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Afrique

Benghebrit ne bloquera pas les réseaux sociaux: Brouilleurs et vidéosurveillance pour sécuriser le bac 2017

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 21:25

Contrairement à l’édition précédente qui a connu des fuites des sujets sur internet, les autorités ne bloqueront pas les réseaux sociaux durant les examen du baccalauréat 2017, a affirmé mardi 9 mai la ministre de l’Education nationale Nouria Benghebrit en ajoutant que les centres d’impression des sujets et des centres de conservation seront équipés de vidéosurveillance et de brouilleurs des réseaux mobiles.

Elle a affirmé mardi que toutes les mesures ont été prises pour assurer le bon déroulement et la sécurisation des examens scolaires nationaux en vue d’éviter la « fraude ».

Lors d’une conférence de presse, Mme Benghebrit a précisé que « la sécurisation des examens, notamment le Baccalauréat, a fait l’objet d’une attention particulière du gouvernement », soulignant que la commission mixte en charge de la sécurisation des examens « n’a épargné aucun effort pour réunir les bonnes conditions à l’effet de garantir le bon déroulement de ces examens ».

En juin 2016, des sujets du baccalauréat ont fuité sur facebook. Les autorités ont réagi en organisant une deuxième session des matières concernées par la fuite et en bloquant l’accès aux réseaux sociaux dans le pays durant les jours des examens.

Parmi les mesures prises cette année, la ministre a cité la « sécurisation des sites conformément à un plan adopté par le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales, la réhabilitation du siège régional de l’Office national des examens et concours d’Alger, la réduction du nombre de centres où sont gardés les sujets des épreuves, l’installation de brouilleurs et d’équipement de vidéosurveillance au niveau des centres d’impression des sujets du Baccalauréat et centres de conservation des sujets (DE) et interdiction de l’accès des véhicules aux centres d’examen ».

Les « retards ne sont pas admis » le jour de l’examen, a indiqué la ministre qui a ajouté que les portables et tout autre moyen de communication devront être déposés à l’entrée du centre dans une salle aménagée à cet effet.

A ce propos, la première responsable du secteur a appelé les candidats à « rejoindre les salles d’examen une demi-heure avant le début des épreuves », rappelant que tout retard après 09h00 « privera le candidat de poursuivre l’examen ».

Par ailleurs, Mme Benghebrit a fait savoir que des affiches interdisant l’utilisation des appareils de fraude (portables, oreillettes, Bluetooth et autres) seront installées, à l’instar de l’année dernière, au niveau des centres d’examen. Des conseils seront prodigués aux candidats pour les préparer psychologiquement à l’examen, rappelant que les comportements pouvant priver les candidats de poursuivre l’examen, sont mentionnés dans les convocations.

Les cas de fraude enregistrés constituent une « proportion infime », a estimé Mme Benghebrit qui a appelé « à ne pas assombrir l’image des examens ».

A une question sur les sujets de réserve, la ministre a répondu que des sujets de réserve seront élaborés pour combler les lacunes enregistrées l’année dernière, affirmant que « les réseaux sociaux ne seront pas bloqués ».

La ministre a rassuré les candidats que les mêmes mesures adoptées lors des précédentes sessions demeureront en vigueur lors de la session 2017.

Elles consistent à proposer deux sujets au choix pour chaque épreuve de l’examen et du maintien des 30 minutes supplémentaires pour chaque épreuve.

Tous les centres d’examen seront dotés de climatiseurs, notamment dans les régions du Sud, a indiqué la ministre, ajoutant qu’il sera procédé en coordination avec les directeurs de l’Education, les autorités locales et les walis à la garantie des conditions idoines pour permettre aux candidats de passer leurs épreuves dans les meilleures conditions.

Les examens nationaux qui se dérouleront du 24 mai au 15 juin concernent de 2 millions de candidats, un effectif légèrement en hausse par rapport à la session 2016, (+4.670 candidats), pour lesquels 690.000 personnels sont réquisitionnés, soit 95% de l’ensemble des fonctionnaires du secteur.

Le nombre de candidats aux trois examens nationaux pour la session 2017 est de 760.652 candidats pour l’examen de fin de cycle primaire, 566.221 candidats pour l’examen du BEM et 761.701 pour l’examen du Baccalauréat, avec une proportion de 35,50% de candidats libres.

Ces candidats seront répartis sur 18.000 centres d’examens, a poursuivi la ministre, rappelant qu’il sera procédé au maintien des candidats à l’examen de fin de cycle primaire dans leur établissement pour la seconde année consécutive et le passage à l’évaluation continue de l’épreuve d’EPS pour les candidats scolarisés (Bac+BEM).

Les résultats des examens seront proclamés au plus le 9 juin pour l’examen de fin de cycle primaire, le 27 juin pour l’examen du BEM et le 15 juillet pour l’examen du Bac.

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Nécessité de mettre en place des »mesures incitatives » pour lutter contre la fuite des médecins à l’étranger

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 21:15

La fuite des médecins et praticiens de la santé algériens vers l’étranger est un « drame national », estime Bekkat Berkani Mohamed, président du Conseil de l’Ordre des médecins. Dans une déclaration à la Radio Chaîne III, il a rappelé que cette « hémorragie » a coûté à l’Algérie 40 milliards de dollars entre 1996 et 2006.

Les praticiens de la santé en Algérie subissent une « espèce de désespérance ambiante » qui les pousse à explorer d’autres cieux pour pratiquer leurs spécialités, observe M. Bekkat Berkani. Cette situation est nourrie selon lui par le « devenir incertain » de ces médecins, auquel s’ajoutent « les facteurs de vie professionnelle », autrement dit les opportunités de progression de carrière, des salaires ou de la position du médecin vis-à-vis de la société.

Le même responsable ne manque pas de souligner le rôle que joue le système de fonctionnement de la santé dans cette « désespérance ambiante », appelant même à « changer les mentalités, « afin que nos cerveaux ne soient pas tentés d’aller vivre et travailler dans des pays plus cléments ».

Il a également affirmé ce mardi 9 mai 2017 que la formation dont ont bénéficié ces médecins, tant en médecine générale ou de spécialité, « n’est pas suffisamment adéquate » pour des métiers tels qu’on les entend dans la « modernité médicale ».


Il a invité dans cet entretien à « revoir la formation en nombre », en « formant moins de médecins et en rendant plus rigoureux les critères d’accès à la formation médicale pour améliorer, selon lui, la qualité de l’enseignement ».

L’invité de la Rédaction de la Radio Chaîne III situe à 13.500 le nombre approximatif des médecins Algériens exerçant actuellement leurs spécialités en France.

Il a rajouté que cette hémorragie de « praticiens et chercheurs vers d’autres pays, tel le Canada ou des Emirats arabes unis a, entre 1996 et 2006, coûté à l’Algérie environ 40 milliards de dollars ».

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Berlin: Lamamra tient une séance de travail avec son homologue allemand

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 21:07

Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a tenu mardi à Berlin une séance de travail avec le vice-chancelier, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d’Allemagne, Gabriel Sigmar, au cours de laquelle les deux ministres se sont félicités de la qualité des relations entre les deux pays et sont convenus de la nécessité de l’intensification du dialogue politique à tous les niveaux, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Cette rencontre a été marquée par la remise des messages du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au Président Frank Walter Steinmeier et à la Chancelière fédérale, Angela Merkel « leur communication à leurs hauts destinataires », précise la même source.

Cette séance de travail, la première avec le nouveau ministre des Affaires étrangères allemand, a été l’occasion de « passer en revue les différents dossiers relatifs à la coopération bilatérale avec un accent particulier sur les questions économiques », note le communiqué.

A ce titre, le chef de la diplomatie allemande a déclaré que « l’Algérie était porteuse de grandes potentialités d’investissement non seulement pour les grandes compagnies allemandes, mais également pour les petites et moyennes entreprises qui pourraient contribuer à la diversification de l’économie algérienne et à l’approfondissement de ce partenariat de qualité ».

Les deux parties ont également abordé les derniers développements intervenus en Libye et en Syrie, soulignant « la nécessité de la recherche d’une solution politique aux crises dans ces pays ».

Abordant la situation au Mali, le ministre allemand des Affaires étrangères a salué « le rôle actif de l’Algérie et son engagement continu pour la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger ».

Au plan international, les deux parties sont convenues d’ »approfondir les consultations sur les principales questions inscrites à l’agenda onusien, notamment la réforme du Conseil de sécurité des Nations Unies, ainsi que la question palestinienne et les efforts tendant au règlement de la question du Sahara occidental ».

Au cours d’une conférence de presse commune, les deux ministres « ont exprimé leur satisfaction pour les résultats de leurs discussions et ont exprimé leur engagement à poursuivre leur dialogue sur toutes les questions d’intérêt commun ».

Dans ce contexte, ils ont noté qu’il « n’y avait aucun contentieux dans les relations entre les deux pays et que la coopération bilatérale était promise à un développement accru ».

  1. Lamamra a souligné « l’importance accordée par l’Algérie au facteur humain dans les relations algéro-allemandes et s’est réjoui de la perspective de nouvelles visites de haut niveau entre l’Algérie et l’Allemagne », mettant en évidence dans ce contexte les invitations adressées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au Président Frank Walter Steinmeier et à la Chancelière fédérale, Angela Merkel, pour « promouvoir une dynamique d’édification d’un partenariat mutuellement avantageux entre les deux pays », conclut le communiqué.
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Boutarfa et la P-dg de Maersk Oil s’entretiennent sur le partenariat en hydrocarbures

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 21:00

Le ministre de l’Energie, Noureddine Boutarfa, a reçu mardi à Alger la P-dg de la compagnie pétrolière danoise Maersk Oil, Gretchen H. Watkins, a indiqué le ministère dans un communiqué.

Les deux parties ont abordé les projets de partenariat en cours en Algérie ainsi que les perspectives d’investissements dans l’exploration et la production de pétrole en Algérie.

Dans ce sens, Mme Watkins a exprimé la volonté de sa compagnie d’investir davantage en Algérie et de renforcer son partenariat avec Sonatrach.

Pour rappel, la compagnie Maersk Oil est présente dans l`amont pétrolier et gazier à travers plusieurs champs situés dans le bassin de Berkine (Est de Hassi-Messaoud.

Un mémorandum d`entente sur la coopération a été signé en octobre 2016 entre le groupe Sonatrach et Maersk, qui a confirmé la volonté des deux compagnies à consolider le partenariat existant et à asseoir le cadre propice pour la recherche et la réalisation de nouvelles opportunités entre les deux compagnies dans de nouveaux projets d`hydrocarbures dans l`amont pétrolier.

Entretiens entre Boutarfa et les ambassadeurs de Suède et d’Espagne sur le partenariat énergétique

Le ministre de l’Energie, Noureddine Boutarfa, a reçu, mardi à Alger, l’ambassadrice de la Suède à Alger, Mme Marie Claire Sward Capra, et l’ambassadeur de l’Espagne, M. Alejandro Polanco Matas, a indiqué le ministère dans un communiqué.

  1. Boutarfa a abordé avec les deux ambassadeurs, reçus individuellement, les relations bilatérales et les domaines de coopération entre l’Algérie et chacun de ces deux pays ainsi que les nouvelles opportunités d’investissements notamment dans le domaine des énergies renouvelables, précise le ministère.
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Nécessité d’encourager le partenariat algéro-américain dans différents secteurs

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 20:56

L’ambassadrice des Etats-Unis en Algérie, Joan Polaschik a insisté, mardi à Tlemcen, sur l’encouragement du partenariat algéro-américain dans les secteurs de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique, de l’agriculture, du tourisme et de la jeunesse.

Lors d’une rencontre avec le wali de Tlemcen, Saci Ahmed Abdelhafid, l’ambassadrice américaine a appelé à encourager la coopération bilatérale dans le domaine de la recherche scientifique, ainsi que l’investissement dans le textile et l’artisanat sur la base des protocoles signés entre les deux pays.

En suivant un exposé sur les opportunités d’investissement à Tlemcen, elle a souligné que la wilaya dispose d’importants atouts lui permettant de renforcer le partenariat entre les deux pays.

Elle a fait savoir que des entretiens auront lieu entre des responsables de 30 sociétés américaines ayant participé dernièrement à la Foire d’Alger de l’agriculture, dans la perspective d’introduire des techniques modernes pour développer différentes variétés agricoles et commercialiser le produit.

A propos de la lutte contre le terrorisme, l’ambassadrice des USA a salué l’expérience de l’Algérie dans ce domaine et dans la lutte contre la criminalité après avoir souffert d’une décennie noire, indiquant que « le programme du président américain Donald Trump soutient cette politique ».

La diplomate américaine a visité, à Tlemcen, le parc national du plateau « Lalla Setti » pour s’enquérir de l’application des conventions internationales portant sur l’environnement dans le cadre du plan Capdel (Développement local et démocratie participative) soutenu par l’organisation des Nations unies (ONU) et l’Union européenne (UE).

Elle a également visité le pôle universitaire de Bouhanak dans la commune de Mansourah regroupant 20 instituts, dont l’institut africain des énergies renouvelables.

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Distribution de 5757 logements de type AADL dans 6 wilayas en mai 2017

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 20:47

Un quota de 5757 logements de type location-vente « AADL » sera distribué au cours du mois de mai 2017 , a annoncé mardi un communiqué du ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville.

Les wilayas concernées par cette opération sont: Mostaganem (444 unités), Sidi Belabbes (732 unités), Ain Temouchent (224 unités), Khenchla (657 unités), Skikda (500 unités) et Alger (3200 unités), a précisé le ministère  affirmant que les opérations de distribution se poursuivront au cours des prochains mois.

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Coupure d’eau dans plusieurs commune d’Alger ce jeudi

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 20:41

La Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger – SEAAL-  procèdera  Jeudi  le 11 Mai 2017 de 10h00 à 18h00  à des travaux de maintenance sur une station principale de production.

Ces travaux, localisés au niveau de la commune de Tassala El Merdja, engendreront une suspension en eau potable qui impactera les communes suivantes :

  • DOUERA
  • DRARIA
  • EL ACHOUR
  • BABA HASSAN
  • OULED FAYET
  • SOUIDANIA
  • KHERAICIA
  • BIRTOUTA (en partie)

 

Des perturbations seront également ressenties au niveau des communes de :

  • DELY-BRAHIM
  • CHERAGA

 

SEAAL précise à ses clients des  communes impactées  que la remise en service de l’alimentation en eau potable se fera progressivement le même jour à partir de 18h00.

SEAAL met en place un dispositif de citernage, afin d’alimenter en priorité les établissements publics et hospitaliers durant cette suspension.

SEAAL prie ses clients de l’excuser des désagréments causés par ces travaux, et met à leur disposition, pour toute information, le numéro de son Centre d’Accueil Téléphonique Opérationnel, le 1594, accessible 7j/7 et 24h/24.

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Tizi-Ouzou: classement prochainement de six sites antiques à Boudjima

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 19:56

Une réflexion sur le classement global de six sites antiques de la commune de Boudjima relevant de la daïra de Makouda, au nord de Tizi-Ouzou, vient d’être engagée par la direction de la culture, a-t-on appris mardi du chef de service patrimoine.

Lors d’une sortie d’inspection dans des sites patrimoniaux non encore classés au village Tarihant, Mouloud Hachour a précisé à l’APS qu’un  « classement propres à tous les lieux antiques et les vestiges des différentes civilisations existants dans la région risque de s’étaler sur plusieurs années, d’où l’idée de procéder à un classement collectif ».

Au village Tarihant qui compte déjà un espace protégé et classé comme bien patrimonial local, à savoir Azrou Imedyazen qui renferme des inscriptions libyques, six autres sites ont été visités mardi par la délégation du service patrimoine dans la perspective de les proposer au classement.

Il s’agit d’Azrou Tzizoua qui renferme un abri sous roche comportant des peintures rupestres remontant à la période néolithique, des deux pressoirs de Targa N Tezmatin datant du 1er siècle avant Jésus Christ, du site Garoura comportant des peintures rupestres et des inscriptions libyques, du village antique Lafayer, et des deux abris sous roches de Tamda Ouquelouache et Azrou Ouzaghar.

« Nous avons déjà discuté de cette option de classement collectif dans le but de préserver et de protéger le maximum de sites archéologiques possibles. Des débats en profondeur seront engagés dans les prochains jours avec toutes les parties concernées en vue d’étudier les différents aspects, notamment ce qui est lié à la réglementation en vue de dégager une  véritable réflexion sur le projet », a-t-il indiqué.

Ce classement global sera accompagné, après concrétisation du projet de classification, d’une délimitation de la périphérie de chaque site dans le but de faciliter sa protection et permettre aux propriétaires des terrains avoisinants d’exploiter leurs parcelles librement, a-t-on expliqué.

Ayant accompagné la délégation, les animateurs de l’association Garoura de Tarihant ont relevé que ces lieux antiques, sis pour la plupart sur les hauteurs du village et qui ne bénéficient d’aucune protection, sont menacés, notamment, par les tailleurs de pierre qui ont été surpris à maintes fois par l’association en train de dégrader ces espaces en cassant les rochers ou en mettant le feu à l’intérieur des abris sous roches.

Au village de Lafayer qui remonte probablement à l’époque romaine et dont certains vestiges en témoignent à ce jour, M. Hachour a indiqué que des recherches et des fouilles sont nécessaires pour délimiter le site dans un premier temps, le classer par la suite, avant d’engager une action de réhabilitation.

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Le Sommet arabe-islamique-américain à Ryadh: le Président Bouteflika reçoit une invitation

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 19:53

Le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensaleh, a reçu mardi le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir qui lui a remis un message du Serviteur des Deux Lieux Saints de l’Islam, le Roi Salmane Ben Abdelaziz Al-Saoud, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans lequel il l’invite à prendre part au  sommet arabe-islamique américain prévu à  Ryadh le 21 mai prochain.

A l’issue de cette audience au siège du Conseil de la nation, l’émissaire saoudien a déclaré « avoir transmis une invitation du Serviteur des Deux Lieux Saints de l’Islam, le Roi Salmane Ben Abdelaziz Al- Saoud à son frère et ami le président Abdelaziz Bouteflika pour prendre part  au sommet arabe-islamique-américain qui se tiendra à Ryadh le 21 mai prochain ».

A cette occasion, le ministre saoudien a salué les relations historiques qui lient les deux pays et qui ont été également au centre de l’entretien avec le président du Conseil de la nation.

Lors de cette audience, les deux parties ont passé en revue « les moyens de renforcer et intensifier ces relations dans toutes les domaines au service de intérêt des deux peuples frères ».

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Education nationale: toutes les mesures prises pour la sécurisation des examens nationaux

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 19:49

La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé mardi que toutes les mesures ont été prises pour assurer le bon déroulement et la sécurisation des examens scolaires nationaux en vue d’éviter la « fraude » à travers l’utilisation des brouilleurs et des équipements de vidéosurveillance au niveau des centres d’impression des sujets du Baccalauréat et des centres de conservation « sans recourir au blocage des réseaux sociaux »

Lors d’une conférence de presse, Mme Benghebrit a précisé que « la sécurisation des examens, notamment le Baccalauréat, a fait l’objet d’une attention particulière du gouvernement », soulignant que la commission mixte en charge de la sécurisation des examens « n’a épargné aucun effort pour réunir les bonnes conditions à l’effet de garantir le bon déroulement de ces examens ».

Parmi ces mesures, la ministre a cité la « sécurisation des sites conformément à un plan adopté par le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales, la réhabilitation du siège régional de l’Office national des examens et concours d’Alger, la réduction du nombre de centres où sont gardés les sujets des épreuves, l’installation de brouilleurs et  d’équipement de vidéosurveillance au niveau des centres d’impression des sujets du Baccalauréat et centres de conservation des sujets (DE) et interdiction de  l’accès des véhicules aux centres d’examen ».

Les « retards ne sont pas admis » le jour de l’examen, a indiqué la ministre qui a ajouté que les portables et tout autre moyen de communication devront être déposés à l’entrée du centre dans une salle aménagée à cet effet.

A ce propos, la première responsable du secteur a appelé les candidats à « rejoindre les salles d’examen une demi-heure avant le début des épreuves », rappelant que tout retard après 09h00 « privera le candidat de poursuivre l’examen ».

Par ailleurs, Mme Benghebrit a fait savoir que des affiches interdisant l’utilisation des appareils de fraude (portables, oreillettes, Bluetooth et autres) seront installées, à l’instar de l’année dernière, au niveau des centres d’examen. Des conseils seront prodigués aux candidats pour les préparer psychologiquement à l’examen, rappelant que les comportements pouvant priver les candidats de poursuivre l’examen, sont mentionnés dans les convocations.

Les cas de fraude enregistrés constituent une « proportion infime », a estimé Mme Benghebrit qui a appelé « à ne pas assombrir l’image des examens ».

A une question sur les sujets de réserve, la ministre a répondu que des sujets de réserve seront élaborés pour combler les lacunes enregistrées l’année dernière, affirmant que « les réseaux sociaux ne seront pas bloqués ».

La ministre a rassuré les candidats que les mêmes mesures adoptées lors des précédentes sessions demeureront en vigueur lors de la session 2017.

Elles consistent à proposer deux sujets au choix pour chaque épreuve de l’examen et du maintien des 30 minutes supplémentaires pour chaque épreuve.

Tous les centres d’examen seront dotés de climatiseurs, notamment dans les régions du Sud, a indiqué la ministre, ajoutant qu’il sera procédé en coordination avec les directeurs de l’Education, les autorités locales et les walis à la garantie des conditions idoines pour permettre aux candidats de passer leurs épreuves dans les meilleures conditions.

Les examens nationaux qui se dérouleront du 24 mai au 15 juin concernent de 2 millions de candidats, un effectif légèrement en hausse par rapport à la session 2016, (+4.670 candidats), pour lesquels 690.000 personnels sont  réquisitionnés, soit 95% de l’ensemble des fonctionnaires du secteur.

Le nombre de candidats aux trois examens nationaux pour la session 2017 est de 760.652 candidats pour l’examen de fin de cycle primaire, 566.221 candidats pour l’examen du BEM et 761.701 pour l’examen du Baccalauréat, avec une proportion de 35,50% de candidats libres.

Ces candidats seront répartis sur 18.000 centres d’examens, a poursuivi la ministre, rappelant qu’il sera procédé au maintien des candidats à l’examen de fin de cycle primaire dans leur établissement pour la seconde année consécutive et le passage à l’évaluation continue de l’épreuve d’EPS pour les candidats scolarisés (Bac+BEM).

Les résultats des examens seront proclamés au plus le 9 juin pour l’examen de fin de cycle primaire, le 27 juin pour l’examen du BEM et le 15 juillet pour l’examen du Bac.

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La proclamation des résultats acte la nouvelle configuration de l’APN

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 19:41

Le Conseil constitutionnel a arrêté et proclamé  lundi soir les résultats provisoires des élections législatives du 4 mai  2017, actant ainsi la nouvelle configuration de l’Assemblée populaire  nationale (APN), au sein de laquelle l’écart entre les deux principaux  partis, FLN et RND, se réduit, alors que d’autres formations émergent un  peu plus, laissant présager une vie parlementaire plus encline à  l’ouverture et aux alliances.

La Constitution révisée en février 2016 stipule, en son article 130, que  « la législature débute de plein droit le quinzième (15ème) jour suivant la  date de proclamation des résultats par le Conseil constitutionnel, sous la  présidence du doyen d’âge de l’Assemblée populaire nationale, assisté des  deux députés les plus jeunes. » L’Assemblée populaire nationale procède, ensuite, à l’élection de son  bureau et à la constitution de ses commissions.

Le parti du Front de libération nationale (FLN) qui a obtenu le plus grand  nombre de sièges (164) mais pas la majorité absolue, c’est-à-dire la moitié  plus un des membres de l’Assemblée (soit 232 sièges sur les 462 que compte  la chambre basse du Parlement) aura nécessairement besoin de s’allier à un  parti ou plus pour disposer de la majorité requise pour faire passer les  projets de loi du gouvernement.

Cette majorité absolue pourrait lui être assurée par le Rassemblement  nationale démocratique (RND), dont 100 candidats ont été élus à la  députation, selon les résultats du Conseil constitutionnel qui seront,  quasi certainement, confirmés dans quelques jours après l’étude des  recours.

Au cours de la précédente législature (2012-2017), ces deux formations ont  assuré au gouvernement, dont la plupart des membres en sont issus, une  stabilité qui a permis l’adoption de ses projets de loi et une  collaboration entre les pouvoirs exécutif et législatif.

Mais il n’est pas exclu que d’autres partis, qui soutiennent le programme  et les réformes du président de la République, Abdelaziz Bouteflika,  rejoignent l’alliance FLN-RND, tels que Tajamoue Amel El Djazair (TAJ, 19  députés), le Mouvement populaire algérien (MPA, 13 députés) et l’Alliance  nationale républicaine (ANR, 6 députés).

L’alliance constituée du Mouvement de la société de la paix et du Front du  Changement (MSP-FC, 33 sièges) a, pour sa part, laissé entendre, au cours  de la campagne électorale, qu’elle était prête à collaborer avec d’autres  forces politiques après les élections, mais sans en préciser la forme.

Quant au gouvernement, l’article 91 de la Constitution dispose que « le  président de la République nomme le Premier ministre, la majorité  parlementaire consultée ». Les ministres du gouvernement sont nommés par le premier magistrat du pays  « après consultation du Premier ministre », qui soumet le plan d’action du  gouvernement à l’approbation de l’APN (articles 93 et 94).

Les droits de l’opposition parlementaire consacrés, le nomadisme politique  proscrit 

Le fait nouveau de la prochaine législature est la consécration des droits  de l’opposition dans les dispositions de la Constitution révisée. En effet, selon l’article 114, l’opposition parlementaire jouit,

notamment, des droits de participation « effective » au contrôle de l’action  gouvernementale, de représentation appropriée dans les organes des deux  chambres du Parlement (APN et Conseil de la Nation), de saisine du Conseil  constitutionnel au sujet des lois votées par le Parlement, ainsi que de  participation à la diplomatie parlementaire.

En outre, chaque chambre du Parlement consacre une séance mensuelle pour  débattre d’un ordre du jour présenté par un ou des groupes parlementaires  de l’opposition.

Les membres du Parlement peuvent aussi interpeller le gouvernement sur une  question d’actualité, adresser, par voie orale ou par écrit, des questions  aux membres de l’Exécutif et instituer, à tout moment, des commissions  d’enquête sur des affaires d’intérêt général. Une commission d’enquête ne peut être, cependant, créée sur des faits qui  font l’objet d’une information judiciaire.

Autre nouveauté introduite dans la Loi fondamentale: l’interdiction du  nomadisme politique. Aux termes de l’article 117, « est déchu de plein droit  de son mandat électif l’élu de l’APN ou du Conseil de la Nation, affilié à  un parti politique, qui aura volontairement changé l’appartenance sous  l’égide de laquelle il a été élu ».

 La prochaine APN aura à légiférer pour une économie diversifiée    

L’Assemblée populaire nationale aura pour missions, au cours de la  législature 2017-2022, de poursuivre la mise en oeuvre de dispositions  importantes découlant de la révision constitutionnelle, notamment un  contrôle plus étroit de l’action gouvernementale, la mise en place d’un  rôle accru pour l’opposition parlementaire, l’adoption de plusieurs lois  pour la consécration des droits politiques et sociaux des citoyens et la  finalisation de la modernisation du service public et de la gouvernance.

La nouvelle Assemblée populaire nationale devra, également, légiférer pour  la finalisation de diverses réformes destinées à promouvoir une économie  davantage diversifiée, de sorte à réduire la dépendance du développement du  pays envers le marché mondial des hydrocarbures.

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Lycéennes de Chibok : les coulisses d’une libération

France24 / Afrique - Tue, 09/05/2017 - 17:56
Prisonnières depuis trois ans de Boko Haram, 82 adolescentes ont été libérées vendredi soir, dans le nord du Nigeria. Mais dans quelles conditions ? Faut-il voir dans cette libération le signe d’un affaiblissement de Boko Haram ?
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Accord OPEP: Boutarfa mercredi en Irak

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:45

Le ministre de l’Energie, Noureddine Boutarfa, sera dès demain, mercredi 10 mai, à la capitale irakienne, Baghdad, indique le ministère dans un communiqué.

« Durant cette visite, le Ministre de l’Energie s’entretiendra avec son homologue irakien M. Jabber al-Luaibi et ce, en préparation de la prochaine conférence ministérielle de l’Opep », indique le communiqué.
Rappelons que plusieurs pays, dont l’Arabie saoudite et la Russie, avaient exprimé leur volonté d’étendre l’accord sur la limitation de l’offre.

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Recette de mini Batbouts (fricassés) farcis

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:43

On te présente aujourd’hui la recette des batbouts farcis en version mini.Un pain à base de semoule et cuits à la poêle. Il se déguste nature pour accompagner un tajine, farci en version mini et en version sucrée avec du beurre et du miel.

C’est petits pains sont parfaits pour faire des mini sandwichs, pour garnir un buffets ou pour un pique-nique. on les apprécie aussi sur la table de mois de Ramadan parce qu’ils se mangent en petites bouchées et sont déclinable à l’infini.

Ingrédients :
250 g de semoule extra fine
150 g de farine
1 c à c sel
1 c à s levure boulangère sèche ou fraîche
Un grand verre d’eau tiède (300 ml voir plus selon la farine)

Mélange tous les ingrédients et ajoute progressivement l’eau tiède, puis ramasse la pâte.

Pétrir la pâte 8 a 12 minutes à la main (ou 6 minutes si tu utilises un robot).

Divise la pâte en deux boules que tu étales avec un rouleau à pâtisserie sur un plan de travail légèrement fariné. L’épaisseur de la pâte ne doit pas 4 mm.

A l’aide d’un emporte-pièce ou un verre, découpe des petits cercles. Dispose-les sur un torchon propre que tu auras légèrement fariné, couvre et laisse lever pendant 1 h a 1 h 30 minutes.

Mets une poêle à chauffer, puis dépose-y un Batbout (Aucune matière grasse ne doit être rajoutée).

Laisse cuire à feu modéré sur les deux faces.

Garniture froide au thon (voir la photo) :
Un mélange de thon nature, une à deux carottes rappées finement, un peu de maïs et de mayonnaise avec une pincé de poivre.

Garniture à la charcuterie :

Couper du jambon de dinde fumée en petit dés, étale un peu de beurre ou de fromage crémeux dans chaque petit pain mettre la dinde fumée, une petite feuille de salade verte, quelques petits dés de concombre et tomate avec quelques rondelles de cornichons par dessus.

Garniture au poulet :

Couper le blanc de poulet en petit morceau et le mettre dans une poêle avec 2 c.s d’huile et un oignon émincé. Faire revenir jusqu’à ce que l’oignon soit caramélisé et le poulet cuit. Saler et poivrer et mettre de côté. Dans la même poêle, mettre 3 carottes rappées avec une gousse d’ail écrasée, un petite poignée de persil ciselé, cumin, poivre et paprika avec 2 c.s d’huile d’olive. Faire revenir sur feu moyen quelques minutes. Une fois cuits, mélanger les carotte avec le poulet précuit (on peut y ajouter quelques olives vertes coupées), garnir les petits batbouts avec ce mélange.

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Stérilet: tout savoir sur ce nouveau moyen de contraception

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:41

Un nouveau moyen contraceptif, le stérilet est un dispositif intra-utérin (DIU). Des nombreuses femmes l’utilisent, et pourtant le stérilet n’est pas bien connu ou souffre d’un mauvaise image. Mais c’est quoi au juste le stérilet et comment fonctionne-t-il ? Tour d’horizon…

Le stérilet ou dispositif intra-utérin (DIU) se présente le plus souvent sous la forme d’un petit objet en « T » qui s’insère dans la cavité utérine. Son objectif : déclencher une action inflammatoire permanente de la muqueuse de façon à ce qu’elle soit incapable de recevoir un ovule fécondé.

Les différents types de stérilet
• Résultat de recherche d’images pour « stérilet en cuivre »Le stérilet en cuivre : il se constitue de plastique avec un ou plusieurs fils de cuivre et mesure 3,5 cm de long. Plus la surface en cuivre est importante, plus le DIU est efficace : ce dernier enclenche une réponse inflammatoire stérile dans la cavité utérine. C’est cette réaction à ce corps étranger qui se veut toxique pour les gamètes, et plus spécifiquement pour les spermatozoïdes qui ne parviennent pas aux trompes de Fallope. Double action donc : un effet anti-nidation ainsi qu’une action en amont sur les spermatozoïdes et les ovules.
Il existe plusieurs modèles en cuivre avec deux tailles dites « short » et « standard », pour celles qui souhaitent s’en faire poser un sans avoir eu d’enfant au préalable…

• Le stérilet dit hormonal (SIU) : il est sans cuivre et libère in utero et en continu une hormone progestative au Résultat de recherche d’images pour « stérilet hormonal »lévonorgestrel, durant
5 ans. Son mécanisme combine l’action du DIU avec une contraception progestative, en épaississant les sécrétions du col et en les rendant impénétrables par les spermatozoïdes. On peut retrouver ce SIU hormonal sous le nom de Mirena.

A noter que ces deux stérilets auraient une efficacité comparable (de 98%), à la différence que le SIU hormonal est souvent plus cher et moins bien supporté. Il s’agit donc de l’utiliser surtout si l’on recherche un effet thérapeutique comme la diminution de la durée et du volume des règles trop abondantes. Certaines femmes n’ont d’ailleurs plus de règles durant ces 5 années, ce qui n’est pas dangereux pour la fertilité.

A qui ce contraceptif est-il destiné ?
Cette question fait encore débat dans le milieu médical et gynécologique !
D’un côté, les spécialistes qui considèrent qu’un stérilet ne doit être posé que chez une femme ayant déjà eu une grossesse (utérus plus élargi) et d’autres pensent que celui-ci est aussi destiné à celles qui n’ont jamais eu d’enfant. Cette question est donc à poser à son gynécologue qui jugera au mieux du choix à faire avec sa patiente.

Contre-indications
A savoir qu’il existe quelques contre-indications clairement établies, à savoir certains antécédents, pathologies utérines, des saignements vaginaux inexpliqués, IST, sensibilité à l’un des composants, un post-partum (entre 48 h et 4 semaines) ou une grossesse.
Pour le SIU, il est interdit en cas de thrombose veineuse ou embolie pulmonaire, cancer du sein, migraine de type neurologique, hépatites.

Comment se pose-t-il ?
Le stérilet est mis en place en quelques minutes, par un médecin généraliste ou un gynécologue, sans anesthésie, et ce aux premiers jours des règles. La pose n’est généralement pas douloureuse mais une femme nullipare peut prendre un antalgique deux heures avant la pose.
Par précaution, les médecins conseillent d’effectuer une hystérométrie afin de déterminer la forme, la profondeur et la sensibilité de l’utérus.
A noter aussi qu’il ne faut pas hésiter à consulter son médecin si les fils du stérilet ne se font plus sentir, s’ils sont plus courts ou plus longs que d’ordinaire ou bien si le stérilet est perceptible du bout des doigts. L’action contraceptive serait alors totalement annulée…

Les avantages
• Economique et fiable : c’est un fait, se faire poser un stérilet pour plusieurs années, c’est faire une économie véritable, contrairement à la pilule. Sans compter son efficacité pratique puisque avec un stérilet, les contraintes horaires, d’oubli et digestives sont inexistantes. Ce qui permet davantage de tranquillité.
• Un retour normal à la fertilité : comme avec la pilule, le retrait est facile et le retour à une fertilité peut être très rapide. Autre avantage : le stérilet peut être posé un mois après l’accouchement, alors qu’il faut attendre le retour de couche pour une contraception hormonale.
• Pas de risques pour la santé : c’est établi, il n’y a aucun risque d’accidents cardiovasculaires ou cancéreux, ce qui n’est pas forcément le cas concernant la pilule.
• Un risque infectieux limité : ce risque de maladie inflammatoire pelvienne se veut le plus souvent limité aux trois semaines qui suivent la pose du stérilet.
• Pas plus de grossesses extra-utérines (GEU) : elle seraient même 10 fois moins élevées que sans prise de contraception.
• Une bonne contraception d’urgence : après un rapport non protégé, le stérilet au cuivre peut être une solution intéressante, à condition qu’il ne soit pas posé plus de 5 jours après l’ovulation.

Les inconvénients
Comme toutes méthodes contraceptives existantes à ce jour, il subsiste quelques inconvénients pour le stérilet qui peuvent être vécus plus ou moins bien d’une femme à l’autre. On retrouve l’allongement de la durée des règles dans les cas de port de DIU au cuivre. Et bien sûr, comme les contraceptifs à base de progestatifs, il se peut se produire des saignements répétés, des absences de règles, une prise de poids ou encore une poussée d’acné.

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Vidéo: une tour en feu à Ben Aknoun

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:40

Un incendie s’est déclaré cette après-midi dans une tour à Ben Aknoun (banlieue ouest d’Alger).

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Accord OPEP : vers une seconde extension

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:32

Après l’entente pour une éventuelle extension de l’accord de réduction de la production du pétrole, pour le second semestre de cette année, les membres de l’OPEP pensent déjà à une possibilité d’une seconde extension au-delà de 2017.

C’est le ministre saoudien de l’Energie, Khalid Al-Falih qui l’a déclaré en faisant savoir que le marché pétrolier s’équilibrait après des années d’offre excédentaire et il s’attend à une extension de l’accord d’encadrement de la production de l’Opep au second semestre 2017 et peut-être au-delà. « Au vu des consultations que j’ai eues avec les signataires de l’accord, je pense qu’il sera étendu à la seconde moitié de l’année et peut-être au-delà », a dit Al-Falih lors une manifestation à Kuala Lumpur.

En effet, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, la Russie et 10 autres États non membres se sont engagés à réduire la production pétrolière de 1,8 million de barils par jour (bpj) pendant six mois à compter du 1er janvier dernier. Des efforts, qui n’ont pas permis encore de stabiliser le marché, puisque, les stocks mondiaux restent élevés, ce qui contribue à ramener les prix du baril de brut en deçà des 50 dollars et plaide pour un prolongement de l’accord jusqu’à la fin de l’année.

Le ministre saoudien, s’est toutefois, montré optimiste, en indiquant que « le pire est désormais derrière nous (…). Nous devrions aider les marchés à être de plus en plus robustes ». Al-Falih a souligné aussi que la croissance de la demande mondiale est proche de celle de l’an dernier. La croissance de la demande en Chine devrait être sensiblement la même qu’en 2016 en raison d’un secteur des transports solide, tandis que celle en Inde devrait atteindre un record, a-t-il ajouté.

Les récentes baisses des prix s’expliquent par la faiblesse de la demande et la maintenance des raffineries et par la croissance de la production des pays non-Opep, particulièrement les Etats-Unis. La production américaine a progressé de plus de 10% depuis la mi-2016, à 9,3 millions de bpj, se rapprochant de celle de l’Arabie saoudite et de la Russie.

Au cours des 25 prochaines années, la demande devrait essentiellement provenir d’Asie, le Vietnam et les Philippines devant intégrer dans cette période le Top 20 des plus grandes économies de la planète.

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ASL Airlines France lance Paris-Alger et Paris-Chlef

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:30

La compagnie aérienne française, ASL Airlines France a décidé d’étendre son réseau en Algérie.

Elle vient d’annoncer, via un communiqué, l’ouverture de deux lignes qui desserviront Paris-Alger et Paris-Chlef. La première ligne sera opérationnelle dès le 23 juin prochain, et «sera exploitée à l’année à raison de 5 fréquences par semaine.»

L’ex-Europe Airpost devenue depuis 2015 ajoute que la seconde ligne (Paris-Chlef) sera desservie pendant tout l’été, c’est-à-dire du 4 juillet au 31 août 2017. Avec cette précision que les vols seront effectués en Boeing 737-700.

Le communiqué de la compagnie explique que l’ouverture par ASL Airlines France «de deux nouvelles lignes vers l’Algérie s’inscrit dans la stratégie de renforcement de l’activité passagers de la compagnie, qui franchit un nouveau pas dans le développement de son activité de vols réguliers, avec l’ouverture à l’année d’une ligne sur un axe majeur : Paris-Alger.»

Quant à la desserte de Chlef, elle viendrait s’intégrer, selon la compagnie dans son réseau de lignes régulières qui, « en créant de nouveaux marchés», apporte une réponse aux besoins de déplacements des femmes et des hommes entre les régions desservies pour mettre «des avions au service des Hommes.», estime le directeur général de la compagnie, Jean-François Dominiak.

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Erenav : le plan de développement impacté par la crise

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:27

La crise financière que subit le pays, a affecté directement le plan de développement de l’Entreprise de réparation maritime (ERENAV) qui a vu le montant réservé à son équipement divisé par deux.

L’État qui a consacré plus de 2 milliards de dollars en 2012 pour le développement de l’Erenav a été contraint de diviser ce montant par deux, après la crise économique que subit le pays ces dernières années. Toutefois, les autorités sont de revoir leurs copies et commencent à débloquer les fonds nécessaires pour la réalisation d’un ambitieux plan qui permet à la société de répondre à une demande du parc naval national. Selon les explications qui nous ont été fournies par le sous-directeur du commercial et marketing de cette entreprise, Mohamed Salah Tabti, la société est en phase de réaliser des études pour la lancé de ce plan.

En effet, selon notre interlocuteur le blocage de de ce montant a commencé depuis la grève de 2013, à Bejaia et qui a induit la baisse de l’activité de l’entreprise, voire même accuser un déficit à cette époque. Juste, après, le pays est confronté à des difficultés financières, ce qui a impliqué la revue à la baisse de l’enveloppe financière réservé à son développement. Mais vu que plusieurs navires sont contraints de faire appel à des chantiers étrangers pour leur maintenance, induisant ainsi des sorties de devises conséquentes, les autorités ont décidé de débloquer les montants nécessaires pour réaliser ce plan de développement et permettre à l’Enerav d’arracher sa part du marché qui ne dépasse pas actuellement les 20%.

De ce fait, la société a repris son activité et instauré une stratégie pour la réalisation de son plan de développement. Un plan qui se focalise sur l’acquisition d’un dock flottant de 8000 tonnes pour le chantier d’Alger et un autre de 2000 tonnes pour le chantier d’Oran, ajoutant à cela la modernisation de ses cales de halage. Erenav s’est penchée aussi sur la construction navale en procédant l’année dernière à la signature d’un partenariat avec le groupe portugais West Sea pour la réalisation d’un chantier naval de construction de différents types de bateaux de 25 à 180 mètres.

En effet, avec l’élargissement que connait la flotte nationale le besoin de maintenance et réparation augmentera sûrement, d’où l’importance du développement de cette entreprise afin de prendre en charge une demande ascendante venant des clients nationaux ou internationaux. Car avec tout le potentiel existant actuellement, il est de l’intérêt des responsables de ce secteur de s’occuper de cette entreprise unique en Algérie qui a non seulement la possibilité d’éviter une saignée de la devise mais de décrocher des marchés extérieurs. D’ailleurs, rien qu’avec les moyens actuels l’Erenav est arrivée à réaliser un chiffre d’affaires « de plus de 2 milliards de dinars en 2016, avec une augmentation de 8% par rapport à 2015 », souligne M. Tabti.

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La demande sur les produits nationaux en hausse

Algérie 360 - Tue, 09/05/2017 - 17:26

Devant la baisse des différents produits importés, la demande pour les produits fabriqués localement a enregistré une hausse durant le quatrième trimestre 2016.

Selon une enquête d’opinion réalisée par l’Office national des statistiques (ONS) auprès de chefs d’entreprises industrielles des secteurs public et privé, cette demande est plus prononcée pour le secteur public, notamment pour les Industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) et l’industrie agro-alimentaire. A ce propos, indique-t-on, près de 63% des chefs d’entreprises du secteur public et plus de 85% de ceux du secteur privé ont satisfait toutes les commandes reçues.

Par ailleurs, les chefs d’entreprises ont observé que l’activité industrielle avait enregistré une augmentation durant le dernier trimestre 2016, notamment pour les ISMMEE, l’industrie agro-alimentaire et les matériaux de construction. Concernant l’utilisation des capacités de production, près de 86% des enquêtés du secteur public et plus de 34% de ceux du privé affirment avoir utilisé plus de 75% de cette capacité.

Quant au niveau d’approvisionnement en matières premières, il a été jugé inférieur à la demande exprimée par plus de 30% des entreprises enquêtées du secteur public et par plus de 10% de ceux du privé, particulièrement pour les ISMMEE et les cuirs.

Par ailleurs, près de 33% des enquêtés du secteur public et plus de 32% de ceux du privé ont connu des pannes d’électricité, notamment ceux des matériaux de construction et de la chimie. Aussi, l’approvisionnement en eau a été suffisant par la majorité des industriels publics et par prés de 70% de ceux du privé. Pour ce qui est de la main œuvre, les effectifs du secteur public ont subi une baisse, alors que ceux du secteur privé ont connu une augmentation.

En outre, près de 94% des chefs d’entreprises du secteur public et plus de 77% de ceux du privé jugent le niveau de qualification du personnel « suffisant ». Cependant, prés de 17% du secteur public et plus de 55% du secteur privé ont déclaré avoir trouvé des difficultés à en recruter, notamment le personnel d’encadrement et de maîtrise. Concernant l’état de la trésorerie, près de 11% des chefs d’entreprises du secteur public et près de 32% de ceux du privé l’ont jugé « bon ».

Financièrement, poursuit cette enquête d’opinion, près de 34% du potentiel de production du secteur public et plus de 67% de celui du privé ont recouru à des crédits bancaires et la majorité n’a pas trouvé de difficultés à les contracter.

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