A Környezetvédelmi Alap Ügyvezetősége 376 igénylést hagyott jóvá a Roncsautó programban, 19-et a Roncsautó plusz programban és több mint ezer támogatási kérést a Zöld Ház programban – tájékoztat az Agerpres hírügynökség közlemény alapján. A jogi személyek listája melyeknek jóváhagyták a támogatást a www.afm.ro honlapon található meg. Az idei költségvetés a Roncsautó programra 180 millió lej, a Roncsautó Plusz programra pedig 45 millió lej. A programot májusban hirdette meg a Környezetvédelmi minisztérium.
Et si Areva avait eu raison du Général de Villiers ? Avec 526 millions d’euros d’économies pour l’Intérieur, 160 millions pour la Justice, 331 millions pour la Recherche et l’Enseignement supérieur et 850 millions pour la Défense, l’addition régalienne a été salée pour faire face au trou budgétaire actuel. Pour justifier ces efforts, le gouvernement avance la nécessité de la recapitalisation […]
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A lire les commentaires dans la presse, la déception prévalait après le Sommet de Trieste du 12 juillet. En réalité les Balkans occidentaux restent un terrain d'expérimentation pour des essais de « nouvelle gouvernance ».
La rencontre de Trieste était le quatrième des sommets organisés depuis 2014 dans le cadre du « Processus de Berlin », initiative allemande adressée aux Pays des Balkans occidentaux afin de leur consentir de continuer à partager, à travers la relance d'un processus de consultation, (...)
A napenergiát is felhasználják egyes vonatok működtetésére Indiában, Újdelhi környékén már fel is szerelték a napkollektorokat az első szerelvény tetejére.
A napenergiával a szellőzőrendszert, a világítást és az információs kijelzőket működtetik. Felhős idő esetén akkumulátorra kapcsolják ezeket a berendezéseket, csak végszükségben használnak dízelmotort.
A napkollektorok felszerelésével szerelvényenként évi 21 ezer tonna dízelolajt takarítanak meg, csökkentve a káros anyag-kibocsátást – közölte az indiai államvasutak szóvivője.
A szóvivő szerint az elkövetkező fél évben legalább négy további vasúti szerelvényen helyeznek el napelemeket.
Indiában a vasút a fő közlekedési eszköz nagyobb távolságokon, a vonatokon naponta 23 millió ember utazik.
Négy százalékos hányaddal India a világ harmadik legjelentősebb káros anyag-kibocsátója.
Jean-Paul Chagnollaud est le président de l’Institut de recherche et d’études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO) et de la revue Confluences Méditerranée. Il répond à nos questions à l’occasion de la parution de son ouvrage « Israël/Palestine, la défaite du vainqueur » (Actes Sud, mai 2017) :
– Comment expliquer qu’aujourd’hui, la violence du conflit israélo-palestinien soit devenue moins ‘visible’ ?
– Comment analysez-vous la politique d’Israël envers les territoires palestiniens ?
– Quelles sont les solutions envisageables pour sortir de l’impasse et trouver une paix juste ?
A Forsa közvélemény-kutató intézet tegnap bemutatott felméréséből kiderül, hogy Németországban tovább nőtt népszerűsége Angela Merkel kancellárnak. Az intézet vezetője szerint csoda kellene ahhoz, hogy Martin Schulz ledolgozza a kialakult hátrányát. Amennyiben a németek közvetlenül választhatnának kancellárt, 52 százalék Angela Merkelre szavazna, ami 1 százalékpontos növekedés heti szinten. Martin Schulz változatlanul 22 százalékon áll, hátránya 30 százalékpont. – tájékoztat az MTI.
Bosnie-Herzégovine : pourquoi ils sont si nombreux à renoncer à leur citoyenneté
Premiers résultats du recensement : la plus grande catastrophe démographique de l'histoire de la Bosnie-Herzégovine
Bosnie : le grand exode des Croates d'Herzégovine
Le grand exode : la Bosnie-Herzégovine se vide de ses habitants
Bosnie-Herzégovine et Serbie : la science se meurt, les diplômés s'en vont et les plagiaires paradent
Die Justizreform in Polen schlägt hohe Wellen: EU-Ratspräsident Donald Tusk hatte die polnische Regierung zu Gesprächen aufgefordert, doch Präsident Duda sträubt sich.
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Im österreichischen Wahlkampf wird es wohl auch um die Geschichte Österreichs gehen. Etwa darum, wie heute mit den Vertretern des Austrofaschismus umgegangen wird.
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Magyarország Emberi Erőforrások Minisztériuma az Eötvös Loránd Tudományegyetemmel közösen pályázatot hirdet miniszteri ösztöndíjra a 2017/2018-as tanévben magyarországi felsőoktatási intézmények nappali munkarendű
felvételt nyert ukrán állampolgárságú, magyar nemzetiségű hallgatók számára.
A pályázati kiírás tartalmát az Emberi Erőforrások Minisztériuma, az Eötvös Loránd Tudományegyetemmel együttműködve dolgozza ki, és a pályázatot a Beregszászi Agora Információs Központ és az ELTE lebonyolítói közreműködésével hirdeti meg.
További mellékletek IDE kattintva érhetőek el.
17 százalékkal nőtt az első félévben az új járművek értékesítése a tavalyi év azonos időszakához képest – közölte tegnap az autógyártók és -importőrök egyesülete. A növekedés annak köszönhető, hogy februártól a kormány eltörölte a környezetvédelmi illetéket, emiatt jelentősen olcsóbb a használt autók forgalomba helyezése.
Sur le fleuve Congo, le projet de Grande Inga – équivalent de 24 centrales nucléaires – pourrait satisfaire 40% des besoins énergétiques du continent africain. Sa réalisation est prévue à 250 km de Kinshasa sur le fleuve. Sa réalisation, qui devra suivre plusieurs phases, se heurte toutefois à de nombreuses difficultés dans un pays – la RD Congo – caractérisé par son instabilité politique quasi endémique.
L’idée d’exploiter les capacités hydroélectriques du fleuve Congo est ancienne. En 1925, le Colonel Pierre Van Deuren publia un rapport sur la mise en valeur intégrale du fleuve dans la région des cataractes par la construction des barrages de régulation. Il prévoyait en plus de barrages, des centrales hydroélectriques et une industrie lourde centrée sur l’électrométallurgie et l’électrochimie. On lui doit aussi la création du Syndicat d’études du Bas-Congo (SYNEBA) qui estima en 1931, dans son rapport au ministre des Colonies, qu’il était possible de construire à Inga des installations de production d’énergie électrique satisfaisant tous les besoins de la colonie belge, « même dans un avenir très éloigné ».
S’il venait à être réalisé, avec un coût voisin de 50 à 80 milliards de dollars, ce gigantesque projet de six barrages – installé sur le site exceptionnel des chutes d’Inga qui débitent selon les saisons entre 30 000 et 60 000 m3 d’eau par seconde – pourrait produire jusqu’à 40 gigawatts d’électricité, soit deux fois plus d’énergie que le barrage des Trois Gorges en Chine, ou l’équivalent de plus de 24 réacteurs nucléaires de troisième génération. De quoi bouleverser la donne énergétique régionale puisque l’énergie serait exportée jusqu’en Afrique du Sud mais aussi vers le Nigeria, voire plus au Nord vers l’Egypte, pour, en théorie, satisfaire 40% des besoins du continent.
Le projet est ainsi présenté comme le moyen d’« illuminer l’Afrique ». Grand Inga figure parmi les projets prioritaires de la Communauté de développement d’Afrique Australe (SADC), du New Partnership for African Development (NEPAD) et du Conseil mondial de l’énergie (CME).
Projet inscrit dans le très long terme, « Grand Inga » prévoit plusieurs phases d’extension des capacités de production électrique. En un premier temps, 22 000 hectares de terres seront submergés par la rivière Bundi, un affluent du fleuve Congo, pour alimenter les onze turbines du futur mégabarrage « Inga III » et produire 4 800 mégawatts, puis dans un second temps, 7 800 MW. Et ce ne serait qu’un début. Cinq autres barrages sont ensuite prévus pour achever le rêve du « Grand Inga » et ainsi produire les 40 000 MW escomptés.
En gestation depuis plus de dix ans, Inga III – d’un coût total estimé à 12 milliards de dollars – a été ressuscité en 2013 par la promesse faite par l’Afrique du Sud d’acheter plus de la moitié de la production d’électricité du futur barrage, garantissant de la sorte une viabilité financière au projet. Deux consortiums étrangers ont été sélectionnés pour faire une offre unique : China Three Gorges Corporation et SinoHydro (Chine) et ACS et Eurofinsa (Espagne). Le contrat de concession qui sera signé chargera le concessionnaire de trouver les financements, de construire, d’exploiter et de commercialiser l’électricité produite.
Néanmoins, le mauvais entretien ainsi que les problèmes financiers qu’ont connus les barrages existants Inga I et Inga II, de même que le coût des réseaux de distribution, soulèvent des nombreuses questions sur les risques de rentabilité d’Inga III et a fortiori de Grand Inga. Dans un rapport de juin 2017, l’ONG californienne International Rivers porte une sévère estocade au projet : « Inga va enfoncer la RDC plus profondément dans la dette, tandis que d’autres pays et les investisseurs internationaux vont récolter les bénéfices ». Le meilleur scénario, qui prévoit des revenus annuels de 749 millions de dollars, est jugé irréaliste car basé sur l’absence de dépassement de budget, sur des prix élevés pour l’électricité générée et des pertes faibles de transmission. La contribution de l’Etat congolais de 3 milliards de dollars porterait la dette publique actuelle de 6,5 à au moins 9,5 milliards.
Pour l’heure, moins de 9 % des Congolais ont accès à l’électricité. La production d’Inga I et II, d’une capacité totale de 1 775 MW, stagne à moins de 500 MW. Ils tournent au ralenti, obérés par la mauvaise gestion et le déficit de la maintenance. Un plan de réhabilitation entrepris en 2003 a absorbé 200 millions de dollars d’aide de la Banque mondiale. Il en faudrait désormais 900 millions pour permettre à ces deux barrages l’exploit jamais atteint de fonctionner à plein régime.
La géopolitique va jouer un rôle dans ce projet. La Banque africaine de développement s’est imposée comme chef de file du côté des bailleurs de fonds, avec une attitude pour le moins flexible envers un Etat jugé fragile et donc à fort risque. De son côté, la Banque mondiale a décidé fin 2016 d’interrompre ses financements à l’assistance technique de tous les projets d’Inga. Elle est en effet insatisfaite par le montage institutionnel et opérationnel du projet, et s’interroge également sur la faisabilité de la construction du « plus grand barrage du monde dans un des pays les plus instables du monde ».
Laconiquement baptisée "déplacement en région" sur l'agenda du Président, la visite sur la base aérienne 125 d'Istres permettra au chef de l'Etat de s'adresser de nouveau aux militaires. Il sera accompagné par Florence Parly, la ministre des Armées, et le général Lecointre dont c'est la première sortie en tant que CEMA.
Selon l'entourage du Président cité par l'AFP, après une présentation des Rafale, Mirage, AWACS et autres avions de ravitaillement qui participent à la composante aérienne de la force de dissuasion, une visite d'infrastructures sensibles et un déjeuner avec les équipages "d'alerte", Emmanuel Macron s'adressera au personnel de la base. Il "réitèrera son soutien aux armées, rappellera qu'il a beaucoup d'ambitions pour elles dans un contexte international difficile tout comme ses engagements de campagne sur l'augmentation du budget de la défense".
Il s'agit de sa seconde visite consacrée à la dissuasion depuis son élection. La première l'avait conduit début juillet à bord de l'un des quatre sous-marins de la composante océanique de la force de dissuasion, Le Terrible. Hélitreuillé, il avait effectué une plongée de quelques heures au large des côtes françaises.
Istres.
Qu'y fait-on ? Selon le colonel Rougier, patron de la BA125, cité par La Provence, "d'abord la mission de dissuasion nucléaire, avec une zone où on retrouve les avions, un site hautement protégé des Forces aériennes stratégiques, avec les Mirage 2000 et les ravitailleurs C135 ; et une zone encore plus protégée, nucléaire, dans lesquels les avions tiennent leur alerte. On trouve ici tous les piliers de la dissuasion aéroportée, c'est le seul endroit". Istres permet aussi de "projeter des forces, de la puissance, sur les terrains d'opération et de protéger le territoire, intérieur et à l'extérieur".
Er gilt als „nukleare Option“ der EU: Artikel 7 des Vertrags von Lissabon wurde bisher noch nie ausgelöst. Nun droht die EU Polen damit.
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