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Diplomacy & Crisis News

Donald Trump Isn’t Campaigning to Run a Democracy

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 23:52
The Republican nominee’s rhetoric at the debate was more dictator than leader of the free world.

Lawmakers Demand U.S. Do More Than Just Criticize Saudi Bombing Campaign

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 22:45
Congressional critics of the Saudi-led military campaign against Yemeni rebels are demanding the White House pull its support for Riyadh following an alleged weekend airstrike that killed at least 140 funeral mourners in Sanaa.

Democracy Lab Weekly Brief, October 3, 2016

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 21:46
To keep up with Democracy Lab in real time, follow us on Twitter and Facebook. Anna Nemtsova reports from Georgia, where a car bomb raised tensions before this weekend’s election. Zia Weise has an update on the strange disappearance of a Kurdish politician in Turkey: Somehow, he’s just turned up in Iraq. Brian Klaas argues ...

Elon Musk Isn’t Religious Enough to Colonize Mars

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 21:25
Silicon Valley wants to explore space as tech entrepreneurs. We should be traveling as pilgrims.

South Sudan’s Attacks on U.N. Could Imperil Future Peacekeeping

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 21:12
Since violence flared this summer, South Sudanese government forces have mounted increasingly brutal attacks against U.N. workers.

Why Has the President of Malawi Still Not Gone Home from the U.N. General Assembly?

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 19:42
The Malawian government is now threatening to arrest anyone who spreads rumors that President Peter Mutharika is gravely ill.

Paul Ryan Says He Will No Longer Defend Donald Trump

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 19:08
Ryan's move allows other Republicans wary of Trump to follow suit.

Battleground ’16: Desperate Trump Takes Drastic Debate Measures

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 18:57
Trump's debate performance won't be enough to stem the GOP bloodletting, or lock up the vote.

Nigel Farage Praises Trump for Acting Like a ‘Big Silverback Gorilla’ During Debate

Foreign Policy - Mon, 10/10/2016 - 18:11
The U.K.’s poster boy for Brexit praised Trump for "dominating" last night’s town hall debate.

Quand une banque distribue des médailles

Le Monde Diplomatique - Mon, 10/10/2016 - 18:05

Dans leur effort visant à élever l'économie au rang de science (et à travestir leurs préférences en fatalité), les libéraux jouissent d'un argument de poids : la consécration de leur spécialité par un prix Nobel ne l'assimile-t-elle pas à des disciplines aussi peu suspectes que la physique, la chimie ou la médecine ? A priori implacable, le raisonnement s'avère trompeur…

Robert Brown, l'un des trois enfants de Mme Renata Davis, menacée avec eux d'expulsion, Detroit, 2014. Photographie de Fred R. Conrad. Si le défaut en 2013 de l'ancienne capitale mondiale de l'automobile résulte d'un long déclin industriel, c'est la crise des subprime de 2007 qui lui a porté le coup fatal, accélérant son dépeuplement. De 1,8 million d'habitants en 1950, la population a fondu à 689 000 en 2013. La plus grande ville du Michigan a en effet été l'une des plus touchées par la vente de ces crédits à taux variable. L'incapacité de milliers d'emprunteurs à faire face à l'augmentation des mensualités a précipité l'explosion du nombre des expropriations. Au moins 70 000 saisies ont eu lieu depuis 2009.

Le « Nobel d'économie » n'a été créé qu'en 1969, soit presque soixante dix ans après les premiers prix Nobel, et pas par l'industriel suédois. Son vrai nom ? « Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel ». Dans son testament, Alfred Nobel précise que les prix auxquels il donne naissance seront remis à des personnes de toute nationalité ayant « rendu un grand service à l'humanité ». Or les lauréats de la Banque de Suède proviennent presque tous de pays occidentaux et leurs travaux servent moins l'humanité en général que la partie qui profite du modèle économique en place.

Picsou en couverture du « Journal de Mickey », 1958.

L'économie est une discipline récente, et plus de la moitié des « Nobel d'économie » sont encore vivants. 82 % d'entre eux étaient de nationalité américaine lors de leur nomination, alors que les « Nobel d'économie » européens vivants sont très peu nombreux : un Allemand, trois Britanniques, un Français et un Norvégien. Précisons que le Français Jean Tirole (lauréat 2014) et le Norvégien Finn Kydland (2004) ont tous deux obtenu leur doctorat aux États-Unis. Kydland y a d'ailleurs mené toute sa carrière, alors que Tirole est revenu en France pour créer à Toulouse une école d'économie calquée sur le modèle américain d'excellence académique. Quant aux Nobel vivants issus du monde en développement, ils se résument à un nom : l'hétérodoxe Amartya Sen (1998), Indien ayant fait carrière au Royaume-Uni et aux États-Unis. Lorsqu'on s'intéresse au profil des candidats, on constate, depuis la fin des années 1970, un renforcement du poids des États-Unis, accompagné d'une orientation à la fois plus libérale, plus technique et plus tournée vers la finance. À travers le prix Nobel, les représentants autoproclamés de la « science » économique ont défendu la globalisation financière, promu l'idée d'efficience des marchés et prôné l'indépendance des banques centrales, tout en dénonçant la « nocivité » de l'État. Ils ont projeté sur le monde scientifique, et dans l'espace public, une idéalisation collective du marché centrée sur l'Occident et même, plus précisément, sur les États-Unis. Laquelle connaît un regain de vigueur dans les années 1980 et s'impose au même moment dans les organisations internationales (FMI, Banque mondiale).

Multiplier les entretiens sur des thèmes sans aucun rapport avec l'expertise récompensée Milton Friedman est accueilli par une manifestation d'opposants à la dictature chilienne lors de la remise de son « prix Nobel » à Stockholm, en 1976. Le fondateur de l'école de Chicago, dont la théorie monétariste a influencé les politiques économiques ultralibérales de Margaret Thatcher, de Ronald Reagan mais aussi d'Augusto Pinochet, s'était rendu l'année précédente à Santiago pour prononcer une série de conférences et rencontrer le dictateur militaire chilien.

Le « prix Nobel » permet à ses nouveaux lauréats d'occuper l'espace public et crée l'illusion qu'il existe un consensus entre experts, renforçant les effets d'autorité de la science économique. On le voit avec Tirole : il a multiplié les entretiens sur des thèmes sans rapport direct avec ses recherches, mais qui lui ont permis de promouvoir une vision néolibérale de l'économie. Par exemple, il écrit dans un article pour Libération qu'« en matière de marché du travail, une augmentation du coût net du travail au niveau du smic a pour objet louable de compresser les inégalités salariales ; mais elle crée du chômage » : loin de toute évidence empirique, la seule solution pour lutter contre le chômage serait donc de déréguler le marché du travail, comme l'ont préconisé Friedrich Hayek ou Milton Friedman, deux figures du libéralisme.

Félicités en dépit des échecs

Un autre objectif est de laisser croire que l'économie est une science fiable, sinon exacte, même en présence de contre-performances manifestes des lauréats. Ce fut le cas pour Robert Merton et Myron Scholes (« Nobel » 1997), qui, entre 1993 et 1998, participaient à la direction de Long Term Capital Management, un des plus grands fonds d'investissement de l'histoire, qui fit faillite en 1998 à la suite de la crise financière asiatique : celle-ci n'avait pas été prévue, alors que leur prix Nobel, reçu un an plus tôt, récompensait... un modèle permettant, entre autres, d'anticiper les chocs financiers. La crise des subprime en 2007 apparaît aussi comme un échec collectif massif de la profession dans son approche de la finance, mais Eugene Fama, père de la théorie des marchés efficients qui a favorisé l'effondrement systémique, a été récompensé par le Nobel en 2013 !

Gary Becker

En 1992, l'économiste Gary Becker (1930-2014) reçoit le « prix Nobel » de sa discipline « pour avoir formulé une théorie générale du comportement familial prenant en compte non seulement la répartition du travail et du temps, mais aussi les décisions concernant le mariage, le divorce et les enfants ». Becker considérait ces derniers comme des « biens de consommation durables », et toute décision les concernant devait à ses yeux s'expliquer en conséquence. L'économiste a également percé le mystère de la criminalité : « Une personne commet un délit si le profit qu'elle en escompte excède celui qu'elle pourrait obtenir en consacrant son temps et ses ressources à d'autres activités » (Crime and Punishment : An Economic Approach, 1968). Avant de perpétrer son crime, le malfaiteur effectue un calcul coût-bénéfice. Si le coût est trop élevé, il y renonce. Les travaux de Becker seront utilisés par les conservateurs américains pour justifier le durcissement des peines. Ils contribueront ainsi à remplir les prisons, situation que Becker jugeait cependant économiquement regrettable.

À l'exception de cet article, le Manuel d'économie critique n'est pas encore disponible en édition électronique ; il est encore possible de se procurer la version imprimée en kiosques et sur la boutique en ligne.

The Snowball Effect of Continued U.S.-Russia Strategic Mistrust

Foreign Policy Blogs - Mon, 10/10/2016 - 10:38

Russian President Vladimir Putin meets with U.S. President Barack Obama on the sidelines of the G-20 summit in China (ALEXEI DRUZHININ | AFP | Getty Images)

Russia has announced the suspension of an agreement it had with the U.S. to convert weapons-grade plutonium into nuclear fuel. It did this as a result of the collapse of the Syrian ceasefire deal involving both the U.S. and Russia.  As a result, both powers have allowed yet another regional proxy conflict, post-Ukraine, to undermine the longer-term foundations of global security.

It Doesn’t Matter Who’s At Fault

Recriminations have been exchanged between the U.S. and Russia regarding the actual commitment of the other to sustain and implement the recent Syrian ceasefire agreement. While some may attempt to point out how one party or the other is actually more at fault for this failure, this misses the point entirely. The point is that the disagreement between Russia and the U.S over Syria has actually increased global insecurity for all parties.

One would think that any headline or topic involving the three words “U.S.”, “Russia”, and “nuclear” would immediately command worldwide attention and foster a policy of more restraint with respect to resolving conflict between the two powers. Unfortunately, this hasn’t been the case. On the one hand, the failure of the plutonium deal mirrors the Russian cancellation of its rocketry usage to launch U.S. satellites into space several years ago. The failure of the continued rocketry deal has long-term implications, potentially involving joint space exploration, something which affects all of humanity.

Conversely, the failure of the plutonium deal is much worse in that its aftereffects are more likely to be felt sooner rather than later. While nuclear deals between Russia and the U.S. may not necessarily be considered as “sexy” as they once were during the Cold War in terms of garnering frontpage headlines, they are no less critical in fostering global security than resolving any myriad number of regional conflicts.

To emphasize this point, Russia has also simultaneously suspended the 2010 Implementing Agreement concerning cooperation on feasibility studies of the conversion of Russian research reactors to use low-enriched uranium fuel. Additionally, Russia has suspended the 2013 Russian-US Agreement on Cooperation in Nuclear- and Energy-Related Scientific Research and Development. All three of the suspensions were announced within the span of a few days, perfectly illustrating the unforeseen, magnified consequences continued U.S.-Russian hostilities will have for the “foreseeable” future.

The failure of the plutonium deal not only will have ramifications with respect to non-state actors like terrorists, but longer-term strategic relations between the U.S and Russia directly. This is because the failure will not only potentially impact both states’ efforts at nonproliferation globally, but will actually increase the U.S.-Russian security dilemma itself. Though the agreement, known as the Plutonium Disposition and Management Agreement (PDMA), is not as crucial as the INF or New START treaties, its abrogation has dissolved the perceived boundary between the “nuclear” and “conventional” compartments in Russia-U.S. relations.

Patience and Maturity Win in Chess, Not Recklessness

Even though some in the U.S. may indeed consider China to be a longer-term threat to U.S. interests, the sharp decline and rapid pace of deterioration in U.S.-Russia relations threatens to overshadow even the importance of U.S.-China relations. China’s primary instrument of its “comprehensive national power” is its economic base. Russia’s is its nuclear component, something even China doesn’t have (yet). Because of this, U.S. options for resolving conflict with Russia in general are getting ever smaller in number.

While many may be frustrated with Russian actions in Syria, the position taken by some that the U.S. needs to try military means to stop Russian moves in Aleppo brings to mind the word “Armaggedon”. There is no way to possibly foresee the afteraffects of direct U.S. military action against Russian forces in Syria, especially coming in the wake of the recent U.S. bombing of Syrian government forces. A power that is explicitly bent on using its nuclear parity with the U.S. as a key element in its great power resurgence campaign would probably not respond too well to being attacked, especially after its ally has already been attacked, accidentally or not.

Russia has used the plutonium deal impasse as an avenue to demanding not only decreased NATO military levels in Eastern Europe to year 2000-levels and repeal of the Magnitsky Act, but also to demand an end to (as well as compensation for) all sanctions imposed on Russia post-Ukraine. This countermove has, in one fell swoop, annihilated the justification for continued sanctions against Russia by some, namely that they will somehow miraculously affect Russia’s calculus and bring it more into compliance with Western wishes. Needless to say, while Russia’s maneuvering may indeed seem contemptible to some, it has nevertheless caught Western leaders off-balance, yet again.

Exasperated, many will ask, “How then to best “manage” Russia if both military and economic means are off the table?” A clue may be found in many proponents’ views towards U.S.-China relations. At the risk of sounding simplistic, both Russia and the U.S. will need to adopt a more realistic, sober, and patient approach to the other based on cooperation where possible, while also recognizing that competition in other areas will inevitably exist. This also forms the crux of the “great power pragmatism” school of thought which Putin originally came into office believing in and adhering to.

This competition exists because of the inalterable nature of great powers’ national interests which, unsurprisingly, remain intact despite threats from other great powers. Patience then, above all else, will be required from both parties when playing this long-term chess game, while simultaneously recognizing their shared roles and responsibility for upholding regional and global security.

Conversation: The State of U.S.-Russia Relations (courtesy of STRATFORvideo)

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Octobre 2016 en perspective

Le Monde Diplomatique - Mon, 10/10/2016 - 10:24

Argent, médias, lobbys, découpage des circonscriptions : les biais de l'élection présidentielle américaine au regard des précédentes… Depuis quand le Maroc attend-il le grand changement ? Quel fil relie l'univers du « catch-as-catch-can » français, le « wrestling » nord-américain et la « lucha libre » mexicaine ? Les investisseurs chinois rachètent-ils la France, comme naguère les Belges ? Sélection d'archives en rapport avec le numéro du mois.

  • Les États-Unis tentés par le risque Serge Halimi • pages 1 et 11 Aperçu Une candidate aussi expérimentée et entourée que Mme Hillary Clinton peut-elle être battue par un homme aussi brutal et controversé, y compris dans son camp, que M. Donald Trump ? Même si elle n'est pas la plus probable, cette issue, qui dépendra du vote d'une Amérique oubliée, n'est plus exclue.
  • → Retour feutré de la discrimination électorale aux Etats-Unis Brentin Mock • octobre 2014 Aperçu
  • → Géorgie et Caroline du Nord, les deux Sud Benoît Bréville • octobre 2012 Aperçu
  • → Démocratie à l'américaine S. H. & Loïc Wacquant • décembre 2000 Aperçu
  • Le Maroc pétrifié par son roi Pierre Daum • pages 8 et 9 Aperçu Le royaume chérifien est confronté à un climat social difficile. L'opposition peine à défendre les maigres concessions obtenues avec la Constitution de 2011. Dans un contexte de mise au pas des médias, questionner le pouvoir du roi Mohammed VI reste un tabou.
  • → Les jeunes du Rif renouent avec la révolte Aurel & P. D. • octobre 2012 Aperçu
  • → Le Maroc attend le grand changement Ignace Dalle • juin 2001 Aperçu
  • → Plus une erreur à commettre... Gilbert Comte • décembre 1972 Aperçu
  • Les vengeurs masqués de la rue mexicaine Benjamin Fernandez • page 12 Aperçu Le catch mexicain — ou « lucha libre » — inspire et fascine bien au-delà de son pays d'origine. La popularité de cette « comédie humaine » apparue au début du XXe siècle s'enracine dans la culture, l'histoire et la vie politique mexicaines, dont elle révèle des aspects inattendus.
  • → Grandeur et délires du catch américain Balthazar Crubellier • mai 2010 Aperçu
  • → Gladiateurs du troisième millénaire Johan Heilbron & Maarten Van Bottenburg • octobre 2009 Aperçu
  • → Le Mexique sur les rails du néolibéralisme Ignacio Ramonet • avril 1986 Aperçu
  • Appétit chinois, incurie française Martine Bulard • page 19 Aperçu Les investissements français en Chine sont six fois plus importants que les investissements chinois en France. Tandis qu'à Pékin personne ne s'inquiète d'une invasion hexagonale, les convoitises de l'empire du Milieu effarouchent nombre de commentateurs à Paris. Cet afflux de capitaux étrangers n'est pourtant possible qu'en l'absence d'une politique industrielle ambitieuse.
  • → L'Australie séduite par la Chine Olivier Zajec • janvier 2015 Aperçu
  • → Un robot en France, un ouvrier en Chine Clément Ruffier • janvier 2010 Aperçu
  • → Ces Belges qui rachètent la France Michaël Sephiha • août 2006 Aperçu
  • Des Pirates à l'assaut de l'Islande Philippe Descamps • pages 1, 16 et 17 Aperçu Touchée de plein fouet par la crise financière et l'effondrement de son système bancaire en 2008, l'Islande affiche aujourd'hui une santé économique resplendissante. Si ce petit pays a pu très vite se redresser en s'écartant de l'orthodoxie libérale, les promesses de refondation du contrat social restent à accomplir.
  • → Quand l'austérité tue Sanjay Basu & David Stuckler • octobre 2014
  • → Etonnante Islande, fière de son identité… Philippe Bovet • novembre 1996 Aperçu
  • → Le miracle islandais : un pays moderne dans une île déserte Maurice Gravier • mai 1966 Aperçu
  • Braderie forestière au pays de Colbert Guillaume Pitron • pages 1, 20 et 21 Aperçu Couvrant près d'un tiers du territoire, la forêt française constitue un fabuleux trésor. Mais il y a loin de l'arbre brut au bois travaillé : faute de politique industrielle concertée, la sylviculture est devenue le deuxième poste du déficit commercial. Plongée au sein d'une filière saccagée, entre matière première vendue à l'étranger, scieries en liquidation et timides tentatives de redressement.
  • → Industrie, socle de la puissance Laurent Carroué • mars 2012 Aperçu
  • → Dérive criminelle de l'économie du bois Alice Blondel • décembre 2003 Aperçu
  • → Les forêts, source appréciable de revenus • mai 1964
  • De l'art d'ignorer le peuple Anne-Cécile Robert • page 3 Aperçu Si de nombreux élus, chercheurs ou militants diagnostiquent une « crise de la démocratie », le mal pourrait se révéler plus profond : l'installation rampante d'un nouveau régime politique, la gouvernance, dont l'Europe est le laboratoire.
  • → Aux origines de la société civile Raffaele Laudani • septembre 2012
  • → Le piège de la gouvernance Bernard Cassen • juin 2001 Aperçu
  • → Rendre aux élus du peuple la capacité de faire la loi Christian de Brie • novembre 1989 Aperçu
  • Au Gabon, la mécanique du népotisme s'enraye Olivier Piot • pages 4 et 5 Aperçu Contrairement à un scénario bien ficelé depuis des décennies, la France n'a pas reconnu immédiatement l'élection, contestée et suivie d'émeutes, du président gabonais le 31 août dernier. Il s'agit d'un tournant dans l'histoire de ce petit pays d'Afrique centrale, symbole d'une « Françafrique » vacillante.
  • → Les Africains votent mais ne décident pas A.-C. R. • février 2010 Aperçu
  • → Omar Bongo, une passion française Boubacar Boris Diop • juillet 2009 Aperçu
  • → Gaspillages et gabegies au Gabon Aristide Mba • avril 1990 Aperçu
  • Irréductibles Druzes du Golan Sophia Marchesin • page 6 Aperçu Déjà morcelée entre cinq groupes armés eux-mêmes composites, la Syrie a vu le nord de son territoire envahi à la fin août par l'armée turque. Ce dépeçage a commencé il y a bien longtemps, lorsque Israël décida d'occuper le plateau du Golan, où seuls les Druzes ont pu s'accrocher.
  • → Israël face à ses voisins (1948-2008) Olivier Pironet « Histoires d'Israël », Manière de voir nº 98, avril - mai 2008
  • → Israël et la Syrie au bord de la paix Alain Gresh • janvier 2000 Aperçu
  • → Le Golan, une terre si convoitée Joseph Algazy • mars 1992 Aperçu
  • Israël ou la religion de la sécurité Gideon Levy • page 10 Aperçu Après les attentats qui ont ensanglanté la France, de nombreux responsables politiques ont érigé en modèle la gestion par Tel-Aviv des questions de sécurité. Pourtant, dans la société israélienne comme dans les territoires occupés, la réponse militaro-policière au terrorisme a montré ses limites.
  • → Israël déconcerté par la guerre en Syrie Nir Boms & Asaf Hazani • mai 2014
  • → Comment l'occupation a transformé Israël Meron Rapoport • juin 2007 Aperçu
  • → Israël : éliminer les « criminels » et discréditer l'OLP Amnon Kapeliouk • février 1986 Aperçu
  • Comment M. Erdoğan a maté l'armée turque Sümbül Kaya • page 7 Aperçu La stratégie d'endiguement menée par M. Recep Tayyip Erdoğan pour contrer la mainmise traditionnelle des militaires sur la vie politique n'a pas empêché le putsch de juillet dernier. Sorti victorieux de cette épreuve de force, le président turc a lancé une vaste opération de purge pour conforter son pouvoir.
  • → Le mouvement Gülen, une énigme turque Ali Kazancigil • mars 2014
  • → La société turque entre l'armée et les islamistes Niels Kadritzke • janvier 2008 Aperçu
  • → Turquie : L'armée profitera-t-elle du malaise généralisé ? Paul Balta • février 1971 Aperçu
  • Qui a tué Berta Cáceres ? Cécile Raimbeau • page 13 Aperçu L'assassinat de Berta Cáceres le 3 mars dernier au Honduras a suscité une vague d'indignation. Ce meurtre s'ajoute à celui de nombreux militants amérindiens et écologistes opposés aux barrages hydroélectriques qui prolifèrent en Amérique centrale.
  • → Panamá sans les Panaméens Allan Popelard & Paul Vannier • juillet 2015
  • → L'acheminement de l'électricité verte, alibi de la privatisation Aurélien Bernier • mai 2013 Aperçu
  • → Une recolonisation nommée « plan Puebla-Panamá » Braulio Moro • décembre 2002 Aperçu
  • Après le « casse du siècle » en Moldavie Julia Beurq • pages 14 et 15 Aperçu À Chişinău, une gigantesque fraude financière a jeté la population dans la rue. Prorusses et pro-occidentaux ont défilé ensemble contre le système oligarchique. Mais la classe politique se complaît dans les anciennes fractures, semblant ignorer que les Moldaves se sont lassés des clivages géopolitiques.
  • → De la Transnistrie au Donbass, l'histoire bégaie Jens Malling • mars 2015
  • → Moldavie-sur-Seine Zoé Lamazou • août 2010 Aperçu
  • → Trois Républiques européennes • avril 1990 Aperçu
  • À Gibraltar, dernière colonie d'Europe Lola Parra Craviotto • page 18 Aperçu En votant très massivement contre le « Brexit », les habitants de Gibraltar ont montré leur attachement à l'Union européenne. D'une superficie à peine plus grande que celle du 20e arrondissement de Paris, ce territoire est à la fois l'un des plus riches du monde et le dernier à décoloniser en Europe.
  • → Les confettis de l'Europe dans le grand casino planétaire Jean Chesneaux • janvier 1996 Aperçu
  • → Gibraltar reste le seul obstacle à un rapprochement entre la Grande-Bretagne et l'Espagne Elena de La Souchère • mars 1968 Aperçu
  • → Le différend anglo-espagnol sur Gibraltar Edouard Bailby • janvier 1965 Aperçu
  • Perceptions et réalités de l'autoritarisme dans le Sud-Est asiatique Éric Frécon • pages 22 et 23 Aperçu Quoi de commun entre l'icône birmane Aung San Suu Kyi et le sulfureux président philippin Rodrigo Duterte ? Leur présentation caricaturale dans les médias. Les peuples d'Asie du Sud-Est s'avèrent souvent moins sensibles aux accusations d'autoritarisme qu'aux résultats qu'ils escomptent de l'action de leurs élus.
  • → Singapour, Malaisie, Indonésie : triangle de croissance ou triangle des inégalités ? Philippe Revelli • juillet 2016 Aperçu
  • → La Birmanie en liberté surveillée Renaud Egreteau • décembre 2015
  • → L'Asie du Sud-Est, terre d'élection des troubles sociaux et ethniques Patrice De Beer • mars 1972 Aperçu
  • Séductions de la bohème Anthony Glinoer • page 27 Aperçu Une bande de copains joyeux, fauchés, un peu provocateurs, prêts à s'inventer un autre avenir que celui des bons bourgeois : la bohème avec ses légendes, héritée du XIXe siècle, fait si bien rêver que le XXIe n'en finit pas de la recycler. Romantique, insolente, est-elle un geste de liberté ou un supplément d'âme ?
  • → Éloge de la perturbation Evelyne Pieiller « Artistes, domestiqués ou révoltés ? », Manière de voir nº 148, août - septembre 2016
  • → Une gauche assise à la droite du peuple B. B. & Pierre Rimbert • mars 2015
  • → Jeunes des classes populaires Michel Pialoux • mai 2007
  • Direction des Ressources Heureuses Julien Brygo & Olivier Cyran • page 28 Aperçu Une ligne de démarcation structure le monde du travail. D'un côté, une aristocratie laborieuse dotée de bons revenus et de menus avantages qui cimentent son esprit de corps. De l'autre, les millions de sujets d'un marché du travail qu'en toute rigueur l'on ne saurait même plus qualifier de salariat.
  • → Travail en souffrance Mathilde Goanec • juin 2015
  • → De la valeur ignorée des métiers P. R. • mars 2010
  • → Ravages cachés du sous-emploi Margaret Maruani • juin 2003 Aperçu
  • Children in flood-ravaged DPRK face ‘second wave of danger’ as winter rapidly closes in – UNICEF

    UN News Centre - Sat, 08/10/2016 - 00:04
    After two months of intense flooding, the Democratic Republic of Korea (DPRK) is now facing another looming danger as a severe winter is closing with thousands of children still in need of urgent assistance, according to the UN Children’s Fund (UNICEF) and partner agency Save the Children.

    Colombian Government and FARC-EP request UN to authorize Mission to continue supporting ceasefire

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 23:49
    The Colombian Government and the country’s largest rebel group announced today that they are willing to press ahead on the goals of the historic peace accord that was rejected by voters this past weekend, while the two sides also requested that the United Nations Mission in the country continue its work, particularly relating to monitoring the ceasefire.

    Swift approval of Guatemala’s justice reform bill an ‘historic’ opportunity to fight impunity – UN rights office

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 22:43
    Welcoming a recent draft bill to the Guatemalan Congress on constitutional justice reform, the Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights (OHCHR) today urged a rapid approval by the Government while voicing concern over the growing threats against judicial authorities.

    Ban highlights importance of sea tribunal as legal body commemorates its 20th anniversary

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 22:38
    Recalling the renewed focus on seas and oceans, including as illustrated in the 2030 Agenda for Sustainable Development, United Nations Secretary-General Ban Ki-moon said today that as the global law of the sea continues to grow in relevance, so does its international tribunal.

    Labour disparity between girls and boys perpetuates gender stereotypes, UNICEF report shows

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 22:10
    Ahead of the International Day of the Girl Child on 11 October, the United Nations Children’s Fund (UNICEF) today released a report warning that the worldwide disparity between unpaid household chores assumed by girls aged five through 14 as compared to their male counterparts, amounts to 40 per cent more time – or 160 million more hours a day.

    UN condemns deadly attack on ‘refugee hosting area’ in western Niger

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 21:39
    United Nations Secretary-General Ban Ki-moon has condemned the attack against a security post at a refugee hosting area in Tazalit, in the Tahoua region of Niger, bordering Mali, on 6 October, in which at least 22 members of Niger’s security forces were killed and several others were injured.

    Citing ‘serious protection gaps,’ UN refugee agency assists traumatized populations in northern Nigeria

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 20:21
    Most civilians living in areas of northern Nigeria recaptured by the armed forces from Boko Haram since the start of the year still face serious protection problems and lack the most basic assistance, with women particularly at risk, the United Nations refugee agency warned today.

    Reports that Yahoo aided US e-mail surveillance draw concern of UN human rights expert

    UN News Centre - Fri, 07/10/2016 - 19:29
    The top United Nations expert of free expression said today that reports that Yahoo complied with United States intelligence demands by searching the e-mails of hundreds of millions of customers “raise serious human rights concerns.”

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