Es ist wieder einmal so weit: Bei den Verhandlungen über den neuen Mehrjährigen Finanzrahmen für die Europäische Union (EU) werden auch Festlegungen für die Gemeinsame Agrarpolitik (GAP) getroffen, den nach wie vor größten Ausgabenblock. Kritiker der GAP verweisen in der Debatte wieder einmal auf deren entwicklungspolitische (Neben-)Wirkungen: Demnach fördern europäische Subventionen durch billige Exporte Armut und Ernährungsunsicherheit in Entwicklungsländern. Aber stimmt dieser Vorwurf?
Vous avez essayé de créer votre société sur plusieurs sites internet, qui vous proposaient des services médiocres, ou qui, carrément, en arrivaient à vous arnaquer. Cependant, vous recherchez toujours un site fiable, sur lequel vous pourrez créer votre société facilement ? Il y a bien une solution pour vous : le site Legalstart.
Ce site est l’un des meilleurs en ce qui concerne la création d’une entreprise. Néanmoins, certaines étapes sont à respecter, si vous voulez y arriver le plus facilement possible. Quelles sont ces étapes ?
Répondre aux questionsIl s’agit de l’étape la plus essentielle si vous avez l’intention de créer votre société sur le site Legalstart. En effet, sans cela, le site ne sera pas en mesure de vous aider à créer votre société. Vous devez donc répondre aux questions les plus essentielles posées par le site.
Les questions posées ont souvent rapport avec la société que vous avez l’intention de créer. Il s’agit par exemple, du type de société, ou du type d’activité que vous souhaitez exercer. En clair, il s’agit de toutes les questions nécessaires, pouvant vous permettre d’établir le statut de votre société.
La gestion des documentsLa gestion des documents s’effectue par le site lui-même. En effet, une fois que vous avez fini de répondre aux questions, tout ce que vous avez à faire, c’est de laisser Legalstart établir les documents nécessaires. En réalité, ce site se fait régulièrement assisté par des experts, afin de vous rédiger les documents préétablis, et ainsi, les personnaliser en fonction des réponses que vous aurez données.
Une fois cette étape franchie. Vous n’aurez plus qu’à signer les documents. Cependant, il est préférable de lire les documents, avant de pouvoir les signer. Aussi, ces experts se chargeront d’établir les documents nécessaires, afin que vous puissiez recevoir rapidement votre K-Bis.
La réception du K-BisUne fois que les documents seront dûment rédigés et signées, ils seront envoyés au Registre du Commerce, afin que votre société soit officiellement créée, et qu’elle soit correctement immatriculée. Après la création et l’immatriculation. Vous recevrez votre K-Bis par le site, en quelques jours.
Lire aussiMicrosoft Sculpt Comfort Mouse : le meilleur rapport qualité / prix ?
jQuery(document).ready(function(){jQuery("#isloaderfor-ntzovy").fadeOut(2000, function () { jQuery(".pagwrap-ntzovy").fadeIn(1000);});});
The number of international migrants has grown by 49% since 2000, according to United Nations statistics, and incoming migrants often move to cities, which house 54% of the world’s population. Multilateral deliberations on migration policy tend to focus on the national level, although it is municipal leadership that often bears the brunt of providing services and facilitating integration for migrants. Developing appropriate and effective policy on migration requires perspective from the ground to be shared with national and international actors.
In October 2016, the UN General Assembly Adopted the New York Declaration for Refugees and Migrants, which created an international commitment to future negotiations, an international conference, and the adoption of a global compact for safe, orderly, and regular migration in 2018 (GCM). On May 9th, IPI held a meeting to discuss how the compact’s policies can be more comprehensive and effectively put into place.
The event, hosted in collaboration with the Global Policy Initiative, Columbia University, the University of Ottawa, and The Open Society Foundations, was conducted under the Chatham House Rule of non-attribution, and brought together key stakeholders in the compact’s implementation. Included were international mayors, UN representatives, and members of civil society.
Among the speakers were Penny Abeywardena, New York City Commissioner for International Affairs; Bitta Mostofi, Acting Commissioner of the Mayor’s Office of Immigrant Affairs in New York; Majid Batambuze, Mayor of Jinja, Uganda, and Chairman of the Urban Authority of Uganda; Cosimo Palazzo, Director of the Social Policy Department of Milan, Italy; Veronique Lamontagne, Director of the Bureau of Integration, Montreal, Canada; David Barclay, the Mayor’s Adviser on Inclusion in Bristol, UK; Eloisa Arruda, Human Rights Secretary in São Paulo, Brazil; Juan José Gómez Camacho, Permanent Representative of Mexico to the UN; Griet Seurs, Permanent Representative of Belgium to the UN; Jürg Lauber, Permanent Representative of Switzerland to the UN; Colleen Thouez, Division Director of Welcoming and Integrated Societies at the Open Society Foundations–International Migration Initiative; Gregory Maniatis, OSF Initiative’s Director; Eva Åkerman Börje, Senior Policy Adviser, Office of the Special Representative of the Secretary-General for International Migration; and Suzanne Sheldon, Senior Policy Adviser of the Global Compact for Migration at IOM. Speaking for IPI was Vice President Adam Lupel, who moderated the discussion.
Speakers in the session noted that there is a common misunderstanding of the distinction between refugees and migrants, as well as documented and undocumented migrants, and migrants often face prejudice upon entering a country. City leadership does not determine who enters the country, but, speakers noted, it can be responsible for the treatment of migrants when they enter city parameters.
Participants asserted that city leaders could design meaningful migration programs, not because they are more creative or well-resourced, but because they operate at a more human scale. In a much commented upon statement, one speaker said, “People belong to a local community before they belong to a nation.”
The conversation stressed that integration does not stop just across the border, and neither should policy. For this reason, to ensure safe and orderly migration, cities should not only share principles of policy reform with their national governments, but they should also share insights among other cities worldwide.
However, participants noted, member states negotiate on behalf of the nation. Speakers encouraged city leaders to strengthen conversation with their representatives at the state level and ensure their advocacy is representative of the population.
Of concern to many speakers was a lack of information sharing between members of the municipal and federal governments, since records of immigration are often housed at the national level. Participants cited examples where the central government did not share migration data with the cities where migrants lived. A lack of data and regularly updated statistics of migrations as well as a lack of migration management systems make it difficult to monitor the exact impact of migration. In order to do so, comprehensive indicators need to be developed, and all migrants need to be documented.
Speakers in the session noted that a link could be made between improving migration policy and the UN Sustainable Development Goals. Rather than intergovernmental organizations prescribing a solution to migration, participants declared, the best outcome is a policy that grows organically from the steps that city officials take, separate from institutions like the IOM and UN.
Mardi 8 mai, Donald Trump a acté le retrait des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien. Malgré la volonté des cinq autres pays signataires (France, Allemagne, Royaume-Uni, Russie et Chine) de rester dans l’accord de Vienne, le rétablissement des sanctions américaines serait applicable immédiatement pour les nouveaux contrats et entreprises étrangères engagés en Iran. Face à une divergence de volontés et un risque de sanctions, la question de la souveraineté économique, mais également politique des pays est en jeu. Pour nous éclairer sur la situation, le point de vue de Sylvie Matelly, directrice adjointe de l’IRIS.
Certains estiment que les Européens pourront continuer à acheter du pétrole iranien, limitant de fait l’impact des sanctions et le risque d’une flambée des prix du baril. Si tel n’était cependant pas le cas, de quelle manière les pays européens devraient-ils se positionner avec l’Iran ?
La sortie de l’accord n’engage que les États-Unis qui souhaitent imposer des sanctions à l’Iran. En tant que tel, cela ne change pas grand-chose puisque seules les sanctions imposées par le président via un executive order avaient été levées par Obama. Il n’avait aucun pouvoir sur les sanctions du Congrès qui ont force de loi et n’avaient, elles, jamais été levées, même si le Congrès avait été relativement coopératif depuis l’accord de 2015. Dans ce contexte de sanctions unilatérales, on peut imaginer que dans l’absolu, les relations commerciales avec l’Iran (achat de pétrole par exemple ou poursuite des contrats initiés depuis 2 ans) ne devraient pas être impactées. Ainsi, malgré les sanctions et surtout depuis leur levée, la Chine a multiplié ses relations commerciales avec l’Iran, et nul doute qu’elle continuera après le 8 mai 2018.
Toutefois, cela reste théorique et il important de prendre en compte la réalité des rapports de force dans le cas européen entre les États-Unis et les pays européens. C’est la « liberté » et le choix des pays européens signataires de l’accord (Allemagne, France et Royaume-Uni) que d’y rester. Pour cela, ils devraient défendre leur souveraineté et refuser de subir les conséquences du retrait américain, même s’il est évident que cela est plus compliqué qu’il n’y paraît et dépendra bien sûr du poids que mettront les Européens à faire respecter leur décision à l’administration Trump. Il y aura des menaces du côté des Américains, des tentatives de déstabilisation et une volonté d’empêcher les Européens, et surtout les entreprises, à faire des affaires avec Téhéran. Il faudra donc que les pays européens s’unissent face aux États-Unis. L’enjeu dépasse largement le seul respect de l’accord : la position des Occidentaux dans la région et la stabilisation économique et politique de l’Iran, qui induirait une possible montée des tensions.
Il y a une vraie opportunité pour les Européens à se positionner et à s’affirmer dans cette région où les intérêts pour la stabilité européenne sont beaucoup plus essentiels que pour les États-Unis qui continuent à attiser les braises. Le Président Trump, comme une bonne partie des élus américains, pensent que les Iraniens constituent un danger majeur dans la région et qu’il faut les écarter. Ce n’est pas un hasard si au début des années 2000, George W. Bush avait désigné l’Iran, comme la Corée du Nord d’ailleurs, comme des « États voyous » (rogue states). Reste à savoir si cet acte peu diplomatique n’avait pas participé à l’exacerbation des tensions dans les deux cas… Les Européens, et en son temps le Président Obama, ont fait le pari que la négociation et la coopération, y compris et surtout économique, peuvent au contraire, normaliser la situation. Ce sont deux analyses différentes d’une même situation où il n’est pas sûr que l’un des acteurs régionaux soit plus raisonnable qu’un autre.
Les entreprises étrangères ayant signé des contrats avec l’Iran, tels que Airbus, Total, General Electrics, vont certainement être pénalisées par la reprise de ces sanctions. Toutefois, un État qui déciderait de signer des accords avec l’Iran serait-il susceptible de sanctions, restrictions ou représailles de la part des États-Unis ?
Dans l’absolu, les Européens n’ont aucune obligation à appliquer des sanctions d’un autre pays, en l’occurrence les États-Unis, dont on peut d’ailleurs questionner leurs légitimités. En effet, seules des sanctions décidées par la communauté internationale, donc l’ONU, ont cette légitimité et doivent être transposées et respectées par tous. Il y a eu en son temps des sanctions à l’encontre de l’Iran qui ont été levées au moment de l’accord sur le nucléaire. Dans la réalité, depuis quelques années les États-Unis appliquent ce que l’on appelle à tort l’extraterritorialité de leurs lois qui est en fait une interprétation très inclusive de la notion de « personne américaine » et des intérêts états-uniens. Ils exploitent leur position centrale dans la mondialisation économique pour pratiquer une sorte de chantage, au prétexte que si vous avez un lien avec les États-Unis (dollars, filiales dans le pays, clients ou fournisseurs américains, etc.), vous devez respecter les règles américaines. Aucun pays ne s’est encore opposé à cette pratique.
De plus, il y a une confusion entre la réalité des poursuites orchestrées par le Department of Justice ces dernières années, qui ont valu d’amende à plusieurs banques européennes, et.la politique étrangère de ce pays, même s’il est vrai que les banquiers européens sont aujourd’hui dans une situation délicate ayant accepté une intrusion et un contrôle américain de leurs activités d’une part, et d’autre part face à un système financier iranien ne fournissant aucune garantie réelle après des années d’isolement d’un système financier mondial ayant beaucoup évolué… Les banques européennes sont donc particulièrement vulnérables, mais là encore la question est à la fois économique et politique. Les banques italiennes, par exemple, plus petites et moins globalisées que les françaises, sont moins sensibles aux pressions américaines. Ce sera certainement la même chose pour certains pays africains, pour la Chine ou pour la Russie. Par ailleurs, fut un temps où les Européens avaient affiché leur refus de ce diktat américain, durant les années 1990 lorsque la loi américaine Helms-Burton sanctionnait Cuba. Les relations économiques des Européens avec Cuba (cf. le développement du tourisme) ont été préservées. Les conséquences du retrait américain dépendront donc aussi de la posture politique des Européens face aux États-Unis et vis-à-vis de l’Iran.
Face au retrait américain, la Chine pourrait-elle tirer son épingle du jeu et renforcer le poids du yuan dans les échanges pétroliers ainsi que dans le financement des investissements en Iran ?
La Chine tire déjà son épingle du jeu. Les relations commerciales avec l’Iran se sont intensifiées depuis l’accord. Rappelons deux choses : la Chine était l’un des pays signataire de l’accord, donc partisane de la recherche ou du pari d’un apaisement avec ce pays. Et les routes de la soie traversent l’Iran, pivot essentiel de la stratégie chinoise dans la région. Elle ne laissera donc certainement pas les États-Unis lui dicter ou influencer ses relations avec l’Iran, cela pourrait d’ailleurs être un grief de plus du président Trump à l’encontre de la Chine. La « diplomatie du panda » développée par la Chine est aux antipodes de la stratégie américaine actuelle et profitera certainement aux intérêts chinois. Elle n’en est pas moins inquiétante pour les Européens et leurs intérêts en Iran, et au-delà d’ailleurs. La balle est dans le camp de ces derniers …