Saudi Arabia and Yemen’s Houthi movement, which have been fighting for nearly two months, have reached a plan for a five-day ceasefire, set to begin on Tuesday. A Houthi official posted on social media that they will accept the ceasefire if it proves to be “real and serious.” The pause will allow the delivery of critical humanitarian aid, but it is unclear whether the agreement will hold as neither side has strong control of its forces. In the meantime, though, Saudi airstrikes have continued, including strikes targeting the estate of ousted president Ali Abdullah Saleh and more than a dozen Houthi leaders. Houthi forces have reportedly claimed responsibility for shooting down a Moroccan F-16 participating in the Saudi bombing campaign.
The United Nations has expressed its support for the planned pause in the conflict, but chafed at Saudi Arabia’s insistence on mediating humanitarian aid. U.N. policy states that the delivery of humanitarian aid should not be governed by a belligerent in a conflict. “The active engagement of the Kingdom of Saudi Arabia is appreciated,” U.N. humanitarian coordinator for Yemen Johannes Van Der Klaauw said. “However, in all crises, the emergency relief coordinator is mandated to lead the coordination of international relief activities and emergency response.” Some humanitarian organizations said they did not think sufficient aid could be delivered in five days to alleviate crises that include medicine, food, water, and fuel shortages.
Assad Regime Arrests Intel Chief for Coup Plot
The Assad regime has placed Ali Mamlouk, head of the country’s National Security Bureau, under house arrest amid accusations that he was plotting a coup. Mamlouk was reportedly communicating with Turkish intelligence to try to arrange the return of Rifaat al-Assad, who has lived abroad since plotting to overthrow his brother Hafez in the 1980s. Last month, two other security chiefs were taken out of power in mysterious circumstances: Gen. Rafiq Shehadeh, head of military intelligence, was fired after his supporters attacked and killed Rustum Ghazaleh, the head of the Political Security Directorate. The internal conflict is said to be a reaction to overbearing Iranian influence on the regime.
Headlines
-J. Dana Stuster
MOHAMMED HUWAIS/AFP/Getty Images
La Fondation pour l’innovation politique vous invite à une matinée exceptionnelle de débats le dimanche 14 juin, de 9h à 13h, au Pavillon Cambon-Capucines, à Paris 1er, autour du thème : « Valeurs d’islam, république et citoyenneté ».
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EU Finance Ministers will meet on 12 May 2015 in Brussels to discuss ongoing work on the proposed European fund for strategic investments, the Commission's in-depth reviews of macroeconomic imbalances in the member states, as well as implementation of structural reforms.
A Pázmaneum Társulás gyűjtést szervez Kárpátalja megsegítésére. A gyűjtés fő célja a nehéz helyzetben lévő családok és az egyedülálló idős emberek megsegítése Kárpátalján.
“Mindennapos gondokkal küzdenek a kárpátaljai magyarok, ezért adománygyűjtésbe kezdünk, hogy a befolyt összegből az ottani családokat, magányos embereket tudjuk segíteni. Kérjük a katolikus egyházközségeket, civil szervezeteket, vállalkozókat, hogy segítsenek kezdeményezésünkben és lakóhelyükön hirdessék meg a gyűjtést. Adományainkat a Kárpátaljai Katolikus Karitásznak juttatjuk majd el.” – írja a társulás, amely hivatalos, belügyminisztériumi engedéllyel folytatja a tevékenységét. A gyűjtés 2015. október végéig tart, amelyet egy jótékonysági koncert előz majd meg.
A pénzadományokat egy elkülönített számlaszámra várják:
16137490/5200 OTP Banka Slovensko a.s.Bővebb információ Karaffa Attilánál a +421-905-826-os telefonszámon, illetve az info@pazmaneum.com e-mail címen kapható.
Cette recension d’ouvrage est issue de Politique étrangère (1/2015). Camille Vaziaga propose une analyse de l’ouvrage de Boris Beaude, Les fins d’internet (Limoges, FYP Éditions, 2014, 96 pages).
Dans l’ouvrage de Boris Beaude, chercheur au laboratoire Chôros de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, « les fins d’internet » désignent aussi bien les finalités qui ont conduit à la naissance de l’internet comme réseau ouvert et décentralisé, que la mise à mort de ses fondements sous la pression de sa commercialisation, des failles sécuritaires et de la régulation étatique.
À sa création, l’internet porte en lui les attentes de chercheurs qui perçoivent la Seconde Guerre mondiale comme le résultat, pour partie, d’un système de communication inefficient. Le nouveau réseau devait alors dépasser la territorialité des nationalismes, garantir la transparence des échanges et établir la liberté d’expression comme valeur commune dans le monde. La participation, l’indépendance et la transparence sont trois conditions nécessaires à la constitution de l’internet comme espace de liberté d’expression et de contribution à l’intelligence collective. Or ces conditions ne peuvent être remplies à l’heure où le réseau se privatise, où les collaborations répondent davantage à des enjeux professionnels qu’individuels et où des algorithmes aux formules mathématiques tenues secrètes organisent l’espace informationnel.
Les organisations privées ne sont pas les seules à mettre à mal la liberté d’expression sur le web, entendue ici dans une acception héritée des Lumières. Le discours libertaire porté par les pionniers de l’internet est, par nature, incompatible avec la notion d’État-nation et les enjeux sécuritaires de ces derniers. De ce fait, le réseau est devenu un espace régulé et surveillé sous des formes variant en fonction des cultures nationales. L’Iran construit son intranet tandis que la National Security Agency (NSA) américaine généralise au monde entier ses pratiques de surveillance. Pour Beaude, qui travaille depuis plusieurs décennies sur les relations de causalité entre espace et politique, cette hétérogénéité trouve une traduction dans la géographie même de l’espace internet. Conçu à l’origine comme décentralisé, celui-ci subit aujourd’hui une « hypercentralité ». Là encore, celle-ci est le résultat tant des organisations privées que des États.
D’une part les entreprises ont su détourner la gratuité favorisée par le fonctionnement même de l’internet : contre le service gratuit, l’internaute accepte de livrer ses informations personnelles et devient lui-même le produit vendu aux annonceurs. Les firmes du secteur cherchent désormais à monopoliser le plus grand espace, en imposant à l’utilisateur le choix par défaut d’un logiciel ou d’une application, en limitant l’interopérabilité des services, ou encore en diversifiant leurs activités pour capter tous les segments de la chaîne de valeur et de nouveaux créneaux commerciaux. L’utopie de déterritorialisation et de décentralisation portée par l’internet se heurte également au repli des États qui constatent la vulnérabilité de leurs données en ligne et la domination américaine. Pour l’auteur, ces deux facteurs conduisent au retour d’une certaine forme d’impérialisme et génèrent donc une méfiance des États entre eux, en contradiction même avec l’universalité à laquelle aspirait le réseau.
En conclusion, Beaude évoque la dérive d’un internet neutre vers un internet neutralisé, et invite les États-nations et les organisations privées, soit tous les acteurs qui se sont emparés du réseau, à initier un grand débat autour des enjeux politiques de « ce seul lien que l’humanité ait en commun ».
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Civil society participants strengthened their ability to recognize and record hate crimes at a workshop organized by the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights (ODIHR) in Malaga, Spain on 10 May 2015.
During the workshop, which was organized within the framework of the "Overcome all borders: UNITED against Intolerance" conference, 33 participants from 19 countries explored the concept of hate crimes and learned the importance of effectively identifying and acting on hate crimes through monitoring, reporting and working with local authorities.
“To support co-operation between civil society and public authorities to end hate crime, ODIHR works closely with all actors to strengthen their awareness of the issues surrounding hate crime, from reporting to response,” said Cristina Finch, Head of the ODIHR Tolerance and Non-Discrimination Department. “This approach ensures that victims can be helped in the most effective way."
The conference provided a forum for ideas and strategies to counter the intolerance migrants face in Europe, notably discrimination and hate crime. The ensuing workshop was part of ODIHR's continued engagement with civil society.
Related StoriesOn the occasion of Europe Day, Europe Direct ELIAMEP, Europe Direct of the City of Athens and Europe Direct ACCI will organise a public event on: ‘Greece and the EU: Learning from the past, shaping the future’. This event will take place on Wednesday 13 May 2015, from 17:30 until 20:30 at the Byzantine & Christian Museum (22 Vas. Sofias Ave., Athens).
Simultaneous interpretation into Greek and English will be available.