A lakosság, illetve az irodahelyiségek tulajdonosai mintegy 20 milliárd dinárral tartoznak a távfűtőműveknek, a távfűtőművek pedig megközelítőleg 7 milliárd dináros adósságot halmoztak fel a földgázforgalmazó irányába. Az adósság egy részét még a kilencvenes évek óta jegyzik – derült ki a Hogyan fűtünk az előttünk álló fűtési idényben? című tanácskozáson Belgrádban.
Az idén a dr. Milаn Јоvаnоvić Bаtut Szerbiai Közegészségügyi Intézet adatai szerint 34 esetben jegyezték a nyugat-nílusi láz jelenlétét a pácienseknél...
L’agence d’Aminata Bocoum a été mandatée par la Délégation pour apporter son expertise afin de mobiliser les partenaires et aider à l’organisation matérielle. Il n’a jamais été question de Festi-Bazin au sein de l’UNESCO (lettre de mandat n°99/DPM-UNESCO du 26 mai 2016, ci-joint). La Délégation permanente a démarché l’Agence conformément à la pratique à l’UNESCO d’associer les partenaires extérieurs à l’organisation de ses événements pour mobiliser les moyens nécessaires. La Délégation est passée par le même mécanisme pour organiser avec la Sous/Direction ERI de l’UNESCO, la Soirée «Vent de réconciliation par la culture sur le désert», le 2 décembre 2015. C’était Essakane production dirigée par Manny Ansar qui a été sollicitée par le ministère en charge de la Réconciliation à cet effet.
Les Journées du bazin sont proposées pour mobiliser les fonds et programmes de l’UNESCO pour soutenir la formation des femmes teinturières du Mali, protéger les teinturières contre l’utilisation de la soude caustique cancérigène à travers des kits de protection. Les 2 journées de débats et d’exposition sont prévues pour être consacrées à différentes activités intellectuelles, artisanales avec comme point d’orgue une soirée de défilé et de musique. Ainsi, le bazin n’est qu’un alibi pour promouvoir les teintures du Mali (patrimoine immatériel), et les métiers liés au secteur. C’est ainsi que le projet a été proposé au ministère de la Culture (lettre n°66/DPM-UNESCO du 11 avril 2016 de la Délégation permanente transmise par lettre n°4424/MAECIIA/DOI/DOT-BSM du 18 avril 2016).
Bien cordialement,
Dr. Oumar KEITA
Ambassadeur délégué permanent du Mali auprès de l’UNESCO
Source : Le Reporter
L’ère de la renaissance de l’économie au Mali a sonné. L’effort d’un mécanisme rigoureux de mobilisation des ressources internes est soutenu par les partenaires. L’esprit de Genève règne entre Bamako et Paris, Bruxelles, en passant par Washington. Autant dire que si la crise perdure, il reste que le Mali n’est plus dans la salle d’attente des acteurs et partenaires économiques.
Pour le ministre de l’Economie et des Finances, Dr. Boubou Cissé, c’est plus une capacité de résilience d’une économie face aux chocs, mais celle qui se porte relativement bien au Mali. C’est une économie qui a réalisé des performances assez remarquables ces deux dernières années. Que ce soit des chocs exogènes au niveau international ou même des chocs endogènes, en faisant face à une crise sécuritaire ou au terrorisme. Malgré ces difficultés, l’économie se porte relativement bien. Les indicateurs sont au vert, le taux de croissance est à 5,3%. Un taux robuste. Les perspectives se présentent plutôt bien. Le cadrage macroéconomique et budgétaire, élaboré et validé par le FMI, donne des perspectives qui se présentent sous des formes encourageantes.
En effet, après avoir enregistré une croissance proche de zéro en 2012, l’économie au Mali est de nos jours dans une dynamique économique. À l’hôtel de finances, on parle volontiers de relance économique qu’on attribue à la bonne vision du Président IBK et qu’on s’évertue à porter vers une croissance durable et inclusive. La capacité de résilience aura donc permis à l’économie d’affronter les chocs exogènes au niveau international ou même des chocs endogènes, en faisant face à une crise sécuritaire.
On ne le dit jamais assez, mais les réformes engagées dans ce secteur en sont pour beaucoup. Des réformes portées par certaines mesures. D’abord, de la force dans la capacité de la mobilisation des ressources internes, de la volonté constante d’améliorer et de moderniser la gestion des finances publiques, et enfin du dialogue avec les partenaires à travers une diplomate économique conquérante. Une des mesures internes a consisté à réduire le train de vie de l’Etat. Un Etat qui a toujours tendance à vivre au-dessus de ses moyens. Ainsi, au niveau du Département des Finances, nous indique-t-on, le Président de la République a demandé de regarder dans quelle mesure l’Etat peut revenir dans les proportions raisonnables en matière de dépenses de fonctionnement de l’Etat.
En réponse, des mesures ont été prises pour aller vers la maîtrise des dépenses depuis 2014. Ces mesures qui se poursuivent de nous jours, auront permis de faire une économie de 25 milliards de nos francs, rien qu’en réduisant les dépenses de fonctionnement pour favoriser celles d’investissements. Une dynamique qui se poursuit et tient au cœur du ministre de l’Economie et des Finances, Dr. Boubou Cissé, qui déclare en ce sens que «d’autres mesures sont en cours, notamment le parc automobile de l’Etat au sujet duquel nous sommes en train de réfléchir pour une rationalisation. Ce qui nous permettra de réduire les dépenses. Nous sommes en train de réfléchir à la mise en place d’une centrale d’achat des biens et équipements que l’Etat se procure chaque année sur les marchés. Tous ceux-ci combinés vont permettre de réduire les dépenses».
Un volet important est celui relatif aux exonérations. Ces exonérations sont des dépenses fiscales, nous dit-on. Elles constituent une politique d’exception, devenues une règle dans notre pays et des manques à gagner pour l’Etat. À l’arrivée du Président BK au pouvoir, elles étaient évaluées à plus de 400 milliards. De nos jours, elles varient entre 230 et 250 milliards de FCFA et sont prévues à la réduction en vue de renflouer la caisse de l’Etat. «Ce sont des dus et des ressources auxquels l’Etat renonce pour permettre de relancer l’activité économique. Ce n’est pas que nous ne voulions pas relancer l’activité économique, bien au contraire ! Il y a des exonérations que l’Etat donne à titre d’exception, qui, progressivement, sont devenues la règle.Il faut que nous sortions de ces exonérations», nous assène un cadre financier au niveau du Département des Finances. On indiquera volontiers au chapitre de cet effort interne, pour financer l’économie, les mesures relatives à l’élargissement de l’assiette fiscale, à l’intensification des efforts de lutte contre la fraude, aux actions initiées dans le cadre de la réforme foncière et cadastrale, et bien sûr à l’exécution du programme annuel d’émissions de bons et obligations du Trésor, qui aura permis de mobiliser la somme de 287,813 milliards de FCFA. Un autre pan aura porté sur le paiement de la dette intérieure. Une mesure qui aura permis à l’Etat de débloquer la somme de 27 milliards FCFA dont 7 milliards FCFA pour 2016.
La dette intérieure, faut-il le rappeler, faisait l’objet d’audit des arriérés de paiement de la dette fournisseurs de 1995 à 2012. Et elle se poursuit. Tout comme le processus de réforme de la gestion des finances. Depuis plus d’une décennie, affirme un observateur, le Gouvernement du Mali a engagé une vaste réforme portant sur l’amélioration et la modernisation de la gestion des finances publiques. Son impact est lisible et son 2e plan national a été développé par un plan intermédiaire d’actions devant aboutir à l’élaboration et à la mise en œuvre d’un nouveau programme de réformes de la gestion des finances publiques. Un processus bien approprié par les bénéficiaires et encouragé par les partenaires, conclut-il.
Un élan de mobilisation interne soutenu par une diplomatie économique
En effet, le Mali revient de loin. Les événements de 2012 ont porté un coup dur au tissu économique. Et avaient entraîné une timidité des partenaires, tout en accentuant la demande sociale. Ici, la réforme a consisté d’abord à instaurer la confiance des partenaires et à faire valoir ensuite les possibilités d’investissement dans un Mali à la porte de sortie d’une crise. Le résultat est que le Mali n’est plus dans la salle d’entente des partenaires. Le dialogue est renoué, l’embellie du partenariat est visible et le dossier Mali est plus considéré. Une des preuves à ce cachet de satisfecit est l’accord au Mali par le FMI d’une facilité élargie de crédit (FEC) en 2016.
La Facilité élargie de crédit (FEC) est un instrument du FMI pour appuyer, en termes d’aide financière, les pays qui connaissent des difficultés de balance des paiements. C’est une aide financière qui permet d’appuyer le programme économique et financier d’un certain nombre de pays, leur permettant d’arriver à assurer une stabilité macroéconomique et de permettre une croissance durable et inclusive.
Cet instrument est destiné à des pays spécifiques. Généralement, ce sont des pays qui sont en voie de développement. Le Mali a été admis à ce programme courant 2016 avec l’engagement ferme des autorités à continuer le chemin du progrès économique tracé. Un fait qui signe ou plutôt encourage d’autres à revoir leur copie pour le Mali tant le climat d’investissement est favorable, bâtie autour d’un cadre macroéconomique stable et robuste. Reste à maintenir le cap, surtout de faire en sorte que cette croissance soit inclusive et au niveau du Département des Finances, l’objectif fixé est d’arriver à cela. L’engagement est ferme pour y à arriver.
«Nous aurions souhaité que l’ensemble de la population malienne puisse bénéficier de cette croissance. L’élément essentiel qui nous reste à réaliser aujourd’hui et sur lequel le Président de la République insiste tous les jours, ainsi que le Premier ministre, est de faire en sorte que cette croissance soit inclusive. Qu’elle soit de qualité et qu’elle permette une amélioration des conditions de vie de l’ensemble des populations maliennes. C’est ce défi qui se pose à nous aujourd’hui. C’est vers la réalisation de cet objectif-là que nous sommes engagés. Et ce n’est pas un hasard que dans la déclaration de politique générale du Premier ministre Modibo Keita, cet élément de l’amélioration des conditions de vie des Maliens soit un axe fondamental. Donc, il y a du travail à faire et c’est progressif.À ce jour, il y a des acquis, car, grâce à cette croissance, nous arrivons à prendre en charge une bonne partie des populations. Les fonctionnaires ont vu leur salaire augmenter, parce que la valeur indiciaire a augmenté de 20%. Le salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig) dans notre pays a augmenté de 50%. Il est passé de 28 000 FCFA à 35 000 FCFA. Les allocations familiales ont vu leur taux augmenter de 100%», affirme le ministre de l’Economie et des Finances, Dr. Boubou Cissé. Un engagement qui, à bien comprendre, indique que le pari est pris pour maintenir l’économie dans un processus de croissance durable et inclusif.
Bekhaye DEMBELE
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Source : Le Reporteur
The Budgets Committee’s (BUDG) meeting to review the draft 2017 EU budget approved more funds to help young employment and to support economic growth. BUDG also debated migration and security related spending increases in order to mitigate the migration crisis.
MEPs decided yesterday to add €1.5 billion in commitment appropriations for boosting and supporting young people into jobs. The funds will be mainly destined to the Youth Employment Initiative.
After the vote, lead rapporteur Jen Geier(S&D, DE) declared, “Consequently we reinforced the budget lines to support jobs and growth and reversed the cuts made by the member states, who acted against their own priorities”.
Regarding assistance to third countries projects, MEPs discussed whether the funds are enough especially when considering the current refugees and migration crisis. Therefore, it was decided to reduce the Council’s cuts in this field and to reinstate the 2016 levels for the ENI Mediterranean aid. As result, €497.9 million was added for the commitment appropriations for this subject.
The BUDG’s draft resolution on the EU’s budget for 2017 was approved by 29 votes to 7, with 1 abstention. Additional funds will be financed through new appropriations obtained by the mid-term revision of the Multiannual Financial Framework.
Grâce à ce succès, les hommes de Michel Dussuyer prennent la tête du groupe C devant le Gabon et le Maroc qui se sont neutralisés (0-0) à Libreville, quelques heures plus tôt. Le Mali rate ainsi son entrée en lice parce que les nôtres n’ont pas tellement cru en leurs chances et aussi par de malheureux concours de circonstances. Comme chaque fois que nous affrontons les Ivoiriens, nous restons aujourd’hui avec nos regrets. Oui des regrets parce que, à Bouaké, le Mali a sans doute affronté l’une des sélections ivoiriennes le plus à sa portée. Mais, les matches Mali-Côte d’Ivoire ou CI-Mali se jouent généralement au mental et non sur la forme du jour des deux sélections.
Sinon au niveau du jeu, les Aigles n’ont plus de complexe à nourrir devant les Éléphants. Malheureusement, au mental, les Ivoiriens l’emportent toujours car agressifs. Une agressivité qui a presque tourné à une agression délibérée, car nous sommes convaincus que la blessure de Moussa Doumbia est une agression volontaire visant non seulement à écarter un adversaire véloce, mais aussi intimider ses camarades qui avaient visiblement peur pour leurs précieuses jambes.
La sortie de Moussa Doumbia a certainement été le fait décisif, car ayant fragilisé les Aigles. Et sur le coup, Giresse n’a pas eu la main heureuse en faisant rentrer Diadié Samassékou totalement perdu dans la partie. À notre avis, le choix idéal aurait été de faire rentrer un joueur plus expérimenté comme Samba Sow ou Modibo Maïga. L’autre mauvais choix de Giresse est de préférer Oumar Sissoko à Soumbeyla Diakité et surtout à Djigui Diarra. L’agression puis la sortie de Moussa Doumbia a donc plombé le jeu des Aigles qui ont cédé à la panique après l’égalisation ivoirienne au lieu de poser le jeu. À l’image de Salif Coulibaly qui a trompé son portier sur le second but. La preuve qu’il avait perdu son calme olympien. Et Gervinho en a profité pour mettre les Éléphants à l’abri.
Méconnaissables après le premier quart d’heure
Le jeu des protégés d’Alain Giresse s’est curieusement liquéfié après le premier quart d’heure de jeu pendant lequel la panique était dans le camp ivoirien. À l’image de Sambou Yattabaré, l’unique butteur côté malien, les Aigles intimidés ont levé le pied sur l’accélérateur en préférant subir le jeu et redonnant totalement confiance à leurs adversaires du jour. Ce fut très dommage car les Éléphants étaient prenables et le Mali pouvait avoir au moins le point du match nul. Cette Côte d’Ivoire est loin d’être un exemple de sérénité et de cohésion. La preuve, c’est que le climat était fréquemment houleux entre les joueurs, notamment entre le portier Sylvain Gbohouo et sa défense. Mais il faut reconnaître que les Aigles du Mali n’ont pas non plus préparé cette rencontre comme il se doit, avec seulement trois jours de regroupement à Paris et un effectif sans cesse remanié pour des blessures (???).
Compte tenu du temps, nous pensons que l’idéal aurait été de se préparer à Bamako où pourquoi pas à Bouaké. En tout cas, on n’aurait pu avoir alors tous les joueurs convoqués parce que le problème de visa ne se serait plus posé pour Soumbeyla Diakité, Djigui Diarra et Mohamed Oumar Konaté resté bloqué au Maroc. Il est difficile de mettre une équipe sur place avec un effectif qui change à chaque regroupement. Abdoulaye Diaby, Bakary Sacko, Adama Traoré Noss… ont cruellement manqué à Alain Giresse.Et sans être dans les secrets des Dieux, nous avons l’impression qu’il y a un vrai problème de leadership au sein des Aigles face auquel la fédération et l’encadrement font la politique de l’autruche. Depuis la retraite internationale de Seydou Kéita alias Seydoublen, il y a moins de constance dans l’effectif de l’E.N senior comme si certains joueurs s’évitaient. On se demande par exemple pourquoi le jeune portier Samassa boude ou est écarté de la sélection ? Pourquoi depuis un certain temps Bakary Sacko et Modibo Maïga ne sont plus convoqués ensemble dans la sélection ?
Allez-y savoir pour quelle raison ?
Et avec cette instabilité chronique au sein de l’effectif des Aigles du Mali, un coach peut difficilement bâtir une équipe compétitive. En effet, il est difficile voire impossible de mettre une stratégie tactique sur place si on ne peut pas compter sur les mêmes joueurs pendant deux matches de suite. Comme le résume si bien notre ami Makan Magassouba, «au Sélectionneur malien de faire une bonne lecture de cette défaite afin que nous puissions être dans des conditions optimales pour les prochaines rencontres». Et nous ajoutons qu’avant cette seconde sortie du 11 novembre contre le Gabon à Bamako (le Maroc affronte à domicile la Côte d’Ivoire le même jour), nous pensons qu’une discussion franche s’impose entre les joueurs, l’encadrement technique et la Femafoot pour aplanir les difficultés.
Il faut voir les joueurs qui ont réellement envie de mouiller le maillot sans états d’âme et sans considérations personnelles pour arracher une première qualification historique à une phase finale de Coupe du monde. Dans les sports collectifs, difficile de réaliser un rêve s’il n’est pas partagé par tous les protagonistes !
Moussa BOLLY
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Source : Le Reporteur
Keleti nyelveket ismertető tanfolyamok indulnak.
A Lakitelek Népfőiskola kihelyezett tagozataként, valamint a Kelet- és Közép-Európai Kutatásért és Képzésért Alapítvány támogatásával 2016. november 14-től kedvezményes nyelvi és országismereti tanfolyam indul, kezdő szinten az alábbi nyelvekből: azeri, baskír, belarusz, grúz, kazah, kirgiz, tatár, türkmén, ujgur és üzbég.
Ezek nem hagyományos nyelvtanfolyamok, a képzés során elsajátítható ismeretek:
– a nyelv alapjainak megismerése
– a megértést segítő technikák alkalmazása;
– az ismeretlen szavak jelentésére való következtetés;
– feltevések kifejezése, következtetések levonása;
– a mindennapi szükségletekhez kapcsolódó nyelvi kifejezések alkalmazása;
– beszélgetés kezdeményezése;
– a mindennapi szavak, kifejezések, nyelvi fordulatok megértése és használata;
– a célország kultúrájának, hagyományainak megismerése;
– az adott ország földrajzának, gazdaságának, jellemzőinek tanulmányozása.
Az alapozó képzés időtartama 32 óra. Az oktatás heti 1 alkalommal duplaórában (120 perc) zajlik majd, 4 hónapon keresztül. A képzést anyanyelvi előadók bevonásával, kis létszámú csoportokban szervezik, az oktatók .egy része nem képzett nyelvtanár, néhányan a magyar nyelvet sem beszélik. Az órákon való aktív részvételhez szükséges az angol és/vagy az orosz nyelv ismerete.
Jelentkezési határidő: október 17. (hétfő)
Érdeklődni és jelentkezni Gáspár Rolandnál az alábbi e-mail címen lehet: gasparroland85@gmail.com
Ha turistaként készül Grúziába, itt talál egy magyar-grúz turista szótárt.
Az azeri nyelv mellett viszont a kaukázusi állam ételkülönlegességeivel is megismerkedhet Budapesten, az egyetlen magyarországi azeri étteremben, a Marquis De Salade – ban (Hajós utca 43).
Egy sor verseskötet és tavaly megjelent, Senki madara című kisregénye után Szabó T. Anna először jelentkezik novelláskötettel: a nemek közötti hatalmi viszonyokkal foglalkozó Törésteszt szerdán jelent meg a Magvető Könyvkiadónál.
A kötet, amelynek Szilágyi Lenke tervezte borítójáról egy porcelánbaba néz az olvasóra tágra nyílt tekintettel, az Origó című novellával kezdődik. Az írás Szűcs Attila egy festménye nyomán született. A tűpontos, ziháló, rövid novella olyan, akár egy szabadvers. “Ez a fajta beszéd nagyon fontos nekem, az átmenet a szerepversből a prózába. Van néhány verssűrűségű novella ebben a kötetben. Ezeket balladanovellának hívnám, mivel kihagyásos szerkezetükkel is a balladákra emlékeztetnek” – mondta az írónő az MTI-nek.
Az egy híján ötven rövid próza férfi és női hangokon szólal meg. “A férfi és nő közötti hatalmi viszonyok érdekelnek. Még a mai közbeszédben is általában arról van szó, hogy mi a nő feladata, és nem arról, hogy milyen a nő helyzete. A helyzet egy megállapítás, a feladat kényszer, célkijelölés” – foglalta össze a fiatal, kétgyermekes írónő, akinek férje a kortárs próza kiemelkedő szerzője, Dragomán György.
Saját, fájdalmasan megélt tapasztalatát is átszűri az indulatos novellákon. Minden házasságban és minden kapcsolatban dominanciaküzdelmek zajlanak, a legnehezebb az egyenlőség. “Mint célt ki kell tűzni, sehogy máshogy nem érdemes. Egy olyan kapcsolat, amelyben az egyenlőség nem is cél, szerintem kizárólag a másik elnyomásáról szól ” – mondta.
Egy irodalmi példára hivatkozva felidézte, hogy Petőfi és Jókai egyenrangú társnak érezték feleségüket. “Gyönyörű, amikor Petőfi azt mondja: én nem ismerek nálam magasabbat, de alacsonyabbat sem. Ez a romantikus generáció megpróbált szembe menni a konvencióval.”
A Töréstesztet írói pályafutásában legalább akkora lépésnek tartja, mint annak idején az Elhagy című kötetét vagy a szülés utáni verseit. “Mikor megírtam, hogy milyen fájdalmas, szép és durva a gyerekszülés, az volt ekkora kitárulkozás.”
A novelláiban felcsapó indulat nemektől független. Ahogy a kötet címe sugallja, minden történetben lezajlik egy “törésteszt”: ha nem egy tárgy, akkor az ember törik. “Mind hordozunk magunkban olyan sebeket, amelyeket akár akaratlanul is ejtettek rajtunk, kérdés, hogy mekkora egy ember terhelhetősége. Továbbra is tetten érhető, hogy a nő nem emeli fel a szavát, belemegy a játékbaba szerepbe, nagyon szeretne kitörni, de nem tud.”
Egy lépés ez a könyv, a fájdalmon keresztül a megértő szeretethez – fogalmazott az írónő, hozzátéve, hogy ideálképe Kosztolányi Pacsirtája. “Olyan fájdalmas, hogy bele kell halni, mégsem pusztító indulat van bene, hanem megértő, elfogadó, miközben egy reménytelen helyzetet ábrázol.”
A Töréstesztben megjelenő viszonyok azonban sok szempontból nem reménytelenek, mint fogalmazott, “a harag katartikus tud lenni, kiegyenlíti a szerepeket, segít”.
Írásaira nagy hatással volt Kosztolányi mellett Jékely Zoltán novellisztikája, “mert ő is a novelláiban néz szembe a férfi-nő viszonnyal, a testiséggel, kegyetlenül, de ugyanakkor megértően”.
A kötet egy-egy novelláján egy regény intenzitása süt át. Ilyen a Küklopsz is, amely eredetileg valóban egy regény szüzséjeként készült el. A férfiszerelem e szenvedélyes vallomásában elejtett szavakból bukkan elő a fiatal művész és idősebb társa szilánkos története, amelynek egésze azonban meghúzódik a balladai homályban.
“Valamiféle katalizátornak is szánom ezeket a balladanovellákat, olyan kérdéseket vethetnek fel, amelyeket meg lehet vitatni egymás között. Gyújtsanak, robbantsanak be valamit, akkor is, ha ez fáj, hiszen nem lehet megúszni. A legnehezebb magunkkal szembenézni. Ez a könyv önvizsgálat is: tükrözi milyenek az én indulataim” – hangsúlyozta Szabó T. Anna.
A Töréstesztben megjelenő traumabeszéd a nőkről szóló írásokban már Weöres Sándor Psyché, Esterházy Péter Tizenhét hattyúk vagy Dragomán György Máglya című könyvében is jelen van. Szabó T. Anna szerint mintha felszakadt volna egy gát a kortárs magyar prózában. “Ha haragosabb vagy szenvedélyesebb a szöveg, az azért van, mert a fedőt fölemelték, nem tudom ki kezdte, de az a lefojtott, nagy nyomású gőz most előtört.”
A novellák témái már Kerített tér című verseskötetében is hangsúlyosan jelentek meg, ezúttal ismét gyakran a tenni akarás és a tehetetlenség érzetének kettőssége jellemzi az írásokat. A verseskötettel való folyamatosságot húzza alá, hogy ezt a gyűjteményt szintén a szembenézés, ezúttal elsősorban az elfojtott haraggal való szembenézés ihlette.
A Töréstesztben ábrázolt kapcsolatok nem feketék és fehérek. “Vannak kiélezett helyzetek, amikor szükség van a sarkításra, a veszekedés tipikusan ilyen helyzet, de utána a beszélgetésnek, önvizsgálatnak kell következnie” – fejtette ki.
A József Attila-díjas költőnő verseivel párhuzamosan régóta ír prózát, de megjegyezte, hogy mivel ez a műfaj sokkal időigényesebb, nincs sok novellája. Számos színdarabot is írt, és folyamatosan fordít. Mint mondta, munkájához férjétől kapja a legtöbb segítséget. “Mindig biztatott, sokat tanultam tőle.”
Jelenleg egy verseskötete is készül, emellett éppen egy bábdarabhoz ír dalokat. Elmondta, hogy a bábszínházhoz különleges kötelék fűzi, a Törésteszt novelláit az is inspirálta, hogy sokat dolgozott bábosokkal. Az anyaság fájdalmáról, öröméről szóló írásaiból Anyajegy címmel készült bábelőadás, amelyet Markó-Valentyik Anna rendezett és játszik a Vaskakas Bábszínházban. És ez a témája az Elhagy című versének is, amelynek előadásával Kakasy Dóra tavaly elnyerte a Versünnep Fesztivál fődíját. A színésznő önálló estet is összeállított Szabó T. Anna műveiből, a címe: Szeressem végre magamat.
A Törésteszt című kötetet szombaton délután mutatják be a Margó Irodalmi Fesztiválon.
A szerb kormány tegnapi ülésén arról döntött, hogy semmisnek nyilvánítja a koszovói ideiglenes önrendelkezési szervek minden döntését a Trepča ólom- és cinkbányavállalattal kapcsolatban. Mint ismeretes, a hétvégén a koszovói parlament a belgrádi hatóságokkal való előzetes egyeztetések nélkül elfogadta azt a jogszabályt, melynek értelmében Trepčát kisajátítja...
Les membres de cette assemblée dont l’existence est prévue par la Constitution (donc pas supprimable), sont bien rémunérées et fournissent le travail qui leur plait de fournir.
Certains bossent, plutôt bien d’ailleurs, d’autres n’y vont que pour toucher la paie.
Les syndicats et autres organisations y ayant des sièges y envoient leurs permanents ou leurs militants méritants et un peu sur le retour, à qui on assure ainsi une confortable fin de carrière.
Mais le plus gros scandale reste celui du choix des personnalités qualifiées nommées par le gouvernement.
C’est vrai qu’il est fort dommage que cette autorité constitutionnelle et ses membres ne servent à rien.
IL faudrait revoir son rôle, ses prérogatives et le valoriser à defaut de le supprimer.
la redaction
(c) maliactu.net
Am 11. Oktober 2016 hat der Rat den Abschluss eines Abkommens mit Monaco gebilligt, mit dem die Einhaltung der Steuervorschriften durch private Sparer verbessert wird.
Im Rahmen dieses Abkommens verpflichten sich die EU-Mitgliedstaaten und Monaco zum automatischen Informationsaustausch und leisten damit einen Beitrag zur Vermeidung von Steuerhinterziehung.
Steuerbehörden beider Länder erhalten dadurch einen verbesserten grenzüberschreitenden Zugang zu Informationen über die Finanzkonten der jeweils im anderen Land ansässigen Personen.
Mit dem Abkommen wird ein Abkommen von 2004 aktualisiert, durch das Monaco verpflichtet wurde, Regelungen anzuwenden, die den in einer EU-Richtlinie über die Besteuerung von Zinserträgen festgelegten Regelungen gleichwertig sind.
Das neue Abkommen wurde am 12. Juli 2016 unterzeichnet. Es wurde (am 11. Oktober) auf einer Tagung des Rates (Wirtschaft und Finanzen) geschlossen, ohne dass eine Aussprache stattfand.
Mauvaise tactique d’Alain Giresse
Après le match Côte d’Ivoire-Mali, la 20ème confrontation entre les deux pays, les Ivoiriens augmentent leur total de victoire sur nous à 11 contre 3 ; les autres étant des matches nuls. Après le 3-1 au stade de la paix de Bouaké, samedi 08 octobre 2016, les multiples entraîneurs des Aigles ont pris leur plume. Voici le commentaire de l’un d’entre eux : «Donner cette équipe sénior à nos entraîneurs maliens au lieu de nous amener toujours des hommes limités comme Giresse. Giresse a quoi de spécial plus que le Coach Dramé, ou Magassouba ou Traoré Djibril, entre autres ? Ou même Frederick Kanouté ? Le sport ne s’improvise pas. Ça se prépare dans les conditions les plus idoines.
-Problème de visa des joueurs ; -problème de déplacement des journalistes en avion ; -des supporteurs épuisés avant le match ; -un entraîneur limité ; -guerre froide dans la Fédération. Peut-on gagner un match de football dans ces conditions ? Je ne crois pas. Il faut que ça change ! Toujours les mêmes erreurs, les mêmes fautes, les mêmes mauvaises sélections. Qu’on sache aujourd’hui que le Mali a tous les moyens de se battre la poitrine pour dire qu’il est le meilleur en Afrique. Les cadets et les juniors l’ont montré aux yeux du monde entier. Pourquoi les seniors n’arrivent pas à relever les défis ? D’autres diront que c’est juste un match perdu…».
Union de circonstance
La Cour constitutionnelle a été saisie par les députés de l’ADP-Maliba, du Groupe parlementaire VRD et du Sadi d’Oumar Mariko. Ils ont saisi les neuf sages de la Cour constitutionnelle pour invalider certaines dispositions de la loi électorale adoptée par l’Assemblée nationale au cours de sa séance plénière du 9 septembre dernier. Selon eux, lesdites dispositions sont «anticonstitutionnelles» et contraires au protocole de la Cédéao. Avant cette saisie, les députés de ces formations politiques ont eu plusieurs séances de réunions, parce que «la nouvelle électorale est une partition du pays qui ne dit pas son nom». Mais peu d’acteurs politiques accordent du crédit à ces retrouvailles entre Sadi, Adp, Urd, Fare, Pdes et Parena, parce que ce sont eux qui ont des députés.
Alors qu’il y a d’autres formations politiques qui pouvaient être associées à cette démarche, comme la CNAS Faso héré de Dr. Soumana Sacko, afin de parler le même langage, surtout qu’ils sont dans la même dynamique. On se demande aussi si le président de la République a déjà promulgué cette loi. Il a 15 jours pour le faire ou renvoyer cette loi pour une seconde lecture. Il a clairement dit à certains responsables de partis politiques qu’il va la promulguer, parce que pour lui, il y a trop de gens qui se présentent à l’élection présidentielle au Mali.
Le ministre fantôme
Sambel Bana Diallo, ministre de l’Aménagement du territoire et de la Population. Son entrée au gouvernement avait suscité beaucoup d’interrogations. Certains disaient qu’il avait été choisi pour le compte du parti APR, dont le président s’attendait à sa propre nomination. Il s’agit d’Oumar Ibrahim Touré. Celui-ci, comme bon nombre de cadres et présidents de partis politiques, ne peut plus vivre sans les postes politiques. Pour revenir à notre mouton, afin à Sambel Bana Diallo, il est au gouvernement au nom de la Plateforme. Mais il est aujourd’hui à la tête d’un département invisible. On va dire merci à l’ORTM, parce qu’avec l’émission «Action gouvernementale», les gens se sont souvenus que Sambel Bana Diallo est toujours membre du gouvernement. Il ne fait aucune activité : il est invisible à tous points de vue. Son département n’a fait aucune activité. Il fait quoi concrètement, se demandent beaucoup de gens.Ali Bongo en action
«Premier conseil des ministres pour Bruno Ben Moubamba et tous les nouveaux» dixit la présentatrice de Gabon TV. Arrivé 3ème au récent scrutin présidentiel, et ne faisant pas partie de la galaxie Ping, Bruno Ben Moubamba est nommé Vice-premier ministre. il est politologue et philosophe de formation (deux doctorats). Notre collaborateur Yaya Traoré l’avait rencontré par hasard un jour au quartier latin de Paris par l’entremise de son ami gabonais Grégoire Biyogo. Le jeune politicien s’apprêtait à rentrer dans son pays, pour y vivre.
Après ce conseil des ministres, le gouvernement Bongo est à la tâche. Mais certains chefs d’Etat africains, qui ont participé à son investiture, sont actuellement convoqués à l’Elysée ; ils essayent de justifier leur présence à cette cérémonie d’investiture qui n’était pas du goût de la France. Les chefs d’Etat, qui ont pris part à cette investiture, sont : Evaristo Carvalho (Sao Tome & Principe), Mahamadou Issouffou (Niger), Ibrahim Boubacar Keita (Mali) et Faure Gnassingbé (Togo). Idriss Deby Itno, président de la République du Tchad et président en exercice de l’Union africaine (UA), s’est fait représenter par son Premier ministre. Idem pour le Congo-Brazzaville et le Sénégal. Le Rwanda était représenté par le président du Sénat, alors que le Cameroun a dépêché un ministre d’Etat.
Bamako, 145 listes
Pour la municipale du 20 novembre 2016, les partis politiques et les indépendants ont respecté la tradition en déposant leurs différentes listes de candidatures. Au total, pour le seul district de Bamako, il y a eu 145 listes déposées dont 11 listes de candidats indépendants et 134 pour les partis politiques. En commune I, il y a 2 listes indépendantes en lice contre 26 listes de partis politiques. En commune II, aucune liste indépendante n’est en course, alors que 11 listes de partis politiques seront en compétition pour les 37 places de conseillers. En commune III du district de Bamako, 19 listes de partis politiques seront face à 2 listes indépendantes. Les populations de la commune IV doivent choisir entre 26 listes de candidatures dont 24 pour les formations politiques et 2 indépendantes. La commune V a enregistré 26 listes aussi, une seule est pour les indépendants, 25 de partis politiques, alors que le plus gros des listes de candidatures a été enregistré en commune VI avec 30 pour les partis politiques et 3 listes indépendantes.
À Bamako, ça ne rit pas dèh !
« Ah, bè oui, ça ne rit pas à Paris, tu en doutais ? Maahlox Le Vibeur, le génie de Camer t’avait prévenu, tu as fait oreille dure, sinon sourde oreille, Paris, c’est caillou. Même à Bamako, ça ne rit pas aussi hoooo, tu as dû en entendre les échos. Pour bien dodo ici, il faut boulot, même si c’est molo molo, sans être un héros ou un bourreau, on peut aussi bien vivre mais faut pas penser qu’on ramasse facilement les euros…à moins que ton « fa » ou ta « ba » te donne le « cfa ». Zorro le sait, on n’a rien zéro…et à kama, ça ne rit pas, sauf si l’on prend au sérieux le conseil du vieux père…Manga Douala Bell, en martyr, avait prédit aux « Zallemands » qu’ils seront chassés de la terre sacrée de Camer. Oui, tu crois quoi même, que sous le soleil de Dieu, ça rit? Depuis le Joliba, j’ai compris les B.A.B.A. de l’art de la poubelle, là où tout sent avant de fleurir, parfum des fleurs, les fleurs de la sueur, la sueur, ce sourire dédié au soleil. »
L’ONU élit son nouveau secrétaire général
L’ancien Premier ministre portugais Antonio Guterres vient d’être désigné nouveau Secrétaire général de l’ONU par le Conseil de Sécurité. Pour élire le SG de l’ONU, chacun des 10 candidats, les 15 membres du Conseil de Sécurité devraient voter lors d’un scrutin secret avec trois (3) options : le positif, le négatif et sans opinion. Au cours du sixième tour de scrutin organisé, aucun des cinq (5) pays permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU n’a voté contre l’ancien Premier ministre portugais Antonio Guterres qui a reçu 13 votes « positifs » et deux (2) votes « sans opinion ».
Jeudi matin 6 octobre, Antonio Guterres a obtenu l’approbation officielle du Conseil de sécurité qui s’est réuni à cet effet. Après cette étape, son nom sera ensuite soumis aux 193 Etats membres de l’Assemblée générale de l’ONU qui pourraient entériner avant mi-octobre l’élection du successeur de Ban Ki-moon, dont le mandat expire le 31 décembre. S’il est élu, Antonio Guterres deviendra le premier Européen à occuper le poste de secrétaire général de l’ONU depuis l’Autrichien Kurt Waldheim qui l’a occupé entre 1972 et 1981.
Qui est Antonio Guterres ?
Il est socialiste et fervent catholique. Né à Lisbonne en 1949, M. Guterres a une formation d’ingénieur. Fervent pratiquant, il entame son parcours politique auprès des mouvements catholiques. Mais c’est la «révolution des œillets» en 1974 qui met fin à cinquante ans de dictature au Portugal, qui le pousse à s’engager. Il rejoint le Parti socialiste (PS) et siège de longues années au Parlement où son verbe facile lui vaut le surnom de «marteau-piqueur parlant».
En 1992, il devient secrétaire général du Parti socialiste dans son pays. Sa victoire aux législatives de 1995 le propulse au poste de Premier ministre. Européen convaincu, il fait rentrer son pays dans la zone euro. Mais la conjoncture économique se détériore au Portugal. Antonio Guterres abandonne ses mandats politiques pour rejoindre la diplomatie internationale. Il a dirigé le Haut-commissariat de l’ONU aux réfugiés en 2005.
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Source : Le Reporteur