Les violences conjugales ne sont guère tolérées dans l’autre rive de la méditerranéenne. La soumission des femmes est un phénomène étrange aux sociétés européennes ou les droits de la femme sont promus notamment le droit d’être protégé de son propre mari.
C’est le cas en effet d’une jeune femme ayant subie de violences physiques de la part de son mari, un jeune algérien âgée de 26 ans et installé en France. Tout a commencé le 7 novembre, lorsque la victime s’est caché dans la salle de bain pour appeler la police afin de venir la sauver.
Une fois sur les lieux, les éléments de la police ont trouvé la jeune épouse dans un état lamentable, souffrant de traces de strangulation au niveau du cou, des griffures au bras et des hématomes. Ainsi, cinq jours d’Incapacité temporaire de travail (ITT) lui ont été prescrits.
De son côté, le jeune homme a essayé de tout nié en avouant qu’il a juste bousculé son épouse qui l’avait provoqué. Pour lui, les traces de coups sont dues à une allergie. Sachant que l’accusé est un alcoolique, la victime a affirmé que le jour de l’incident, son conjoint à consommer une demi bouteille de Vodka
La victime se montre clémente, malgré les violences subiesPrésente devant le juge, la jeune femme lâche : « je ne veux pas que mon mari aille en prison ». Pire encore, elle n’a pas tenu un discours cohérent. La victime ajoute « j’ai peut-être abusé un peu ».
Le journal français Télégramme qui a rapporté l’histoire de cette malheureuse femme indique que le tribunal de Quimper dans le nord-ouest de la France a condamné, vendredi 12 novembre le jeune algérien à huit mois avec sursis pour violences conjugales et à une interdiction de contacter sa femme pendant six mois.
D’après l’avocate de la jeune épouse, Me Nassera Hajji, « la victime a fait ce qu’il fallait faire en portant plainte. Mais elle ne veut pas que son mari aille en prison ». De son côté, l’avocat du jeune algérien estime que « le condamner, c’est condamner une famille entière ».
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La veille du match RDC-Bénin comptant pour la dernière journée des qualifications pour le mondial Qatar 2022, le Président de la République Félix- Antoine Tshisekedi est allé encourager l'équipe nationale de son pays à l'hôtel du Fleuve où les léopards sont mis aux verts.
Emmanuel Ramazani Shadari, secrétaire du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) indique ce samedi que son parti a marché ce samedi 13 novembre pour dénoncer la dictature instaurée par le président Félix Tshisekedi.
Le Syndicat des enseignants du Congo (SYECO)/section du Maniema a décidé vendredi 12 novembre de suspendre le mouvement de grève déclenché le 4 octobre dernier. Le secrétaire provincial de ce syndicat, qui l'annonce à Radio Okapi, fait savoir que cette décision est consécutive à la réalisation d'une grande partie de leurs revendications par l'autorité provinciale.
Un militaire a été tué et son arme emportée lors d’une attaque des présumés Mai-Mai, qui visait une position militaire basée à Kyavinyonge, dans la chefferie de Bashu la nuit de vendredi 12 novembre. La société civile locale exprime son inquiétude face à cette situation et plaide pour un renforcement des militaires dans cette région sous état de siège.
Près de quarante personnes, hommes et femmes, présumées auteurs de l’attaque de la ville de Bukavu le 3 novembre ont été transférées à Kinshasa vendredi 12 novembre. Cette opération intervient après le séjour du vice-premier ministre et ministre de l’Intérieur et son collègue de la défense nationale à Bukavu.
Les rideaux de la 5e session de la semaine des assemblées des universités catholiques de l'Afrique de l'Ouest (UCAO) sont tombés, ce vendredi 12 novembre 2020 au siège du rectorat (Ouagadougou). La rencontre, qui avait débuté le lundi 7 novembre 2021 à Ouagadougou, s'est passée par visioconférence.
Au cours de ce rendez-vous annuel, trois instances, à savoir le conseil supérieur, le conseil d'administration et le conseil épiscopal directeur, se sont réunies en visioconférence pendant une semaine pour discuter des problèmes liés au fonctionnement desdites universités. « Nous avons échangé sur les questions relatives au bon fonctionnement de l'UCAO pour une éducation intégrale, intellectuelle et spirituelle au service de l'Eglise famille de Dieu et au service des populations de la sous-région ouest africaine », a expliqué l'archevêque de Ouagadouogou, par ailleurs chancelier des universités catholiques de l'Afrique de l'Ouest francophone, Philippe Ouédraogo.
« L'UCAO ne se porte pas mal »
Le recteur de l'UCAO, le père Augustin N'Diaye, a indiqué que les universités d'enseignement supérieur traversent pas mal de difficultés. Il a aussi précisé que l'UCAO est une université à côté d'autres universités et d'autres instituts. « Si les gens demandent à venir dans notre université, c'est qu'ils ont leurs raisons. Alors, nous en tant que responsables devons travailler à ne pas décevoir leurs attentes », a déclaré le nouveau recteur.
Certes l'éducation n'a pas de coût dit-il, mais il reconnaît que pour que la machine tourne, il faut la contribution des apprenants (frais de scolarité). « Mais il ne faudrait pas que nos institutions d'enseignement supérieur dont l'UCAO n'accueillent que ceux qui peuvent payer », a rappelé Augustin N'Diaye. Puis, d'ajouter « nos portes sont ouvertes à tout le monde ».
A la question de savoir si l'UCAO se porte bien, le recteur dira plutôt qu'« elle ne se porte pas mal et qu'elle traverse les mêmes difficultés que les autres structures d'enseignement dans les pays. » A l'entendre, les besoins de l'UCAO varient d'une unité à l'autre sinon d'un pays à l'autre. D'où l'importance de cette rencontre annuelle qui consiste à recueillir les différentes préoccupations afin de travailler à pouvoir les maintenir à flot, en équilibre.
D.A.K
Lefaso.net
Le secrétaire général du ministère de l'Energie, des mines et des carrières, le Dr Souleymane Konaté, a procédé, le vendredi 12 novembre 2021 à Ouagadougou, au lancement d'un marché solaire ouest africain, une plateforme virtuelle où seront promus les professionnels de la filière énergie solaire.
Cette initiative entre dans le cadre du programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest-Burkina Faso (PACAO-BF) dont le volet filière des services solaires est mis en œuvre par l'Agence nationale des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique (ANEREE). Selon le directeur général de l'agence, Issouf Zoungrana, le marché solaire ouest africain est une plateforme virtuelle destinée à la promotion et à la vulgarisation des produits et services de la filière solaire.
Accessible à l'adresse www.msoa.store, elle permettra « non seulement aux acteurs d'intensifier leurs ventes et développer leurs entreprises, Mais aussi elle permettra une saine compétition entre les acteurs en termes de qualité de produits et services », a affirmé le directeur général de l'ANEREE.
À en croire ce dernier, cette plateforme est également un tremplin de développement de réseaux de partenaires. « En effet, les entreprises désireuses d'exposer leurs produits et services sur cette plateforme numérique seront soumises au processus de contrôle qualité des équipements et installations, mis en place par l'ANEREE afin d'attester de leur qualité : protégeant ainsi le consommateur final », a expliqué Issouf Zoungrana.
Des défis relevés
Dans son discours, il a salué l'accompagnement financier de l'Union européenne et la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso dans le cadre du Programme d'appui à la compétitivité de l'Afrique de l'Ouest-Burkina Faso (PACAO-BF). Ce programme, foi de l'ANEREE, a permis de relever des défis de la filière, notamment en termes de structuration du secteur, de formation et de sensibilisation, de développement des entreprises du solaire, etc.
Partie prenante dans le cadre de ce programme, l'Agence nationale des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique conduit quatorze activités parmi lesquelles « l'octroi de bourses d'études aux étudiants en énergie solaire, la mise en place d'un pool d'experts pour accompagner les entreprises dans le domaine du solaire et d'un guichet projets solaires afin de soutenir les projets novateurs, la formation et la sensibilisation et la mise en place d'un incubateur. »
Comment s'inscrire sur la plateforme ?
Pour s'inscrire sur la plateforme, il faut être une personne physique ou morale
légalement constituée, exercer dans la filière solaire, commercialiser des équipements ou services solaires de qualité et s'acquitter des frais d'inscription qui s'élèvent à 25 000 FCFA.
Selon l'ANEREE, la composition du dossier d'inscription comprend une lettre adressée au directeur général de l'ANEREE avec la mention « Demande d'inscription sur la plateforme MSOA », le registre du commerce / le numéro IFU, la liste des équipements, produits et services à proposer sur le MSOA, les spécifications techniques et les origines des produits et équipements en vente, une attestation de conformité / d'éligibilité.
Lefaso.net
La population de Kirumba dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu est exemptée du paiement de toutes les taxes de l’Etat pendant quinze jours, à daté du jeudi 11 novembre. Cette décision a été prise par l’administrateur du territoire, colonel Donat Ndonda, à l’issue de la messe de levée de deuil des personnes tuées par les forces de l'ordre le weekend dernier dans cette zone.
La grande famille DIAWARA à Bobo-Dioulasso, Ouagadougou, Konio, Trounkoumbé, France, Abidjan, Ghana, Cotonou, Canada, New York
La grande famille Diallo à Tougan et à Lankoye
Markandià Diawara, chef des Diawara de Bamako et de Trounkoumbé
Dr Gaoussou Diawara à Ouagadougou
Yaya Kourouma à Dakar
Feu Mamadou Diawara à Ouagadougou
Omar Diawara et Madame à Ouagadougou
Alima Diawara à Sèma Faladjè, Bamako
Feu Kalifa Diabaté et la Veuve Maïmouna Diabaté à Hamdalaye, Bamako
Seydou Diakité et Madame à Ouagadougou
La famille Amadou Koumba SY à Bamako, Paris
Feu Baba Seydou SY à Lafiabougou, Bamako
La famille Feu Madi Keita à Badalabougou, Bamako
La famille Haidara à Baguinéda, Bamako
La famille Traoré à Bamako Coura
La famille Bodge à Quinzanbougou, Bamako
La famille Diarra à Bamako Coura
Les familles alliées, Sanou, Diallo, Tamboura, Koné, Coulibaly, Cissé et Diakité
Vous remercie de votre compassion et de votre soutien multiforme lors du décès de leur frère, père, beau-fils, beau-père, grand -père et arrière-grand-père, DIAWARA Youssouf, le jeudi 30 septembre 2021 à Bamako.
Elles vous informent qu'une veillée de prière aura lieu le jeudi 18 novembre 2021 à 19h30 mn au domicile familial à Farakan, Bobo-Dioulasso, (derrière le stade Wobi) ; suivie d'un « doua » le vendredi 19 novembre 2021 à 8h à la grande mosquée de Dioulassoba.
Unions de prière
Les laïcs catholiques et les protestants regroupés au sein du CALCC et MILAPRO et certains partis de l’opposition organisent une marche pacifique ce samedi 13 novembre à Kinshasa.