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Union européenne

Latest news - Next DROI Meeting - Subcommittee on Human Rights

The next meeting of the Subcommittee on Human Rights will take place on Monday 6 February 2017 from 9.00 - 12.30 in room PHS 1A002.

Representatives of NGOs as well as other organisations are requested to accede to the EU Transparency Register and follow the procedures therein for access to the European Parliament.
Further information
Watch the meeting live
Draft agenda and meeting documents
Press Statements
Calendar of DROI Meetings 2017
Source : © European Union, 2017 - EP
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9/2017 : 31 janvier 2017 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-573/14

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - mar, 31/01/2017 - 09:28
Lounani
Espace de liberté, sécurité et justice
Une demande d’asile peut être rejetée si le demandeur a participé aux activités d’un réseau terroriste

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Article - Prix Charlemagne pour la jeunesse: envoyez votre candidature avant le 20 février

Parlement européen (Nouvelles) - lun, 30/01/2017 - 14:53
Général : Vous avez entre 16 et 30 ans et vous êtes à la tête d'un projet à dimension européenne ? Depuis 2008, le Prix Charlemagne pour la jeunesse récompense des initiatives qui encouragent le développement d'une conscience européenne parmi les jeunes. En plus de bénéficier d'une couverture médiatique, les trois meilleurs projets obtiendront des fonds pour les aider à se développer. Découvrez dans notre article comment participer !

Source : © Union européenne, 2017 - PE
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[Revue de presse] Primaire de la gauche : les réactions de la presse européenne après la victoire de Benoît Hamon

Toute l'Europe - lun, 30/01/2017 - 10:53
Avec 58,65% des voix, Benoît Hamon est désormais le candidat du Parti socialiste, après sa victoire dimanche 29 janvier contre l'ancien Premier ministre Manuel Valls. Cette percée inattendue de l'élu de Trappes n'a pas manqué de susciter les commentaires de la presse européenne.
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Ukraine: nouveaux affrontements meurtriers pendant la trêve

RFI (Europe) - lun, 30/01/2017 - 07:25
Quatre soldats ukrainiens et un combattant rebelle ont été tués dimanche dans l'Est de l'Ukraine dans les affrontements les plus meurtriers depuis l'instauration d'une nouvelle trêve fin décembre. Le conflit entamé en 2014 a déjà fait plus de 10 000 morts selon l’ONU. Pendant ce temps, le pays s’inquiète des sympathies de l’administration de Donald Trump envers la Russie.  
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Allemagne: candidat du SPD, Martin Schulz s'en prend aux populistes

RFI (Europe) - lun, 30/01/2017 - 00:01
Premier grand discours ce dimanche 29 janvier à Berlin de Martin Schulz, l'ancien président du Parlement européen qui affrontera Angela Merkel en septembre prochain pour le SPD. Il a promis justice sociale et fermeté contre la droite nationaliste.
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Trump-Poutine: première prise de contact réussie

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 23:26
Pour la première fois depuis qu’il est président, Donald Trump s’est entretenu par téléphone avec Vladimir Poutine. L’occasion pour les deux hommes d’aborder les dossiers en cours et de tomber d’accord pour développer des relations «d’égal à égal».
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Suède: les conservateurs tendent la main à l'extrême droite

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 20:14
En Suède, les conservateurs viennent de tendre la main à l'extrême droite. Une manoeuvre qui rompt avec la tradition politique du pays de ne pas s'associer avec le parti extrémiste, les Démocrates de Suède, malgré son importance en termes de voix. Une stratégie à risque.
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A Lisbonne, François Hollande veut une Europe ferme face à Donald Trump

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 16:47
En marge d’un sommet de sept pays du sud de l’Union européenne, le président français François Hollande a appelé ce samedi 28 janvier l’Europe à faire bloc et se montrer ferme au président américain Donald Trump.
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Ted Malloch, ambassadeur pressenti à Bruxelles: «l'UE, c'est l'URSS»

Coulisses de Bruxelles - sam, 28/01/2017 - 16:41

Le nouvel ambassadeur européen désigné à Washington a expliqué, hier, sur Fox News, qu’il pensait que Donald Trump était un « nouvel Hitler » qu’il fallait «dompter» et qu’il était là pour ça. Pour Eduardo von Durand, il est plus que probable que plusieurs États américains, notamment la Californie, feront sécession et qu’il ne parierait pas un euro sur l’avenir du dollar, conseillant même aux traders de le jouer à la baisse. Autant dire que ses propos ont fait scandale et qu’il est désormais probable que le gouvernement américain refusera ses lettres de créance. Restez calme ! Il s’agit d’une pure fiction: les Européens ont encore un minimum de sens commun.

L’UE, le nouvel «Empire du mal»

Ce n’est manifestement pas le cas de l’administration Trump. Après que le président élu se soit lâché contre l’Europe et l’Allemagne avant sa prise de fonction, c’est au tour d’un de ses proches, Ted Malloch, 64 ans, pressenti pour être le nouvel ambassadeur américain auprès de l’Union. Hier, lors de deux émissions de la BBC, Malloch a confirmé la nouvelle ligne américaine : l’Europe n’est non seulement plus un enjeu stratégique pour Washington, mais c’est un adversaire à abattre ! Un tournant stratégique qui met fin à 70 ans de diplomatie européenne des États-Unis. Ainsi, le diplomate n’hésite pas à comparer l’UE à l’URSS et estime qu’il faut en finir avec ce nouvel « Empire du mal » : « J’ai déjà eu des postes diplomatiques dans le passé qui m’ont permis d’aider à abattre l’URSS. Alors, peut-être qu’une autre Union a aussi besoin d’être domptée », a froidement lâché le « diplomate ». Il a confirmé que le président Trump « n’aime pas cette organisation supranationale, non élue, mal dirigée par des bureaucrates et qui n’est franchement pas une vraie démocratie ». Pour lui, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission et ancien premier ministre du Grand Duché, « serait plus à sa place en étant maire d’une ville au Luxembourg ». Quant à l’euro, évidemment, il « est en voie de disparition, il a un réel problème et pourrait s’effondrer d’ici un an, un an et demi ». « La seule chose que je ferais en 2017, c’est prendre une position courte sur l’euro », c’est-à-dire de parier sur les marchés sur sa baisse, a-t-il conseillé. Et d’appeler à la rescousse de ses prévisions apocalyptique l’économiste de gauche Joseph Stiglitz « qui a écrit un livre entier sur le sujet »… (Ses déclarations, ici et ici).

Insulter ses futurs partenaires, voilà qui doit être sans précédent dans l’histoire, pourtant agitée, de la diplomatie. Ces saillies sans finesse, qui font étrangement écho aux accusations des europhobes européens, FN en tête, montrent à la fois la piètre estime dans laquelle les nouveaux dirigeants américains tiennent l’Europe, pourtant leur partenaire le plus proche, et leur profonde méconnaissance de l’Union. Pour reprendre l’aphorisme de Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’État de Bill Clinton, « pour comprendre l’Europe, vous devez être un génie ou un Français ». Ted Malloch n’est ni l’un ni l’autre. De fait, on ne compte plus les prévisions apocalyptiques sur la fin de l’Europe et de l’euro qui ne se sont jamais réalisées.

«Pure folie»

Pour son prédécesseur à Bruxelles, Anthony Gadner, viré dès le 20 janvier comme l’ensemble des ambassadeurs américains, il faut voir dans cette nouvelle approche « la perception que Nigel Farage », l’ancien leader du UKIP, un parti britannique europhobe, et ami de Trump, « dissémine » à Washington : « une caricature » portée par ce « cinglé de la politique » a-t-il déclaré à la presse le 13 janvier. « Ne pensez même pas à diviser l’UE », a lancé Gadner à l’administration Trump, car cette tactique échouera, qualifiant au passage de « pure folie » son soutien au Brexit. Un soutien qui ne se dément pas. Ted Malloch a d’ailleurs affirmé à la BBC que les États-Unis et la Grande-Bretagne pourraient conclure un accord de libre-échange 3 mois après que Londres ait invoqué l’article 50 du traité activant la procédure de sortie de l’Union. Pour lui, le fait que Bruxelles veuille interdire à Londres de négocier un tel traité avant d’être sorti de l’Union, c’est comme un homme qui essaierait dire à sa femme de mettre un terme à une relation extraconjugale. « C’est absurde ».

Les Européens vont-ils réagir à ces provocations ? Malloch doit encore être officiellement nommé et, ensuite, accepté par l’Union. La procédure est la suivante : la Commission reçoit ses lettres de créance, les transmet à la ministre des Affaires étrangères de l’Union, Federica Mogherini, qui saisit ensuite les États membres. Si au bout de 30 jours, aucune des vingt-huit capitales n’a soulevé d’objection, le nouvel ambassadeur est accrédité. En clair, il suffit d’un non pour renvoyer Malloch à ses études. Un pays osera-t-il manifester sa mauvaise humeur, comme vient de le faire le président mexicain, lassé de se faire menacer par Trump ? Rien de moins de sûr, le courage n’étant pas la marque de fabrique des États européens, seuls ou en groupe. Cela étant, aujourd’hui, à Berlin, le couple franco-allemand a nettement durci le ton à l’égard de Washington en soulignant les « défis » que posaient à l’Europe Donald Trump, comme, selon Angela Merkel, « la défense d’une société libre et du libre-échange ». Grâce à Ted Malloch, on va voir jusqu’où sont prêts à aller les Européens pour défendre leurs « valeurs » à nouveau vantées par François Hollande.

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Theresa May en visite en Turquie pour renforcer les liens commerciaux

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 13:31
Le président turc Recep Tayyip Erdogan et son Premier ministre Binali Yildirim reçoivent la Première ministre britannique Theresa May, qui s'est rendue à Ankara depuis Washington. La visite de Theresa May en Turquie est notamment destinée à développer les relations commerciales du Royaume-Uni avec ce pays, sans oublier les droits de l'homme.
Catégories: Union européenne

Environnement: Bruxelles ouvre une enquête sur les boues rouges de Gardanne

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 11:18
L'affaire des boues rouges de Gardanne a pris une nouvelle dimension cette semaine. La Commission européenne a ouvert une enquête mardi 24 janvier.
Catégories: Union européenne

Militaires turcs exilés en Grèce: regain de tensions entre Athènes et Ankara

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 11:08
Le rejet de l’extradition de huit militaires turcs par la Cour de cassation grecque cette semaine crée des tensions entre Athènes et Ankara. Ils avaient fui en Grèce la nuit du coup d’État manqué en juillet dernier. Après des pressions de la Turquie sur les questions migratoires, le gouvernement grec réplique qu’il doit appliquer le droit.
Catégories: Union européenne

#Fait du jour Merkel et Hollande répondent à Trump. Un ennemi qui tombe à pic !

EU-Logos Blog - sam, 28/01/2017 - 08:42

Donald Trump n’aime pas l’Europe et le dit tout Haut. Tout Haut l’Europe dit qu’elle n’aime pas Donald Trump ! (suite) . Dans le précédent article nous avions souligné que par la voix de Merkel et Hollande l’Europe avait répondu aux propos tonitruants de Donald Trump et ainsi bien marqué les lignes rouges, propos peu remarqués et peu commentés par les médias. Tous les deux viennent de récidiver à Berlin le 27 janvier dernier. Le contenu diffère peu, mais l’intention institutionnelle est évidente ; ils s’adressent à leurs partenaires de l’UE en vue des prochaines rencontres déjà programmées.

Dans un paysage bouleversé par l’élection du président américain, ils renouvellent leur vision commune. Pour le sommet e Malte de début février, ils veulent convaincre tous les Etats membres, y compris ceux de l’est et du groupe de Visegrad, de la nécessité quasi vitale pour l’Europe de prendre en commun les décisions qui s’imposent et de les mettre en œuvre. Est visé également la déclaration qui sera prononcée à Rome le 25 mars pour le soixantième anniversaire de la signature du Traité fondateur, le traité de Rome. Cette déclaration doit confirmer et consolider les orientations déjà définies à Bratislava puis au Conseil européen de décembre dernier en matière notamment de défense et de croissance économique.

La déclaration de Berlin de Merkel et Hollande se laisse résumer en peu de mots, mais chacun a son importance (pour le texte intégral, cf. « Pour en savoir plus ).

« Face aux nombreux défis internes et externes, nous avons besoin d’un engagement commun clair en faveur de l’Union européenne (…) et des valeurs de nos démocratie »a dit Angela Merkel lors de la déclaration commune aux côtés de François Hollande. A Rome les européens devront répondre au défi « d’une Europe nouvelle dans un monde incertain »a déclaré François Hollande, jugeant «  « qu’aujourd’hui plus que jamais , l’Europe doit être politique. Parlons très franchement, il y a le défi que pose la nouvelle administration américaine, par rapport aux règles commerciales, par rapport aussi à ce que doit être notre position pour régler les conflits dans le monde ».3 Nous devons bien sûr parler à Donald Trump (…) mais nous devons aussi le faire avec une conviction européenne et la promotion de nos intérêts et de nos valeurs, c’est pourquoi il est si important de non seulement nous concerter, mais aussi de nous rapprocher, c’est ce que nous avons à faire à Malte et à Rome » rapprocher.

Depuis notre dernier article, une nouvelle perception concernant l’élection du président américain fait son chemin : c’est un risque mais c’est aussi une chance. C’est cette compréhension de la situation qu’ a exprimée l’Institut Jacques Delors, nous l’avons vu. Cette fois ci il convient de citer le professeur Michaël Foessel dans un article publié dans libération du 27 janvier « un ennemi qui tombe à pic. Avec Trump, l’Union européenne a trouvé ce qui lui a si cruellement manqué dans son histoire récente : une idéologie extérieure à combattre. »

 

-. Point de presse et déclaration commune à l’issue de la rencontre http://www.elysee.fr/http://www.elysee.fr/

     -. Un ennemi qui tombe à pic pour l’Europe http://www.liberation.fr/debats/2017/01/26/un-ennemi-qui-tombe-a-pic-pour-l-europe_1544247

 

 


Classé dans:Citoyenneté européenne, Face au populisme, Fact of the day
Catégories: Union européenne

Grèce: le FMI presse la zone euro pour réduire la dette jugée «explosive»

RFI (Europe) - sam, 28/01/2017 - 04:39
Dans un rapport confidentiel, le Fonds monétaire international (FMI) estime que le plan d'allégement de la dette grecque par les pays de la zone euro est insuffisant et ne permet pas d'espérer un rétablissement financier du pays. L'institution financière s'oppose ainsi à l'Allemagne et aux Pays-Bas partisans d'une grande fermeté à l'égard de la Grèce.
Catégories: Union européenne

Noyade en public d’un jeune Gambien à Venise: la justice ouvre une enquête

RFI (Europe) - ven, 27/01/2017 - 21:36
Les réactions sont nombreuses après la diffusion d’une vidéo d’un jeune Gambien se noyant dans le Grand Canal de Venise sous les moqueries des passants. Les questions aussi. Une enquête a été ouverte par le parquet de Venise pour tenter d’y répondre.
Catégories: Union européenne

[Portrait] Allemagne: Sigmar Gabriel à la diplomatie, pour «faire le job»

RFI (Europe) - ven, 27/01/2017 - 17:48
Sigmar Gabriel, le vice-chancelier allemand change d’attribution. Celui qui était ministre de l’Economie depuis 2013 succède à la tête de la diplomatie allemande à Frank-Walter Steinmeier qui doit être élu président de la République prochainement.
Catégories: Union européenne

A la Une: Turquie, «la plus grande prison du monde» pour les journalistes

RFI (Europe) - ven, 27/01/2017 - 16:51
Une revue de presse présentée en partenariat avec Le Courrier des Balkans.
Catégories: Union européenne

#Faitdujour 27/01/2016 – Le mur de la discorde: l’affrontement entre Trump et Nieto

EU-Logos Blog - ven, 27/01/2017 - 16:36

Le 25 Janvier, le nouveau Président des États-Unis, Donald Trump, a signé un ordre exécutif pour la construction d’un mur sur la frontière avec le Mexique, respectant ainsi la promesse faite pendant sa campagne. Le document prévoit également la mise en place de plusieurs zones de détention tout au long de la frontière. Un second décret prévoit l’arrêt de la politique d’Obama sur le financement des villes à la frontière qui protégeaient les migrants entrés illégalement, ainsi qu’une politique plus sévère concernant les rapatriements.

Dans une interview pour ABC, M. Trump a déclaré que la construction du mur avec le Mexique allait commencer « dès que possible, dans quelques mois », alors que le début de la planification doit débuter « immédiatement ». Trump a également expliqué que les coûts de la construction du mur incomberont aux Américains, qui seront ensuite entièrement remboursés par l’Etat mexicain, qui devrait donc in fine régler la facture – selon M. Trump.

La réponse du Mexique ne s’est pas fait attendre : le Président Enrique Pena Nieto a immédiatement annulé son voyage à Washington, prévu pour le 31 Janvier, informant que le Mexique n’avait pas l’intention de soutenir ce projet et encore moins de le payer. Donc, au cours des dernières heures, le Président des États-Unis a trouvé une autre façon de reporter sur les Mexicains les coûts de la construction du mur.

Tout d’abord, Donald Trump a demandé la démission de Mark Morgan, chef de la police des frontières: il a ainsi dû quitter son poste dès que le Président des États-Unis a ordonné la construction du mur. En deuxième lieu, une nouvelle d’une taxe de 20% sur les importations en provenance du Mexique a été présentée: pour couvrir les coûts de construction du mur, M. Trump a en effet proposé une taxe sur les importations en provenance du Mexique, taxe que le porte-parole de la Maison blanche, Sean Spicer, a confirmée : 10 milliards de dollars par an sont espérés, et dans ce cas cet argent semble pourrait suffire à financer ce fameux mur.

Le Mexique conçoit ce mur (long de 2.000 miles selon les projections de M. Trump) comme un affront symbolique, et dans le cadre de l’ensemble des politiques annoncées par Trump, des pertes économiques graves sont attendues, en parallèle d’autres mesures républicaines, dont une répression envers les immigrés entrés illégalement aux États-Unis, et la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain, l’ALENA (Etats-Unis, Canada et Mexique).

Chaque jour, des marchandises d’une valeur de 1,4 milliard de dollars traversent la frontière des deux pays, et des millions d’emplois sont liés au commerce transfrontaliers. Le Mexique est le deuxième client mondial des Etats-Unis en ce qui concerne les produits fabriqués en Amérique, et 80% des exportations mexicaines (voitures, téléviseurs à écran plat) sont vendues aux États-Unis. La construction de ce mur pourrait par conséquent amener à des pertes importantes pour les deux pays.

 

En savoir Plus :

Site du Washington Post, White House says Mexico border wall might be funded by tax on imports : https://www.washingtonpost.com/world/the_americas/mexican-president-cancels-visit-to-washington-as-tensions-with-trump-administration-intensify/2017/01/26/ececc3da-e3d9-11e6-a419-eefe8eff0835_story.html?utm_term=.2bb1aeebeeea

Site de Le Monde, L’intransigeance de Trump sur le mur précipite une crise avec le Mexique : www.lemonde.fr/donald-trump/article/2017/01/27/l-intransigeance-de-trump-sur-le-mur-precipite-une-crise-avec-le-mexique_5069868_4853715.html


Classé dans:Conditions d'accueil des migrants et réfugiés, Fact of the day, Lutte contre l'immigration illégale, RELATIONS EXTERIEURES
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France et Allemagne peaufinent la réponse européenne à Trump

Euractiv.fr - ven, 27/01/2017 - 16:33
Angela Merkel et François Hollande ont travaillé ce vendredi 27 janvier à Berlin sur les évolutions de l’Europe souhaitées par les deux capitales dans un paysage bouleversé par l’élection de Donald Trump aux États-Unis et le départ annoncé de la Grande-Bretagne de l’Union européenne.
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