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Union européenne

Brexit: la Cour Suprême se prononce sur l’aval du Parlement

RFI (Europe) - lun, 23/01/2017 - 22:23
C'est ce mardi 24 janvier, dans la matinée, que la Cour suprême doit se prononcer, pour dire si le gouvernement est obligé ou non, de consulter le Parlement de Londres au sujet du Brexit. La Haute Cour de Londres avait donné gain de cause en novembre dernier à ceux qui pensaient que oui, et le gouvernement avait fait appel.
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Brexit: en Europe, on ne voit qu'un seul perdant, et il n'est pas sur le continent

Coulisses de Bruxelles - lun, 23/01/2017 - 19:54

Dessin: Vadot

The Guardian m’a demandé une réaction au discours de Theresa May prononcé le 17 janvier. Mon article est ici, en anglais. Il a encore eu un beau succès sur le site du quotidien : 11.200 partages et 1252 commentaires (et pas toujours sympathiques, mais je le cherche bien ;-)) et sur Twitter. Voici sa traduction française.

Lorsqu’une personne entretient des rêves inaccessibles, on dit, en français, qu’elle veut « le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémière ». Dans le langage populaire, on est un tantinet plus vulgaire, et on ajoute « le cul de la crémière »… C’est exactement ce qu’il faut retenir du discours de Theresa May sur le « hard Brexit » qu’elle souhaite : en réalité, le Brexit qu’elle souhaite n’est « hard » que pour les Européens, mais « soft » pour les Britanniques, puisqu’elle veut garder tous les avantages de l’appartenance de son pays à l’Union sans aucune contrepartie. Cela n’est pas une surprise, puisqu’elle l’avait déjà annoncé en octobre dernier lors de son discours devant le congrès du parti conservateur. Elle estime même que tout autre accord serait inacceptable, car il reviendrait à « punir » les Britanniques pour leur choix de quitter l’Union et elle les menace même de transformer la Grande-Bretagne en paradis fiscal en mesure de rétorsion si, par malheur, les Européens refusaient de se plier aux exigences des sujets de sa glorieuse Majesté. On croit rêver, mais non : c’est soit de l’arrogance, soit de l’inconscience, soit, plus probablement, un mélange des deux.

Résumons: d’une part, bien sûr, Theresa May souhaite une rupture « claire et nette » avec l’Union, c’est-à-dire ne plus siéger dans ses institutions, contribuer au budget communautaire et bien sûr respecter sa législation. D’autre part, elle ne veut pas d’un statut de « membre partiel ou associé » quelconque qui impliquerait qu’elle doive se plier aux exigences, dans quelques domaines que ce soit. Jusque-là, on suit : le Royaume-Uni devra être traité comme un pays tiers, le Zimbabwe, par exemple, c’est « clair et net ».

C’est ensuite que ça se complique, surtout pour un esprit cartésien continental qui ne possède pas la subtilité de réflexion d’un pur produit d’Oxbridge. Car May estime possible que ses entreprises conservent l’accès le plus large possible au marché unique, notamment en négociant des accords douaniers sectoriels avec l’Union. Et c’est là que cela devient intéressant. Parce que droit de douane ou pas, importer un bien sur un marché suppose le respect des normes locales : en clair, si les Britanniques veulent exporter leurs voitures (en fait, des voitures allemandes ou japonaises…) vers le vieux continent, ils devront respecter les lois européennes, c’est-à-dire s’y soumettre (je sais, quel horrible mot). Sur ce point, il n’y a pas de moyen terme. Donc, en réalité, la rupture « claire et nette » ne pourra concerner qu’une partie de l’industrie britannique, celle qui fabrique pour le marché local. Surtout, elle ne dit rien sur les services : comment garantir l’accès des banques au vieux continent, par exemple, une nécessitée puisque la City ne sera bientôt plus la place financière de l’euro ? Qu’est-ce que Theresa May est prête à offrir en échange ?

Car la réalité est brutale, n’en déplaise au sentiment national local : c’est une puissance moyenne de 65 millions d’habitants, dont la majorité des industries est possédée par des capitaux étrangers, qui va négocier avec l’une des principales puissances commerciale, économique et monétaire du monde, une puissance dotée d’un marché de 450 millions de personnes. Quels sont les pays vers lesquels la Grande-Bretagne exporte et d’où vient une bonne partie des investissements étrangers ? Où est le pouvoir ? Qui a le plus à perdre dans l’affaire ?

Menacer les Européens de se transformer en paradis fiscal si jamais le Royaume-Uni n’obtient pas ce qu’il veut relève de l’enfantillage : une telle solution est possible, et encore, pour un micro-État sans industrie locale, pas pour un pays comme la Grande-Bretagne. Comment imaginer que les Européens laissent partir leurs entreprises ou leurs capitaux sans réagir ? Le nouvel allié américain qui menace ses entreprises qui délocalisent leurs profits laissera-t-il Theresa May transformer son pays en porte-avion de l’optimisation fiscale ?

Pire pour Theresa May, il ne faut pas compter sur une division des Européens sur ce dossier. D’une part, parce qu’ils ont politiquement énormément à perdre en actant un accord favorable aux Brexiters qui renforcerait leurs europhobes locaux. De ce point de vue, la sortie en douceur n’a seulement aucun sens techniquement, mais est politiquement absurde. D’autre part, parce qu’il faut l’unanimité des 27 pour acter un accord. Sinon, en mars 2019, la Grande-Bretagne sera tout simplement dehors. Diviser les Européens, c’est la certitude qu’il n’y aura aucun deal. Bref, on peut tordre le Brexit dans tous les sens, je ne vois qu’un perdant et il n’est pas sur le continent.

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HMS Vengeance : serious Trident missile malfunction

CSDP blog - lun, 23/01/2017 - 17:45

Downing Street has been accused of covering up a Trident missile malfunction weeks before a crucial Commons vote on the future of the submarine-based missile system.

A Trident II D5 missile test ended in failure after it was launched from the British submarine HMS Vengeance off the coast of Florida in June 2016. The weapon is 13 metres long, weighs 60 tonnes and can carry nuclear warheads with up to eight times the destructive capacity of the bombs that hit Hiroshima and Nagasaki in the second world war. Trident missile can hit a target 4,000 nautical miles away and be accurate to within a few metres.

The problem is that when HMS Vengeance, one of the UK’s four nuclear submarines, test-fired the missile off the coast of Florida, the missile was not out by a few metres but several thousand miles. It had been targeted at the southern Atlantic off the coast of west Africa. Instead, it was heading in the opposite direction, over the US.

The four previous UK tests – in 2000, 2005, 2009 and 2012 – were successful, it was the only firing test of a British nuclear missile in four years and raises serious questions about the reliability and safety of the weapons system. But the error was hushed up. The cause of the failure remains top secret, but quotes a senior naval source saying the missile, which was unarmed for the test, suffered an in-flight malfunction after launch. According to defence sources, the missile did not veer off in the wrong direction because it was faulty but because the information relayed to it was faulty. This explanation is not reassuring.

It was reportedly intended to be fired 5,600 miles to a sea target off the west coast of Africa but may have veered off towards America instead. There was a major panic at the highest level of government and the military after the first test of our nuclear deterrent in four years ended in disastrous failure. In July, MPs voted by 472 to 117 to back the renewal of Britain's Trident nuclear deterrence. The overwhelming vote supported the Government's plans to spend up to £40 billion on four new Successor-class submarines.

Some analysts say the fact that UK tests are infrequent is not important because the US tests much more frequently and both share the underlying technology. There are over 150 tests over almost 30 years, with a sub-3% failure rate, and well under 1% since British submarines began carrying the missiles.

Source
http://www.independent.co.uk/
http://www.thetimes.co.uk/
https://www.theguardian.com

Tag: HMS VengeanceTridentnucléaire

Article - Économie circulaire : vers des objectifs plus ambitieux en matière de recyclage

Parlement européen (Nouvelles) - lun, 23/01/2017 - 16:37
Général : En moyenne, moins de la moitié des déchets municipaux sont recyclés ou compostés dans l’Union européenne. Le Parlement européen s’est régulièrement montré en faveur d’objectifs plus ambitieux en matière de recyclage. Ce mardi 24 janvier, les députés de la commission de l’environnement adopteront leurs amendements à un paquet de quatre propositions législatives autour d’une meilleure gestion des déchets. Ce vote ouvrira ensuite les négociations avec la Commission et le Conseil.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
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« Ban glyphosate » dans les starting-blocks !

EU-Logos Blog - lun, 23/01/2017 - 15:41

Cet article portera sur l’Initiative des citoyens Européens « Ban Glyphosate » qui sera lancée officiellement le 25 février.

Commençons par un rapide « background » de cette initiative et dans quel cadre elle sera proposée.

L’ECI ou « European Citizens Initiative » fut lancé par la Commission Européenne lors du Traité de Lisbonne. C’es tune plateforme qui permet aux citoyens de « donner leur avis » et de proposer des projets à la Commission Européenne. Cela permet de proposer des idées et d’ainsi évaluer, au nombre des signatures requises, l’importance de l’initiative pour les Européens. En effet, une fois mise en ligne l’initiative peut être vue par tout le monde et chacun peut voter et donner son avis sur celle-ci. Cependant, afin que l’Initiative puisse éventuellement trouver écho auprès de la Commission Européenne, elle doit rassembler au minimum un million de signatures provenant d’au moins 7 pays membres.

Dans le cadre de cette plateforme sera donc lancé la semaine prochaine une initiative afin de bannir le glyphosate, ce pesticide qui est utilisé aux 4 coins de l’Europe et qui semble selon beaucoup d’études, être nocif et cancérigène. En effet, les débats à ce sujet sont sur le tapis depuis de nombreux mois.

Revenons au 29 juin 2016, la Commission Européenne avait annoncé qu‘elle prolongeait l’autorisation de l’herbicide controversé pour 18 mois au maximum et cela « jusqu’à ce que l’Agence Européenne des produits chimiques publie son avis, au plus tard à la fin de 2017 ». La justification de ce « postposé » est le refus des Etats membres de prendre leurs responsabilités. En effet, la Commission n’est pas parvenue à trouver une majorité qualifiée au sein des Etats membres. Voilà donc la raison de l’enlisement actuel qui bloque autant les négociations que l’abrogation de l’herbicide. Entre les incompréhensions et non-dits des Lobbys et des institutions médicales, les citoyens tentent tant bien que mal d’émettre leur voix. L’OMC, le CIRC et l’ONG Green Peace, sont tout trois d’accord que le glyphosate est absolument cancérigène, en revanche l’Autorité européenne de sécurité des aliments estimait ces affirmations « improbables ». Le débat reste donc intense à l’échelle européenne.

C’est donc dans cette optique que l’initiative « Ban Glyphosate » a pour but de « proposer aux Etats membres de bannir le glyphosate, de réformer la procédure d’acceptation du pesticide, Afin de mettre en place des règles de réducation obligatoires au niveau de l’UE concernant l’utilisation des pesticides ». Durant 12 mois, chaque citoyen aurait la possibilité de se rendre sur le site afin de voter. Après cela, la Commission aura 3 mois pour donner une réponse et devra, dans le cas ou elle ne répond pas comme dans le cas contraire, fournir une justification.

Victoria Bonaert

Pour en savoir plus:


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L’Euro comme étendard de la souveraineté Européenne ?

EU-Logos Blog - lun, 23/01/2017 - 15:30

Bien loin du Mark, du Franc et de la lire, nous avons décidé dans cette article un peu spécial de parler de notre monnaie unique Européenne : l’Euro. Sujet banal dans une région pas franchement exotique, et pourtant, cela fait déjà 15 ans que chaque jour nous l’utilisons. Afin de répondre aux nombreux articles à ce sujet, nous tenterons ici d’évaluer l’importance de notre monnaie et le point de vue des eurosceptiques mais nous verrons également comment cet anniversaire porte à un débat beaucoup plus profond.

Tout à commencé en 1957, lors du traité de Rome où l’on a voté la création d’un marché unique afin bien sur, d’accroitre notre puissance économique mais aussi d’unir plus étroitement les peuples européens. C’est en 1992 que les choses se concrétisent lors du traité de Maastricht les pays de l’UE ont décidé d’établir les fondements de la monnaie unique en Europe conjointement avec la libéralisation des capitaux et la coordination renforcée des politiques économiques. C’est finalement le 1er janvier 2002 que l’euro arrivent dans nos ménages. Les pièces et billets de banques sont mis en circulation dans les 12 pays de la zone euro : Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Grèce, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et Portugal.

Tout d’abord, il était important à l’époque de veiller à une plus grande intégration des pays membres. Or, la monnaie unique a une fonction rassembleuse comme le témoigne Dominique Gerbaud, rédacteur en chef de « La Croix » : « Lorsqu’on voyage, c’est souvent à partir du moment où on a changé de l’argent en monnaie locale que l’on se sent réellement dans le pays car la monnaie a une fonction d’intégration. C’est ce qui va se passer, et dans quelques années, probablement plus vite qu’on ne le croit, on se sentira Européens. ». Cette intégration par la monnaie relate bien l’envie de l’époque de « plus d’Europe ». Période de gloire de l’UE, si on peut l’appeler ainsi, il régnait encore à ce moment-là une certaine euphorie à l’idée de plus de souveraineté. Si les choses ont bien changé aujourd’hui, l’UE doit faire face actuellement à une vague d’eurosceptiques plutôt friand à un retour aux monnaies nationales.

Prenons pour exemple Marine Le Pen, elle aimerait une sortie concertée en affirmant que la fin de la monnaie unique sera favorable à tout les pays afin qu’ils puissent rétablir une monnaie adaptée à leur économie personnelle. « La monnaie unique a été construite par l’Allemagne pour l’Allemagne et qui est un costume qui ne va qu’à l’Allemagne ».  Cette monnaie est totalement inadaptée à nos économies et cette monnaie est une des raisons de la situation de chômage que vivent les pays de l’Union européenne. Alors, soit on arrive par la négociation, soit eh bien nous ferons un référendum comme la Grande-Bretagne, et on décidera de reprendre la maîtrise de notre monnaie » souligne t’elle. La monnaie unique lui semble être une soumission à l’Union Européenne et encore plus aux deux grandes puissances : les Etats-Unis et la Russie. Ces affirmations semblent cependant un peu rapides et manquent de fond. Remettons donc rapidement les points sur les « i » : une dissolution de la monnaie unique débouchera directement sur une refondation des Banques centrales nationales. Les pays seront donc au main de leurs Etats et les effets financiers se feront donc ressentir plus ou moins fortement dans les différents pays. La seule sureté actuellement est que cette période, si elle arrive un jour, sera très turbulente. Il existe aussi un problème non négligeable : les contrats qui furent conclus en euro devront nécessairement passer devant les tribunaux afin d’être remodelés. Un autre problème sera la méfiance face à nos marchés et donc un désengagement mondial. En gros, les craintes les plus virulentes reposeraient sur le retour à l’inflation des prix, une dette astronomique, les frontières qui se refermeraient,  ..

A coté de cela, des problèmes récurrents viennent entacher l’image de l’Euro. Il y a la question de la crise grecque et de nos économies qui porte au débat. Si la situation en Grèce a fortement mis la zone euro en difficulté, en Italie, l’économie a chuté depuis les années 2000 comme nous l’explique Jacques Sapir : « Ceci n’est le fait d’une crise brutale comme en Grèce. La productivité du travail, dont la croissance était comparable à celle de la France et de l’Allemagne de 1971 à 1999, stagne depuis 2000. L’écart s’est massivement ouvert avec ses voisins immédiats. Si l’on prend 1999 comme indice 100, on est en 2015 à 117 en Allemagne et en France, mais à 104,5 seulement en Italie. La raison de cette situation est, comme dans le cas de la France, l’écart qui s’est créé entre le taux de change virtuel du Deutsch Mark, que l’on peut calculer par l’évolution de la productivité et de l’inflation en Allemagne, et le taux de change virtuel de la Lire. Une étude du Fond Monétaire International montre que le Mark est virtuellement sous-évalué de 15% (au taux de change de l’euro) quand la Lire est, elle, surévaluée de 10%. Cet écart de 25% est la cause de biens des malheurs de l’économie italienne, tout comme pour le cas de la France où cet écart atteint 21%. »  Tout ces problèmes découlent d’une mal formation à la naissance, d’un manque de sécurité et de souveraineté mais également d’un système fort qui permettrait de synchroniser nos investissements afin de faire grandir nos économies à défaut de les faire stagner et régresser.

Est-ce une aberrance démocratique d’avoir une monnaie unique sans gouvernement représentatif ?

En outre aujourd’hui, il est intéressant de se demander pourquoi sommes-nous dans ce qu’on pourrait appeler une « crise de l’Euro ». Les nombreux eurosceptiques des pays membres ont évidemment un rôle important à jouer mais pas seulement. Est- t’il réellement possible d’envisager une monnaie unique tout en conservant les souverainetés nationales et du coup les démocraties? La grande majorité des Etats membres ne sont pas du tout prêt à troquer leur souveraineté nationale afin de sauver l’Europe. C’est un peu un débat qui arrive à la surface par un événement indépendant (les 15 ans) mais qui n’a pas vraiment raison d’être. Alors oui, on a raison de s’en faire, de se demander si cette monnaie unique est réellement envisageable dans un marché commun sans normes sociales protégées. On a aussi raison de se soucier de nos économies sans boucliers. S’il est bien trop tôt pour parler d’une Europe « mort-née », il est urgent d’être cohérent dans nos politiques, il est urgent d’accorder nos économies, il est urgent d’établir des plafonds et de coordonner nos législations, il est urgent de sortir de ce magma bureaucratique et enfin, il est urgent de devenir « souverainement européens » comme le disait Raphael Glucksmann.

Victoria Bonaert

En savoir plus :

-http://russeurope.hypotheses.org/5484

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20170106.OBS3472/l-europe-deviendra-t-elle-enfin-adulte-par-raphael glucksmann.html utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Facebook&utm_term=Autofeed#link_time=1483863056

http://www.actionfrancaise.net/craf/?Jacques-Sapir-L-agonie-de-l-Euro


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Les médicaments contrefaits envahissent l’Afrique

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 13:15
En deux semaines, l’Organisation mondiale des douanes a saisi 113 millions d’antipaludéen, anti-inflammatoires, antibiotiques contrefaits à destination du continent africains. Un trafic dont l’ampleur demeure inconnue.
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[Revue de presse] L'extrême droite européenne réunie à Coblence (Allemagne) autour du rejet de l'Europe

Toute l'Europe - lun, 23/01/2017 - 12:20
Galvanisés par le Brexit et la victoire de Donald Trump, les partis d'extrême-droite européens (dont le Front national de Marine Le Pen) se sont réunis au palais des Congrès de Coblence en Allemagne pour célébrer ce qu'ils estiment être une nouvelle ère, en accord avec leurs idées. En phase sur le rejet de l'UE, de l'immigration et de l'islam, ils espèrent que ces thèmes les conduiront au pouvoir, au cours d'une année électorale particulièrement chargée en Europe.
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Article - Le CETA et les accords commerciaux de l'Union européenne

Parlement européen (Nouvelles) - lun, 23/01/2017 - 11:43
Général : Les députés membres de la commission du commerce international se prononceront ce mardi 24 janvier sur l’accord économique et commercial global (CETA) négocié avec le Canada. D’autres traités commerciaux sont actuellement en cours de négociations entre l'Union européenne et des pays tiers. À chaque fois, l’ensemble des députés européens doit approuver le texte pour que celui-ci puisse entrer en vigueur. Consultez notre article pour en savoir plus sur ces accords.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
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Bulgarie

Toute l'Europe - lun, 23/01/2017 - 11:16
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Article - Cette semaine au Parlement : CETA, réduction et recyclage des déchets

Parlement européen (Nouvelles) - lun, 23/01/2017 - 11:08
Général : Cette semaine, les députés de la commission du commerce international se prononceront sur l’accord économique et commercial global (CETA) en cours de négociations avec le Canada. Des objectifs plus ambitieux en matière de réduction et de recyclage des déchets à l’échelle européenne seront également soumis aux votes.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
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Le Pen prédit le «réveil» de l’Europe à l’image du Brexit et de Trump

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 09:58
Lors d'un congrès des droites extrêmes et populistes européennes, Marine Le Pen, a prédit une révolte électorale cette année « changera la face de l’Europe », après le Brexit et Donald Trump.
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Berlin doit abandonner le charbon d’ici 2035 pour respecter l’Accord de Paris

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 09:44
Si l’Allemagne entend respecter ses engagements vis-à-vis de l’accord de Paris, elle doit commencer à éliminer le charbon de son mix énergétique d’ici 2020, selon une nouvelle étude du WWF. Un article d’EurActiv Allemagne.
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Theresa May va ouvrir le bal des rencontres avec Donald  Trump

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 09:24
La Première ministre britannique Theresa May sera vendredi  27 janvier le premier dirigeant étranger reçu par Donald Trump à la Maison blanche. Elle a prévenu qu'elle n'aurait « pas peur » de lui dire lorsqu'elle jugera inacceptables ses actes ou ses déclarations.
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Les agriculteurs bio plaident pour une PAC plus durable

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 09:00
La fédération européenne des mouvements d’agriculture biologique a demandé à Bruxelles de mettre l'accent sur la qualité de la production agricole et non pas sur sa compétitivité, lors de la prochaine PAC.
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George Soros prédit l’échec de Trump, « l’apprenti dictateur »

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 08:42
Le milliardaire George Soros a dressé un portrait critique de Donald Trump le 19 janvier lors du Forum économique mondial de Davos, qualifiant le président américain d’« apprenti dictateur qui échouera ».
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Benoît Hamon devance Manuel Valls au premier tour de la primaire

Euractiv.fr - lun, 23/01/2017 - 08:35
Le frondeur Benoît Hamon est arrivé en tête dimanche soir du premier tour de la primaire organisée par le PS et aborde le second avec un net avantage face à Manuel Valls.
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La tournée très politique du président turc Erdogan en Afrique de l’Est

RFI (Europe) - dim, 22/01/2017 - 18:54
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a entamé, dimanche 22 janvier, une tournée de cinq jours en Afrique de l’Est, qui le mènera de Tanzanie à Madagascar en passant par le Mozambique. Au programme des échanges : les relations économiques, mais aussi et surtout la lutte contre les réseaux de l’imam Fethullah Gülen, accusé d’avoir tenté un coup d’Etat en Turquie l’été dernier.
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Londres accusé d'avoir dissimulé un essai de missile nucléaire raté

RFI (Europe) - dim, 22/01/2017 - 16:54
Le gouvernement britannique se trouve dans une situation délicate après un incident impliquant la force de frappe nucléaire. Londres est accusé d'avoir dissimulé l'existence de ce raté.
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