimentaire précaire dans la région, qui présentait déjà un taux pas reluisant », a expliqué Dr Djibrila Maïga, chef de service lutte contre la maladie, de la Direction régionale de la santé du Centre-Nord, représentant le directeur régional.
Rappelons que Yidgiri est un projet quinquennal (2020-2025) financé par l'USAID. Il est mis en œuvre au Burkina Faso dans les régions à savoir le Centre-Nord, le Sahel et de l'Est par le CNFA en consortium avec CARE International, GRAD et A2N. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]
Tibgouda Samuel SAWADOGO
Collaborateur Lefaso.net/Kaya
Depuis mi-août, le Niger est confronté à une épidémie de choléra du fait des inondations causées par les fortes pluies enregistrées dans le pays. Une maladie qui touche l'ensemble du territoire avec un total de 845 cas pour 35 décès à la date du mercredi 18 août 2021. Soit un taux de létalité de 4,2 %.
Face à cette nouvelle donne, le Niger prépare la riposte.
« Nous sommes en train de positionner des équipes de prise en charge aussi bien pour le choléra et les autres maladies. En effet, quand vous prenez le plus grand site où il y a eu quand même des dégâts plus importants, nous avons positionné une équipe médicale sur le site qu'on ravitaille en médicaments pour la prise en charge gratuite de tous les cas de maladies, de tous les symptômes qui peuvent se présenter », a déclaré le docteur Idi Illiassou
Tous les districts sanitaires du pays sont en alerte face à la propagation de la maladie. Les agents de santé ont dû être formés sur le protocole sanitaire particulièrement pour le cas du choléra et dotés de tous les intrants nécessaires.
Lefaso.net
Source : Africanews
Sur 480 échantillons analysés, le Burkina Faso enregistre cinq cas liés au Covid-19.
Le nombre de guérisons s'élève à 10, ce qui accroît le nombre total des guérisons à 13 447.
Le nombre de cas actifs est actuellement revu à la baisse, chiffré à 77.
Depuis le 9 mars 2020, le pays compte 13 695 cas dont 5 101 femmes et 8 594 hommes.
Dans le cadre de la campagne de vaccination contre cette pandémie, 69 807 personnes ont été vaccinées.
Le gouvernement invite les populations à recevoir gratuitement le vaccin anti-Covid-19 sur les sites de vaccinations afin de se protéger et protéger les autres.
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Les promotions 2020 et 2021 des internes des hôpitaux viennent d'être outillées à la rédaction et la soumission d'articles scientifiques initiée depuis le 17 août 2021 à Ouagadougou par l'association des internes et des anciens internes des hôpitaux (ABIAH) en collaboration avec l'Institut international des sciences et technologies (IISTech). Au bout de trois jours de formations, les impétrants ont reçu des attestations de fin de formation mettant un terme à la présente session, qui a vu la participation d'étudiants en faculté de médecine, ce jeudi 19 août 2021.
L'association des internes et des anciens internes des hôpitaux en collaboration avec l'IISTech a procédé ce jeudi 19 août 2021 à la clôture de formation sur la production d'articles scientifiques au profit des promotions 2020 et 2021 des internes des hôpitaux.
La présente formation initiée à la demande des bénéficiaires, qui ont jugé indispensable de renforcer leurs connaissances notamment sur la rédaction des articles scientifiques, a pour but de contribuer à l'amélioration de la qualité des soins mais aussi à l'avancée de la recherche.
Le début d'une série de formations au profit des internes des hôpitaux
« Publier des articles est l'un des objectifs des internes hôpitaux en dehors de leurs tâches quotidiennes que sont les soins hospitaliers », a expliqué Dr Rufin Zouma, représentant des internes des hôpitaux.
« Ce n'est qu'un début et nous sommes conscients de l'intérêt et l'importance de cette formation pour nous. Je pense également que d'autres formations viendront compléter celle dont nous venons de bénéficier afin de nous perfectionner davantage pour faire face aux défis qui relèvent de notre domaine », a-t-il ajouté.
« La production de connaissances scientifiques participe à l'innovation et à l'évolution du monde », a souligné le formateur Ibrahim Sangaré, professeur agrégé à l'Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso, par ailleurs vice-président chargé de la recherche, de la prospective et de la coopération internationale.
Proposition d'articles scientifiques dans les jours à venir
En plus d'avoir été enseignés sur les rouages de la production des articles scientifiques, les bénéficiaires ont reçu de précieux conseils de la part de leurs devanciers bonifiant ainsi leur savoir-faire et leur savoir-être.
« Pour faire une publication scientifique, il faut avoir les rudiments. C'était un besoin que les internes des hôpitaux nouvellement recrutés ont exprimé depuis un moment. Ce qui nous a poussés à identifier les formateurs compétents en la matière avec l'appui de l'IISTech pour nous faciliter la tenue de cette formation », a indiqué Dr Boukary Kabré, médecin urologue, président de l'ABIAH.
A l'issue de cet apprentissage, les internes des hôpitaux vont proposer des articles scientifiques dans les jours à venir qui seront suivis par leurs encadreurs afin de les conduire davantage à la maîtrise de cet exercice.
Un interne des hôpitaux est par exemple un étudiant en fin d'études de faculté de médecine ou de pharmacie recruté à l'issue du concours dénommé “Internat des hôpitaux”. Depuis quelques années, ce concours sélectionne les 30 meilleurs en médecine et les 10 meilleurs en pharmacie qui suivent un encadrement de quatre ans pour certains et cinq ans pour les autres au sein des hôpitaux à l'exception du privé où ils entameront l'exercice de leur fonction.
Créé en 2018, l'IISTech offre des formations aussi bien en Licence qu'en Master dans les filières de génie biomédical, technicien supérieur de santé option analyse biomédicale, nutrition et diététique, biologie médicale, etc.
Hamed NANEMA
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L'Association de soutien du cinéma au Burkina Faso (ASCBF) à travers le Hub Ciné Guimbi a procédé le jeudi 19 août 2021 à Bobo-Dioulasso à la clôture du premier cycle de créativité entrepreneuriale. La cérémonie a été couronnée par une remise d'attestations.
Ce premier cycle s'est déroulé de décembre 2020 à mi-août 2021. Ouvert et accessible à tous, il a permis à chacun de venir suivre les ateliers au besoin, mais aussi de rencontrer d'autres porteurs de projets de tous horizons.
Ce cycle de créativité entrepreneuriale a eu pour objectifs de rencontrer les acteurs sociaux et culturels de Bobo-Dioulasso, de créer une communauté d'entrepreneurs et de renforcer les capacités des acteurs dans le domaine de l'entrepreneuriat social et culturel. Les participants ont pu recevoir des formations sur la création et la formalisation d'entreprises, la gestion administrative et financière, la gestion d'équipe, la communication et l'entrepreneuriat au féminin.
Il est à retenir que dans le cadre de ses activités de déploiement de l'innovation culturelle et sociale, l'ASCBF, chargée du projet Hub Ciné Guimbi, initie des projets parallèles à l'exploitation du futur Ciné Guimbi.
Ciné Guimbi, plus qu'une salle de ciné
L'objectif du Guimbi est d'être bien plus qu'une salle de cinéma. Il s'agit de créer un lieu de vie, urbain, populaire, intégré et accessible. Un lieu d'échanges, de rencontres, de formation, d'éducation.
Le Guimbi a pour vocation d'être un lieu d'accueil, d'échange, de sensibilisation, de débat et d'actions promouvant les valeurs écologiques, de défense des droits des femmes, de l'égalité de genre. C'est un projet pilote qui inspire au-delà des frontières du Burkina Faso.
C'est donc conformément à cet objectif qu'il a été développé le Hub Ciné Guimbi, un ensemble de projets parallèles à l'exploitation de la salle de cinéma et qui promeut l'émergence de projets créatifs et culturels à Bobo-Dioulasso, depuis les prémices de la création jusqu'à la diffusion des projets aboutis.
Le Hub Ciné Guimbi comprend entre autres, des projets de sensibilisation à l'entrepreneuriat culturel, des résidences d'écritures, de l'animation de réseaux professionnels, des projets d'éducation aux images.
Le Hub Ciné Guimbi se veut ainsi un véritable hub d'innovation culturelle et sociale, favorable à la création et la réalisation de projets à Bobo-Dioulasso.
A cette occasion, 108 participants (dont 50 femmes) porteurs de projets d'entreprises y ont participé. Lors des ateliers, il était question d'assurer la participation de tous et notamment susciter la parole des femmes. Un atelier non-mixte leur a ainsi été consacré à l'occasion du 8-mars ; ce qui a engendré une augmentation importante du nombre de femmes présentes dans les ateliers et débats.
Comme le dit François Mayliss, chargée de projet-Cycle entrepreneurial au Ciné Guimbi, tout le monde y a participé ; d'où son originalité, car ils ont voulu créer un grand mixte. Cependant, seuls les assidus ont reçu des attestations. Il y a eu des rencontres d'échanges, des formations sur différentes thématiques, par exemple comment monter une entreprise, comment mobiliser une équipe, comment chercher un financement… [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]
Haoua Touré
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