You are here

Feed aggregator

1er octobre 2015

Mistral : le coût de l'annulation de la vente des Mistrals à la Russie serait compris entre €200 et €250 millions pour l'Etat français, selon un rapport publié par la commission des finances du Sénat. Les industriels français, au premier rang desquels...
Categories: Défense

Lázár: kétezer milliárd forint EU-s pénzt kellene kifizetni jövőre

Pályázati Hírek - Thu, 01/10/2015 - 11:41

Az ideihez hasonló 2016-os gazdasági növekedéshez legalább kétezer milliárd forint európai uniós forrást kellene kifizetni jövőre - mondta Lázár János Miniszterelnökséget vezető miniszter a Portfolio gazdasági konferenciáján.

Categories: Pályázatok

Poutine: de victoire en catastrophe

C'est pas secret... Blog - Thu, 01/10/2015 - 10:32
Selon l’analyste politique Andreï Piontkovski, après sa visite aux États-Unis, son discours à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies et sa rencontre avec Obama, le triomphe de Poutine est à court terme. Sur le plan stratégique, il a essuyé un échec, non seulement en Ukraine, mais aussi au Moyen-Orient où l’intensification des combats pourrait dégénérer en catastrophes à grande échelle. L’« élite » russe a applaudi les percées momentanées du Chef. Mais elle pourrait être rapidement déçue par cette « victoire ».

Traduit par Elisa Espouy.
Categories: Défense

European Air Transport Symposium unites experts in Vienna

EDA News - Thu, 01/10/2015 - 09:59

From 1 to 2 October, the 2015 European Air Transport Symposium will take place in Vienna. Hosted by the Austrian Ministry of Defence and Sport and ran by the European Defence Agency (EDA), the symposium will bring together around 80 participants from the European Member States’ air transport community. The focus of the event is on improving operations and training from the operator’s perspective. The delegates will discuss several operational and training challenges with a single objective of tangibly improving European air transport interoperability.

“The 2015 Symposium is the sixth to be organised by EDA in support of the European Air Transport Fleet Programme and builds on the success of the other air transport training events we have ran over 2015 in France, Italy, Portugal and Spain.  My thanks go to the Austrian Ministry of Defence and Sport for hosting what I am sure will be another excellent event”, said Roland Van Reybroeck, EDA’s Director for Cooperation Planning and Support

Brigadier General Karl Gruber, Austria’s Air Chief, said, “It is a very honourable task for the Austrian Armed Forces to host the 2015 Symposium in our capital Vienna. In times of limited resources, but permanently growing mission challenges, cooperation will play a decisive role to maintain our operational freedom of action. One of the most important cooperation fields is military air transport, enabling us to project our forces and to sustain operations, even when civil transport and ATC systems are no longer available. The Symposium offers an excellent opportunity, to discuss our common challenges and concerns."
 
EDA continues to build strong links with the Europe’s air power experts across a range of capabilities. The air transport programme remains vibrant with plans to further expand a range of training opportunities over 2015 and to establish a European Air Transport Training Centre in Zaragoza Spain by the end of 2016.

 

Background

The European Air Transport Fleet project (EATF) is designed to improve airlift provision within the European Union. EATF provides a flexible and inclusive partnership for national and multinational military air transport fleets and organisations in Europe. It addresses the way different air transport assets are acquired, operated, supported, and managed to ensure this is done in the most efficient way possible. The long term vision of the EATF is to establish a robust network linking various European air transport entities aiming at the efficient employment of all present and future air transport capabilities made available by the participating Member States for military needs, regardless of type or origin. 

Deliverables of the EATF are among others yearly training events (European Air Transport Training) and life airlift courses (European Airlift Tactics Training Course) as well as the European Air Transport Symposium.

 

More information 

Categories: Defence`s Feeds

RD Congo : Les victimes d’atrocités méritent une meilleure justice

HRW / Africa - Thu, 01/10/2015 - 06:01
Le procès des viols de Minova montre la nécessité de mener des réformes de toute urgence

(Kinshasa) – Le gouvernement de la République démocratique du Congo devrait de toute urgence réformer le système judiciaire du pays afin de mieux juger les atrocités commises dans ce pays, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.

October 1, 2015 Report La justice en procès

Enseignements tirés de l’affaire des viols de Minova en République démocratique du Congo

Ce rapport de 117 pages, intitulé « La justice en procès : Enseignements tirés du procès des viols de Minova en République démocratique du Congo », montre comment, malgré une attention et un soutien internationaux de grande ampleur, le procès dit des viols de Minova n’a pas réussi à rendre justice, que ce soit pour les victimes ou pour les accusés. Le rapport décrit comment la justice militaire a réagi aux viols d’au moins 76 femmes et filles par des militaires qui, après avoir battu en retraite, ont envahi en novembre 2012 la petite ville de Minova, située dans l’est de la RD Congo, ainsi que les villages voisins.

« Le procès des viols de Minova a été une énorme déception pour les victimes de l’un des pires incidents de viols de masse que la RD Congo ait connu ces dernières années », a déclaré Géraldine Mattioli-Zeltner, directrice de plaidoyer au sein du Programme Justice internationale à Human Rights Watch. « Les autorités congolaises doivent tirer des enseignements de cette affaire et veiller à ce que justice soit véritablement rendue à l’avenir. Elles le doivent aux victimes. »

Le tollé général provoqué par les viols de masse commis à Minova a conduit à la mise en accusation et au jugement par une cour militaire de 39 soldats pour crimes de guerre (viols et pillages) et violations des consignes militaires. Mais, cinq mois plus tard, lorsque le procès est arrivé à son terme, seuls deux soldats de rang ont été condamnés pour viol. La plupart des soldats de rang ont été condamnés pour pillage, malgré la faiblesse des preuves et d’autres violations de leurs droits à un procès équitable. Les commandants de haut niveau responsables de l’ensemble des troupes présentes à Minova n’ont jamais été inculpés. Les juges ont ordonné que des réparations soient versées par l’État congolais aux victimes de viol et de pillage ainsi qu’à une victime de meurtre, mais celles-ci n’ont pas encore été payées.

Le dossier de l’accusation était fragile, notamment en raison du manque d’expérience en matière de scènes complexes de crimes de masse et de violence sexuelle, de l’absence de stratégie pour rassembler les preuves, et d’erreurs au niveau des poursuites, a expliqué Human Rights Watch. Le fait que l’accusation ait sélectionné principalement des accusés de moindre rang sème le doute quant à la volonté de l’armée de demander des comptes à ceux qui portent la plus grande responsabilité. La représentation légale de mauvaise qualité accordée à certains des soldats de rang condamnés pour pillage a été aggravée par l’impossibilité en droit congolais de faire appel des décisions rendues par le type de cour militaire qui a jugé l’affaire.

Share Le procès des viols de Minova montre la nécessité de mener des réformes de toute urgence.

Les problèmes survenus dans le cadre du procès Minova sont représentatifs des lacunes du système de justice militaire en RD Congo en matière de poursuite des graves crimes internationaux, lacunes qui persistent malgré des années de soutien international, a ajouté Human Rights Watch.

« Pour démêler une structure de commandement militaire et poursuivre ceux qui exerçaient la responsabilité du supérieur hiérarchique, il faut avoir des compétences particulières et du courage politique, deux éléments qui ont fait défaut dans l’affaire Minova », a déclaré Géraldine Mattioli-Zeltner.

Human Rights Watch a identifié certains aspects positifs dans la gestion de l’affaire Minova. Le gouvernement a débloqué des fonds pour le procès, les juges et les procureurs ont directement appliqué le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI) pour compenser les lacunes du droit national, et des pressions diplomatiques soutenues ont permis que l’affaire soit portée devant la justice. La protection et la participation des victimes et des témoins, deux défis de taille dans le cadre des procès pour graves crimes internationaux tenus dans des zones de conflit, ont bénéficié d’un large soutien international. Grâce à l’aide d’organisations non gouvernementales, les victimes de viol ont pu être accompagnées par des psychologues pendant l’enquête et durant le procès. Cependant, ces éléments positifs n’ont pas suffi à faire en sorte que le procès rende justice aux victimes, a souligné Human Rights Watch.

Expand

Une femme —voilée pour protéger son identité du public— témoigne sur le viol qu’elle a subi pendant le procès Minova. Une avocate tient le microphone pour elle. Les soldats inculpés sont assis derrière elle. 

© 2014 Diana Zeyneb Alhindawi

Au cours des dix dernières années, la RD Congo a mené un nombre croissant de procédures judiciaires pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, avec environ 30 procès menés à terme devant des cours militaires. Le procès Minova a bénéficié de cette expérience, ainsi que de projets mis en œuvre par des partenaires internationaux et par la mission de maintien de la paix des Nations Unies en RD Congo pour renforcer les capacités du système judiciaire militaire et mettre un terme à l’impunité des auteurs de crimes graves.

Toutefois, ce procès a montré que la qualité des procédures judiciaires, et pas seulement leur nombre, devrait être examinée de près et améliorée. Les autorités congolaises et les partenaires internationaux doivent encore travailler pour surmonter les obstacles qui entravent une justice véritable pour les violations des droits humains, a déclaré Human Rights Watch.
 

Le procès des viols de Minova a été une énorme déception pour les victimes de l’un des pires incidents de viols de masse que la RD Congo ait connu ces dernières années. Les autorités congolaises doivent tirer des enseignements de cette affaire et veiller à ce que justice soit véritablement rendue à l’avenir. Elles le doivent aux victimes. Géraldine Mattioli-Zeltner

directrice de plaidoyer au sein du Programme Justice internationale

Human Rights Watch a adressé un certain nombre de recommandations au gouvernement congolais. Parmi celles-ci figurent la création d’une unité d’enquête spécialisée chargée de centraliser et de mobiliser les compétences de fonctionnaires de la justice nationale en matière de prise en charge des crimes graves, y compris ceux comportant des éléments de violence sexuelle ; l’adoption des réformes en attente visant à améliorer le cadre juridique, notamment d’une loi de mise en œuvre du Statut de Rome de la CPI ; l’amélioration des droits des accusés relatifs à un procès équitable, et l’examen de pistes pour améliorer l’indépendance et l’impartialité du système judiciaire. Afin de mieux rendre la justice dans les affaires de violence sexuelle en particulier, Human Rights Watch préconise l’utilisation par les centres de santé soignant les victimes de viol de formulaires médico-légaux améliorés ; le recrutement et la formation d’enquêtrices et de procureurs de sexe féminin, ainsi que l’inclusion des cas de violence sexuelle dans une stratégie nationale en matière de poursuites.

La proposition du gouvernement de mettre en place, au sein du système judiciaire national, un mécanisme judiciaire internationalisé temporaire regroupant des fonctionnaires judiciaires nationaux et internationaux reste essentielle pour renforcer les compétences et protéger la justice contre toute ingérence.

En 2004, la CPI a ouvert une enquête sur des abus commis en RD Congo. À ce jour, cette enquête a abouti à deux condamnations, à un acquittement et à un procès encore en cours. L’un des suspects recherchés par la CPI continue d’échapper à la justice. La CPI ne peut enquêter que sur les crimes commis après 2002, et son travail ne peut déboucher que sur une poignée d’affaires, a précisé Human Rights Watch.

« Les affaires ouvertes par la CPI en RD Congo sont très importantes, mais elles ne font qu’effleurer la surface quand il s’agit de l’impunité qui règne dans le pays depuis plusieurs décennies », a conclu Géraldine Mattioli-Zeltner. « Le gouvernement congolais devrait faire davantage pour qu’une justice digne de ce nom soit rendue aux victimes, et pour démontrer que personne n’est au-dessus des lois. »

------

À lire aussi :

BBC Afrique 01.10.15

VOAAfrique.com 01.10.15

Romandie / AFP 01.10.15

Adiac 01.10.15

RadioOkapi.net 02.10.15

Deutsche Welle 02.10.15 (itw G. Mattioli-Zeltner)

Jeune Afrique 02.10.15

Le Matin 02.10.15

Courrier int. / Afrikarabia 04.10.15

JournaldeKin.com 05.10.15

 

 

Topic
Categories: Africa

Unipower MH-8875

Military-Today.com - Wed, 30/09/2015 - 22:35

British Unipower MH-8875 Tank Transporter
Categories: Defence`s Feeds

Remember Rwanda when Discussing Syria and Iraq

Foreign Policy Blogs - Wed, 30/09/2015 - 18:47

Yazidi militia on Sinjar Mountain – Al Jazeera

Rwanda will always be remembered as a genocide that came from the failure of the international community to act. While there was information coming from a Canadian representative to the international community at the time of a severe sectarian conflict brewing in the nation of Rwanda, neither the international community nor former Canadian Prime Minister Chretien responded to their cries for help. The result was that two million people lost their lives, and the international community failed to hold up the standards of justice they committed to at the end of the Second World War.

This week’s discussions at the UN between the Obama Administration and Vladimir Putin are a response to Russia’s decision to put aircraft and soldiers into Syria. Coalition airstrikes have been able to quell some of the pressure on the Kurdish forces facing ISIS and help save some members of the Yazidi community and other minorities in the region from extinction. The reality however is that more help is needed. The lack of a further commitment by the coalition has left the fight in the region at a stalemate without support on the ground and heavy weapons. Russian forces will likely commit to a heavy assault against ISIS, leaving the US as sidekick as opposed to an equal partner in Syria. Russia is seeking to gain the trust of US allies in the region, as the minimal help given to minorities trying to survive has not been able to keep them out of danger.

There have been many theories in Western countries on why there has been a flood of refugees coming to Europe. Some politicians with various political parties have refused to accept the need for proper military support in the refugee’s home countries, as humanitarian aid without protection would be a fruitless endeavor. Without a firm commitment from parties from all political stripes in acknowledging the source and solution to the refugee crisis, the politics of Western elites threatens to ignore another crisis on a mass scale. The lessons learned from ignoring the Rwandan genocide should be paramount. In order to save innocent people, sectarian issues must be understood on many different levels and approached with humanitarian assistance and the use of force when necessary to protect innocent communities. Putting politics before threatened minorities in the Middle East is tantamount to turning a blind eye to the extermination of a whole community so one can win a job in Washington, Brussels or Ottawa. Communities that have existed for thousands of years are being directly threatened and will be wiped out without a serious commitment to preventing another Rwanda.

An example of a group that has been created by minorities from the Middle East in order to help save innocent people in the region is C.Y.C.I. – The Liberation of Christian and Yazidi Children of Iraq. They assist victims of torture and sex slavery by purchasing them back from their captors and bringing them to freedom. This group, based out of Quebec, Canada has recently gained some assistance from the Canadian government after a lot of grassroots support. They have shown that countries like the US and Russia can do more to help, as these individuals have stood firm in not accepting another Rwandan genocide. Their focus is on saving children, young girls and families from some of the most brutal treatment of individuals in human history. Despite a lot of political backlash from opponents, they push on because there is no excuse for another Rwanda. Now with the international community discussing Syria and Iraq, Russia, the US and their allies have an opportunity to not repeat another Rwanda.

No Policy Not an Option in Central Asia

Foreign Policy Blogs - Wed, 30/09/2015 - 18:44

One day after Christmas of 1991, the red star, hammer and sickle were lowered from the Kremlin for the final time.  As the West declared victory over their “Evil Empire”, a new set of countries were born on the banks of the Caspian Sea: Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tajikistan, Turkmenistan, and Uzbekistan.  This region, part of Halford Mackinder’s “great pivot” has been of strategic importance to trade and politics for millennia, but has failed to climb to the top of the political agenda in Washington.

Bailovo, Baku, Azerbaijan by David Davidson @flickr

An Office of Congressional Ethics report leaked to the Washington Post this spring detailed an all-expenses-paid trip taken by a bipartisan group of ten influential congressmen and their staff to Azerbaijan in 2013.  The bill for the two-day conference was picked up by the State Oil Company of Azerbaijan Republic (SOCAR) by funneling $750,000 to two Houston non-profits: Turquoise Council of Americans and Eurasians (TCAE) and the Assembly of the Friends of Azerbaijan (AFAZ).  Although investigators stated that SOCAR’s involvement in the conference was public knowledge, each congressman claimed not to know that the state-owned company was the benefactor. To make matter worse, all but one congressman failed to report thousands of dollars in gifts received on the trip.  Despite pressure from watchdog groups, the OCE has yet to release the report, but has already made a ruling on the matter, finding that the congressmen involved did not knowingly violate any rules.

But, despite highly questionable junkets by congressmen, central Asian states still find themselves on the outside of the Washington establishment looking in, while signing lucrative contracts with Moscow and Beijing. Last fall, the Caspian 5 (Russia, Iran, Azerbaijan, Turkmenistan, and Kazakhstan) signed a political declaration recognizing the right of only the states littoral to the Caspian Sea to have a military presence on it, a shot across the bow of NATO and the United States.  Already at odds with Russia due to the situation in Ukraine, the declaration also spells trouble for a proposed trans-Caspian pipeline for moving natural gas from fields in the region to the European Union, bypassing current routes through Russia and Iran.  Just as the West sees itself locked out of the region, China has continued fostering lucrative relationships in the area.  In 2013 Chinese Premier Xi Jinping introduced an effort to link China to Turkey via the Central Asian states by increasing infrastructure, cultural exchange, and trade.  The “One Belt One Road” is already well on the way to becoming reality, having created a US$40 billion fund for the project, and slating US$1.65 billion of it for a hydroelectric project in Pakistan.

Why should Central Asia even be on the US’ radar?  For one, the Caspian Sea region is estimated to have 68 billion barrels of oil and 535 trillion cubic feet of natural gas beneath it.  The region’s production is set to increase by about 10% in the next two decades as well.  Under the Soviet Union, the Caspian Sea area’s production was consumed exclusively by the USSR, but since the fall of the Iron Curtain, the Central Asian states have been seeking to branch out.  Turkmenistan, the region’s largest natural gas exporter, has already inked a deal with China and is projected to increase its sale to the Middle Kingdom threefold by 2020. The country could be a geopolitical asset for the US: both the EU and Ukraine have expressed interest at tapping into Turkmenistan’s gas reserves. For Brussels, the key lies in overcoming Russian opposition to the building of the Trans-Caspian pipeline and deliver Turkmen gas through the so-called Southern Gas Corridor. Ukraine has been suffering under the weight of high gas prices, ever since the scrubbing of a 2006 deal negotiated by Dmitry Firtash to bring in Turkmen gas. Some have even suggested that given the many countries vying for Turkmenistan’s gas, Firtash should be brought to the negotiating table to make sure Europe outrivals China.

In addition to legitimate markets such as petroleum, controlling the area means gaining a better grasp on the market for contraband from East Asia.  Afghanistan, which produces 75% of the world’s heroin and whence 99% of the region’s opiates originate, shares a border of about 1,800 miles with Tajikistan, Uzbekistan and Turkmenistan.  Illicit drug trade from the Golden Triangle passes through China’s Xinjiang before it goes on through Kyrgyzstan, Tajikistan and Kazakhstan to consumers throughout the world.

Central Asia remains in play, but not for long.  The policymakers in D.C., who are more than happy to partake in the hospitality and gifts dished out by its strongmen, would do well to acquaint themselves with the immense importance of the region and formulate a policy for engaging with it.  The time to do so is now, lest they be left out in the cold of the Eurasian Steppe.

Két újabb pályázat jelent meg kutatás-fejlesztési együttműködések ösztönzésére

Pályázati Hírek - Wed, 30/09/2015 - 15:29

Egyetemek, kutatóintézetek és vállalkozások kutatásfejlesztési célú együttműködésének ösztönzésére, a hazai kutatóhelyek kapacitásának bővítésére két újabb, együttesen 90 milliárd forint keretösszegű pályázat nyílt meg szerdán - hívta fel a figyelmet a Nemzeti Kutatási, Fejlesztési és Innovációs Hivatal (NKFI Hivatal).

Categories: Pályázatok

Indonesien in der ASEAN

SWP - Wed, 30/09/2015 - 15:15

Es gehört zu den erklärten strategischen Interessen Berlins und Brüssels, regionale Integrationsprozesse im Rahmen der Association of Southeast Asian Nations (ASEAN) zu fördern. Dabei ist Indonesien als selbsternannte regionale Führungsmacht und Motor regionaler Integration zentraler Partner deutscher wie europäischer Außenpolitik. Unter der seit Oktober 2014 herrschenden Regierung Joko Widodos (»Jokowi«) ist jedoch ein Wandel zu beobachten. Die politische Führung ist der Auffassung, Indonesiens nationalen Interessen müsse in allen außenpolitischen Belangen oberste Priorität eingeräumt werden. Dies hat inner- und außerhalb der Region Besorgnis hervorgerufen, Indonesien könnte sich von der ASEAN abwenden.

Um die Veränderung indonesischer Außenpolitik gegenüber der ASEAN unter Jokowi einordnen zu können, wird in dieser Studie untersucht, welche Rolle Indonesien in der ASEAN seit 1998 spielte. Festzuhalten ist, dass sich die Rolle des Landes in der Regionalorganisation von Politikfeld zu Politikfeld stark unterscheidet. Während Indonesien sich beispielsweise in der Sicherheitspolitik als Vorreiter profilierte, hat es im wirtschaftlichen Bereich regionale Integrationsschritte nur äußerst zögerlich umgesetzt oder gar offen blockiert. Einiges spricht dafür, dass sich Jakartas Abwehrhaltung unter Jokowi bei Fragen wirtschaftlicher Integration noch verstärken wird. Gleichzeitig jedoch ist ein vollständiges Abrücken Indonesiens von der ASEAN nicht zu erwarten, da unter den Entscheidungsträgerinnen und Entscheidungsträgern im Land nach wie vor die Überzeugung vorherrscht, dass die ASEAN das wichtigste regionale Instrument für Frieden und Stabilität bildet.

Hivatásturizmus fejlesztése Tiszaszőlősön

EU pályázat blog - Wed, 30/09/2015 - 14:56

A „Turisztikai szolgáltatások fejlesztése” című konstrukció keretében 38,36 millió forint vissza nem térítendő uniós támogatást nyert el az EDU PED Zrt.

Az 54,81 millió forint összköltségű projekt során a társaság tiszaszőlősi telephelyén új konferencia és szabadidő központ jött létre.

Az EDU PED Zrt. oktatási, egyéb humán szolgáltatási tevékenységekkel, rendezvények szervezésével, kutatás-, fejlesztéssel foglalkozó társaság.

A beruházás megvalósításával lehetővé vált, hogy a Hivatás turizmus (TEÁOR 8413) fejlesztésével az EDU PED Zrt. komplex turisztikai szolgáltatás csomagokat tudjon kínálni a konferenciákra, tréningekre, egyéb csoportos programokra érkezők számára. E szolgáltatási csomagok a Tisza-tó térségének meglevő attrakcióihoz kapcsolódnak, annak kínálatával összhangban vannak.

Ehhez az EDU PED Zrt. új építésű – a térségből eddig hiányzó – 326 m2-es Konferencia és Szabadidő Központot hozott létre, mely egész évben helyszínt biztosít a képzéseknek, konferenciáknak, csapatépítő/outdoor tréningeknek, egészségfejlesztő programoknak, és olyan szabadidős programoknak, melyek a térség természeti adottságaira, kulturális hagyományaira épülnek. A projekt keretében a hivatásturizmus fejlesztése érdekében megtörtént a komplex szolgáltatási csomagok marketing tervének kidolgozása, a szabadidős programok eltöltéséhez pedig kerékpárok beszerzése is megvalósult.

A fejlesztés eredményeként a turisztikai régió idegenforgalma fejlődik, versenyképessége jelentősen javul, hisz fizetőképesebb vendégeket hoz a régióba.

Az ÉAOP-2.1.1/H-11 „Turisztikai szolgáltatások fejlesztése” elnevezésű pályázati kiíráson 38 365 595 forintos támogatást elnyert, 54,81 millió forint összköltségvetésű fejlesztés 2012. november 5-én indult és 2015. szeptember 30-án zárult.

A projekt az Európai Unió támogatásával, az Európai Regionális Fejlesztési Alap társfinanszírozásával valósult meg.


Categories: Pályázatok

Crédit consommation, que dit la loi

Regards citoyens - Wed, 30/09/2015 - 14:31

Pour un grand nombre de salariés, particulièrement les contractuels de l’Etat, il n’est pas facile de réaliser des projets en se contentant du salaire mensuel. C’est pourquoi, les banques ont mis à disposition de ces derniers plusieurs outils pour les aider et accompagner dans la mise en place de leurs différents projets.

Par ceux-ci, nous avons en tête de liste le crédit à la consommation. Malheureusement dans plusieurs cas, les salariés se retrouvent avec plusieurs crédits contractés et parfois dans une situation de surendettement. Pour mettre des balises et recadrer l’accès à ce crédit, plusieurs lois ont été mises sur pied.

Tout d’abord qu’est-ce que le crédit à la consommation ?

Le crédit à la consommation regroupe toutes les opérations mis à part celle relatives à l’immobilier. Ce dernier doit permettre l’acquisition de biens de consommations tels que les outils informatiques et les meubles. De façon globale, le montant de ce type de crédit va de 200 à 75000 euros selon le revenu du demandeur et le processus de paiement qu’il choisit.

Que dit la loi sur ce type de crédit ?

C’est la loi communément appelée Lagarde, la loi 737 du 1er juillet de l’année 2010, devant son nom à Christine Lagarde, ministre de l’Economie en ce temps qui traite des réformes concernant le crédit à la consommation. Cette loi française est en effet la transposition de la directive européenne sur le même sujet.

Dans le cas où le demandeur n’est pas dans une situation financière stable, cette loi lui interdit catégoriquement de procéder à un renouvellement de crédit. Elle oblige les banques à s’assurer de la solvabilité de celui qui emprunte.

La structure bancaire doit ainsi vérifier si l’emprunteur n’est pas inscrit dans le Fichier des incidents caractérisés de remboursement des crédits aux particuliers (FICP). C’est un fichier listant les personnes ayant eu des difficultés pour le remboursement de leurs prêts.

Categories: Union européenne

Rivages du Monde : croisière Au fil du Danube

Courrier des Balkans / Serbie - Wed, 30/09/2015 - 14:20

Une traversée de l'histoire : un fleuve impérial
Le Danube est l'un des fleuves les plus fascinants du monde, traversant sur près de 3 000 km, pas moins de huit pays, avant de se jeter, par un vaste delta, dans la mer Noire. De Bucarest à Passau, la traversée de l'Europe se trouve fortement marquée par les influences byzantines puis ottomanes.
L'histoire des royaumes et des empires qui allaient finalement faire triompher le christianisme s'inscrit dans la majesté des villes qui ont su préserver (...)

/ , , ,
Categories: Balkans Occidentaux

Pages