Le ministère de l'Administration territoriale a organisé un atelier régional sur les questions de coopération transfrontalière le mardi 23 novembre 2021 à Ouagadougou. Il se tiendra jusqu'au 26 novembre 2021, à Ouagadougou.
L'ouverture de l'atelier régional de revue conjointe et de planification annuelle de la mise en œuvre du Programme frontière de l'Union africaine (PFUA) et bilan des activités de la Plateforme d'échanges et de coordination sur la gestion des espaces frontaliers (PECoGEF) en Afrique de l'Ouest a eu lieu le mardi 23 novembre 2021, sous la présidence du ministre en charge de l'administration territoriale, Pengdwendé Clément Sawadogo.
Cet atelier régional a pour objectif principal de procéder à la revue des planifications bilatérales en matière de gestion des frontières en Afrique de l'Ouest et d'impulser un nouveau dynamisme à la PECoGEF.
A entendre le président de la cérémonie, les conclusions des travaux seront exploitées afin de renforcer les plans d'actions en la matière.
« Nous avons une stratégie nationale en ce qui concerne le développement des frontières et la coopération transfrontalière. Donc les conclusions pourront alimenter davantage nos actions en la matière. Elles permettront également de consolider les programmes transfrontaliers qui concernent plusieurs pays et permettra de mieux affiner les outils et de faire de meilleurs résultats au vue de l'évaluation qui sera faite du travail déjà abattu depuis ces deux dernières décennies », a expliqué le ministre en charge de l'administration territoriale, Pengdwendé Clément Sawadogo.
Selon l'ambassadeur d'Allemagne au Burkina Faso, Andreas Pfaffernoschke, cet atelier vise à renforcer la coopération transfrontalière et faire disparaître les frontières un jour, car elles ne doivent pas être là pour séparer des peuples mais plutôt pour les unifier. « Cette coopération est devenue plus importante que jamais car ce n'est pas seulement le défi économique et social, mais aussi le défi sécuritaire qui demande une coopération beaucoup plus étroite », a-t-il laissé entendre.
Il est attendu à la fin de cet atelier des reformulations de propositions pertinentes, réalistes qui permettront de trouver de nouvelles initiatives afin de renforcer la coopération transfrontalière en Afrique de l'Ouest.
L'organisation d'une conférence internationale sur la politique des frontières de l'Union africaine est prévue pour 2022.
Hanifa Koussoubé (Stagiaire)
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L'Agence nationale de sécurité des systèmes d'information (ANSSI) du Burkina a organisé un atelier pour renforcer les capacités des acteurs nationaux du cyberespace, le mardi 23 novembre 2021, à Ouagadougou, au sein de l'université virtuelle du Burkina.
L'Agence nationale de sécurité des systèmes d'information (ANSSI) entend mieux outiller ces acteurs afin de leur permettre d'assurer conséquemment le cyberespace national. Durant ces quatre jours d'échanges, les participants vont s'imprégner des mécanismes de cybersécurité en vue de trouver des parades aux éventuels risques qui surviendront dans ce domaine. Pour ce faire, ils vont aborder entre autres, les problématiques telles que le référentiel général de sécurité (RGS-BF) ; la stratégie nationale de cybersécurite (SNCS-BF) et la gestion de crise cybernétique.
« Cet atelier est le lieu pour nous de poser les bases d'une cybersécurite efficace afin de répondre à l'ambition du Burkina Faso en matière de sécurisation de son espace cybersécurité » a laissé entendre le directeur général de l'ANSSI, Michaël Guibougnan L. Folané. Selon lui, l'objectif de cet atelier est de permettre aux acteurs de l'écosystème du numérique et du monde universitaire de mieux s'approprier le RGS-BF et la SNCS-BF. Et ce, à travers le renforcement de leurs compétences dans la mise en œuvre du RGS, leurs rôles dans la mise en œuvre de la SNCS-BF. A en croire l'ANSSI, l'organisation de l'atelier rentre aussi dans le cadre de la vulgarisation des documents RGS-BF et la SNCS-BF validés en 2018 au Burkina Faso.
Avant le début des échanges entre les différents participants, deux techniciens en cybersécurité de l'ANSSI ont fait un briefing sur l'environnement du cyberespace au Burkina Faso. Le directeur en charge de la cybersécurité à l'ANSSI, Pousga Martin Kiendrébéogo, a fait une projection d'une quinzaine de minutes sur la sécurité des transactions électroniques. Dans son exposé, l'expert en cybersécurité de l'ANSSI, a fait ressortir les principales menaces des transactions électroniques, la sécurité des systèmes d'information ainsi que la règlementation internationale en la matière entre autres. Pour lui, le cyberespace national comporte des risques et cet atelier est une occasion pour préparer les acteurs à faire face au phénomène.
L'expert Amidou Sanogo aussi a relevé les mêmes défis de sécurisation du cyberespace national dans son exposé.
Qu'est-ce que la cybersécurité ?
Selon le directeur général de l'ANSSI, la cybersécurité est un néologisme désignant le rôle de l'ensemble des lois, politiques, outils, dispositifs, concepts et mécanismes de sécurité, méthodes de gestion des risques. Elle résume aussi l'ensemble des actions, formations, bonnes pratiques et technologies qui peuvent être utilisées pour protéger les personnes et les actifs informatiques matériels et immatériels des états et des organisations.
Les participants viennent des différents ministères et des institutions publiques et privées.
Serge Ika Ky (Stagiaire)
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La Société burkinabè de la médecine du travail (So-BuMet) organise, du 25 au 27 novembre 2021 à Ouagadougou, un colloque international sur la médecine du travail. Près de 250 congressistes viendront d'Afrique et d'Europe pour cette grand-messe sur la médecine du travail. L'information a été donnée par la présidente de la So-BuMet, Pr Marthe Sandrine Lompo.
La médecine du travail est un domaine relativement nouveau dans nos contrées alors que son objet est d'une grande importance. Pour contribuer à promouvoir la santé et la sécurité au travail, la Société burkinabè de la médecine du travail organise, du 25 au 27 novembre 2021 à Ouagadougou, une rencontre internationale sur la thématique.
Premier du genre, le congrès va s'intéresser à la sécurité du travail en période de crise sanitaire. « Sécurité, santé au travail et environnement en Afrique : défis et perspectives en contexte de crise sanitaire », tel est le thème de la grand-messe de la médecine du travail.
« Le choix de ce thème se justifie par le fait que, des crises sanitaires dont la plus récente, la Covid 19, ont durement secoué les économies de nos pays, et ont fait naître de nouvelles formes de travail (je cite le télétravail), et de nouveaux risques pour les travailleurs », a expliqué Pr Lompo.
Près de 250 congressistes venant d'Afrique et d'Europe sont attendus à Ouagadougou pour réfléchir sur la problématique. Pendant les trois jours, ils vont se pencher sur diverses thématiques à travers des conférences, des tables rondes, des communications orales et affichées et des ateliers thématiques.
Des stands seront également érigés pour contribuer à faire connaître la médecine du travail, les acteurs qui y interviennent. Il est aussi prévu une campagne de vaccination contre le covid-19 pour ceux qui désirent se protéger contre la maladie à coronavirus.
Le premier congrès sur la médecine du travail se tient dans un contexte sécuritaire difficile marqué par des actions terroristes sur le sol burkinabè. Pour la sécurité des congressistes, Pr Lompo et ses collaborateurs vont prendre les dispositions nécessaires avec l'appui des forces de défense et de sécurité.
Au sortir de cette rencontre, les organisateurs espèrent que les entreprises aient une meilleure compréhension des enjeux de la préservation du capital humain, et ce, à travers des actions de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Ils s'attendent aussi à ce que les professionnels de la santé au travail aient un renforcement de leurs compétences et que dans le contexte sanitaire actuel, avec la campagne de vaccination, ils puissent contribuer au renforcement de la prévention du covid-19 en milieu de travail, et partant, au Burkina Faso. Cette rencontre internationale va certainement permettre de valoriser et de promouvoir la médecine du travail au profit des travailleurs au Burkina Faso.
Jacques Théodore Balima
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La direction régionale en charge du travail et de la protection sociale de la Boucle du Mouhoun, en collaboration avec la Coordination nationale des associations d'enfants et jeunes travailleurs du Burkina (CN/AEJTB), a organisé un atelier de validation du plan d'action régional de lutte contre les pires formes de travail des enfants ce mardi 23 novembre 2021 à Dédougou. Le plan d'action couvre la période de 2021 à 2023.
Le plan d'action triennal de lutte contre les pires formes de travail des enfants dans la Boucle du Mouhoun a été validé, lors d'un atelier, le mardi 23 novembre 2021 à Dédougou. cet atelier de validation entre dans le cadre du programme intégré d'actions de prévention du travail des enfants dans les chaînes de valeur du coton, du textile et de l'habillement, à travers le renforcement des capacités des parties prenantes au niveau des zones productrices de coton. Cette action est une composante du projet CLEAR Cotton « Elimination du travail des enfants et du travail forcé dans les chaînes de valeur du coton, du textile et de l'habillement : une approche intégré », cofinancé par l'Union européenne et mise en œuvre par l'OIT, en collaboration avec la FAO.
L'objectif de ce plan d'action régional est de réduire le travail des enfants, notamment ses pires formes, dans la Boucle du Mouhoun de 10 points de pourcentage d'ici 2023. Il va s'agir non seulement de mettre à la disposition des partenaires sociaux, techniques et financiers un outil organisé et planifié pour une meilleure intervention en matière de lutte contre le travail des enfants, mais aussi de renforcer la prévention du travail des enfants à travers la formation, la sensibilisation des acteurs ainsi que des sorties de contrôle. Avec un coût total de mise en œuvre de 36 225 000 FCFA, ce plan d'action comprend trois principaux axes à savoir la prévention, la protection et le pilotage.
Pour le directeur régional du travail et de la protection sociale de la Boucle du Mouhoun, Moussa Traoré, ce plan d'action a été élaboré grâce à l'appui technique de la direction de la lutte contre le travail des enfants, la CN/AEJTB et CLEAR Cotton. A l'en croire, la mise en œuvre de ce document, qui est une feuille de route opérationnelle, un guide, un référentiel pour sa direction, ne va pas tarder. Des dispositions seront prises pour un démarrage effectif dès cette année. « Ce document va permettre non seulement à la direction de renforcer sa lutte contre les PFTE dans la région mais aussi d'avoir des partenaires financiers puisque c'est un document assez cohérent », a-t-il dit.
A l'écouter, après la mise en œuvre du premier plan, il y a eu des résultats positifs car il y a une prise de conscience. Malheureusement, les crises sanitaire et sécuritaire ont contribuées à annihiler les résultats engrangés par le premier plan. « À travers le nouveau plan, nous allons réadapter nos actions en tenant compte de ce contexte de crise sanitaire et sécuritaire », a déclaré le directeur régional.
Selon le coordonnateur national des Associations d'enfants et jeunes travailleurs du Burkina (CN/AEJTB), Claude François Ouédraogo, son association, dans sa lutte contre le travail des enfants, contribue à la formation des enfants, leur insertion scolaire et socio-professionnelle. A l'en croire la CN/AEJTB travaille avec des partenaires comme CLEAR Cotton du projet BIT pour accompagner toute les initiatives qui tendent vraiment à protéger les enfants au Burkina Faso. « C'est dans ce sens que nous avons voulu aussi accompagner l'élaboration du plan d'action régional de la Boucle du Mouhoun pour contribuer efficacement à la prise en charge, à la protection des enfants qui sont victimes d'exploitation dans les champs de coton et dans les sites d'orpaillages », a-t-il expliqué.
Selon le directeur de la lutte contre le travail des enfants, représentant le ministre en charge du travail et de la protection sociale, Isso Bazié, cet atelier s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre les PFTE adopté en mai 2019. Cette stratégie est un référentiel permettant aux acteurs régionaux de planifier leurs plans de riposte contre les pires formes de travail des enfants tout en s'inscrivant dans les sillons tracés par ladite stratégie.
C'est dans cette lancée que la direction régionale en charge du travail de la Boucle du Mouhoun a initié l'élaboration de son deuxième plan régional de lutte contre les pires formes de travail des enfants. Pour ce faire, Isso Bazié a appelé à un renforcement de la coopération et du partenariat au niveau régional entre structures déconcentrées en vue de mettre un terme au phénomène des PFTE dans les sites d'orpaillages et dans l'agriculture. « Ni la crise sanitaire, ni la crise sécuritaire ne doivent nous échiner dans notre élan. Sauvons l'avenir de nos enfants. Nous le leur avons promis », a-t-il lancé aux participants.
Yipénè NEBIE
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Une délégation conjointe gouvernement provincial, Société civile et MONUSCO séjourne à Shabunda depuis lundi 22 novembre pour préparer un dialogue intercommunautaire qui doit commencer dans les prochains jours.
Ce dialogue a été initié à la suite d’une recrudescence des conflits et des tensions entre les communautés locales dans le territoire de Shabunda, a indiqué, le président du cadre de concertation provincial de la société civile, Zozo Sakali.
Le député national John Banza Lunda a déposé mardi 23 novembre à l’Assemblée nationale, une question orale avec débat adressée au ministre de la Défense nationale
Dans une déclaration à Radio Okapi ce mercredi 24 novembre, l’élu du territoire de Kalemie s’inquiète de la dégradation de la situation sécuritaire dans la province du Tanganyika notamment dans les territoires de Nyunzu et de Kalemie.
Le gouverneur de la province du Kasaï, Dieudonné Pieme a déclaré ce mercredi 24 novembre l’épidémie de la fièvre jaune dans la zone de santé de Bulape, à Mweka.
Dieudonné Pieme a indiqué que l’épidémie est déclarée à la suite des résultats des prélèvements sur une personne qui présentait des signes de la maladie.
La fièvre jaune se transmet par une piqure de moustique.
Une délégation composée des présidents de l’Assemblée nationale, Mboso Nkodia et du Sénat, Modeste Bahati, du Premier ministre Sama Lukonde ainsi que du conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, François Beya ont rencontré l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Fridolin Ambongo mardi 23 novembre dans la soirée.
« La RDC se positionne de plus en plus comme pays solution dans la transition écologique et énergétique et se donne l’ambition aujourd’hui d’être le leader mondial dans la production des précurseurs des batteries électriques et, partant, des voitures électriques ».
Ces propos sont du ministre de l’Industrie, Julien Paluku à l’occasion de l’ouverture de la DRC Africa Business Forum ce mercredi 24 novembre à Kinshasa.
Des sources judiciaires ont annoncé mercredi 24 novembre à Radio Okapi que "le dossier BGFI BANK de plus de 43 millions dollars illicitement logés au compte de la société privée Égal avec l'implication de plusieurs ministres est déjà en instruction pré-juridictionnelle.’’
La transition malienne connaît une nouvelle donne avec le report, pour une deuxième fois, des "assises nationales de la refondation". Ces rencontres de "larges concertations" qui devaient démarrer le mardi 23 novembre 2021 étaient appelées à donner une sorte de feuille de route au Mali, dont la fixation de la date des élections sur lesquelles, la communauté internationale attend impatiemment la junte.
L'organe en charge d'organiser ces assises a, pour justifier le report, présenté "la nécessité de trouver le consensus le plus large possible pour une participation la plus inclusive » ; ces assises ne rencontrant pas l'assentiment de certains partis politiques et organisations de la société civile. "Le coût de son organisation et le fait que des concertations nationales ont déjà eu lieu ces dernières années sont les principaux griefs à l'encontre de ces assises", apprend-on.
Ces assises sont censées préparer les grandes réformes politiques et institutionnelles du pays, dont celles de la Constitution, mais aussi établir des recommandations prenant en compte les préoccupations des Maliens.
On se souvient qu'en visite au Mali, en octobre 2021, une délégation de l'ONU s'était entretenue avec les responsables de la junte, qui lui a fait savoir qu'elle souhaite l'organisation des assises nationales avant de fixer les élections.
Avec ce nouveau report, c'est certainement l'espoir de voir disponibiliser un calendrier électoral qui prend un coup.
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« L'hebdomadaire conseil des ministres se tiendra le jeudi 25 novembre 2021 à partir de 9h ». C'est l'information qu'on peut lire sur la page facebook du Service d'information du gouvernement (SIG), ce mercredi 24 novembre 2021.
Ce conseil des ministres est le troisième rendez-vous de la semaine à connaître un report ou une annulation pure et simple. La séance plénière consacrée aux questions au gouvernement sur la situation sécuritaire, initialement prévue pour se tenir ce mardi 23 novembre 2021, est reportée au vendredi 26 novembre 2021 à 16 heures.
Le président du Faso, Roch Kaboré, devrait rencontrer les notabilités coutumières le mardi 23 mais cette rencontre a été annulée.
Signalons que depuis la nuit du samedi 20 novembre 2021, les Burkinabè sont privés de la connexion internet mobile. Cette situation cause une vague d'indignation de plusieurs couches sociales.
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Deux positions des Forces armées de la RDC ont été la cible d’attaque des combattants Maï-Maï le 23 et 24 novembre dans le territoire de Butembo et à la chefferie de Bashu dans le territoire voisin de Beni (Nord-Kivu).
"Les indicateurs en rapport avec les droits des enfants sont au rouge dans la province du Maniema", a révélé mardi 23 novembre à Kindu la cheffe de la division du genre, famille et enfant, Régine Kapunga, à l'occasion du lancement officiel des activités du mois dédié à l'enfant.
Plusieurs raisons, a-t-elle indiqué, expliquent cette situation notamment, le mariage précoce, l'utilisation des enfants dans les mines et la consommation des boissons alcoolisées par des mineurs.
Cinquante-deux familles des jeunes filles et garçons affectés par les conflits armés ont bénéficié d’une assistance en vivres et non-vivres de l’organisation Gingando Pela Paz-RDC.
Cette structure encadre près de 700 jeunes à travers le sport de la Capoeira Sociale.
Selon le coordinateur de cette organisation, Flávio Saudade, cette aide vise à répondre aux besoins urgents de ces familles qui ont été en plus affectées par l’éruption du volcan Nyiragongo de mai dernier.
La société nationale d'électricité (SNEL)/Maniema lance un SOS aux autorités nationales et provinciales pour relancer son fonctionnement efficient.
Le chef du centre de distribution régional du Maniema, lngénieur Edouard Mulamba, qui a lancé ce SOS, mardi 23 novembre sur Radio Okapi, a indiqué que "l'électricité est un vecteur de développement, mais au Maniema, la SNEL n’assure pas un fonctionnement qui puisse garantir un tel résultat".