The OSCE, in partnership with the National Institute of Justice (NIJ), organized two events in Chisinau on 15 and 16 September aimed at strengthening the capacity of Moldovan judges and prosecutors — both in training and practicing — for addressing challenges related to virtual assets.
Future judges and prosecutors learned about the fundamentals of virtual assets through a public lecture on ‘Virtual Assets: Basic Concepts, Legal Uses, and Associated Risks’. The lecture covered typologies, key concepts, and risks linked to the criminal misuse of virtual assets, followed by an interactive discussion.
The lecture was complemented by a two-day workshop offering an introductory training on virtual assets for practicing judges and prosecutors from all around Moldova. International experts from North Macedonia, Romania and Slovenia guided participants through key definitions, international and EU legal frameworks, and the role of prosecutors and judges in handling cases involving virtual assets.
“We are seeing a growing trend of criminal use of virtual assets. This workshop provides a great opportunity for us to learn and be prepared for such cases,” said one of the prosecutors participating at the workshop.
The workshop included case studies, scenario-based exercises on identifying virtual assets-related crime types and securing assets, and discussions on common challenges and good practices.
A second edition of the workshop will take place in October and offer a more advanced insight into virtual assets cases.
These events continue to further strengthen the partnership between the OSCE and NIJ, and were organized as part of the OSCE extrabudgetary project, “Innovative policy solutions to mitigate money-laundering risks of virtual assets”, implemented by the Office of the Co-ordinator of OSCE Economic and Environmental Activities. The project receives financial support from Germany, Italy, Poland, Romania, the United Kingdom and the United States.
Le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi, a présenté mardi 23 septembre, à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, les grandes orientations de la participation de la RDC au Conseil de sécurité dès janvier 2026.
Djamel Belmadi parle de l’équipe d’Algérie, 20 mois après avoir quitté la barre technique des Verts. Il se dit optimiste pour l’avenir de la sélection, […]
L’article 20 mois après son départ, Belmadi parle de l’équipe d’Algérie (vidéo) est apparu en premier sur .
Le gouvernement béninois renforce son engagement envers la chefferie traditionnelle avec la création d'une Commission nationale permanente dédiée à son suivi.
A la suite de sa reconnaissance par l'Etat à travers la loi, la Chefferie traditionnelle bénéficie d'un suivi. Une Commission nationale permanente a été instaurée, le 03 septembre 2025, par le Décret 2025-509 signé du Président Patrice Talon.
Elle est composée de 17 membres dont six historiens ; deux sociaux-anthropologues ; deux représentants respectifs des ministères de la Culture, de la Justice, de la Sécurité publique ; un représentant du ministère de la Décentralisation. Les membres sont nommés, par décret pris en Conseil des ministres, sur proposition des ministres représentés en son sein, pour un mandat de 03 ans renouvelable.
La Commission nationale permanente a pour mission de « veiller au respect et à la mise en œuvre des dispositions de la loi » sur la chefferie traditionnelle. Elle accompagnera également le processus de désignation des rois, chefs supérieurs et chefs coutumiers, tout en favorisant le dialogue entre les différentes chefferies.
Selon le décret, la Commission contribuera au « règlement amiable des litiges liés aux fonctions de chefs traditionnels ou entre différentes chefferies ».
Le bureau de la Commission sera dirigé par un président, « une personne ressource reconnue pour sa connaissance de la thématique de la chefferie traditionnelle », assisté de deux rapporteurs issus des ministères de la Culture et de la Justice.
Pour garantir son efficacité, la Commission pourra solliciter des « personnes ressources ou des consultants » externes, stipule l'article 10 du décret.
La Commission soumettra également des rapports trimestriels au ministre chargé de la Culture.
Les ressources nécessaires à son fonctionnement seront imputées au Budget national.
M. M.
L’année scolaire 2025-2026 peine à démarrer normalement dans plusieurs zones éducationnelles de la province du Nord-Kivu. Trois semaines après la date officielle de rentrée, de nombreuses écoles restent fermées, et les cours sont perturbés par des grèves persistantes des enseignants, qui réclament le paiement de leurs salaires et primes impayés.
Walikale : des enfants privés d’école
La police républicaine a procédé, mardi 23 septembre 2025, à l'interpellation de quatre personnes après l'attaque meurtrière à N'Dali le week-end dernier.
Quatre présumés agresseurs sont désormais dans les mailles de la police républicaine. C'est à la suite d'une attaque meurtrière à Marégourou, dans l'arrondissement de Bori à N'Dali. Les enquêtes ont permis de les identifier grâce à un téléphone abandonné sur les lieux du drame. Selon les informations rapportées par Su Tii Sua, les quatre individus ont été interpellés dans les zones de Banhunkpo, Wari Kpa et Marégourou.
L'attaque a eu lieu dans la nuit du 20 au 21 septembre 2025. Une dizaine d'individus armés de fusils artisanaux et de machettes ont fait irruption chez un commerçant pour voler ses recettes. Le commerçant a pu neutraliser l'un de ses agresseurs. Sa femme enceinte a été tuée par balle dans cette attaque.
A.A.A
Patrice Talon, président de la République du Bénin, a instauré le 03 septembre 2025, par décret, un Cadre de facilitation de l'exécution des projets et programmes nationaux dans les communes.
Un cadre de concertation et de facilitation des projets nationaux est désormais créé dans chaque commune du Bénin. Cette initiative, officialisée par le décret n° 2025-520 signé par le président Patrice Talon, vise à renforcer la collaboration entre les autorités locales et nationales.
Selon le décret en date du 03 septembre 2025, ce cadre inclut des représentants des communes, tels que « le maire, les adjoints au maire et le secrétaire exécutif de la mairie », ainsi que des membres du gouvernement, notamment « le ministre chargé du secteur dont relève le projet à exécuter ou son représentant ».
Le cadre de concertation a pour mission de « partager les informations entre les autorités communales et nationales », de « sensibiliser les populations » et de « suivre l'exécution des projets en cours ».
Il joue également un rôle clé dans l'organisation de l'appui des populations et des autorités locales aux entreprises chargées des travaux.
Toutefois, le décret précise que ce cadre « n'exerce pas de pouvoir de décision sur les projets et programmes », notamment en ce qui concerne leur financement ou leur calendrier. Les autorités communales peuvent contribuer à la recherche de sites et participer aux activités de lancement, de suivi et de réception des travaux.
Les partenaires techniques et financiers impliqués dans les projets pourront également être invités à participer aux réunions. Ces dernières seront convoquées "en cas de nécessité" par le président du cadre, généralement le ministre ou son représentant.
M. M.
LIRE LE DECRET N° 2025-520 PORTANT MISE EN PLACE DE CADRES DE CONCERTATION ET DE FACILITATION DE L'EXECUTION DES PROJETS ET PROGRAMMES NATIONAUX DANS LES COMMUNES