L'adjudant-chef Alizeta Kinda, point focal pour les questions de genre au sein de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) a été distinguée femme policière de l'année des Nations unies.
Ce prix vise à reconnaître et à récompenser les contributions "exceptionnelles" des femmes policières dans les opérations de paix à l'ONU.
La Burkinabè recevra son prix lors du troisième Sommet des chefs de police des Nations unies (UNCOPS), qui se tiendra du 31 août au 1er septembre 2022 au siège des Nations unies.
Grâce aux efforts de l'adjudant-chef Alizeta Kinda, un plus grand nombre de victimes de violences sexuelles et de violences basées sur le genre ont signalé leur cas aux autorités locales et reçoivent des soins médicaux.
Elle incarne, selon ses supérieurs hiérarchiques, le service de police représentatif, plus efficace et mieux équipé pour servir et protéger les populations. C'est tout cela qui a valu sa distinction par sa hiérarchie.
Elle espère que cette distinction suscitera auprès des femmes et des jeunes filles du monde entier, l'envie d'embrasser une carrière dans la police, malgré les stéréotypes associés souvent à cette profession.
Lefaso.net
Source : MINUSMA
Le Premier ministre, Albert Ouédraogo, a entamé ce lundi 29 août 2022 dans la matinée, l'évaluation des contrats d'objectifs des membres de son Gouvernement. Cette évaluation porte sur la mise en œuvre des programmations annuelles 2022 des contrats d'objectifs des ministres, à la date du 30 juin.
Dans la logique de la gestion axée sur le résultat, le chef du Gouvernement, Albert Ouédraogo, a assigné à chaque ministre, un contrat d'objectifs, axé sur les priorités stratégiques de la Transition. Le niveau d'atteinte desdits objectifs doit être périodiquement évalué, afin de garantir la réalisation des fortes attentes des Burkinabè et, au besoin, tirer des enseignements, afin de donner des orientations pour une exécution efficace et efficiente des contrats.
Ainsi, ce lundi 29 août 2022 à la Primature, quatre ministres seront soumis à cet examen d'évaluation de performance : il s'agit du Ministre des Transports, de la Mobilité Urbaine et de la Sécurité Routière (MTMUSR)), Monsieur Mahamoudou Zampaligré, du Ministre de l'Agriculture, des Ressources Animales et Halieutiques (MARAH), Delwendé Innocent Kiba, du Ministre du Développement Industriel, du Commerce, de l'Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises (MDICAPME), Abdoulaye Tall et du Ministre de l'Education Nationale, de l'Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales (MENAPLN), Lionel Bilgo.
De façon spécifique, cet exercice va permettre de présenter la situation d'exécution semestrielle du contrat d'objectifs de chaque ministre ; d'apprécier l'exécution semestrielle du contrat d'objectifs de chaque ministre ; d'échanger sur l'état d'avancement de la réalisation des actions, les difficultés et les perspectives de mise en œuvre des contrats et de donner des orientations pour une mise en œuvre réussie des contrats d'objectifs des ministres. Jusqu'au vendredi 02 septembre prochain, vingt-trois (23) ministres au total, défileront à la Primature, pour être évalués.
A noter que l'évaluation est un exercice qui se déroule entre le Premier ministre et chaque membre du Gouvernement. Elle est assortie d'un rapport soumis à l'appréciation du Président du Faso.
DCRP/Primature
Le gouverneur de la région du Centre-sud, Yvette Nacoulma/Sanou, en compagnie des directeurs généraux de Wendkuni Bank International, et de Télécel Faso, Boris Compaoré, a présidé la première édition de plantation d'arbres dans la ville de Kombissiri, chef-lieu de la province du Bazèga ce samedi 27 août 2022. Une initiative de Wendkuni Bank International (WBI) tenue dans le cadre de ses activités citoyennes et également dans le but de se conformer au mot d'ordre de la journée nationale de l'arbre, édition 2022.
« Qui plante un arbre a vécu utile ». C'est à travers ce slogan que Wendkuni Bank International (WBI) a justifié son premier acte qu'est la plantation d'arbres. Ce baptême de feu en matière de reverdissement qui s'est tenu dans la ville de Kombissiri, chef-lieu de la province du Bazèga, a drainé du monde. Venus des différentes sociétés du groupe Planor Africa, dont WBI, les initiateurs se sont joints aux populations de la localité pour contribuer à leur manière à ce reboisement.
Fils de la localité, qui mieux que lui (le président du groupe Planor Africa, Apollinaire Compaoré) pour reverdir la ville qui l'a vu naître.
Une première initiative de reverdissement qui doit se poursuivre sur les autres localités dans les éditions à venir, selon la directrice générale de WBI, Jeanne Marie Christine Tani/Ilboudo.
Le gouverneur de la région du Centre-sud, Yvette Nacoulma/Sanou , a qualifié cette initiative « d'engagement citoyen et patriotique » ; Elle a fait savoir qu'elle répondait aussi au mot d'ordre de la 4e édition de la journée nationale de l'arbre. « Nous savons que c'est une banque et qui parle de banque, parle de profit, mais indépendamment, on voit qu'il y a une responsabilité sociale au sein de cette entreprise et c'est ce qui devrait être fait au niveau de chaque entreprise qui se crée au Burkina », a-t-elle lancé.
Par ailleurs, cette activité, qui est inscrite dans la politique globale de la banque, selon la directrice générale, permet de contribuer à la régénération du couvert végétal, à lutter contre le dérèglement climatique et permettre à la population de Kombissiri, notamment les élèves, d'avoir des arbres qui produisent de l'ombre sous lesquels ils pourront s'abriter pour réviser leurs leçons. Marie Christine Tani/Ilboudo a en outre saisi l'occasion pour lancer un appel à la population en l'invitant à planter un arbre dans le but de contribuer à la régénération du couvert végétal et à lutter contre la déforestation.
Un élément de transmission
Cette première édition de plantation d'arbres initiée par WBI a été placée sous le parrainage du patron du groupe Planor Africa, Apollinaire Compaoré, représenté par le directeur général de Télécel Faso, Boris Compaoré. Et son message au cours de cette cérémonie a été de parler de l'importance du reboisement pour un pays comme le Burkina Faso. Parce que, dit-il, en tant que pays sahélien et il fait face aux enjeux climatiques difficiles et à la désertification.
C'est pourquoi, planter un arbre dans ces conditions est une chose à valoriser du fait que nous sommes environ 20 millions d'habitants et si chaque Burkinabè plante un arbre, nous aurons 20 millions d'arbres et cela fera grand-chose. « Les arbres sont aussi des éléments de transmission, parce qu'un arbre peut être centenaire et tous les arbres que nous plantons aujourd'hui dans ce lieu symbolique qu'est ce centre de savoir, sont des arbres qui vont perdurer pendant longtemps et ils seront comme un pacte entre les générations. Il faut aussi voir l'arbre comme un outil de cohésion et de transmission intergénérationnel », a-t-il enseigné.
Quant à l'entretien de ces arbres, l'école bénéficiaire, à travers son premier responsable, Abbé Herman Ouédraogo, s'est engagée à le faire en impliquant les élèves. Tout en remerciant la banque pour le choix porté sur son établissement. « Parce qu'il faut dire que notre établissement est un établissement bébé. Nous venons de faire la réception au mois de juillet et il sera ouvert au cours de cette année scolaire 2022-2023. Le fait d'avoir bénéficié de cet acte est une bonne chose et nous comptons organiser et impliquer chaque élève pour l'entretien de ces arbres, parce qu'une chose est de planter et une autre chose est d'entretenir », a expliqué le premier responsable de l'école.
Le curé de la paroisse Saint Joseph a aussi fait une doléance au donateur. Il lui a demandé de les aider à avoir la ressource eau, à savoir un château d'eau pour faciliter l'entretien de ces arbres.
Yvette Zongo
Lefaso.net
Des hommes armés non autrement identifiés ont abattu, dimanche 29 aout, deux personnes et incendié 5 maisons à Mbudi Koko à près de 130 Km de la cité de Kwamouth (Maï-Ndombe).
Des sources sur place attribuent ce drame au conflit ethnique qui oppose les Teke et les Yaka dans cette partie du pays.
Ces personnes sont tuées au lendemain du séjour de la gouverneure de Maï-Ndombe, Rita BIola et du ministre de l’Intérieur, Daniel Aselo dans ce coin du pays.
Le Conseil urbain de la jeunesse de Beni (Nord-Kivu) a exhorté, dimanche 28 aout, les jeunes de cette ville à contribuer au retour de la paix dans cette contrée.
Cette structure a fait cette exhortation au cours de la première édition du Festival Tumaïni.
Les Forces armées nationales ont mené des offensives contre des positions de groupes armés terroristes dans les régions de l'Est et du Sahel, nous apprend ce communiqué de l'état-major général des armées (EMGA).
Les opérations ont eu lieu le dimanche 28 août 2022. Les Forces spéciales, appuyées par l'Armée de l'Air, ont lancé un assaut sur une base terroriste située près de la localité du Soam, province du Gourma, région de l'Est.
Au moins dix terroristes ont été neutralisés et la base complètement détruite. Des moyens roulants, de communication et du matériel de campement ont été récupérés. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée côté FDS.
Dans la même journée, une opération du détachement militaire de Sebba a permis de démanteler deux bases terroristes et neutraliser au moins 18 terroristes et récupérer du matériel. Malheureusement un soldat est tombé au cours de ces combats.
L'EMGA s'incline devant la mémoire du soldat tombé et présente ses condoléances à la famille et à ses proches.
Il salue l'action "audacieuse" des Forces terrestres et aériennes et félicite les éléments pour les résultats obtenus.
Lefaso.net
Ouédraogo Habibou était employée dans une buvette de la place dans la ville de Ouagadougou. Elle a été assassinée dans la nuit du 25 au 26 juillet 2022, alors qu'elle revenait de son boulot. Le présumé auteur, un ex-vigile, a été arrêté par la Police Nationale, suite aux investigations de la Brigade de Recherches du Commissariat de Police de l'Arrondissement de Sig-Noghin.
Il ressort de l'audition de ce dernier qu'il aurait commis les faits de façon accidentelle. En effet et selon lui, tout a commencé suite à une rupture de leur relation.
Après que la victime l'ai informé téléphoniquement de sa volonté de mettre définitivement fin à leur relation, il aurait décidé de la rencontrer sur le chemin de retour de son travail, dans le but de se réconcilier. Et face au refus catégorique de celle-ci, il lui aurait infligé un coup de poing qui a occasionné sa mort.
Il affirme également avoir abandonné le corps sur place et emporté entre autres le téléphone portable de la victime.
Les enquêteurs de la Police ont réussi à appréhender le présumé meurtrier de la défunte Habibou et le conduire devant les autorités judiciaires.
Tout en remerciant la population pour la collaboration indéfectible dans la réussite de ses missions, la Police nationale lui réitère, par ailleurs, son invite à toujours signaler les cas suspects à travers les numéros verts que sont les 17, 16 et 1010.
Lefaso.net
Source : Police nationale
La Coalition des organisations de la société civile et des syndicats de la région du Sahel a organisé, le samedi 27 août à Dori, une marche pacifique pour réclamer plus de sécurité et de meilleures conditions de vie.
Partis du rond-point Arba-Diallo, les manifestants, munis de pancartes, ont arpenté les artères de la ville jusqu'au gouvernorat de Dori. Pour les marcheurs, la situation sécuritaire et humanitaire dans la région du Sahel connaît une forte dégradation ces dernières semaines. Plusieurs villes, voire des provinces, sont entièrement sous blocus terroriste.
Dans ces localités, les populations ne doivent leur survie qu'a des convois irréguliers et à l'aide des Organisations non-gouvernementales (ONG). Dori, chef-lieu de la région du Sahel, manque constamment de carburant, d'électricité et d'eau.
A la fin de la marche, le gouverneur a proposé de recevoir la plateforme revendicative des manifestants adressée au président du Faso, dans la salle du gouvernorat. Regroupée dans la cour, la délégation des marcheurs, une vingtaine de personnes, a refusé la proposition du gouverneur et a rebroussé chemin sans remettre la lettre de protestation.
« Nous sommes venus pour adresser un mot au chef de l'Etat par rapport à la détérioration du climat sécuritaire et humanitaire dans la région du Sahel. Nous sommes dans une région complètement délaissée et les autorités n'ont aucun œil sur ce qui se passe. Tout manque dans la région du Sahel et nous sommes venus pour dire cela à l'autorité. Malheureusement, le gouverneur ne nous a pas reçus afin de transmettre nos doléances aux plus hautes autorités », s'est indigné Yahaya Dicko, coordonnateur de la marche.
Quant au gouverneur de la région du Sahel, il a répliqué que ce sont les manifestants qui ont refusé de venir sur la table d'échanges. « J'ai toujours été à l'écoute de chaque personne, de tout groupe, de toute la population. J'ai toujours tenu un dialogue franc avec toute la population depuis ma nomination à la tête de la région du Sahel (…). Pour une recherche de solution, c'est inadéquat qu'une autorité se limite à la porte et recevoir une enveloppe sans échanger avec les acteurs. Aujourd'hui, c'est le dernier samedi du mois. Conformément à la recommandation du chef de l'Etat, je devais être à un lieu d'opération mana-mana. J'ai dû stopper toute activité pour les attendre au bureau. Si je suis resté pour les attendre, c'est que j'ai pris la question sécuritaire au sérieux. Je les ai invités à s'asseoir. Comme toute personne qui entre chez quelqu'un, tu lui dois du respect. A mon avis, il ne faudrait pas que quelqu'un me dise que je ne les ai pas reçus. Ils ont refusé d'échanger avec le gouverneur. Ce sont eux qui ont refusé de jouer leur partition ; ce n'est pas moi », a expliqué Rodolphe Fabien Sorgho à la presse.
Notons que la plateforme revendicative des manifestants porte entre autres sur le ravitaillement régulier des zones à hauts défis sécuritaires, la facilitation de l'accès aux produits de première nécessité, la facilitation de la libre circulation des personnes et des biens sur l'axe Dori-Kaya, la levée de l'interdiction de circuler de certains types d'engins motorisés à l'intérieur des chefs-lieux de province de la région du Sahel.
Daoula Bagnon
Correspondant à Dori
Quatorze personnes dont douze civils et deux soldats des FARDC ont été tués dans une double attaque des combattants de la CODECO, samedi 27 aout et dimanche 28 aout dans la matinée, à Lodjo, une localité du territoire de Djugu, à environ 100 km au Nord de Bunia (Ituri).
Ces hommes armés ont envahi cette localité en tirant des coups de feu.
Au moins huit (08) combattants du groupe armé Union des Patriotes pour la Défense des Innocents (UPDI) ont été remis à la section, Désarmement, démobilisation, rapatriement, réintégration et réinstallation des groupes armés (DDRRR) de la MONUSCO en présence des responsables des Forces armées de la RDC (FARDC) à Kanyabayonga, dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu).
Sous réserve des résultats des visites médicales, les candidats au concours direct de recrutement de mille deux cent cinquante (1250) Élèves Sous-officiers de Gendarmerie session 2022 (1210 garçons et 40 filles) dont les noms suivent, sont déclarés admissibles à l'issue des épreuves écrites.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire(ESU) a décidé de rouvrir la faculté de médecine de l’Université de Bandundu (UNIBAND) qui était fermée depuis près d’une année pour non-viabilité.
L’annonce de cette réouverture a été faite au cours d’une conférence de presse, samedi 27 aout à Bandundu, par le recteur de ladite institution, le professeur Guy Nkayilila.
De retour de la 8è Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD) tenue du 27 au 28 aout à Tunis (Tunisie), le ministre congolais du Plan, Christian Mwando a plaidé pour la relance de l’agriculture.
Il a fait ce plaidoyer dans un entretien accordé, dimanche 28 aout à Radio Okapi.
Le gouvernement provincial du Kongo-Central lance, dès cette année 2022, une bourse provinciale d'études universitaires.
Le gouverneur de cette province, Guy Bandu Ndungidi l’a annoncé dans un communiqué de presse signé samedi 27 aout à Matadi.
Le chef de secteur de Beia, dans le territoire de Pangi (Maniema), Jules Swedi a remis, samedi 27 aout, des fournitures scolaires à environ 84 écoles primaires de son entité.
Ce matériel, acheté grâce aux revenus de cette entité territoriale, est constitué entre autres des boîtes de craies, de stylos et de cahiers pouvant leur faciliter le démarrage des cours au premier mois de la rentrée scolaire 2022-2023.
Ancien cadre de l'ex-parti au pouvoir, le MPP (Mouvement du peuple pour le progrès), ancien ministre de la santé, puis ministre en charge de le jeunesse, Smaïla Ouédraogo, a lancé, le samedi, 27 août 2022 à Ouagadougou, son parti politique. Dénommé « Les démocrates », le parti a pour idéologie, le « socialisme pragmatique et endogène ».
Nouveau-né politique certes, mais composé de vétérans de la vie politique burkinabè (voir intégralité de la liste au bas de l'article). Entre autres de Zalissa Koumaré, démissionnaire du Nouveau Temps pour la démocratie (NTD), dont elle était jusqu'à la mi-juillet 2022, la secrétaire générale et actuelle directrice générale du Centre de contrôle des véhicules automobiles (CCVA), et Dr Urbain Yaméogo.
Sitôt né, le parti « Les démocrates » a affiché ses ambitions par les propos de son premier responsable, Pr Smaïla Ouédraogo : « Notre génération va s'assumer ! ».
Pour cela, le parti se donne pour mot d'ordre de « remporter victorieusement les prochaines batailles électorales ». L'ancien ministre Smaïla Ouédraogo appelle, de ce fait, ses camarades à la collégialité, la sincérité, la courtoisie et à l'esprit de sacrifice.
« C'est cela et seulement à cette condition que notre peuple sera fier de nous, les politiques. (…). Nos adversaires sont entre autres le sous-développement de notre pays, les défaillances à tous les niveaux, les états d'insatisfaction de notre peuple. Notre parti, dans la quête du bonheur de notre peuple, est prêt pour aller loin du confort douillet d'une vie familiale cloisonnée ! Il s'agira pour nous de regarder sans complexe notre histoire, l'examiner, la questionner sans complaisance, l'assumer dans ses faiblesses et ses forces, pour ensemble construire un pays apaisé qui envisage sereinement son développement économique et social, sa place dignement assumée dans le concert des nations. N'oublions jamais que nous avons à conformer nos dires et nos actes pour faire de notre parti, un parti de type nouveau ! », a prononcé Pr Smaïla Ouédraogo au sortir de l'assemblée générale constitutive du parti.
Le président de « Les démocrates » a déclaré, dans son discours devant les nombreux partisans et invités, que le Burkina « est et restera un et indivisible, riche de ses diversités humaines avec une soixantaine d'ethnies ».
Le parti « Les démocrates » a pour idéologie le « socialisme pragmatique et endogène » et « Liberté et Progrès » pour devise.
O.L
Lefaso.net