Réservez votre soirée du 21 novembre à 20h30 dès maintenant pour le Concert qui sera donné par la musique des équipages de la flotte de Toulon au Gymnase d'Ollioules au profit de l'UNICEF. Réservation au 04 94 30 41 20
Ce sont des monstres sacrés de l’underground français qui seront en concert à la péniche A38 de Budapest ce jeudi 5 novembre.
Amateurs de dubstep, de hip hop, de drum&bass, direction l’A38 pour voir en live High Tone, un groupe précurseur de la scène dub française et même européenne. Il faut remonter à la seconde moitié des années 90 pour écouter leurs premiers albums et voir leurs premiers concerts. Depuis, leur réputation est internationale et leur style s’est étoffé. Jeudi, ils joueront une palette qui va du hip hop à la Bass Music et qui porte toute une scène française qui va de Ez3kiel à Meï Teï Shô en passant par Zenzile.
High Tone sera accompagné par le groupe slovène Dubzilla, qui pratique une fusion de dubstep, de rock psyché et d’electro.
En clair, ce sera une grosse soirée pour se remuer sur le Danube.
Le prix : 2000 HUF en prévente, 2500 sur place.
La page internet de l’A38
Photo de Olivier Hoffschir
Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (3/2015). Julien Brault propose une analyse de l’ouvrage de Matthieu Auzanneau, Or noir. La grande histoire du pétrole (Paris, La Découverte, 2015, 718 pages).
L’auteur analyse l’histoire du XXe siècle à travers celle du pétrole. Celui-ci est d’abord le produit de sociétés militarisées fondées sur la guerre mécanisée – la guerre de Sécession, la Première Guerre mondiale, le Blitzkrieg vu comme une gestion optimisée de l’énergie, jusqu’à l’usage du napalm au Vietnam. L’industrie pétrolière apparaît ainsi dans cet ouvrage comme un système monopolistique, coercitif et corrompu créé par les Rockfeller. Sauveurs du système financier américain à la fin du XIXe siècle, artisans de la création de la Fed, se présentant comme les grands défenseurs d’un système néolibéral dont ils seraient la banque, ceux-ci auraient orchestré une transformation du capitalisme en corporatisme. S’alliant successivement avec le charbon, le chemin de fer, l’automobile, l’agriculture, l’ingénierie, la banque, le fisc, la science et notamment la science économique, ce cartel international aux multiples ramifications connaîtrait depuis 1989 un renouveau, incarné notamment par JPMorgan et Citigroup. L’auteur souligne, à l’inverse, le rôle des figures qui combatirent Big Oil, de l’essor du Staline de la Bakou pétrolière aux luttes de Kennedy contre les majors.
C’est l’ensemble de l’histoire récente des relations internationales que l’auteur présente comme inféodé à l’or noir, en s’attachant au récit de ses événements marquants : percement du canal de Suez, accords Sykes-Picot, invasion de l’Éthiopie, création des organisations internationales après 1945, renversement de Mossadegh, mort de Mattei ou guerre du Biafra. Au centre du jeu : une alliance américano-saoudienne fondée sur les astuces fiscales des majors, le refus de la démocratie et le réinvestissement des pétrodollars. À ce titre, la crise pétrolière et ses conséquences – chômage, dette et restructurations néolibérales – sont interprétées comme profitant avant tout aux majors américaines. La révolution iranienne et la première guerre d’Afghanistan conduisent d’ailleurs à un renouveau rapide de la puissance américaine au Moyen-Orient, la CIA jouant les uns contre les autres, notamment pendant la guerre Iran-Irak. Le contre-choc pétrolier apparaît quant à lui comme un tribut payé par les Saoud à Washington pour accélérer la chute de l’empire soviétique. Georges W. Bush se garde d’ailleurs bien d’inquiéter les Saoudiens après le 11 Septembre, qui l’en remercieront en favorisant sa réélection. Au regard du chaos irako-syrien actuel, ce renouveau américain au Moyen-Orient apparaît aujourd’hui comme un échec, qui profite paradoxalement aux compagnies chinoises. La dernière facette de la question pétrolière est enfin écologique, et renvoie à un déclin, qui détermine aujourd’hui l’évolution d’une partie du système international.
Le livre pâtit d’un certain nombre de longueurs, de considérations philosophiques approximatives sur la nature du progrès, et d’un défaut d’analyse économique. L’auteur n’hésite ainsi pas à lier étroitement le pétrole à l’essor du fascisme, mais aussi à une libération des potentialités humaines… D’un indéniable talent littéraire, rempli de détails fouillés et de brillants passages, il comble néanmoins utilement un vide dans un champ traditionnellement dominé par l’historiographie anglo-saxonne.
S’abonner à Politique étrangère.
Épül az M11, vagyis a Moszkvát Szentpétervárral összekötő fizetős autópálya. A 2018-as foci vb-re kéne elkészülni, amitől még igen messze állnak. A közel 700 kilométeres távból ugyanis eddig kb. száz kilométer készült el. Ennél is jobban érdekli azonban az autósokat, hogy mennyibe fog kerülni az utazás. A most átadott 36 kilométeres szakaszon hétköznap csúcsidőben akár 1800 forint is lehet egyetlen út.
“My greatest strength as a consultant is to be ignorant and ask a few questions,” said Peter Drucker, the father of management consulting. Had we met Mr Drucker we’d probably have asked him “what are the right questions to ask in order to become a good consultant to our clients?” Unfortunately for us, Peter Drucker passed away 10 years ago – fortunately, FleishmanHillard organises the “FH Fundamentals” training every six months for young consultants from all over the EMEA region to get to know each other and further familiarise themselves with the values that make FH the best communications agency in the world.
The latest generation of “FH Fundamentalists” from Brussels, London, Paris, & Milan
But let’s cut to the chase – what are the five questions a communications and public affairs consultant should ask himself or herself in order to provide its clients with the best services?
In the FH pyramid of training FH Fundamentals is the basis – as we know the basis is the most important part; it ensures stability. And for communications consultants having good bases is key to understanding our clients’ needs. We may have not drunk from the Holy Grail however we did ask ourselves some questions about our current accounts – now it’s up our managers to embrace our improved selves!
Immavera & Adrien working on their mock pitch with colleagues from London and Munich
Building on Peter Drucker’s inspiring quotes, we too would like to contribute to the Consultant Hall of famous quotes, with a somewhat more impertinent twist to it.
For instance, young FH consultants like to say: “My colleagues are my best friends and my family at the same time.” What we mean: “I spend more time with my colleagues than with my friends and family combined.” Also heard: “I feel privileged to be exposed to such a high degree of expertise on a daily basis.” What that young and dynamic FH consultant actually means: “I can speak in acronyms for hours on end without ever feeling the need to rely on actual words.”
The latest “FH Fundamentalists”, Immavera Sardone, Ilektra Tsakalidou, and Adrien Rorive
La géopolitique est l’interaction du pouvoir et de la terre. La noopolitique est l’interaction du pouvoir et du savoir. Cette interaction est réflexive et disruptive : elle change profondément la géopolitique et l’art de gouverner, car elle s’intéresse à l’art de faire régner le savoir sur le pouvoir, et surtout pas à celui de faire régner le pouvoir sur le savoir, qui est la situation actuelle, et pour laquelle les esprits les plus brillants ont concédé leurs sciences aux États et aux guerres alors qu’ils auraient dû les concéder à l’humanité et à la paix.
Cet article Idriss J. Aberkane : La noopolitique : le pouvoir de la connaissance est apparu en premier sur Fondapol.
Az otthoni üdítő készítésnek Magyarországon nagy hagyománya van. Nem véletlen, hogy szörpkínálatban biztos, hogy a dobogón végeznénk Európai többi országával összehasonlítva. A házi szörp készítésnek is nagy múltja van, és a kézműves vásárokról sem hiányozhatnak a kistermelői termékek. A mindenmentes, cukormentes és egészséges trend azonban a szörppiacot is elérte, így a gyártók folyamatosan azon kísérleteznek, hogy hogy tudnának egészségesebb alternatívát kínálni a túlcukrozott termékek helyett.
Kapcsolódó hírek: Újra népszerű az otthon készített szóda Hungarikum, amiből nem iszunk eleget