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Diplomacy & Defense Think Tank News

Dernière chance pour le paritarisme de gestion

Institut Montaigne - mar, 28/02/2017 - 17:55
Date de publication: Mercredi 01 Mars 2017Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Retraite, chômage, maladie, logement, formation professionnelle : derrière chacun de ces volets du modèle social français se cache le paritarisme de gestion. Le terme est méconnu, mais la réalité qu’il recouvre est centrale tant il structure la vie sociale et syndicale de notre pays.

Pour un rapport de l’Union européenne sur les exportations d’armement dans le monde

IRIS - mar, 28/02/2017 - 14:21

La publication du Sipri Yearbook 2016 en février 2016, le salon IDEX de l’armement aux Emirats arabes Unis qui s’est tenu du 19 au 23 février 2017, ainsi que les bons résultats de la France à l’exportation… Les occasions sont multiples pour parler des ventes d’armes dans le monde. Mais il n’est en réalité pas si simple d’en débattre, tant les chiffres sur lesquels sont basés les analyses sont sujets à caution.

Il est difficile de ne pas être atteint de schizophrénie quand d’un côté, on se félicite du chiffre des exportations record de la France (20 milliards d’euros d’exportation en 2016 selon le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian), alors que de l’autre, on se lamente de la croissance de 8,4% des exportations d’armement dans le monde (selon l’Institut de recherche sur la paix – SIPRI)[1].Ce chiffre serait le reflet d’un monde où les crises se multiplient. Personne ne semble pourtant avoir relevé que selon le SIPRI, les exportations d’armement de la France, représentant 6% d’un peu plus de 30 milliards de TIV[2] représenteraient 1,5 milliards d’euros de ventes d’armes de la France, alors que le ministre de la Défense annonce 20 milliards d’euros. Vu de l’extérieur, une certaine confusion semble donc régner.

Il faut féliciter le SIPRI de son travail car il s’agit du seul organisme qui mesure aujourd’hui les exportations d’armement dans le monde et qui communique sur le sujet. Moins connu mais méritant qu’on s’y attarde quand même, est le World Military Expenditures and Arms Transfers (WMEAT) publié par le département d’Etat américain. Or, si le SIPRI évoque un chiffre de 30 milliards de dollars, le WMEAT 2016 donne lui une moyenne de 150 milliards de dollars de ventes d’armes dans le monde par an sur la période 2004-2014, soit un rapport de 1 à 5[3] ! Quant au ministère de la Défense français, il semble avoir donné dans le rapport au Parlement sur les exportations d’armement une estimation moyenne des exportations d’armement dans le monde d’un montant annuel de 100 milliards d’euros[4]. Il apparait donc difficile à première vue de s’y retrouver dans tous ces chiffres contradictoires. Pour autant, on peut dégager deux tendances très nettes et émettre une recommandation.

L’accroissement des exportations d’armement dans les zones de tension

La première tendance est qu’il existe effectivement un accroissement des exportations d’armement sur un rythme significatif, sans être exceptionnel, dans deux régions du monde : le Moyen-Orient et l’Asie. En Asie, le mouvement est tiré à la fois par la croissance économique qui est forte mais également par le clivage stratégique entre la Chine et un certain nombre de ses voisins, qui se traduit notamment par une augmentation des capacités navales. Ce phénomène est notamment lié aux revendications territoriales en mer de Chine. Au Moyen-Orient, le clivage entre l’Iran d’une part, et l’Arabie Saoudite et ses alliés d’autre part, crée une situation favorable à la course aux armements. Le conflit yéménite cristallise effectivement à la fois cette opposition mais il est aussi pour la première fois depuis longtemps « consommateur » d’armement, qu’il faut renouveler. Toutefois, la baisse prolongée des prix du pétrole a conduit depuis un an les Etats de la région à mettre un frein à leurs ambitions. Par ailleurs, il existe une constante à tous ces pays, en Asie et même désormais au Moyen-Orient : ils ne veulent plus uniquement être des consommateurs d’armement mais souhaitent désormais être aussi des producteurs, afin d’acquérir davantage d’autonomie stratégique. Ce qui était vrai depuis déjà plus de 10 ans pour l’Inde, la Corée du Sud ou la Turquie, est également vrai désormais pour des pays comme la Malaisie, Singapour ou l’Indonésie mais aussi et surtout pour les pays du Golfe. Les Emirats Arabes Unis, où s’est déroulé le salon IDEX, est l’un des premiers pays de la région à s’être doté d’une législation sur les offsets, qui prévoit des transferts de technologie et une fabrication locale en contrepartie des ventes d’armes à ce pays. Dans le cadre de son projet « vision 2030 », l’Arabie Saoudite a le même objectif : elle souhaite à la fois être plus autonome et également développer une industrie de défense grâce à ses achats d’armement. Cette tendance au développement des industries de défense devrait donc se traduire dans quelques années par une réduction des exportations d’armement, les capacités de production locales augmentant.

Les Etats-Unis largement en tête du classement des exportateurs d’armement

La deuxième tendance est que les Etats-Unis restent, et de très loin, les plus grands exportateurs d’armement dans le monde. Le SIPRI estime que les Etats-Unis représentent un tiers des exportations mondiales, soit environ 10 milliards de TIV. Le Rapport au Parlement français sur les exportations d’armement chiffre pour sa part un montant d’environ près de la moitié des exportations mondiales, soit près de 50 milliards d’euros. Le WMEAT estime quant à lui à 79% la part des Etats-Unis dans les exportations d’armement mondiales, soit 120 milliards de dollars sur la période 2004-2014 et même 153 milliards de dollars pour la seule année 2014 ! On constate d’ailleurs dans le WMEAT une augmentation d’un tiers des exportations d’armement des Etats-Unis durant les deux mandats de Barack Obama : tout se passe comme si la baisse des budgets de défense des Etats-Unis avait été compensée durant cette période par une augmentation des exportations afin de soutenir l’industrie de défense des Etats-Unis. Or, les chiffres donnés par le WMEAT sur les exportations des Etats-Unis ne sont pas contestables. Ce sont des chiffres officiels qui résultent de l’addition des ventes commerciales, des ventes d’Etat à Etat dans le cadre des Foreign Military Sales (FMS), ainsi que des ventes dans le cadre du programme de coopération militaire géré par la DoD’s Defense Security Cooperation Agency (DSCA) et de deux programmes spécifiques portant sur l’exportation d’équipements militaires navals. Dans ce domaine, « America’s first » n’est pas un projet : c’est déjà une réalité

L’Union européenne devrait être à l’initiative d’un outil de transparence sur les exportations d’armement

En matière de transparence sur les ventes d’armes, il existe depuis la première guerre du Golfe le registre des armes classiques des Nations unies. Cet outil est un réel progrès en matière de transparence mais il a pour double limite le peu de publicité et l’absence de mesure de la valeur financière des exportations. Or, cette mesure financière est importante car c’est aujourd’hui le seul indicateur objectif des capacités réelles d’un matériel militaire : plus un armement est technologiquement en pointe, plus il est cher, mais plus il est aussi performant. On l’a bien vu durant la première guerre du Golfe en 1991, où les 5000 chars de l’armée irakienne ont pesé de peu de poids face aux armées de la coalition conduite par les Etats-Unis. Les pays de l’Union européenne (UE) disposent tous également depuis 15 ans de rapports nationaux sur les exportations d’armement pour rendre cette transparence dans les ventes d’armes. Même si la présentation de ces rapports nationaux n’est pas harmonisée, ils chiffrent les exportations d’armement de chaque pays à partir de données officielles et sont donc censés être fiables. Mais il faudrait aujourd’hui que l’Union européenne fasse plus…

La compilation de ces rapports nationaux doit permettre de créer un rapport européen sur les exportations d’armement. Une fois ce rapport complété par les données recueillies sur les exportations des pays non membres de l’UE, il permettrait à cette dernière de publier un rapport sur les exportations d’armement dans le monde. Ce rapport, au moment où commence à être mis en œuvre le Traité sur le commerce des armes, permettrait, en accroissant la transparence, de mieux légitimer les ventes d’armes des pays de l’UE qui respectent les traités internationaux réglementant les exportations d’armement. Il permettrait également de mesurer sans contestation le poids réel de l’Union européenne en matière de ventes d’armes dans le monde. Comme on l’a vu, même quand la France exporte beaucoup d’armes pour soutenir son industrie et donc son indépendance nationale, cela reste une goutte d’eau par rapport aux exportations américaines. Ce rapport devrait faire l’objet d’une large communication. Il devrait être conçu comme un instrument d’influence destiné à promouvoir la transparence sur les exportations d’armement.

Pour élaborer un tel rapport, l’Union européenne dispose de tous les outils nécessaires. Il y a déjà le rapport annuel sur les exportations d’armement, réalisé par le groupe COARM au sein du Service européen d’action extérieure (SEAE) dans le cadre de la position commune 2008/944 de l’UE sur les exportations d’armement. Ce rapport est publié au Journal Officiel de l’Union européenne[5] mais il présente le double handicap, alors même que toutes les données y sont disponibles, de ne pas donner une vision globale des exportations de l’UE, ni de remettre en perspective la compilation de toutes les données qui y figurent. Or, des think tanks travaillent dans chacun des pays membres sur les questions d’armement et d’exportations d’armement, à l’image des chercheurs qui collaborent au réseau ARES piloté par l’IRIS. Ces derniers peuvent mettre en perspective le rapport du SEAE et le compléter par les données mondiales. Il existe enfin un institut de recherche rattaché à l’Union européenne, l’Institut d’études de sécurité de l’Union européenne (EUISS), qui pourrait fédérer les travaux des institutions officielles et des think tanks européens afin de produire cette publication de référence sur les exportations d’armement dans le monde.

[1] Très exactement entre les périodes 2007-2011 et 2012-2016,

[2] Le SIPRI Trend Indicator Value (SIPRI TIV) est basé sur la valeur capacitaire supposée d’un matériel et n’est donc pas censé représenter le montant des exportations d’armement. Toutefois le TIV est référencé par rapport au coût connu de certains matériels. On peut donc considérer que le montant du SIPRI TIV est bien un montant financier même si le SIPRI indique, à juste titre, que les chiffres qu’ils donnent ne peuvent scientifiquement représenter la réalité.

[3] World Military Expenditures and Arms Transfers 2016, décembre 2016, https://www.state.gov/t/avc/rls/rpt/wmeat/2016/index.htm

[4] Rapport au Parlement sur les exportations d’armement 2016, ministère de la défense, 1 juin 2016, http://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/rapport-au-parlement-sur-les-exportations-d-armement-2016

[5] Rapport annuel sur les exportations d’armement : https://eeas.europa.eu/headquarters/headquarters-homepage_en/8472/Annual%20reports%20on%20arms%20exports

La percée du FN dans l’électorat agricole

Fondapol / Général - mar, 28/02/2017 - 13:42

Ecrit par Laurent de Boissieu   Alors que Marine Le Pen visite mardi 28 février le Salon international de l’agriculture, la Fondation pour l’innovation politique publie une note sur « le Front national en campagnes : les agriculteurs et le vote FN ».   Alors que le Salon international de l’agriculture se tient du 25 […]

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Interview de Marine et Sarah, Auteurs des Echos d’une jeunesse engagée

Fondapol / Général - mar, 28/02/2017 - 12:55

Nous avons rencontré Marine Caron et Sarah Nerozzi-Banfi, auteurs du livre Echos d’une jeunesse engagée. Elles souhaitent avant tout réconcilier la jeunesse française et les politiques. Elles sont venues au showroom nous raconter pourquoi elles ont publié ce livre, qui va nous être bien utile en cette période électorale ! D’où venez-vous ? Marine : […]

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Wie Deutschland Frieden besser fördern kann

Bonn, 28.02.2017. Voraussichtlich noch vor Ostern 2017 wird das Bundeskabinett neue Leitlinien für Krisenengagement und Friedensförderung verabschieden. Sie sollen den Aktionsplan „Zivile Krisenprävention“ aus dem Jahr 2004 sowie eine Reihe weiterer Strategiedokumente der Regierung zusammenführen und aktualisieren.

Die Erstellung des Dokuments wurde begleitet von einem neunmonatigen Diskursprozess, dem PeaceLab2016. An diesem beteiligte sich eine breite Community aus Ministerien, Politik, Wissenschaft und Friedenspraxis. Danach steht zu erwarten, dass das neue Dokument die aktuellen Herausforderungen angemessen und hinreichend differenziert beschreiben wird; dass es Deutschlands Rolle anspruchsvoll, aber realistisch definiert; dass internationale Kooperation und Engagement das Fundament ausmachen werden; und dass schwierige Aufgaben der Strategiebildung und Prioritätensetzung in Krisen und Gewaltkonflikten ausbuchstabiert werden.

Gute Absichten alleine reichen nicht Doch was wird ein Katalog guter Absichten angesichts der aktuellen Weltlage ausrichten können?
  • Der neue US-Präsident stellt ausgerechnet jene Strukturen der internationalen Ordnung in Frage, die sich einen Rest an dringend benötigter globaler Kooperationsbereitschaft erhalten haben.
  • Wahlen in den Niederlanden, Frankreich und Deutschland finden im Schatten einer europaweiten Welle des Nationalpopulismus statt, durch die der noch vor kurzem undenkbare Zerfall Europas plötzlich möglich scheint.
  • Für Großkrisen wie in Syrien und alte Konflikte wie in Israel/Palästina drohen „Lösungen“, die eher an ein „Handbuch des Kalten Krieges“ als an die Notwendigkeiten einer kooperativen Weltordnung des 21. Jahrhunderts erinnern.
Vor diesem Hintergrund wird es ein Leitlinienpapier zur zivilen Krisenprävention und Friedensförderung nicht leicht haben, gegen den politischen und ministerialbürokratischen Alltag der „Krisenbewältigung“ innovative Kraft zu entfalten. Denn in Zeiten globaler Verunsicherung vermitteln hergebrachte Routinen ein trügerisches Maß an Sicherheit. Wo Chuzpe und Nullsummenlogik zur Erfolgsformel internationalen Handelns erklärt werden, gilt ein Strategiedokument, das auf Kooperation und Verlässlichkeit setzt, schnell als naiv und gestrig. Übersehen wird, dass es nicht ein Zuviel, sondern ein Zuwenig an effektiver internationaler Kooperation war, dessen Folgen wird gegenwärtig allerorts zu besichtigen haben. Wie also kann ein vom Kooperationsgedanken getragenes Leitliniendokument zur Friedensförderung tatsächlich zu einer tragenden strategischen Orientierung werden? Zwei Vorgehensweisen können dabei helfen: organisierte Reflexion und Selbstbindung. Orte für organisierte Reflexion schaffen Kein Strategiedokument kann spezifisch genug sein, um für jede Krise im Vorhinein die Antwort parat zu haben. Die handelnden Akteure, insbesondere in Bundesregierung und Parlament, dürfen daher nicht im permanenten Krisenbewältigungsmodus versinken, sondern brauchen auch Zeit und Raum zur Reflexion. Wie im PeaceLab2016-Prozess braucht es Orte, an denen die Beteiligten Erfahrungen austauschen, Fragen stellen, Wissen justieren und neue Ideen aufnehmen können. Lernplattformen, wie sie aus dem Beirat Zivile Krisenprävention angeregt wurden, können dabei helfen; ebenso eine jährliche Friedenskonferenz, die alle relevanten Akteure zusammenbringt. Selbstbindung für eine kooperative globale Ordnung Zur reflektierten Reaktion auf sich herausbildende Krisen muss die proaktive Gestaltung einer kooperativen globalen Ordnung hinzutreten, die die Entstehung neuer Konflikte von vornherein unwahrscheinlicher werden lässt. Damit das in einer Staatenwelt gelingen kann, die mehr als zu irgendeinem Zeitpunkt seit dem Ende des Kalten Krieges von Misstrauen gekennzeichnet ist, ist das dringendste Gebot, gegenseitiges Vertrauen und Glaubwürdigkeit wieder aufzubauen. Deutschland und Europa haben mit ihrer wirtschaftlichen Macht die Mittel dazu in der Hand. Durch Vorleistungen bei Handelsabkommen, Rüstungsexporten oder Ressourcenbewirtschaftung könnten sie signalisieren, dass ihnen eine kooperative internationale Ordnung „etwas wert“ ist. Eine sinnvolle Maßnahme wäre die Einrichtung eines Mechanismus durch die Bundesregierung oder den Bundestag, der über alle Politikfelder hinweg die Friedensverträglichkeit deutscher „Außenpolitik“ untersucht und friedensschädlichem Handeln entgegenwirkt. Eine solche Selbstbindung würde dem drohenden Zerfall der internationalen Ordnung in widerstreitende Interessenssphären ein Modell kooperativen Friedens entgegensetzen, das nicht auf einer für selbstverständlich gehaltenen wirtschaftlichen Hegemonie des Westens gründet.

Eine längere Fassung dieses Beitrags ist Anfang Februar 2017 auf dem Blog zum Debattenprozess „PeaceLab2016“ erschienen.
Diese Kolumne ist am 02.03.2017 auch bei euractiv.de erschienen.

La UE ante uno de sus años más difíciles

Real Instituto Elcano - mar, 28/02/2017 - 02:26
Comentario Elcano 9/2017 - 28/2/2017
Salvador Llaudes

A la preocupación por el terrorismo, el manejo de la crisis de refugiados o los riesgos económicos existentes, se suma la delicada gestión de la salida del Reino Unido, la imprevisibilidad del presidente Trump y, sobre todo, un ciclo electoral que no dará tregua.

Lehren aus dem Stresstest

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 28/02/2017 - 00:00
Die Europäische Union hat in den vergangenen sechzehn Monaten im Rahmen der Flüchtlingskrise sehr viel Kritik einstecken müssen. Trotz eines schwierigen Beginns hat die Europäische Union in den vergangenen Monaten jedoch in vielen Feldern Handlungsfähigkeit bewiesen und zahlreiche Maßnahmen und Reformen beschlossen. Das vorliegende Papier geht detailliert auf diese Reformen ein und zieht eine Zwischenbilanz der EU-Politik der vergangenen 16 Monate. Kontakt zu den Autoren können Sie über die oben stehende Namen aufnehmen.

Made in Havana: How Colombia and the FARC Decided to End the War

European Peace Institute / News - lun, 27/02/2017 - 23:03

On November 24, 2016, the government of Colombia and the biggest guerrilla group in the country, the Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia–Ejército del Pueblo (FARC-EP), signed a final peace agreement. This accord put an end to the longest armed conflict in the Western Hemisphere and to long and convoluted peace talks.

Timeline of the peace process in Colombia (Click to view full graphic)

What elements of the process contributed to its success? While it may be too early to properly speak of “lessons learned,” IPI’s latest paper highlights the key elements that seemed to have worked and those that made progress difficult. Over the course of the process, several factors emerged as central, both to its successful resolution and to the problems likely to arise during implementation:

  • A limited agenda: Previous talks with the FARC-EP had been burdened by an extremely long agenda that included many issues the public believed should not be settled in a negotiation with an insurgent group. Reflecting this experience, the agreed final agenda addressed just six issues.
  • A peace process removed from Colombia: Cuba’s hosting of the negotiations buffered the talks from the daily occurrences of war and politics in Colombia and provided a controlled environment. While this proved to be essential for the parties to come to an agreement, it left many Colombians feeling removed from the process and limited their sense of ownership.
  • A strategic use of the international community: The dialogue was guided by a central premise: this would be a process “for Colombians, by Colombians.” This meant that the government tightly controlled the process and excluded the possibility of an external mediator. Nonetheless, the Colombian government reached out to and mobilized the international community. Although the involvement of these actors was essential to the successful outcome of the talks, it did not translate into wider legitimacy inside Colombia.

This report will be available in Spanish shortly.

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Primaire de la gauche

Institut Montaigne - lun, 27/02/2017 - 14:27
Date: Dimanche 29 Janvier 2017

Primaire de la droite et du centre : le grand décryptage

Institut Montaigne - lun, 27/02/2017 - 14:13
Date: Dimanche 27 Novembre 2016

Les pays d’Amérique latine dans l’incertitude face à Trump

IRIS - lun, 27/02/2017 - 12:53

Par bien des égards, Donald Trump est un président avec un profil inédit dans l’histoire des Etats-Unis. Concernant les relations avec l’Amérique latine, en quoi sa ligne de politique étrangère marque-t-elle une rupture avec ses prédécesseurs ?

Donald Trump représente un profil nouveau dans le panorama des élections américaines car il est le premier président élu, depuis les années 1990, qui n’affiche aucun projet déterminé pour l’Amérique latine. Depuis la fin de la guerre froide, chaque candidat républicain ou démocrate avait un projet pour l’Amérique latine. Il s’agissait de l’intégrer, via un ou des accords de libre-échange, aux chaînes de valeurs économiques et financières de la première puissance mondiale. Manière par ailleurs de garder la région dans son giron. Mais Trump est le premier président à n’avoir pas soutenu un tel projet, ni durant sa campagne où la région a été quasiment inexistante, ni maintenant qu’il est à la Maison-Blanche. Aujourd’hui, sa politique se limite essentiellement à deux questions : l’immigration et le protectionnisme commercial. Les deux concernent surtout le Mexique, l’Amérique centrale et la Caraïbe.

Précisément, l’immigration a été un sujet central dans la campagne de Trump, qui entend renforcer une politique de répression. Concrètement, quelles seraient les mesures à sa disposition susceptibles de bouleverser les schémas migratoires du continent ? Qu’a-t-il déjà commencé à mettre en place ?

Trump a déjà mis en place plusieurs mesures concernant le Mexique mais d’autres politiques moins évoquées dans les médias existent aussi, à destination des pays centre-américains et de Cuba. Il compte essentiellement mettre en place des mesures de répression migratoire sous plusieurs formes. La mesure la plus médiatisée reste la construction d’un mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique (de plus de 3 000 kilomètres), dont il souhaite imposer l’essentiel du financement au Mexique.

Comment ? Plusieurs pistes. Trump compte renégocier – peut être dissoudre – l’ALENA (Accord de libre-échange nord-américain). Dans ce cadre, si le Mexique souhaitait continuer à avoir des rapports commerciaux privilégiés avec les Etats-Unis, il devrait accepter de prendre en charge le financement du mur. Le président américain annonce également vouloir taxer tous azimuts les envois de fonds (remesas) des Mexicains vivant aux Etats-Unis vers leur famille restée au pays. Actuellement, 12 millions de Mexicains vivent aux Etats-Unis, une famille mexicaine sur deux a un parent qui vit aux Etats-Unis et 20% des familles mexicaines bénéficient de ces envois de fonds (estimés à la somme colossale de 26 milliards de dollars en 2016). Trump menace ainsi de taxer chacun de ces transferts à hauteur de 5% de manière à financer le mur. En fait, il semble formuler les termes d’un chantage au gouvernement mexicain : soit celui-ci accepte de financer une enveloppe de 5 à 10 milliards de dollars pour ce mur – dont le coût annoncé par Trump s’élève à 8 milliards de dollars, alors que le Département de sécurité nationale considère qu’il coûterait en réalité plus de 21 milliards ! – soit le nouveau président américain taxera les remesas.

Enfin, un autre volet de la politique de répression consiste en la signature, il y a quelques semaines, d’un décret présidentiel renforçant les moyens financiers et humains américains à la frontière mexicaine en augmentant les effectifs des patrouilles policières et garde-frontières à hauteur de 15 000 personnes. Dans l’attente du potentiel mur, ce décret prévoit de construire des centres de détention pour migrants. Il faut rappeler qu’il existe déjà une barrière métallique étalée sur plus du tiers de la frontière entre les deux pays.

Concernant les pays centre-américains, en particulier le Guatemala, El Salvador et le Honduras qui forment le Triangle Nord, Trump a confirmé l’enclenchement des programmes élaborés par Barack Obama (notamment l’Alliance pour la prospérité disposant d’une enveloppe de 750 millions de dollars votée par le Congrès en 2015). Ils consistent, entre autres, à financer des plans de contrôle et de sécurisation des frontières, de formation policière et militaire, ainsi que des projets de développement. Le but est d’empêcher les migrants de quitter ces pays disloqués par la pauvreté, la criminalité, la corruption, le narcotrafic et par les problèmes politiques et institutionnels.

A noter également que Barack Obama avait levé, avant la fin de son mandat, une loi dite « Pieds sec pieds mouillés » qui permettait aux Cubains quittant l’île pour rejoindre le sol américain de bénéficier d’un statut privilégié et de résident. Cette loi datait de l’époque de la guerre froide. La Havane a toujours considéré qu’il s’agissait d’une incitation à l’exil pour ses ressortissants et exigeait donc son retrait dans le cadre du processus de normalisation amorcé en 2014. Chose faite. Aujourd’hui, avec la fin de cette loi, tout Cubain parvenant illégalement aux Etats-Unis sera considéré comme n’importe quel autre clandestin. Cette mesure va donc influencer la migration cubaine vers les Etats-Unis.

Le protectionnisme affiché de Trump va certainement redéfinir les relations diplomatiques et commerciales en Amérique latine. Serait-il plus judicieux pour les dirigeants sud-américains d’en profiter pour créer une nouvelle dynamique collective ou s’agit-il au contraire de se tourner vers des partenaires extérieurs comme la Chine ?

L’arrivée de Donald Trump confère très clairement à l’Amérique latine un statut de laboratoire concernant les politiques commerciales. On peut qualifier les politiques protectionnistes du président américain comme relevant d’un « protectionnisme de copains », dans le sens où Trump ne s’attache à aucune doctrine. Il exige simplement une loyauté intégrale de la part des pays qui souhaitent établir un partenariat avec les Etats-Unis. Ceux qui obtempèreront seront récompensés, tandis que les autres seront sanctionnés. Dans cette optique, il souhaite remplacer les cadres de négociation multilatéraux par des cadres bilatéraux, qui permettraient aux Etats-Unis – comprendre à leurs entreprises et classes dirigeantes – de tirer le maximum de bénéfices. En face, les chancelleries et les capitales sud-américaines sont en pleine hésitation et en redéploiement stratégique, qui reste encore aléatoire. La tendance est à l’émergence de nouveaux débats car la position du président américain encourage les pays latino-américains à diversifier leurs partenariats, à la fois avec les Etats-Unis mais également avec la Chine et les autres pays émergents.

La question de l’intégration régionale se pose à nouveau également. Cette intégration économique régionale est actuellement faible en Amérique latine. En effet, l’économie intrarégionale représente à peine 15% des échanges des pays latino-américains, l’essentiel de leur production étant exporté sur les grands marchés mondiaux. Ce sujet revient donc dans l’agenda des capitales latino-américaines mais il est encore beaucoup trop tôt pour savoir s’il se concrétisera. Tout dépendra aussi de l’attitude du Mexique, selon qu’il soit prêt ou non à se redéployer vers l’Amérique latine. Ces questions restent ouvertes et sans réponse. Mais il est évident que l’intégration régionale aurait beaucoup de vertus pour les Sud-Américains, tant pour compenser les chocs de l’économie mondiale que pour se protéger des aléas de la politique nord-américaine.

Pierre-François GOUIFFÈS – L’actif épargne logement, Concilier mobilité et propriété

Fondapol / Général - lun, 27/02/2017 - 12:23

À l’heure où la révolution de l’économie collaborative semble remettre en cause le concept même de propriété au profit de l’usage et de l’expérience, il est utile de rappeler l’organisation de la propriété du logement en France et de voir si cette organisation atténue ou au contraire renforce les deux maux économiques et sociétaux que […]

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Christophe de Voogd présente sa note « Réformer : quel discours pour convaincre ? »

Fondapol / Général - lun, 27/02/2017 - 12:14

Christophe de Voogd présente sa note « Réformer : quel discours pour convaincre ? »

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España en el mundo en 2017: perspectivas y desafíos

Real Instituto Elcano - lun, 27/02/2017 - 11:04
Elcano Policy Paper 1/2017 - 27/2/2017
Ignacio Molina (coord.)

Trabajo colectivo del Real Instituto Elcano que pretende hacer un análisis prospectivo de la posición internacional de España de cara a 2017 y cierto balance de lo ocurrido durante 2016.

1er tour de l'élection présidentielle 2017

Institut Montaigne - lun, 27/02/2017 - 11:03
Date: Dimanche 23 Avril 2017

« Or, argent et folies des grandeurs » – 3 questions à Alessandro Giraudo

IRIS - lun, 27/02/2017 - 10:47

Alessandro Giraudo est Chief Economist du groupe international Tradition. Enseignant à l’ISG-Paris, il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « Or, argent et folies des grandeurs », aux Éditions Economica.

Comment expliquer que l’or et l’argent influencent la vie des hommes depuis plus de 8000 ans ?

Les deux métaux sont rares et résistent à l’usure du temps, en particulier l’or. C’est surtout ce dernier, produit par les supernovas, qui, par ses qualités, alimente et exacerbe l’imaginaire des hommes. Pour les Égyptiens, le métal jaune était la chair du dieu Râ et, pour les Incas, il représentait les larmes du soleil. Des civilisations très différentes, dans des lieux géographiques très éloignés, sans la possibilité de communiquer et dans des époques diverses, ont toujours choisi les mêmes métaux et leur ont attribué une grande valeur. Les textes religieux dans le monde entier et presque toutes les images de la mythologie de plusieurs pays parlent systématiquement de ces métaux précieux. Les temples, les églises et les centres du culte religieux contiennent est exposent de l’or et de l’argent. Les hommes ont toujours été à la recherche d’Ophir et de Tharsis, les villes mythiques où furent trouvé l’or et l’argent. Les mythes de l’Eldorado, de la Ville de l’Or, de Quivira, de Cibola, de la Sierra de la Plata et de l’Île de l’Or dans l’océan Pacifique peuplent l’imaginaire et les rêves des hommes. Ils attirent des expéditions, qui sont rarement fructueuses et souvent dangereuses. Des milliers d’esclaves meurent de soif dans les mines nubiennes, d’autres sont sacrifiés dans les mines d’argent du Laurion pour financer le siècle d’or d’Athènes : les damnata ad metalla meurent dans les mines romaines ; beaucoup d’esclaves sont engloutis dans les mines des califats ; les mitayos andins et les esclaves africains tombent comme des mouches dans les mines à Potosí et à Huancavelica (le mercure utilisé pour extraire l’argent). Les bandierantes et les garimpeiros au Brésil, les prisonniers politiques et ordinaires en Sibérie, les Johnny newcomers en Californie, les coolies chinois et les mineurs noirs en Afrique du Sud ont des vies très courtes.

Les métaux jaune et blanc ont toujours financé les pouvoirs et les guerres, l’imaginaire et les caprices des hommes, les rançons, le commerce et les échanges de biens. Ils ont acheté le pardon du ciel et les caresses envoutantes des femmes de petite vertu. Un vieux proverbe persan affirme que l’or est la monnaie des rois, l’argent celle des marchands et la dette est la monnaie des pauvres ! Et le paradoxe de l’or, surtout, est d’être extrait dans les entrailles de la terra pour y retourner sous forme de lingot dans les coffres des banques centrales et dans les caveaux de Paradeplatz et de Banhofstrasse à Zurich !

La découverte de gisements est-elle une bénédiction ou une malédiction ?

Dans les premiers instants, la découverte de gisements représente la manne qui tombe du ciel et participe au développement du pays ou, tout seulement, en retarde la décadence, comme dans le cas du Portugal avec la découverte de l’or brésilien. Mais, ensuite, très souvent, ces découvertes se transforment en un cas classique de « malédiction des matières premières ». Il s’agit d’une condition qui tue à feu doux le futur d’un pays dont les dirigeants s’habituent à la dépense facile. Quand les ressources viennent à manquer, la chute est fracassante, comme dans le cas des pays pétroliers (2015-2016). Le cas le plus dramatique est illustré par l’Espagne qui a découvert l’argent américain au cours du XVIème siècle. Grands d’Espagne et hidalgos n’investissent plus dans des projets productifs et créateurs, mais placent leurs richesses dans les « juros », les bons du trésor que le roi s’engage devant Dieu à rembourser. En 90 ans, le trésor espagnol déclare six banqueroutes et le pays, ne produisant presque plus rien, doit importer beaucoup de biens. Il entre alors dans une décadence dorée mais inexorable.

L’or a-t-il favorisé toutes les folies humaines ?

L’or et l’argent ont financé beaucoup de folies des rois, des princes, des religieux… Les deux métaux ont contribué à la splendeur de Babylone (mines d’argent de la Mésopotamie), des Pyramides et des grands temples égyptiens (mines d’or nubiennes), du Parthénon (argent du Laurion), du Colisée (butin rapporté de Jérusalem par Vespasien), d’une partie de la muraille chinoise et du grand canal Beijing-Hangzhou (or et argent du Yunnan), des merveilles de Byzance (Sainte Sophie aurait couté 5 tonnes d’or et 11 tonnes d’argent), de l’essor de Bagdad de l’an mille (encore les mines iraniennes et afghanes de Benjahir). Et il ne faut pas oublier les cathédrales médiévales et les églises de l’Europe de la renaissance et de l’époque baroque (le fameux Gottes Geld), de la cité interdite de Beijing, du Taj Mahal (coût de 32 millions de roupies), des palais et des résidences des princes et des rois en Europe et dans le reste du monde.

Mais l’or et l’argent ont aussi financé les guerres. On peut citer l’expansionnisme égyptien des XVIIIème et XIXème dynasties (encore l’or nubien), les guerres d’Athènes (mines du Laurion) et du Péloponnèse partiellement financées par l’or et l’argent de l’Empire persan. Après avoir pillé le fabuleux trésor de Darius (190.000 talents de métaux précieux), Alexandre se lance à la conquête de l’Inde (et des mines d’or de Karnataka qui financent – plus tard – les Gupta et l’Empire Vijayanagara), les califats exploitent les mines espagnoles et les mines afghanes pour financer leur expansion. Les croisades et, ensuite, la guerre de Cent Ans sont financées par les mines d’argent du Devon et de l’Allemagne et par les banquiers italiens … Mais les rois (anglais et français) « oublient » de rembourser leurs dettes et le système bancaire des Lombards s’effondre vers 1340 ! La découverte de l’argent mexicain et péruvien finance les guerres de l’Empire espagnol, dirigées par deux « impresarios de la guerre », Charles V et son fils Philippe II. Les découvertes de l’or et de l’argent dans l’Empire russe arment les troupes des czars comme la découverte de l’or californien qui aide d’une façon importante la lutte des Nordistes contre les Sudistes. Les deux guerres des Boers sont aussi financées par l’or découvert en Afrique du Sud. Le Japon vend beaucoup d’or à la Réserve fédérale américaine entre mi-1937 et les mois précédant Pearl Harbour et Hitler peut prolonger la guerre grâce à l’or qu’il pille dans les pays conquis. Les SS organisent même les Devisenschutzkommandos, unités spéciales composées par des hommes travaillant dans le monde bancaire, capables de lire la comptabilité et de dénicher des métaux précieux à l’intérieur de la banque et chez les particuliers…

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Le 26 mars, les Bulgares sont conviés aux urnes pour renouveler les 240 députés de leur Parlement. 12 partis et 9 coalitions sont en lice pour ces élections législatives. Selon la dernière enquête d'opinion réalisée par l'institut Trend, le GERB avec 29,7% serait au coude-à-coude avec le Parti socialiste (BSP) (28,7%).

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Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 27/02/2017 - 01:00
Les inscriptions pour le Prix franco-allemand du journalisme 2017 sont ouvertes jusqu'au 1er mars et concernent des sujets qui contribuent à une meilleure compréhension entre la France et l'Allemagne dans le contexte européen.

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