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Le Royaume-Uni rejoint la France et l’Allemagne pour soutenir la Belgique face aux incursions de drones

Euractiv.fr - lun, 10/11/2025 - 11:42

Le Royaume-Uni a annoncé dimanche 9 novembre l’envoi en Belgique d’une équipe spécialisée dans la défense anti-drones, après une série d’incursions de drones au-dessus d’un aéroport et de sites militaires dans le pays.

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Catégories: Union européenne

China suspends ‘special port fees’ on US vessels

Euractiv.com - lun, 10/11/2025 - 11:41
The United States and China have been involved in a volatile trade and tariff war for months
Catégories: European Union

ÄNDERUNGSANTRÄGE - Proposal for a Regulation of the European Parliament and of the Council on the acceleration of permit-granting for defence readiness projects - PE778.323v01-00

ÄNDERUNGSANTRÄGE - Proposal for a Regulation of the European Parliament and of the Council on the acceleration of permit-granting for defence readiness projects
Ausschuss für Binnenmarkt und Verbraucherschutz
Ausschuss für Sicherheit und Verteidigung
Lucia Yar, Henrik Dahl

Quelle : © Europäische Union, 2025 - EP
Catégories: Europäische Union

Stop overhyping AI, scientists tell von der Leyen

Euractiv.com - lun, 10/11/2025 - 11:05
Open letter criticises the Commission President for remarks earlier this year – when she anticipated AI would “approach human reasoning” in 2026
Catégories: European Union

Latest news - Next SEDE meeting - Committee on Security and Defence


The next meeting of the Committee on Security and Defence (SEDE) is scheduled to take place on Monday, 17 November 2025 from 15.00 - 18.30 in Brussels (room ANTALL 4Q1).

Further information about the SEDE meeting can be found here.

_______________________

SEDE missions 2025:
  • Djibouti - 27-29 October 2025
  • Greenland - 15-19 September 2025
  • Norway - 27-30 May 2025
  • Moldova and Ukraine - 14-17 April 2025
  • Bosnia and Herzegovina - 24-27 February 2025
  • Israel and Palestine - 5-8 February 2025
SEDE missions 2024:
  • United Kingdom - 28-30 October 2024
  • Ukraine - 25-26 October 2024

SEDE Committee meetings' calendar 2025
EP calendar 2025
Source : © European Union, 2025 - EP
Catégories: Europäische Union

Latest news - Next SEDE meeting - Committee on Security and Defence


The next meeting of the Committee on Security and Defence (SEDE) is scheduled to take place on Monday, 17 November 2025 from 15.00 - 18.30 in Brussels (room ANTALL 4Q1).

Further information about the SEDE meeting can be found here.

_______________________

SEDE missions 2025:
  • Djibouti - 27-29 October 2025
  • Greenland - 15-19 September 2025
  • Norway - 27-30 May 2025
  • Moldova and Ukraine - 14-17 April 2025
  • Bosnia and Herzegovina - 24-27 February 2025
  • Israel and Palestine - 5-8 February 2025
SEDE missions 2024:
  • United Kingdom - 28-30 October 2024
  • Ukraine - 25-26 October 2024

SEDE Committee meetings' calendar 2025
EP calendar 2025
Source : © European Union, 2025 - EP

La clôture ouverte de la nouvelle Secrets d'alcôve

Lefaso.net (Burkina Faso) - lun, 10/11/2025 - 11:00

Résumé :

Ce travail est une réflexion tirée d'un article scientifique portant sur la clôture de la nouvelle intitulée Secrets d'alcôve. Cet instant crucial de la construction d'une nouvelle littéraire indique que le minimalisme narratif constitue une de ses caractéristiques majeures. Dans cet élan, la clôture ouverte peut ajouter une touche de mystère et d'incertitude au récit. Et pourtant, le minimalisme narratif, dans quelques-unes de ses formes marquantes, révèle une sorte de malaise entre les réductions de tous ordres, la disparition d'enjeux d'envergure dans l'histoire, et la dilution de la littérature dans un univers pragmatique. Si les nouvelles, tenues de respecter cette exigence, sont en quelque sorte des clôtures ouvertes, le minimalisme narratif peut affecter de manière multiforme et à différents niveaux l'évolution narrative d'un récit sur les aspects de la profondeur, de la compréhension, voire du rythme. Suivant ce tiraillement, nous nous proposons de voir quelle est l'évolution narrative dans la nouvelle intitulée Secrets d'alcôve. Notre réflexion est guidée par l'analyse sémio-narrative à l'effet d'examiner comment les significations et les structures narratives changent au fil du temps dans la nouvelle susmentionnée d'une part, et de voir comment le minimalisme narratif détermine sa structuration d'autre part.
Mots-clés : Évolution narrative, clôture ouverte, minimalisme narratif, actant

1- Introduction

La composition d'une nouvelle réalise son statut artistique. C'est en fonction des principes qui la gouvernent ce genre que le nouvelliste « dispose les éléments de son récit pour obtenir certains effets, d'ordre dramatique, esthétique ou philosophique » (Raimond, 1988 : 100). La composition du récit repose d'abord sur la perspective narrative, c'est-à-dire sur les transformations qui vont faire passer le récit d'un nœud à un dénouement. Mais narrer une histoire, ce n'est pas seulement mettre en œuvre une dynamique narrative, c'est construire une cohérence inspirante, interpellative, qui parle, qui arrange, qui résonne, voire, qui dérange le lecteur. Ce dernier ne devrait pas être indifférent à la lecture. Pour ce faire, les auteurs peuvent recourir à certains procédés visant à rendre le lecteur actif (en l'invitant à réfléchir et à interpréter l'œuvre) à l'instar de la clôture ouverte. La nouvelle est donc un genre littéraire spécifique et très souvent analysé. La structure expose des étapes toutes particulières en mesure d'être analysées en profondeur en raison de sa pertinence. C'est au regard de ces éléments qu'il s'avère opportun de comprendre quelle est l'évolution narrative dans la nouvelle intitulée Secrets d'alcôve.

2- Méthodologie

L'analyse sémio-narrative ou la sémiologie narrative est le cadre théorique qui sous-tend la rédaction de cet article (Colas-Blaise, 2010). C'est une approche méthodologique qui combine la sémiotique (l'étude des signes et des symboles) et l'analyse narrative (l'étude des structures et des mécanismes des récits). La sémiologie narrative dérive de la Sémantique structurale de Greimas (1966). Cette approche vise à comprendre comment les récits fonctionnent et comment ils transmettent des sens et des significations. Selon la sémiologie narrative, le récit est à l'origine de tous les messages (Colas- Blaise, 2010). Il est conçu de manière à définir le système de représentation voulu par le destinateur. Il est question de comprendre comment recevoir un message, le décortiquer, le dévoyer, le décrypter aux fins de rendre le sens profond au destinataire.

3- Résultats
À l'issue de l'analyse nous présentons les résultats en trois points.

3.1- Les principaux actants du récit

Dans la nouvelle Secrets d'alcôve, l'actant principal est Daniel ; il est présenté comme une personne de sexe masculin, douanier de profession. Cette précision sur sa profession lui donne visiblement des atouts concourant à une compétence à même de pouvoir obtenir son objet de quête qu'est Chantal. L'objet de quête est un « objet » spécifique que le personnage principal veut posséder, un but que l'actant veut atteindre, ou encore la résolution d'un problème. L'objet de la quête donne une direction à l'histoire, il se présente comme le fil conducteur qui permet de mener l'action et comme des motivations des actions du personnage principal. Il peut également créer des conflits et des tensions qui permettent à l'histoire d'évoluer. L'objet de la quête est souvent motivé par les désirs, les besoins ou les valeurs de l'actant. Dans le cadre de cette nouvelle, Daniel s'emploie à conquérir sa bien-aimée Chantal.

3.2- La séquencialisation

Première séquence (de la page 77 à la page 80) est la phase du mariage entre Daniel et Chantal)
L'introduction d'une nouvelle est très essentielle dans l'organisation narrative ou dans l'agencement de la suite du récit. Elle sert à présenter les personnages, le contexte et la situation initiale, et à établir le ton et l'atmosphère de l'histoire. Dès le premier paragraphe de cette partie nouvelle, les personnages principaux (Daniel et Chantal) sont présentés, avec quelques détails sur leur profession, leur apparence et leur situation. Dans ce premier paragraphe évoqué plus haut, comme susmentionné ou pour être en phase avec l'optique minimaliste, l'introduction est directe et concise, et expose les personnages et leur relation de manière claire et efficace à savoir deux amoureux. C'est sans conteste et vertement exprimé que c'est une relation amicale profonde et un rapport amoureux qui les lient. L'histoire annonçant des séquences de vie de ce duo, commence directement, sans introduction profonde.

La deuxième séquence va de la page 80 à la page 84. C'est la phase du trouble dans le couple
L'incitation dans l'organisation narrative d'une nouvelle est déterminante. Elle correspond à l'événement qui déclenche l'action et met en mouvement l'intrigue. L'incitation dans une nouvelle peut être un événement extérieur qui affecte les personnages et déclenche l'action. C'est le cas dans le récit de la présente nouvelle lorsque le secret que porte Chantal devient trop pesant pour elle, comme cela est mentionné à la page 80. Ce qui se dessine c'est que « manifestement, un secret chagrin tourmentait Chantal ». L'idée dans cette phrase crée un mystère autour de Chantal, laissant le lecteur se demander ce qui la tourmente. L'utilisation du mot « secret » et « chagrin », est certainement chargée de suspens, elle crée une intrigue et pousse le lecteur à vouloir en savoir plus. Le contenu de cette portion de phrase suggère que Chantal est troublée par quelque chose ce qui crée une tension psychologique et émotionnelle.

La troisième séquence va de la page 84 à la fin. C'est la phase des échanges de lettres. Le point culminant ; c'est un élément clé de l'organisation narrative de la nouvelle. Il correspond au moment le plus intense et décisif de l'histoire, où les enjeux sont les plus élevés et les conséquences sont plus importantes. Un moment où un personnage découvre une vérité importante. Un moment où l'histoire prend un tournant particulier et où les événements qui suivent sont déterminés par les choix des personnages. Dans ce récit, elle correspond à la phase des échanges de lettres. Chantal, se sentant mal, se trouvant face à un conflit intense avec sa conscience, décide de procéder par une communication à distance. Elle choisit d'envoyer une lettre à son époux pour lui avouer son secret.

3.3- La clôture ouverte

Pour ce qui est de la clôture ouverte d'une œuvre littéraire, il s'agit d'une fin qui n'est pas résolue de manière définitive, laissant le lecteur avec des questions ou des pistes de réflexion, ou la suite de l'intrigue en devenir. Cette technique narrative vise entre autres à : stimuler l'imagination du lecteur, à encourager l'interprétation personnelle, à créer un sentiment d'incertitude ou de suspens, ou encore à ouvrir la voie à des suites ou des prolongements. Dans le cadre de la nouvelle de l'auteur burkinabé Ansomwin Ignace Hien, intitulé les Secrets d'alcôve, le nouvelliste a recouru à une clôture ouverte comme il convient de le percevoir avec ce dernier paragraphe : « À ton tour, pardonne-moi ou condamne-moi : choisis sans contrainte. Tout ce que je puis conclure est ceci : ma maison et mon cœur te sont ouverts à jamais. Viens-y si tu le désires. Reste où tu es, si tu optes de ne pas lier ta vie à celle d'un homme stérile. Libre, tu l'es absolument. Ton Dany » (page 95). Cette chute de la lettre de Daniel est un exemple parfait de clôture ouverte dans une narration. Le destinataire à savoir Chantal est laissé libre de choisir son propre chemin, sans que l'expéditeur n'impose sa volonté ou ne tire de conclusions définitives. Les éléments qui contribuent à la clôture ouverte sont entre autres : la main tendue du personnage principal, l'invitation à choisir, la précision du libre choix, l'absence de jugement, le désir explicite de réparation d'un tors et la possibilité de rupture ou de rapprochement. Le destinataire est invité à prendre une décision sans contraintes. Cette invite augure ce libre arbitre, ce qui laisse la porte ouverte à différentes possibilités. D'un autre côté, l'expéditeur ne juge pas le destinataire, mais lui offre plutôt une liberté absolue de choix. Enfin, cette chute de la lettre laisse ouverte la possibilité d'un rapprochement ou d'une rupture, sans que l'issue ne soit définie.

4- Conclusion

L'évolution narrative de cette nouvelle, soumise à notre étude, se projette en elle-même et met avant tout en scène la perspective de sa propre suite. Suivant ce point, le style minimaliste, et la clôture ouverte apparaissent comme une des invitations claires du narrateur à l'implication du lecteur. En décrivant superficiellement les personnages de Daniel et de Chantal, par exemple, le nouvelliste facilite la contextualisation et l'identification des lecteurs à ces personnages. Avec l'écriture minimaliste, et la clôture ouverte, c'est toute la nouvelle qui est mise en suggestion, en interprétation.

DRABO Amba Victorine
Chargé de recherches
Institut des sciences des sociétés (INSS)
Centre national de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST) Burkina-Faso
victodrabo@yahoo.fr

5- Références bibliographiques

Corpus
Ansomwin Ignace Hien, 1989. Secrets d'alcôve, Presses Africaines.

Autres références
BEDRANE Sabrinelle et al., 2012. Le récit minimal, Presses Sorbonne Nouvelle, Paris.
COLAS-BLAISE Marion, 2010. « L'énonciation à la croisée des approches. Comment faire dialoguer la linguistique et la sémiotique ? », Signata, 1/2010, pp. 39-89.

DRABO, Amba Victorine,2025, La clôture ouverte de la nouvelle Secrets d'alcôve, in Revue Enclume d'Ivoire, Vol 2 N°5 Octobre 2025. ISSN Print : 3007-9225 ISSN Online : 3007-9233 ISSN Digital : 3007-9241
GREIMAS Algirdas Julien, 1966. Sémantique structurale : recherche de méthode, Larousse, Paris.
LANDOLSI Houda, 2014, « Suzanne et les mères : une histoire d'amour et de mort. Une lecture sémiotique de La Religieuse de
Diderot », Signata [Online], 5 |, Online since 30 October 2016, connection on 30 July 2025. URL : http://journals.openedition.org/signata/501 ; DOI : https://doi.org/10.4000/signata.501

Catégories: Afrique

Tout ce qu'il faut savoir sur la présidentielle prochaine en République de Guinée

BBC Afrique - lun, 10/11/2025 - 10:53
La Cour suprême vient de publier une liste provisoire de neuf candidats pour la présidentielle du 28 décembre.
Catégories: Afrique

Von der Leyen geht im Haushaltsstreit auf das EU-Parlament zu

Euractiv.de - lun, 10/11/2025 - 10:33
Zu den Vorschlägen zählen mehr Mitspracherechte des Parlaments bei den Ausgaben sowie eine eigene Zielvorgabe für die Förderung ländlicher Räume.
Catégories: Europäische Union

La COP30, moment de vérité pour une Europe divisée sur l’ambition climatique

Euractiv.fr - lun, 10/11/2025 - 10:28

À l’approche de la COP30 de Belém, les États membres de l’UE peinent à parler d’une seule voix sur la marche à suivre pour combler l’écart entre les promesses mondiales et les actions nécessaires. Lassitude politique, divergences d’approche et absence d’alliés solides… L’UE aborde le rassemblement mondial annuel dans un climat d’incertitude.

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COP30: Bewährungsprobe für die „Just Transition“

Bonn, 10. November 2025. Die heute beginnende COP30 markiert den zehnten Jahrestag des Pariser Abkommens, in dem sich Länder verpflichtet haben, die globale Erwärmung unter 1,5 °C zu begrenzen. Zwei Jahre nach der ersten globalen Bestandsaufnahme – die leider nicht zu wesentlichen Fortschritten der Emissionsreduzierung führte –zeigt sich jedoch: Nur ein Drittel der neuen nationalen Klimabeiträge (NDCs) enthält konkrete Zusagen zum Ausstieg aus fossilen Brennstoffen. Die meisten großen Emittenten – darunter die EU, China, Südafrika, Australien und Indien – haben ihre Zusagen hierzu nicht aktualisiert.

Die Präambel des Pariser Abkommens erkennt an, dass der „gerechte Strukturwandel für die arbeitende Bevölkerung und die Schaffung menschenwürdiger Arbeit und hochwertiger Arbeitsplätze“  unverzichtbar für den Klimaschutz ist. Auf der diesjährigen Weltklimakonferenz (COP30) ist die sozial gerechte Umsetzung dieses Ziels dringender denn je. Zu diesem Zweck wurde im Rahmen der Klimarahmenkonvention UNFCCC das Arbeitsprogramm für eine Just Transition (“gerechter Übergang“) (JTWP) eingerichtet, doch dessen Mandat läuft auf der COP31 aus.

Seit seiner Gründung auf der COP27 und formellen Verabschiedung auf der COP28 soll das JTWP Wege zu einer „Just Transition“ ausloten, etwa durch Dialoge und Runde Tische. Doch bis heute fehlt eine Einigung, wie diese konkret aussehen soll. Länder mit hohem Einkommen setzen vorrangig auf eine Dekarbonisierung des Energiesektors, die Anpassung der Arbeitsplätze und Klimaresilienz. Einkommensschwache Länder dagegen fordern einen umfassenderen, multilateralen Ansatz auf Basis sozialer und Klima-Gerechtigkeit sowie gemeinsamer, aber differenzierter Verantwortlichkeiten. Diese Kluft prägt die politischen Debatten und die Forschung - grundlegende Fragen – Was bedeutet gerecht? Für wen? Und wer entscheidet darüber? – bleiben offen.

Zwar bieten die Leitlinien der IAO für eine „Just Transition“ einen wichtigen Rahmen und betonen menschenwürdige Arbeit und eine ökologische Wirtschaft, doch weltweit bleiben die Bemühungen fragmentiert und unkoordiniert. Dies kann zu Widerstand gegen die Klimapolitik führen. In Europa etwa leugnen Gegner nicht so sehr den Klimawandel, sondern argwöhnen, dass Regierungen die Klimapolitik nicht sozial gerecht gestalten. Ohne eine sinnvolle Beteiligung der lokalen Bevölkerung und spürbare Verbesserungen im Alltag droht die gesellschaftliche Akzeptanz für ehrgeizige Klimaschutzmaßnahmen weiter zu sinken.

Die Zeit für die Umsetzung des JTWP drängt. Bei den UN-Klimaverhandlungen in Bonn im Juni wurden in einem informellen Aktionsplan mehrere Zukunftsoptionen vorgestellt: von einer globalen Plattform über einen Leitrahmen bis hin zu einem neuen Mechanismus oder einer „Toolbox“. Angesichts geringer Fortschritte in den letzten Jahren hat die Zivilgesellschaft nun den Bélem-Aktionsmechanismus für eine globale „Just Transition“ vorgeschlagen – ein neues Instrument, das Ländern endlich Orientierung geben könnte. Dabei sollte es um zwei zentrale Punkte gehen.

Erstens erkennt der informelle Aktionsplan zwar „das Potenzial für Synergien mit den Rio-Konventionen und den SDGs“ an, nimmt aber keine verbindlichen Vorgaben in Bezug auf die Agenda 2030 oder die SDGs auf. Dies ist ein schwerwiegendes Versäumnis. Eine „Just Transition“ kann nur gelingen, wenn sie neben der Dekarbonisierung des Energiesektors oder Emissionssenkungen auch Armut, ein integriertes Ressourcenmanagement, sozialen Schutz und Klimaanpassung berücksichtigt. Da die Umsetzung der SDGs stockt und nur noch fünf Jahre bleiben, droht die fehlende Verknüpfung mit der Agenda 2030 die internationale Politik weiter zu fragmentieren. Jede JTWP-Toolbox muss daher Politikkohärenz als Leitprinzip institutionalisieren, um Synergien zu fördern und Zielkonflikte zu vermeiden. Dies ist unerlässlich, um multidimensionale, sektorübergreifende Übergänge zu erreichen, die nationale soziale und ökologische Ziele mit globalen Rahmenwerken in Einklang bringen.

Zweitens braucht es ein eigenes Forum, um Umsetzungs- und Finanzierungsstrategien zu diskutieren. Zwar ginge das über das bisherige Mandat hinaus, ist aber unverzichtbar für einen glaubwürdigen Finanzierungsrahmen. Die auf der COP26 entstandenen Just Energy Transition Partnerships zeigen die Schwächen klassischer Klimafinanzierung. Diese multilateralen Vereinbarungen zwischen einkommensstarken Ländern und kohleabhängigen Ländern mit mittlerem Einkommen wurden dafür kritisiert, dass sie unterfinanziert und abhängig von Krediten sind und die Verfahrensgerechtigkeit in den Empfängerländern schwächen. Der jüngste Rückzug der USA hat das Vertrauen zusätzlich erschüttert. Das JTWP könnte hier den Boden für eine neue, faire Finanzarchitektur legen und sicherstellen, dass jedes globale Instrumentarium für eine „Just Transition“ letztlich durch eine faire, verlässliche Finanzierung und robuste Rechenschaftsmechanismen untermauert ist.

Dass der Präsident der COP30 das JTWP zur obersten Priorität erklärt hat, schafft neue Chancen. Nun gilt es, die Weichen so zu stellen, dass Klimaschutz, nachhaltige Entwicklung und Gerechtigkeit tatsächlich zusammenfinden. Das JTWP darf keine Fußnote bleiben, sondern muss zu einer Säule der globalen Klimapolitik werden. Die Verhandlungsführer*innen sollten Mut beweisen und dafür sorgen, dass es nicht bei bloßen Versprechen einkommensstarker Länder bleibt, ihrer Verantwortung nachzukommen, und dass alle Sektoren zusammenarbeiten. Wird die „Just Transition“ auf der COP30 zu einem echten globalen Projekt – oder erleben wir eine weitere vertane Gelegenheit in einem Jahrzehnt der Versäumnisse?

COP30: Bewährungsprobe für die „Just Transition“

Bonn, 10. November 2025. Die heute beginnende COP30 markiert den zehnten Jahrestag des Pariser Abkommens, in dem sich Länder verpflichtet haben, die globale Erwärmung unter 1,5 °C zu begrenzen. Zwei Jahre nach der ersten globalen Bestandsaufnahme – die leider nicht zu wesentlichen Fortschritten der Emissionsreduzierung führte –zeigt sich jedoch: Nur ein Drittel der neuen nationalen Klimabeiträge (NDCs) enthält konkrete Zusagen zum Ausstieg aus fossilen Brennstoffen. Die meisten großen Emittenten – darunter die EU, China, Südafrika, Australien und Indien – haben ihre Zusagen hierzu nicht aktualisiert.

Die Präambel des Pariser Abkommens erkennt an, dass der „gerechte Strukturwandel für die arbeitende Bevölkerung und die Schaffung menschenwürdiger Arbeit und hochwertiger Arbeitsplätze“  unverzichtbar für den Klimaschutz ist. Auf der diesjährigen Weltklimakonferenz (COP30) ist die sozial gerechte Umsetzung dieses Ziels dringender denn je. Zu diesem Zweck wurde im Rahmen der Klimarahmenkonvention UNFCCC das Arbeitsprogramm für eine Just Transition (“gerechter Übergang“) (JTWP) eingerichtet, doch dessen Mandat läuft auf der COP31 aus.

Seit seiner Gründung auf der COP27 und formellen Verabschiedung auf der COP28 soll das JTWP Wege zu einer „Just Transition“ ausloten, etwa durch Dialoge und Runde Tische. Doch bis heute fehlt eine Einigung, wie diese konkret aussehen soll. Länder mit hohem Einkommen setzen vorrangig auf eine Dekarbonisierung des Energiesektors, die Anpassung der Arbeitsplätze und Klimaresilienz. Einkommensschwache Länder dagegen fordern einen umfassenderen, multilateralen Ansatz auf Basis sozialer und Klima-Gerechtigkeit sowie gemeinsamer, aber differenzierter Verantwortlichkeiten. Diese Kluft prägt die politischen Debatten und die Forschung - grundlegende Fragen – Was bedeutet gerecht? Für wen? Und wer entscheidet darüber? – bleiben offen.

Zwar bieten die Leitlinien der IAO für eine „Just Transition“ einen wichtigen Rahmen und betonen menschenwürdige Arbeit und eine ökologische Wirtschaft, doch weltweit bleiben die Bemühungen fragmentiert und unkoordiniert. Dies kann zu Widerstand gegen die Klimapolitik führen. In Europa etwa leugnen Gegner nicht so sehr den Klimawandel, sondern argwöhnen, dass Regierungen die Klimapolitik nicht sozial gerecht gestalten. Ohne eine sinnvolle Beteiligung der lokalen Bevölkerung und spürbare Verbesserungen im Alltag droht die gesellschaftliche Akzeptanz für ehrgeizige Klimaschutzmaßnahmen weiter zu sinken.

Die Zeit für die Umsetzung des JTWP drängt. Bei den UN-Klimaverhandlungen in Bonn im Juni wurden in einem informellen Aktionsplan mehrere Zukunftsoptionen vorgestellt: von einer globalen Plattform über einen Leitrahmen bis hin zu einem neuen Mechanismus oder einer „Toolbox“. Angesichts geringer Fortschritte in den letzten Jahren hat die Zivilgesellschaft nun den Bélem-Aktionsmechanismus für eine globale „Just Transition“ vorgeschlagen – ein neues Instrument, das Ländern endlich Orientierung geben könnte. Dabei sollte es um zwei zentrale Punkte gehen.

Erstens erkennt der informelle Aktionsplan zwar „das Potenzial für Synergien mit den Rio-Konventionen und den SDGs“ an, nimmt aber keine verbindlichen Vorgaben in Bezug auf die Agenda 2030 oder die SDGs auf. Dies ist ein schwerwiegendes Versäumnis. Eine „Just Transition“ kann nur gelingen, wenn sie neben der Dekarbonisierung des Energiesektors oder Emissionssenkungen auch Armut, ein integriertes Ressourcenmanagement, sozialen Schutz und Klimaanpassung berücksichtigt. Da die Umsetzung der SDGs stockt und nur noch fünf Jahre bleiben, droht die fehlende Verknüpfung mit der Agenda 2030 die internationale Politik weiter zu fragmentieren. Jede JTWP-Toolbox muss daher Politikkohärenz als Leitprinzip institutionalisieren, um Synergien zu fördern und Zielkonflikte zu vermeiden. Dies ist unerlässlich, um multidimensionale, sektorübergreifende Übergänge zu erreichen, die nationale soziale und ökologische Ziele mit globalen Rahmenwerken in Einklang bringen.

Zweitens braucht es ein eigenes Forum, um Umsetzungs- und Finanzierungsstrategien zu diskutieren. Zwar ginge das über das bisherige Mandat hinaus, ist aber unverzichtbar für einen glaubwürdigen Finanzierungsrahmen. Die auf der COP26 entstandenen Just Energy Transition Partnerships zeigen die Schwächen klassischer Klimafinanzierung. Diese multilateralen Vereinbarungen zwischen einkommensstarken Ländern und kohleabhängigen Ländern mit mittlerem Einkommen wurden dafür kritisiert, dass sie unterfinanziert und abhängig von Krediten sind und die Verfahrensgerechtigkeit in den Empfängerländern schwächen. Der jüngste Rückzug der USA hat das Vertrauen zusätzlich erschüttert. Das JTWP könnte hier den Boden für eine neue, faire Finanzarchitektur legen und sicherstellen, dass jedes globale Instrumentarium für eine „Just Transition“ letztlich durch eine faire, verlässliche Finanzierung und robuste Rechenschaftsmechanismen untermauert ist.

Dass der Präsident der COP30 das JTWP zur obersten Priorität erklärt hat, schafft neue Chancen. Nun gilt es, die Weichen so zu stellen, dass Klimaschutz, nachhaltige Entwicklung und Gerechtigkeit tatsächlich zusammenfinden. Das JTWP darf keine Fußnote bleiben, sondern muss zu einer Säule der globalen Klimapolitik werden. Die Verhandlungsführer*innen sollten Mut beweisen und dafür sorgen, dass es nicht bei bloßen Versprechen einkommensstarker Länder bleibt, ihrer Verantwortung nachzukommen, und dass alle Sektoren zusammenarbeiten. Wird die „Just Transition“ auf der COP30 zu einem echten globalen Projekt – oder erleben wir eine weitere vertane Gelegenheit in einem Jahrzehnt der Versäumnisse?

COP30: Bewährungsprobe für die „Just Transition“

Bonn, 10. November 2025. Die heute beginnende COP30 markiert den zehnten Jahrestag des Pariser Abkommens, in dem sich Länder verpflichtet haben, die globale Erwärmung unter 1,5 °C zu begrenzen. Zwei Jahre nach der ersten globalen Bestandsaufnahme – die leider nicht zu wesentlichen Fortschritten der Emissionsreduzierung führte –zeigt sich jedoch: Nur ein Drittel der neuen nationalen Klimabeiträge (NDCs) enthält konkrete Zusagen zum Ausstieg aus fossilen Brennstoffen. Die meisten großen Emittenten – darunter die EU, China, Südafrika, Australien und Indien – haben ihre Zusagen hierzu nicht aktualisiert.

Die Präambel des Pariser Abkommens erkennt an, dass der „gerechte Strukturwandel für die arbeitende Bevölkerung und die Schaffung menschenwürdiger Arbeit und hochwertiger Arbeitsplätze“  unverzichtbar für den Klimaschutz ist. Auf der diesjährigen Weltklimakonferenz (COP30) ist die sozial gerechte Umsetzung dieses Ziels dringender denn je. Zu diesem Zweck wurde im Rahmen der Klimarahmenkonvention UNFCCC das Arbeitsprogramm für eine Just Transition (“gerechter Übergang“) (JTWP) eingerichtet, doch dessen Mandat läuft auf der COP31 aus.

Seit seiner Gründung auf der COP27 und formellen Verabschiedung auf der COP28 soll das JTWP Wege zu einer „Just Transition“ ausloten, etwa durch Dialoge und Runde Tische. Doch bis heute fehlt eine Einigung, wie diese konkret aussehen soll. Länder mit hohem Einkommen setzen vorrangig auf eine Dekarbonisierung des Energiesektors, die Anpassung der Arbeitsplätze und Klimaresilienz. Einkommensschwache Länder dagegen fordern einen umfassenderen, multilateralen Ansatz auf Basis sozialer und Klima-Gerechtigkeit sowie gemeinsamer, aber differenzierter Verantwortlichkeiten. Diese Kluft prägt die politischen Debatten und die Forschung - grundlegende Fragen – Was bedeutet gerecht? Für wen? Und wer entscheidet darüber? – bleiben offen.

Zwar bieten die Leitlinien der IAO für eine „Just Transition“ einen wichtigen Rahmen und betonen menschenwürdige Arbeit und eine ökologische Wirtschaft, doch weltweit bleiben die Bemühungen fragmentiert und unkoordiniert. Dies kann zu Widerstand gegen die Klimapolitik führen. In Europa etwa leugnen Gegner nicht so sehr den Klimawandel, sondern argwöhnen, dass Regierungen die Klimapolitik nicht sozial gerecht gestalten. Ohne eine sinnvolle Beteiligung der lokalen Bevölkerung und spürbare Verbesserungen im Alltag droht die gesellschaftliche Akzeptanz für ehrgeizige Klimaschutzmaßnahmen weiter zu sinken.

Die Zeit für die Umsetzung des JTWP drängt. Bei den UN-Klimaverhandlungen in Bonn im Juni wurden in einem informellen Aktionsplan mehrere Zukunftsoptionen vorgestellt: von einer globalen Plattform über einen Leitrahmen bis hin zu einem neuen Mechanismus oder einer „Toolbox“. Angesichts geringer Fortschritte in den letzten Jahren hat die Zivilgesellschaft nun den Bélem-Aktionsmechanismus für eine globale „Just Transition“ vorgeschlagen – ein neues Instrument, das Ländern endlich Orientierung geben könnte. Dabei sollte es um zwei zentrale Punkte gehen.

Erstens erkennt der informelle Aktionsplan zwar „das Potenzial für Synergien mit den Rio-Konventionen und den SDGs“ an, nimmt aber keine verbindlichen Vorgaben in Bezug auf die Agenda 2030 oder die SDGs auf. Dies ist ein schwerwiegendes Versäumnis. Eine „Just Transition“ kann nur gelingen, wenn sie neben der Dekarbonisierung des Energiesektors oder Emissionssenkungen auch Armut, ein integriertes Ressourcenmanagement, sozialen Schutz und Klimaanpassung berücksichtigt. Da die Umsetzung der SDGs stockt und nur noch fünf Jahre bleiben, droht die fehlende Verknüpfung mit der Agenda 2030 die internationale Politik weiter zu fragmentieren. Jede JTWP-Toolbox muss daher Politikkohärenz als Leitprinzip institutionalisieren, um Synergien zu fördern und Zielkonflikte zu vermeiden. Dies ist unerlässlich, um multidimensionale, sektorübergreifende Übergänge zu erreichen, die nationale soziale und ökologische Ziele mit globalen Rahmenwerken in Einklang bringen.

Zweitens braucht es ein eigenes Forum, um Umsetzungs- und Finanzierungsstrategien zu diskutieren. Zwar ginge das über das bisherige Mandat hinaus, ist aber unverzichtbar für einen glaubwürdigen Finanzierungsrahmen. Die auf der COP26 entstandenen Just Energy Transition Partnerships zeigen die Schwächen klassischer Klimafinanzierung. Diese multilateralen Vereinbarungen zwischen einkommensstarken Ländern und kohleabhängigen Ländern mit mittlerem Einkommen wurden dafür kritisiert, dass sie unterfinanziert und abhängig von Krediten sind und die Verfahrensgerechtigkeit in den Empfängerländern schwächen. Der jüngste Rückzug der USA hat das Vertrauen zusätzlich erschüttert. Das JTWP könnte hier den Boden für eine neue, faire Finanzarchitektur legen und sicherstellen, dass jedes globale Instrumentarium für eine „Just Transition“ letztlich durch eine faire, verlässliche Finanzierung und robuste Rechenschaftsmechanismen untermauert ist.

Dass der Präsident der COP30 das JTWP zur obersten Priorität erklärt hat, schafft neue Chancen. Nun gilt es, die Weichen so zu stellen, dass Klimaschutz, nachhaltige Entwicklung und Gerechtigkeit tatsächlich zusammenfinden. Das JTWP darf keine Fußnote bleiben, sondern muss zu einer Säule der globalen Klimapolitik werden. Die Verhandlungsführer*innen sollten Mut beweisen und dafür sorgen, dass es nicht bei bloßen Versprechen einkommensstarker Länder bleibt, ihrer Verantwortung nachzukommen, und dass alle Sektoren zusammenarbeiten. Wird die „Just Transition“ auf der COP30 zu einem echten globalen Projekt – oder erleben wir eine weitere vertane Gelegenheit in einem Jahrzehnt der Versäumnisse?

An industrial policy renaissance: the challenges and opportunities of going green

A new wave of green industrial policies comes with a set of important economic and social trade-offs for the implementing countries as well as the cross-border impacts for their trading partners.

An industrial policy renaissance: the challenges and opportunities of going green

A new wave of green industrial policies comes with a set of important economic and social trade-offs for the implementing countries as well as the cross-border impacts for their trading partners.

An industrial policy renaissance: the challenges and opportunities of going green

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Die Jugend braucht finanzielle Sicherheit

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Displaced Farmers in Southern Lebanon Still Denied Access to Land

Africa - INTER PRESS SERVICE - lun, 10/11/2025 - 09:27

Damaged greenhouse in Bent Jbeil, Nabatieh governorate. Credit: Action Against Hunger

By Ed Holt
BRATISLAVA, Nov 10 2025 (IPS)

Food security and livelihoods in southern Lebanon are under severe threat as the repercussions of Israeli bombing continue to be felt across the region, a report released today (NOV 10) has warned.

Almost a year since a ceasefire was agreed, many farmers in Southern Lebanon are still denied access to their land due to displacement, ongoing Israeli attacks, and soil contamination, a joint report from Action Against Hunger, Oxfam and Insecurity Insight has found.

The impacts of the war, coupled with regular Israeli attacks and occupation, have wiped out farmland and destroyed crops and essential food infrastructure, threatening food security and livelihoods in some of the country’s most fertile and productive areas, according to the report.

“Food insecurity is a huge concern in Lebanon, affecting around a fifth of its population, and this report shows how damage and displacement are devastating production in some of its most fertile lands. As winter approaches, more and more families face hunger and poverty,” Suzanne Takkenberg, Action Against Hunger Country Director, told IPS.

The report, “’We Lost Everything’: The Impact of Conflict on Farmers and Food Security in Lebanon,” lays bare the effects of repeated and ongoing attacks by Israeli forces on Lebanese agricultural land and food production.

It highlights the lasting disruption to the agricultural sector and damage to the rural economy as seeds, fuel and other items necessary to plant and harvest, such as fertilizer and fuel, fodder, workers, and equipment, have become harder to obtain, while damaged roads mean transporting goods can sometimes be impossible.

Displacement and continued lack of access to land are among the major problems farmers are facing.

Almost half of the farmers interviewed for the report had been internally displaced and nearly a year on since the ceasefire was agreed, approximately 82,000 people remain unable to go home due to ongoing Israeli occupation and armed violence.

The ongoing presence of Israeli troops in southern Lebanon, despite a February 2025 deadline for their withdrawal, is also preventing people from accessing land to farm.

“Agricultural losses are not only caused by shelling or burning. When farmers cannot reach their land because of displacement or military presence, the outcome is the same: fields go unplanted, and food disappears,” Christina Wille, Director of Insecurity Insight, told IPS.

The five areas in southern Lebanon remaining under Israeli occupation as of September 2025.
Credit: Map: Insecurity Insight. Base Map: UN OCHA

But farmers have also complained of another serious effect of the bombings – contamination with/from explosive remnants of war (ERW) and white phosphorus.

White phosphorus can have detrimental effects on soil fertility and plant growth, which affects farmers’ ability to grow and harvest crops – with a knock-on effect for food security.

“ERW also poses a serious risk, as not only can these weapons degrade over time and contaminate water and soil, but they can also lead to serious injury and even death if unexploded ordnance detonates unexpectedly,” explained Wille.

“Explosive contamination freezes life in place. It keeps people displaced, fields uncultivated, and entire communities in limbo. Farmers told us that the war didn’t just destroy their crops but also their confidence. Food security is not only about seeds and soil. It is also about whether people feel safe enough to work the land,” she added.

The scale of the losses farmers have endured since the start of the conflict is immense.

“Our findings show that around 90% of farmers we interviewed have seen their food production drop since October 2023. That is a systemic collapse, not a seasonal shock,” Drew East, Researcher at Insecurity Insight, told IPS.

The food production of several farmers in Khiam, Bodai, Saaideh, Baalbek and Aitaroun has completely stopped, depriving them of their main income sources.

Meanwhile, farmers in areas of southern Lebanon and Bekaa that have seen some of the worst conflict incidents have seen losses not just of land but of homes, livestock, and agricultural assets.

But it is not just the livelihoods of farmers that have been ruined.

“Some farmers have lost everything and this will have devastating repercussions not just for them and their families, but also for the communities they help to feed,” said Wille.

The ongoing threat of violence and the levels of destruction witnessed throughout the conflict have also had a profound impact on the physical and psychological well-being of affected communities, according to the report.

“Farmers across Lebanon are already in crisis as historically low rainfall has led to the worst drought on record. This climate stress is being exacerbated by the ongoing effects of the conflict, including contamination of the land, restricted access and disruption to supply chains. Urgent action is needed to restore hope for farmers and communities who rely on them,” said Takkenberg.

Farmers also warned of the need for urgent assistance to address worsening hunger and poverty among communities.

Experts believe that until the ceasefire agreed upon one year ago is fully adhered to, affected farmers will not be able to recover fully.

“The repeated attacks on farmland in South Lebanon and Bekaa are not only destroying livelihoods but undermining Lebanon’s food security. There must be an immediate end to these violations and the full withdrawal of Israeli forces so that farmers can safely return to their land and rebuild their lives,” Oxfam in Lebanon Country Director Bachir Ayoub said.

“Three key elements farmers identified that would enable them to end the negative cycle afflicting southern Lebanon and fully resume food production were financial assistance, a complete cessation of hostilities, and the clearance of ERW-contaminated land,” added Wille.

The report comes just months after the same groups warned at least 150,000 people had been left without running water across the south of Lebanon after Israeli attacks had damaged and destroyed swathes of water sanitation and hygiene (WASH) facilities since the beginning of the conflict.

A report detailed how repeated attacks on Lebanese water infrastructure between October 2023 and April 2025 had led to long-term disruption to supplies of fresh water and caused losses estimated at USD171 million across the water, wastewater and irrigation sectors.

Meanwhile, a severe rainfall shortage had exacerbated the problem, increasing risks of outbreaks of waterborne diseases.

In the latest report, its authors point out that all parties to the conflict have clear obligations under International Humanitarian Law to protect objects indispensable to the survival of the civilian population, including foodstuffs, agricultural areas, crops and livestock.

And they have issued a call for urgent action to push for more humanitarian and development material support and funding to help with the situation and have stressed the need for a full withdrawal of Israeli forces from Lebanese territory as part of the ceasefire.

“The most urgent call could be to help people to safely return home and to work and address food insecurity as soon as possible,” said Wille.

“This is not last year’s conflict. The report tells the story of communities that are not just struggling to recover but under ongoing attack- as we’ve seen most intensely in the last few days,” said Takkenberg.

“Our teams are operating in this highly volatile environment to support those in need – rebuilding greenhouses, restoring roads, distributing cash and providing essential agricultural inputs. Working side by side with local authorities and communities, we are doing what we can to repair livelihoods and create space for renewal. But ultimately, this won’t be possible until we have lasting peace,” she added.

IPS UN Bureau Report

 


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Catégories: Africa

Budget de l’UE : Ursula von der Leyen fait des concessions au Parlement

Euractiv.fr - lun, 10/11/2025 - 09:08

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