Un militaire malien a été tué et un membre du contingent nigérian de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) blessé vendredi lors d’une attaque armée contre un camp de la Minusma à Tombouctou (nord-ouest), selon un nouveau bilan donné par des sources militaires et l’ONU.
En fin de matinée, des échanges de tirs étaient toujours en cours dans le secteur de « La Palmeraie », nom d’un ancien vaste hôtel de Tombouctou, situé entre l’aéroport et le quartier administratif de la ville, où la Minusma a installé une de ses bases, selon les mêmes sources.
« Un officier malien qui participait à la traque des terroristes a malheureusement trouvé la mort », a indiqué une source militaire malienne citée, affirmant qu’il avait été tué par l’effondrement d’un mur sur un véhicule blindé.
Neuf personnes ont été tuées et 25 autres blessées vendredi dans un incendie qui s’est déclenché dans un bâtiment à Cizre dans la province de Diyarbakar, dans le sud-est de la Turquie, ont rapporté les médias.
Idris Baluken, député du Parti Démocratique des Peuples (HDP) pro-kurde, a déclaré que le bâtiment a pris feu après des bombardements, selon l’agence de presse privée turque Ihlas.
Un couvre-feu a été imposé à Cizre le 14 décembre 2015, au moment du lancement d’une vaste opération militaire contre des militants affiliés au Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK).
La dette du gouvernement fédéral américain a officiellement passé la barre des 19.000 milliards de dollars, soit 103% du PIB national, fin janvier, rapporte le Washington Times.
13.700 milliards de dollars concernent directement la dette publique détenue par les entreprises et les particuliers, et encore 5 300 milliards représentent la dette nationale du gouvernement envers la Réserve fédéral américaine (Fed).
Depuis l’accession de Barack Obama à la présidence, la dette de l’Etat a augmenté de 8.000 milliards de dollars en sept ans pour pratiquement doubler pendant son mandat. La même dynamique avait été enregistrée par les obligations de l’Etat à l’époque de son prédécesseur George W.Bush.
Le Comité central (CC) du Parti des travailleurs (PT) a renouvelé, à l’unanimité vendredi à Alger lors d’une session extraordinaire, sa confiance en la Secrétaire générale du parti, Louiza Hanoune et en la formation du bureau politique.
Le renouvellement de confiance est intervenu lors de la présentation aux membres du CC d’une motion pour vote, en présence de 69 sur les 96 membres composant le CC du PT.
Mme Hanoune a indiqué, dans une allocution prononcée à l’occasion, que « tous ceux qui voulaient entamer la stabilité du parti ont été exclus et ils activent actuellement en dehors des statuts et du règlement intérieur du parti », soulignant que « les institutions de la République ne sont pas derrière cette campagne qui vise le parti ».
Vingt cinq éléments armés du parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, interdit) ont été tués, jeudi et vendredi, dans des opérations sécuritaires dans le sud-est de la Turquie, a annoncé l’état-major des forces armées turques (TSK).
Quatre membres de la guérilla ont été éliminés vendredi lors d’une attaque contre le siège de la police dans la province de Sirnak, aux frontières avec l’Irak et La Syrie, et où plusieurs villes sont sous couvre-feu depuis la mi-décembre dernier.
A Cizre, ville de la même province, neuf terroristes, terme utilisé par l’armée pour désigner les membres du PKK, ont été tués dans une autre attaque au cours de laquelle au moins un policier a été blessé.
La loi danoise permettant à la police de saisir les biens de valeur des migrants entrant dans le pays est entrée en vigueur vendredi, le gouvernement édictant ses recommandations qui excluent notamment les alliances.
Tout objet ayant une valeur sentimentale est exclu du champ d’application de cette loi s’il est « lié à une histoire personnelle particulière qui fait qu’il ne peut pas être remplacé par un autre », a écrit le ministère de l’Immigration dans ses consignes aux forces de l’ordre.
Avant toute fouille, les policiers doivent demander aux arrivants de montrer tout l’argent liquide et les biens de valeurs qu’ils transportent. Puis ils peuvent fouiller les sacs ou valises.
Un Palestinien a été tué vendredi et un autre arrêté par des soldats de l’occupant israélien aux abords de la localité de Halhoul, dans le sud de la Cisjordanie occupée, ont rapporté les médias.
Ce décès, qui porte à 165 le nombre de Palestiniens tués par les forces de l’occupation israéliennes depuis quatre mois, intervient sur fond de mobilisation à travers les Territoires palestiniens pour la traditionnelle journée de manifestation du vendredi.
Le ministère palestinien de la Santé a identifié le Palestinien abattu comme Haitham al-Baou, un jeune de 17 ans. Ailleurs en Cisjordanie, des heurts ont éclaté à l’occasion d’un nouveau « vendredi de la colère ».
Près de Ramallah, de violents affrontements ont éclaté.
Plusieurs manifestants ont été blessés par balles, ont indiqué des sources médicales et des militants sur place. Des heurts se déroulaient également le long de la frontière entre la bande de Ghaza et Israël.
Les centres et instituts de formation et d’enseignement professionnel de la wilaya de Constantine, offrent, à la rentrée de la session de février, pas moins de 5.500 places pédagogiques dans les différentes spécialités.
La directrice de la formation professionnelle de la wilaya de Constantine, Samia Benmadjat a souligné que parmi les 5500 places, 3.455 seront sanctionnés à la fin de cycle par un diplôme d’état, alors que les 2.045 restants, le seront par un certificat d’habilitation. Les inscriptions des candidats dans la vingtaine de CFPA et instituts existants, ont déjà démarré depuis le 24 du mois de janvier et se poursuivront jusqu’à la veille de la rentrée officielle de la session prévue le 28 février.
Pour ce qui est du nouveau, «deux spécialités ont été intégrées au programme de formation par apprentissage, à savoir la maintenance et l’entretien des machines et engins agricoles ainsi que la rénovation et restauration de constructions anciennes» selon la directrice qui précisera que « l’apprentissage dans ces nouvelles spécialités aura lieu pour la première spécialité à l’institut national de mécanique et sera sanctionné par un certificat de technicien supérieur, alors que celui afférent à la seconde se fera à l’institut national du bâtiment de Zarzara avec l’obtention à la fin de la formation du même garde de technicien supérieur ».
Une autre offre très prisée par les apprentis dispensée par le centre de formation professionnel et d’apprentissage Abdelhak Benhamouda de Sidi Mabrouk, concerne les spécialités de gestion et récupération des déchets, gestion de stock et approvisionnements, commercialisation et comptabilité et gestion.
El Hadj Mohamed Diallo, journaliste pour le site internet Guinée 7 a été tué par balle suite aux affrontements qui ont opposé des partisans de Cellou Dalein Diallo et de Bah Oury qui venait d'être exclu du parti.
Cet article Guinée : des affrontements entre militants de l’UFDG coûtent la vie à un journaliste est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Selon Mourad Preure, spécialiste des questions énergétiques, le marché pétrolier mondial connaitra un rebond considérable dès 2017. Il prévoit un baril à 100 dollars.
L’Econews : Le marché pétrolier était en surplus de production au premier semestre 2015, cela peut-il se répercuter positivement sur l’évolution du marché des pays producteurs?
Mourad Preure: L’industrie pétrolière mondiale est en plein crise. Elle est en grande souffrance. Le marché de l’or noir ne pourrait pas supporter un autre niveau bas des prix, actuellement sous le plancher des 30 dollars. Même constat pour les cours du Brent de la mer du nord qui s’entre balance entre 25 et 30 dollars. Ce trend baissier se répercute, également, sur le coût des huiles de schiste américaines, actuellement, sont cédés à 40 dollars. Le scénario que j’ai prévu au dernier semestre de 2015 se confirme. D’ailleurs, les prix du pétrole ont fluctué entre 35 et 40 dollars le baril et c’était dans le meilleur des cas. Même prévision pour le premier semestre 2016. Quant au pire des cas, je conçois qu’à partir des quatre premiers trimestres de la même année une hausse des cours. Je pense qu’au-delà de cette estimation, les prix vont être orientés vers la reprise à partir de 2017. Ils atteindront les 100 dollars le baril. A ce prix là, le pétrole va retrouver son niveau structurel en raison d’un épuisement préventif des réserves américaines et d’une croissance exponentielle de la demande. D’après nos prévisions, la demande mondiale qui avoisine les 95 millions de barils jour en 2016, devrait augmenter à 115 millions le baril à l’horizon 2030. Or l’industrie pétrolière est convaincue que les gisements pétroliers s’épuiseront et ne peuvent produire au delà de 100 millions baril/jour.
La stratégie économique de l’Arabie Saoudite s’adapte-elle à la conjoncture actuelle ?
Il faut prendre en considération la conjoncture économiques et ses changements. Me concernant, je ne prends pas en compte toutes les spéculations du marché. La guerre des prix lancée par la monarchie wahhabite l’automne dernier devrait prendre fin étant donné que sa politique s’est retournée contre elle même. Elle a adopté une stratégie punitive sans le savoir. Du coup, l’Arabie Saoudite est confrontée à des difficultés financières d’envergure, l’incitant à l’endettement extérieur. Elle a 700 milliards de dollars de réserves de changes, mais elle fait face à un déficit budgétaire estimé à 90 milliards de dollars. Ils ont compris tardivement qu’ils ne peuvent pas résister à ce rythme et savent qu’ils ne peuvent pas aller plus loin encore dans cette guerre des prix. Il est fort probable, donc, qu’ils en abandonnent leur politique en 2016. L’Arabie Saoudite arrive aux limites de ses possibilités. Dans les scénarios que j’ai prévus, elle cédera rapidement et révisera sa stratégie de production et celle de l’Opep.
La guerre des prix engagée entre grands producteurs de l’OPEP et hors OPEP va-t-elle cesser?
Le marché pétrolier reste en déprime, mais le paradigme aujourd’hui n’existe plus. La production brute du pétrole américain a connue une offre flexible. Le marché mondial est plombé par une offre surabondante et une demande fléchissant. L’OPEP a produit en 2015 près de 31,85 millions de barils/jour, dépassant ainsi son plafond de production de 29 millions baril par jour. Pour stabiliser les cours du pétrole, l’OPEP devrait réduire le volume de sa production afin d’offrir une bouffée d’oxygène aux producteurs. Cependant l’effort doit être mutuel. Quant à la Russie qui est un membre important des pays producteurs hors-Opep, s’engage à coopérer pour stabiliser les prix si l’Opep fait de même. Aujourd’hui, les surstocks mondiaux ont dépassé les 3 milliards de barils atteignant ainsi leur niveau le plus historique. La coopération entre les pays producteurs devrait apaiser la situation et faire évoluer qualitativement le marché. Ils doivent profiter de la conjoncture actuelle. La force des pays producteurs du pétrole ne réside plus en leur capacité de production, mais en leur compétitivité et manipulation des prix du marché pétrolier. Il faut revenir au patriotisme économique et inciter ces pays à coopérer pour trouver des solutions.
Il a déjà réussi à imposer une signature reconnue par ses pairs dans le milieu de la danse contemporaine en Europe, se distinguant par une énergie explosive et une spiritualité palpable jusque dans le mouvement. Ahmed Khemis, l’enfant prodige d’Ouargla, suscite autant d’admiration sur les planches que lorsqu’il s’attelle à façonner une chorégraphie.
Derrière son look très particulier, dreadlocks et tenues chic urbaines, se cache un chorégraphe rigoureux, intransigeant et très difficile à satisfaire s’inspirant énormément de son enfance, de son environnement familial, de personnages universels, de gestuelle animale, de danses tribales ou encore de « battles » de Break Dance.
Sur scène, dans ses spectacles « Voyage de poussière », « Le voyage de Boussâadia » ou « Transe », ce danseur natif de Ouargla dans le désert algérien en 1980, est une incarnation humaine de la souffrance et de la lutte au quotidien contre un environnement naturel hostile (le désert) et les démons du passé, par une gestuelle alerte, énergique, précise et sans superflu.
Sa passion pour la danse remonte à sa plus tendre enfance quand il imitait son frère aîné, danseur de hip-hop et de smurf à Ouargla, avant que la famille ne quitte l’Algérie pour s’installer en Tunisie où il entame des formations dans cette discipline et rencontre des troupes et des artistes urbains.
C’est à l’âge de 19 ans qu’il intègre le Centre national de la danse contemporaine d’Angers (France) où il s’ouvre à l’histoire de l’art, au cinéma, au théâtre et découvre par là même l’univers académique de la danse contemporaine. C’est dans cette école qu’il présentera en 2003 sa première création, « Grottes », avant de fonder, toujours en France, la compagnie « Jaoual ».
En 2009, Ahmed Khemis reviendra pour la première fois au pays pour un spectacle lors du second Festival panafricain d’Alger, avant de marquer les esprits en 2012 avec « Le voyage de Boussâadia » lors du Festival international de danse contemporaine qui le convie, à nouveau en 2015, pour présenter « Voyage de poussière ».
Avec ses inspirations soufies, maghrébines et africaines, son travail de recherche sur la gestuelle de personnages méconnus comme Boussâadia, Ahmed Khemis impose aujourd’hui en Occident une signature proche d’un courant ethnique novateur dans la danse contemporaine.
Après le décès de son père, ancien combattant blessé qui a connu la seconde guerre mondiale et la guerre de libération nationale, Ahmed Khemis se consacre à la création de « Voyage de poussière », un spectacle né dans la douleur et largement inspiré de la gestuelle, du handicap et des voyages de son défunt père.
Devenir chorégraphe, une évolution naturelle
Pour Ahmed Khemis, « on ne choisit pas de devenir chorégraphe, mais c’est quelque chose de très personnel et très intime qui s’impose de lui-même, souvent par le vécu, et qui plonge l’artiste dans un nouvel univers d’écriture, de mise en scène, de composition musicale, ou encore de création lumière et costumes ».
Dans son travail de chorégraphe, Ahmed Khemis fait souvent voyager les spectateurs dans un univers spirituel empreint de musique soufi » du Maghreb et de l’Orient, du rapport de l’homme à la terre et à son environnement, en convoquant souvent sur scène musiciens, comédiens et poètes.
Depuis deux mois, Ahmed Khemis travaille, avec professionnalisme et un très haut niveau d’exigence, avec les danseurs du ballet national sur le montage d’un nouveau spectacle inspiré d’une histoire d’amour intégrant plusieurs personnages universels, et mettant en avant plusieurs composantes de la culture populaire algérienne.
Pour ce spectacle, dont le thème musical a été composé par le musicologue Salim Dada, Ahmed Khemis tente également de rassembler le folklore algérien dans une oeuvre contemporaine et de relever le défi d’introduire un registre nouveau chez les danseurs du ballet.
Au-delà du spectacle, qui mise beaucoup sur la mise en scène et les costumes, cette aventure représente surtout une formation de qualité au profit des danseurs du ballet national et un retour remarqué de Ahmed Khemis à la mesure de son talent de chorégraphe.
La 29e étape de la Coupe du monde de fleuret (seniors/dames), a débuté vendredi à l’Hôtel Hilton d’Alger, avec la participation de 128 athlètes représentant 32 pays, qui seront en course pour récolter des points en vue d’une qualification aux Jeux olympiques JO-2016 de Rio de Janeiro.
L’Algérie est représentée par sept athlètes : Anissa Khelfaoui, déjà qualifiée aux JO-2016, Louiza Khelfaoui, Khadidja Zerabib, Feriel Adjabi, Amira Aouibet, Narimane El Houari et Ghazi Lila.
« La compétition a débuté dans les meilleurs conditions. 16 athlètes, les mieux classés sur le plan mondial sont qualifiés directement au tour éliminatoire. 112 escrimeuses vont concourir vendredi lors du tour de poules (ndlr, 16 poules 7 athlètes) pour tenter d’arracher leur billet pour au tour éliminatoire prévu samedi avec la participation de 64 athlètes », a indiqué à l’APS le président de la fédération algérienne d’escrime (FAE), Raouf Bernaoui.
La sélection algérienne qui occupe actuellement la 17e place mondiale, soit la première nation africaine, aura pour objectif de conserver au moins son rang au classement mondial et de permettre à l’escrimeuse Anissa Khelfaoui d’améliorer son classement qualificatif aux JO de 2016.
Cette étape de Coupe du monde connait un engouement sans précédent avec une participation record d’athlètes issus de 32 Pays (Algérie, Tunisie, Egypte, Italie, Etats-Unis, La Corée, Canada, France, Espagne, Belgique, Allemagne, Autriche, Colombie, Venezuela, Mexico, Japon, Chine, Suède, Danemark, Finlande, Turquie, Liban, Portugal, Russie, Ukraine, République Tchèque, Slovaquie, Hongrie, Pologne, Australie, Singapour, Roumanie).
Avec 12 athlètes engagés dans cette compétition, la France est le pays le plus représenté.
Après le succès de la précédente édition organisée en 2015 à Alger, les organisateurs ont décidé de privilégier le même lieu, pour abriter cette étape de la Coupe du monde.
La 3e et dernière journée de cette compétition, prévue dimanche, sera consacrée aux épreuves par équipes.
Le ministre des Travaux publics, Abdelkader Ouali, a instruit, jeudi à Mostaganem, d’ouvrir des pistes et les promouvoir en chemins vicinaux pour désenclaver les zones rurales de la wilaya.
En visitant la maison cantonnière de la commune de Benabdelmalek Ramdane lors de la deuxième et dernière journée de sa visite dans la wilaya, le ministre a annoncé que des enveloppes financières seront consacrées, dans le cadre du budget de maintenance des routes, à l’ouverture de pistes menant aux zones rurales et leur promotion en chemins vicinaux à l’avenir, au titre d’une vision économique de désenclavement.
M. Ouali a également insisté sur la coordination entre les wilayas et les directions des travaux publics pour prendre en charge la maintenance et la réhabilitation des routes, eu égard à leur importance socio-économique.
La wilaya de Mostaganem dispose actuellement de sept (7) unités de contrôle et d’intervention sur les routes et le nombre devra atteindre 15 unités pour couvrir le territoire de la wilaya.
Par ailleurs, Abdelkader Ouali a inspecté le projet de réalisation d’une aire d’atterrissage d’hélicoptères pour évacuer les malades au niveau de l’hôpital de 240 lits en cours de réalisation à Kharouba dans la périphérie est de la ville de Mostaganem.
Le ministre a insisté sur la livraison de cette piste en l’espace de deux mois pour être opérationnelle avec l’entrée en service de l’hôpital en juin prochain.
Il a également inauguré le tronçon de la RN 90 qui a fait l’objet de modernisation sur une 8 km reliant les communes de Sidi Ali et Tazgait, ainsi que celui de dédoublement de la RN 11 entre le lieu-dit « Rocher » et la commune de Benabdelmalek Ramdane (22 km).
Le ministre a aussi visité le port commercial de Mostaganem où une étude sur le projet de réalisation d’un troisième bassin du port lui a été présentée.
Dans la localité de Sidi Medjdoub, M. Ouali a suivi un exposé sur la protection de ce littoral situé à l’est de la ville de Mostaganem, insistant sur une solution d’urgence pour protéger cet espace d’une valeur historique.
M. Ouali a lancé, en outre, les travaux d’aménagement du marché « Souika » du vieux quartier « Tijditt » au chef-lieu de wilaya et ceux d’un stade de football et a posé la première pierre de réalisation d’une annexe administrative et d’une agence postale.