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La « loi des affiches » pourrait être de retour au Parlement plus vite que prévu

HU-LALA (Hongrie) - Mon, 19/06/2017 - 06:43

Le nouveau vote sur le controversé projet de loi concernant les campagnes d’affichage des partis politiques pourrait avoir lieu dès la semaine prochaine.

Ce jeudi, le Président de la République János Áder a décidé de renvoyer devant le Parlement le projet de loi concernant l’affichage politique dont l’adoption a été rejetée à une voix près mercredi. La raison officielle de cette décision est la présence d’importants problèmes de forme dans le texte de loi et le fait que certains passages ne nécessitaient qu’une majorité absolue tandis que d’autres nécessitaient une majorité aux deux tiers . . .

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Budapest : les habitants du « quartier de la fête » s’organisent

HU-LALA (Hongrie) - Sat, 17/06/2017 - 08:41

Les nuisances liées au "tourisme de cuite" qui s'est développé dans le 7e arrondissement de Budapest sont devenues insupportables pour certain de ses habitants et ceux-ci commencent à s'organiser, rapporte le site d'actualités 444.hu.

Le tourisme de fête a explosé ces cinq dernières années à Budapest. Des jeunes vingtenaires, majoritairement venus de l'Europe de l'Ouest, convergent au printemps et en été dans le 7e arrondissement de la capitale hongroise (Erzsébetváros) pour profiter des fameux ruin pubs ayant acquis une réputation mondiale . . .

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Le coup de gueule d’une locale contre les enterrements de vie de garçon à Budapest

HU-LALA (Hongrie) - Fri, 16/06/2017 - 10:36
Budapest est en voie accélérée de « Barcelonisation ». Chaque week-end, des hordes de jeunes anglais, français, hollandais, allemands, etc., déferlent sur le 7e arrondissement de Budapest pour faire des stag parties, des enterrements de vie de garçons, pourrissant la vie de ses habitants et détruisant le peu qu’il reste de la movida budapestoise. Une jeune habitante du quartier a poussé un coup de gueule très remarqué sur son blog backpacker.hu.

Cher Stag-doer à Budapest,

Il y a certaines choses dont nous aimerions te parler, avant que tu n’arrives ici pour faire la meilleure fête de ta vie. Il y a certaines choses que tu pourrais avoir mal compris à propos de nous, les locaux, et de notre ville.

1. Budapest, c’est une ville historique, pas ton terrain de jeu

On comprend bien. Tu veux passer un bon moment, mais tu dois comprendre que nous vivons ici depuis des siècles et que nous avons l’intention de continuer. Nos rues ne sont pas tes toilettes et pas un bar où tu peux brailler avec tes amis.

2. Et nous, les filles hongroises, on est pas là non plus pour te divertir

Il m’est arrivé plusieurs fois que tu t’approches de moi pour me demander d’avoir une relation sexuelle avec toi. En fait, les mots que tu as utilisé étaient un peu différents. Quand je me suis excusée, en te disant que j’aimerais d’abord finir ma conversation avec ma mère, tu t’es offusqué que je ne réagisse pas comme ces filles que tu as vu dans les films que tu consommes. Les filles de l’Europe de l’Est ne sont pas toutes à ranger dans la catégorie porno. Donc non, nous ne faisons pas partie de ta soirée. En fait, ça pourrait être le cas, si tu nous traitais avec respect, si tu avais quelque chose d’intéressant à dire, si toutefois tu n’étais pas trop bourré pour articuler.

3. Ce n’est pas une plage

S’il te plait, portes un T-shirt quand tu te promènes dans la rue. Il ne fait pas si chaud.

4. Si, nous avons le sens de l’humour…

… mais quand on croise des gars habillés en Borat chevauchant un énorme ballon en forme de gode… Ça nous a fait rire la première fois quand un gars l’a fait il y a dix ans, mais on vient de croiser le même il y a deux minutes. Et hier. Et vendredi dernier aussi. Si on fait les gros yeux c’est parce que pour nous, tu n’es pas original. Juste pathétique. Non, tes tétons ne sont pas drôles. Désolée.

5. Il faut vraiment que vous arrêtiez de vous battre

Avant votre arrivée, on ne voyait quasiment jamais de bagarre dans nos rues. Personnellement, je n’en ai jamais vu à Budapest. Nous aussi on boit de la pálinka pourtant, et même beaucoup. Ensuite, on entre dans des conversations vraiment profondes (en tout cas c’est ce qui nous semble dans un tel moment), et puis on chante, et on pleure, et on va se coucher comme un bébé innocent. La bagarre n’est pas au programme. On ne veut pas avoir à se battre avec vous.

6. Nous aimons les touristes

Je veux vraiment le souligner. On aime quand vous venez et vous étonnez par le charme de la ville, les rues, l’architecture. On aime quand les voyageurs viennent ici et font de Budapest leur ville préférée. On aime vous voir y passer un bon moment. Mais vous devez comprendre que si vous ne nous respectez pas, on ne vous respectera pas non plus. […] Vous devez aussi comprendre que vous ne pourrissez pas seulement notre ville et notre comportement, mais aussi le séjour des voyageurs respectueux. Ce n’est ni une boite de nuit, ni un zoo.

Cordialement.

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Le Syrien accusé de terrorisme en Hongrie obtient droit à un nouveau procès

HU-LALA (Hongrie) - Thu, 15/06/2017 - 16:26

Ahmed Hamed a obtenu de la Cour d'appel l'annulation du jugement de première instance, ce jeudi à Szeged . . .

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Csepel Müvek l’industrielle : une friche d’or et de rouille

HU-LALA (Hongrie) - Thu, 15/06/2017 - 13:23
La période faste de la plus grande zone industrielle hongroise est désormais révolue. Pourtant, Csepel Müvek (CSM), situé dans le XXIe arrondissement de Budapest, demeure un lieu de vie, de travail et de débauche. Portrait poétique, humain et nostalgique d’un lieu chargé d’histoire. Cet article a été publié sur la page Facebook du Budapest Kultur Lab, sur laquelle vous pouvez retrouver toutes les productions des étudiants du master 1 de l’Institut de journalisme de Bordeaux-Aquitaine (IJBA), en immersion à Budapest du 8 au 16 mai 2017.


L’odeur âcre du métal en fusion pénètre dans les narines. Les oreilles, elles, sifflent sous la respiration d’énormes presses qui battent le métal, inlassablement, depuis 1882. Le sol de la rue Színesfém tremble. En ce samedi matin de mai 2017, Csepel Müvek, transpire, crache, halète. Au rythme des machines. Et des hommes.

«CSM n’est plus que l’ombre d’elle même»

Sur 250 hectares, s’étendent usines, entrepôts et des foyers d’ouvriers. Aujourd’hui, près de 10.000 ouvriers y vivent. Y dorment. Y travaillent. Lorsque l’Union Soviétique a réquisitionné CSM au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, près de 20.000 ouvriers travaillaient dans la zone industrielle construite par Manfred Weiss. « C’est une ville dans la ville, qui ne dort jamais vraiment, mais qui n’est plus que l’ombre d’elle même. CSM est à l’automne de sa vie. Sauf qu’à la place des feuilles mortes, on y trouve des cheminées rouillées », médite Anikó Toth, architecte. Aujourd’hui, près de 75% des usines sont désaffectées.


Le destin de la jeune femme est doublement lié à cette CSM : une thèse, soutenue en 2014 et inspirée des études du « Retina Project », sur la revalorisation de cette frange urbaine en décrépitude, ainsi qu’un père directeur d’usines spécialisées dans la conception de tubes ignifugés – 4.000 tonnes d’acier sortent chaque année de ses 5 usines. « Lorsqu’Anikó était enfant, elle venait à l’usine chaque semaine », se souvient son père. « J’adorais me perdre dans cet enfer de rouille, d’acier et d’étincelles. Ma mère pensait que j’étais folle … », acquiesce-t-elle. Un beau sourire passe sur son visage.

“J’adorais me perdre dans cet enfer de rouille, d’acier et d’étincelles”

Temps figé

Aujourd’hui, pour l’architecte, « CSM est une plaie béante dans la ville. Parce que les propriétaires d’usines n’arrivent pas à se coordonner, rien ne bouge … Alors que le potentiel de cette zone est simplement énorme » se désole Anikó. En 2016, Marcel Wanders, fameux designer à qui l’on doit notamment l’aménagement du luxueux Hyatt Hotel à Amsterdam propose le rachat de 30 bâtiments désaffectés. Il se voit opposer une fin de non-recevoir par la poignée de propriétaires concernés. Non, CSM ne bougera pas.

Déli, Désza, Központi … Les rues désertes s’étirent à perte de vue sous le ciel menaçant. Il est midi. L’heure de la pause déjeuner. Partout, la rouille. Le poids de l’histoire. Bouts de ferraille, carcasses de voitures. Objets inanimés, reliques d’un temps figé. Parfois, des notes de musiques mêlées au bruit des machines qui tire le promeneur de sa rêverie solitaire, de sa déambulation historique.

Les mille vies de Csepel Müvek

Au loin, une silhouette humaine se détache, solitaire. Derrick rentre de sa pause. Il travaille depuis 4 mois dans une usine d’engrais chimique. 600 euros par mois, 8 heures de travail chaque jour « Le travail est OK. Le plus dur, c’est l’isolement : je ne parle pas la langue, et ma famille vit toujours au Ghana ». Déjà, de sa démarche lourde, l’homme s’en va retrouver son usine, sa machine, son masque à gaz.

Quelques blocs plus loin, des notes d’acid techno – ou le bruit d’une perceuse et d’un marteau. L’atelier de Gábor Miklós, sculpteur basé à Budapest, a des allures d’arche de Noé : un loup, haut de 6 mètres, trône au fond de l’entrepôt. Son voisin ? Un hibou sombre et grave. Krisztián Kovács, ingénieur charpentier, travaille sur une gigantesque baleine de bois bleu. La sculpture ornera bientôt les bassins des 17e championnats du monde de natation à Budapest. Secret professionnel oblige, impossible de la prendre en photo

Un orage passe. Le tonnerre gronde. A l’abri d’un auvent, Attila et ses compagnons couturiers fument une clope, en silence. Première pause de la journée. Il leur reste 4 heures à tirer.

Leurs voisins ? Des potiers, dont l’atelier est noyé par les particules de terre cuite en suspension. « Mon travail est simple, presque poétique », sourit Mariska. Sculpter, polir, poncer. Ses mains caressent l’argile avec douceur.

Au hasard d’un bunker, les membres de Budapest Scene, l’organisation budapestoise de visite de lieux abandonnés, plie bagages. Quelques mots plus tard, on apprend qu’un concert de musique punk se déroule dans le bunker n°11. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les 17 bunkers ont permis de sauver la vie des 37.000 ouvriers qui travaillaient à CSM « alors que les membres de leurs familles, qui vivaient dans le centre ville, étaient menacés », explique Anikò.

Dans le dédale des couloirs sombres du bunker, les claquements de la batterie se répercutent, insolents : impossible d’en discerner l’origine. Les portes ouvertes mènent à des culs de sac. Désorientent le visiteur. Les portes scellées garderont leur secret.

Le grondement des machines s’est tu. Le jour se couche. La nuit avance. Avale les façades ternies. Et, avec elles, les mystères encore inviolés de Csepel Müvek.

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Procès en appel d’un Syrien condamné à dix ans de prison en Hongrie

HU-LALA (Hongrie) - Thu, 15/06/2017 - 07:14

Le procès en appel de Ahmed Hamed doit débuter ce jeudi 15 juin devant la Cour de Szeged, dans le sud de la Hongrie . . .

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Sur les traces de Bohumil Hrabal à la brasserie-musée de Dalešice

HU-LALA (Hongrie) - Wed, 14/06/2017 - 20:10

Visite de la brasserie-musée de Dalešice immortalisée par le film Une blonde émoustillante de Jiří Menzel (1981), adapté du roman de Bohumil Hrabal . . .

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La procédure d’infraction de l’UE est un « chantage », dénonce Budapest

HU-LALA (Hongrie) - Wed, 14/06/2017 - 17:51

Les États qui refusent de mettre en œuvre les quotas de migrants sont soumis à "un chantage pur et simple, a déclaré Péter Szijjárt . . .

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La loi sur l’affichage politique mise au placard ?

HU-LALA (Hongrie) - Wed, 14/06/2017 - 15:51

Le projet de loi du FIDESz sur les campagnes d’affichages des partis politiques a été rejeté ce mercredi matin à l’issue d’un vote extrêmement serr . . .

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La Hongrie entérine la stigmatisation des ONG

HU-LALA (Hongrie) - Tue, 13/06/2017 - 15:39

Le gouvernement nationaliste de Viktor Orbán continue de circonscrire les influences étrangères en Hongrie, jugées néfastes . . .

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Poutine assistera aux championnats du monde de Judo à Budapest

HU-LALA (Hongrie) - Tue, 13/06/2017 - 13:03

Le président russe Vladimir Poutine se rendra à la cérémonie d'ouverture des championnats du monde de judo, fin août à Budapest . . .

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La droite hongroise craint la rue et les « libéraux extrémistes »

HU-LALA (Hongrie) - Mon, 12/06/2017 - 05:32
Les éditoriaux du quotidien Magyar Idők sont toujours un bon outil pour sonder l’état d’esprit dans lequel se trouve la droite hongroise qui gouverne. Ici, le militant Márton Gyulás et les étudiants qui ont manifesté au printemps à Budapest sont traités de « libéraux de gauche extrémistes » à la solde de George Soros et accusés à demi-mots de préparer un coup d’Etat. Article d’Ottó Gajdics publié le 2 juin 2017 dans Magyar Idők. Traduit du hongrois par Paul Maddens.

Nous ne savons pas ce que Márton Gyulás veut en réalité, mais nous savons qu’il le veut pour de bon. Il y a peu, ce faiseur de « bazar » a divulgué le plan des réseaux internationaux du genre « Soros » et de ses acolytes hongrois, plan qui s’étale devant nous dans toute sa splendeur.

Il a en effet déclaré que si le gouvernement ne met pas d’eau dans son vin, ils cesseront leur coopération avec le pouvoir et Viktor Orbán devra se préparer à des blocus, des occupations de bâtiments et des chaînes humaines. Bien sûr, l’anarchiste génial a déjà trouver un nom : « l’automne chaud« , sous le signe de la non-violence.

Essayons de comprendre ce sur quoi nous pouvons compter en entendant ces déclarations. Ces libéraux de gauche extrémistes qui se tiennent derrière ces manifestations de rue d’ampleur variable mais qui irritent toujours plus le camp « national » ont compris que ces défilés accompagnés de danses et de musique, que ces fêtes destinées à faire tomber le régime, que ces manifestations pour faire tomber Orbán, n’ont pas apporté le résultat attendu.

L’envie de changer de gouvernement ne s’est pas emparée de la société, la manifestation contre la modification de la loi sur l’enseignement supérieur qui a réuni 60 000 personnes a représenté le climax, en attisant l’insatisfaction ils n’ont pas enflammé les braises révolutionnaires qui sommeille – pensent-ils – dans les couches profondes de la société.

Les partis de gouvernement dominent largement dans les récents sondages et l’actuel chef du gouvernement a toutes les chances de continuer à gouverner. [1]Allusion aux élections nationales qui auront lieu en 2018. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_1").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_1", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] }); Chez ceux qui ont la phobie d’Orbán, la situation n’est donc pas rose.

Selon le « livre des songes » des analystes politiques, dans ce cas, habituellement ils placent la barre plus haut. Quand Gyulás menace, cela ne signifie rien d’autre qu’il annonce sans scrupules la phase suivante du chambardement.

On frémit d’horreur à la pensée de ce que peut signifier dans la bouche rebelle de quelqu’un qui a été condamné en première instance à des travaux d’intérêt général pour vandalisme qu’il va mettre un terme à sa coopération avec le pouvoir.

Pour la bande de casseurs au siège du Fidesz et les gens soi-disant en colère « manœuvrant » dans le giron des policiers dans le bâtiment du Parlement, ce n’était donc qu’une répétition générale. Cela présage un sombre avenir. Et ces menaces de blocus, qui évoquent le très mauvais souvenir du « blocus des taxis » d’autrefois, ne sont pas fait pour rassurer les gens de bon sens. [2]Le « blocus des taxis » s’est déroulé peu après le changement de régime : en octobre 1990, suite à une augmentation très forte des prix de l’essence, les taxis ont bloqué la circulation à Budapest pendant 3 jours. La force du mouvement a marqué les esprits. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_2").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_2", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] });

Car il se peut que quelques milliers d’abrutis irresponsables, sexy et « dans le vent », chantent au milieu de la place Oktogon, bloquant la circulation et empêchant des gens exaspérés de rentrer chez eux. Il n’y a pas de raison que Gyulás et ceux qui sont à sa remorque et qui veulent tout mettre à terre aient le droit de placer leurs intérêts au-dessus de l’intérêt général de ceux qui veulent construire le pays.

Nous avons déjà eu un aperçu de cette « non-violence », sous la forme d’allusions répétées comme « passer par les armes  » ou  » pendre à la lanterne « , et de jets violents de peinture déjà mentionnés. N’oublions pas non plus la visite éclair d’András Fekete-Győr à la rédaction de Origo qui fut à proprement parler un précédent destiné à attiser l’envie de tout ce dont nous avons parlé chez ceux qui y sont réceptifs. [3]Origo.hu, portail d’actualités en ligne pro-gouvernemental. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_3").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_3", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] });

Il n’y a donc rien à faire, nous devons nous préparer d’ici l’automne à une campagne de haine encore plus provocante et agressive.

Les élèves de Charles Gati[4]Un historien américain d’origine hongroise réputé proche des Démocrates. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_4").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_4", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] }); qui évoque la guerre civile en tant qu’option réaliste et ceux de Saul Alinsky qui professe un radicalisme agressif ne reculeront devant rien. Pour eux, il y aura argent, destrier et armes aussi, puisque George Soros a justement fait savoir que les actions des jeunes fauteurs de trouble lui donnent beaucoup d’espoir et qu’elles sont dignes d’admiration. Ce texte a valeur d’une franche déclaration de guerre. […]

Mais le spéculateur écrit également qu’il ne suffit pas de faire confiance à l’Etat de Droit, mais qu’il faut défendre ce en quoi nous croyons.

De cela justement, nous faisons le serment et nous commençons, nous aussi, à le mettre en pratique !

Notes   [ + ]

1. ↑ Allusion aux élections nationales qui auront lieu en 2018. 2. ↑ Le « blocus des taxis » s’est déroulé peu après le changement de régime : en octobre 1990, suite à une augmentation très forte des prix de l’essence, les taxis ont bloqué la circulation à Budapest pendant 3 jours. La force du mouvement a marqué les esprits. 3. ↑ Origo.hu, portail d’actualités en ligne pro-gouvernemental. 4. ↑ Un historien américain d’origine hongroise réputé proche des Démocrates. function footnote_expand_reference_container() { jQuery("#footnote_references_container").show(); jQuery("#footnote_reference_container_collapse_button").text("-"); } function footnote_collapse_reference_container() { jQuery("#footnote_references_container").hide(); jQuery("#footnote_reference_container_collapse_button").text("+"); } function footnote_expand_collapse_reference_container() { if (jQuery("#footnote_references_container").is(":hidden")) { footnote_expand_reference_container(); } else { footnote_collapse_reference_container(); } } function footnote_moveToAnchor(p_str_TargetID) { footnote_expand_reference_container(); var l_obj_Target = jQuery("#" + p_str_TargetID); if(l_obj_Target.length) { jQuery('html, body').animate({ scrollTop: l_obj_Target.offset().top - window.innerHeight/2 }, 1000); } }
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Andorre, le cauchemar éveillé du football hongrois

HU-LALA (Hongrie) - Sun, 11/06/2017 - 20:33

La défaite de la Hongrie contre Andorre vendredi soir (1-0) suscite l’indignation des supporters. La Coupe du Monde 2018 est un rêve qui s'éloigne . . .

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Trianon, Beneš : le Fidesz souffle sur les braises de l’histoire

HU-LALA (Hongrie) - Sun, 11/06/2017 - 09:45

Le gouvernement hongrois joue la victimisation, réclame réparation pour le « diktat de Trianon » et pour l’expulsion des Magyars de Tchécoslovaquie . . .

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A Prague, dialogue de sourds entre Jean-Claude Juncker et les Tchèques

HU-LALA (Hongrie) - Fri, 09/06/2017 - 15:56

Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker presse la Tchéquie de revenir sur sa décision de ne plus accueillir de réfugiés . . .

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Budapest Brain Bar, à l’avant garde de l’innovation en Europe centrale

HU-LALA (Hongrie) - Fri, 09/06/2017 - 08:32
Depuis deux ans, Budapest Brain Bar s’impose comme LE rendez-vous « du futur » en Europe centrale. A mi-chemin entre une conférence TED et un rassemblement « tech », la troisième édition a réuni près de sept mille participants autour de débats aussi variés que la place des robots d’ici 2025, la protection de l’environnement ou encore le revenu universel de base. Tour d’horizon.

Cogitations hic et nunc sur le futur – « Nous sommes probablement face à la plus grande des révolutions du monde du travail. La robotisation sera une libération, comme lorsque ma grand-mère a reçu sa première machine à laver et s’est mise à gagner sa vie » lance Péter Árvai, co-fondateur du logiciel de présentation Prezi dans un sous-sol bondé. La scène se passe à Akvárium, la salle de concerts qui héberge le Budapest Brain Bar chaque année depuis 2015 en plein cœur de Budapest. Péter Árvai est l’un de ses invités emblématiques. L’entrepreneur d’origine hongroise, qui a fait le choix d’installer les bureaux de Prezi à Budapest – mais la firme est aussi implantée aux Etats-Unis – partage son enthousiasme sur les nouvelles technologies, Prezi Next à l’appui : « On peut désormais étudier auprès des meilleurs professeurs d’Harvard depuis son propre ordinateur. Les technologies nous aident à construire des relations plus utiles et prendre de meilleures décisions. Les robots nous libéreront des tâches inutiles et l’on pourra se concentrer sur ce qui fait sens dans nos vies », continue Árvai.

« Des intervenants comme Péter Árvai ou Dávid Vitézy (ndlr : jeune ex-directeur des transports budapestois BKK) sont stimulants. Ils tiennent des discours qu’on n’entend nulle part ailleurs », estime Gábor Kovács, trente-deux ans. Ce graphiste au sein d’une agence créative basée à Budapest, est venu pour la première fois, comme vingt-quatre de ses collègues passer trois jours sur la conférence, envoyé par son entreprise. Alex Daish a lui fait le déplacement de Londres. Avec son ami Nick, ils ont vu l’événement annoncé sur Wired, le magazine de référence des geeks et connectés. Ni une ni deux, ils ont pris leur ticket pour Budapest : « ça fait du bien de sortir de notre bulle londonienne. Budapest Brain Bar est au niveau des conférences qu’on fréquente habituellement. En plus, Budapest est une vraie découverte ! »

À Budapest Brain Bar, les conférences se suivent mais ne se ressemblent pas. Bonne pioche que l’intervention d’Albert-László Barabási, l’un des gourous en matière de réseaux, une science née en Hongrie sous l’égide des mathématiciens Erdős et Rényi. « La plupart des nœuds de réseau ont le même nombre de connections. Le modèle s’applique en biologie comme en informatique », annonce Barabási. Quarante minutes plus tard, on se sent moins ignorants sur les lois qui régissent le métabolisme cellulaire ou les piliers du monde de l’entreprise : eh oui, cet échelon provincial qui discute avec tout le monde et se charge de répandre les commérages au sein d’une entreprise ayant sollicité l’expertise du scientifique. CDFD.

Robots, cerveaux et politiciens du Fidesz

Si les robots et l’intelligence artificielle (AI en anglais) sont dans toutes les bouches, et les smartphones dans toutes les mains, les politiciens du Fidesz sont également invités à débattre. Quitte à se montrer sous un jour nouveau, oubliant presque leur portefeuille gouvernemental. Katalin Novák par exemple, secrétaire d’état à la famille du gouvernement Orbán, se retrouve à discuter dénatalité avec le rabbin hongrois Slomó Köves et Travis Reider, spécialiste en bioéthique. « L’empreinte carbone d’une famille américaine est insoutenable. Nous nous devons de faire moins d’enfants pour le futur de la planète », argumente le professeur à l’université Johns Hopkins. « L’important c’est que nous élevions notre progéniture dans le respect de l’environnement. Nous ne pouvons pas uniquement prendre en compte le facteur environnemental. Qui financera nos retraites si le taux de natalité hongrois se maintient à la baisse ? », riposte Katalin Novák.

BMW en Ali baba des données ? Séance de yoga et concerts assurent la détente entre deux brainstormings et autres conférences « sponsorisées » par KPMG ou BMW. Résultat : un contenu qui frise le promotionnel, ou au contraire s’avère intéressant. Soit BMW doit désormais jongler avec des données de diverses provenances pour mieux anticiper les comportements de ses automobilistes. La voiture n’est plus un élément de statut social et l’expérience s’est décentrée du véhicule vers le consommateur. Ok.

Google et E-stonie – Budapest Brain Bar, se sont aussi des pointures internationales, à l’instar de Greg Corrado, responsable de l’intelligence augmentée chez Google on encore Toomas Hendrik Ilves, ancien président estonien, bien connus des tweetos et promoteur du concept de nation start-up. « L’e-administration rend la vie des administrées de l’Union européenne plus vivable », expliquant comment l’Estonie et sa voisine la Finlande ont réussi à mettre en commun leur base de données en matière de santé « Cela a pris cinq ans mais ça aurait pu prendre quelques heures ! » de l’aveu de l’intervenant.

Décloisonner, la clé du succès ?

« À Brain Bar on aime décloisonner : on confronte universitaires, hommes politiques, entrepreneurs… nous ne sommes pas un événement start-up. Nous nous concentrons sur le capital humain, à travers des panels minutés propres à l’événement, par exemple un modérateur brûle les mythes autour d’un sujet, déroulés au fil du débat : Internet est-il un droit de l’homme ? Et puis le festival a aussi donné mille entrées gratuites à des écoliers et étudiants : c’est notre vrai public cible. En tout, un tiers du public vient de l’étranger et la moitié est ici pour la première fois. Cette année Brain Bar était aussi accessible en streaming », révèle Gergely Böszörményi-Nagy, initiateur de Budapest Bain Bar.

Le festival semble avoir trouvé sa vitesse de croisière. Son nombre de participants et de sponsors a plus que doublé en deux ans, quitte à devoir jouer à guichet fermé. De quoi justifier un déménagement l’an prochain. Et si les invitations pleuvent de l’étranger, Brain Bar reste dans la capitale hongroise : « Budapest fait partie du package conférence et nous voulons nous inscrire dans le paysage urbain », conclut Gergely Böszörmenyi-Nagy.

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De plus en plus de jeunes Hongrois tentés par l’émigration

HU-LALA (Hongrie) - Fri, 09/06/2017 - 07:01
La forte émigration provoque une pénurie de main-d’oeuvre qui pénalise l’économie et la société hongroise. Une récente étude de l’Institut national de démographie indique que le désir d’émigration reste fort et que celle-ci devrait se poursuivre et pourrait même s’amplifier dans les années à venir. Article de Ferenc László publié le 20 mai 2017 dans Magyar Nemzet. Traduit du hongrois par Paul Maddens.

Depuis des années, l’émigration cause de sérieux problèmes à l’économie hongroise en même temps qu’elle déchire les familles. Selon une étude de grande ampleur publiée ces jours-ci, ce processus n’a pas pris fin. Une part significative des jeunes et des personnes d’âge moyen aspire à quitter la Hongrie et beaucoup sont en train d’organiser leur installation à l’étranger. Si leurs projets deviennent réalité, c’est ainsi 370 000 personnes supplémentaires qui pourraient quitter le pays. A titre de comparaison, c’est le nombre d’habitants cumulé des deux plus grandes villes après Budapest, Debrecen et Szeged.

« 370 000 personnes supplémentaires pourraient quitter le pays », soit autant que Debrecen et Szeged cumulées.

Le nombre de ceux qui en rêve est encore plus effrayant : dans la tranche d’âge 18-40 ans, 680 000 personnes, donc une sur trois, a déjà réfléchi à poursuivre sa vie dans un autre pays. Ceci ressort d’une analyse publiée en ce moment par un maître de recherches de l’Institut de Recherches Démographiques [1]Népességtudományi Kutatóintézet (NKI) du Bureau Central de Statistiques. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_1").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_1", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] });. Irén Gödri a évalué les données d’une étude représentative réalisée sur près de 1500 personnes, elle a examiné qui veut partir de Hongrie provisoirement ou définitivement et pour quelles raisons. L’important est qu’elle a étudié les motivations non pas de ceux qui vivent à l’étranger, mais de ceux qui sont encore en Hongrie et qui aimeraient partir.

Un demi-million de Hongrois installés à l’étranger

Beaucoup vivent déjà à l’étranger : selon les données que le Magyar Nemzet a sollicité auprès des bureaux de statistiques anglais et allemands, ces deux pays ont enregistré 170 000 Hongrois il y a trois ans et ce nombre ne fait qu’augmenter depuis. Dans l’évaluation la plus sérieuse réalisée il y a quatre ans, l’Institut de Démographie situait à 335 000 le nombre de Hongrois installés à l’étranger, soit 7,4 % de la classe d’âge 18-49 ans. Cette même année, le ministère de l’Economie a livré à l’opinion publique une donnée encore plus préoccupante : György Matolcsy a estimé ce nombre à un demi-million. Or son ministère dispose des informations les plus fiables : il connaît le montant des revenus transférés en Hongrie : ils ont dépassé 1000 milliards de forints en 2015. Selon l’information la plus récente fournie par Eurostat, en janvier 2016, 410 000 vivaient à l’étranger et dans cette donnée ne figurent pas certains états tels que l’Espagne ou la France.

« Jeune, au revoir ! »

Des projets de départ plus ou moins sérieux

Rien ne montre mieux à quel point cette tendance est forte que cette recherche d’Irén Gödri, selon laquelle une personne sur cinq dans la génération des 18-40 ans affirme qu’il ne lui viendrait pas à l’esprit d’aller s’installer à l’étranger. Parmi ceux qui n’ont pas encore « joué » avec l’idée de partir, un tiers n’en exclut toutefois pas la possibilité. Parmi ceux qui réfléchissent à l’émigration, 35% ont des intentions sérieuses et 19% ont dit qu’ils avaient déjà pris leur décision.

En outre, 48% des 370 000 personnes du groupe prenant au sérieux leurs projets veulent de toute manière partir et 52% se sont déjà présentées à un emploi. 86% se sont informés des conditions de séjour et 87% sur les conditions d’emploi. 54% veulent s’installer à l’étranger dans l’année et ne comptent pas faire traîner en longueur la réalisation de cet objectif. Beaucoup sont tellement décidés qu’ils engloutissent déjà de l’argent dans leur projet : ils se forment et apprennent les langues étrangères. L’étude note qu’on peut estimer à 19% la proportion de ceux qui, très probablement, réaliseront leur projet d’émigration.

Bien sûr, il n’est pas question pour ceux qui planifient leur vie à l’étranger de quitter définitivement leur patrie : 27% s’installeraient à l’étranger pour quelques semaines, éventuellement quelques mois et 28% pour une durée de 3 à 5 ans. Par contre, 6% des personnes interrogées ont affirmé qu’ils ne reviendraient jamais vivre en Hongrie.

« Il n’est pas question pour ceux qui planifient leur vie à l’étranger de quitter définitivement leur patrie ».

Ce peut être un nouveau coup pour l’économie hongroise qui se débat déjà avec un manque de main-d’œuvre : 33% des Hongrois possédant un diplôme universitaire recherché sur le marché, 34% des ouvriers qualifiés, 55 % des personnes parlant une langue étrangère à un haut niveau envisagent de s’installer à l’étranger, même de façon temporaire. C’est un sérieux problème car les multinationales présentes dans le pays, ainsi que les petites et moyennes entreprises hongroises se plaignent de ne pas trouver de main d’œuvre formée et expérimentée et, de ce fait, sont contraintes de revoir à la baisse leur développement. Par exemple, la personne qui projette de rénover sa maison doit attendre souvent des mois que l’installateur de gaz ou le peintre ait le temps de venir.

L’Association Nationale des Industriels et Employeurs a travaillé l’an dernier sur une proposition qui, sur la base de l’exemple polonais, a suggéré l’accueil de 250 000 travailleurs étrangers. Selon l’association nationale des patrons, l’un des principaux problèmes est que l’émigration économique s’accélère, les jeunes diplômés partant à l’étranger. Un petit scandale avait été causé par le ministre de l’Economie Mihály Varga – membre d’un gouvernement faisant campagne contre les migrants et s’opposant à l’immigration – quand il avait déclaré soutenir l’idée des industriels de faire venir des travailleurs immigrés « culturellement intégrables ». Ceux qui comptent sur la reconversion d’ouvriers non-qualifiés pour compenser la main d’œuvre manquante doivent maintenant prendre en considération la nouvelle étude de l’Institut de Démographie qui montre que ces travailleurs non-qualifiés sont parmi les plus enclins à projeter de vivre à l’étranger : 32,6%…et cette proportion est de 42% chez les chômeurs.
Où aspirent à aller les hongrois âgés de 18 à 40 ans ? (Source : Bureau Central des Statistiques, KSH).

Notes   [ + ]

1. ↑ Népességtudományi Kutatóintézet (NKI) du Bureau Central de Statistiques. function footnote_expand_reference_container() { jQuery("#footnote_references_container").show(); jQuery("#footnote_reference_container_collapse_button").text("-"); } function footnote_collapse_reference_container() { jQuery("#footnote_references_container").hide(); jQuery("#footnote_reference_container_collapse_button").text("+"); } function footnote_expand_collapse_reference_container() { if (jQuery("#footnote_references_container").is(":hidden")) { footnote_expand_reference_container(); } else { footnote_collapse_reference_container(); } } function footnote_moveToAnchor(p_str_TargetID) { footnote_expand_reference_container(); var l_obj_Target = jQuery("#" + p_str_TargetID); if(l_obj_Target.length) { jQuery('html, body').animate({ scrollTop: l_obj_Target.offset().top - window.innerHeight/2 }, 1000); } }
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