Deux malfaiteurs qui sévissaient au niveau des villes de Marsa Ben MÆhidi et Remchi, ont été arrêtés, cette semaine, dans ces deux localités, a-t-on appris, hier, auprès de la sûreté de wilaya de Tlemcen. Le premier individu a été appréhendé, près du parking de voitures de la plage Moscarda 1, par la police, en possession d’une quantité de kif traité qu’il s’apprêtait à écouler, précise-t-on de même source
Les résidents de la cité Zhune, située à la périphérie du chef-lieu de Relizane, ont de plus en plus peur pour leurs enfants et aussi pour eux-mêmes. Le quartier est une ex-zone industrielle rattrapée par le béton des HLM et autres habitations.
L’artère principale est une route, toute droite, longue d’environ 1 500 m. La circulation, très importante à ce niveau, est devenue très dangereuse en raison de la vitesse excessive des automobilistes. Et le comble, toutes les habitations sont rangées sur un côté (sud) et les citoyens doivent traverser cette artère pour prendre le bus d’El Matmar. Le danger guette continuellement tous les piétons sur cette chaussée.
Nombreux sont ceux qui ont échappé, sinon assisté à des accidents dont certains ont été mortels. Tous les accidents ont eu lieu sur l’artère principale, à quelques pas de leurs cages d’escalier.
Des habitants de cette cité font part de leur inquiétude et leur angoisse. Un vieillard a lancé lors de notre présence dans les lieux : «Aujourd’hui, ont doit procéder au moins à la pose de dos-d’âne pour que nos enfants et nous-mêmes puissions traverser en toute sécurité cette route qui devient de plus en plus dangereuse».
A. Rahmane
«Aujourd’hui, alors que nous sommes dans l’urgence d’agir pour la survie de nos 2 jardins publics, nous demandons à la municipalité de rattraper sa faute avant qu’il ne soit trop tard», explique Mohamed Krelifa, un retraité et membre de la société civile, en citant un texte cosigné par lui-même.
Une ineptie est constatée dans la réalisation des aménagements des deux jardins publics de la ville. Le constat reste amer pour diverses raisons. Les deux jardins sont en mesure d’être des attraits indéniables pour devenir une attractivité touristique d’autant plus que le jardin du parc d’El Arsa jouxte un pôle culturel. Les deux jardins peuvent apporter des valeurs ajoutées à l’espace touristique de la ville. Le jardin Emir-Abdelkader à quelques pas du centre-ville est un jardin d’agrément conçu pour la promenade et la détente de la population.
Aux nombreux avis des citoyens, la composition d’un jardin public doit comporter quatre secteurs distincts : Consolider les allées actuelles : ces larges voies qui sont bordées d’alignements d’arbres d’espèces rares ou exotiques et y ajouter des bancs en quantité qui font défaut ou sont insuffisants au niveau des deux jardins.
Prévoir un réseau hydraulique qui sera formé d’un ou plusieurs lacs reliés par des ruisseaux artificiels qui malheureusement n’existent pas dans le jardin public de la ville, sauf un pseudo-lac sans eau qui ne présente aucune symbolique.
Les sentiers pittoresques : ils sont à dessiner pour faire découvrir les axes de vue remarquables du jardin. Ils doivent être ponctués de ponts, grottes, belvédères, roseraie et parterre fleuri selon les saisons. Les lieux de rencontre : restaurant, des jeux pour enfants, kiosques et, pourquoi pas, une aire de spectacle en plein air.
L’appel à un paysagiste est incontournable pour dessiner les contours d’un projet d’aménagement dans la règle du métier et mettre fin ainsi au règne du bricolage. Un personnel permanent encadré par un jardinier est obligatoire.
Ces réflexions permettraient de redynamiser les 2 parcs avec du concret, de l’audacieux et de l’ambitieux.
A. B.
Les éléments de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale (GN) d’Ouled Mendil (Douera) à Alger ont procédé à l’arrestation d’un individu répondant aux initiales de M.S, âgé de 16 ans impliqué dans l’homicide d’un quinquagénaire, a indiqué, hier à Alger, un communiqué du Groupement territorial de la Gendarmerie nationale d’Alger. Selon la même source, les faits remontent au 15 juillet en cours, lorsque la brigade territoriale d’Ouled Mendil avait reçu un appel téléphonique de la part d’un suspect, signalant l’émanation d’une fumée dense provenant d’une maison. Les éléments de la brigade de la protection civile qui sont intervenus ont trouvé sur place un corps partiellement brûlé et portant des traces de coups assénés au moyen d’un objet tranchant.
L’ambition de la CCLS de faire de la wilaya de Aïn Defla le pôle premier du pays en matière de production de semences de céréales est en train de se concrétiser.
Aux premiers jours de ce mois de juillet, la CCLS avait engrangé plus de 500 000 de céréales dont 120 000 q de semences de blés dur et tendre, d’orge, de pois chiches et d’avoine.
A la mi-juillet, ce sont 620 000 q qui ont été collectés et la collecte est loin d’être achevée : on s’attend à recevoir près de 1 million de q, un chiffre qui, peut-être, ne sera pas atteint parce que certains céréaliers de l’extrême-est et de l’extrême-ouest de la wilaya ont livré leur production dans la wilaya de Chlef ou de Médéa, à cause de l’éloignement et de l’insuffisance des capacités de stockage de la wilaya de Aïn-Defla.
Cependant, il faut noter que les variétés tardives des blés telles que le Bousselam et le Set se sont adaptées dans la zone du Haut-Chelif, dans la région de Djendel et de Aïn Lechiakh. Comme il est à noter que les fermes pilotes qui possèdent des disponibilités d’aires de stockage n’ont pas encore livré leurs productions.
Comme facteur favorisant ces importantes collectes, il y a lieu de noter que les superficies réservées et emblavées, destinées au Programme de multiplication de semences (PMS), ont presque doublé en 4 ans puisqu’elles sont passées de 4 100 ha à 7 100 ha en 2017, situées principalement dans la région est de la wilaya où le réseau d’irrigation et la ressource hydrique existe. C’est cette disponibilité de l’eau qui a permis aux multiplicateurs de semences de procéder à l’irrigation des champs de céréales jusqu’à 6 fois durant la dernière période (avril-mai) pour parer au stress hydrique qui se produit chaque année à cause de l’irrégularité en dents de scie de la pluviométrie. C’est aussi d’ailleurs ce qui a permis, d’après les échantillons recueillis, d’obtenir du grain bien nourri et de bonne qualité et des rendements à l’hectare élevés.
Selon les services consultés, de nouvelles variétés ont été introduites, variétés telles que le «Saoura» (une variété locale) qui s’est bien adaptée aux sols et au climat local.
On indique par ailleurs que d’autres variétés, en plus du «Saoura», telles que le Siméto, le Mexicali, le Vitron, le A-Onza et autre Bousselam sont inscrites au Programme de multiplication de semences. Pour ce qui est de l’orge, c’est le Rihane.
S’agissant des légumineuses, dont le Programme de multiplication de semences a été entamé, c’est la variété le «Syrie» de différentes générations qui est introduite et qui a montré ses grandes qualités d’adaptation aux sols des piémonts notamment.
Autre légumineuse dont la culture est remise à l’honneur, ce sont les pois chiches et la variété nommée le Flip qui commence à faire ses preuves. En effet, si en 2015 on a commencé par emblaver 432 ha à titre d’essai, en 2017, on en est à 4 500 ha. Toujours dans les piémonts des chaînes de l’Ouarsenis au Sud et du Dahra au Nord.
Pour ce qui est des lentilles avec la variété «Syrie», le programme a débuté avec 51 ha et on a obtenu 31 quintaux à l’hectare, et cette superficie est appelée à être multipliée par 5.
Toujours dans le cadre de l’amélioration de la production de semences, un programme de partenariat algéro-européen pour la troisième année consécutive, des expérimentations sont menées pour tester les qualités d’adaptation au climat et à la salinité des sols de nouvelles variétés à rendement élevé en grains mais aussi en paille, cette dernière étant tout aussi importante pour l’alimentation du bétail.
Il est à noter, cependant, que la SAU (superficie agricole utile) dans la wilaya de Aïn-Defla ne cesse d’être grignotée par les emprises des grands projets, dits structurants, projets tels que l’autoroute, la voie de chemin de fer… de nouvelles routes et voies d’évitement, mais aussi par l’extension des PDAU qui s’attaquent au domaine agricole par l’avancée du béton, sacrifiant les terres agricoles plus aisées pour les constructions que les zones de hauteur non agricoles et non forestières, parce que construire en plaine est moins coûteux et les exemples ne manquent pas.
Pour développer la production de semences et diminuer les volumes d’importation, pour développer les variétés les mieux adaptées, selon certaines sources, 33 fermes pilotes autogérées viennent de passer aux mains de l’OAIC. Dans ce cadre, la CCLS de Khemis-Miliana vient de se voir attribuer la ferme pilote Benouadhah située à Djendel, une ferme qui s’étend sur 700 ha de terres à blé dont 660 dans un périmètre irrigué, ce qui constitue des atouts majeurs. Cette ferme, qui dispose du réseau d’irrigation, de terres à haut degré de fertilité, et d’un climat modéré, sera consacrée justement au Programme de multiplication de semences dont l’aspect stratégique n’est plus à démontrer.
La CCLS (Coopérative des céréales et des légumes secs) de Khemis-Miliana, qui s’est également dotée d’une unité de traitement et de conditionnement des semences qui est opérationnelle depuis novembre 2016, à l’ouest de la wilaya, à El-Attaf précisément, possède une capacité de traitement de 5 tonnes à l’heure et on ne cache pas le souhait de voir la réalisation d’une station similaire à l’Est dans la daïra de Djendel, pour justement appuyer le PMS.
On signalera, au passage, que l’insuffisance des capacités de stockage pousse la CCLS au recours des réquisitions et à la location d’aires de stockage. De ce fait, durant la campagne des moissons, il a été établi 2 programmes de transfert des récoltes, le premier à partir des 20 points de collecte vers la CCLS et le second programme de la CCLS vers les 4 wilayas limitrophes qui, elles, disposent de moyens de stockage suffisants.
Karim O.
Agissant sur des informations bien dirigées faisant état de trafic de mercure rouge et gris, les éléments de la BRI du 7e arrondissement relevant de la Sûreté de wilaya ont réussi, avant-hier, à filtrer un groupe notoirement dangereux, composé de trois individus dont l’âge varie entre 25 et 70 ans, qui pratiquaient de la magie noire et qui se vantaient de guérir certaines maladies avec ces produits prohibés, a-t-on appris de sources policières.
L’opération réussie, menée judicieusement par des policiers qui ont effectué des perquisitions dans plusieurs habitations, a permis la découverte de trois flacons de mercure rouge et gris, une arme à feu (un pistolet), un lot de munitions ainsi que des trucs et des écritures graphiques de charlatanisme.
Les trois imposteurs ont été arrêtés et présentés devant le juge, qui a ordonné leur détention, a précisé la même source.
Maâlem Hafid
Peugeot Algérie lance un nouveau forfait Pneumatique au niveau de ses ateliers, avec le montage et équilibrage offerts pour tout remplacement de pneus, et ce jusqu’au 31 aout 2017.
En effet, le le montage et équilibrage sont offerts pour tout remplacement de pneus chez Peugeot Algérie jusqu’au 31 aout 2017, avec en bonus 23 points de contrôle offerts. Cette offre comprend :
– La dépose
– Le dévissage de l’obus de valve et dégonflage du pneu
– La dépose des masses d’équilibrage
– Le nettoyage et inspection minutieux de la roue
– Le détalonnage du pneu en prenant soin de la valve
– La repose
– La vérification du respect des dimensions entre la roue et du pneumatique à monter (diamètre, largeur)
– La mise en place des protections sur les outils pour protéger les roues en alliage
– La lubrification des talons du pneu
– L’amorçage du gonflage pour plaquer les talons contre les rebords de jante
– La mise à la pression recommandée
– L’équilibrage d’un pneumatique
– L’équilibrage statique pour les oscillations verticales, qui se règle en plaçant des masselottes à l’intérieur de la jante
– L’équilibrage dynamique pour les oscillations horizontales, qui se règle en plaçant des masselottes à l’extérieur de la jante
– Le remplacement de valves
Jeudi matin, lors d’une audience du tribunal de la cour de Boumerdès, les magistrats de ce tribunal ont délibéré sur l’installation de Mohamed Abdelli à la tête de cette cour. Lors de la délibération étaient présents dans la salle d’audience, le wali de Boumerdès, le directeur central du ministère de la Justice, le procureur général de cette cour, les membres de la direction du bâtonnat de Boumerdès et les autorités civiles, sécuritaires et militaires de la wilaya.
Abachi L.
Le problème d’eau potable persiste à M’chedallah, tant dans le chef-lieu de daïra que dans d’autres communes. Ainsi, hier, et n’en pouvant plus, surtout en ces temps caniculaires, des dizaines de citoyens venus des différents hameaux du grand village d’Ath Yevrahim mais également de plusieurs villages de Tamellahth dans la commune d’Ahnif, se sont déplacés au siège de la daïra de M’chédallah avant de procéder à sa fermeture. Raison invoquée : les promesses non tenues du chef de daïra qui avait promis la semaine dernière, déjà, aux habitants du village Ath Yevrahim une solution à leur calvaire, au plus tard, dans une semaine.
Le village Ath-Yevrahim considéré, à travers ses différents hameaux tels Voumejvar, Tamourt Ouzemmour, Ighil Ouyazidh, Thigzirin, comme le prolongement du chef-lieu communal dans sa partie Ouest, a été parmi les premiers villages alimentés en eau potable dans le début des années 1970. A cette époque déjà, alors que le grand village ne disposait ni de routes, ni d’électricité, ni d’assainissement, le réseau d’AEP était là et les maisons de fortune pour la plupart qui étaient construites çà et là, – à l’époque, le village n’était pas aussi peuplé qu’aujourd’hui, étaient raccordées au réseau d’AEP avec compteurs et factures. Il faut dire qu’à l’époque, en plus de l’eau potable existante, le village qui s’étalait sur plusieurs kilomètres, était irriguée à partir d’un canal dont les eaux venaient depuis la fameuse source d’Ainsar Aberkane, située en haute montagne, au village M’zarir.
De fait, les villageois qui vivaient de leurs terres et des cultures maraîchères et l’arboriculture fruitière, n’utilisaient l’eau du robinet que pour les besoins domestiques.
Dans les années 1980, la sécheresse aidant, le canal s’est tari et les villageois, pour sauver leurs fermes et leurs cultures, recouraient à l’eau potable. Entre temps, le village s’est agrandi. Et ce qui devait arriver, arriva. Le réseau d’AEP n’était plus suffisant, surtout après la baisse du débit de la source du puits communal situé dans la plaine, près de l’oued Sahel d’où est alimentée la commune.
Dans les années 1990, ce fut carrément la pénurie et depuis, malgré tous les efforts des différents P/APC qui se sont succédé à la tête de l’APC de M’chedallah, le village Ath Yevrahim, souffrait du manque d’eau potable.
Ici, il faut rappeler que certains hameaux, comme Voumejvar, ou encore Thigzirin, l’eau du robinet continuait à couler, bon an mal an.
Cependant, depuis quelques années, même ces deux hameaux, commençaient à souffrir au même titre que les autres hameaux, comme Tamourt Ouzemmour ou encore Ighil Ouyazidh.
Il faut également rappeler ici les efforts de l’Etat qui a dépensé beaucoup d’argent pour ramener l’eau, depuis la source Ainsar Aberkane, du village Mzarir jusqu’au château d’eau du village Ath Yevrahim, puis celui de Tamourt Ouzemmour.
Aujourd’hui, plusieurs autres châteaux d’eau sont réalisés comme celui de la ville de M’chedallah, celui d’Alaouche, ajouté à celui d’Ath Yevrahim, et celui de Tamourt Ouzemmour, mais, malgré toutes ces réalisations, l’eau manque toujours.
D’après les responsables locaux, il faudrait, pour satisfaire toute la demande, raccorder le château d’eau principal de la ville de M’chédallah avec les eaux des transferts du barrage Tilesdit, et réserver les eaux de la source Ainsar Aberkane pour les châteaux d’eau d’Ath Yebrahim et Alaouche. De la sorte, le réseau d’AEP des hameaux de Voumejvar et Ighil Ouyazidh et une partie de la Tamourt-Ouzemmour et Thigzirin, seront alimentés depuis ce château d’eau de la ville de M’chedallah lequel sera régulièrement alimenté depuis le barrage Tilesdit. Et pour garantir la régularité de l’alimentation, il faudra dès le début installer les compteurs, réparer les fuites d’eau dans le réseau, et confier la gestion à l’ADE. Par ailleurs, durant la même journée d’hier, les villageois de la commune d’Ahnif se sont également rassemblés devant le siège de la daïra pour dénoncer la pénurie d’eau et réclamer leur part du réseau principal des grands transferts qui passe par leur région et qui va jusqu’aux daïras de M’chédallah et El Yachir et Hammam Dhelâa dans la wilaya de M’sila, mais qui ne leur profite pas.
Durant la même journée, le chef de daïra a reçu les représentants des protestataires, mais l’on ignore quelles étaient les décisions prises à l’issue de cette réunion.
Dans l’après-midi, les protestataires se sont dispersés dans le calme et le siège de la daïra a rouvert ses portes.
Y. Y.
2 carottes, 1/2 chou-fleur en petits bouquets, 100 g de petits-pois, 200g de blanc de poulet ou de dinde cuits à la poêle, 2 cuillerées à soupe de persil haché, 200 g de fromage blanc, 2 œufs, 1 cuillerée à soupe d’huile d’olive, sel et poivre
Lavez les carottes, grattez les, coupez-les en deux dans la longueur, puis émincez-les en bâtonnets. Dans une casserole, faites blanchir quelques minutes séparément les carottes, les petits pois et les bouquets de chou-fleur. Faites préchauffer le four à th. 5/6 (180°C). Mixez les blancs de volaille avec les œufs entiers. Salez et poivrez. Versez ce mélange dans un saladier. Fouettez le fromage blanc afin qu’il devienne léger et le plus mousseux possible, puis incorporez-le à la préparation. Ajoutez les petits pois et mélangez encore. Huilez les parois d’un moule à cake. Disposez une couche de carottes, recouvrez de chou-fleur. Saupoudrez de persil haché et nappez du mélange au fromage blanc. Placez ce plat dans un autre contenant de l’eau et mettez à cuire au bain-marie pendant 35 minutes. Laissez refroidir, puis démoulez. Servez cette terrine avec une vinaigrette aux herbes (persil haché et basilic, par exemple).
Pour 1/2 litre de sorbet 350 g de pêches, 25 cl de lait, 100 g de sucre, 1 cuillère à café de gingembre en poudre
Portez le lait à ébullition. Ajoutez le sucre, laissez cuire une minute puis ôtez du feu. Ajoutez le gingembre et laissez refroidir. Lavez et dénoyautez les pêches. Mixez-les jusqu’à l’obtention d’une purée. Mélangez-les au lait refroidi. Laissez reposer cette préparation au réfrigérateur au moins une heure puis versez-la dans la sorbetière. Laissez prendre au congélateur en suivant les instructions de l’appareil. Travaillez la glace à l’aide d’une fourchette avant de servir.
Savez-vous prendre soin de votre peau ? Quelles sont les vraies et les fausses bonnes idées concernant la meilleure façon d’hydrater sa peau, la fréquence des gommages, le choix d’un produit lavant, d’une huile ou d’une crème ? Les vacances terminées, j’utilise mes crèmes solaires pour hydrater ma peau.
Bonne idée !
Les produits solaires sont riches en actifs hydratants et peuvent être utilisés toute l’année.
D’autant plus qu’ils ont une durée de conservation limitée, ils perdent en efficacité d’une année à l’autre.
Pour avoir une peau plus douce, je fais un gommage tous les matins.
Mauvaise idée
S’ils sont utilisés trop fréquemment, les gommages agressent le film hydrolipidique qui protége la peau. En cas de peau mixte ou grasse, le bon rythme est de un ou deux gommages par semaine.
En cas de peau fine et sèche, un gommage tous les 15 jours suffit.
J’évite les gommages pour ne pas assécher ma peau. Mauvaise idée.
L’exfoliation de la peau permet d’éliminer les cellules mortes et de favoriser la fabrication de nouvelles cellules, lesquelles sont plus aptes à retenir l’eau et à répondre aux soins hydratants.
Un conseil :
Utilisez toujours des produits adaptés (spécial visage ou spécial corps notamment) et extra-doux.
Un jeune âgé de 19 ans a été arrêté pour détention de drogue et port d’arme blanche à Fkirina. Selon le communiqué de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya, nous avons appris que les éléments de la Sûreté de daïra de Fkirina, une localité située à 50 kilomètres au sud du chef-lieu de wilaya ont agi sur informations parvenues à leurs services en date du 9 du mois courant faisant état de détention de kif traité par un jeune. Selon les mêmes informations, les limiers ont réussi à appréhender le jeune répondant au signalement communiqué, conduit aux bureaux de la police et après une fouille corporelle, les policiers ont découvert une quantité de 4,57 grammes en plus d’une arme blanche. Un dossier judiciaire a été établi contre le jeune de 19 ans et a été présenté en ce début de semaine devant le procureur de la République du tribunal de première instance de Aïn Beïda qui a ordonné sa mise en détention préventive au motif de détention de drogue, arme blanche et circulation de photos obscénes .
Une collision entre deux véhicules touristiques a causé des blessures plus ou moins sérieuses à quatre personnes.
Selon un communiqué transmis à notre journal par la cellule de communication de la Protection civile d’Oum-El-Bouaghi, nous avons appris que les éléments de l’unité principale de la Protection civile d’Oum-El-Bouaghi sont intervenus en cette fin de semaine vers 15h, pour secourir quatre personnes victimes d’un accident de la route.
L’accident a eu lieu au niveau de l’intersection, juste en face du technicum Sehal du chef-lieu de wilaya lorsque deux véhicules touristiques se sont télescopés causant des blessures aux quatre passagers. les victimes ont été secourues sur les lieux de l’accident puis transférées vers l’EPH Mohamed-Boudiaf du chef-lieu de wilaya où leurs vies ne sont pas en danger. Pendant le même week-end, les éléments de l’unité principale de la Protection civile ont été appelés pour secourir un homme âgé de 41 ans qui a chuté d’un étage d’une construction, cet accident a eu lieu vers 23h à la cité El Houria au chef-lieu de wilaya.
Le quadragénaire qui s’en est sorti avec des fractures au bras et à la colonne vertébrale, a été transféré à l’hôpital du chef-lieu de wilaya.
Une autre intervention des éléments de la Protection civile a concerné un incendie qui s’est déclaré au bourg Djid-Malou dans la périphérie de Aïn Mlila ; ce feu a détruit une literie et des effets mobiliers, sans toutefois causé de mal aux personnes.
Après plusieurs spéculations sur des noms de candidats potentiels pour diriger la wilaya d’Oran, depuis ce jeudi, le président de la République y a enfin mis un terme en désignant M. Chérifi Mouloud à la tête d’El Bahia. Oran «attire» les walis jeunes, diront quelques commentaires sur les réseaux sociaux depuis l’annonce du nom du nouveau chef de l’exécutif. Le concerné est originaire de Tizi Ouzou et âgé de 47 ans, il occupait le poste de wali de Bouira.
Après près de deux mois de vacance, et ce, même si l’intérim a été bien assuré, le nouveau wali aura à gérer plusieurs dossiers d’ordre local, national et international. A l’exemple des Jeux méditerranéens de 2021, où le stade olympique qui doit les accueillir connaît des difficultés, sans oublier les lenteurs dans la réalisation du village olympique et bien d’autres projets en lien avec ce grand évènement.
Un autre dossier et pas des moindres attend le nouveau wali, à savoir la préparation des prochaines élections locales. Oran dispose de 26 communes et d’une assemblée de wilaya qui regroupe 52 élus. Des projets stratégiques et économiques pour la wilaya, M. Cherifi Mouloud devra en superviser plus d’un, à l’exemple du projet Total.
L’état d’insalubrité de la wilaya, l’anarchie dans la gestion des ordures ménagères, l’attente des demandeurs de logement et de ceux qui patientent afin de recevoir, enfin, leurs clés de logements de la main du nouveau chef d’El Bahia, protocole oblige. Et bien d’autres dossiers tout aussi importants que difficiles attendent M. Chérifi.
Durant deux jours, à savoir mercredi et jeudi derniers, les membres de l’APW ont eu à débattre et approuver plusieurs délibérations et dossiers dont le choix d’un vice-président pour le nouveau P/APW sachant que l’ex-président a accédé au poste de député, le budget supplémentaire de l’année en cours, un exposé sur les préparatifs de la rentrée scolaire, universitaire et de la formation professionnelle et enfin, l’évaluation de l’opération de distribution du couffin du Ramadhan et ce, à la faveur de la 2e session ordinaire de l’APW de l’année 2017.
Par ailleurs, le point qui a trait à la présentation d’un exposé sur l’étude d’aménagement du complexe humide de la zone Nord-est de la wilaya qui s’est greffée à l’ordre du jour de ladite session sur demande du wali, fut le plus intéressant à plus d’un titre et pour cause, le wali Mr Mohamed Lebka a dressé un état des lieux des causes des inondations imputées, principalement, aux pluies torrentielles et aux crues sans commune mesure.
«Nous avons pu éviter des inondations l’année dernière et durant l’hiver de cette année grâce aux projets réalisés par la Direction de l’hydraulique dont, entre autres, le canal qui ceinture le chef-lieu de wilaya. Durant l’hiver de 2016, ce sont 115 millimètres de précipitations qui se sont déversées sur la wilaya en moins de deux heures. Ce qui est exceptionnel. Hormis le siège de la wilaya inondé, à cause d’un diamètre réduit du canal à un point de rencontre de deux déversoirs d’eau, quasiment, tous les quartiers ont été épargnés. Nous avons, dans la même veine, procédé à des achats de pompes pour les communes afin d’éviter les infiltrations des eaux dans les habitations, et ce, avec l’aide précieuse de la Protection civile. Les inondations sont un phénomène naturel qui touche même les pays développés».
Et d’ajouter, avec entrain et visiblement gênés par des articles de presse parus l’année passée sur l’implantation de camps de toile au niveau du lac Tonga et durant ces dernières semaines sur la protection de l’environnement et le parc national d’El Kala, que «nous allons mettre en place un comité scientifique qui englobera toutes les compétences de la wilaya dans le dessein de créer un consensus sur les problématiques des inondations et ceux de l’environnement».
De fait, le commis de l’Etat, un brin sarcastique, a invité «les amoureux de la nature d’en faire partie et aussi à tous ceux qui dénoncent le travail des autorités et qui se trouvent de l’autre côté du flanc».
Le wali n’a pas manqué de faire un réquisitoire acerbe à l’adresse des associations versées dans l’environnement.
Cependant, il est judicieux de noter que l’étude d’aménagement du complexe humide de la zone Nord-Est de la wilaya concerne 4 lots à savoir, le lac des Oiseaux et les lacs de Tonga et Oubéira et enfin, le marais de Mekrada.
En somme, l’étude en question prévoit la construction et la réhabilitation de digues, de restaurants, de jardin botanique, d’esplanades, de kiosques, de tours d’observation et des aires de jeux pour enfants, etc.
Auparavant, le wali a révélé que ces services ont mis en place deux commissions, qui sont respectivement, celle du suivi des camps de toile et celle de l’électricité et de l’AEP pour l’actuelle saison estivale.
Le wali s’est octroyé, un autosatisfiétit en exhortant, dans le même sillage les élus à être fiers du niveau de développement atteint par la wilaya et du travail accompli en concertation avec l’administration et ses innombrables démembrements. Un adieu implicite après 4 années à la tête de la wilaya avec de bonnes relations avec la corporation de la presse, nonobstant les critiques constantes sur la dynamique et l’approche adoptées en matière de développement et de prise en charge effective des doléances et autres revendications des citoyens.
En répondant aux différentes questions des élus lors du dernier point des «divers sujets», le wali a révélé qu’une inspection dépêchée par le ministre de l’Habitat vient, il y a juste deux jours de finaliser une enquête sur les dépassements et la gestion chaotique qui entachent la Direction du logement. Les jours de l’actuelle directrice du secteur sont-ils ainsi comptés ?
Reste, maintenant, à savoir si le prochain wali d’El Tarf qui vient d’être nommé à ce poste par le président de la République à la faveur du dernier mouvement dans le corps des walis du jeudi dernier, fera le consensus dans la wilaya. Et là, c’est une autre paire de manches.
Le départ du wali Mouloud Chérifi, qui se trouve actuellement en Indonésie dans le cadre du jumelage de la wilaya de Bouira avec une province indonésienne, lancé en novembre dernier lors de la visite qu’avait effectuée à Bouira l’ambassadrice d’Indonésie en Algérie, Mme Safira Machrousah, est différemment apprécié par les citoyens de Bouira. Mais une chose est sûre, tout le monde pense que les pouvoirs publics auraient dû épargner le mouvement à la wilaya de Bouira dont le wali Mouloud Chérifi n’était là que depuis novembre dernier.
D’ailleurs, cette mutation effectuée en moins de 9 mois, qui était précédée par l’ex-wali Nacer Maskri qui n’était à la tête de la wilaya que depuis mars 2013, après le départ de son prédécesseur Ali Bouguerra qui n’avait pas bouclé ses 5 ans à la tête de la wilaya de Bouira, a fait dire à certains confrères que la wilaya de Bouira est devenue une wilaya-transit. Une wilaya dans laquelle le pouvoir expérimente les responsables et les réoriente aussitôt après avoir eu une idée précise sur eux. C’est le cas du wali Ali Bouguerra qui était appelé en catastrophe à Ouargla pour gérer le mouvement des chômeurs, puis de Nacer Maskri qui était muté à Sétif après seulement 2 ans et demi à Bouira et présentement pour Mouloud Chérifi qui vient d’être muté à Oran, après exactement 9 mois et 9 jours.
Cela étant, et puisque actuellement la Toile est devenue le meilleur forum citoyen, des centaines de commentaires ont enflammé les dizaines de pages Facebook avec différentes appréciations. Un véritable débat était spontanément lancé à travers la Toile, où l’on a retrouvé ceux qui pensent que le wali Mouloud Chérifi n’est pas resté longtemps pour le juger quand d’autres pensent le contraire en jugeant qu’il a échoué dans plusieurs domaines dont celui de l’eau, du logement, de l’investissement et même du tourisme.
Ainsi, Mohand Hassan de M’chédallah pense que la bataille de l’eau a été complètement perdue par Mouloud Chérifi qui, malgré ses plans anti-pénurie, ses commissions installées au printemps pour veiller à la bonne préparation estivale pour éviter aux citoyens la pénurie d’eau potable, force est de constater qu’il a échoué. Aujourd’hui, en plein été, des centaines de villages à travers la wilaya souffrent du manque d’eau alors que la wilaya est l’une des plus riches en termes de ressources hydriques et ouvrages hydrauliques avec trois grands barrages qui totalisent près d’un milliard de m3 d’eau, Tilesdit à Bechloul avec 165 millions m3, Koudiat Asserdoune à Lakhdaria avec 650 millions m3 et Oued Lekehel à Aïn Bessem avec 30 millions m3.
Avec ces trois barrages, et les sommes colossales investies par le gouvernement dans les grands transferts, des wilayas limitrophes comme Tizi-Ouzou, Médéa, M’sila et Bordj-Bou-Arreridj sont alimentées à partir de Bouira alors que dans la wilaya, des centaines de villages en souffrent encore dont certains à quelque 2 kilomètres du chef-lieu de daïra, nous voulons parler du grand village de Tamourt Ouzemmour qui reste la plaie béante de tous les walis qui se sont succédé à la tête de Bouira depuis les années 2000.
L’autre secteur qui a échappé au wali est celui de l’habitat avec des retards et des colères à répétitions des citoyens demandeurs de logement sans qu’il put faire grand chose, alors que dès son installation il avait initié la fameuse campagne de nettoyage qui avait changé un peu le visage de la ville, l’ancien tissu urbain et le vieux bâti sont restés tels quels et le chef-lieu de wilaya continue à offrir au visiteur cette image d’une dechra surtout du côté de l’ancienne ville.
Enfin, côté tourisme et malgré les stations climatiques féériques de Tikjda et Thala Rana à Saharidj, le wali, sans doute à cause d’un certain complexe identitaire, ne s’est jamais investi pleinement dans ces projets implantés dans une région berbérophone de peur d’être taxé de régionaliste, lui qui est kabyle et qui a fini, avec ce complexe qu’il traîne, par n’être efficace ni dans la région arabophone ni dans la région berbérophone …
Cela dit, beaucoup d’internautes estiment que le poste du wali est purement politique et obéit aux lobbies du moment et que les changements à répétitions que subit Bouira sont dus au fait que justement cette wilaya n’a jamais eu quelqu’un qui puisse la défendre en haut lieu pour garder les meilleurs responsables, tant pour les postes de wali que pour ceux des directeurs de l’exécutif.
Et justement, parlant des responsables et même s’ils ont refusé de donner publiquement leurs avis, en aparté, ils sont majoritaires, avec beaucoup parmi les élus locaux et de wilaya, qui déclarent être soulagés par le départ de Mouloud Chérifi, qui, selon eux, arbore souvent un esprit hautain à leur égard.
Cela étant, rappelons que la plupart des internautes, passé le moment d’étonnement à ce départ annoncé du wali Mouloud Chérifi, finissent leurs commentaires par souhaiter bonne chance tant à celui muté à Oran que pour le nouveau venu, un certain Liman Mustapha dont beaucoup cherchaient à en connaître les contours, les compétences et… même les origines mais pratiquement, personne ne s’est attardé sur ces détails concernant le nouveau wali. Il est vrai que cela est une autre histoire.
NEW YORK (Nations Unies) – Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) s’est félicité des « énormes progrès » enregistrés en 2016 par les pays du G20 et d’autres Etats dans la mobilisation de capitaux publics et privés à la réalisation d’un développement durable.
En 2015, une étude de la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement (CNUCED) indiquait que 2,5 milliards de dollars manquaient chaque année aux investissements nécessaires pour faire du développement durable une réalité dans les pays en développement.
Cependant, une nouvelle enquête du PNUE consacrée aux progrès effectués dans le financement vert souligne que les secteurs public et privé ont développé des dizaines de politiques et de produits financiers qui montrent leur détermination à renverser cette tendance, a indiqué le PNUE dans un communiqué.
« Cette nouvelle recherche du PNUE, une contribution au Groupe d’étude sur les financements verts du G20 (GFSG), montre des progrès encourageants à cet égard », a déclaré le directeur exécutif du PNUE, Erik Solheim.
Le rapport de synthèse des financements verts du G20, adopté lors du Sommet des dirigeants du G20 à Hangzhou, en Chine en septembre 2016, a défini sept options identifiées par le GFSG pour accélérer la mobilisation du financement vert. Au cours de la dernière année, tous les membres du G20 et la communauté internationale ont fait des progrès considérables sur ces sept options, à travers des actions nationales de plus en plus systémiques, une plus grande coopération internationale et un plus grand leadership du marché, a indiqué le PNUE.
De plus en plus de mesures liées au financement vert ont été introduites depuis juin 2016 en comparaison à toute autre période d’un an depuis 2000. Ces tendances et mesures ont entraîné une augmentation des flux de financement vert, notamment dans l’émission d’obligations vertes, qui ont progressé d’environ 100% pour atteindre 81 milliards de dollars en 2016. Quatre nouveaux fonds d’obligations verts ont été lancés au premier trimestre de 2017, a précisé le PNUE.
« Le défi consiste maintenant à augmenter rapidement les flux de capitaux vers des investissements qui soutiendront nos Objectifs de développement durable et créeront des entreprises écologiques commercialement viables pour les décennies à venir », a déclaré M. Solheim.
« Le G20 et d’autres ont amorcé le processus. Il est maintenant temps d’appuyer sur l’accélérateur ».
ALGER – La division formation de la Fédération algérienne de football (FAF) organise un stage de formation pour l’obtention du diplôme CAF B 2e module à l’intention des candidats, anciens joueurs internationaux ayant suivi le stage du 1er module qui s’est déroulé au mois de décembre 2016, a annoncé vendredi l’instance fédérale sur son site.
Les candidats ont été scindés en deux groupes, le premier (48 joueurs) suivra les cours du 22 au 26 juillet 2017, alors que le second (50 joueurs) le fera du 28 juillet au 1er Août 2017, précise la FAF.
LE BOULOU (France) – Un violent incendie de forêt poussé par des vents a parcouru plus de 150 hectares au-dessus de la commune du Boulou dans le sud de la France, à une dizaine de kilomètres de la frontière espagnole, ont indiqué vendredi des pompiers.
Le feu a pris vers 16H00 GMT au-dessus de la localité située dans le département des Pyrénées-Orientales. Une heure plus tard, il avait parcouru 8 hectares et peu après 18H00 GMT il avait détruit plus de 130 hectares de forêts.
Il a ensuite poursuivi plus doucement sa progression pour dépasser les 150 hectares à 21H00 GMT, a-t-on précisé de même source.
Ce sinistre a entraîné, sur décision de la préfecture, la fermeture de la D900 entre le Boulou et Le Perthus près de la frontière avec l’Espagne, et de l’Autoroute A9 entre Perpignan Sud et la frontière espagnole en raison de l’importance de la fumée et des risques de saut de feu.
Les poids lourds à la frontière ont été placés sur une zone de stockage.
Peu avant 21H00 GMT, quelque 300 pompiers, en provenance de Catalogne et de la Sécurité civile, ainsi que des collègues de Narbonne, ont été mobilisés pour lutter contre ce sinistre.
Ils devaient encore recevoir dans la nuit le renfort de deux colonnes de pompiers, soient un total de 180 hommes, a indiqué un responsable du Centre Opérationnel d’incendie et de secours (Codis) des Pyrénées-Orientales.
Les moyens aériens mis en place, deux Trackers, un Dash, un hélicoptère Dragon 66, un hélicoptère bombardier d’eau espagnol ainsi que quatre Canadair ont en revanche du interrompre leur rotation vers 20H00 GMT en raison de la tombée de la nuit.
Selon l’officier du Codis, l’ambition était de « fixer le feu pendant la nuit » parce que le vent a diminué. Il ne soufflait « plus qu’à 20 km/h » vers 21H00 GMT, a-t-il précisé.
Sur le terrain, le quartier des Chartreuses, sur les hauteurs du Boulou, a été protégé. En revanche, la situation restait compliquée sur le flanc droit de l’incendie, en direction du Mas Calcine.
Par ailleurs, non loin de Narbonne, deux Trackers ont éteint très rapidement un incendie avant qu’il ne prenne de l’ampleur en raison de vents soufflant à 70 km/h. Le sinistre s’est limité à cinq hectares de champs, a annoncé le Centre opérationnel d’incendie et de secours de l’Aude.