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Diplomacy & Defense Think Tank News

Trump und der »Asia pivot«

SWP - mer, 29/03/2017 - 00:00

Ein Zwischenfall im Südchinesischen Meer hat schon vor der Amtseinführung von US-Präsident Donald Trump zu einer ersten Belastungsprobe der neu auszutarierenden sino-amerikanischen Beziehungen geführt: China hatte im Dezember 2016 nahe dem Scarborough-Riff eine Unterwasserdrohne der US-Marine beschlagnahmt. Der designierte US-Außenminister Rex Tillerson versprach daraufhin bei seiner Anhörung im Senat, Pekings Machtansprüchen mit »klaren Signalen« entgegenzutreten. Damit drohte sich ein Konflikt zu verschärfen, in dem die Obama-Administration vorsichtig und zurückhaltend agiert hatte. Aber noch lässt sich keine Strategie für den asiatisch-pazifischen Raum erkennen. Statt grundlegendem Wandel gilt im Rahmen maritimer Sicherheit offenbar eher Kontinuität. Die Streitkräfteplanung ist von der einfachen Politik des »more of the same« geprägt. Während vieles unklar bleibt, erweist sich lediglich der auf China gerichtete Fokus der US-Außenpolitik als beständig.

Présidentielle 2017 : Entretien avec Gérard Collomb – Mercredi 29 mars 2017

Fondapol / Général - mar, 28/03/2017 - 18:14

Dans le cadre d’une série d’auditions des représentants des candidats à l’élection présidentielle, la Fondation pour l’innovation politique a reçu Gérard Collomb, soutien d’Emmanuel Macron, mercredi 29 mars.

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Le Mali toujours en quête de réconciliation nationale

IRIS - mar, 28/03/2017 - 17:06

Lundi 27 mars s’est ouverte la Conférence d’entente nationale à Bamako, au nom de la paix et de l’unité de la nation malienne, alors que le conflit dans le pays dure déjà depuis cinq années. Décryptage de Philippe Hugon, directeur de recherche à l’IRIS.

Après cinq ans de conflit, quelle est la situation au Mali ? L’accord de paix d’Alger signé en 2015 a-t-il été suivi d’effets concrets ?

On peut effectivement considérer qu’il y a eu certaines avancées puisqu’après l’intervention de l’opération Serval française, soutenue par les Nations unies et par un certain nombre d’armées africaines, les djihadistes qui menaçaient Bamako ont été repoussés. Cela a ainsi rendu possible d’organiser des élections, notamment celle du président IBK, qui se sont déroulées correctement. De ce point de vue-là, il y a donc eu une avancée politique.
Ceci étant, ni la réconciliation nationale, ni la pacification du territoire n’ont été réalisées. Sur ce plan, l’accord d’Alger ne s’est donc pas traduit par des résultats très concrets. Pourquoi ? D’une part parce qu’il n’existe pas de pouvoir fort, capable de véritablement prendre en main les grands enjeux d’une réconciliation nationale. On observe donc une faillite de la classe politique malienne. D’autre part, se pose le problème de la sécurisation du territoire. Il faut cependant noter que l’insécurité ne se résume pas simplement aux djihadistes au nord, ni à la possibilité d’attentats à Bamako ou ailleurs. En réalité, le problème d’insécurité est fondamentalement dû au fait de la persistance des conflits entre communautés, entre les éleveurs peuls et les agriculteurs, entre les autochtones ayant des droits – ou ceux qui se définissent comme tels – et les étrangers halogènes, etc. Ces oppositions sont à la base des conflits. Or, comme l’État malien n’est pas capable ni d’assurer ses fonctions régaliennes, ni de contrôler le territoire pour garantir la sécurité des biens et des personnes, on assiste à une montée de l’insécurité dans le pays.
Enfin, demeure le problème de l’Azawad, avec évidemment la question de sa désignation. Cette région est également en proie avec des conflits entre différentes communautés. L’Azawad est en effet non seulement très différente du monde bambara au sud du Mali, mais elle est également composée de très nombreuses communautés : peuls, songhaïs, arabes, etc. Il n’existe donc aucune unité socioculturelle au sein même de l’Azawad.

Que peut-on attendre de la Conférence d’entente nationale ? Comment interpréter le boycott de l’opposition et des ex-rebelles ?

La réconciliation nationale du Mali est une nécessité. Cette Conférence d’entente nationale, qui regroupe environ 300 personnes, représente un élément de dialogue entre les différentes forces existantes, qu’il s’agisse des forces politiques, des représentants de la société civile ou des différents acteurs qui essayent d’intervenir dans la crise malienne. Il faut toutefois noter que cette conférence n’a pas de pouvoir de décision, elle représente seulement une possibilité de dialogue, de rencontre et de consultation. Ceci étant, cette réunion ne peut réussir qu’à condition que toutes les parties présentes puissent dialoguer. De ce point de vue, on observe l’existence de divisions extrêmement importantes au sein des mouvements, notamment touareg. Un homme comme Iyad Ag Ghali, qui est lui-même un Touareg soutenu en partie par l’Algérie, joue un rôle très important. Et cela d’autant plus que le conflit a aussi pris une dimension djihadiste à travers l’opposition entre les groupes rattachés à AQMI et ceux qui envisagent éventuellement des liens avec Daech. Ainsi, ces différents groupes, opposés soit pour des raisons socioculturelles et ethno régionales, soit pour des questions de stratégie djihadiste, ne veulent absolument pas d’une conférence de réconciliation.
Il faut donc espérer qu’un consensus et qu’une réconciliation nationale suffisante naissent, et qu’une solution d’autonomie relative pour l’Azawad soit trouvée, afin de permettre aux forces voulant assurer la paix, la sécurité et la réconciliation de l’emporter.

Concernant l’armée française et la communauté internationale, les opérations Barkhane et Minusma sont-elles enlisées sur le terrain ?

Grâce à ces opérations, les forces djihadistes ont pu être endiguées et le territoire malien a pu être sécurisé a minima. Ceci étant, si des batailles ont certes été remportées, la guerre, elle, est loin d’être gagnée. Tout le monde est conscient que la force Barkhane risque ainsi de s’embourber. Il existe en effet toujours des risques d’enlisement dans le temps parce qu’hélas, aucun substitut rapide ne se dégage, notamment de la part des forces de l’ordre nationales.
Demeure également le risque que les forces d’intervention étrangères commettent quelques bavures. À ce moment-là, ces armées peuvent apparaître auprès des populations locales comme des forces d’occupation, même si elles sont évidemment intervenues à la demande des autorités nationales et avec l’aval du Conseil de sécurité. Il est donc prioritaire et urgent que les forces maliennes et régionales africaines prennent le relai par rapport à la force Barkhane. La force française peut certes intervenir en appui logistique et en appui de renseignements mais il est évident qu’il faudrait trouver une meilleure réponse. Or, pour l’instant, cette réponse n’existe pas. Certes, quelques armées européennes, notamment allemandes, sont maintenant également présentes sur le territoire malien mais il n’existe aucune intervention qui soit adaptée à l’enjeu de la situation.

Historische Ereignisse: 1997 - Berufung von Joachim Herrmann zum Stellvertretenden CSU-Generalsekretär

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 28/03/2017 - 11:01
Am 12. April 1997 wurde der Erlanger Landtagsabgeordnete Joachim Herrmann zum Stellvertretenden CSU-Generalsekretär ernannt.

Einführung der Wehrpflicht am 1. April 1957

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 28/03/2017 - 09:46
Unter Verteidigungsminister Franz Josef Strauß wurden 1957 die ersten Wehrpflichtigen zum Grundwehrdienst eingezogen.

Historische Ereignisse im April 2017

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 28/03/2017 - 09:23

01.04.1957    vor 60 Jahren

Einberufung der ersten Wehrpflichtigen

11.04.1967    vor 50 Jahren

Eintragung der Hanns-Seidel-Stiftung in das Vereinsregister beim Amtsgericht München.

12.04.1997    vor 20 Jahren

Joachim Herrmann wird zum stellvertretenden Generalsekretär der CSU berufen. Bis zur Bundestagswahl 1998 werden die Aufgaben des Generalsekretärs faktisch nach Bundespolitik und Landespolitik geteilt.

16.04.1867 vor 150 Jahren

Verfassung des Norddeutschen Bundes

26.04.1947 vor 70 Jahren

Gründung der Arbeitnehmer-Union (CSA)

Runde Geburts- und Todestage im April 2017

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 28/03/2017 - 09:06

05.04.1987
30. Todestag Gottfried Hart

07.04.1887   
130. Geburtstag Lorenz Sedlmayr

09.04.1927
90. Geburtstag Peter Höffkes

11.04.1997   
20. Todestag Hans Raß

16.04.1927

90. Geburtstag Papst Benedikt XVI.

17.04.1947   
70. Geburtstag Albert Deß

17.04.1897   
120. Geburtstag Adam Nüssel

21.04.1892   
125. Geburtstag Emil Muhler

30.04.1947   
70. Geburtstag Thomas Goppel

El paso del portaaviones ruso Almirante Kuznetsov remueve las aguas del Estrecho

Real Instituto Elcano - mar, 28/03/2017 - 08:15
ARI 26/2017 - 28/3/2017
Luis Romero Bartumeus

El tránsito del portaaviones ruso Almirante Kuznetsov desde el mar de Barents hasta las costas sirias, atravesando el estrecho de Gibraltar, provocó una tormenta político-estratégica que afectó a España directamente.

The Right Moment to Reform the EU Budget

SWP - mar, 28/03/2017 - 00:00

The High Level Group on Own Resources (HLGOR) chaired by Mario Monti presented its final report on 17 January 2017. It contains recommendations for reform of the European Union’s own resources system. In October 2016, as part of its mid-term review of the EU’s Multiannual Financial Framework (MFF 2014-2020), the European Commission marked starting points for reforms on the expenditure side of the EU budget. Now, the EU is turning its attention to the revenue side. The European Commission must draw up its proposals for the next MFF, applicable after 2020, by the end of 2017. The debate on a comprehensive reorganisation of European budget policy will then begin to gather speed.

Landtagswahl im Saarland am 26. März 2017

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 28/03/2017 - 00:00
Die CDU hat die Wahl im Saarland mit einem Plus von 5,5 Punkten und einem Ergebnis von 40,7 Prozent gewonnen. Die Analyse...

Donald Trump mis à l’épreuve par le Congrès : le président peut-il rebondir après des échecs symboliques ?

IRIS - lun, 27/03/2017 - 18:04

Alors que réformer « l’Obamacare » était une promesse phare de la campagne de Donald Trump, ce dernier a finalement dû renoncer à ce projet de loi faute de voix nécessaires au sein de son propre parti. L’analyse de Marie-Cécile Naves, chercheuse associée à l’IRIS.

Comment expliquer que Donald Trump n’ait pas réussi à mener à bien cette réforme alors que depuis sa création, l’Obamacare était farouchement critiqué par les républicains ?

Depuis l’entrée en vigueur de l’Affordable Care Act (« Obamacare ») en 2010, les Républicains n’ont cessé de réaffirmer leur volonté de remplacer cette loi. Leurs critiques s’étaient atténuées au fil des années mais elles ont connu un regain depuis l’élection de Trump. Mais comment être sûr d’avoir un système moins coûteux (pour les entreprises comme les particuliers), sans fragiliser la protection-santé des classes moyennes ? Comment éviter que des millions d’individus et de ménages ne se retrouvent sans assurance ? En réalité, le projet de Trump – décidé à la va-vite, sans concertation et avec pour principal moteur la baisse des dépenses publiques et des taxes -, aurait fait perdre leur assurance-santé à 25 millions d’Américains.

La veille du vote, un sondage de la Quinnipiac University estimait que seuls 17 % des personnes interrogées soutenaient le projet de loi, 56 % étant contre. Le projet a du reste été retiré, faute de majorité à la Chambre des représentants. Cela signifie que les élus républicains sont fortement divisés sur ce sujet et que l’opposition ne se limite pas aux ultras versus les modérés. Ainsi, une partie de l’aile droite des Républicains, regroupée au sein du « Freedom Caucus », trouvait que le texte ne rompait pas assez avec l’Obamacare. À l’opposé, des groupes de pression comme l’Americans for Tax Reform, autrefois proche du Tea Party, poussaient pour l’adoption de la nouvelle loi. Quant aux élus modérés, ils étaient contre le projet.
D’une manière générale, remplacer l’Obamacare est compliqué pour les membres du Congrès. Et cela à la fois du côté des représentants – qui ont des comptes à rendre à leurs électeurs à court terme puisqu’ils remettent leur mandat en jeu tous les deux ans – et des sénateurs, qui ont sous leur responsabilité des circonscriptions plus vastes et donc des administrés à la sociologie plus diverse et complexe en matière de santé.

Après l’échec des deux décrets présidentiels sur l’immigration, ainsi que les gages donnés par Trump aux ultra-conservateurs sur la dérégulation environnementale et sur la remise en cause de l’accès à l’avortement, ce projet de loi était un test relatif à l’unité du camp républicain. Autant dire que c’est un double échec. D’une part, de la stratégie de Trump de faire fi du fonctionnement institutionnel et de tout traiter par le « deal », comme en affaires. D’autre part, des élus conservateurs qui, dans la continuité des huit années de présidence Obama – comme je l’explique dans mes deux derniers livres* -, pâtissent d’oppositions très fortes, que l’élection de Trump n’a certainement pas levées.
Cet échec fragilise donc le président (de même que le vice-président Pence, politicien aguerri, qui doit aussi prendre sa part de responsabilité) et affaiblit sa crédibilité auprès des parlementaires et des mouvements ultraconservateurs. De nombreux médias et une partie croissante de l’opinion le voient de plus en plus comme incompétent, alors qu’il s’est fait élire sur une image d’autorité et de détermination face aux institutions. En réalité, Trump paie son populisme, ainsi que son mépris du fonctionnement de la démocratie. « Oubliez les petits détails à la con », aurait-il dit la semaine dernière à des élus de la Chambre, selon CNN. Il a beau jeu d’accuser les Démocrates d’avoir refusé tout compromis. N’a-t-il pas reconnu publiquement, en février dernier, que la réforme de la santé « c’est plus compliqué » qu’il ne « l’aurait cru » ? Ces propos sont pour le moins stupéfiants.

De quelle marge de manœuvre Trump dispose-t-il pour gouverner face à cette division des républicains ? Dans ce contexte, comment se profile son projet de réforme fiscale, autre dossier majeur de son agenda ?

Donald Trump est contraint de s’entendre avec le speaker de la Chambre. S’il entrait, comme le lui suggèrent ses partisans, dans une opposition frontale avec Paul Ryan, ce serait vraiment très risqué pour la suite des réformes qu’il veut mener à bien.
Le président semble du reste désireux de passer à autre chose (un nouveau projet de loi santé verra-t-il le jour ? Quand ? Nul ne le sait pas) pour se concentrer sur la réforme fiscale, qui fait aussi partie de son projet. Le style de communication ne change pas, Trump restant dans le registre performatif : « Nous allons probablement commencer à y aller très, très fort avec les grosses coupes d’impôts », a-t-il déclaré. Pendant la campagne, il a en effet promis une diminution de l’impôt sur les sociétés de 35 à 15%, mais qui devait notamment être financée par… les économies liées à la réforme de la santé. Le déficit fédéral pourrait alors être la solution de repli, ce qui ne plaira pas à l’aile droite conservatrice.
La santé n’est donc pas le seul sujet de discorde : outre la fiscalité, la réforme des lois sur l’immigration et la gestion de la dette fédérale occasionneront sans nul doute de très vifs débats.

Le FBI vient de confirmer l’existence d’une enquête sur les liens entretenus durant la campagne présidentielle par l’équipe Trump avec la Russie. Quelles pourraient-être les répercussions d’une telle enquête sur le président ?

Le FBI mène en effet une enquête pour déterminer quel rôle l’équipe présidentielle en place a joué dans l’ingérence probable de la Russie dans la campagne présidentielle de 2016. Parallèlement, l’Intelligence Committee du Sénat prévoit d’auditionner Jared Kushner, gendre du président, à propos notamment de rencontres qu’il aurait eues avec l’ambassadeur russe, Sergey Kislyak, pendant la période de transition à la Maison-Blanche – aux côtés de Michael Flynn, conseiller ayant depuis démissionné -, ainsi qu’avec une banque nationale russe de développement. Ces rencontres ont-elles eu lieu pour le compte de Donald Trump, pour l’intérêt des entreprises Kushner, ou pour les deux à la fois ? Quant au ministre de la Justice, Jeff Sessions, il a reconnu avoir menti lors de ses déclarations sous serment au cours de son audition au Sénat préalable à sa confirmation, à propos de rencontres en juillet et septembre 2016 avec le même Kislyak.
Du côté de Trump, on tente de minimiser et de détourner l’attention en dénonçant une « chasse aux sorcières » de la part de ceux qui n’acceptent toujours pas son succès du 8 novembre dernier. En réalité, le risque est grand pour le président, ainsi que pour son entourage professionnel et familial – la frontière entre les deux n’existant pas –, de perdre encore en crédibilité.
S’il est avéré que Trump ou ses proches ont participé à un trucage de l’élection avec la complicité de la Russie, ce serait extrêmement grave. Si rien n’est prouvé, le soupçon demeurera néanmoins, renforçant encore un peu plus une opposition qui, notamment dans la société civile (mouvements de défense des immigrés, de protection de l’environnement, des droits des femmes, etc.), considère le président élu comme un imposteur incompétent et dangereux pour la démocratie. Mais sa crédibilité est aussi mise à mal dans son propre camp. Trump est aujourd’hui dans une dynamique négative et il va être intéressant de voir si, et comment, il pourra rebondir.

*Marie-Cécile Naves est notamment auteure de « Le nouveau visage des droites américaines. Les obsessions morales, raciales et fiscales des Etats-Unis » (FYP, 2015) et de « Trump, l’onde de choc populiste » (FYP, 2016).

Présidentielle 2017 : Entretien avec Henri de Castries – Lundi 27 mars 2017

Fondapol / Général - lun, 27/03/2017 - 17:56

Dans le cadre d’une série d’auditions des représentants des candidats à l’élection présidentielle, la Fondation pour l’innovation politique a reçu Henri de Castries, soutien de François Fillon, lundi 27 mars.

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ICM Policy Paper: Weapons of Mass Destruction

European Peace Institute / News - lun, 27/03/2017 - 16:57

While the threat of weapons of mass destruction (WMD) may seem antiquated and unlikely to materialize, the mere existence of WMD remains one of the paramount threats to mankind. Nuclear weapons present not only the biggest existential threat, but also the biggest gap in the multilateral disarmament and non-proliferation architecture. In this context, on March 27, 2017, more than 100 countries launched the first UN talks on a global nuclear weapons ban.

This policy paper explores key challenges and developments in the field of non-proliferation and disarmament of WMD, with an emphasis on nuclear arms. Based on extensive consultations with representatives of states, various UN entities, and civil society, as well as subject-matter experts, this paper details recommendations laid out in the ICM’s final report, published in September 2016. To revitalize the UN disarmament and non-proliferation machinery, it offers a number of recommendations for a secretary-general willing to lead this effort:

  • Strengthen the UN disarmament machinery;
  • Support the IAEA’s increasing responsibilities;
  • Implement Security Council Resolution 1540 and other paths to innovative multilateralism;
  • Assess the role of new technologies; and
  • Engage civil society.

To stand with those who are committed to working multilaterally and reforming the international community, we are asking people to use the hashtag #MultilateralismMatters. For more, including sample tweets and graphics, read IPI’s Social Media Toolkit here. For other IPI news, events, and publications about weapons of mass destruction, see here.

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La 29e Sera au Royaume-Uni

IHEDN - lun, 27/03/2017 - 15:32

La 29e promotion de la Session européenne des responsables d’armement (Sera), conduite par l’ingénieur général de l’armement Daniel Argenson, ...

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Derrière la présidentielle, l’enjeu des législatives

Fondapol / Général - lun, 27/03/2017 - 13:45

Transformer une victoire présidentielle en majorité parlementaire ne va pas de soi pour Emmanuel Macron ni pour Marine Le Pen. Les législatives s’annoncent en effet délicates pour ces deux favoris des sondages qui aspirent l’un et l’autre à une recomposition politique. François Fillon en a fait un de ses principaux arguments : « Je suis […]

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Landtagswahl im Saarland: Kein Signal für neues rot-rotes Bündnis

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 27/03/2017 - 13:28
CDU gewinnt die Wahl im Saarland mit 40,7 Prozent deutlich • Hohe Wahlbeteiligung • AfD kann eigene hohe Erwartungen nicht erfüllen • Absage an rot-rot-grün • Regierungserfolge und Kompetenz des politischen Personals werden honoriert

Des déserts médicaux aux oasis de santé

Institut Montaigne - lun, 27/03/2017 - 12:46
Date: Jeudi 23 Mars 2017Description: Jeudi 23 mars, à l’Académie de médecine, la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), l’Institut Montaigne et Santé au 55 Faubourg réunissaient les responsables Santé des principaux candidats à l'élection présidentielle de 2017 : Olivier Véran pour En Marche!, Noam Ambrourousi pour France Insoumise, Nicolas Leblanc pour le Parti socialiste / EELV et Valérie Boyer pour Les Républicains. Mickaël Ehrminger (Front national) a annulé sa participation.4 thèmes ont été débattus à cette occasion :- Comment fédérer les professionnels au service du patient ? Avec Gérard Raymond, Président, Fédération française des diabétiques- Comment attirer les professionnels de santé dans les territoires ? Avec Pierre de Haas, Ancien Président, Fédération française des maisons et pôles de santé,- Comment profiter des innovations et mettre en lien hôpitaux et médecine de ville ? Avec Michel Claudon, Président, conférence nationale des présidents de commission médicale d'établissement (CME) de CHU- Urgences et territoires : comment concilier proximité, compétence et rapidité ? Avec Pierre Carli, Médecin chef, Samu de Paris. Déserts médicaux : de quoi parle-t-on ?L’accès aux soins est aujourd’hui la première priorité en matière de santé. Les déserts médicaux désignent des zones du territoire où la concentration de professionnels de santé est insuffisante par rapport aux besoins du territoire. Cette désertification est croissante compte tenu des départs à la retraite de nombreux médecins non remplacés, de la baisse du temps médical disponible, de la hausse des délais d’attente et de la croissance des besoins de la population. Elle ne touche pas que les zones rurales et périurbaines mais commence également à être une réalité dans les grandes villes. Le dispositif de lutte contre les déserts médicaux mis en place par le ministère de la Santé touche près de 12 millions de Français. La situation s’aggrave notamment dans la médecine générale et d’après le Conseil de l’Ordre, si rien n’est fait, la France aura perdu un quart de ses généralistes entre 2007 et 2025.Les déserts médicaux : un enjeu prioritaire pour tous les candidatsPour tous, le politique doit accompagner, voire coordonner les acteurs du monde de la santé et donner une impulsion et une cohérence aux politiques de santé, afin d'assurer le respect du principe de continuité territoriale. Dans chaque territoire doit être mis en place un système de santé adapté et choisi par les professionnels de santé du territoire, au service des patients.A part Nicolas Leblanc (PS), les autres représentants des candidats s’accordent sur l’inefficacité du numerus clausus en France jugé décourageant et inadapté, notamment par Olivier Véran (EM). Celui-ci qui souligne que ce système encourage les étudiants français à "délocaliser leurs études" avant de revenir exercer sur le territoire.  Maisons de santé et centres de santé : le regroupement des professionnels en débatUnanimement, les candidats proposent de regrouper les professionnels pour rendre leur exercice plus attractif. Olivier Véran (EM) comme Noam Ambrourousi (FI) souhaitent 2 000 maisons de santé de plus sur le territoire, Nicolas Leblanc (PS) en vise 1 500.Les modalités sont en réalité assez différentes : là où l’exercice libéral et les statuts plus souples sont mis en avant par Valérie Boyer (LR) et Olivier Véran (EM), Nicolas Leblanc (PS) indique que l’exercice salarié est à envisager pour permettre de lutter contre les déserts médicaux. Le recours au salariat et aux médecins fonctionnaires au sein de centres de santé est mis en avant par le représentant de France Insoumise.Mesures coercitives ou liberté des médecins ?Valérie Boyer (LR) et Olivier Véran (EM) affirment la ferme opposition de leurs candidats face aux mesures coercitives. Ils jugent primordial de préserver le caractère libéral de la médecine en laissant aux médecins le choix du lieu de leur installation.Les représentants de France Insoumise et du Parti socialiste n’excluent pas l’intervention de l’Etat et le recours aux mesures coercitives. Nicolas Leblanc (PS) envisage ainsi de retirer leurs conventionnements aux médecins qui voudraient s’installer en zone surdotée. Noam Ambrourousi (FI) n’exclut pas non plus de recourir à des mesures contraignantes, en cas d’échec des dispositions incitatives, que Jean-Luc Mélenchon souhaite cependant privilégier. Il considère également que l’origine sociale des médecins est un facteur non-négligeable des déserts médicaux et pense donc que la mixité sociale au sein des études de médecines pourra jouer.Valérie Boyer (LR) veut mettre fin au tiers payant pour restaurer la confiance avec les professionnels de santé là où Olivier Véran (EM) souhaite le rendre "généralisable mais pas généralisé " afin de laisser la liberté aux acteurs de s’en emparer. Pour Nicolas Leblanc (PS), il s’agit d’une mesure qui va dans le sens de la simplification et d’un meilleur accès aux soins.Le numérique est une priorité pour l’ensemble des représentants des candidatsFédérer le monde médical au service du patient passe aussi par une meilleure utilisation du numérique et des nouvelles technologies dans le cadre de la télémédecine (gain de temps médical) ou encore du dossier patient numérique. Les professionnels de la santé doivent être formés à ces enjeux.Valérie Boyer (LR) considère que les nouvelles technologies peuvent faire le lien entre la médecine de ville et l’hôpital, et que celles-ci sont un important facteur de libération du temps médical. Nicolas Leblanc (PS) voit dans la télémédecine un important levier d’accès aux soins et encourage l’émergence de nouvelles pratiques telles que les télédiagnostics. Selon lui, l’hôpital doit être au centre de ces nouvelles pratiques et son financement doit être revu à cet effet.Olivier Véran (EM) déplore de son côté que la France soit toujours en retard sur les innovations et a pour objectif de mieux les anticiper. Il souhaite développer la recherche interventionnelle pour une meilleure organisation et développer les expérimentations. Comme Valérie Boyer (LR), il affirme que les nouvelles technologies peuvent permettre de désencombrer les urgences et rappelle qu’Emmanuel Macron a promis 5 milliards d’euros pour "numériser le système de santé".  Noam Ambrourousi (FI) prône de son côté l’unification des systèmes informatiques pour faciliter les parcours patients. Des études médicales à réformerTous les les candidats s’accordent sur l’importance de former tous les professionnels de santé aux nouvelles technologies et à la médecine générale encore peu valorisée dans les parcours de formation des médecins.Olivier Véran (EM) et Valérie Boyer (LR) veulent encourager les stages dans les cabinets libéraux. Nicolas Leblanc (PS) s’est également exprimé sur la volonté de son candidat de développer les stages en ambulatoire, afin de faire connaitre et apprécier les différentes modalités d’exercice. Noam Ambrourousi (FI) déclare de son côté qu’il faut former les médecins aux traitements spécifiques, réformer les études et encourager les stages en médecine de ville pour l’ensemble des professionnels de santé (pas uniquement les médecins).Les urgences : comment concilier rapidité et qualité de soins ?Les urgences ont longtemps été cantonnées au seul périmètre hospitalier. La médecine générale et son rapport à l'urgence doivent aujourd'hui être repensés, d'un point de vue à la fois organisationnel et financier. Les mutations profondes qu'ont connu les urgences ces dernières années ont entraîné des attentes nouvelles de la part des patients (demande de prise en charge rapide, composante sociale, santé mentale, etc.). Ces demandes doivent être intégrées grâce à un meilleur continuum entre la ville et l'hôpital.Pour Olivier Véran (EM), l’enjeu de la tarification est central pour permettre un meilleur parcours de soin et une véritable coordination ville-hôpital. Le paiement à l’acte doit également être entièrement revu pour France Insoumise.Donner plus de temps aux professionnels de santéValérie Boyer (LR) rappelle que son candidat souhaite augmenter le temps de travail à l’hôpital et rétablir le jour de carence pour redonner des moyens aux hôpitaux. A l’inverse, Noam Ambrourousi (FI) est fermement opposé à l’augmentation du temps de travail et souhaite embaucher massivement à l’hôpital pour répondre aux besoins des patients.Valérie Boyer propose de libérer le médecin de certaines tâches en déléguant les compétences, notamment aux infirmières cliniciennes, et en réduisant les contraintes administratives. 

Das globale Klimafinanzierungssystem – Stärker als die Summe seiner Teile?

Seit die Leugnung des Klimawandels in etlichen Ländern wieder Fahrt aufnimmt, konzentrieren sich Kritiker des Klimaschutzes auf dessen internationale Finanzierung. US-Präsident Trump, der wiederholt bezweifelt hat, dass menschliches Handeln das globale Klima verändert, hat angekündigt, „Milliarden-Zahlungen an UN-Klimaschutzprogramme (zu) streichen“. In Deutschland will die rechtsstehende Alternative für Deutschland (AfD) alle Klimaschutzvereinbarungen einschließlich der finanziellen Verpflichtungen aufkündigen. Wenn andere Länder den USA bei der Rücknahme ihrer Zusagen folgen, kann dies die Dynamik gefährden, die in den vergangenen Jahren in der internationalen Klimafinanzierung entstanden ist. Auf der Klimakonferenz von Kopenhagen 2009 haben sich die Industrieländer verpflichtet, den Entwicklungsländern zu helfen, die Treibhausgasemissionen zu senken und die Widerstandsfähigkeit gegenüber dem Klimawandel zu erhöhen, indem sie bis 2020 jährlich 100 Mrd. US-Dollar aus öffentlichen und privaten Quellen mobilisieren. Die Jahre bis zum wegweisenden Pariser Abkommen 2015 brachten eine Reihe neuer Institutionen, die die Klimafinanzierung regulieren. Öffentliche Entwicklungshilfe (ODA) spielte bei der Ausweitung der Klimafinanzierung eine wesentliche Rolle: Die OECD schätzt, dass 2014-15 ODA zu 20 Prozent klimabezogen war. Allerdings beanstanden Entwicklungsländer und NGOs, dass die Doppelzählung von Klimafinanzierung und ODA dazu führt, dass der tatsächliche Fortschritt überschätzt wird. Wie anfällig ist das Klimafinanzierungssystem für die wechselnde politische Stimmung in den USA und darüber hinaus? Für eine Antwort benötigen wir eine bessere Kenntnis des Systems und der Kräfte, die es gestalten. In einem neues Sonderheft von International Environmental Agreements: Politics, Law and Economics mit dem Titel „Managing fragmentation and complexity in the emerging system of international climate finance” untersuchen wir zusammen mit einer Reihe Gastautoren das System der Klimafinanzierung mit Fokus auf Governance und Möglichkeiten zur Verbesserung. Die Beiträge deuten darauf hin, dass das Klimafinanzierungssystem und seine Grundnorm – entwickelte Länder müssen zur Unterstützung von Klimaschutzmaßnahmen in Entwicklungsländern zahlen – inzwischen ausreichend stark und institutionalisiert sind, dass ein einzelner Akteur nicht ihren Zusammenbruch bewirken kann – auch nicht die USA, die zum Beispiel 30 Prozent des Green Climate Fund-Budgets tragen. Zugleich ist das System komplex und fragmentiert; klarere internationale Regeln würden es Aussteigern schwerer machen. Die Fragmentierung hat mehrere Ursachen und Folgen. Erstens, haben sich die Vertragsparteien des UN-Rahmenübereinkommens über den Klimawandel noch nicht auf eine Definition geeinigt, was Klimafinanzierung ist und welche Standards für das Monitoring gelten, weil es weiterhin Konflikte über die Ziele der Klimafinanzierung gibt. Heftig umstritten ist, was bei der „Mobilisierung“ der 100 Mrd. US Dollar mitgezählt werden darf, und ebenso die Frage, ob Länder Fortschritte bei der Erreichung dieses Ziels machen. Zweitens ist eine Fülle von Akteuren im Klimafinanzierungssystem tätig. Zu den speziellen Klimafonds wie dem Green Climate Fund kommen multilaterale Entwicklungsbanken, bilaterale Entwicklungsagenturen, der private Sektor und UN-Agenturen sowie das UN-Entwicklungsprogramm (UNDP) und die Internationale Organisation für Migration (IOM) hinzu. Die Beiträge der Sonderausgabe zeigen, dass diese Akteure unterschiedliche Auffassungen darüber haben, was Klimafinanzierung ist – zum Beispiel ob und wie Entwicklungsfinanzierung als Klimafinanzierung gezählt werden sollte. Auch untersucht die Sonderausgabe, wie die innenpolitische Dynamik in den Beitragsländern die Finanzzuflüsse verbessern oder verschlechtern kann. Drittens, je fragmentierter und umstrittener internationale Regeln sind, desto größer ist der Raum für eigennützige Interpretationen und Absetzbewegungen. Ein Netz von Institutionen mit unterschiedlichen Rechnungslegungsstandards macht es schwierig zu verfolgen, wer an der Erhebung und der Verwaltung von Finanzmitteln beteiligt ist und die Akteure zur Rechenschaft zu ziehen. Zahlreiche Beiträge der Sonderausgabe verlangen daher klarere Definitionen, anerkannte Rechnungslegungsnormen und Überwachungsmechanismen. Obwohl das Klimafinanzierungssystem durch seine Fragmentierung an einigen Schwächen leidet, ist es heute umfassender und institutionalisierter als noch vor zehn Jahren. Deshalb wird der Rückzug eines wichtigen Akteurs nicht das Ende der Zusammenarbeit derer anzeigen, die seinen Zielen verpflichtet bleiben. Aber es gibt keinen Grund zur Selbstgefälligkeit. Die Beitragszahler müssen mehr tun als nur den Zusammenbruch des Systems zu vermeiden. Es bleibt die Aufgabe, ein System zu schaffen, das fairer und verantwortungsvoller ist und die Bedürfnisse der Entwicklungsländer besser berücksichtigt. Jakob Skovgaard ist wissenschaftlicher Mitarbeiter am Institut für Politikwissenschaft der Universität Lund. Jonathan Pickering ist Postdoctoral Research Fellow am Centre for Deliberative Democracy and Global Governance der Universität Canberra. Carola Betzold ist Akademische Rätin am Institut für Politikwissenschaft an der Universität Göttingen.

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