Depuis quelques mois, les services de renseignement intérieur s'alarment d'une menace, presque invisible, venue de l'ultradroite. Les attentats de janvier et de novembre 2015 ont en effet généré un traumatisme...
Comme un mauvais présage. A Avignon, où il passe la soirée jeudi, François Hollande se prépare à assister à la représentation d'une pièce de théâtre... « les Damnés » au palais des Papes. Le président,...
Au festival d'Avignon, une cinquantaine de membres de la CGT-spectacle a perturbé une rencontre culturelle organisée par le PS. Y compris pendant l'hommage aux victimes de Nice. La CGT dément.
«L'esprit du 11 janvier», ce jour où 3,7 millions de Français ont défilé ensemble, a fait long feu : dès vendredi matin, l'opposition n'a pas hésité à critiquer le gouvernement, quelques heures à peine...
Après l'attentat de Nice, l'exécutif a décrété un deuil national de trois jours et annoncé la prolongation de l'état d'urgence. Critiqués par la droite et certaines voix à gauche, le président et le premier ministre ont multiplié les appels à la cohésion.
L'ÉDITORIAL D'ALEXIS BRÉZET
Bien qu'unis dans le recueillement dans un moment de deui national, chacun à droite a marqué sa différence d'approche face à l'exécutif, au lendemain de l'attentat de Nice.
Le contre-point de GuillaumeTabard.
Pour Marine Le Pen, à la sidération et la compassion doivent désormais s'ajouter l'action, les nécessaires mesures de prévention et de répression, et la détermination la plus totale à éradiquer le fléau du fondamentalisme islamiste.
Au lendemain de l'attaque au camion de Nice, les critiques de l'opposition, vendredi 15 juillet, ont été particulièrement virulentes à l'encontre du gouvernement, accusé d'impuissance et d'inaction.
INTERVIEW - Député les Républicains des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti appelle à un sursaut de l'État.
«Unité» et «cohésion», maîtres-mots du chef de l’Etat, face aux critiques de l’opposition. Au lendemain de l’attentat de Nice, François Hollande s’est rendu au chevet des victimes. Il s’est exprimé devant...
Au moins 84 personnes ont été tuées jeudi dans l'attentat de Nice et une cinquantaine d'autres se trouvent entre la vie et la mort, selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur. De nombreux étrangers figurent parmi les victimes.
En réponse à l'attentat de Nice, François Hollande a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi le renforcement des mesures de sécurité en cours, dont l'efficacité est pourtant jugée "limitée" par le rapport parlementaire sur les attentats de 2015.
Le chauffeur, qui a précipité son camion sur la foule à Nice, tuant 84 personnes, a été formellement identifié vendredi. Il s’agit de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, 31 ans, né en Tunisie, inconnu des services de renseignement pour sa radicalisation.
Le tribunal administratif de Versailles a rejeté vendredi la requête de Salah Abdeslam, seul jihadiste encore en vie des commandos du 13 novembre, qui demandait à ne plus être filmé 24 heures sur 24 dans sa cellule de Fleury-Mérogis.
Depuis 2014, Nice est considérée comme un important foyer jihadiste dans l'Hexagone. Les forces de l'ordre de la cinquième ville de France font face à l'augmentation du nombre de radicalisés, malgré une politique ultra-sécuritaire.
François Hollande a annoncé, dans la nuit de jeudi à vendredi, quelques heures après l'attentat de Nice, qu'il comptait faire appel à la réserve opérationnelle de l'armée. En quoi consiste ce dispositif ? Explications.
La primaire de la droite et du centre n'aura lieu que les 20 et 27 novembre. La campagne officielle ne commencera que le 21 septembre. Pourtant, la tension entre Nicolas Sarkozy, pas encore candidat, Alain Juppé, François Fillon et Bruno Le Maire, tous sur le terrain à échanger les coups, monte déjà.
Après l'attaque de Nice, François Hollande a annoncé que l'état d'urgence, qui devait prendre fin le 26 juillet, serait prolongé de trois mois. Le chef de l'État souhaite aussi "renforcer" "l'action" de la France "en Irak et en Syrie".
Pages