Il ressort des constats que cette sortie des experts de l’ONU composés de M. Alioune Tine, expert indépendant sur la situation des droits de l’homme au Mali, Mme Irene Khan, rapporteuse spéciale sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression, M. Diego García-Sayán, rapporteur spécial sur l’indépendance des juges et des avocats, donnera probablement un coup d’accélérateur à ce dossier que les avocats ont toujours estimé vide.
Ces derniers mois, ce sont deux dossiers judiciaires qui faisaient l’actualité dans notre pays. Celui de Amadou HAya Sanogo et co-accusés dans l’affaire de disparition des bérets rouges et le second relatif à l’affaire dite « déstabilisation des Institutions de la République » concernant le journaliste Youssouf Mohamed Bathily dit Ras Bath et d’autres personnalités du pays. En droite ligne de la Loi d’Entente Nationale, les poursuites engagées contre Amadou HAya Sanogo et ses co-accusés ont été abandonnées. La question qui se pose est la suivante : Tel sera t-il le cas dans l’affaire dite de déstabilisation des Institutions de la transition ?
Dans cette affaire, si Dr Boubou Cissé est introuvable, le journaliste Youssouf Mohamed Bathily dit Ras Bath, Vital Robert Diop, Souleymane Kansaye, Mahamadou Koné et Aguibou Macky Tall, tous travaillant pour des institutions publiques et parapubliques
sont toujours détenus.
Si la Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel de Bamako avait donné une suite favorable à la requête en annulation de la procédure de déstabilisation des Institutions de la transition contre Ras Bath et co-accusés, M. Idrissa (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
TOUGOUNA A. TRAORE –
Source: NOUVEL HORIZON
C’est le contenu du message qui circule actuellement sur les réseaux sociaux. Les auteurs ne peuvent êtresans doute que les deux chefs terroristes maliens Iyad Ag Ghali et Amadou Kouffa qui viennent de « mordre la poussière » en fin de semaine dernière à Aguelhok.
En effet, le vendredi dernier, les éléments terroristes du GSIM placés sous la conduite d’Iyad Ag Ghali avaient pris pour ciblesun camp de la MINUSMA dans le secteur d’Aguelhok. Le bataillon tchadien des casques bleus de la MINUSMA a réagi avec force à l’attaque. La riposte a été sanglante du côté des terroristes qui ont perdu plus de 40 hommes dont le numéro 3 du GSIM et ex maire de Tessalit. Autrement dit les groupes terroristes du GSIM viennent d’enregistrer une lourde perte qu’ils prendront du temps à oublier. Dans son dernier rapport, le secrétaire général de l’ONU a souligné que « la MINUSMA a été récemment, la cible de 39 attaques qui ont fait 7 morts, dont 6 Casques bleus et 1 vacataire des Nations Unies, et 48 blessés, soit une hausse par rapport à la période précédente, au cours de laquelle 20 attaques avaient fait 1 mort et 11 blessés (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
Mahamane TOURÉ –
Source : NOUVEL HORIZON
Bilan pour l’instant côté ami aucune perte en vie humaine, côté ennemis 2 assaillants neutralisés 01 PM récupéré. La situation est sous contrôle.
Source : Forces Armees Maliennes
Selon El Hadj Sékou Ascofaré, membre du Conseil de l’AMRTP et président de ce forum, de Tunis 2005 à nos jours, la question de la gouvernance d’internet n’a pas cessé d’être une actualité pressente et de s’imposer comme la volonté unique des gouvernants, des utilisateurs, des fournisseurs de service du net à aller vers une forme de gouvernance. « Si de prime à bord, l’esprit de neutralité du net doit et continue à prévaloir, la nécessité d’une forme de régulation s’avère plus que (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
TOUGOUNA A. TRAORE –
Source : NOUVEL HORIZON
NOM DU PROJET : PROJET REGIONAL D’ACCES A L’ELECTRICITE DE LA CEDEAO (PRAE- CEDEAO) Phase I
INTITULE DE LA MISSION : RECRUTEMENT D’UN SPECIALISTE EN PASSATION DE MARCHES
N° Don : P164044
N° de référence (selon le Plan de Passation des marchés) : N° service de consultants du
Le Gouvernement du Mali a reçu un Don de l’Association internationale de développement (IDA), et a l’intention d’utiliser une partie du montant de ce Don pour le Recrutement d’un spécialiste en passation de marchés pour le compte du Projet Projet Régional d’Accès à l’Electricité de la CEDEAO (PRAE-CEDEAO (PRAE).
MISSIONS
Sous l’autorité du Coordonnateur du projet, le Spécialiste en passation de marchés est chargé de :
Tâches et responsabilités
Sous la supervision générale du Coordonnateur du Projet, le Spécialiste en passation des marchés :
Profil recherché
Les candidats pour ce poste doivent disposer des qualifications et expériences minimales requises suivantes :
Pour le poste ci-dessous référé, la durée du contrat sera d’un (1) an renouvelable par reconduction sous réserve de l’évaluation annuelle satisfaisante de ses performances et ce jusqu’à la fin du projet, après une période probatoire de six (6) mois au cours de la première année.
Dossier de candidature
Les dossiers de candidature devraient comporter les pièces suivantes :
La langue de soumission des dossiers de candidature est le français.
Informations Générales
Les candidats intéressés peuvent retirer les Termes de Référence et obtenir des informations complémentaires pendant les jours ouvrables à l’adresse ci-dessous de 8 heures à 16 heures (TU) : Siège de l’Unité de Coordination du Projet Régional d’Accès à l’Electricité de la CEDEAO (PRAE-CEDEAO, sise à ENERGIE DU MALI SA BP 69
Djikoroni Para (CPP)
Email : oustraore@edmsa.ml, iskante@edmsa.ml & msidibe@prre.ml
Les candidatures envoyées par fax ne seront pas acceptées.
Les Consultants individuels intéressés et ayant les qualifications requises sont invités à manifester leur intérêt en soumettant leur dossier sous pli fermé en un (01) exemplaire avec la mention « Candidature au poste de Spécialiste en passation des marchés du « Projet Régional d’Accès à l’Electricité de la CEDEAO (PRAE-CEDEAO » à Bamako au plus tard le 23 Avril 2021 à 16 heures GMT précises à l’adresse suivante : Projet Régional d’Accès à l’Electricité de la CEDEAO (PRAE-CEDEAO , sise à ENERGIE DU MALI SA BP 69 Djikoroni Para (CPP) ,Email : oustraore@edmsa.ml, iskante@edmsa.ml & msidibe@prre.ml
Soit envoyées par email (en format non modifiable) aux adresses suivantes : / oustraore@edmsa.ml, iskante@edmsa.ml & msidibe@prre.ml , au plus tard le 23 Avril 2021.
Dans le cas où les candidatures sont communiquées sous plis fermés, les dossiers doivent être envoyés dans une enveloppe format A4 portant l’intitulé « Recrutement d’un Spécialiste en Passation des marchés pour le compte du Projet Régional d’Accès à l’Electricité de la CEDEAO (PRAE-CEDEAO
Adresse
Le Spécialiste en passation des marchés sera sélectionné en accord avec les procédures définies dans le « Règlement de Passation des Marchés pour les Emprunteurs sollicitant le Financement de projets d’Investissement (FPI) » de Juillet 2016, révisé en Novembre 2017 et Août 2018.
Il reste entendu que le recrutement d’un candidat fonctionnaire doit satisfaire aux dispositions de la clause 3.23 d) du Règlement de Passation des Marchés pour les Emprunteurs sollicitant le Financement de projets d’Investissement (FPI) de Juillet 2016, qui précisent que les responsables d’administrations publiques et les fonctionnaires du pays de l’Emprunteur peuvent être engagés dans le cadre de contrats de consultants dans ledit pays, soit individuellement soit comme membre de l’équipe d’experts proposée par un cabinet de consultants, uniquement lorsque :
Il est également porté à l’attention des candidats que les dispositions de la clause 3.15 d) du « Règlement de Passation des Marchés pour les Emprunteurs sollicitant le Financement de Projets (FPI) » relatives aux règles de la Banque mondiale en matière de conflit d’intérêts sont applicables.
Les candidats présélectionnés seront contactés pour un entretien. Aucune question et/ou appel téléphonique des postulants ne sera accepté avant la publication de la liste des présélectionnés.
Le rapport évoque en effet, « 09 cas, d’exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, 65 meurtres, 125 cas de coups et blessures. Les actes de torture et de mauvais traitements recensés sont au nombre de 17 cas, ceux d’enlèvements font 110 en plus de 83 cas, d’arrestations et de détentions illégales, y compris des détentions prolongées et des violations des garanties d’une procédure régulière ». Le rapport souligne aussi 56 cas de menaces de mort et d’intimidation, de destruction et de pillage de biens, de déplacements forcés et d’attaques contre le personnel humanitaire et médical ont été recensés. « Parmi les auteurs présumés de ces infractions, on compte des membres des forces nationales (31 cas), des agents de sécurité de l’État (7 cas), des représentants des autorités judiciaires (51 cas), des membres de groupes armés ayant signé l’Accord et y adhérant (36 cas), de groupes armés et milices communautaires (88 cas) et de groupes extrémistes violents (176 cas), ainsi que des acteurs armés non identifiés (20 cas) » indique le rapport du secrétaire général de l’ONU . Et de préciser que « la plupart des violations et atteintes ont été recensées dans le centre du pays, notamment dans les (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU JEUDI 08 AVRIL 2021
Mahamane TOURÉ –
Source : NOUVEL HORIZON
Aussitôt arrivés sur les lieux le Ministre ainsi que sa délégation ont effectué une visite guidée par le directeur général de la Maison des jeunes pour s’imprégner des faits.
L’objectif de cette visite était de faire toute la lumière sur cette affaire afin de trouver une solution définitive. Selon lui, : « J’ai associé toutes les structures compétentes à cette visite, notamment le représentant du maire de la commune 3, le représentant des domaines, et les jeunes eux- même», déclare-t-il.
Selon le Ministre « il y a une tierce personne qui affirme avoir une partie sur l’espace publique de la Maison (…)
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ALPHA C. SOW –
Source : NOUVEL HORIZON
C’est le contenu du message qui circule actuellement sur les réseaux sociaux. Les auteurs ne peuvent êtresans doute que les deux chefs terroristes maliens Iyad Ag Ghali et Amadou Kouffa qui viennent de « mordre la poussière » en fin de semaine dernière à Aguelhok.
En effet, le vendredi dernier, les éléments terroristes du GSIM placés sous la conduite d’Iyad Ag Ghali avaient pris pour ciblesun camp de la MINUSMA dans le secteur d’Aguelhok. Le bataillon tchadien des casques bleus de la MINUSMA a réagi avec force à l’attaque. La riposte a été sanglante du côté des terroristes qui ont perdu plus de 40 hommes dont le numéro 3 du GSIM et ex maire de Tessalit.
Autrement dit les groupes terroristes du GSIM viennent d’enregistrer une lourde perte qu’ils prendront du temps à oublier. Dans son dernier rapport, le secrétaire général de l’ONU a souligné que « la MINUSMA a été récemment, la cible de 39 attaques qui ont fait 7 morts, dont 6 Casques bleus et 1 vacataire des Nations Unies, et 48 blessés, soit une hausse par rapport à la période précédente, au cours de laquelle 20 attaques avaient fait 1 mort et 11 blessés (…)
Mahamane TOURÉ
Source : NOUVEL HORIZON
Ces Assises qui regroupent des représentantes des ADDAD du Mali, du Burkina-Faso, du Benin, du Togo, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée Conakry, du Sénégal, de la Gambie visent à : « créer une alliance sous- régionale avec les syndicats pour mieux protéger les filles migrantes, travailleuses , domestiques ; s’approprier des expériences des uns et des autres ; renforcer les capacités des ADDAD en termes de syndicalisme ; trouver des stratégies communes pour la ratification de la convention 189 de l’OIT par les pays.
Pendant ces deux jours, plusieurs thèmes seront développés comme : l’intervention de l’ADDAD sur le parcours et les conditions de vie des filles travailleuses domestiques ; la présentation générale sur l’ADDAD ; la communication des syndicats ; la présentation de la convention 189 de l’OIT ; l’évaluation des centres d’intérêt commun ; le rôle et les expériences des organisations participantes à la protection des filles travailleuses domestiques ; la création des alliances (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
Mahamane TOURÉ –
Source : NOUVEL HORIZON
Tout comme de nombreux observateurs, le Constitutionnaliste Malien, Dr Brahima Fomba a donné son avis sur la question qui paraît difficile à accomplir selon lui. Voici ce qu’il en pense :
« LA TRANSITION ELECTORALISTE SE PRECISE
Tout semble aujourd’hui dessiné en gros trait, le cheminement d’une Transition uniquement électoraliste, obligée de se débarrasser du fardeau insupportable des réformes institutionnelles de refondation du Mali.
Au lieu d’une Transition réformiste maximaliste, les Maliens risquent de se contenter d’une Transition électoraliste minimaliste.
La communauté internationale se dévoile chaque jour un peu plus, arc-boutée qu’elle a d’ailleurs toujours été sur cette vision minimaliste du programme de la Transition militaire. Une Transition militaire dont elles n’attendent rien d’autre que l’organisation d’élections mettant hors-jeux politiques les militaires putschistes.
DE LOMÉ A NEW YORK
C’est dans ce sens qu’à Lomé, lors de la 2ème réunion du Groupe dit de soutien à la Transition, les autorités maliennes ont fixé au 22 mars 2022 la tenue de l’élection présidentielle.
Dans la même veine, le Conseil de sécurité de l’ONU vient de se positionner lors d’une visioconférence du 6 avril 2021 consacrée au dossier malien. « La priorité absolue doit être l’organisation et la tenue d’élections libres et équitables d’ici la fin de la période de Transition », a martelé notre « parente » l’ambassadrice américaine à l’ONU Linda Thomas-Greenfield.
« Nous encourageons les autorités de Transition à accélérer les préparatifs en vue des élections de mars 2022 », a surenchérit Nathalie Broadhurst, l’ambassadrice française adjointe à l’ONU.
Le Secrétaire général adjoint de l’ONU pour les Opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix est encore plus explicite : « Ces élections représentent le test décisif de la transition actuelle et une étape nécessaire vers le retour du Mali à la règle constitutionnelle… Une plus grande participation… et le renforcement de la crédibilité des élections seront essentiels pour éviter que ce jalon du processus démocratique ne devienne à nouveau le déclencheur d’une nouvelle instabilité politique au Mali ». Lacroix est d’autant plus explicite sur le minimalisme électoral de la Transition et les conséquences implicites qui en découlent qu’il rappelle au passage comme un message codé, que « les Maliens ne se sont pas encore mis d’accord sur les réformes à mettre en œuvre, notamment sur la question de la gestion des scrutins ».
TENIR MALGRÉ TOUT LES SCRUTINS EN COMPTANT SUR LA CERTIFICATION ONUSIENNE
– Comment peut-on se focaliser sur la date unilatérale de la présidentielle du 22 mars 2022 alors que les Maliens ne se sont même pas mis d’accord sur les réformes électorales qui en sont le préalable ?
– Comment s’assurer dans ces conditions que les élections prévues soient libres et équitables et se déroulent à temps, sinon qu’à travers un parrainage international éventuel ?
– Et si la communauté internationale était déjà dans le scénario de la certification des scrutins de sortie de la Transition ?
En admettant que le Certificateur pourrait éventuellement agir dans le cadre du maintien de la paix et de la stabilité au Mali, il disposerait ainsi du pouvoir de sauvegarder les résultats par tous les moyens dont il dispose. Il est fort à craindre, dans le climat politique de méfiance généralisée qui prévaut actuellement au Mali, que l’ONU, ne voulant plus supporter davantage la Transition militaire, ne soit tentée par le système de certification internationale des scrutins de 2022, afin que malgré tout, les résultats soient respectés, acceptés et ne fassent l’objet de contestations non démocratiques.
Faudrait-il désormais s’inscrire dans cet éventuel scénario ou courir le risque de voir la Transition militaire s’éterniser sous le prétexte de réformes institutionnelles dont nul ne verra la couleur ? »
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
Ibrehima KONE –
Source : NOUVEL HORIZON
Le Danemark connaît depuis quelques années un afflux important de réfugiés en provenance d’autre pays mais aussi du Mali à cause des groupes terroristes. ‘’ Maintenant, le gouvernement enverra une contribution militaire pour aider à stabiliser la région du Sahel en Afrique’’,a déclaré hier jeudi, le ministre des Affaires étrangères du Danemark M.Jeppe Kofod après une réunion du Conseil de la politique étrangère. Il a ajouté que le gouvernement Danois va présenter une résolution sur la contribution des forces. La résolution doit d’abord être adoptée par le parlement avant que les soldats ne soient déployés au début de 2022. Selon les informations, le gouvernement envisage spécifiquement d’envoyer de nouvelles contributions militaires à la Force d’opérations spéciales européenne au Mali appelée Task Force Takuba. La contribution comprendra, entre autres, des forces d’opérations spéciales, des chirurgiens et des (…)
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
Mahamane TOURÉ –
Source : NOUVEL HORIZON
Toutefois, en ces jours incertains, Maliens de la Diaspora, de l’intérieur, faisons front derrière notre armée dans sa montée en puissance. Ne baissons plus les bras, faisons l’effort au quotidien en soutenant les actes vaillamment posés par nos militaires pour les renforcer dans leur conviction de vaincre nos ennemis et donner la paix à la Nation. Eux qui affrontent des terroristes sur des théâtres ensouillés, eux qui vivent dans le froid, sous la pluie, sous la tempête, sur des terrains difficiles, dans la faim et dans la soif et qui abandonnent tout pour la patrie, soutenez-les.
Ces temps-ci, des victoires de nos vaillants soldats s’alignent. Ce fait qui n’est pas nouveau, seulement il mérite la participation de tous les concitoyens comme effort de guerre. Que les marraines de guerre se préparent et prennent le flambeau en encourageant leurs fils et filles du pays pour ce sacrifice ultime.
Après tant de victoires sur l’ennemi redoutable venez les applaudir et leurs porter vos lauriers pour qu’ils comprennent que le peuple songe à leur dévouement et est de cœur avec eux pour que ce sacrifice ne reste pas vain.
Oui à Tessit malgré la lourde perte des jeunes soldats qui ont tenu les armes jusqu’au bout là-bas n’ont pas démérité.
A Diafarabé, les terroristes ont lamentablement échoué sous le feu nourri de nos combattants déterminés à vous donner la preuve de leur engagement. Attaqués le petit matin comme d’habitude la force obscurantiste a voulu marquer un coup, mais nos combattants ont maitrisé le terrain et ont renversé la tendance en faisant plus de morts et en récupérant des armes volés ou fournis par leurs soutiens. Après cette victoire les complices de ses terroristes ont levé la voix pour dire que l’armée comme d’habitude a commis des exactions.
Le vendredi 02 Avril 2021 à 5H du matin, les GAT (groupes armés terroristes) lourdement armés se sont attaqués au détachement des Famas à Diafarabé. Le bilan provisoire fait état de 3 morts, 17 blessés dont 6 graves côté ami, côté ennemi 10 corps décomptés après le ratissage de la zone.
Les blessés ont été immédiatement évacués vers Sévaré par les FAMa et la MINUSMA. La mission de renfort s’est vite transportée sur les lieux pour appuyer les Famas en place qui ont riposté et repoussé de façon vigoureuse les assaillants.
L’aviation FAMa entrée dans la danse a détruit quatre véhicules ennemis lourdement armés. La situation étant sous contrôle, toutes les dispositions ont été prises, aérienne aussi bien que terrestre pour sécuriser les populations et leurs biens.
Le Chef d’Etat-major Général des Armées a ensuite communiqué et présenté ses condoléances les plus attristées aux familles endeuillées et souhaité prompt rétablissement aux blessés.
Il a tout juste exhorté les FAMa à la vigilance et les a encouragés à poursuivre leurs missions régaliennes.
A Mafunè, après une autre attaque, les Famas dans leur élan ont encore fait dérouter des terroristes sans crier gare. Cette attaque faitsuite à des renseignements qui précisaient la présence terroriste dans le secteur de Mafunè à une dizaine de kilomètres de Mandiakui dans la région de Ségou, une unité FAMa a alors été engagée en reconnaissance offensive.
Au cours de leur progression, l’unité a été accrochée à environ 10 km de Mafunè. Après d’intenses combats le bilan tombé a fait état, côté ennemi de 06 terroristes neutralisés et du matériel récupéré. Côté ami, les Famas ont déploré 03 blessés dont un grave.
Le Chef d’Etat-Major Général des Armé, le Général Oumar Diarra n’a pas hésité encore à féliciter et encourager la promptitude, la combativité et la vivacité de l’unité FAMa qui n’a ménagé aucun effort pour venir à bout du groupe armé terroriste dans sa retraite à Mafunè.
En moins de deux jours, Konna se voit attaqué à son tour précisément le mardi 6 Avril 2021 vers 3H du matin, des terroristes très lourdement armés s’attaquent violemment au Poste Militaire de la cité dans la Région de Mopti.
Les FAMa dans leur détermination et leur professionnalisme, ont vigoureusement riposté pour repousser l’attaque et donner un résultat à hauteur de mission.
Tout en déplorant 1 mort et 4 blessés amis, les FAMa ont récupéré sur l’ennemi : 3 PKM, 2 LRAC, 4 roquettes, 8 PM avec 15 chargeurs, 4 maillons de 7,62mm Long bien garnis, 04 motos, 6 Postes Radio et 1 téléphone portable.
Au cours du ratissage, nos forces ont retrouvé 12 corps ennemis abandonnés. Les blessés ont été immédiatement pris en charge par une équipe médicale militaire. Un renfort est arrivé sur les lieux et le ratissage de la zone s’est poursuivi.
Le Chef d’Etat-major Général des Armées félicite encore les Famas pour leur promptitude et leur abnégation face aux actions croisées des ennemis. Il les exhorte ainsi à la vigilance et les encourage à poursuivre leurs missions de lutte contre le terrorisme et la protection des personnes et de leurs biens, dans le strict respect du Droit International Humanitaire. Le Chef d’Etat-major Général des Armées a présenté ses condoléances les plus attristées aux familles du militaire tombé et toute sa compassion aux blessés tout en leur souhaitant prompt rétablissement.
Nos militaires malgré leurs maigres moyens face à un ennemi hyper équipé venant de tous les fronts de conflit de l’Afghanistan au Pakistan, la Syrie en passant par le soudan la Somalie, bref des foyers vives tensions de guerre, convergent sur notre sol pour combattre nos forces armées. Ces derniers de retour des combats souvent rudes se voient exposées aux critiques de certains de leurs frères nationaux. Alors quand ils donnent de bons résultats qu’on les encourage. Oui ils sont à encourager car la crise malienne n’est pas du tout simple et n’est pas de tout repos. Pendant que d’autres viennent pour 4 mois en opération, vos hommes infatigables font 6, 8, 9 mois même toute l’armée pour maintenir la cadence sur le terrain.
Maliens, il s’agit de vous, citoyens maliens ensemble soyons avec nos braves fils, car jamais une guerre n’a été aussi sombre que celle du Mali où on met des fils d’un même pays en conflit pour bâtir d’autres Empires. Ces militaires qui se sacrifient pour nous, abandonnent tout, familles, maigres biens et vie pour nous donner le sommeil, la libre circulation et la quiétude doivent avoir une petite considération de nous tous, leurs frères et sœurs, leurs parents leurs amis et leurs concitoyens pour obtenir la force de faire à l’ennemi dans cette guerre asymétrique jamais connue nulle part dans le monde. Une crise créée de toute pièce pour nous nuire. Le Mali souffre aujourd’hui nous devons nous soutenir pour vivre dans le futur meilleur. Peuple malien ouvrons nos yeux pour notre bonheur.
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LE «NOUVEL HORIZON» DU VENDREDI 09 AVRIL 2021
Le tout nouveau président nigérien a profité d’une interview qu’il a accordée aux médias français Rfi/France 24 pour se prononcer sur l’opération menée par la force française Barkhane dans la région de Sahel. Pour Mohamed Bazoum, les fruits n’auront pas tenu la promesse des fleurs dans le cadre de cette opération dont l’objectif était de lutter contre la menace terroriste. Lors de cette sortie médiatique qu’il a effectué ce lundi, il a tout de même déploré cet « échec relatif ».
“Cet échec relatif, c’est notre échec à tous”« Nous aurions souhaité, dans le cadre de la coopération avec l’armée française, avoir de meilleurs résultats que nous n’en avons. Cet échec relatif, c’est notre échec à tous, l’échec de l’ensemble de la coalition », a-t-il déclaré. « Ce qui nous importe nous c’est une certaine présence des forces aériennes françaises qui, de mon point de vue, sera garantie quels que soient les effectifs français qui seront présents », a-t-il poursuivi.
Le dialogue est proscrit avec les djihadistes selon BazoumRappelons qu’au cours de l’interview, le président nigérien a rejeté toute possibilité de dialogue avec les djihadistes. « Nous ne pourrions pas envisager quelque dialogue que ce soit dans la mesure où il n’y a pas un seul chef djihadiste nigérien, une seule base de djihadistes sur notre territoire », a-t-il martelé. La France quant à elle, avait brandi il y a quelques mois la possibilité d’un renfort européen pour renforcer la stratégie mise sur pied. Depuis le début de l’opération en 2013, 50 soldats d’origine française ont été tués au combat.
La nouvelle tribune
Ainsi, dans notre pays, tous les spécialistes du domaine de la santé s’accordent à reconnaitre l’expansion inquiétante de cette grave et dangereuse maladie. Selon le registre national de 2020, sur 100 patients consultés 40 avaient le cancer. A en croire également l’étude statistique de l’agence internationale de recherche sur le cancer le Mali compte de nos jours plus de 13.000 nouveaux cas de cancer. Lors de la commémoration de la Journée mondiale de lutte contre les cancers, le 4 février 2018, l’ex ministre de la santé Samba Sow sonnait le tocsin en affirmant que les femmes sont les plus touchées (cancers du col utérin, du sein, de l’estomac, du foie et du colon rectum), tandis que chez les hommes il existe une prédominance du cancer du foie, de l’estomac, de la prostate, de la vessie du colon et du rectum.
Ce constat amer conduit l’interrogation suivante : Pourquoi le développement brusque et inopiné de cette maladie ?
Si l’on s’en tient à l’analyse des oncologues, qui sont les spécialistes en étude des tumeurs cancéreuses, on se rend aisément compte que les facteurs de risque et causes favorisant l’accroissement du cancer sont inhérents à nos conduites : tabagisme, consommation excessive d’alcool et d’autres drogues, alimentation peu déséquilibrée, surpoids et obésité, etc., sans compter les vecteurs génétiques.
Il est plus qu’évident qu’au moins 70% de la population malienne sont affectés par au moins l’une des causes énumérées. C’est pourquoi, les autorités s’évertuent à endiguer cet énième problème qui bourgeonne au Mali, en initiant certaines mesures pour obvier à cet autre problème de santé publique : subvention gratuite de certains médicaments anti cancéreux, cures de chimiothérapie, radiothérapie, consultations, scanner (l’imagerie), quoique les bilans entre chaque chimiothérapie restent payants. Mais en réalité beaucoup de déficiences estampillent ces mesures étatiques en ce sens que le plus souvent, lors des chimiothérapies, il est de coutume qu’une insuffisance de stock vienne entraver la cure et contraindre ipso facto les patients à mettre la main à la poche pour se procurer les produits budgétivores manquants à la pharmacie. Ce qui constitue un véritable bémol.
Sur un autre plan, le cancer, perçu comme une maladie du blanc ou du riche, est méconnu du grand public. Aussi, les difficultés liées au diagnostic tardif de la maladie explique son taux de mortalité élevé. Selon le témoignage d’un sexagénaire, qui dit avoir sillonné cliniques et hôpitaux sans connaitre la raison de son mal, son échographie avait montré une anomalie au niveau du colon et l’interprétation des docteurs voltigeaient entre inflammation intestinale, gaz intestinal, problème d’appendice etc. Il a donc fallu un scanner à 100.000 FCFA et une biopsie pour découvrir qu’il s’agissait d’un cancer du côlon à son début. Et, depuis cet homme financièrement aisée a bénéficié d’une bonne prise en charge qui a abouti à une intervention chirurgicale et une chimiothérapie de 7 mois. La rémission de son cancer lui a ainsi couté environ 3.000.000 FCFA. Mais cette habitante de Diatoula n’a pas eu la même chance. Souffrant d’un cancer de sein, elle était dépourvue de soutien financier parmi les membres de sa famille pour la prise en charge des frais médicaux : trois (3) mois de chimiothérapie pour réduire la taille de la tumeur cancéreuse, puis une intervention chirurgicale avait une autre chimiothérapie d’au moins 8 mois. La bonne dame de 46 ans s’est finalement résignée à se rabattre sur la médecine traditionnelle. Nombreux sont ces cas au Mali, mais jusqu’à preuve du contraire les guérisseurs traditionnels n’ont jamais réussi à stopper la progression de cette maladie qui ronge à petit feu ses victimes jusqu’à la mort.
L’implication de tous (Etat, professionnels de la santé, citoyen lambda) est ainsi vivement souhaitée pour d’abord sensibiliser à travers les campagnes d’informations en vue d’expliquer à la population que le cancer n’est pas synonyme de condamnation à mort car c’est souvent la perception des patients à l’annonce de la maladie. Il faudra également un cadre approprié dédié à ce problème sanitaire plus que nocif et surtout l’établissement convenable et effectif d’une subvention gratuite pour les traitements trop couteux qu’impose le cancer.
Ousmane T Diakité
Source : Le Témoin
Au menu, l’examen et adoption du projet de budget des institutions pour l’exercice 2021 ainsi que les activités normatives novatrices destinées à actualiser la législation OHADA et de l’adapter aux évolutions économiques contemporaines. Le projet de budget de l’OHADA, au titre de l’exercice 2021, est ainsi équilibré en ressources et en emplois à 7,661 milliards, soit une hausse de 15,2% par rapport à l’année précédente. Cette hausse s’explique par la contribution des PTF qui passe de 1.887.000. 000 FCFA en 2020 à 2.854.658.200 FCFA en 2021.
La session s’est également penchée sur la relecture de plusieurs textes de l’Ohada, notamment le mode et procédure judiciaire.
Placée sous sa présidence, le président de la transition, Bah N’Daw, également président en exercice de la Conférence des chefs d’états et du gouvernement de l’Organisation, dans son allocution d’ouverture, a rassuré les différentes délégations de l’engagement du Mali à faire tout pour relever les défis qui s’imposent au rayonnement de l’OHADA. « Sous mon mandat, je ferai tout son possible pour que l’OHADA soit un vrai outil de d’intégration entre les pays membres, a promis Bah N’daw avant d’exhorter le conseil à faire des propositions et recommandations pertinentes pour le bien-être de l’organisation.
Quant au président du conseil des ministres de l’Ohada, Mohamed Sidda Dicko, il a rassuré ses homologues de ne manager aucun effort pour donner un franc succès au mandat qui a été confié au Mali.
Pour sa part, le secrétaire permanent de l’organisation a attiré l’attention du Conseil des Ministres pour qu’il prenne les mesures appropriées pour que les Etats membres s’acquittent régulièrement et à bonne date de leurs contributions au budget de l’OHADA, afin de donner aux organes et aux Institutions les moyens de leur bon fonctionnement. L’Ohada, selon lui, met à la disposition de ses Etat membres des instruments juridiques simples et modernes, facilite les échanges commerciaux, attire les investissements et assure la promotion de l’arbitrage et de la médiation, comme instrument de règlement des différends commerciaux et d’investissement. « Cet outil précieux et très envié à travers le monde doit être préservé pour l’intérêt de nos pays respectifs », a-t-il indiqué.
La session a été sanctionnée par une série d’actes dont les motions adressées au président de la Transition de la République du Mali, président de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement et à Paul Biya, Président de la République de Cameroun, pour leur engagement indéfectible et leur soutien à l’Organisation, ainsi qu’au président du conseil des ministres de l’Ohada Mohamed Sidda DICKO, pour son engagement et la constance de sa disponibilité. Le secrétaire permanent et le personnel de l’Ohada ont quant à eux mérité une motion de félicitations pour leurs dévouement et sacrifices pour la cause de l’Organisation.
Amidou Keita
Source : Le Témoin
En tant que sous-traitant local, Fatoumata Latyfa Traoré estime que ce code est une opportunité de développement, de formation et d’expertise pour les sociétés maliennes. Et pour cause, le contenu local, selon elle, permet d’avoir sa part du marché dans les mines.
Quant au président du CSDM, Mohamed Cherif Haidara, il a préconisé la création d’une société de patrimoine minier avec comme objectif de porter les actions de l’Etat dans toutes les sociétés et veiller sur le contenu local. Le président de la Diaspora a en outre attiré l’attention des autorités sur la nécessité de mettre l’accent sur la formation en ouvrant des écoles de formation. M Haidara a néanmoins déploré l’exportation massive de l’or brut aux fins de raffinement à l’extérieur. Selon lui, en effet, il existe dans l’or d’autres métaux comme l’argent, le cuivre et le zinc, qui pourraient profiter à l’économie malienne. Il en a profité pour proposer au ministre de raffiner l’or malien sur place pour créer de la valeur ajoutée en termes d’emplois et de revenus. Il s’agit, a-t-il expliqué, de réaliser une des ambitions de la transition qui est de «faire briller l’or pour les Maliens» et permettre au Mali d’être coté à la bourse pour lever des fonds et financer une mine 100% malienne.
Face aux ardeurs nationalistes de M. Haidara, Me Berthé, après avoir rappelé que le Mali a signé des accords et traités, a mis en garde les autorités de s’aventurer sur le terrain. Il a par contre préconisé de revisiter les taxes d’importations dans le code.
Sur la présence d’exploitants sur le terrain qui frustre les sous-traitants, M. Hairada de la CSDM l’assimile à une anarchie propre à la quasi-totalité des pays africains, tandis que Me Berthé s’interroge sur la teneur dissuasive des mesures pour y mettre un terme. Et Mme Mme Fatoumata Latyfa Traoré de plaider quant à elle pour une application sans complaisance de la loi. À titre d’exemple, le président de CSDM, qui exerce dans le domaine minier dans plusieurs pays de la sous-région, suggère de s’inspirer de la Guinée Conakry, un voisin Guinéen qui a su révolutionner son secteur minier et s’approprier ses mines.
Amidou Keita
Source : Le Challenger
La cérémonie était l’occasion pour les Aigles locaux de recevoir le témoignage et la reconnaissance de la nation malienne pour leur belle performance lors du Championnat d’Afrique des nations (CHAN), Cameroun 2020 où le Mali s’est classé deuxième de la compétition.
Le président de la Transition en a aussi profité pour magnifier singulièrement, au nom de la Nation, l’artiste Modibo Koné dit Askia Modibo pour sa belle chanson emblématique « les Aigles » ainsi que tous les acteurs ayant contribué au succès de l’équipe nationale au Cameroun.
«Il est à noter que les résultats et les belles performances de notre équipe nationale locale est le fruit des efforts conjugués de toute une chaîne d’acteurs à savoir : l’Etat, le Comité national olympique et sportif du Mali, la Fédération malienne de football, l’encadrement technique et les joueurs», a déclaré le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mossa Ag Attaher, avant de remercier le président de la Transition pour les inlassables accompagnements de tous les jours pour le développement du sport en général et en particulier lors du séjour de l’équipe nationale locale au Cameroun.
« Aussi, besoin est-il de rappeler ici, excellence monsieur le président, que vous avez joué toute votre partition dans ces performances. Vous avez pleinement assuré votre rôle de « 12ème homme », votre rôle de père de la nation, votre rôle de soutien moral et psychologique à ces jeunes ambassadeurs. Je voudrais à ce titre reconnaitre et saluer vos messages d’encouragement après chaque match quelle que soit l’issue. Ces messages ont toujours été considérés comme étant une source de motivation et de reconnaissance de la nation tout entière à ses vaillants fils. Nous sommes très honorés et chanceux d’avoir un chef de l’Etat qui ne ménage aucun effort pour la réussite et le développement du sport dans toutes ses composantes », a-t-il ajouté. « J’encourage la fédération malienne de football à travers son président Mamoutou Touré désormais membre du conseil de la FIFA à continuer dans cette dynamique pour que nos équipes nationales de football soient plus compétitives à apporter des trophées pour le bonheur des adeptes du ballon rond. Merci aux aigles locaux pour cette participation honorable au Cameroun qui a émerveillé l’ensemble du peuple malien ».
Le président de la Transition Bah N’Daw a félicité pour sa part les joueurs et leur encadrement pour leur brillant parcours au CHAN et témoigné le sentiment de fierté et de reconnaissance aux efforts remarquables qui ont conduit au succès de l’équipe nationale. Bah N’Daw n’a pas omis de féliciter Mamoutou Touré dit Bavieux pour son élection au Conseil de la FIFA et l’a assuré de son accompagnement.
Ousmane CAMARA
Source : Le Témoin