Agrégateur de flux

Spokeswoman for the Russian Interior Ministry Elena Alekseeva stated that about 20 million people across Russia took part in celebrations commemorating the 70th anniversary of victory over the Nazi Germany in World War II on Saturday.

Voici une fiche de lecture du livre "Edward Snwoden, une rupture stratégique que nous avons écrit, avec Quentin Michaud. Elle est publiée par le blog La plume et le canon que je ne connaissais pas et qui produit, régulièrement, des fiches de lecture sur des livres de stratégie et de défense : merci à lui. O. Kempf

L’actualité récente a montré que le « cyberconflit » n’était plus une abstraction issue de romans de Steampunk. Ukraine, Chine, Iran, Syrie… et France : le cyber n’a pas de frontières et définit sa stratégie propre. Dans cette bataille, les États-Unis ont une longueur d’avance considérable par leur puissance historique, technologique et économique. Pourtant, cette toute-puissance s’est trouvée grandement remise en question depuis juin 2013, suite à la publication d’informations sur le fonctionnement et les méthodes de la National Security Agency (NSA) par les journalistes Glenn Greenwald et Laura Poitras.

Un scandale international qui n’est pourtant pas dû à Anonymous, Wikileaks ni à une puissance étrangère, mais à un jeune américain, Edward Snowden. Ce dernier n’est pas un agent de la NSA, mais administrateur réseau chez Booz Allen Hamilton, un sous-traitant de l’agence. Bien qu’ayant eu un passé au sein de la CIA, c’est ce poste qui lui permettra de fuir avec un nombre considérable de données sur l’activité de la NSA.

« L’affaire Edward Snowden – Une rupture stratégique. » de Quentin Michaud et Olivier Kempf revient sur cette affaire qui a redistribué les cartes au niveau de la cyberstratégie mondiale. S’il existe déjà une bibliographie sur l’affaire, notamment le bouquin de Greenwald No Place to Hide, le livre a le grand mérite de revenir de façon globale sur l’action de Snowden, en détaillant les acteurs présents, leurs méthodes, le contexte, et surtout les conséquences. Une gageure pour un bouquin de 200 pages, mais le pari est remporté grâce à une clarté dans le propos qui évite le détail technique superflu, et à un cheminement thématique efficace évoqué plus haut. La fuite de Snowden, sa collaboration avec les journalistes, les révélations de la presse, la réaction des États-Unis et surtout de ses alliés… Des évènements presque aussi passionnants que les fuites des documents de la NSA, puisqu’ils vont révéler les coulisses du renseignement et les jeux de pouvoir qui en sont à l’origine.

« L’affaire Edward Snowden… » se divise en trois grandes parties, les deux premières étant l’œuvre de Quentin Michaud, la dernière d’Olivier Kempf, tous deux ayant déjà publiés des ouvrages sur la cyberdéfense aux éditions Economica. Les cinq premiers chapitres reviennent chronologiquement sur le déroulement des révélations orchestrés par l’analyste avec le concours de la presse. L’autre grande partie développe chacun des acteurs (NSA, Snowden, journalistes…) mais comporte surtout deux aspects intéressants. Le premier aborde les réactions des pays face aux méthodes de la NSA rendues publiques. Il est fascinant de voir sous les apparences, les différentes cultures du renseignement et le passif vis-à-vis du partenaire principal, les États-Unis. Difficile d’y discerner de grandes tendances, tant les intérêts nationaux divergent. Dernier point qui est abordé chapitre 11: l’architecture du programme du surveillance et ses différentes ramifications couvrant autant de cibles du renseignement américain. Le dernier volet, écrit par Olivier Kempf, développe lui les angles politiques, géopolitiques et stratégiques. Cette prise de hauteur permet de voir à quel point les fuites mises au point par l’ancien sous-traitant de la NSA et les journalistes n’est pas une énième affaire de lanceur d’alerte, à l’image de ce que Bradley Manning avait pu faire avec Wikileaks. Les répercussions se font ici plus profondes et lourdes de questionnement. S’il n’y pas ici le poids médiatique d’une bavure américaine filmée depuis un hélicoptère, c’est le quidam moyen qui se voit ici ciblé à travers son quotidien passé au crible de façon globalisée.

Le travail de synthèse de Michaud et Kempf met en avant les questions que soulève un tel cas de figure : Quels sont les moyens employés aujourd’hui dans le cybersurveillance ? Dans quel cadre et pour quels résultats ? L’acceptation tacite du peuple américain de la surveillance généralisée après le 11 septembre doit-elle s’appliquer partout ? Et comment dans un monde dominé par l’omniscience technologique américaine peut-on espérer garder une souveraineté nationale en la matière ? Au terme de l’ouvrage, ces points sont détaillés avec autant de concision que de pertinence. Au-delà de l’analyse factuelle nécessaire, sa grande qualité est bien d’élever le débat

Une rupture stratégique l’affaire Snowden, donc ? Assurément quand on détaille ses effets sur l’économie, la politique internationale et même la culture cyber. Si de prime abord, passé le choc des premières révélations en juin 2013, le cas Snowden semble « digéré », il n’en demeure pas moins qu’il y aura désormais un « avant » et un « après ». Une rupture d’autant plus marquée, qu’elle vient d’un individu isolé et issu du système qu’il dénonce et qui dépasse largement le cadre du secret d’état pour interroger directement tout un chacun sur les valeurs de la cité.

« L’affaire Edward Snowden – Une rupture stratégique. » Par Quentin Michaud et Olivier Kempf Ed. Economica

La plume et le canon

This report is for the media and the general public.

The SMM monitored the implementation of the “Package of measures for the Implementation of the Minsk agreements”. Its monitoring was restricted by third parties and security considerations.* Compared to previous days, the situation at Donetsk airport and Shyrokyne remained during daylight relatively calm. The SMM observed several official ceremonies for the “Reconciliation and Commemoration Day” throughout Ukraine passing peacefully.

The SMM observed during the reporting period several explosions from its locations in Donetsk city and Luhansk region, as well as a few explosions and some small-arms fire from an observation point on the eastern outskirts of government-controlled Berdianske (1.5km west of Shyrokyne; 18.5km east of Mariupol)[1].

The use of weapons directly observed was much less than in previous days. It should be noted in this context, however, that the SMM was restricted in its patrolling in Donetsk and Luhansk region during the reporting period as a result of last week’s increase in violence (see SMM Spot Report 3 May 2015, www.osce.org/ukraine-smm/154786). Furthermore, the movement of the SMM was impaired due to lack of mobile telephone coverage, reportedly caused by damage of the optical fibre cable, which resulted in the SMM vehicle tracking devices becoming non-operational. According to the Joint Centre for Control and Co-ordination (JCCC) in Donetsk, 120mm mortar outgoing shelling started early in the morning at 06:50hrs from Pisky village (12km north-west of Donetsk, government-controlled) to Zhabunki village (11km north-west of Donetsk, “Donetsk People’s Republic”(“DPR”)-controlled).

The SMM attended a weekly security meeting in Slovyansk (government-controlled, 95km north of Donetsk). The meeting is held each week in Slovyansk and chaired by the deputy mayor. Other participants are the Secret Service of Ukraine (SBU), the Ukrainian Armed Forces commander of Slovyansk, the National Guard, police, prosecutor and representatives of the anti-terrorism operation (ATO). The deputy mayor said that fears about an increased level of tension on 9 May had been created artificially and were fuelled by the media. According to him, the atmosphere among the general public is extremely tense and there were concerns that “DPR”-affiliated armed groups had returned to the city.

The SMM in Kyiv held a meeting via video conference with the Russian Colonel-General, Representative of the Armed Forces of the Russian Federation to the JCCC headquarters in Soledar (government-controlled, 77km north of Donetsk) and the Ukrainian Major-General, Head of the Ukrainian side to the JCCC, to discuss the recent increase in violence (see SMM Chief Monitor statement 8 May 2015, http://www.osce.org/ukraine-smm/155931).

The SMM visited a psychiatric hospital, a closed institution, in “Lugansk People’s Republic”-(“LPR”)-controlled Slovianoserbsk (28km north-west of Luhansk). The director of the hospital said that there was a shortage of staff caused by the closure of a checkpoint between the hospital located in Slovianoserbsk and government-controlled Trokhizbenka (33km north-west of Luhansk). According to him, 53 out of 183 staff members commute each day from Trokhizbenka to Slovianoserbsk. In addition, the interlocutor said that already before closure of the checkpoint, no doctors had been working in the psychiatric hospital anymore. However patients were being transported to the nearby local hospital for diagnosing and revision of their treatment plans. About 80 per cent of the patients admitted to the hospital were from the government-controlled areas and now their family members were unable to visit them because of the closure of the checkpoint. The hospital currently has 287 female and 27 male patients.

In government-controlled Stanytsia Luhanska (16km north-east of Luhansk) the SMM observed 30 to 40 mostly elderly female people lining up at the Ukrainian Armed Forces checkpoint to enter into government-controlled territory. Ukrainian Armed Forces soldiers did not let them pass through on the grounds of travel restrictions stipulated in the temporary order on controlling the movement of people, vehicles and goods (T144). Those waiting said that many people came to the local market in Stanytsia Luhanska from “LPR”-controlled territory and Ukrainian Armed Forces soldiers collect passports in order to make sure that people return. The SMM observed approximately ten passports stored in a box. The soldiers said that they would be given back when people returned and those queuing would be allowed to pass through. The SMM observed that the Ukrainian Armed Forces soldiers at the checkpoint were not searching people nor checking their belongings when they were returning to “LPR”-controlled territory. From 9:30 to 11.30hrs, the SMM observed around 300 to 350 people crossing the bridge in both directions. The large majority of them were female elderly persons visiting the market in Stanytsia Luhanska.

The SMM revisited six Ukrainian Armed Forces heavy weapons holding areas in the Donetsk region. While the SMM was granted freedom of movement and full access to all these storage sites, the SMM observed that some of the heavy weapons previously recorded were not present. At one storage site, four out of ten BM-21 Grad Multiple Launch Rocket Systems (MLRS) previously recorded were missing. The SMM was told that two were lacking due to maintenance, while two others were in a winter storage military compound. At another location, six out of eighteen towed 152mm self-propelled howitzers (Msta-B) previously recorded were absent. Moreover, two of the pieces still present had their serial number tags removed; subsequently the SMM was unable to identify these pieces as compared to what was previously recorded.

Despite claims that the withdrawal of heavy weapons was complete, an SMM unmanned aerial vehicle observed the following weapons’ movements/presence in areas that are non-compliant with the withdrawal lines: (i) in “DPR”-controlled territory, two tanks; and, (ii) in government-controlled territory, eight tanks. 

The SMM observed several official ceremonies for the “Reconciliation and Commemoration Day” in the country. In Kharkiv, the SMM observed that approximately 1,000 people were present (mixed gender and age composition, predominantly young and middle-aged people) at the ceremony. The SMM saw about 450 police officers at the event. The SMM monitored the ceremony in Ivano-Frankivsk, where approximately 900 people (mixed gender and age composition) gathered in order to commemorate victims of World War II. Approximately 25 police officers were present. In Odessa, the SMM saw nearly 500 participants (different ages and an equal number of men and women) and approximately 30 police officers.  All events passed peacefully and no security incidents were reported.

The SMM continued to monitor the situation in Dnepropetrovsk, Kherson, Chernivtsi, Lviv and Kyiv.

* Restrictions on SMM access and freedom of movement:

The SMM is restrained in fulfilling its monitoring functions by restrictions imposed by third parties and security considerations including the lack of information on whereabouts of landmines.

 

The security situation in Donbas is fluid and unpredictable and the cease-fire does not hold everywhere.

 

• The SMM was stopped by Ukrainian Armed Forces engineering units before a checkpoint near government-controlled Nyzhnie (56km north-west of Luhansk) and was told that there was on-going fighting in and around a checkpoint  in the area of government-controlled Krymske (43km north-west of Luhansk). According to Ukrainian Armed Forces personnel there was mortar fire in the area and the “LPR"  was attempting to disrupt the building of new fortifications on the government-controlled side.  The SMM returned and drove towards government-controlled Novotoshkivske (53km north-west of Luhansk).

 

[1] For a complete breakdown of the ceasefire violations, please see the annexed table.

 

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BELGRADE, 9 May 2015 – OSCE Chairperson-in-Office, Serbia's Foreign Minister Ivica Dačić today had a telephone conversation with the Foreign Minister of the former Yugoslav Republic of Macedonia, Nikola Poposki, about the latest developments in Kumanovo.

Dačić condemned the violence in the strongest of terms and expressed dismay at its impact on human lives and peace.  “A better, more developed society, which is what we are all aiming for, is built through long-term, day-by-day work on reforms and any sort of violence endangers its very foundations,” Dačić said.

The ministers agreed that the stability of the former Yugoslav Republic of Macedonia is of vital importance for the stability of the whole region.

Dačić expressed confidence that no effort will be spared to prevent violence from escalating and added that his Special Representative on the Western Balkans, Ambassador Gerard Stoudmann, and the Head of the Chairmanship Task Force, Ambassador Dejan Šahović, will visit Skopje next week.

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All across Russia, across every city square commemorating the Victory in the Second World War in Europe, people mark the event 'At 6 P.M. After the War' The event is organized as a sign of respect to everyone who died at the front.

Skopje, 9 May 2015 – The OSCE Mission to Skopje is closely monitoring and assessing the security situation in Kumanovo and urges all those concerned to show restraint.

“We believe that the safety of the local population is of crucial importance,” said Ambassador Marianne Berecz, Acting Head of the OSCE Mission to Skopje.

“We are in constant contact with all relevant authorities and urge all citizens and political parties to remain calm. The immediate and urgent priority is to avoid any escalation which could lead to further violence,” she said. 

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In Russia, every family has a wartime story to tell. We here at Sputnik wanted to share our stories with you.

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En 1999, Wang Bing, photographe chinois de 32 ans, décide de se lancer seul, sans autorisation officielle et sans moyens autres que la minicaméra numérique qu'il a empruntée, dans un tournage de plusieurs années. Il filme les ouvriers abandonnés dans leurs ateliers fermés, victimes du démantèlement (...) / Chine, Art, Cinéma, Culture, Société - 2015/05

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Photo El Pais

(BRUXELLES2) Un A400M vient s’est écrasé, ce samedi (9 mai), à Séville (Espagne) lors d’un vol de test. Il s’agit du modèle « MSN23″, « un appareil destiné aux autorités turques » a indiqué la société Airbus, qui a confirmé l’accident, indiquant qu’une équipe du constructeur se déplaçait sur le lieu de l’accident.

6 personnes à bord

Quatre personnes ont été tuées sur le coup et 2 autres blessées grièvement (avec des brûlures au second et troisième degré), selon un bilan provisoire détaillé par la presse espagnole. Les rescapés ont réussi à sauter « de l’avion par une des fenêtres du cockpitt avant que l’appareil ne prenne complètement feu et n’explose », ont raconté des témoins (lire ici). Le bilan aurait cependant pu être pire. Et en Espagne on salue le sang-froid du pilote de l’A400M qui a ainsi crashé l’avion dans un champ de pommes de terre, épargnant ainsi l’usine Coca Cola, des habitations et un centre commercial Factory, tout proches (lire ABC).

Premier accident pour l’avion de transport militaire

Selon les premières indications, l’avion avait décollé quand il a averti la tour de contrôle de problèmes. Il aurait tenté un atterrissage d’urgence mais a heurté lors de sa descente, une ligne de haute tension. C’est le premier accident pour l’avion de transport européen qui avait jusqu’ici réussi un parcours sans faute en matière de sécurité (même si les retards se sont accumulés). Mais un coup dur pour l’avionneur européen dont l’A400M est en cours de livraison.

(NGV)

La Russie réaffirme son influence dans tous les pays des Balkans, notamment grâce à ses investissements dans le secteur énergétique, et malgré les évolutions de la crise ukrainienne. Avec la Serbie, la coopération économique se double d'un partenariat politique et stratégique de plus en plus étroit. Retour sur les relations de l'homme fort du Kremlin avec les Balkans. Une sélection d'articles du Courrier des Balkans.
Un dossier du Courrier des Balkans :
Énergie : les Balkans écartelés entre l'UE et la (...)

/ Kosovo, Albanie, Bulgarie, Roumanie, Macédoine, Grèce, Bosnie-Herzégovine, Moldavie, Croatie, Serbie, Pays Ex-Yougoslavie à trier, Monténégro, Slovénie, Pays Balkans à trier, Turquie, Poutine et les Balkans, Economie, Environnement, Relations internationales, Questions européennes