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Diplomacy & Defense Think Tank News

Forum Digital: Keine Angst vor KI

Konrad Adenauer Stiftung - Sat, 05/05/2018 - 00:00
Wissenschaftler, Gründer und Investoren diskutieren beim forum digital über die Intelligenz von Menschen und Maschinen

Célébration de la Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix

Fondapol / Général - Fri, 04/05/2018 - 21:38

Le 16 mai 2018, venez célébrer la Journée Internationale du Vivre Ensemble en Paix à la Maison de l’UNESCO. Toutes les informations ici. Programme de l’ouverture officielle 15h00 : Discours liminaires Mme Audrey Azoulay, Directrice Générale de l’UNESCO Message de Son Excellence Abdelaziz Bouteflika, Président de la République Algérienne Cheikh Khaled Bentounes, Président d’honneur d’AISA […]

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PME, ETI : comment expliquer le retard français ? Interview croisée de Bertrand Joab-Cornu et Arnaud Vaissié

Institut Montaigne - Fri, 04/05/2018 - 18:09
PME, ETI : comment expliquer le retard français ? Interview croisée de Bertrand Joab-Cornu et Arnaud Vaissié Institut Montaigne ven 04/05/2018 - 18:09

La France compte 5 800 entreprises de taille intermédiaires (ETI), contre 8 000 en Italie, 10 000 au Royaume-Uni, 12 500 en Allemagne.

Allemagne, Royaume-Uni, France : 3 contextes différents, un même « nouvel » antisémitisme. Quelles conclusions ?

Fondapol / Général - Fri, 04/05/2018 - 17:41

Partout en Europe, la montée d’un nouvel antisémitisme inquiète. Et ce, quel que soit le modèle d’intégration mis en oeuvre par les pays. Atlantico : La France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne connaissent un phénomène identique de montée de l’antisémitisme depuis plusieurs années. Malgré des cultures et des modèles d’intégration différents, ces pays ont échoué à […]

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Nucléaire au beau fixe en Corée, avis de tempête sur l’Iran

IRIS - Fri, 04/05/2018 - 15:29

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS

« Comptes à rebours » – 3 questions à Hubert Védrine

IRIS - Fri, 04/05/2018 - 15:10

Ministre des Affaires étrangères de 2007 à 2012, Hubert Védrine est président fondateur de Hubert Védrine Conseil. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage « Compte à rebours », aux éditions Fayard.

Quand beaucoup dénoncent la montée du populisme, pourquoi y voyez-vous le syndrome de l’échec des élites ?

Ce que l’on appelle le « populisme » mesure l’échec des élites mondialisatrices et européistes à convaincre et entraîner les peuples plus avant. Leurs condamnations du populisme sont donc vaines et sans effet. Il faut traiter les peurs et attentes sous-jacentes des peuples. Elles sont évidentes. Ils veulent garder une certaine identité, ne pas perdre toute souveraineté et être en sécurité (le monde est inquiétant). Il ne faut pas mépriser ces revendications, mais les traiter pour les apaiser et rassurer. Sinon, le déni nourrit les extrémismes.

Pourquoi insistez-vous sur la nécessité d’écologiser la politique ?

Je suis frappé par la conjonction des engrenages à l’œuvre dans le monde, dont aucun n’est mécaniquement favorable aux Européens. Notamment la croissance démographique alors que l’Europe va, au mieux, stagner (il faudra de toute façon partout dans le monde, mieux gérer ces flux). Mais il y a surtout la dégradation écologique, d’où mon titre « Comptes à rebours ». Il ne s’agit pas « d’écologiser la politique », les écologistes politiques ont à l’évidence échoué, mais d’accélérer, par des politiques appropriées, l’écologisation de l’agriculture, de l’industrie, de l’énergie, des transports, de la construction, etc. Autant d’éléments qui dépendront également beaucoup des percées scientifiques. Ce qui est enclenché ne va pas s’arrêter.

Comment expliquer que, malgré les nombreuses concertations de dirigeants, il n’existe pas de « communauté internationale » ?

Il y a certes une forte activité multilatérale au sein de l’Organisation des Nations unies (ONU), de ses organisations spécialisées et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), et de nombreux sommets qui engagent des dizaines de milliers de fonctionnaires. Mais, les peuples ne forment pas encore une « communauté ». Les mentalités, les peurs, les espérances sont trop différentes. Pourquoi ne pas y travailler en se basant sur la prise de conscience écologique ? Pour le moment, il n’y a « communauté » qu’à certains moments : COP21, parfois unanimité au Conseil de Sécurité de l’ONU…

Pourquoi estimez-vous que le dossier russe nécessite de s’affranchir des États-Unis, engagés dans une dangereuse escalade avec Moscou ?

L’actuel remake de guerre froide, sans même les mécanismes de la Détente qui existaient autrefois, est une impasse. Il faut imaginer une relation Europe/Russie à long terme, où l’Europe se montrerait ferme et dissuasive, mais aussi coopérative. Ce n’est pas facile à réaliser, d’autant plus que la politique occidentale des trente dernières années a réveillé les pires reflets en Russie ! Raison de plus pour ne pas dépendre des faucons et des foucades de Washington. Cet accord stratégique entre Européens est très important (quelle stratégie envers la Russie ?) et, contrairement à une idée reçue, ne serait pas automatiquement renforcé par une plus grande intégration économique de la zone euro. C’est une question de mentalité, de volonté et de courage au niveau des dirigeants.

 

Geringe Wahlbeteiligung erwartet – große Zweifel an den zukünftigen Kommunalvertretern: Kommunalwahlen in Tunesien

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 04/05/2018 - 14:40
Schon viermal wurden die ersten demokratischen Kommunalwahlen in Tunesien verschoben. Am Sonntag ist es endlich soweit. Die Wahlen sind ein wichtiger Schritt im begonnenen Dezentralisierungsprozesses des Landes und sollen die regionale Entwicklung stärken. Die einzige Demokratieknospe der arabischen Welt steht einmal mehr vor einem Prüfstein in ihrer noch jungen Geschichte. Die Vorbereitung dieses Ereignisses sowie die Mobilisierung der Wähler gestaltet sich teilweise schwierig. Ob die Wahlen tatsächlich den verhaltenen Erwartungen gerecht werden, ist ungewiss.

Législatives au Liban : des élections symboliques ?

IRIS - Fri, 04/05/2018 - 10:53

Le 6 mai prochain, le Liban va connaître ses premières élections législatives depuis 2009. Malgré la situation quelque peu critique du pays, marquée par une faible croissance économique, un gouvernement instable et une persistance des rivalités régionales sur son territoire, une certaine effervescence demeure au sein de la société libanaise à la veille des élections. Ces législatives vont-elles permettre au Liban de renouveler sa classe politique ? Le point de vue de Karim Emile Bitar, directeur de recherche à l’IRIS.

Après neuf années sans élections, ces législatives vont-elles permettre au Liban de se stabiliser politiquement ? Quel va être l’effet de la nouvelle loi électorale introduisant un mode de scrutin proportionnel ?

C’est en effet la première fois depuis 2009 que les Libanais vont se rendre aux urnes. Ces dernières années, le Parlement s’était autoprorogé de façon illégitime et anticonstitutionnelle à deux reprises, en évoquant des prétextes sécuritaires liés à la situation instable de la région. Toute une génération de Libanais va donc voter pour la première fois. Cela suffira-t-il à remettre le pays sur la voie de la démocratie ? Est-ce que cela va permettre un renouvellement de la classe politique ? Rien n’est moins sûr. On vante souvent la résilience, bien réelle, de la société civile libanaise, mais on a parfois tendance à oublier que l’establishment politique libanais est très doué pour assurer sa reproduction. Au fil des ans, la « démocratie consociative » à la libanaise s’est transformée en véritable système oligarchique. Ces élections en témoignent. Le passage à la proportionnelle ne suffira pas à produire le changement escompté. Cette petite oligarchie de 6 ou 7 personnes contrôlant le pays fait elle aussi preuve de résilience et est très astucieuse. Ils sont incapables de gérer les affaires publiques et l’économie, mais dès lors qu’il s’agit d’assurer leur maintien au pouvoir, l’incompétence cède la place à une véritable ingéniosité dans la malfaisance. Ce ne sont pas des amateurs. L’argent, le communautarisme, la peur de l’autre, les parrainages étrangers sont les outils qui leur permettent de s’accrocher.

Le mode de scrutin proportionnel, adopté suite à la nouvelle loi électorale de juin 2017, aurait pu être une bonne nouvelle. Théoriquement, ce type de scrutin devrait permettre l’arrivée de nouvelles forces politiques. Cependant, le diable se niche dans les détails et a été introduit dans cette loi un certain nombre de mécanismes qui viennent vider la proportionnelle de son sens et de son contenu. Ce sont ajoutées à cela des alliances électorales purement tactiques et opportunistes entre partis de l’establishment traditionnel, ayant pour objectif de s’aider mutuellement à conserver le nombre de sièges dont ils disposent déjà. Le nouveau Parlement, qui sera élu le 6 mai prochain, devrait donc ressembler à bien des égards au Parlement existant. Il y aura beaucoup de nouveaux entrants, pour la plupart issus du système, mais le rapport de force global ne sera modifié qu’assez marginalement.

En règle générale, doivent résulter d’un scrutin proportionnel des listes cohérentes, construites et présentées par les mouvances politiques. La proportionnelle doit favoriser l’expression d’un vote partisan. Malheureusement, au Liban, dans le cadre de ces élections, les candidatures ont d’abord été présentées à titre individuel, et ce n’est que par la suite que des alliances électoralistes se sont formées. La plupart des listes sont très hétéroclites. Sur nombreuses d’entre elles, il y a à la fois des partisans de l’axe irano-syrien et des pro-Saoudiens, des notabilités traditionnelles, des figures issues des milices, ou encore des hommes d’affaires ayant littéralement « acheté » un siège sur l’une des listes les plus influentes. Par conséquent, ce scrutin donne l’impression que ces élections sont entièrement dépolitisées, avec une occultation des questions sensibles, stratégiques ou socio-économiques, ainsi qu’un désintéressement vis-à-vis des projets d’avenir. Il s’agit uniquement pour les forces en présence de compter leurs partisans et d’assurer une mobilisation électorale de leurs troupes afin de revenir au Parlement. Tous les moyens sont bons. L’asphalte est par exemple un agent électoral important. Pour certains candidats, notamment les notabilités locales fortunées, goudronner les rues des villages reculés permet d’augmenter rapidement leur capital électoral.

Quels sont les enjeux et défis du Liban à l’heure actuelle ?

Depuis une quinzaine d’années, le Liban subit directement les guerres régionales par procuration, notamment celle que se livrent l’Iran et l’Arabie saoudite sur le terrain de plusieurs pays voisins comme l’Irak, le Yémen, la Syrie et dans une moindre mesure le Bahreïn. Dans chacun de ces pays, figure un camp politique globalement aligné sur l’Iran et un autre plutôt proche de l’Arabie saoudite. Le Liban n’échappe pas à cela. Les élections de 2009 avaient été marquées par une polarisation très intense autour de la question des armes du Hezbollah. Doit-on revenir à un État qui détiendrait le monopole de la violence légitime, autrement dit désarmer le Hezbollah ? Ou doit-on considérer que tant que la menace israélienne persiste, l’arsenal du Hezbollah est légitime ? Aujourd’hui, ce débat a été largement occulté. Le rapport de force à l’échelle régionale a été quelque peu modifié : le camp iranien a le sentiment d’avoir remporté des victoires importantes en Syrie. Quelques figures au Liban continuent de mener le combat en réclamant le désarmement du Hezbollah, mais ces voies semblent noyées ou marginalisées. La quasi-totalité des partis politiques accepte de faire partie de « gouvernements d’union nationale » aux côtés du Hezbollah.

Le grand défi du Liban est de trouver les moyens d’être « insularisé », autrement dit de ne pas subir à nouveau les conséquences si les relations entre Téhéran et Riyad ou entre Téhéran et Washington devaient se dégrader. Il y a un sentiment d’être dans une situation de calme avant la tempête même si ces élections du 6 mai vont être marquées par une ambiance folklorique. Ce ne sont peut-être pas des élections parfaitement démocratiques, mais elles ont le mérite d’avoir lieu, dans une région où la démocratie est loin d’être la norme.

Par contre, dès le 12 mai, la situation au Moyen-Orient risque de se dégrader considérablement si Donald Trump décide de rompre l’accord nucléaire avec Téhéran. Le Liban serait un des pays qui serait directement affecté compte tenu de l’influence iranienne dans le pays, et une montée des tensions pourrait avoir lieu à l’échelle régionale.

La priorité, comme toujours, devrait donc être de se désengager de cette guerre des axes et de former un gouvernement qui pourra s’attaquer aux grands défis économiques et sociaux, à l’heure où une grande partie de la population continue de souffrir du chômage, de la pauvreté, de la crise des déchets et des coupures d’électricité. Il faut espérer qu’après ces élections, la classe politique libanaise, plutôt que de se laisser embarquer dans de grandes querelles géopolitiques qui dépassent le Liban, se préoccupe des questions concrètes pour l’amélioration de la vie quotidienne des Libanais.

L’édification d’un État fort et impartial demeure le principal défi. Le général de Gaulle l’avait déjà compris durant son séjour au Liban, entre 1929 et 1931. Dans un discours prononcé à l’Université Saint-Joseph, il avait incité la jeunesse libanaise à « construire un État », à « créer et nourrir un esprit public, c’est-à-dire la subordination volontaire de chacun à l’intérêt général. » En 2018, nous sommes encore très loin d’avoir construit un État fondé sur les valeurs de la citoyenneté.

 

 

Kazakhstan must look beyond the Belt and Road

IRIS - Fri, 04/05/2018 - 09:52

At Khorgos, the Kazakh border town which is the first stop on the new Silk Road to Europe that Beijing has been building and promoting, China’s presence is overwhelming.

Shops and restaurants within the Khorgos trade zone are run almost entirely by Chinese citizens. Most of its 15,000 daily visitors come from the Chinese side. Trains and trucks move in both directions, but the traffic from China is heavier as many of the shipping containers traveling east from Europe are empty.

For most of the past 25 years, Kazakhstan, Central Asia’s largest economy, has managed under President Nursultan Nazarbayev to delicately balance its relationships with various major powers. Now with Beijing’s economic influence rising quickly, Astana must find a way to deal with its powerful neighbor’s geopolitical ambitions while benefiting from new economic opportunities.

Kazakhstan should not delay as speculation is growing about the country’s political direction when the 77-year-old Nazarbayev leaves the scene. The last of the original Soviet-era leaders who shepherded Central Asia’s republics to independence, he oversaw constitutional changes last year that enhanced parliament’s powers and which some analysts saw as preparation for a leadership transition. The authorities should seize opportunities to deepen ties with Europe while also looking for openings to work more with the U.S. and Russia.

China’s rise in Kazakhstan has been swift. It now buys almost 25% of Kazakh oil output, with a reduced share going to Italy, the Netherlands, France and other European states. As part of its Belt and Road Initiative, Beijing is rapidly investing in east-west infrastructure projects across the Central Asian republic that have overshadowed previously launched programs backed by the US and Russia.

On the Chinese side of the Khorgos border zone is a new city with a growing line of high-rise buildings housing some 100,000 people. Many of these Chinese were encouraged to move to this part of the country to take part in BRI-related business activities. Chinese state-owned companies have moved in and private businesses are being set up.

From Beijing’s point of view, Kazakhstan, where the BRI was first announced by Chinese President Xi Jinping in 2013, is a critical element of its fast-growing drive for international influence. It sits in a strategic spot between China and Russia and is far away from potential competing powers including the U.S. and the EU.

While many officials and businesspeople have cheered on the BRI, ordinary Kazakhs are wary about the country’s China connections. In spring 2016, protests broke out in western Kazakhstan over a government proposal to make rural land available to foreigners. The general sentiment was that Chinese companies would benefit directly from the new law. Eventually, the authorities suspended the plan.

China has therefore tried to win hearts and minds across this proud country. Kazakhstan is now home to six Confucius Institutes, the Chinese government-run centers for teaching Mandarin. Some 15,000 Kazakh nationals now study in China, up from 5,000 in 2013, with most receiving scholarships from Beijing.

Yet Kazakhstan’s longstanding ties to Russia, dating back to Tsarist and Soviet times, run deep and strong, with many Kazakhs still learning Russian and looking northward for study, work or business opportunities. Nearly 70,000 are pursuing higher education in Russia, according to UNESCO data. Mainstream Kazakhs feel little sense of commonality with China’s ethnic Han majority. Like many residents of Siberia and eastern Russia, they have a palpable fear of Chinese rushing into their underpopulated nation of just 18 million people spread over a territory comparable in size to India.

Both to reassure the public about their prospects under the long shadow of China and to safeguard Kazakhstan’s independent standing, Astana needs to get other powers more interested in what it has to offer. Last year’s energy-focused World Expo and the hosting of Syrian peace talks were well and good, but the government should make targeted efforts too.

Russia would seem a likely starting point. As the traditional hegemon of the region, Russia still carries strong political and cultural weight. But Kazakhstan is wary of Moscow’s domineering tendencies. Also, its Eurasian Economic Union trade bloc, of which Kazakhstan is a founding member, so far has not offered a meaty alternative to the Belt and Road Initiative.

Kazakhstan has sought at times recently to separate itself with Russia, accelerating plans to replace the Cyrillic alphabet and distancing itself from Moscow’s annexation of Crimea. But Astana could perhaps get Russia’s attention by working to breath more life into the Eurasian union. Its initiative last year to put bloc monitors at the China-Kyrgyzstan border to screen imports was a sign of commitment and could be followed up.

While President Nazarbayev was warmly welcomed to the White House by U.S. President Donald Trump in January, the possibility of significant new American investment or even interest seems remote in the near term. There are just too many other higher priorities for the current administration.

Astana’s best prospects of counterbalancing China  without overreliance on Moscow probably lie with the EU. With Kazakh input, Brussels is a developing a new overarching policy strategy for its relations with Central Asia for release this year or next. It is also working on plans for improved transport and infrastructure links

In November, the European Commission committed to extend 1 billion euros ($1.2 billion) of financial support for Central Asia programs through 2020, a jump from the 435 million euros extended for the previous five-year period. The EU’s scientific research center is also exploring the idea of linking the power grids of Europe and China, a project that would cross through Kazakhstan.

While the prospect of additional pipelines to Europe now seems remote, the continent could easily take more oil from Kazakhstan. Astana could also look to the EU for more support for its broad privatization program, which could potentially be attractive to a range of European investors. Europe, which now hosts about 5,000 Kazakh students, could also look to expand its educational links with the country.

Astana needs to embrace these openings to deepen the EU’s stake in Kazakhstan’s future. Ultimately most Kazakhs will feel comfortable with the BRI and all it brings from China, only if the country becomes a truly international platform with the EU, in particular, establishing a bigger presence. For Kazakhstan, engaging in a deeper partnership with Brussels could help secure its political and economic autonomy.

Geopolitische Akteurslandkarte: Der Einfluss externer Akteure auf dem Westbalkan

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 04/05/2018 - 00:00
Russland, China, die Türkei und die Golfstaaten gewinnen mit unterschiedlichen Intentionen und Interessen an Einfluss – politisch, wirtschaftlich und kulturell.

Zur Zukunft der internationalen Ordnung: Die Trümmer der liberalen Welt

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 03/05/2018 - 13:28
Es ist etwas in Bewegung gekommen. Die Welt sortiert sich neu. Internationale Institutionen verlieren an Gewicht, die Diplomatie der Stärke feiert ein Comeback: Was bedeutet die neue „internationale Unordnung“ für Deutschland und das westliche Wertebündnis?

Macron’s Plan Against Fake News. 3 Questions to Ben Nimmo.

Institut Montaigne - Thu, 03/05/2018 - 12:35
Loi contre les fake news. Trois questions à Ben Nimmo Institut Montaigne mer 09/05/2018 - 16:44

Emmanuel Macron a annoncé le 3 janvier 2018 un projet de loi pour lutter contre la désinformation en période électorale.

Israël-Palestiniens, encore soixante-dix ans de guerre ?

Institut Montaigne - Thu, 03/05/2018 - 11:48
Israël-Palestiniens, encore soixante-dix ans de guerre ? Institut Montaigne jeu 03/05/2018 - 11:48

Alors qu’elle avait quasiment disparu de l’actualité internationale depuis quelques années, la question de la paix au Proche-Orient est revenue sur le devant de la scène diplomatique avec la décision de Donald Trump, le 6 décembre 2017, de ">

Zum innerkoreanischen Gipfeltreffen: Gipfeltreffen der schönen Worte – jetzt müssen Taten folgen

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 03/05/2018 - 09:54
Weltweit überschlagen sich hoffnungsvolle Berichte über die Annäherung zwischen Nord- und Südkorea. Könnte das symbolgeladene Gipfeltrefen zwischen Kim Jong-Un und Moon Jae-In der Beginn eines wirklichen Friedensprozesses sein oder wird sich die Hoffnung auf Annäherung und nukleare Abrüstung im Licht strategischer Realitäten wieder zerschlagen?

Análisis comparativo de programas electorales en las pasadas elecciones en Honduras y Costa Rica en relación con la seguridad y la lucha contra el crimen organizado

Real Instituto Elcano - Thu, 03/05/2018 - 08:47
ARI 62/2018 - 3/5/2018
Pedro Trujillo Álvarez

El análisis de los programas políticos de los candidatos más destacados en las pasadas elecciones presidenciales en Honduras y en Costa Rica evidencia las escasas propuestas de una de las preocupaciones más importantes en la región: el crimen organizado.

Sezession oder Solidarität

SWP - Thu, 03/05/2018 - 00:00

Seit der Verhaftung Carles Puigdemont formiert sich eine Solidaritätsbewegung, die in dem katalanischen Ex-Regierungschef ein Opfer der Justiz sieht. Doch selbst wenn Deutschland eine Auslieferung verhindert, wird dies die Prozesse gegen die inhaftierten Regionalpolitiker in Madrid kaum beeinflussen. Die spanische Staatsanwaltschaft wirft den Angeklagten neben Rebellion auch die Veruntreuung von Geldern vor. Die Separatisten sollen Mittel aus dem Liquiditätsfonds für die autonomen Gemeinschaften (FLA) für ihre Unabhängigkeitskampagne zweckentfremdet haben. Seit der Finanzkrise 2012 muss Madrid überschuldete Regionen mit Krediten stützen, darunter auch Katalonien. Jährlich erhält Barcelona zwischen 6,7 (2012) und 11,1 Milliarden Euro (2015). Diese finanzielle Abhängigkeit ist für Katalonien ein weiteres Motiv, die Selbstständigkeit anzustreben. Denn es verspricht sich davon einen direkten Zugang zur Europäischen Zentralbank (EZB). Deshalb sollten die Europäer darüber nachdenken, wem sie ihre Solidarität schenken. Ein katalanischer Staat würde mit einem Schuldenberg auf die Welt kommen, den letztlich die anderen spanischen Regionen und der europäische Steuerzahler zu schultern hätten.

Mexique-Etats-Unis : qui rira le dernier ?

IRIS - Wed, 02/05/2018 - 16:42

Le 25 avril 2018, le Sénat mexicain a ratifié le CPTPP (le Traité intégral et progressiste d’association transpacifique[1]), quasiment au lendemain de la fin réussie d’une négociation Mexique-Union européenne (UE). Donald Trump, dès le lendemain a surpris. Réagissant au quart de tour, il a signalé la possibilité d’un compromis sur l’ALENA (Accord de libre-échange nord-américain) avec le Mexique et le Canada, compromis jusque-là publiquement rejeté.

L’enchainement concomitant de ces événements déconcerte. Depuis l’entrée de Donald Trump à la Maison-Blanche le 1er janvier 2017, rien ne va plus entre Washington et Mexico. Le président des États-Unis soigne sa popularité, ainsi que son capital électoral en affrontant le camp mexicain.

Depuis janvier 2017, fidèle à ses engagements de campagne, Donald Trump a multiplié les déclarations blessantes et les initiatives agressives. Commerce, immigration, déploiement de l’armée sur la frontière, de tweet en tweet les mauvaises nouvelles pour le Mexique se sont enchainées.

Au point comme l’a reconnu le Secrétaire mexicain aux relations extérieures, Luis Videgaray, de ne plus savoir sur quel pied danser avec Donald Trump. Conclusion a-t-il dit dos rond avec les États-Unis et en parallèle défense et illustration de nos principes.

Dos rond évident, le rapport de forces étant ce qu’il est. Les Mexicains ont donc évité de polémiquer. Ils ont tenté à plusieurs reprises d’amadouer en direct Donald Trump. Encore candidat, rompant avec une tradition de non-ingérence électorale, le « Premier » mexicain Enrique Pena Nieto avait en août 2016 invité le candidat Trump à Mexico. Il avait changé de Secrétaire d’État et désigna pour cette fonction Luis Videgaray, ami personnel du gendre de Donald Trump.

Devant l’évidence de l’absence de résultats, cette approche diplomatique a été mise en sourdine. Dès lors, le Mexique a choisi de répondre coup pour coup sur le terrain économique et commercial. Sans doute par nécessité, celle de trouver au plus tôt des partenariats alternatifs au cas où l’ALENA in fine serait dénoncée. Mais certainement aussi pour se placer sur le terrain privilégié par Donald Trump celui du poker diplomatique en mode bras de fer.

Un an et demi plus tard, les autorités mexicaines peuvent exiger une fin de partie, cartes sur table. Ils ont en effet réussi à construire de façon pragmatique un réseau alternatif sur bien des points à celui qu’ils avaient consolidé avec les États-Unis depuis 1994, date de la signature de l’Accord de libre-échange nord-américain.

Pressés par l’urgence de la situation, ils ont exploré toutes les voies bilatérales et multilatérales possibles. Sans a priori idéologiques, ils ont multiplié les contacts et signé des accords avec des blocs commerciaux, l’Union européenne et le TPP. et également avec les BRICS. De son côté, le Canada sollicité avec succès est devenu membre de l’Alliance du Pacifique[2], en avril 2018.

Les grands acteurs du commerce international, Chine et Japon n’ont par ailleurs pas été oubliés. Tout comme les pays européens pris dans leur individualité, Allemagne, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, mais aussi la Pologne, la Slovaquie, la Suisse et la Russie. Des partenaires jusque là peu présents ont également été visités, Ghana, Israël, Turquie, Vietnam. Les chantiers de demain, tout aussi improbables il y a deux ans, seraient ouverts. Par exemple avec le concurrent continental historique, le Brésil.

Face aux avancées mexicaines, Rex Tillerson, Secrétaire d’État nord-américain, s’en était publiquement inquiété le 1er février dernier.  Il avait proposé une nouvelle donne, une nouvelle doctrine Monroe aux pays latino-américains qui devait être sanctionnée par Donald Trump au VIIIe sommet des Amériques de Lima les 13 et 14 avril 2018. Cependant, Rex Tillerson a été brutalement remercié le 13 mars 2018 et Donald Trump a présenté un bulletin d’excuses syrien pour éviter le la rencontre continentale au Pérou.

Quinze jours plus tard, le Mexique a abattu coup sur coup trois cartes majeures : l’adhésion du Canada à l’Alliance du Pacifique, la fin heureuse des négociations commerciales avec l’Union européenne et la ratification de l’Accord TPP avec les pays riverains du Pacifique. Le 25 avril, Donald Trump, rompant avec ses discours habituellement critiques sur l’ALENA, rétropédalait : « Les choses bougent. (..) On avance bien sur l’ALENA. Il pourrait y avoir une signature bientôt. Bien que je ne sois pas sûr que ce soit bon pour les États-Unis », a-t-il déclaré à des journalistes.

Le Mexique aurait-il comme la Corée du Nord trouvé la bonne clef pour contraindre Donald Trump à s’asseoir sérieusement à la table de négociations ? Celle du « Gros bâton » et des dollars alternatifs ?

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[1] Pays parties, Australie ; Brunei ; Canada ; Chili ; Japon ; Malaisie ; Mexique ; Nouvelle-Zélande ; Pérou ; Singapour ; Vietnam.

[2] Organisation interaméricaine créée en 2011 par le Mexique, la Colombie, le Pérou et le Chili

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