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Seastema Supplies High-Performance Dynamic Positioning Systems to Italian Coast Guard

Naval Technology - Thu, 07/04/2016 - 16:10
Seastema, the Marine Automation provider of the Fincantieri Group, was chosen for the delivery of an advanced Dynamic Positioning System for two military patrol vessels built for the Italian Coast Guard at Fincantieri's Castellammare di Stabia (Naple…

Hungarian Border Control towards Serbia - the reality

CSDP Blog - Thu, 07/04/2016 - 12:56

Voir la version française en bas

The propagande, the "Counter Migrant Group", and the reality are noticeably different about the Hungarian patrols of 600 soldiers and 400 policemen at the border between Hungary and Serbia (175 km). At about the same number at the Croatian border. The basical units of the border security are the duos of a soldier and a police officer, deployed by 2-3 border stone.

They work 18-20 hours a day for 1-2 weeks and live in pits dug by themselves. They also tinker tents with garbage bags that they also wear against rain because their jacket can not stand the rain for an hour. They often undergo super-controls forcing their for example to extinguish the fire which serves as the only way to warm up. On paper they are eating 5000 calories but in fact they have 2 sandwich, 1 apple and 1 chocolate per day.

In addition the policemen do not see why they work, because they lack the equipment needed to see at night when they have a few meters of visibility and so they are almost incapable of intercepting migrants who cut the fence.


This is not a refugee camp, this is the EU border control in Hungary

La propagande, le "Groupe Anti-Migrants" et la réalité sont visiblement différents quant aux patrouilles des 600 soldats et 400 policiers hongrois à la frontière serbo-hongroise (180 km). A peu près le même effectif à la frontière croate. Les bases de la sécurité frontalière sont les duos composés d`un soldat et d`un policier, ils sont déployés par 2-3 pierres de frontière.

Ils travaillent 18-20 heures par jour durant 1-2 semaines et habitent dans les fosses creusées par eux-mêmes. Ils bricolent également des tentes à l`aide des sacs de poubelle qu`ils portent également contre la pluie, car leur veste ne supporte la pluie que pendant une heure. Ils subissent souvent des super-controls qui leur oblige par exemple d`éteindre le feu qui leur est le seul moyen de se réchauffer. Sur papier ils mangent 5000 calories mais en réalité ils n`ont que 2 sandwich, 1 pomme et 1 chocolat par jour.

De plus les policiers ne voient pas la raison de leur travaille car ils ne disposent pas d`équipements nécessaires pour voir pendant la nuit lorsqu`ils ont une visibilité de quelques mètres et ainsi ils sont presque incapables d`intercepter les migrants qui coupent la clôture.

Tag: Hungarymigration

Cubic’s WBLOS data link on-board MQ-8C Fire Scout completes operational assessment

Naval Technology - Thu, 07/04/2016 - 01:00
Cubic Global Defense (CGD) has announced the successful operational assessment of its wide band line of sight (WBLOS) data link system, incorporated into Northrop Grumman's MQ-8C Fire Scout.

US and Philippines forces commence Exercise Balikatan 2016

Naval Technology - Thu, 07/04/2016 - 01:00
The US and the Philippines' armed forces have commenced the 32nd Exercise Balikatan in the Philippines.

General Atomics completes aircraft arrestment with advanced arresting gear

Naval Technology - Thu, 07/04/2016 - 01:00
General Atomics Electromagnetic Systems (GA-EMS) has successfully completed an aircraft arrestment made with advanced arresting gear (AAG).

Declaration by the HR on behalf of the EU concerning the political situation in the RC following the presidential election

CSDP Blog - Thu, 07/04/2016 - 00:00

Declaration by the High Representative on behalf of the EU concerning the political situation in the Republic of the Congo following the presidential election
07/04/2016 14:05 Press release 170/16 Foreign affairs & international relations

On 4 April the Constitutional Court confirmed the result of the presidential election in Congo.

The fact that many opposition candidates stood for election, and the large voter turnout, testify to the democratic aspirations of the Congolese people, despite the serious flaws in electoral governance highlighted in the declaration by the European Union on 19 February. The post-electoral process has been marked by human rights violations, arrests and intimidation of the opposition and the media. This calls into question the credibility of the results.

The violent events which took place in Brazzaville on 4 April put Congo’s stability at risk. The EU calls on all stakeholders to show restraint and refrain from any act of violence or manipulation.

Democratic debate and respect for civil liberties are the best guarantee of the country’s stability and development. With a view to the forthcoming general election, the Congolese Government and all stakeholders must ensure that fundamental freedoms are respected and that a transparent electoral process, which reflects the will of the people, can actually be conducted. In this context, the EU reaffirms its willingness to continue its dialogue with Congo.

The Candidate Countries the former Yugoslav Republic of Macedonia* and Montenegro*, the country of the Stabilisation and Association Process and potential candidate Bosnia and Herzegovina, and the EFTA countries Iceland, Liechtenstein and Norway, members of the European Economic Area, as well as the Republic of Moldova, align themselves with this Declaration.

* - The former Yugoslav Republic of Macedonia and Montenegro continue to be part of the Stabilisation and Association Process.

Source

Tag: Congo

EU-Indonesia relations

EEAS News - Thu, 07/04/2016 - 00:00

EU-ASEAN relations

EEAS News - Thu, 07/04/2016 - 00:00

Tripoli. Opération retour pour le gouvernement de Fayez al-Sarraj

Bruxelles2 Blog - Wed, 06/04/2016 - 22:12

(crédit : Martin Kobler / twitter)

(BRUXELLES2) A Tripoli, l’espoir semble revenu. Martin Kobler, l’émissaire de l’ONU, est arrivé symboliquement, hier (mardi 5 avril), à bord d’un petit avion des Nations-Unies. Il a pu ainsi tenir une réunion avec les Libyens et se rendre compte des progrès réalisés en une semaine.

Retour de Fayez al-Sarraj à Tripoli

Quelques jours auparavant, mercredi (30 mars), c’était au Premier ministre libyen Fayez al-Sarraj, chef du gouvernement reconnu par la communauté internationale de faire le déplacement vers la capitale. Lui avait fait le déplacement par mer. Les autorités de Tripoli avaient, en effet, fermé l’aéroport quelques heures plus tôt.

Un risque calculé

Une courte visite qui n’a pas duré très longtemps mais avait un objectif tout autant politique que de pouvoir. Une aventure risquée mais aux risques savamment calculés par le nouveau dirigeant libyen et ses soutiens internationaux. Avec un seul objectif : donner toute sa légitimité au nouveau Gouvernement d’union nationale et marquer qu’il a désormais le contrôle du pouvoir à Tripoli.

Fayez Saraj à bord du navire libyen (crédit : F. Saraj)

Un navire libyen usé jusqu’à la corde…

La vedette battant pavillon libyen « Al-Sadada » était cependant assez symbolique de l’état libyen aujourd’hui. Un navire « si petit, et apparemment si usé, qu’à son arrivée sur la côte tunisienne, le moteur s’est cassé » selon nos collègues du Corriere della Sera. Après quelques heures de réparation, le navire avait pu repartir, de Sfax (ville portuaire tunisienne), dans l’autre sens. Avec à son bord les 12 personnes qui s’efforcent de constituer le Gouvernement d’union nationale : les 7 membres du Conseil et leurs 5 assistants. Voir la vidéo de l’arrivée. Direction Tripoli.

… escorté par les Français et Britanniques 

Durant tout le voyage, la vedette « Al-Sadada » a été « escortée ». « En mer, se trouvaient plusieurs navires pour la protéger », selon ce qu’en dit al-Sarraj lui-même sur le compte Facebook du Conseil présidentiel. Des navires français, italiens et britannique qui ont suivi le navire libyen depuis la Haute mer. En l’air, plusieurs avions de patrouille maritime surveillaient l’expédition. Et il n’est pas exclu non plus que d’autres moyens plus discrets (type sous-marin) aient été employés.

… et organisée par les Italiens

Cette traversée de neuf heures a été orchestrée par le général italien Paolo Serra, conseiller militaire de Martin Kobler. Après des semaines d’efforts diplomatiques, l’officier italien a réussi à rallier la marine libyenne autour du retour de Sarraj. L’équipage libyen de la vedette « Al-Sadada » a été en contact radio constant avec les différents navires européens, durant tout le trajet. L’allégeance de la marine libyenne est essentielle pour Tripoli. La base navale d’Abu Sittah sert de « quartier-général » au Conseil présidentiel, qui y a donné ses premiers conférences de presse et y réside.

Une aventure utopique ?

Le pari de Sarraj, Kobler, de l’ONU et de l’Italie … tous ceux qui ont soutenu la voie diplomatique plutôt que la voie de la pression est-il en passe de réussir. On peut le croire. Selon l’AFP, pour sa première sortie de la base navale depuis son arrivée, M. Sarraj a pris un bain de foule sur la place des Martyrs, au coeur de la ville. « Bienvenue chez toi », lui ont souhaité des Tripolitains en lui serrant la main ou en le prenant dans leurs bras. Et les différents acteurs libyens commencent à se rallier, un par un, au nouveau pouvoir.

(Leonor Hubaut)

Lire aussi notre dossier N°34. L’Europe face à la crise en Libye

GD receives $644m US Navy contract modification to construct DDG 124 destroyer

Naval Technology - Wed, 06/04/2016 - 01:00
The US Navy has awarded General Dynamics (GD) a contract modification worth $644m to plan the construction of Arleigh Burke-class destroyer DDG 124.

Finmeccanica receive €100m order from Philippine Navy for two AW159 helicopters

Naval Technology - Wed, 06/04/2016 - 01:00
The Philippine Navy has placed an order worth more than €100m with Finmeccanica to procure two AgustaWestland AW159 helicopters.

IMCMEX 2016 kicks off in Middle East

Naval Technology - Wed, 06/04/2016 - 01:00
The International Mine Countermeasures Exercise (IMCMEX) 2016 has commenced in the Middle East to demonstrate collaborative defence efforts in mine detection and clearance missions.

Tango à Bruxelles. Pourquoi l’Europe de la défense n’avance pas…

Bruxelles2 Blog - Tue, 05/04/2016 - 18:38

Aux rencontres de l’IHEDN, les tambours de l’armée de terre © NGV / B2

(BRUXELLES2 à Paris) Où va l’Europe de la défense ? Vaut-elle le détour ? Comment peut-elle avancer ? C’est autour de ces questions qu’a tourné le « Tango à Bruxelles », l’atelier des 2e Rencontres de l’IHEDN (*), consacré à l’Europe de la défense samedi (2 avril). Deux invités de marque officiaient : Pierre Vimont, d’un côté, le premier secrétaire général du service diplomatique (1), et le général Jean-Paul Perruche, de l’autre, l’ancien chef d’état-major de l’Union européenne (2).

Tous deux, bons connaisseurs du domaine, n’ont pas fait dans la langue de bois. Ce n’est pas (plus) leur genre. Ils ont dressé, au contraire, un portrait sans fard, mais aussi sans acrimonie, d’une Europe qui a une défense à la peine. Un portrait assez juste finalement, qui permet de cerner les causes du problème plutôt que de mettre en cause.

Une barre placée trop haute

Il est « probable » que les ambitions fixées ont été trop grandes, explique d’abord Pierre Vimont. « L’un des problèmes de la défense et de la sécurité est que l’on a placé la barre très haut. Faute de pouvoir atteindre ces objectifs, cela a créé du désintérêt et de l’indifférence. » « On retrouve l’état d’esprit des Etats membres » dans le travail de « ceux qui travaillent à Bruxelles et doivent mettre en place les objectifs. On se rend compte qu’on est très loin du compte ».

Des Etats aux abonnés absents en cas de coup dur

Selon le diplomate chevronné, outre le fait qu’il soit « plus difficile de prendre des décisions à 28 », il y a aussi un problème d’aiguillage. Les Etats membres n’ont « pas tous la même conception » de l’Europe de la défense. On retrouve deux visions : entre « ceux qui veulent un hard power et les autres, une majorité, qui ont une vision plus douce de soft power. Une sorte de profil bas. » Lorsque l’UE est amenée à agir, « elle est alors davantage un pourvoyeur d’aide humanitaire et de développement ». Et lorsqu’elle est confrontée à « une situation de haute intensité, beaucoup d’Etats membres sont aux abonnés absents ».

Des dépenses de défense trop faibles

En ce qui concerne l’effort militaire, le constat est d’ailleurs « assez lamentable » poursuit Pierre Vimont. La majorité des Etats ne sont même pas « à 1% de dépenses de défense » de leur PIB. On est bien loin des 2% fixés par l’OTAN. C’est « une des raisons pour lesquelles il est difficile de monter une opération militaire ou civilo-militaire ». Parfois, le refus de s’engager d’un Etat obéit à de « basses raisons budgétaires » plus qu’à une motivation politique.

Une « encoche » sur les ambitions

Les ambitions de l’Union ont été très vite limitées par les moyens réels qui lui était offerts. A l’origine, il était « prévu d’avoir un effectif militaire de 50.000 à 60.000 hommes, qui a très vite été rabattu ». Ensuite, l’Union a créé les GT1500 ou battlegroups pour pouvoir intervenir rapidement sur une zone de crise. Or, « l’effectif n’est que de 1500 hommes ». Ce qui est peu. Mais, surtout, ces groupes d’intervention « n’ont jamais été engagés » sur un théâtre d’opération.

Des missions « modèle réduit »

Pour Jean-Paul Perruche, le fait qu’un « grand nombre de missions et opérations ont été lancées (21 missions civiles et 11 militaires) depuis le début de la PESD tendrait à prouver que l’Europe est un acteur sécuritaire très actif ». Un faux semblant ! « L’impact est toujours mineur. Car l’engagement a des effets assez faibles ». En cause, selon lui : « la courte durée (des missions), des effectifs réduits et l’absence d’opérations (avec un pouvoir) coercitif ».

Un système de commandement et de contrôle handicapé

L’Union ne dispose pas non plus d’une structure complète de commandement et de contrôle à l’image de l’OTAN, avec un niveau politico-stratégique, un niveau militaire stratégique, un niveau opérationnel et tactique. « Dans l’Union, seul le niveau politico-militaire, représenté par l’état-major de l’Union européenne, est présent. Tout le reste n’est pas prévu à titre permanent ». Pourtant, « le système existe. L’Union a les moyens de créer un centre opérationnel si le Conseil le décide. Mais il reste des divergences de vues entre les Etats membres ».

Une compétence limitée à la gestion des crises extérieures

Une autre limite au bon développement de l’Europe de la défense vient de la volonté des Etats de ne pas « empiéter sur les domaines de responsabilité de l’OTAN, notamment la défense collective » souligne le général Perruche. Cela se retrouve dans les traités. « La compétence dont l’Union s’est dotée », à la création de la PESD/PSDC, « est donc limitée à la gestion de crises à l’extérieur des frontières. Cela entraîne un cloisonnement entre les intérêts nationaux et l’extérieur de l’espace européen »L’Union s’est donc elle-même privée de s’intéresser à cela.

Une meilleure synergie des outils

L’ancien chef d’état-major relève tout de même que la création du Service diplomatique européen (SEAE) comme la double casquette du Haut représentant (à la fois vice-président de la Commission et président du Conseil des ministres des Affaires étrangères) a permis « une meilleure synthèse et coordination des moyens de l’Union et une meilleure synergie des outils ». Cette double casquette permet de ne pas « s’intéresser juste aux aspects sécuritaires d’une crise mais aux causes profondes, diplomatiques comme politiques », notamment au travers de l’approche globale qui mêle réponses militaire, civile et de développement.

Un réseau de renseignement plus efficace 

Les informations fournies par les 130 délégations et les Etats membres au service d’analyse du renseignement de l’Union (IntCen) ont également permis « une meilleure surveillance de l’émergence potentielle de crises ». L’état-major militaire comme la direction de gestion civile de crises (CPCC) sont donc plus à même « d’anticiper et de planifier de manière prudente une réponse face à une crise à venir ».

Une défense européenne trop peu intégrée

Si l’Union possède « des procédures bien ordonnées, celles-ci restent cependant bien lourdes à mettre en oeuvre ». Malgré « l’ambition claire d’une Europe de la défense intégrée » présente dans le traité de Lisbonne, coordonner 27 ou 28 Etats (3) n’est pas non plus chose facile quand les politiques étrangères des pays restent si différentes et si fluctuantes face à la conjoncture internationale.

(Lucas Millet)

Lire aussi : La PSDC au milieu du gué. La fin d’un cycle ? à la recherche d’un nouveau souffle

(*) Des rencontres de l’IHEDN riches et fournies dont B2 était un partenaire média

(1) Diplomate français, né en 1949, diplômé de science politique, Pierre Vimont a notamment été ambassadeur, représentant permanent auprès de l’UE de 1999 à 2002, directeur du cabinet de plusieurs ministres des Affaires étrangères de 2002 à 2007 (De Villepin, Douste-Blazy) puis ambassadeur de la France auprès des Etats-Unis avant de repartir à Bruxelles pour mette en place le SEAE. Lire aussi : Pierre Vimont, un diplomate en pas de chat

(2) Militaire Français, diplômé de l’IHEDN, le général Perruche a occupé les fonctions de commandant de l’état-major de force n° 1, adjoint au commandement de la Force de l’OTAN au Kosovo (KFOR) et chef de la mission militaire française auprès du commandant suprême des forces alliées en Europe (SACEUR) à l’OTAN au SHAPE de Mons. Il est président d’Eurodéfense.

(3) Le Danemark ne participe pas à l’aspect militaire de la politique de défense. Lire notre fiche mémo : Le Danemark et son opt-out. Que recouvre-t-il

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