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DSIT Receives $2.2m Order from Undisclosed Navy

Naval Technology - Thu, 02/06/2016 - 13:58
DSIT Solutions Ltd., a subsidiary of Acorn Energy, Inc. (NASDAQ: ACFN), announced today that it has received a $2.2m order from an undisclosed navy.

Sener and Acciona Begin Turnkey Construction of Kathu Solar Park Complex for €500m

Naval Technology - Thu, 02/06/2016 - 12:44
The consortium formed by the engineering and technology group Sener and Acciona, and led by global infrastructure and renewable energy leader Acciona, has started the turnkey construction of the Kathu Solar Park Complex, after signing the contract wi…

Les twittos du service diplomatique européen en tête

Bruxelles2 Blog - Thu, 02/06/2016 - 01:32

(B2) La diplomatie européenne est en tête des diplomaties mondiales dans l’utilisation de Twitter comme instrument pour établir des connections mutuelles (avec ses pairs) selon les données collectées par le cabinet de consultance Burson Marsteller (BM). Une statistique intéressante. Avec 122 connections, le SEAE devance le ministère russe (112 connections), le ministère norvégien (101 connections), etc.

Si on lit bien ce classement, la Norvège se classe en 3e position devant le Foreign Office. Tandis que la Lituanie se classe en 5e position et le l’Islande en 6e position juste devant les twittos de la diplomatie israélienne et du Quai d’Orsay. Plutôt étonnant… Mais quand on sait que Burson avait été appelé à la rescousse en 2012 par le gouvernement islandais pour défendre sa réputation entachée par la crise financière, on a de quoi trouver une piste de solution. De là à dire que le classement serait, aussi, un peu celui de certaines des meilleurs clients de Burson, y-a-t-il qu’on peut franchir ?

Le portrait des personnalités mondiales les plus suivies est intéressant en soi. On trouve : Barack Obama, le Pape, le Premier ministre indien, le Turc Erdogan, le président mexicain, le sheikh Mohammed des Emirats arabes unis, etc. Pas d’Européen. Trop divisés…

(NGV)

US Navy’s Los Angeles-class submarine USS City of Corpus Christi decommissioned

Naval Technology - Thu, 02/06/2016 - 01:00
The US Navy's Pacific Submarine Force has decommissioned the Los Angeles-class fast-attack submarine USS City of Corpus Christi (SSN 705), after serving for more than 33 years, at Joint Base Pearl Harbor-Hickam.

Lockheed receives $321.8m LRASM integration and test contract from US Navy

Naval Technology - Thu, 02/06/2016 - 01:00
Lockheed Martin has been awarded a $321.8m integration and test phase contract to continue to support the US Navy's long-range anti-ship missile (LRASM) programme.

Babcock, BAE to provide enhanced support service for UK Navy’s MCG weapon system

Naval Technology - Thu, 02/06/2016 - 01:00
Babcock International and BAE Systems have been jointly awarded a contract to deliver an enhanced 'total gun support' service package to ensure availability and sustainability of the UK Royal Navy's Medium Calibre Guns (MCGs).

QinetiQ Wins New Contract to Command Multiple Unmanned Systems to Defeat Sea Mines

Naval Technology - Wed, 01/06/2016 - 17:25
QinetiQ is to demonstrate the integration of unmanned systems into Royal Navy operations, under a £1m contract with the UK Ministry of Defence (MOD).

Le budget européen en déficit de facto. La Commission fait de la cavalerie

Bruxelles2 Blog - Wed, 01/06/2016 - 14:24

Face au déficit de paiement, « pompiers » demandés d’urgence à la Commission (© B2 / NGV)

(BRUXELLES2) Quand une organisation n’arrive pas à payer ses fournisseurs, en temps et en heure, rechigne à payer dans les délais impartis, en cherchant toutes les astuces pour ne pas payer ou avoir des délais de paiement… cela s’appelle avoir des difficultés. Dans le privé, cela impose une procédure en redressement judiciaire ou en cessation de paiement. Dans le public (dans les Etats membres) cela s’appelle présenter un déficit et un endettement.

La Commission européenne n’obéit à aucune de ces règles. Ses « privilèges et immunités » dues à une organisation internationale lui évitent les procédures privées. Et elle n’a pas droit ni au déficit ni à l’endettement. Mais la réalité est là : le Berlaymont a du mal à boucler ses fins de mois. Alors, pour faire concorder la réalité avec les règles, on triche … Quel est l’état des lieux ?

L’arriéré de paiements : une spécialité européenne

L’arriéré de factures impayées au titre de la période 2007-2013 est passé d’un niveau « normal » de 5 milliards d’euros à la fin 2010 à 11 milliards d’euros fin 2011, 16 milliards d’euros fin 2012, 23,4 milliards d’euros à la fin de 2013, 24,7 milliards d’euros à la fin de 2014. Soit : 17% du budget en cumulé ! (139 milliards d’euros).

8,2 milliards d’impayés rien que pour les fonds régionaux

Cet arriéré a « débordé » sur l’actuelle période budgétaire. Au moins 8,2 milliards d’euros de factures impayées étaient ainsi recensés fin 2015 dans le domaine de la politique de cohésion pour la période antérieure (2007-2013). Un « niveau sans précédent », avertissent deux parlementaires européens, le Polonais Jan Olbrycht (PO/PPE) et la Française Isabelle Thomas (PS/S&D), qui préparent un rapport sur le sujet.

Un plan d’apurement aléatoire et risqué

Certes un plan a été mis en place pour réduire l’arriéré. Et ce chiffre devrait passer en-dessous de 2 milliards d’euros à la fin de 2016. Mais il reste à la fois très éventuel et aléatoire. Cette réduction « n’apporte qu’un répit temporaire ». Elle est « uniquement due au fait que les créances exigibles présentées tant pour les programmes 2007-2013 que 2014-2020 ont été inférieures à ce qui était prévu ». Autrement dit, quand va démarrer la nouvelle programmation, cet arriéré va se remettre à augmenter. De plus, il est très partiel, « aucune mesure n’a été prise pour remédier à « l’arriéré cachée » identifié dans d’autres rubriques »

La Commission, reine des artifices comptables

Pour pallier à ces arriérés, la Commission européenne a mis en place toute une batterie de mécanismes comptables. Ainsi les « pourcentages de préfinancement » ont été réduits. Certains appels à proposition ou appels d’offres ont été « reportés ». La mise en œuvre des nouveaux programmes 2014-2020 a été ainsi ralentie de façon « artificielle ». C’est le cas par exemple des appels à propositions du programme de recherche ‘Horizon 2020’ en 2014 : environ 1 milliard d’euros n’ont pas été engagés. Ce qu’on appelle pudiquement des « mesures d’atténuation » ressemble ressemble clairement… à de la cavalerie budgétaire.

Plutôt tatillon que payer

Autre aspect — dont j’ai eu connaissance — la vérification des dépenses éligibles, déjà complexe, s’est faite, ces derniers temps, un peu plus tatillonne. L’objectif n’est pas tant de s’assurer que l’argent est dépensé de façon régulière mais de trouver le moyen de faire des économies supplémentaires. Certaines collectivités locales ont d’ailleurs renoncé à solliciter les fonds européens, notamment le Fonds social européen, tant plane l’incertitude sur les montants remboursés au final, qui s’ajoute à la complexité des dossiers et à la lenteur de remboursement de sommes engagées pour le compte de l’Union européenne.

Des conséquences négatives sur certains programmes

Ceci n’est pas sans conséquence sur certaines politiques. Ainsi pour l’aide humanitaire, la « grave pénurie de paiements en 2014 » a eu « un impact négatif sur les opérations de sauvetage de l’Union » remarquent les parlementaires (1). Et ce risque pourrait ressurgir. Les parlementaires demandent donc un plan d’urgence pour « prévenir une nouvelle crise des paiements à la fin de l’actuel (cadre budgétaire) » qui se clôture en 2020. Car les besoins liés à la crise des réfugiés et des migrants augmentent tout comme les paiements ordinaires (fonds structurels, fonds stratégiques, etc.).

La Commission passe à la caisse

L’ardoise est telle que la Commission doit maintenant payer régulièrement des indemnités de retard de paiement. Le montant reste modique encore : 3 millions d’euros en 2014 comme en 2015. Mais il n’est pas négligeable tout de même et témoigne de la difficulté de gestion du budget. Et encore, à la Commission, toutes les astuces sont bonnes pour refuser le paiement de ces indemnités. Abrités derrière leur statut de puissance publique, les gestionnaires de la Commission usent de tous leurs talents administratifs, recourant parfois à toute la panoplie du payeur de mauvaise foi…

Une responsabilité partagée ?

Dans cet arriéré de paiements, incriminer seulement la Commission serait une erreur. La responsabilité est plus générale. La grande majorité des Etats membres exigent que le budget européen contribue à de nouvelles tâches, sans vouloir rogner ou redistribuer sur les anciennes tâches (ne pas toucher aux avantages acquis). Et le budget a été conçu en déséquilibre, entre les sommes engagées et les paiements. Mais la Commission ne peut échapper non plus à ses propres responsabilités (voir ci-dessous).

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Un point confirmé par les autorités européennes elles-mêmes à l’époque (Lire : Aide humanitaire. La trésorerie européenne à sec et Le budget manque pour l’aide humanitaire européenne)

Un dispositif hérité du passé, inadapté aujourd’hui

Le système de fonctionnement de la Commission, hérité du passé, des années de gloire 1980-1990, semble à bout de souffle et relativement inadapté aux nouveaux enjeux. Malgré l’arrivée de Jean-Claude Juncker, l’aggiornamento nécessaire n’a pas eu lieu notamment dans le fonctionnement de la ’boutique’ européenne. Quels faits.

Dans certains secteurs, on gratte désespérément quelques centaines de milliers d’euros alors que dans d’autres, on se gratte la tête pour réussir à… dépenser des dizaines de millions d’euros. Le système administratif reste encore fondé sur la propension à tout dépenser qu’à dépenser bien. La qualité d’un « bon » administrateur reste de « bien » dépenser tout l’argent. En d’autres termes, mieux vaut dépenser 99% des sommes attribuées, peu importe où, que dépenser uniquement 60% des sommes, à meilleur escient !

Une bonne partie du travail de la Commission est ainsi consacrée à la vérification interne, au ‘reporting’, à la rédaction d’appels d’offres, de proposition, …  Le temps des agents publics est davantage consacré à la gestion de la ‘machine’. Et le fonctionnaire, militant européen, dévoué, compétent, devient une denrée rare.

La Commission continue à recourir à des prestations externes (consultances, communication, etc.) couteuses, dont l’apport concret est souvent assez contestable, au lieu de se reposer sur des compétences internes, qui sont bien  réelles. Certains consultants se contentent de faire une vulgaire synthèse de … la propre production de la Commission. En interne, cette tendance a un effet immédiat : démotiver les troupes…

 

EU-Myanmar relations

EEAS News - Wed, 01/06/2016 - 12:00

US allocates $1bn in funds to procure first icebreaker in 25 years

Naval Technology - Wed, 01/06/2016 - 01:00
US Senate Appropriations Committee Chairman Thad Cochran has revealed that $1bn is recommended in navy shipbuilding funds to procure the first US Coast Guard-operated icebreaker in 25 years.

BAE Systems contracted to maintain and modernise two US Navy ships

Naval Technology - Wed, 01/06/2016 - 01:00
BAE Systems has received two contracts, worth $61.7m, from the US Navy to repair and maintain two vessels based in Jacksonville, Florida.

Golten to install optimarin ballast systems on ten Dutch Navy vessels

Naval Technology - Wed, 01/06/2016 - 01:00
Golten Worldwide's Green Technologies business unit has been contracted by the Netherlands Defence Materiel Organization to install 16 optimarin ballast systems (OBS) on the Royal Netherlands Navy's (RNLN) ten vessels.

Austal Pacific Patrol Boat 40

Naval Technology - Wed, 01/06/2016 - 01:00
Pacific Patrol Boat (PPB) 40 patrol vessels are being developed by Australian shipbuilding company Austal under the Pacific Patrol Boats Replacement (PPBR) project, which is aimed at replacing the existing Pacific Patrol Boats fleet.

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