Diplomacy & Defense Think Tank News

In Karthago wird um die politische Zukunft Tunesiens verhandelt - und der von der Bevölkerung unterstützte Premier Youssef Chahed befindet sich im Kreuzfeuer.

06.06.1868  
150. Geburtstag von Heinrich Held

12.06.1928   
90. Geburtstag von Helmut Geiger

14.06.1948   
Vor 70 Jahren wurde der Wirtschaftsbeirat der Union e.V. gegründet.

17.06.1993    
25. Todestag von Karl Köhler

20.06.1948   
Vor 70 Jahren wurde mit der Währunsgreform die Deutsche Mark alleiniges Zahlungsmittel in den drei Westzonen.

23.06.1933   
85. Geburtstag von Erich Riedl

Three years after the signing of the 2015 Agreement on Peace and Reconciliation in Mali, many key provisions remain unimplemented. Threats posed by violent extremists and intercommunal violence exacerbate an already tense political environment, impeding the political process and the restoration and extension of state authority. These violent dynamics have claimed the lives of civilians, Malian security forces, MINUSMA peacekeepers, and French forces. Instability threatens to undermine the free and fair presidential elections scheduled for July as well as regional and municipal elections that are expected to take place later in the year.

In this context, the International Peace Institute (IPI), the Stimson Center, and Security Council Report organized a workshop on May 8, 2018, to discuss MINUSMA’s mandate and political strategy. This workshop offered a platform for member states and UN actors to develop a shared understanding and common strategic assessment of the situation in Mali. The discussion was intended to help the Security Council make informed decisions with respect to the strategic orientation, prioritization, and sequencing of the mission’s mandate and actions on the ground.

With a focus on providing support to the political process, the extension of state authority, security sector reform, and to other security actors, participants discussed how the Council could reflect these strategic priorities in the upcoming MINUSMA mandate. Several participants also highlighted potential tensions among mandated tasks, noting the need to consider more closely how each fits into the mission’s political strategy in order to achieve the Council’s strategic objectives.

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Members of different communities, ethnic groups, faiths and nationalities gathered around a Ramadan meal in solidarity with an interreligious group of people who were fasting to cement commitments to peace, tolerance and respect within faiths in Manama, May 30, 2018 at the International Peace Institute, Middle East & North Africa, (IPI MENA).

Marking the middle of the holy month of Ramadan with an Iftar, or fast breaking meal, hundreds of people from different religious and nationality affiliations gathered in a church, for an “Iftar for Peace.” The initiative was hosted by Al Bayareq Al Baydhaa, (The White Flags,) in cooperation with the Labour Market Regulatory Authority (LMRA), and IPI MENA.

The event was attended by ambassadors, government officials, dignitaries and religious leaders who served food and beverages to interreligious guests at the National Evangelical Church in a united call for interfaith peace.

In a statement to the media, Ausamah Al Absi, Head of LMRA, stressed the need for peaceful coexistence between faiths and cultures to ensure that “civil societies, international bodies, and government bodies can come together” to harmonize principles of tolerance and respect.

Reverend Hani Aziz, Pastor of the National Evangelical Church and Head of the Bahrain Society for Tolerance and Interfaith Coexistence, reinforced this view in his statement, stressing the diverse communities obligation is to incorporate and integrate all layers of society in order to create a culture of acceptance and therefore peace.

Noting the very diverse interfaith attendees, Nejib Friji, Director, IPI MENA, stated their contribution to the Iftar for Peace was a testament of their commitment, as well as “the Kingdom of Bahrain, IPI and all other nations represented by their ambassadors, towards the need to further reinforce the culture of peace and Interfaith Dialogue that is deeply enshrined in all beliefs and faiths.” He hailed the interfaith unity illustrated by the ambassadors and officials serving those who had been fasting this important meal. He said the event “carries more than one message.” Friji called on the “regional and multilateral system to stand together to serve all causes of peace through a united interfaith dialogue.”

La rencontre internationale qui s’est tenue à l’Élysée le 29 mai, gérée de main de maître par le président Macron, a tout ou à peu près tout d’un "coup diplomatique" réussi.

Ce succès résulte de la combinaison de trois avancées qui, au départ, n’avaient rien d’évidentes. En premier lieu, les quatre têtes d’affiche principales du théâtre politique libyen – le Premier ministre Fayez al-Sarraj, le maréchal Khalifa Haftar et les…

Conférence internationale sur la Libye à l’Elysée – l’initiative française était-elle justifiée ? Institut Montaigne jeu 31/05/2018 - 15:46 La rencontre internationale qui s’est tenue à l’Élysée le 29 mai, gérée de main de maître par le président Macron, a tout ou à peu près tout d’un "coup diplomatique" réussi.

Alors que les Assises de la mobilité se sont terminées fin 2017 et que le ministère chargé des Transports travaille à l’élaboration de la loi d’orientation des mobilités qui, trente-cinq ans après la loi d’orientation des transports intérieurs (Loti), doit poser les bases d’une nouvelle politique de transport, cette note vise à resituer les grands […]

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Pour restyler votre déco, penser à donner une allure de foyer à votre jardin en installant une table de jardin ou plus objectivement, un salon de jardin. Mais comme c’est un mobilier qui va à l’encontre de la nature, il doit être conçu avec cette éthique.

Une table de jardin ordinaire

Dans la plupart des modèles, les tables de jardin sont en plastique, ce qui peut bien changer de couleur avec le coup de soleil, la pluie et autres. Pour éviter cet entretien, il est important de choisir le type de matière de fabrication de votre salon. On a la résine ou le rotin, le bois exotique qui nous offrent une belle texture d’originalité, mais on a aussi le fer forgé, l’aluminium et l’acier, et le verre ou le plastique. Pour le nettoyage, le bois est un petit peu plus difficile, contrairement au métal qui est plus facile, ainsi que le plastique, mais n’empêche pour garder le style d’origine de nos tables, il faut appliquer quelques entretiens. Vous pouvez déjà consulter ce lien qui vous offre le moyen de choisir votre table de jardin à votre convenance.

Récupérer la couleur d’origine de nos tables de jardin

De couleur blanche devenue grise, vous voulez récupérer sa couleur d’origine, voici des astuces de nettoyages pour les tables de jardin en plastique. Vous pouvez commencer à imbiber l’éponge avec de l’eau savonneuse mélangée au vinaigre blanc. Il est important de choisir une éponge sans abrasif pour éviter les traces de rayures. Ensuite, rincez la table avec une pression d’eau, et la sécher avec une serviette propre, et vous verrez que vos tables de jardin redeviennent toutes blanches.

Si vous avez choisi une table en style résine tressée, vous devriez comprendre que si vous avez choisi la bonne marque, vous aurez une table qui ne se ternisse pas au coup du soleil, et ne gondole pas après la pluie. Mais il faut quand même l’entretenir, et pour cela, il faut rincer avec de l’éponge, pas très fort, juste avec une délicatesse bien affinée pour dépoussiérer la table. Si une tâche se colle sur le bois, agir avec une brosse fera l’affaire.
Vous pouvez aussi choisir le meuble en toile, avec du tissu bien sélectionné, supportant la chaleur et la pluie. Elles sont très faciles à nettoyer puisqu’elles sont lavables. On peut utiliser une éponge, du savon et de la brosse, et on les laisse sécher au soleil.

Pour les mobiliers en métal, s’ils ne sont pas encore rouillés, une éponge avec de l’eau chaude mélangée avec de la soude est convenable. Un coup de peinture peut aussi rénover le style et donner une autre structure à votre décoration du jardin.

Sans-souci, vous pouvez alors choisir n’importe quel type de table outdoor, puisqu’elles sont faciles à entretenir.

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Pourquoi acheter une chaise de camping ?

Dominique Reynié était invité sur RTS Info pour analyser les élections italiennes. L’intégralité de l’émission ici.

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Rumäniens Regierung verklagte Präsident Iohannis - und bekam Recht: mit gravierenden Folgen für das gesamte rumänische Verfassungs- und Institutionengefüge.

Die Übereinkunft war ein voller Erfolg und ein Ende hätte erhebliche Konsequenzen für den Iran und die Region, sagt Dr. Oliver Ernst im kas.de-Interview.

Durch den wachsenden Einsatz von autonom agierenden Systemen, wie Robotern oder Assistenzsystemen, stellt sich die Frage, wer für ihre Entscheidungen oder ihr Handeln die Verantwortung übernimmt und wie die Haftung geregelt ist. Vor einer vorschnellen Zuweisung des Status der Rechtspersönlichkeit, die in der Debatte oft aufgebracht wird, warnt Jan-Erik Schirmer in dem vorliegenden Papier. Er schlägt zum jetzigen Zeitpunkt die Nutzung bestehender Rechtsinstrumente vor. Autonomierisiken und Verantwortungslücken ließen sich zum Großteil mithilfe funktionaler Gesetzesinterpretationen abdecken.

In Deutschland gibt es 428 Hochschulen. Rund 19.000 Studiengänge werden angeboten. Über 2,8 Mio. Studierende sind eingeschrieben. Jährlich nehmen rund 500.000 Studienanfänger ihre akademische Ausbildung auf. Etwa genauso viele schließen ihr Studium ab. Die Erwartungen, die mit einem Studium verbunden werden, sind sehr unterschiedlich: Nur rund 20 Prozent sind an Wissenschaft als Beruf interessiert Der Bedarf an Akademikern in der Wirtschaft ist ungebrochen hoch. Wohin führt diese Entwicklung? Wo liegen die Vorteile? Wie kann sie gestaltet werden?

Die Auslandseinsätze der Bundeswehr sind ein immer wieder kontrovers diskutiertes Instrument des deutschen Krisenmanagements. Wie in einem Brennglas lassen sich an den Diskussionen die »Reifungsprozesse« sowie die Bruchlinien deutscher, europäischer und transatlantischer Sicherheitspolitik ablesen. Zwar dürften Auslandseinsätze noch lange notwendig bleiben, sie sind jedoch einem erkennbaren Wandel unterworfen. Die Rahmenbedingungen für ihre Weiterentwicklung lassen sich entlang von drei Dimensionen nachzeichnen: dem Wandel des Kriegsgeschehens, den Veränderungen des internationalen politischen und rechtlichen Kontexts sowie schließlich dem Wandel des institutionellen Rahmens für diese Einsätze.

Mit all diesen Herausforderungen muss die deutsche Politik umgehen und kann gleichzeitig nur begrenzt Einfluss auf den beschriebenen Wandel nehmen. Grundsätzlich werden Entscheidungen über Auslandseinsätze in einem Dreieck aus Problemdruck (Krisen und Konflikte), Verantwortung (völkerrechtliche Verpflichtungen, Bündnisse, politische Bindungen) sowie der politischen Situation und Stimmung in Deutschland selbst getroffen.

Die Entwicklungen, welche die Handlungsspielräume in diesem Dreieck bestimmen, mögen schwer abzusehen sein. Doch die schlechteste aller Lösungen wäre, sich nur anlassbezogen und kurzfristig mit den beschriebenen Herausforderungen auseinanderzusetzen, zumal sie nicht allein Auslandseinsätze betreffen. Mit den Leitlinien zum Krisenmanagement von 2017 und dem Weißbuch 2016 hat die Bundesregierung einen Rahmen für das deutsche Engagement gesetzt, den es nun zu füllen gilt. Zudem sind die Erwartungen der Partner Deutschlands in EU, Nato und UNO größer geworden, was auch weitere militärische Beiträge erfordern wird.

Le mode de financement de l’assurance maladie n’est plus en phase avec le contexte économique. Pour résorber le déficit et léguer aux générations futures la soutenabilité de nos principes de solidarité, il est nécessaire d’accroître la part des fonds privés. Pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol), le périmètre de la solidarité devrait faire l’objet […]

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On Tuesday, June 5th, IPI is hosting the live broadcast of the opening remarks and first session panel of it’s 48th Annual Vienna Seminar entitled “European Contributions to UN Peacekeeping Operations: Lessons Learned and the Way Forward.”

Remarks will begin at 9:00am CET.

The 2018 Vienna Seminar will focus on lessons from recent European engagement in United Nations peace operations. The aim of this year’s seminar is to examine the prospects of sustainable European participation in current and future UN peace operations in the face of ongoing geopolitical shifts and national political pressures, and better understand the impact of European participation on the effectiveness of UN peacekeeping operations.

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The International Peace Institute (IPI) is pleased to announce the Honorable Kevin Rudd has been elected unanimously by IPI’s board of directors as the board’s next chair, effective June 01, 2018. Mr. Rudd was Vice Chair of IPI’s board since June 2014.

Mr. Rudd succeeds Professor Michael Doyle, Director of the Columbia Global Policy Initiative at Columbia University, who has served as interim Chair since May 2016. Dr. Doyle was Vice President of IPI (then IPA) from 1993-1996 and has been on IPI’s board since 1997.

IPI President Terje Rød-Larsen issued the following statement:

“On behalf of the staff of the Institute, I would like to thank Professor Michael Doyle for his outstanding work in various capacities at IPI, where he has served for over 20 years. Michael has consistently shown extraordinary loyalty and dedication through his valuable contributions to IPI. He has skillfully mentored numerous young researchers over the years, who now serve important positions in international organizations, governments, academics, and non-governmental organizations across the globe. I would like use this opportunity to thank my friend Michael for the exceptional work he has done for IPI and the good of the global community we are serving.

The Honorable Kevin Rudd has served with extraordinary skills and dedication as the Vice Chair of the board of directors of IPI since 2014, and has lent invaluable support to the Chair of the board and the President and CEO. Through his chairmanship of IPI’s Independent Commission on Multilateralism (ICM), he was a skillful helmsman who, together with his fellow members and IPI staff, produced a series of reports which gave new perspectives to the challenges of the future of the multilateral system, and guidelines and advice on how to address the dangers and opportunities alike. I would like to warmly welcome Kevin as our new Chairman. And I am looking very much forward to working closely with him in pursuing IPI’s objectives of peace and reconciliation through policy research, advice, and our convening and outreach capacity.”

Mr. Rudd served as Australia’s 26th Prime Minister from 2007 to 2010, then as Foreign Minister from 2010 to 2012, before returning to the Prime Ministership in 2013. As Prime Minister, Mr. Rudd led Australia’s response during the Global Financial Crisis. Australia’s fiscal response to the crisis was reviewed by the IMF as the most effective stimulus strategy of all member states. Australia was the only major advanced economy not to go into recession. Mr. Rudd is also internationally recognized as one of the founders of the G20 which drove the global response to the crisis, and which in 2009 helped prevent the crisis from spiraling into a second global depression.

As Prime Minister and Foreign Minister, Mr. Rudd was active in global and regional foreign policy leadership. He was a driving force in expanding the East Asia Summit to include both the US and Russia in 2010. He also initiated the concept of transforming the EAS into a wider Asia Pacific Community to help manage deep-routed tensions in Asia by building over time the institutions and culture of common security in Asia. On climate change, Mr. Rudd ratified the Kyoto Protocol in 2007 and legislated in 2008 for a 20% mandatory renewable energy target for Australia. Mr. Rudd drove Australia’s successful bid for its non-permanent seat on the United Nation’s Security Council and the near doubling of Australia’s foreign aid budget.

Mr. Rudd joined the Asia Society Policy Institute as its inaugural President in January 2015.

Mr. Rudd remains engaged in a range of international challenges including global economic management, the rise of China, climate change and sustainable development. In 2015-16, Mr. Rudd led a review of the UN system as chair of the Independent Commission on Multilateralism. In February 2014, Mr. Rudd was named a Senior Fellow with Harvard University’s John F. Kennedy School of Government, where he completed a major policy paper, U.S.-China 21: The Future of U.S.-China Relations Under Xi Jinping. He is Chair of Sanitation and Water for All, a Distinguished Fellow at Chatham House in London, a Distinguished Statesman with the Center for Strategic and International Studies in Washington, and a Distinguished Fellow at the Paulson Institute in Chicago. Mr. Rudd is a member of the Comprehensive Nuclear Test-Ban Treaty Organization’s Group of Eminent Persons. He serves on the International Advisory Board of the Schwarzman Scholars program at Tsinghua University, and is an Honorary Professor at Peking University. Mr. Rudd is proficient in Mandarin Chinese. He also remains actively engaged in indigenous reconciliation.

The International Peace Institute is an independent, international not-for-profit think tank dedicated to managing risk and building resilience to promote peace, security, and sustainable development. To achieve its purpose, IPI employs a mix of policy research, strategic analysis, publishing, and convening. With staff from more than twenty countries and a broad range of academic fields, IPI has offices across from United Nations headquarters in New York and offices in Vienna and Manama. IPI’s research covers aspects of peace, cooperation, and multilateralism including UN reform, peace operations, sustaining peace and prevention, peace and health, humanitarian affairs, WPS (women, peace and security), and the intersection of the Sustainable Development Goals and peace. IPI also produces the analysis website The Global Observatory.

Dimanche 27 mai, les électeurs colombiens étaient appelés aux urnes pour le premier tour de l’élection présidentielle. Première élection depuis l’accord de paix historique signé avec la guérilla communiste des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC), ce scrutin est déterminant pour l’avenir du pays. Iván Duque, candidat de la droite dure, dont l’ancien président Alvaro Uribe est le mentor, est arrivé en tête, avec 39,2 % des suffrages. Il devra…