L'affaire de l'ancienne première dame gabonaise, Sylvia Bongo, et son fils Nourredine Bongo a amorcé une autre phase.
Leur procès s'est ouvert, ce lundi 10 novembre 2025, dans la capitale gabonaise, Libreville. Un procès pour détournement de fonds intenté par l'Etat gabonais, contre l'ex-première dame, et son fils.
Devant la Cour criminelle spéciale, ils sont accusés, aux côtés de plusieurs membres du gouvernement déchu, dont Mohamed Ali Saliou, ex-directeur de cabinet de l'ancien président Ali Bongo Ondimba, de blanchiment de capitaux, de corruption et de falsification de la signature du chef de l'État.
Ces derniers ont quitté le pays en mai dernier, après un accord présumé avec les autorités. Ils seront donc jugés par contumace. Leurs avocats ont décidé de ne pas participer à ce procès. Les principaux accusés parlent d''´une parodie de justice”.
Le procès pourrait durer jusqu'au 14 novembre selon les informations. Arrêtés le 30 août 2023, Sylvia Bongo et son fils affirment avoir subi des tortures dans les sous-sols de la présidence gabonaise avant leur départ pour Londres en mai dernier 2023.
Lefaso.net
Source : Africanews
La communauté éducative de la commune de Kokologho était en fête ce vendredi 7 novembre 2025. Pour cause, la première école bioclimatique de Kokologho a été inaugurée. L'infrastructure comprend 6 salles de classes, un bureau, un magasin ainsi qu'une salle de réunion de 20 places. L'ensemble est entièrement équipé et entouré d'une ceinture végétale de plants de neem. La réalisation de cette infrastructure a été faite par l'ONG Le Soleil dans la main. Les autorités communales et celles en charge de l'éducation ont exprimé leur gratitude à l'ONG qui, à travers la réalisation de cette infrastructure, permet d'augmenter l'offre éducative, d'améliorer les conditions d'apprentissage des élèves et de travail des enseignants. Ils ont pris la résolution de prendre grand soin des bâtiments, afin que les générations futures puissent en profiter.
Les élèves de l'école Kokologho C pourront désormais étudier dans de meilleures conditions. Grâce à ces classes bioclimatiques, les effectifs pléthoriques qui étaient autrefois constatés sont désormais un vieux souvenir. Et cerise sur le gâteau, ces bâtiments sont réalisés à partir de matériaux locaux, ne consomment aucune électricité et maintiennent une température intérieure inférieure d'environ deux degrés à celle d'une école classique. Ils offrent donc aux élèves un confort lumineux, thermique, acoustique ainsi qu'une excellente qualité de l'air.
Les salles de classes offrent confort et lumière aux apprenantsFatogoma Stéphane Millogo, assistant architecte, indique que l'école bioclimatique offre un confort amélioré par rapport aux écoles classiques. " C'est une école faite sur mesure pour le climat du Burkina Faso. Au bout de 30 ans, cette école est neutre en carbone. Elle est réalisée avec des matériaux biosourcés, avec une accessibilité pour personnes handicapées respectée et une aération abondante dans les salles de classe. La température à l'intérieur est très agréable", explique-t-il.
À en croire Fatogoma Stéphane Millogo, assistant architecte, l'école bioclimatique offre un confort amélioré par rapport aux écoles classiques.Ce joyau architectural a été réalisé grâce à l'accord-cadre Biig-Veenem, pour un montant total de 140 millions de francs CFA. Il a été cofinancé par Le Soleil dans la Main au Luxembourg et le ministère des Affaires étrangères et européennes du Grand-Duché de Luxembourg. Selon le coordonnateur, représentant national de l'ONG Le Soleil dans la main, Didier Kienou, ce bâtiment est la réponse à un besoin en infrastructures scolaires exprimé avec insistance par la Direction provinciale de l'éducation nationale du Boulkiemdé. "Ensemble, nous avons réfléchi, ajusté et amélioré, pour que le résultat réponde aux besoins des usagers d'aujourd'hui comme à ceux des générations futures...Grâce à l'engagement de chacun, tous les travaux prioritaires ont été livrés à temps, permettant une rentrée scolaire sereine le 1er octobre 2025", a-t-il relevé.
Selon le coordonnateur, représentant national de l'ONG Le Soleil dans la main, Didier Kienou, ce bâtiment est la réponse à un besoin en infrastructures scolaires exprimé avec insistance par la Direction provinciale de l'éducation nationale du BoulkiemdéDidier Kienou a fait savoir que le bâtiment a été conçu par l'architecte et directeur de l'ONG Le Soleil dans la Main, David Demange, accompagné de l'ingénieur fluides Guillaume Renault et de l'ingénieur structure Noël Ganlaky, afin de maximiser le confort des élèves et des enseignants. Il a pour objectif de permettre aux élèves d'étudier dans des locaux agréables, où l'architecture valorise l'apprentissage.
Autorités communales et éducatives satisfaites des classes bioclimatiques
Les autorités en charge de l'éducation n'ont pas caché leur joie et leur satisfaction de réceptionner ce jour ces nouvelles salles de classe. Le directeur régional de l'éducation nationale du Nando, Boureima Ouédraogo, a laissé entendre que ces infrastructures sont d'un apport considérable pour le secteur de l'éducation et vont contribuer à l'amélioration de la qualité de l'éducation dans la commune de Kokologho.
Le directeur régional de l'éducation nationale du Nando, Boureima Ouédraogo, a laissé entendre que ces infrastructures sont d'un apport considérable pour le secteur de l'éducationLa directrice de l'école Kokologho C, Agnès Kaboré, a exprimé sa fierté de voir son école devenir un modèle en matière de durabilité et d'éducation verte." Ce projet est non seulement un outil pédagogique en soi, mais aussi un symbole d'espoir et d'engagement pour les générations futures. Grâce à cette infrastructure innovante, pensée dans le respect de l'environnement et adaptée à notre climat, nos élèves bénéficieront désormais de conditions d'apprentissage saines, confortables et inspirantes. Cette école est une promesse d'avenir, un lieu où nos enfants pourront rêver, apprendre, se construire et s'épanouir", s'est-elle réjouie. En tant que directrice, elle a pris l'engagement d'entretenir l'école, d'en faire bon usage, et de transmettre aux enfants les valeurs qui l'ont rendue possible : respect, responsabilité, et solidarité.
La directrice de l'école Kokologho C, Agnès Kaboré, a exprimé sa fierté de voir son école devenir un modèle en matière de durabilité et d'éducation verteLe président de la délégation spéciale de Kokologho, Jérôme Yaméogo, a exprimé sa gratitude à l'ONG Le Soleil dans la main ainsi que la fierté de la commune de bénéficier d'une école bioclimatique qui répond aux normes climatiques du pays. " Ce chef d'œuvre allie plusieurs aspects garantissant un confort pour une réussite scolaire évidente. Il y fait moins chaud, l'air y est plus sain, on peut ventiler à la demande les courant d'air et la lumière naturelle est assez abondante pour que nos enfants lisent sans électricité", a-t-il affirmé.
En plus des salles de classes, une salle de réunion a aussi été construitePrésente au Burkina Faso depuis plus de 20 ans, l'ONG Le Soleil dans la main s'est forgée une solide expérience dans le domaine de l'éducation notamment dans la construction de salles de classes. Pour cette rentrée scolaire 2025-2026, l'ONG a construit 21 nouvelles salles de classe bioclimatiques sur 5 sites, rénové 25 salles de classes, équipé 60 salles de classe et réalisé 4 forages et adductions d'eau ainsi qu'une centrale solaire. 500 bourses scolaires et 150 bourses de formation professionnelle ont aussi été offertes, 7 500 manuels scolaires distribués et 100 enfants en détresse accueillis dans un centre pour enfants en danger.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
• 53 bourses d'études octroyées à des élèves du primaire et du secondaire pour un montant global de 22,450 millions FCFA
• 91 élèves, 2 enseignants et 2 établissements méritants récompensés avec divers matériels, soit un investissement de 11,31 millions FCFA
• 20 villages bénéficiaires des 5 communes : Kona, Bana, Pompoi, Safané et Yaho
• 144 bénéficiaires directs soutenus pour l'excellence et la persévérance scolaires
Mana, le 8 novembre 2025 – Endeavour Mining, à travers la Mine de Mana, a organisé ce samedi la double cérémonie de lancement du Programme de Bourses Scolaires 2025-2029 et de remise des récompenses du Programme d'Émulation Scolaire, deux initiatives phares de sa stratégie ESG (Environnement, Social et Gouvernance).
Ces programmes structurants visent à promouvoir une éducation inclusive, équitable et de qualité dans la zone d'impact de la mine, tout en encourageant la réussite des jeunes filles et garçons issus des communes de Kona, Bana, Pompoi, Safané et Yaho.
Deux initiatives complémentaires pour soutenir la réussite éducative
Le Programme de Bourses Scolaires, lancé en 2022, accompagne cette année 53 élèves méritants et vulnérables admis aux examens du CEP et du BEPC. Chaque boursier bénéficie d'un soutien de 400 000 à 450 000 FCFA couvrant un des deux cycles complets du secondaire, avec un suivi rigoureux en partenariat avec la Caisse Populaire de Wona et les autorités éducatives.
Parallèlement, le Programme d'Émulation Scolaire a permis de récompenser 91 élèves pour leurs excellents résultats, à travers la distribution de vélos, d'honorer deux enseignants du primaire pour leur engagement et deux établissements secondaires pour leur performance avec du matériel informatique et logistique. Financé conjointement par la Mine de Mana et ses partenaires locaux que sont Tropic Mining, EPASIO, Lema Press, ADDR et Exploration Mana, le projet vise à créer la compétition entre élèves et réduire les abandons scolaires, souvent liés à la distance ou au manque de moyens de déplacement.
Des résultats concrets et un impact durable
Ces deux programmes ont un impact direct sur la scolarisation et la réussite dans la zone d'impact de la mine, en touchant plus de 140 élèves et en favorisant une dynamique d'excellence communautaire. Ils traduisent la vision d'Endeavour Mining : faire de l'éducation un levier de développement durable, en renforçant le lien entre l'entreprise, les autorités et les populations.
« L'éducation est au cœur de notre stratégie communautaire. À travers ces programmes, nous investissons dans les talents de demain et participons à bâtir un avenir plus équitable pour les jeunes de notre zone d'impact », a déclaré Bassory Traoré, Manager de la Performance Sociale à la Mine de Mana.
Des initiatives complémentaires dans les autres sites du groupe
Au-delà de Mana, Endeavour Mining, à travers sa Fondation, déploie plusieurs initiatives complémentaires pour favoriser le maintien des enfants à l'école dans ses zones d'opération. À Houndé, la campagne de sensibilisation “Je choisis mon avenir” œuvre à prévenir les grossesses précoces et le décrochage scolaire à travers des activités d'éducation civique, des ateliers de sensibilisation et des actions d'accompagnement auprès des jeunes filles scolarisées.
Sous la bannière de la campagne “Rentrée Solidaire”, Endeavour soutient également le programme “Jeunes filles en scolarité”, qui attribue des bourses pluriannuelles à des collégiennes issues de milieux défavorisés. Ce dispositif vise à garantir la continuité éducative des adolescentes et à créer des conditions propices à leur réussite, renforçant ainsi la cohérence des actions éducatives du Groupe à travers l'ensemble de ses sites.
A propos d'Endeavour Mining
Endeavour Mining est l'un des principaux producteurs d'or au monde et le leader de la production en Afrique de l'Ouest, avec des actifs d'exploitation au Sénégal, en Côte d'Ivoire et au Burkina Faso. La compagnie possède un solide portefeuille de projets de développement avancés et d'actifs d'exploration dans les formations Birimienne de la ceinture de roches vertes très prometteuse en Afrique de l'Ouest. Membre du Conseil Mondial de l'Or, Endeavour Mining s'est engagé à respecter les principes de l'exploitation minière responsable et à offrir une valeur durable à ses employés, à ses partenaires et aux communautés auprès desquelles elle opère.
Endeavour est cotée à la Bourse de Londres et à la Bourse de Toronto, sous le symbole EDV.
Pour plus d'informations : www.endeavourmining.com
L'OCADES Caritas Burkina recrute un/e consultant/e chargé/e pour conduire l'évaluation finale du projet PROTECT « Protection et appui multisectoriel aux personnes vulnérables affectées par la crise humanitaire dans les régions du Yaadga (Ex Nord) et du Bankui (Ex Boucle du Mouhoun) au Burkina Faso ».
Ce projet est mis en œuvre avec l'appui financier de la Coopération Autrichienne pour le Développement (ADA) et de Caritas Autriche. L'objectif de cette évaluation externe finale est d'apprécier les résultats atteints au regard des objectifs attendus, d'identifier les acquis et insuffisances et les aspects à améliorer en vue des projets futurs.
I- OBJECTIF
L'objectif global de la mission est d'apprécier les performances du projet sur la mise en œuvre des activités entre le 1er mai 2024 et le 31 Décembre 2025 afin d'évaluer sa contribution à l'amélioration des conditions de vie des PDI et des communautés hôtes vulnérables dans les régions d'intervention.
II- Critères d'évaluation et questions évaluatives
L'évaluation finale du projet PROTECT se basera sur les cinq critères classiques du CAD/OCDE (pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact, durabilité) auxquels s'ajoute le critère transversal du genre et inclusion sociale.
Pour chaque critère, des questions évaluatives spécifiques guideront la collecte et l'analyse des données qualitatives et quantitatives.
III- Profil de l'évaluateur ou de l'équipe d'évaluateurs
a- Compétences et aptitudes
Peuvent postuler à cette mission, des consultants individuels ou des bureaux d'études. Ils doivent justifier des compétences et aptitudes ci-après :
• compétences avérées en analyse de données statistiques ;
• capacité à produire des résultats mesurables et cohérents, et à développer des recommandations concrètes ;
• excellente capacité d'analyse et de synthèse ;
• capacité à travailler de manière autonome dans un environnement d'équipe ;
• capacités communicationnelles et rédactionnelles éprouvées ;
• excellente maitrise de la langue française. La connaissance des langues nationales qui sont parlées dans les zones d'interventions (moore,Dafing, dioula) serait un atout.
• bonne maîtrise de l'outil informatique (, Word, Excel, PowerPoint, Internet, etc.) ;
• Excellentes aptitudes interpersonnelles et de travail sous pression dans le strict respect des délais ;
• Disponibilité de se rendre dans la zone d'intervention malgré la situation sécurité difficile
b- Qualifications et expériences
– Qualification
Justifier d'un diplôme de niveau Bac + 5 au moins en sciences sociales, en sciences économiques et de gestion, en statistiques, en développement rural ou tout autre domaine jugé pertinent. Avoir une compétence complémentaire ou expérience dans le domaine du suivi-évaluation.
- Expériences
• justifier de connaissances et d'expériences à la fois dans le domaine de la sécurité alimentaire et les moyens d'existence, les urgences humanitaires, mais également en matière protection ;
• justifier de connaissances sur les standards internationaux et les indicateurs en matière d'assistance humanitaire ;
• disposer d'au moins cinq (0 5) années d'expérience dans la conduite d'études dans le domaine humanitaire, avec la réalisation de missions similaires serait un atout.
• justifier d'une expérience confirmée d'au moins cinq (05) ans dans le suivi et l'évaluation de projets de développement local ou communautaire, avec élaboration d'un cadre complet de suivi-évaluation serait un atout.
• avoir une excellente maitrise des méthodes d'enquête de terrain et de collecte/analyse de données ;
• avoir la connaissance du Burkina Faso et des politiques nationales est requise ;
• avoir une expérience de travail avec le réseau OCADES Caritas Burkina serait un atout.
IV- Durée de la mission et calendrier d'exécution
L'évaluation est prévue pour être réalisée entre le 25 Novembre au 20 Décembre 2025. Avec une durée de la mission de vingt-cinq (25) jours calendaires. Cette durée tient compte de toutes les étapes et processus d'exécution de la mission jusqu'au dépôt du rapport final. Ce délai d'exécution court à compter de la date de démarrage de la revue mentionnée dans l'ordre de service notifié au prestataire. Toutefois, le/la prestataire est tenu de spécifier dans son offre un chronogramme détaillé d'exécution qu'il s'engage à respecter.
Toutefois, il sera demandé au consultant de préparer tous les outils au plus tard trois (03) jours après la signature du contrat, afin de déposer le dossier pour l'obtention du visa statistique.
De même, le consultant devra se rendre disponible le jour de la convocation de la commission spécialisée de l'INSD, chargée d'analyser le dossier et de délivrer le visa statistique donnant droit à l'autorisation.
V- LE DOSSIER DE CANDIDATURE
Les candidat(e)s intéressé(e)s peuvent retirer les termes de références au Secrétariat général de I'OCADES Caritas Burkina (dont l'adresse est citée plus bas), à partir du Lundi 11 novembre 2025. En cas d'envoi des offres par la poste ou tout autre mode de courrier, I'OCADES Caritas Burkina décline toute responsabilité en cas de non-réception de l'offre transmise par le candidat.
a- Composition du dossier
Les dossiers de candidature devront comprendre deux (02) propositions :
Une proposition technique comprenant :
• Une lettre de candidature ;
• le CV détaillé du ou des consultants incluant au moins 3 personnes de référence avec leurs contacts ;
• Une note de compréhension des TDR et, si besoin, de commentaires sur les TDR ;
• Une description de la méthodologie de travail indiquant les différentes étapes de réalisation de la mission, le chronogramme, la constitution de l'équipe et la répartition des rôles entre les membres de l'équipe ;
• Toute documentation utile pouvant démontrer les capacités du consultant ;
Une proposition financière incluant les honoraires, déplacements, et tous frais pertinents pour la mission.
b- soumission du dossier de candidature
Les offres établies en trois (3) exemplaires, dont un original plus deux (2) copies marquées comme telles et dûment signées, devront parvenir sous plis fermé au Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina, situé au sein de la Conférence Episcopale Burkina Niger /Centre Cardinal Paul Zoungrana (01 BP. 1195 Ouagadougou ; Tél. (226) 25-37-00-34) au plus tard le Luni 17 Novembre 2025 à 16h30min GMT.
Les offres physiques devront porter la mention suivante : « EVALUATION EXTERNE DU PROTECT ». A n'ouvrir qu'en séance de dépouillement ».
En cas de différence entre les offres, l'original fera foi. Les offres ne doivent porter aucune mention interligne, rature ou surcharge.
Sauf stipulation contraire des termes de référence, les prix indiqués par le soumissionnaire sont fermes et non révisables pour toute la durée de l'exécution du marché et ne pourront varier sur aucun point.
Les soumissionnaires resteront engagés par leurs propositions financières pour un délai maximum de quatre-vingt-dix (90) jours, à compter de la date limite de dépôt des offres. Une offre valable pour une période plus courte peut être écartée comme non conforme aux dispositions de l'appel d'offres.
Le Secrétariat Général de l'OCADES Caritas Burkina se réserve le droit de ne donner aucune suite à la réalisation de la présente étude si elle juge les offres insuffisantes.
Le Secrétaire Général Adjoint
GNIMINOU Simon
La grande famille BOUGOUMA à Tanghin-Dassouri, Ouagadougou, Tenkodogo, Fada N'Gourma, Namounou, Abidjan, San-Pedro, Daloa (RCI), Beyrouth, Montréal (Canada) et New York (USA) ;
La famille de feu BOUGOUMA Anassé à Itaoua ;
La famille de feu BOUGOUMA Boureima Blaise à Gounghin ;
La famille de feu BOUGOUMA Adama Pouré à Gounghin ;
La famille de feu BOUGOUMA Moussa à Itaoua ;
La famille de BOUGOUMA Philibert ;
La famille de BOUGOUMA Mahamadi Laurent "Petit-Père" ;
Les veuves de feu El Hadj BOUGOUMA Adama dit Adam-Pouré :
Hadja Asseta et Hadja Mariam à Gounghin, Ouagadougou ;
Les enfants ;
Les frères, sœurs et cousins ;
Les familles alliées :
KABRE, KOURAOGO, YALPOUGDOU, BELEMNABA, SOKEY, NACOULMA, OUEDRAOGO, TIENDREBEOGO, NION, ILBOUDO, KONE, OUATTARA, SANGLI, NANA, COMPAORE, YAMEOGO, BELEM, GOUBA, DIAO et NIKIEMA ;
Les petits-enfants et arrière-petits-enfants ;
Vous renouvèlent leurs sincères remerciements pour vos multiples marques de soutien et de compassion lors du rappel à Dieu dans la nuit du 06 au 07 novembre 2025, de leur épouse, mère, tante, grand-mère, arrière grand-mère :
Hadja YALPOUGDOU Zoenabo épouse de feu El Hadj BOUGOUMA Adama dit Adam-pouré
Ils vous informent que la cérémonie du doua aura lieu le DIMANCHE 16 NOVEMBRE 2025 au domicile familial sis à Gounghin.
Allah dit dans le saint coran : « Ceux qui disent : "Notre Seigneur est Allah", et qui se tiennent dans le droit chemin, les Anges descendent sur eux. " N'ayez pas peur et ne soyez pas affligés ; mais ayez la bonne nouvelle du Paradis qui vous était promis. Sourate 41, Verset 30.
Lundi 10 novembre, les principales organisations agricoles européennes ont rejeté les modifications avancées par la Commission européenne pour sa proposition de réforme budgétaire, estimant qu’elles ne répondent en rien aux inquiétudes suscitées par la baisse des subventions agricoles.
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Un travailleur chinois de 25 ans est mort sur un chantier à Stolac, révélant l'existence d'un réseau de travailleurs chinois sans papiers qui construisaient une centrale solaire photovoltaïque dans cette petite ville d'Herzégovine.
- Articles / Bosnie-Herzégovine, Radio Slobodna Evropa, Economie, Populations, minorités et migrations, Les Chinois à l'assaut des BalkansUn travailleur chinois de 25 ans est mort sur un chantier à Stolac, révélant l'existence d'un réseau de travailleurs chinois sans papiers qui construisaient une centrale solaire photovoltaïque dans cette petite ville d'Herzégovine.
- Articles / Bosnie-Herzégovine, Radio Slobodna Evropa, Economie, Populations, minorités et migrations, Les Chinois à l'assaut des BalkansAs world leaders gather in Brazil for the COP30 climate summit, UN Secretary-General António Guterres called for urgent action to drive down global temperatures and keep the 1.5°C goal within reach. Credit: WMO/Guillaume Louÿs
By Pedro Barata
LISBON, Portugal, Nov 11 2025 (IPS)
I have been working on climate policy since the late 1990s. I was in the room when Europe’s early carbon market discussions were shaping the architecture that would eventually underpin the Kyoto Protocol.
That framework—built around international cooperation and market-based mechanisms—was born at a time when climate change was understood as a global problem requiring global solutions. For all its flaws, it carried an underlying logic: collective action was indispensable, and market-based tools could harness efficiency and scale.
Today, the mood has shifted. Public budgets are shrinking, geopolitical tensions are rising, and climate impacts are accelerating. Yet in the midst of this urgency, we are witnessing a troubling rise in what can only be called irrationality: a willingness to hold two or three contradictory ideas at once, even when the stakes are so high.
Take, for example, the persistent claim that carbon “offsetting” is no longer possible under the Paris Agreement. The argument goes like this: because countries now have emissions caps under Paris, offsetting somehow ceases to exist. But that is a fundamental misunderstanding. The very logic of cap-and-trade—whether under the EU Emissions Trading System or international markets—rests on offsetting, i.e. compensating emissions reductions elsewhere rather than reducing at home.
Offsetting is perfectly possible and even desirable, from an economic perspective, within a capped environment. The problem has never been with the principle. It has been with the credibility of particular credits, the uneven quality of oversight, and the lack of transparency in certain corners of the market.
These challenges are real. But the rational response is not to walk away from these challenges. It is to double down on the hard work: strengthen guidance and regulation, demand better data, increase transparency, expose bad behavior, and install integrity across the value chain. High-integrity markets are not easy, but they are possible—and they are already delivering results.
What’s more, evidence shows that international cooperation on carbon markets reduces costs in every modeled region compared to countries acting alone, with potential savings of as much as $250 billion by 2030. Walking away from these benefits would be an act of self-sabotage.
The irrationality extends beyond markets. Policymakers readily admit that public coffers are stretched thin, that development aid budgets are shrinking, and that climate is often being downgraded as a priority in national spending. Yet, in almost the same breath, some suggest that international mitigation can and should be financed primarily through public money rather than carbon markets.
Where is this money supposed to come from?
The data are stark: the world needs $8.4 trillion in climate finance annually by 2030, yet just $1.3 trillion was provided in 2021–2022. That leaves a $7.1 trillion gap today, still projected at nearly $4 trillion in 2030 even under business-as-usual scenarios. Magical thinking does not decommission coal plants, stop deforestation, or scale carbon removal.
Private finance is not just helpful, it is essential. External private finance for climate remains around $30 billion per year today. By 2030, that must rise to between $450 and $500 billion annually—an increase of 15 to 18 times.
There is no plausible pathway to close the gap without mobilizing capital at this scale, and high-integrity carbon markets are one of the few tools available right now that can channel such flows directly into mitigation.
What is needed is not purity, but pragmatism. We need the full suite of solutions—a portfolio approach for climate policy. Deep emissions cuts must continue at home. Rapid removals are essential to balance the carbon budget. And massive flows of capital to a wide range of solutions must scale together.
None of these tools alone will solve the climate crisis. There are no silver bullets. But rejecting viable tools because they are imperfect guarantees failure. Delay, not imperfection, is the greater risk.
Of course, criticism plays an essential role. Constructive critique strengthens systems, exposes weaknesses, and pushes for improvement. But when critique tips into absolutism—when markets are dismissed outright, or international cooperation is brushed aside in favor of isolation—it becomes self-defeating. At a time when geopolitical instability makes cooperation harder, walking away from available mechanisms is the height of irrationality.
I do not claim to have the full prescription for restoring rationality to climate policy. But I do know this: cynicism is not a strategy, and delay is not an option. Markets, when well-governed, remain one of the fastest ways to mobilize capital at scale for climate action. Public finance, though limited, must be directed strategically.
And international cooperation, however unfashionable, is indispensable. The future will not be won by choosing one path and discarding the others. It will be won by using every tool in the toolbox—and refusing to let irrationality steer us toward inaction.
Pedro Barata is Associate Vice President, Environmental Defense Fund
IPS UN Bureau
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The Amazon rainforest, covering much of northwestern Brazil and extending into other South American countries, is the world’s largest tropical rainforest and is vital to fighting climate change. Credit: CIAT/Neil Palmer Source UN News
By Asoka Bandarage
WASHINGTON DC, Nov 11 2025 (IPS)
My recent visit to Brazil coincided partly with the Conference of the Parties (COP) 30, the 30th United Nations Climate Conference in Belém. Although I did not attend COP 30, I was very fortunate to visit the Amazon.
It was both awe-inspiring and humbling to experience —even briefly—the mystery and stillness of nature, and the ebb and flow of life in the Amazon: the largest tropical rainforest in the world, sustained by the ever-flowing Amazon River, the largest and widest river on Earth.
The magnificent forest, the river, and its tributaries, such as the black-water Rio Negro, teem with countless interdependent species. The great Samaúma—the “tree of life,” or giant kapok tree—stands tall above innumerable other trees, vines, and plants.
Many trees provide homes for birds and other animals that build their nests high among the branches or near the roots. Sloths do not build nests; instead, they spend their entire lives in the forest canopy, hanging upside down from branches while resting or sleeping.
In contrast, capuchin and squirrel monkeys leap from tree to tree in search of food, while birds—from the tiniest short-tailed pygmy tyrant to the colorful red-crested, green, and black Amazon kingfishers—flit from branch to branch, each awaiting its own prey. As night falls, the beautiful white owl-like great potoo emerges and sits patiently, seemingly forever, waiting for its turn to hunt.
In the river, silvery flying fish—sometimes in droves—leap from the water to catch insects, while gray and pink dolphins bob up and down, chasing fish or simply playing. Along the banks, proud egrets and fierce spectacled and black caimans lie in wait for their prey. Overhead, flocks of birds, including parakeets, fill the sky with song as vultures descend to feed on the remains of fallen animals below.
Humans have also lived in the Amazon for tens of thousands of years, in close symbiosis with other species, hunting in the forest and fishing in the river for their survival. Petroglyphs—carvings of human and animal figures, along with abstract shapes etched into rocks along the Amazon River—speak of their deep respect for nature and their ways of communicating with one another.
Even today, many of the indigenous communities who inhabit the Amazon remain devoted to protecting Mother Earth, upholding their eco-centric values and traditional ways of life.
There are also the river people (ribeirinhos), many of mixed indigenous and Portuguese descent, living along the Amazon River—often in floating homes or houses built on stilts. Their livelihoods and cultures are deeply intertwined with the river and forest, making the protection of the Amazon essential to their survival.
The Amazon lost an estimated 54.2 million hectares of forest—over 9% of its total area—between 2001 and 2020, an expanse roughly the size of France. The Brazilian Amazon, which makes up 62% of the rainforest’s territory, was the most affected, followed by Bolivia, Peru, and Colombia. Along with deforestation, the Amazon is estimated to lose 4,000 to 6,000 plant and animal species each year.
COP 30
At the opening of the COP 30 Conference in Belém last week, Luiz Inácio “Lula” da Silva, the President of Brazil pointed out that concrete climate action is possible and that deforestation in the Amazon has been halved just in the past two years. He declared that the “era of fine speeches and good intentions is over” and that Brazil’s COP 30 will be a ‘COP of Truth and Action’, “COPs cannot be mere showcases of good ideas or annual gatherings for negotiators. They must be moments of contact with reality and of effective action to tackle climate change.”
President da Silva also emphasized that Brazil is a global leader in biofuel production—renewable energy derived from organic materials such as plants, algae, and waste—stressing that “a growth model based on fossil fuels cannot last.” Indeed, at COP 30, the future of the world’s tropical forests, vital ecosystems, and the shared climate of humanity and other species is at stake.
“Truth and Action”
Notwithstanding President da Silva’s optimistic pronouncements at Belém, troubling developments continue on the climate front in Brazil and around the world. In preparation for COP 30, the Brazilian government—along with India, Italy, and Japan—launched an ambitious initiative in October 2025: the “Belém 4x” pledge, which aims to quadruple global sustainable fuel use by 2035. This goal is projected to more than double current biofuel consumption.
However, environmentalists have expressed concern that a massive expansion of biofuel production, if undertaken without strong safeguards, could accelerate deforestation, degrade land and water resources, harm ecosystems, and threaten food security—particularly as crops such as soy, sugarcane, and palm oil compete for land between energy and food production.
Just days before COP30, the Brazilian government granted the state-run oil company Petrobras a license to drill for oil near the mouth of the Amazon River. The government, including Minister for the Environment Marina da Silva, has defended the move, claiming that the project would help finance Brazil’s energy transition and help achieve its economic development goals.
Environmentalists have criticized the decision, accusing the government of promoting fossil fuel expansion and worsening global warming. They warn that drilling off the coast of the world’s largest tropical rainforest—a crucial carbon sink—poses a serious threat to biodiversity and indigenous communities in the Amazon region.
According to environmental activists, in the Amazon, “31 million hectares of Indigenous Peoples’ territories are already overlapped by oil and gas blocks, with an additional 9.8 million hectares threatened by mining concessions.”
Moreover, a controversial four-lane highway, Avenida Liberdade, built in Belém in preparation for the COP30 climate summit, is being defended by the Brazilian government as necessary infrastructure for the city’s growing population. Environmentalists and some locals are alarmed that clearing more than 100 hectares of protected Amazon Rainforest to build the road will accelerate deforestation, harm wildlife, and undermine the climate goals of the COP summit.
The onus of protecting the Amazon Rainforest—often called “the lungs of the planet”— cannot rest on Brazil alone; it is a shared responsibility of all humanity. Numerous studies show that the world can thrive without fossil and biofuels by adopting alternative renewable energy sources such as solar, wind, and hydroelectric power.
The global order, led by the United States and other Western nations, bears primary responsibility for the climate and environmental crises, as well as for deepening global inequality. Emerging powers from the Global South—particularly the BRICS nations, including Brazil—are now called to move beyond rhetoric and take concrete action. As President Lula da Silva himself has stated, COP 30 presents a critical opportunity to move decisively in that direction.
Negotiators and policymakers at COP 30 must take firm, principled moral action—resisting pressure from the fossil fuel lobby and prioritizing the interests of the planet and its people over short-term, profit-driven growth.
Dr Asoka Bandarage is the author of Women, Population and Global Crisis: A Politico-Economic Analysis (Zed Books, 1997), Sustainability and Well-Being: The Middle Path to Environment, Society and the Economy (Palgrave MacMillan, 2013) and numerous other publications on global political economy and the environment including “The Climate Emergency And Urgency of System Change” (2023) and ‘Existential Crisis, Mindfulness and the Middle Path to Social Action’ (2025). She serves on the Steering Committee of the Interfaith Moral Action on Climate.
IPS UN Bureau
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