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Diplomacy & Defense Think Tank News

Conseil de l'Europe, Le Conseil de l'Europe adopte une nouvelle convention protégeant les biens culturels

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Le 3 mai, le Conseil de l'Europe a adopté une nouvelle convention de droit pénal visant à prévenir et combattre le trafic illicite et la destruction de biens culturels, dans le cadre de l'action de l'Organisation pour lutter contre le terrorisme et la criminalité organisée.

Conseil de l'Europe, Le service public de radiodiffusion menacé en Europe

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Le 2 mai, le Conseil de l'Europe a publié un rapport montrant notamment que, dans les pays où les radiodiffuseurs de service public sont appréciés de la population et dotés des ressources nécessaires, l'extrémisme de droite et la corruption sont moins développés et la liberté de la presse se porte mieux.

Eurostat, Le PIB en hausse tant dans l'Union européenne que dans la zone euro

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Selon une étude d'Eurostat du 3 mai, le PIB est en hausse de 0,5% dans la zone euro et de 0,4% dans l'Union européenne, soit +1,7% et +1,9% respectivement par rapport au premier trimestre 2016.

Eurobaromètre, Les Européens soutiennent le rôle de l'Union européenne dans la gestion des crises humanitaires

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Selon une étude Eurobaromètre du 3 mai, 88% des interrogés trouvaient important que l'Union européenne finance l'aide humanitaire d'urgence. Et plus de la moitié d'entre eux (56%) considéraient que leur Etat seul n'avait pas assez de moyens pour faire face aux dernières crises humanitaires.

Etudes/Rapports, Vers une pénurie de main-d'œuvre en Europe centrale et orientale

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Selon une étude de la Coface publiée le 2 mai, le manque de main-d'œuvre (et de personnel qualifié) en Europe centrale et orientale risque, à terme, de freiner la croissance. Ces pays refusent l'immigration, mais ont des taux de natalité faibles (1,3 enfant par femme) et une émigration importante depuis 1990 (20 millions de personnes).

Etudes/Rapports, Publication du rapport sur la politique européenne du Luxembourg

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
La dixième édition du rapport annuel consacré à la politique européenne a été adoptée le 4 mai par le gouvernement luxembourgeois. Ce rapport a pour but de "rendre accessible au public les dossiers européens de l'année écoulée, qui relèvent d'une importance particulière pour le Luxembourg."

Culture, Maison de l'histoire européenne

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Depuis le 6 mai, la "Maison de l'Histoire européenne" est ouverte à Bruxelles à l'initiative du Parlement européen. Ce musée consacré au passé mais aussi à l'avenir offre une vision chronologique et transnationale de "l'intégration européenne".

Culture, Exposition Gerhard Richter à Prague

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
La Galerie nationale de Prague accueille jusqu'au 3 septembre la plus importante rétrospective de Gerhard Richter jamais organisée en Europe centrale et orientale. Elle présente, dans les locaux du palais Kinsky et du couvent Sainte-Agnès, plusieurs dizaines d'œuvres de l'artiste, des peintures photographiques, des portraits, des paysages, des œuvres réalistes et abstraites

Culture, Ouverture de la 57e Biennale internationale d'Art à Venise

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
La 57e édition de la Biennale de Venise, surnommée "Viva Arte Viva", ouvre ses portes au public du 13 mai au 26 novembre. Au programme, des expositions d'art et d'architecture, du cinéma, de la danse, de la musique, du théâtre, et des présentations d'archives.

Culture, Festival nordique des médias à Bergen

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Du 10 au 12 mai, la ville de Bergen en Norvège accueille le "Nordiske Mediedager", un festival nordique des médias, qui engage des réflexions, des discussions et des débats sur les nouvelles tendances des médias à l'attention des professionnels, des étudiants et du grand public.

Culture, Jazz à Saint-Germain-des-Prés

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Le festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés propose du 11 au 21 mai de nombreux concerts, mais aussi des expositions consacrées à ce genre musical.

Culture, Foire internationale du livre à Prague

Fondation Robert Schuman / Actualités - mar, 09/05/2017 - 02:00
Du 11 au 14 mai, Prague accueille "Book World", sa foire internationale du livre, qui rassemble plus de 600 exposants provenant d'une vingtaine de pays. Débats et dédicaces avec les auteurs, séances de lecture et ateliers sont au programme.

Die Zukunft der deutsch-amerikanischen Beziehungen (I): Handelspolitik

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 09/05/2017 - 00:00
Die Wahl Donald J. Trumps zum Präsidenten der Vereinigten Staaten von Amerika hat die internationale Politik in Aufruhr versetzt. Was bedeutet die Wahl für die deutsch-amerikanischen Beziehungen? Der Arbeitskreis Junge Außenpolitiker der Konrad-Adenauer-Stiftung macht in drei zusammenhängenden Papieren Vorschläge, wie die deutsche Politik agieren sollte. In diesem ersten Papier geht es um die Handelspolitik und europäische Antworten auf amerikanischen Protektionismus.

Wildwuchs in der Bachelorlandschaft?

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 09/05/2017 - 00:00
Die Zahl der Studiengänge in Deutschland ist auf mehr als 18.000 angewachsen. Für Studieninteressierte ist es nicht leicht, den richtigen Studiengang auszuwählen und für Unternehmen wird es schwieriger, geeignete Absolventen mit dem erforderlichen Know-how zu finden. Ist die überbordende Vielfalt von Bachelorstudiengängen sinnvoll? Weshalb gibt es so viele Studiengänge in Deutschland und wie kann die Fülle besser reguliert werden? – ERSCHEINT AUSSCHLIESSLICH ONLINE

Défaite électorale et victoire culturelle du Front national

IRIS - lun, 08/05/2017 - 16:50

L’absence de «front républicain» a permis de fissurer le fameux «plafond de verre» auquel l’extrême droite continue de se heurter à chaque scrutin majoritaire. Celui-ci risque à son tour de céder du fait de la volonté affichée d’accélérer la stratégie de «dédiabolisation-transformation» du FN.

La large défaite électorale de la candidate de l’extrême droite au second tour de l’élection présidentielle ne saurait masquer les signaux d’une victoire politique et culturelle. Marine Le Pen a réuni près de 11 millions de voix, soit environ deux fois plus que son père en 2002. La progression est spectaculaire et continue, malgré un fort recul enregistré par le FN lors des élections présidentielle et législatives de 2007. Depuis, la machine électorale a renoué avec une dynamique implacable née lors des élections européennes de 1984. Le score obtenu le 7 mai marque un record en nombre de voix obtenues par la formation d’extrême droite, toutes élections confondues, soit une nette progression par rapport au résultat du premier tour de l’élection présidentielle (7,6 millions de voix) de cette année, où Marine Le Pen avait déjà battu le précédent record de son parti, qui datait des régionales 2015.

L’alliance entre Dupont-Aignan et Le Pen

Pis, l’absence de «front républicain» a permis de fissurer le fameux «plafond de verre» auquel l’extrême droite continue de se heurter à chaque scrutin majoritaire. Celui-ci risque à son tour de céder du fait de la volonté affichée d’accélérer la stratégie de «dédiabolisation-transformation» du FN. Du reste, l’événement politique majeur de cet entre-deux-tours restera l’alliance scellée entre Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan, entre les leaders respectifs d’un parti historiquement antigaulliste et d’une formation revendiquant l’héritage direct du gaullisme.

Rappelons que l’irruption du FN dans notre vie politique date de septembre 1983, lorsque la mairie de Dreux avait été remportée par une liste RPR-Front national… Aujourd’hui, si ce rapprochement se confirme, nul doute que le FN participera de fait au mouvement général de recomposition du paysage politique français au-delà du traditionnel clivage extrême droite/droite/gauche. L’avènement d’un clivage idéologique autour du rapport aux frontières nationales –formelles et imaginaires– du pays symbolise la victoire idéologique et culturelle du Front national.

Loin des chiffres et des stratégies d’appareil, l’essentiel est en effet ailleurs. La montée en puissance du parti frontiste ne se mesure pas seulement à l’aune de ses scores électoraux. La banalisation du vote FN n’est que la partie immergée de la diffusion-normalisation de ses idées et de sa représentation du monde. En cela la victoire d’Emmanuel Macron ne saurait faire illusion: la «mondialisation heureuse» qu’il souhaite incarner est loin d’avoir convaincu 65% des Français.

Le sociologue Zygmunt Bauman écrivait: «On pense à l’identité à chaque fois que l’on ne sait pas vraiment où l’on est chez soi […]. « Identité » est le nom que l’on a donné à la recherche d’une échappatoire à cette incertitude.» C’est précisément cette inquiétude identitaire entretenue par la mondialisation que le Front national a su exploiter et imposer dans la vie politique française, avec la complicité de responsables de droite comme de gauche. Bien qu’inédite à plus d’un titre, la campagne 2017 s’est inscrite dans une certaine continuité avec celles de 2007 et de 2012, en confirmant l’ancrage de la question identitaire dans le débat politique, idéologique et culturel national.

Le contexte est propice à la montée du sentiment national-populiste: la conjugaison d’une crise sociale (avec une précarisation et un chômage structurels et massifs) et d’une crise des idéaux collectifs de substitution a aiguisé dans la société française le sentiment de vulnérabilité face à un nouvel ordre global. Le parti frontiste exploite cette vulnérabilité individuelle et collective dans une stratégie et un discours politiques axés sur une mise en accusation de la mondialisation, de l’intégration européenne et de l’immigration. L’ennemi politique est extérieur au corps national, même lorsqu’il vit en France…

Le brouillage des frontières idéologiques

Le plafond de verre, à défaut d’être brisé sur le plan électoral, a déjà éclaté dans les esprits et la conscience politique de nombreux citoyens et dirigeants politiques de la classe politique traditionnelle qui ont progressivement intégré les mots et les images du Front national dans leur propre univers mental.

Les discours et pulsions xénophobes débordent les sphères toujours plus vastes des cadres comme de l’électorat du Front national. Les frontières idéologiques se brouillent: la gauche du gouvernement s’est inspirée d’une mesure défendue par l’extrême droite (la «déchéance de nationalité»), tandis que Marine Le Pen a plagié un discours prononcé par François Fillon, tant celui-ci puisait à une même source identitaire fondée sur un récit romancé de la nation française et une vision communautarisée de la société française.

Un ethnocentrisme nombriliste se fait jour, une conception dogmatique de l’ordre culturel et social se manifeste, y compris dans la rigidité républicaniste de gauche, d’un Valls ou d’un Mélenchon. Cette vision étriquée de la France et de la République a largement investi le champ politique, au point de participer à la recomposition les clivages entre gauche/droite/extrême droite…

Politischer Kommentar : Die Grande Nation wählt mit Herz und Kopf

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 08/05/2017 - 14:35
Europa atmet auf. Nach Aufregung und Zweifel in den letzten Wochen steht nun fest: Eine Mehrheit der Franzosen hat in der Stichwahl pragmatisch für Europa und die liberale Demokratie gestimmt. Emmanuel Macron stehen die wirklich großen Herausforderungen allerdings noch bevor; allen voran eine regierungsfähige Mehrheit in der Nationalversammlung. Die Wahlen dazu werden im Juni abgehalten.

« Emmanuel Macron n’a jamais fait de constat clair sur ce qui a échoué »

Fondapol / Général - lun, 08/05/2017 - 13:05

Le nouveau président sera-t-il un véritable réformiste comme il l’affirme ou bien va-t-il s’inscrire dans le sillage de ses prédécesseurs? C’est autour de cet enjeu que La Tribune a interrogé Erwan Le Noan, Associé d’un cabinet de conseil, membre du conseil scientifique de la Fondation pour l’innovation politique, et auteur de « La France des […]

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Wieder kein Schulz-Effekt – Rot-grüne Koalition am Ende: Triumph für Daniel Günther

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 08/05/2017 - 13:00
Eine eindurcksvolle Aufhohljagd hatte der junge CDU-Spitzenkandidat dem Regierungschef Torsten Albig geliefert. Am Schluss ließ er die SPD mit 32% zu 27 % weit hinter sich. Nach der SPD-Schlappe im Saarland gab es wohl auch in Schleswig-Holstein keinen spürbaren "Schulz-Effekt". Ist der Hype um den Schulz-Zug schon wieder vorbei und was sagt das Ergebnis für die anstehende Bundestagswahl?

1er tour des élections législatives

Institut Montaigne - lun, 08/05/2017 - 11:51
Date: Dimanche 11 Juin 2017

Strukturpolitik für Zukunftsaufgaben

Bonn, 08.05.2017. Die Welt kämpft derzeit mit einer Reihe großer Herausforderungen. Die meisten haben eines gemeinsam: Sie gehen mit tiefgreifenden Veränderungen in der Struktur unserer Volkswirtschaften einher. Die Zukunftsmärkte für Waren, Dienstleistungen und Arbeitskräfte werden sich stark von denen unterscheiden, die wir heute kennen. Drei Beispiele dazu: Dekarbonisierung: Bis Ende dieses Jahrhunderts muss die derzeit fossile globale Wirtschaft vollumfänglich kohlenstoffneutral werden. Dazu sind tiefgreifende Transformationen der Energie- und Transportsysteme, der Landwirtschaft und der Industriegüterproduktion notwendig, die in ihrem Ausmaß mit der industriellen Revolution vergleichbar sind. Digitalisierung: Durch neue Technologien (Digitalisierung, Robotik) werden Maschinen in der Lage sein, viele menschliche Aufgaben zu übernehmen – jedoch zu geringeren Kosten. Schätzungen zufolge könnten etwa die Hälfte der heutigen Jobs innerhalb der kommenden zwei Jahrzehnte durch Automatisierung wegrationalisiert werden. Urbanisierung: Weltweit wächst die Stadtbevölkerung rasant. 2035 werden sieben Milliarden Menschen in Städten leben. Dies wird tiefgreifende Auswirkungen auf die Wirtschaftsstruktur haben. Erstens beanspruchen Stadtbewohner eine größere Vielfalt an Waren und Dienstleistungen, was die wirtschaftliche Diversifizierung vorantreibt. Zweitens befördern Ballungsräume das Innovationstempo. Drittens müssen für die heutigen Transportarten und Bauweisen in den Städten umweltfreundliche Alternativen gefunden werden, wofür andere Technologien und Materialien erforderlich sind. So werden heutige Berufe, Fertigkeiten und Wettbewerbsvorteile von Firmen ihre Bedeutung verlieren und durch andere ersetzt werden. Solche Transformationen zu gestalten, ist Aufgabe der Strukturpolitik. In der Vergangenheit beschränkte sich die Strukturpolitik im Wesentlichen auf die Schaffung von Industrien mit höherer Produktivität und breiterer Diversifizierung, um Einkommen zu steigern. Heute benötigen wir Lösungen für eine Wirtschaft ohne Kohlenstoffemissionen; wir müssen darüber nachdenken, wie wir gesellschaftliche Aufgaben im Zeitalter der Digitalisierung so verteilen, dass Leistungen besser werden, ohne dass Massenarbeitslosigkeit entsteht; wir brauchen neue Konzepte nachhaltiger Urbanisierung. Die Bewältigung dieser Herausforderungen stützt sich zum großen Teil auf Innovationen, die in konkurrenzbasierten Märkten entstehen. Zugleich wird jedoch politische Lenkung wichtiger: erstens sind die komplexen gesellschaftliche Ziele nicht vollständig in Preisen abzubilden; zweitens setzen die anstehenden Transformationen voraus, dass vielfältige technologische und institutionelle Veränderungen koordiniert auf den Weg gebracht werden.  Während die Ziele der Strukturpolitik einem tiefgreifenden Wandel unterzogen sind, gelten die meisten Gestaltungsprinzipien und Erfolgsfaktoren weiterhin. Am Anfang stehen sollte eine politische Entscheidungsfindung über ein „nationales Transformationsprojekt” unter Einbeziehung vielfältiger gesellschaftlicher Akteure, das Wegweiser für künftiges Handeln ist. Bei der Umsetzung sollten Regierungen möglichst viele marktwirtschaftliche Instrumente nutzen. Tempo und Sequenzierung der Transformation sollten so gewählt werden, dass die Anpassungsfähigkeit von Unternehmen und Arbeitskräften nicht überfordert wird. Das Experimentieren mit Technologien und Märkten sollte gefördert und von Monitoring und Evaluierung begleitet sein. In vielen Entwicklungsländern werden diese Gestaltungsprinzipien einer intelligenten Strukturpolitik allerdings kaum berücksichtigt. Grund dafür sind nicht nur der Mangel an Finanzierungsmöglichkeiten und Fachleuten, sondern insbesondere politische Praktiken, die von Korruption und Vetternwirtschaft gekennzeichnet sind. Daher sind typischerweise die Länder, die eine intelligente Strukturpolitik besonders dringend bräuchten, zugleich diejenigen, in denen die Voraussetzungen für deren Umsetzung fehlen. Wege aus diesem Dilemma aufzeigen möchte das Buch Industrial Policy in Developing Countries Es bietet eine Bestandsaufnahme kontroverser Standpunkte über Strukturpolitik. Des Weiteren werden die in diesem Jahrhundert entstehenden großen Herausforderungen des Strukturwandels diskutiert. Fünf Fallstudien über Äthiopien, Mozambique, Namibia, Tunesien und Vietnam geben Einblicke in die Praxis. Sie zeigen Fehler in der Strukturpolitik, aber auch eindrucksvolle Erfolge sowie die daraus zu ziehenden politischen Lehren. Konflikte lediglich zu kaschieren, führt niemals zum Ziel. Zielkonflikte (z.B. zwischen Beschäftigung und Umweltschutz) müssen erkannt und offen diskutiert werden. Das Buch präsentiert anstelle von Dogmen evidenzbasierte Erkenntnisse. Dabei wird die Forderung nach ausgewogenen Standpunkten aufgestellt: Ja – Strukturpolitik, eine Lenkung der Marktakteure sowie die Entwicklung einer langfristigen Vision sind notwendig, und nein – es ist niemals leicht, es müssen Risiken eingegangen werden, wodurch auch Fehlschläge möglich sind. Die Autoren zeigen auch, mit welchen Maßnahmen kostspielige Fehler in der Strukturpolitik vermieden werden können.

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