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Afrique

En Algérie, une banque de l’habitat pour quoi faire ?

Jeune Afrique / Finance - Wed, 18/01/2023 - 15:11
Cette nouvelle banque publique est censée décharger le Trésor du coût de la politique immobilière. Mais l’environnement réglementaire et institutionnel restent confus.
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CHAN-Algérie 2022 : controverse entre les ministères de Finances et de Sports au sujet de la prime des Léopards A’

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 14:41


Le ministère de Sport et des Finances ne s’accordent pas sur le dossier de primes de joueurs. Dans un communiqué rendu public le 14 janvier, le ministre de Finances indique que les primes et frais d’hébergement de joueurs et du staff technique sont bel et bien décaissés depuis vendredi 13 janvier.


Ce communiqué, signé par le directeur de cabinet du ministre de Finances, Bertin Mawaka Lubembo, précise :

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Marche contre l’EAC à Goma : 2 journalistes interpellés, 3 autres blessés

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 14:24


Deux journalistes et les six militants interpellés par la police lors de la marche des mouvements citoyens, interdite par le maire de Goma, ont été libérés après 3 heures de détention au bureau de l’inspection provinciale de la police.  


Freddy Ruvunangiza, correspondantde la Prunellerdc.info, et Justin Kabumba, de France 24 à Goma, déclarent avoir été brutalisés et menacés verbalement par les éléments de la police.

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CHAN-Algérie 2022 : RDC vs Côte d’Ivoire, un match de survie pour les Eléphants

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 13:56


La deuxième journée se poursuit ce mercredi 18 janvier 2023 avec deux matchs du groupe B, RDC vs Cote d’Ivoire à 17h00 et Sénégal Ouganda à 20h00 au stade du 19 mai 1956. La RDC joue doit sortir un grand jeu après le match nul contre l’Ouganda.


Face aux Eléphants de Côte d’Ivoire, battus 0-1 par les Lions du Sénégal lors de la première journée, les Léopards doivent gagner le match pour obtenir une qualification en quart de finale après le match nul de 0-0 contre l’Ouganda.

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Forum de Davos : Félix Tshisekedi indexe la responsabilité du Rwanda dans l’instabilité de l’Est de la RDC

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 13:50

 


Félix Antoine Tshisekedi a encore une fois de plus indexe le Rwanda comme responsable de la crise sécuritaire qui sévit dans l’Est de la RDC. Le chef de l’Etat congolais s’est exprimé mardi 17 janvier lors d’un panel au deuxième jour du forum économique mondial de Davos en Suisse. 

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Goma : l’Eglise méthodiste unie distribue des vivres et produits non alimentaires à 2 500 ménages de déplacés de guerre

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 13:35


Au moins 2 500 ménages de déplacés de guerre, en provenance de plusieurs groupements du territoire de Rutshuru, de Nyiragongo, de Kitshanga et autres Bunagana, ont reçu dimanche15 et lundi 16 janvier à Goma (Nord-Kivu) des vivres et de produits non alimentaires.  Ce don est une initiative de la 81e Communauté des méthodistes unie, du diocèse Congo Est, qui comprend la grande province Orientale, le grand Equateur, l’ancien Kivu-Maniema et la Republique centrafricaine (RCA). 

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Kisangani : MSF/Suisse prend en charge 40 enfants souffrant de la rougeole

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 13:01


Au moins quarante enfants alités à l’hôpital général de référence de Kisangani (Tshopo) ont des cas compliqués de rougeole sont pris en charge globalement grâce notamment à Médecins sans frontières (MSF)/Suisse. Cette ONG internationale vient ainsi appuyer la campagne de vaccination contre la rougeole dans la cette entité.  

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Burkina Faso : « Le tableau de la crise est beaucoup plus complexe que celui, dualiste, dépeint par Newton Ahmed Barry », assure un chercheur burkinabè

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 12:12

Dans cette tribune, Mathieu Béré, chercheur burkinabè vivant aux États-Unis d'Amérique estime que l'analyse de Newton Ahmed Barry sur la situation sécuritaire au Burkina Faso est assez réductrice. "L'analyse de NAB est empiriquement et logiquement contestable, car elle décrit de façon réductrice le conflit en cours au Burkina comme un conflit opposant des " djihadistes de la brousse " (fulaphones) contre des " djihadistes de la ville " (moréphones, qui seraient " anti français, anti-démocratie, anti-droits de l'homme, anti-occident, anti-élite politique et intellectuelle et qui sont les pro-IRISSI "). Cette description des deux parties du conflit est inexacte dans sa catégorisation ethnique, et discutable d'un point de vue religieux, théologique, et conceptuel"

Une analyse des données relatives aux cibles des attaques terroristes au Burkina Faso de 2015 à 2020, analyse qui peut être extrapolée, mutatis mutandis, à 2021 et 2022, révèle que les militants djihadistes (principalement peulhs) ciblent stratégiquement les représentants du gouvernement, les leaders communautaires (religieux ou traditionnels), les personnes-ressources, et les citoyens ordinaires qui s'opposent à leur idéologie, ne les soutiennent pas ou collaborent avec les forces de sécurité gouvernementales contre eux (par exemple, les Koglweogos, les VDP et, parfois, les personnes qui ont des liens familiaux ou ethniques avec ces derniers).

Mais leurs cibles dépassent les frontières ethniques, car certains imams, leaders politiques et communautaires peulhs ou des résidents peulhs de certaines localités du Sahel ont également été enlevés, tués, depouillés de leur bétail et chassés de leurs villages.

Etant donné que l'on ne dispose pas toujours de données suffisantes sur l'identité des auteurs et des victimes des attaques terroristes (perpétrées par des militants de groupes djihadistes ou par des HANI) ainsi que des auteurs et victimes des contre-attaques (menées généralement par les FDS et leurs soutiens kogleweogos, dozos, et VDPs), il serait hasardeux de faire des conclusions simplistes sur les deux parties qui s'affrontent actuellement dans le conflit meurtrier en cours au Burkina Faso ou dans les autres pays du Sahel.

L'analyse des données disponibles sur l'identité des auteurs des attaques et des victimes de ces attaques — données que nous pouvons extraire des rapports des médias et de certaines bases de données compilées par des universités et des centres de recherche à l'échelle internationale — nous révèle un tableau un peu différent de ce que l'analyse de Newton Ahmed Barry (NAB) veut nous enseigner.

L'analyse de NAB est empiriquement et logiquement contestable, car elle décrit de façon réductrice le conflit en cours au Burkina comme un conflit opposant des " djihadistes de la brousse " (fulaphones) contre des " djihadistes de la ville " (moréphones, qui seraient " anti français, anti-démocratie, anti-droits de l'homme, anti-occident, anti-élite politique et intellectuelle et qui sont les pro-IRISSI "). Cette description des deux parties du conflit est inexacte dans sa catégorisation ethnique, et discutable d'un point de vue religieux, théologique, et conceptuel. Le débat serait long à mener et nous manquons d'espace ici pour cela. Par exemple, qu'est-ce que le « djihad » dans la théologie islamique et dans l'interprétation qu'en ont faite les maîtres à penser du salafo-djihadisme tels que Ibn Tammya ?

Au regard de la théologie islamique du « djihad » (que ce soit le djihad spirituel ou le djihad de l'épée), est-il exact et prudent d'écrire qu'il y a deux djihads, l'un de la brousse et l'autre de la ville, qui s'affronteraient pour le contrôle du Burkina, même si l'on est en droit, par ailleurs, de s'inquiéter de la stigmatisation contre les Peulhs dans les réactions contre les attaques terroristes, et de la dérive extrémiste de certains supporters de l'actuel président de la transition ? Peut-on vraiment, et sans danger, parler d'un « terrorisme d'Etat » principalement et délibérément dirigé contre les Peulhs si l'on reconnaît que ces derniers sont majoritaires dans les rangs des djihadistes, lesquels sont des civils qui ont pris des armes qu'ils peuvent sortir ou cacher si les circonstances les y obligent ?

Le tableau de la crise que traverse le Burkina Faso actuellement est beaucoup plus complexe que celui, dualiste, dépeint par NAB même s'il a raison d'alerter sur les dérives extrémistes et la montée d'une certaine pensée unique en soutien au pouvoir en place au Burkina. Nous avons montré à travers un travail de recherche scientifique — que nous avons mené et qui sera publié en anglais — sur l'insurrection djihadiste, le ciblage des civils, et la dynamique des conflits dans les pays du Sahel qu'il y a plusieurs raisons pour lesquelles des civils (non-combattants) sont attaques par des hommes armés appartenant à des groupes affiliés à Al Qaida ou à l'Etat Islamique ou sans affiliation claire et connue. Les raisons pour lesquelles les civils (non-combattants et ne soutenant pas discrètement les militants des groupes djihadistes) sont attaqués sont variables.

Notre analyse des données disponibles de 2015 à 2019 (données de ACLED et du Global Terrorism Database), croisée avec une analyse de données d'enquêtes et de déclarations faites par des leaders djihadistes, révèle que seulement 7% à 8% de ces attaques sont motivées par des considérations ethniques, et que pas plus de 26% de ces attaques sont attribuables à l'idéologie djihadiste. Beaucoup d'attaques contre les civils au Burkina Faso ne sont donc ni motivées par la religion ni par des considérations ethniques mais plutôt par des considérations stratégiques, par le désir de vengeance, la poursuite du gain financier, ou par des raisons floues, inconnues.

L'analyse scientifique des données disponibles que nous avons effectuée (voir détails dans notre travail de recherche) nous fait entrevoir la complexité des conflits que nous avons à résoudre au Burkina Faso, au Mali et au Niger (le Sahel central), et en particulier dans la poudrière que constitue la région des trois frontières.

Ci-dessous, pour les besoins du débat suscité par NAB, je partage avec vous un extrait (traduit en français) de mon travail de recherche :

« Le ciblage des civils sur la base de l'identité par les groupes terroristes
Une autre catégorie de motifs d'attaque des civils est celle des motifs identitaires. Cette catégorie fait référence aux incidents de ciblage basés sur l'ethnicité. Environ 7% du total des incidents ont ainsi été codés "ciblage de civils basé sur l'identité", comme mentionné dans les entretiens et l'enquête en ligne. Alors que la majorité des répondants à l'enquête (50,7%) ont affirmé que les civils étaient ciblés parce qu'ils soutenaient ou collaboraient avec les forces de défense et de sécurité du gouvernement ou parce qu'ils refusaient de rejoindre et de soutenir les groupes djihadistes, certains répondants ont clairement indiqué que les civils étaient également attaqués en raison de leur identité religieuse ou ethnique : i) parce qu'ils étaient chrétiens (14% des répondants à l'enquête), ii) parce que les djihadistes les considéraient comme de faux musulmans (16. 5% des répondants), et iii) parce qu'ils appartenaient à un groupe ethnique que les djihadistes n'aiment pas (5,9% des répondants) (Voir la distribution complète des réponses dans la Figure 24 ci-dessous).

Figure 25. Survey data on why armed jihadist groups attack civilians (2)

Par exemple, un membre de la communauté Gourmantché, qui est également membre du groupe d'autodéfense Koglweogo, et certains éleveurs peuls, qui sont membres du groupe d'autodéfense Ruga, dans l'est du Burkina Faso, ont témoigné que "parce que certains Peulhs sont impliqués dans les groupes djihadistes, les forces de sécurité, les Koglweogos et les milices VDP ont traité tous les Peulhs comme des terroristes et ont arrêté, emprisonné ou tué de nombreux Peulhs innocents. Cela a indigné de nombreux Peulhs qui ont rejoint les rangs des djihadistes par vengeance ou simplement pour des raisons de sécurité."

Nabons Laafi Diallo (2020) a également montré comment l'identité ethnique a été [souvent mais pas toujours] un critère clé dans la sélection des cibles lors d'attaques terroristes contre des civils ainsi que dans les violences intercommunautaires consécutives (Diallo, 2020). En fait, les attaques terroristes ont souvent déclenché de violentes confrontations entre les Peulhs et d'autres communautés ethniques, par exemple les Mossis et les Fulse à Yirgou-Foulbe et Arbinda (au Burkina Faso), et les Dogons à Ogossagou et Sobame Da au centre du Mali, en 2019. Ces incidents dans certaines régions étaient la réactivation de vieilles rivalités entre les communautés nomades et pastorales (principalement les Peulhs et les Touaregs) et les communautés sédentaires et agricoles, rivalités qui remontent à l'époque précoloniale dans toute la région du Sahara et du Sahel(Lugan, 2019).

Dans ces incidents de violence basée sur l'identité, les membres de certaines communautés ethniques considèrent les autres comme des menaces pour la survie et le bien-être de leur groupe interne, en particulier dans un contexte de concurrence croissante pour des ressources naturelles en déclin telles que les terres et les pâturages (Voir Ashmore et al., 2001 ; Rothbart & Korostelina, 2011 pour une analyse de ce type de violence). En l'absence de parties tierces crédibles et de confiance mutuelle qui pourraient servir de médiateur entre les deux parties, les affrontements violents suivant les clivages ethniques sont devenus une pratique courante. Ainsi, certains individus sont ciblés et victimisés simplement en raison de leur affiliation à un sous-groupe ethnique perçu comme une menace. » [Fin de citation]

En somme, il est hasardeux et dangereux de faire des conclusions sur les raisons pour lesquelles des civils (peulhs, mossi, gourmantchés, dogons, dioulas, samos, ou d'autres groupes ethniques) sont ciblés et attaqués au Burkina Faso ou dans les autres pays du Sahel. Certains peulhs et mossi ont été tués par des « djihadistes » peulhs, non pas parce qu'ils étaient peulhs ou mossi mais pour des raisons stratégiques, financières, ou inconnues. Dans les opérations anti-terroristes, des non-peulhs ont été aussi interpelés, arrêtés, ou tués au Burkina comme au Mali et au Niger. Sans les légitimer, les recherches montrent que des erreurs et des violations des droits de l'homme dans les opérations anti-terroristes sont commises dans presque tous les pays qui font face au terrorisme et contribuent souvent à l'attiser (Parker, 2018 ; Piazza & Walsh, 2010).

Cependant, nous sommes tous d'accord sur ce principe : autant que possible, il faut respecter toute vie humaine et la dignité de toute personne au-delà des différences religieuses, ethniques, raciales, et politiques ! Mais en situation de conflit, efforçons-nous de communiquer d'une manière qui apaise, panse les plaies, et réconcilie au lieu de diviser et de jeter l'huile sur le feu !

Il faut certes s'unir comme un seul homme contre le fléau du terrorisme et de l'extrémisme violent à prétention djihadiste, mais acceptons le débat contradictoire dans la recherche de solutions !

Mathieu Bere, Ph.D.
CERPSS

Livres cités
Ashmore, R. D., Lee, J., & Wilder, D. (2001). Social Identity, Intergroup Conflict, and Conflict Reduction. Oxford University Press.

Bere, M. (2022). Jihadist Insurgency, Civilians' Targeting and Conflict Dynamics in the Sahel : A Case Study of Burkina Faso. Ann Arbor, MI : ProQuest LLC, 2022

Diallo, N. L. (2020). Le terrorisme au Sahel : Dynamique de l'extrémisme violent et lutte anti-terroriste : un regard à partir du Burkina Faso. L'Harmattan.

Lugan, B. (2019). Les guerres du Sahel : Des origines à nos jours (Editions de l'Afrique Réelle). Bernard Lugan.

Parker, T. (2018). Avoiding the Terrorist Trap : Why Respect for Human Rights Is the Key to Defeating Terrorism. World Scientific.

Piazza, J. A., & Walsh, J. I. (2010). Terrorism and Human Rights. PS : Political Science & Politics, 43(03), 407–409. https://doi.org/10.1017/S1049096510000636

Rothbart, D., & Korostelina, K. V. (2011). Why they die : Civilian devastation in violent conflict. University of Michigan Press.

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Maniema : le gouverneur initie les jeunes aux valeurs patriotiques incarnées par les héros Kabila et Lumumba

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 12:06


A l’occasion de la commémoration des journées du 16 et 17 janvier, qui rappellent respectivement la mort des héros nationaux laurent-Désiré Kabila et Patrice-Emery Lumumba au Maniema, le gouverneur intérimaire du Maniema, Afani Idrissa Mangala, rappelé aux jeunes les valeurs qu'ils incarnaient de l’amour de la patrie et de développement du pays en général et de la province du Maniema en particulier. 


  Afani Idrissa Mangala les a invités à cultiver l'esprit patriotique qu'avaient ces deux héros nationaux :  

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Attentat de Kasindi : la MONUSCO réitère son appui à la prise en charge des blessés évacués vers Beni

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 11:35


Le chef de bureau intérimaire de la MONUSCO/Beni, Abdourahmane Ganda a visité, mardi 17 janvier, les blessés admis à l’hôpital général de référence de Beni, après leur évacuation de Kasindi (Nord-Kivu).


Ces personnes ont été victimes de l’attentat à la bombe dans une église pentecôtiste de cette commune, située à la frontière avec l’Ouganda.

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Ukraine : Le ministre de l'Intérieur périt dans un crash d'hélicoptère

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 11:31

18 personnes dont le ministre de l'Intérieur urkrainien et trois enfants ont péri dans le crash d'un avion ce mercredi 18 janvier 2023 près d'une école maternelle dans la région de Kiev. Selon la présidence ukrainienne, le ministre se rendait sur le front des combats.

Le gouverneur de la région, Oleksiï Kouleba qui a donné l'information sur le crash précise qu'« il y a aussi 29 blessés, dont 15 enfants. » Ce qui fait craindre un bilan plus lourd.

Parmi les victimes figurent le ministre de l'Intérieur, Denys Monastyrsky, 42 ans, son premier adjoint Ievgueni Lenine, et le secrétaire d'État du ministère, Youriï Loubkovytch, qui se trouvaient à bord de l'appareil aux côtés de six autres personnes, a indiqué le chef de la police nationale ukrainienne dans un communiqué.

Pour l'heure, les circonstances du drame ne sont pas encore élucidées.

Lefaso.net

Source : RFI
France 24

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Sama Lukonde appelle les Congolais à honorer la mémoire de Patrice Emery Lumumba 

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 10:31


Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde a salué, le mardi 17 janvier, le sens du combat mené par le Premier, premier, ministre de la RDC, Patrice Emery Lumumba, et qui a contribué à sortir la RDC de la colonisation. Il a appelé les Congolais à honorer la mémoire de Lumumba, à l’occasion du 62ème anniversaire de son assassinat.

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Bunia : activités paralysées à la suite de la ville morte décrétée par la société civile

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 10:31


Les activités socio-économiques sont quasi paralysées ce mercredi 18 janvier dans toute la ville de Bunia et dans des grandes agglomérations à l’intérieur de la province de l’Ituri. Cette situation fait suite à l’appel de trois journées de ville morte décrétées par la coordination provinciale de la société civile/Forces vives.

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Mbandaka : les pêcheurs dotés d’intrants par le gouvernement central 

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 10:17


Le gouvernement central a remis le mardi 16 janvier, par l’entremise du ministre national en charge de la Pêche et de l’Elevage, un important lot d’intrants. 


Cette dotation a pour but d’augmenter la production halieutique à travers le ‘’projet de la pêche industrielle aux larges de Mbandaka’’. 


Outre les filets et hameçons, il est composé également des moteurs hors-bord pour la mobilité des pêcheurs, ainsi que des congélateurs destinés à la conservation des poissons. 

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Kindu : le forum pour la paix au Maniema reprogrammé du 14 au 15 février 2023

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 18/01/2023 - 10:07


Prévu initialement du 11 au 12 janvier, le forum pour la paix, la cohésion sociale et le développement de la province du Maniema est reprogrammé du 14 au 15 février 2023. L’évêque du diocèse de Kindu et facilitateur de ce forum, Mgr François Abeli Muhoya Muchapa, a fait l’annonce à la presse mardi 17 janvier.

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Souveraineté du Burkina Faso : Le président Ibrahim Traoré appelle la jeunesse estudiantine à rester en veille

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 09:42

C'est un entretien sans langue de bois entre le président de la transition Ibrahim Traoré et les étudiants burkinabè, qui a eu lieu dans l'après-midi du mardi 17 janvier 2023 à l'université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou.

Il est environ 15h30 quand le chef de l'État, le capitaine Ibrahim Traoré, fait son entrée dans l'une des deux salles aménagées pour sa rencontre avec les étudiants. Il est accueilli par de vives acclamations de l'amphithéâtre H jusqu'à l'amphithéâtre J. Et simultanément, les jeunes scandent haut et fort « IB ! IB ! IB ! » jusqu'à ce qu'il s'installe.

Dans la salle où prend place le président de la Transition, se trouve une délégation du gouvernement qui l'accompagne pour la circonstance. L'on pouvait apercevoir, notamment le ministre en charge de l'enseignement supérieur, Pr Adjima Thiombiano, le ministre en charge de la transition digitale, Aminata Zerbo/Sabane, le ministre en charge de la santé, Jean Claude Kargougou et Emmanuel Ouédraogo, ministre en charge de la communication.

Les étudiants ont massivement répondu présents à leur rencontre avec le président Ibrahim Traoré

Avant toute chose, le capitaine Traoré invite l'assistance à observer une minute de silence en hommage aux victimes de la crise sécuritaire. Et cette crise sécuritaire fera en effet l'objet de cette rencontre. Bien avant de passer la parole aux étudiants, le président Traoré livre un discours, long de plus d'une quinzaine de minutes. « Il y avait donc lieu que nous puissions échanger à bâtons rompus et que l'on puisse se donner une ligne de conduite pour la suite de la Transition », a-t-il introduit.

Une vision de désengorger les universités

C'est donc conscient des innombrables problèmes que connaissent les universités au Burkina Faso, que le président a annoncé une réforme du système éducatif. Cette réforme vise notamment le contenu et l'organisation des cours à dispenser, mais aussi à répondre à la question du chômage des jeunes par l'administration de cours professionnels dès le secondaire.

Quelques membres du gouvernement présents aux rencontres du chef de l'État Ibrahim Traoré, à l'université Joseph Ki-Zerbo

Cela, de sorte que des bacheliers puissent être injectés dans la vie active et que les études à l'université ne soient plus une contrainte, mais plutôt une option. Toute chose qui permettrait de désengorger les universités.

Si Ibrahim Traoré a dit être conscient de l'impossibilité de résoudre tous les problèmes durant la période de transition, il a cependant indiqué qu'ils essayeront de jeter les bases. « Nous allons essayer d'enclencher le maximum de chantiers afin que ceux qui vont nous remplacer puissent offrir à nos universités tout ce qui leur faut pour rayonner ».

« L'ensemble des étudiants du Centre universitaire de Dori souhaitent reprendre les cours le plus rapidement possible », le délégué général Alexandre Sawadogo

La tolérance et la non-violence prônées par Ibrahim Traoré

Sur le plan sécuritaire, le capitaine Traoré a souligné que : « la vocation de cette guerre que nous menons n'est pas de tuer ». Il a par ailleurs indiqué que tous ceux-là qui auront compris sa vision en déposant les armes pour rallier son camp bénéficieront d'un traitement particulier.

Quant aux autres, qui ne leur laisseront pas le choix, Ibrahim Traoré a affirmé ceci : « on est obligé de combattre le feu par le feu ».

Bien qu'ayant reconnu que la situation sécuritaire est due à la mal gouvernance qui a engendré des frustrations au sein de certaines communautés délaissées par l'État, le président a regretté que ces dernières en soient venues à prendre les armes pour s'exprimer.

Le chef suprême des armées, Ibrahim Traoré a rassuré les étudiants venus des universités de Dori, de Fada et Ouahigouya que des actions seront menées pour leur permettre de suivre les cours en toute quiétude

Cependant, interpellation est faite aux jeunes étudiants, fer de lance de la société, de se départir des manipulations et incitations à la haine contre une quelconque communauté et de jouer la carte de la tolérance et de la solidarité.

Les étudiants ont posé leurs différentes préoccupations au chef de l'État qui ont toutes trouvé leurs réponses sans le moindre détour. C'est ainsi que lui est demandé quelle est sa plus grande peur ?

Les étudiants qui réagissaient depuis l'amphithéâtre H par visio conférence

« Ma plus grande peur… »

« Ma plus grande peur est celle de trahir un jour ma patrie », a-t-il réagi. Pour Ibrahim Traoré, la principale cause de trahison dans tous les domaines de la vie est l'argent, autrement dit, le nerf de la guerre. En ce sens, le capitaine Traoré a confié que sa prière quotidienne est de ne jamais tomber dans « cette bassesse » des hommes qui sont prêts à tout pour de l'argent.

Dans cette dynamique, le président Traoré a invité les jeunes à toujours mettre en avant les intérêts supérieurs de la nation et à ne pas se fondre dans la masse des égoïstes. « Sentant que nous sommes en voie de gagner cette lutte, subitement la question ethnique a commencé à se poser. N'entrez pas dans leur jeu », conseille-t-il à ses interlocuteurs.

« Nous ne voulons pas vous engager à priori à prendre des kalachnikov pour défendre la patrie, mais plutôt vous engager à les fabriquer », la réponse d'Ibrahim Traoré aux étudiants souhaitant devenir des VDP

La réduction du nombre des partis politiques

Le chef de l'État burkinabè s'est également appesanti sur l'épineuse question de la croissance exponentielle des partis politiques. « Nous allons élaborer des textes pour réduire le nombre croissant de partis politiques avec le concours des acteurs », a-t-il annoncé.

Pendant sa conversation avec les étudiants, le président de la transition a affirmé qu'une réforme globale de la politique burkinabè était en cours. « Si nous ne le faisons pas, c'est que cela ne va jamais se faire », mentionne-t-il.

Pour le capitaine Traoré, il n'y a pas mille voies différentes pour développer le Burkina Faso, il n'y a que de nombreux programmes qui se rejoignent.
C'est donc le lieu pour les chefs de partis de s'unir pour élaborer un seul programme de développement qui réponde aux aspirations du peuple, selon le président Traoré. Ce qui va constituer dit-il, l'élément déclencheur de la cohésion et de l'union des Burkinabè.

« Restez en veille car la souveraineté est une lutte de longue haleine », prévient Ibrahim Traoré

Pour ce faire, la Primature va bientôt organiser un cadre de concertation sur les réformes de la politique burkinabè, laisse entendre Ibrahim Traoré.

Au bout d'environ deux heures d'horloge d'échanges fructueux, la rencontre a été interrompue par le maître de cérémonie qui citait Ecclésiaste 3 verset 1 : « Il y a un temps pour toutes choses… ». Quand bien même ce rendez-vous des autorités avec les futurs dirigeants du pays n'aura pas duré comme l'aurait souhaité ces jeunes, ils ont tous unanimement apprécié le sens de la sincérité et le franc-parler de leur interlocuteur du jour.

Au grand dehors, un monde fou attendait ne pouvant plus s'introduire dans les deux salles qui étaient quasiment pleines. Avant la rencontre avec les étudiants, le président avait eu un tête à tête avec les acteurs universitaires (enseignants, enseignants-chercheurs…).

Hamed NANEMA
Lefaso.net

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Appel à candidature pour la sélection d'établissements primaires dans les arrondissements 07 et 08 de la ville de Ouagadougou

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 09:30

Dans le cadre de l'extension de ses activités, la fondation Tuares, qui a pour mission principale d'améliorer la vie des filles par l'éducation, désire mettre en place de nouveaux projets dans les arrondissements 07 et 08 de la ville de Ouagadougou.

A cet effet, elle lance un avis d'appel à candidature pour la sélection d'établissements primaires situés dans ces arrondissements et au sein desquels elle pourra identifier et accompagner ses nouvelles bénéficiaires.

Si vous êtes intéressés par cet appel à candidature, nous vous invitons à nous soumettre votre dossier qui doit être constitué des pièces suivantes :

 Le formulaire de demande de partenariat (Ci-dessous à télécharger)
 La copie de la CNIB du ou des dirigeants de l'établissement
 Une copie du récépissé/acte de reconnaissance de l'association dirigeante
 Une copie légalisée de l'autorisation d'ouverture de l'établissement (concernant les établissements privés)

 Les copies des autorisations d'enseigner des enseignants
 Une copie des fiches de résultats scolaire soumis à la CEB

 La fiche d'information de l'établissement présentant les frais de scolarité

Les dossiers seront reçus au siège de la Fondation TuaRes (sis à la ZAD, non loin de la SONABEL) jusqu'au 25 janvier 2023.

Pour toutes informations complémentaires, Veuillez contactez le 69535294

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Enseignement supérieur et Recherche : Le Chef de l'État échange avec les enseignants chercheurs et le personnel ATOS

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 09:30

(Ouagadougou, 18 janvier 2023). Le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim TRAORE a échangé hier mardi 17 janvier dans l'après-midi avec les membres du Comité scientifique et universitaire de notre pays et les personnel ATOS dans l'enceinte de l'Université Joseph Ki-ZERBO. Cette rencontre a été une occasion pour le Chef de l'État de féliciter et d'encourager les enseignants-chercheurs et le personnel administratifs, techniques, ouvriers et de service (ATOS) de toutes les Universités de notre pays pour le travail de formation qu'ils abattent au quotidien.

Pour le Président de l'Université Joseph Ki-ZERBO, Pr Jean-François KOBIANE, cette première visite d'un Chef de l'État au comité scientifique et universitaire « restera gravée en lettres d'or dans la mémoire des institutions de l'enseignement supérieur et de recherche ». Elle témoigne selon lui, de l'importance que le Président de la Transition accorde au secteur de l'éducation d'une manière générale et au sous-secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche en particulier.

Véritable cadre d'échanges, cette rencontre a été une opportunité pour les enseignants-chercheurs d'exposer non seulement au Chef de l'État les grandes préoccupations de l'enseignement supérieur et de la recherche mais également de comprendre sa vision et ses attentes.

Les défis actuels de l'enseignement supérieur et de la recherche, énoncés par le Président de l'Université Joseph Ki-ZERBO, se résument essentiellement à la croissance exponentielle des effectifs des étudiants qui sont passés de 30 000 en 2005-2006 à 204 000 en 2022, à la baisse des subventions publiques et à la sécurisation des institutions d'enseignement supérieur et de recherche.

« En dépit de ces défis, l'enseignement supérieur et la recherche continuent d'apporter dans tous les secteurs les compétences nécessaires au développement du pays », a soutenu Pr Jean-François KOBIANE. Il a donc fait le plaidoyer pour que les résultats des recherches soient connus et les innovations soient véritablement utilisés au niveau des politiques publiques pour répondre aux défis du développement du pays.

Au cours des échanges, le Président de la Transition, le Capitaine Ibrahim TRAORE a rassuré les acteurs du monde universitaire et de la recherche de son engagement pour une amélioration des conditions de travail des enseignants-chercheurs et du personnel afin que ceux-ci puissent véritablement accompagner la réussite de la Transition. Pour ce faire, le Chef de l'État a évoqué la possibilité de réorienter certaines ressources vers le sous-secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche.

Les difficultés que rencontrent les universités publiques dans notre pays, sont pour la plupart liées à la gouvernance de ces institutions, et le Président de la Transition a promis de tout mettre en œuvre pour une saine gestion, une transparence et une amélioration de la gouvernance des universités.

Concernant, la sécurisation des institutions d'enseignement supérieur et de recherche liée à la situation sécuritaire du pays, le Chef de l'Etat a annoncé des mesures qui sont en cours.

Selon le Capitaine Ibrahim TRAORE, la valorisation des chercheurs et l'exploitation des résultats de la recherche sont inscrites au rang des priorités de la Transition. Et dans cette perspective, il compte sur des solutions endogènes pour le développement de notre pays notamment dans le domaine de la production agricole à travers l'utilisation des semences améliorés, fruits du travail des chercheurs burkinabè.

Au terme de la rencontre, le Président de la Transition a salué l'esprit de sacrifice des acteurs du monde universitaire. Il a promis l'examen diligent de certaines difficultés soulevées, notamment le plan de carrière du personnel ATOS des universités.

Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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Réforme politique au Burkina : Le Capitaine Ibrahim Traoré entend réduire le nombre de partis politiques

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 09:23

« Nous allons élaborer des textes pour réduire le nombre croissant de partis politiques avec le concours des acteurs », a annoncé le chef de l'État Ibrahim Traoré.
C'était lors de sa rencontre de ce mardi 17 janvier 2023 avec les étudiants, au sein de l'université Joseph Ki-Zerbo à Ouagadougou.

Pendant sa conversation avec les étudiants, le président de la transition a affirmé qu'une réforme globale de la politique burkinabè était en cours.

« Si nous ne le faisons pas, c'est que cela ne va jamais se faire », a-t-il mentionné.

Pour le Capitaine Traoré, il n'y a pas mille voies différentes pour développer le Burkina Faso, il n'y a que de nombreux programmes qui se rejoignent.

C'est donc le lieu pour les chefs de partis de s'unir pour élaborer un seul programme de développement qui réponde aux aspirations du peuple, selon le président Traoré. Ce qui va constituer dit-il, l'élément déclencheur de la cohésion et de l'union des Burkinabè.

Pour ce faire, la Primature va bientôt organiser un cadre de concertation sur les réformes de la politique burkinabè, laisse entendre le chef de l'État.

Lefaso.net

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Lutte antiterroriste au Burkina : « La vocation de cette guerre n'est pas de tuer », Capitaine Ibrahim Traoré

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 18/01/2023 - 09:15

C'est un entretien sans langue de bois entre le président de la Transition Ibrahim Traoré et les étudiants burkinabè, qui a eu lieu dans l'après-midi de ce mardi 17 janvier 2023, depuis l'université Joseph Ki-Zerbo de Ouagadougou.

« La vocation de cette guerre que nous menons n'est pas de tuer mais nous n'avons pas le choix », a souligné le président de la Transition, Capitaine Ibrahim Traoré lorsqu'il répondait aux questions des étudiants.

Le Capitaine Ibrahim Traoré a indiqué que tous ceux-là qui auront compris sa vision en déposant les armes pour rallier son camp, bénéficieront d'un traitement particulier.

Quant aux autres, qui ne leur laisseront pas le choix, Ibrahim Traoré a affirmé ceci : « on est obligé de combattre le feu par le feu ».

Lefaso.net

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