Après avoir annoncé au printemps dernier la construction d'une nouvelle cimenterie à Abidjan d'une capacité d'un million de tonnes, Ciments de l'Afrique (Cimaf) s'apprête à lancer une autre unité à Bouaké, au centre nord du pays, selon les informations de Jeune Afrique.
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Argent, médias, lobbys, découpage des circonscriptions : les biais de l'élection présidentielle américaine au regard des précédentes… Depuis quand le Maroc attend-il le grand changement ? Quel fil relie l'univers du « catch-as-catch-can » français, le « wrestling » nord-américain et la « lucha libre » mexicaine ? Les investisseurs chinois rachètent-ils la France, comme naguère les Belges ? Sélection d'archives en rapport avec le numéro du mois.
Budapest – Il s’agit de la première riposte parlementaire d’un parti d’opposition suite à la suspension brutale du plus grand quotidien hongrois, Népszabadság, par son propriétaire la société Mediaworks. Les quatre députés de la Coalition démocratique (DK), élus en 2014 à la faveur d’une alliance progressiste avec le MSzP, PM, Együtt 2014, MLP et MoMa, ont décidé ce lundi de ne plus siéger jusqu’à nouvel ordre à l’Assemblée hongroise et de ne plus participer au travail parlementaire. Le boycott ne s’appliquera pas aux votes requérant les deux tiers de la représentation nationale, de façon à bloquer notamment des modifications de la Loi fondamentale, comme l’envisage notamment Viktor Orbán au sujet des quotas européens de réfugiés.
Le boycott de l’Assemblée peut être sanctionné par des mesures de rétorsion financière à l’encontre des députés «absentéistes». Plus risqué encore, la possibilité d’une exclusion pure et simple du Parlement en cas d’absentéisme prolongé, excédent un an. Les députés DK ont déclaré à ce sujet prévoir participer à au moins un vote sans grand intérêt à intervalle régulier de façon à ne pas perdre leur siège.
Les députés DK sont Ágnes Vadai, László Varjú, Lajos Oláh et l’ancien Premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsány. Ce dernier a appelé tous les partis d’opposition au boycott de l’Assemblée lors de la manifestation de samedi soir sur Kossuth tér.
(source : Index)
Hongrie : des journalistes dénoncent un «putsch» à Népszabadság
Le Jobbik se définit comme la principale force d’opposition au gouvernement de Viktor Orbán et a l’intention d’occuper les terrains délaissés par le Fidesz trop absorbé par sa campagne anti-migrants. Le parti qui espère être le réceptacle de l’électorat déçu par le Fidesz dans les mois à venir a définit trois axes majeurs : santé, éducation et corruption.
Le Jobbik enverra des questionnaires aux ménages hongrois dans les jours à venir concernant ces trois thèmes sur lesquels le Fidesz est le plus critiqué, que ce soit par son opposition à gauche et à droite.
Selon des analystes, le concept de «nouvelle unité» martelé par le Premier ministre Viktor Orbán depuis le référendum du 2 octobre cacherait sa volonté de phagocyter l’électorat du Jobbik.
Sources : alfahír / jobbik.hu
Le lendemain de l'annonce des résultats des législatives du 7 octobre, le secrétaire général du Rassemblement national des indépendants (RNI) a présenté sa démission à ses collègues du bureau politique. Le président de la Cop22 dit assumer la débâcle de son parti.
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