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La gauche française, cette gardienne vigilante du mensonge national algérien

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Fri, 14/03/2025 - 12:13
Le pouvoir algérien dispose de relais fidèles en France. Ces auxiliaires dévoués forment à la fois le poumon de la diplomatie parallèle d’Alger et le porte-voix de ses services. Héritiers des « porteurs de valises », on trouve parmi eux des journalistes complaisants ou incultes et des militants poursuivant un combat révolutionnaire de destruction de la société française. Tous véhiculent et popularisent dans l’espace médiatique l’histoire officielle algérienne écrite depuis 1962 et à laquelle l’école de Benjamin Stora donne un label « scientifique ». Contrôlant à la fois l’université et le monde des médias, ils ont réussi à imposer en France l’exclusivité de la fausse histoire sur laquelle repose la « légitimité » du pouvoir algérien. Toute critique de ses dogmes déclenche automatiquement le tir groupé de médias soumis ou stipendiés.  Oser simplement écrire que la nation algérienne n’existait pas en 1830 quand se fit le débarquement français à Sidi Ferruch, entraîne ainsi immédiatement l’accusation de « nostalgique de l’Algérie française » ou de « partisan de l’OAS », donc la disqualification et la mise au ban.Pourtant, comme l’écrivait en 1936 Ferhat Abbas, le futur premier chef d’Etat de l’Algérie indépendante : « Si j’avais découvert la « Nation Algérienne », je serais nationaliste et je n’en rougirais pas comme d’un crime. Les hommes morts pour l’idéal national sont journellement honorés et respectés. Ma vie ne vaut pas plus que la leur. Et cependant je ne ferai pas ce sacrifice. L’Algérie en tant que Patrie est un mythe. Je ne l’ai pas découverte. J’ai interrogé l’Histoire ; j’ai interrogé les morts et les vivants ; j’ai visité les cimetières : personne ne m’en a parlé. » (Ferhat Abbas, Paris : Éditions Garnier Frères, 1981, p. 27.)Le général de Gaulle lui-même déclara : « Depuis que le monde est le monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté algérienne. Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes syriens, Arabes de Cordoue, Turcs, Français, ont tour à tour pénétré le pays, sans qu’il y ait eu, à aucun moment, sous aucune forme, un Etat algérien ».(Conférence de presse du général de Gaulle, le 16 septembre 1959).
Au sujet de la période turque qui dura des années 1500 jusqu’à 1830, soit trois siècles, il est tout simplement interdit de soutenir qu’elle ne fut pas celle de la gestation d’une nation algérienne.
Et pourtant, la vérité historique est que la Régence turque d’Alger n’était pas une possession oubliée en terre africaine, mais un élément essentiel du dispositif impérial ottoman. À la différence de celles de Tripoli et de Tunis, la Régence d’Alger demeura en effet une colonie de la Porte ottomane sous autorité de Beys nommés à la tête de Beylik ou provinces, puis de Deys placés à la tête de Deylik. Toujours à la différence des Régences de Tripoli et de Tunis, il n’y eut jamais de véritable rupture entre Alger et le centre de l’empire ottoman. Voilà qui explique pourquoi, il n’y eut pas ici d’évolution vers une monarchie nationale comme cela fut le cas en Tunisie avec les Husseinites, ou à Tripoli avec les Karamanli.
Quant à la période française, elle est toujours présentée par les zélés amis du régime algérien, comme une période d’exploitation et de massacres. Un histrion médiatique a même osé prétendre récemment que les exactions françaises y furent à ce pont emblématiques que le nazisme s’en inspira…Inutile en revanche de chercher dans ces médias alignés sur la doxa du FLN, le legs que la France laissa à la jeune Algérie en 1962. A savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes, 80 000 avec les pistes sahariennes, dont 31 routes nationales dont près de 9 000 kilomètres goudronnés ; 4 300 kilomètres de voies ferrées ; 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés dont 10 accessibles aux grands cargos et 5 pouvant être desservis par des paquebots ; 34 phares maritimes ; une douzaine d’aérodromes principaux ; des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages, etc.) ; des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels ; 31 centrales hydroélectriques ou thermiques ; une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie, etc. ; des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités ; en 1962, plus de 800 000 enfants étaient scolarisés dans 17 000 classes, soit autant d’instituteurs dont un tiers de musulmans ; un hôpital universitaire de 2 000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Tous ces équipements, toutes ces infrastructures, tous ces établissements ainsi que les personnels qui les faisaient fonctionner avaient été payés par la France avec l’argent et l’impôt des Français.
Mais, dans le ciel « serein » de la propagande et de la désinformation, un coup terrible a été porté par Boualem Sansal au cœur même de la fausse histoire algérienne fabriquée par le FLN depuis 1962. L’écrivain a en effet osé faire connaître au grand public une vérité connue des historiens sérieux, mais interdite de publicité, à savoir qu’avant la colonisation française, l’ouest de l'Algérie faisait partie du Maroc.
Pour encore aggraver son cas, Boualem Sansal ajouta que, durant la guerre d’indépendance, hébergés et aidés diplomatiquement, financièrement et militairement par Rabat, les dirigeants algériens s’étaient engagés à ce que, une fois l’indépendance obtenue, soient restitués au Maroc des territoires qui lui avaient été arrachés par la colonisation. Or, après 1962, non seulement Alger n'a pas respecté sa parole, mais, plus encore, a déclenché contre le Maroc la guerre des Sables de 1963…
C’est donc pour avoir osé toucher au mythe fondateur d’une Algérie historiquement une et indivisible, crime très sévèrement puni par le Code pénal algérien, que Boualem Sansal a été emprisonné. Le « Système » qui l’a pris en otage et qui dirige l’Algérie, ne peut en effet tolérer la moindre atteinte au dogme national, toute remise en cause de la fausse histoire de l’Algérie représentant une menace existentielle pour lui.
Une fausse histoire qui hante d’ailleurs un non-dit algérien résumé d’une phrase par Mohamed Harbi quand il écrivit que « L’histoire est l’enfer et le paradis des Algériens ».
« Enfer » effectivement, car l’histoire montre que l’Algérie n’existait pas avant 1962, d’où ce complexe existentiel qui habite ses dirigeants et qui interdit chez eux toute analyse rationnelle.  

Mais, paradoxe, cette histoire est en même temps « Paradis », parce que, pour oublier qu’elle est un « Enfer », ces mêmes dirigeants algériens ont fabriqué une artificielle épopée valorisante à laquelle ils sont condamnés à faire semblant de croire…
Dans cet exercice d’équilibrisme schizophrénique, ils sont aidés par la gauche française devenue par complaisance et ethnomasochisme la gardienne vigilante du mensonge national algérien…
Pour en savoir plus 

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Categories: Afrique

EDA project for smart land camouflage concludes first phase

EDA News - Wed, 12/03/2025 - 12:51

A nearly two-year research effort developed by the European Defence Agency has made progress in developing smart camouflage technologies aimed at enhancing the stealth and survivability of military vehicles and equipment.

With modern surveillance technologies such as visible, radar and thermal detection becoming more advanced, there is a growing need for adaptive camouflage.

That is why the goal of the advanced solutions for camouflage of land Systems using smart and adaptive materials (ASCALS) project seeks to find new materials, and ways to apply them, for active and adaptive camouflage in the visible, infrared and radar ranges.

Collaborative effort across six Member States

The first phase of the project was executed by a consortium of 10 industrial and research entities, led by Adamant Composites (Greece) and comprising 10 industrial and research entities: the University of Luxembourg; TNO, MIS7 and Bolidt (the Netherlands); the Military Institute of Engineer Technology (WITI) and LUBAWA S.A. (Poland); CITEVE, INEGI, CINAMIL (Portugal) and the Swedish Defence Research Agency. 

ASCALS’s first phase aimed to develop materials that can dynamically adjust to different environmental conditions. With a budget of 1.3 million euros, the project focused on creating materials that can change their optical, thermal, and radar signatures to help ground-based military systems remain hidden.



The project explored innovative materials designed to adapt to various detection methods:

- Electrochromic materials: These can change their colour and reflectance on demand, helping systems blend into different environments.

- Liquid crystals: These materials can alter light transmission and reflection, particularly in infrared light, making it harder to detect objects.

- Phase-change materials: These advanced materials control heat emission, allowing systems to better manage their thermal signature and blend into varying temperatures.

- Graphene and electrolyte structures: By using the exceptional properties of graphene over infrared and radar signal reduction, the combination with an electrolyte allows the potential for controllability.

- Controllable meta-surfaces: Through an array of patches controlled by a custom app, the reflected radar signal is dynamically adjusted to the operational needs.

These adaptive materials can quickly adjust to changes in the environment, making them highly effective in real-time camouflage.

ASCALS II

ASCALS I has set the stage for the next phase of development. ASCALS II will focus on advancing these technologies further, with the goal of field-testing them on military platforms by 2027, subject to the interest and support of Member States. The results of ASCALS I show promise for military ground systems, and the technologies could even be adapted for use on air and maritime platforms in the future. 

About EDA

EDA supports its 27 Member States in improving their defence capabilities through European cooperation. Acting as an enabler and facilitator for Ministries of Defence willing to engage in collaborative capability projects, the Agency has become the ‘hub’ for European defence cooperation with expertise and networks allowing it to address the whole spectrum of capabilities.

Further information

Categories: Defence`s Feeds

Le Débat BBC avec Kabinet Fofana

BBC Afrique - Sat, 08/03/2025 - 08:06
Le Débat BBC avec Kabinet Fofana
Categories: Afrique

Le Débat BBC Afrique avec Dr Edouard Zoutomou Kpoghomou

BBC Afrique - Sat, 08/03/2025 - 08:06
Le Débat BBC Afrique avec Dr Edouard Zoutomou Kpoghomou
Categories: Afrique

EZ KIRÁLY VOLT!

Air Base Blog - Thu, 06/03/2025 - 08:52

A Sikorsky ikonikus forgószárnyasa, az SH-3 Sea King az Egyesült Államokon kívül további tizennégy ország felségjelével repült és négyben gyártották is. Meddő próbálkozás lenne tehát rövid, de mégis átfogó ismertetőt írni, ezért most kizárólag a négy alapváltozatról lesz szó, amelyek az amerikai haditengerészet, a US Navy tengeralattjáró-elhárító és harci támogató századainál üzemeltek.

A második világháborút követő években a forgószárnyas technika immár visszavonhatatlanul helyet követelt a katonai repülésben. A helikopterek kifejlesztésében élenjáró ukrán emigráns, Igor Sikorsky 1923-ban alapított cége a harmincas években repülőcsónakok gyártásával szerzett hírnevet. Gépeit a kor neves légitársasága, a Pan American Airways is üzemeltette transzóceáni útvonalain. Sikorsky figyelme ugyanebben az évtizedben fordult a helikopterek felé és lelkesen vetette bele magát a merevszárnyú repülőgépekétől merőben eltérő műszaki megoldások kidolgozásába. Első, már helikopternek mondható repülő szerkezete 1940 májusában szállt fel, Sikorskyval a kormányoknál. Ha valaki, akkor ő igazán tudta, hogy mibe ül…

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Categories: Biztonságpolitika

Découvrez Logic-immo, la plateforme immobilière en ligne française

RMES - Tue, 04/03/2025 - 09:23
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L'Afrique Réelle n°183 - Mars 2025

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sat, 01/03/2025 - 18:06
Sommaire

Dossier
- L’Algérie dans le piège des hydrocarbures
- La Libye, cœur de la nouvelle stratégie russe en Afrique
- La nouvelle géopolitique du Sahel
- Peul contre Dogon, le  retour à la longue histoire
Histoire
- Les Peul : des réfugiés climatiques depuis le néolithique ?
- La prise d’Alger : 5 juillet 1830


Editorial de Bernard Lugan
Boualem Sansal et les frontières de l’Algérie
C’est pour avoir déclaré au magazine Frontières que « Quand la France a colonisé l’Algérie, toute la partie ouest de l’Algérie faisait partie du Maroc : Tlemcem, Oran et même jusqu’à Mascara. Toute cette région faisait partie du royaume », que  Boualem Sansal a été jeté en prison en Algérie. Or, historiquement Sansal a raison comme je le démontre, cartes à l’appui, dans mon livre Histoire des Algéries des origines à nos jours.
Durant la période coloniale, le Maroc fut  en effet territorialement amputé, à la fois à l’Est, et au Sud : 
- A l’Est, la France créa l’Algérie en unifiant des territoires qui n’avaient jamais constitué un ensemble politique, et en lui rattachant les provinces marocaines du Touat, de la Saoura, du Tidikelt et du Gourara, ainsi que les agglomérations de Tindouf et de Béchar,  l’ « Orient marocain » en un mot.
- Au Sud, l’Espagne amputa le Maroc de la Saquia el Hamra et de l’Oued ad Dahab dont elle fit la colonie du Sahara occidental. 
Appuyé sur l’histoire et sur le droit international, le Maroc a constamment soutenu que les lignes de démarcation établies unilatéralement par les colonisateurs français et espagnol n’étaient pas opposables à ses droits historiques, même si ces derniers avaient été mis sous tutelle durant plusieurs décennies à l’époque du Protectorat. L’Algérie s’est tout au contraire arc-boutée sur l’état de fait colonial, c’est-à-dire sur le maintien des frontières nées de la colonisation, que ces limites aient été de véritables frontières ou de simples lignes de démarcation administratives à l’intérieur d’ensembles coloniaux. Et cela, en vertu du principe édicté par l’ONU selon lequel « les frontières des Etats nouveaux sont établies d'après les frontières des anciennes provinces coloniales auxquelles ces Etats succèdent ». 
Certes, mais il importe de le redire, ce principe ne s’appliquait pas au Maroc, pays souverain, mais seulement, et comme l’écrit très clairement l’ONU, aux « Etats nouveaux » créés par la colonisation, c’est-à-dire à la plupart des pays africains, dont l’Algérie, et non à l’Etat marocain  millénaire.
Plus encore, non contente d’hériter des frontières coloniales tracées à son profit par la France aux dépens du Maroc, l’Algérie formula des exigences insolites au sujet du Sahara occidental, un territoire immémorialement marocain et sur lequel elle n’avait, et par définition, aucun droit.
En réalité, enclavée dans une Méditerranée fermée par le détroit de Gibraltar, l’Algérie inventa la fiction d’un « Etat sahraoui » vassal dont la création lui aurait permis de disposer d’une ouverture sur le grand large atlantique. Ce faisant, l’Algérie indépendante s’affirmait donc comme l’héritière directe de la fraction la plus ultra du colonialisme français, celle qui avait un temps nourri le projet d’enlever le sud marocain au Maroc afin d’offrir une fenêtre atlantique à l’Algérie française.
Categories: Afrique

Saints – A döntő ütközet 02.

Héttenger - Thu, 27/02/2025 - 11:12

Az angol hadsereg Yorktown-i kapitulációjával a háború az amerikai kontinensen tulajdonképpen véget ért, nagyobb hadműveleteket a szárazföldön már egyik fél sem indított, és a háttérben megkezdődtek a békekötés előtti előzetes alkudozások. A háború most már ténylegesen is Anglia, valamint Franciaország és Spanyolország között folyt, s a legfontosabb hadszíntér áthelyeződött a Karib-tengerre.

Grasse flottája 1781 november végén tért vissza Martinique-ra. Az ekkor már évek óta folyamatosan a tengereket járó hajók többsége elég megviselt állapotban volt, s rég esedékes lett volna egy átfogó nagyjavításra dokkba állítani őket. Az egyébként viszonylag jól felszerelt Fort Royal kikötője azonban nem volt alkalmas arra, hogy hosszú távon biztosítsa egy ekkora flotta karbantartását és ellátását. A francia haditengerészetnek tulajdonképpen nem volt igazi, nagy támaszpontja a térségben, ellentétben az angolokkal, akik támaszkodhattak barbadosi és jamaicai támaszpontjaik dokkjaira és raktáraira, melyek önerőből is képesek voltak hosszú ideig biztosítani egy nagy flotta fenntartását, míg a franciák az anyaországból érkező szállítmányoktól függtek. A spanyolok havannai kikötője megfelelt volna a flotta állandó támaszpontjának, az itteni nagy hajógyárak és jól ellátott raktárak biztosítani tudták volna a flotta működését, ráadásul a kikötő helyzete is kedvező volt, nagyjából félúton a két fontos hadszíntér, Virginia és az Antillák között. Nem tudni miért, de a franciák nem éltek ezzel a lehetőséggel, és Havanna sosem kapott komoly szerepet a hadműveletekben.

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Categories: Biztonságpolitika

AZ ÉJSZAKA PILÓTÁI

Air Base Blog - Thu, 27/02/2025 - 09:26

Éppen egyik cikkem illusztrációjához keresgéltem régi papírképeim között, amikor kezembe akadt egy Ferihegyen parkoló kék-fehér Fokker F27-es fotója. A kép fényes nappal készült, de egy éjszakai repülés emlékét idézte fel. Feljegyzéseimbe lapozva a repülés dátumát is megtaláltam és mivel ennek éppen 25 éve – ráadásul a kargópilótákról ritkán esik szó – gondoltam, a dolog megér egy visszaemlékezést.

Az ezredforduló környékén egy gyorsposta-szállítással foglalkozó, svájci központú légiforgalmi cég magyar leányvállalata, a Farnair Hungary a legismertebbek között volt. Számos pilótának volt ugródeszka a közforgalmi repülés világába, mert akkoriban a nemzeti légitársasághoz, a Malévhez kevés fiatal jutott be. Ennek többnyire nem szakmai okai voltak. Fogalmazzunk úgy, hogy a kapcsolati tőkéjük még nem nyugodott biztos alapokon. Ők aztán csomagszállító L-410-eseken és Fokker F27-esen alapozhatták meg karrierjüket, majd ülhettek át a rövidesen megjelenő diszkont légitársaságok Airbus 320-asaira vagy Boeing 737-eseire.

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Categories: Biztonságpolitika

Jean-Michel Apathie, bilieux et triste porte-voix du régime algérien

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Wed, 26/02/2025 - 16:01
Jean-Michel Apathie, cet histrion qui proposait de raser le château de Versailles, n’a pas inventé l’accusation délirante qu’il porta sur les ondes il y a quelques jours. Une accusation selon laquelle, non seulement la France aurait commis des dizaines « d’Oradour sur Glane » en Algérie, mais plus encore, que les méthodes nazies auraient été inspirées par l’exemple colonial français en Algérie, notamment par l’affaire de Sétif en 1945.
Or, ces accusations qui viennent directement de l’histoire officielle algérienne ont été popularisées en France en 2005 par l’historien décolonial Olivier Le Cour Grandmaison qui a osé soutenir que la colonisation de l’Afrique en général – et celle de l’Algérie en particulier –, fut une entreprise d’extermination annonçant la Shoa !!!
Cette thèse outrancièrement radicale et aussi totalement idéologique qu’anachronique, fut alors sévèrement dénoncée par Gilbert Meynier et Pierre Vidal-Naquet qui écrivirent à son propos :
« Assimiler peu ou prou le système colonial à une anticipation du 3° Reich, voire à un « précédent inquiétant » d’Auschwitz, est une entreprise idéologique frauduleuse, guère moins frelatée que l’identification, le 6 mai 2005 à Sétif, par le ministre des Anciens moudjahidines, porte-voix officiel du président Bouteflika, de la répression coloniale aux fours crématoires d’Auschwitz et au nazisme […] Ou alors, si les massacres coloniaux annoncent le nazisme, on ne voit pas pourquoi la répression sanglante de la révolte de Spartacus, ou encore la Saint-Barthélemy, ne l’auraient pas tout autant annoncé… En histoire, il est dangereux de tout mélanger. […]. Le texte l’Oliver Le Cour Grandmaison, comporte nombre de schématisations idéologiques, de jugements tranchés, voire d’outrances inadmissibles pour un historien […] A le lire, on ne peut s’empêcher de poser la question : un sottisier peut-il tenir lieu d’œuvre de réflexion et de synthèse historique ? […] L’air du temps de la dénonciation médiatique ne suffit pas à arrimer à la science des convictions et à faire d’Olivier Le Cour Grandmaison un historien plausible. Le contexte social, économique et politique actuel est encore fécond qui continuera à générer de telles tonitruances idéologiques à vocation surtout médiatique. ».
 
Meynier, G et Vidal-Naquet, P., (2005) « Coloniser Exterminer : de vérités bonnes à dire à l’art de la simplification idéologique ». Esprit, décembre 2005, pp 162-177.
 
Pour la réfutation détaillée de la fausse histoire de l’Algérie et de l’idéologie décoloniale, on se reportera à trois de mes livres :
- Algérie l’Histoire à l’endroit
- Histoire des Algéries des origines à nos jours
- Pour répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance
Categories: Afrique

Le transport aérien, un instrument de souveraineté ?

Institut Choiseul - Wed, 26/02/2025 - 15:15

Pilier économique, outil d’aménagement du territoire et acteur du rayonnement international, le transport aérien incarne une dimension stratégique forte pour la France. Face à la pression concurrentielle mondiale et aux exigences de décarbonation, il doit être réaffirmé comme un secteur clé de souveraineté.

Un écosystème de puissance à préserver

Avec 320 000 emplois directs, un excédent commercial de 30 milliards d’euros et des hubs structurants pour les territoires, le secteur aérien est au cœur de l’économie nationale. Il permet aussi de connecter les outre-mer, soutenir la diplomatie, le tourisme et l’attractivité française. Acteurs publics et privés incarnent un savoir-faire reconnu (Airbus, Air France, Safran, ADP), symbole du soft power et de l’innovation tricolore.

Concurrence mondiale et transition écologique : un double défi

Les compagnies françaises subissent des distorsions de concurrence face aux acteurs subventionnés du Golfe, d’Asie et aux low cost. La transition écologique, bien que stratégique, renforce encore la pression. Pour maintenir une aviation souveraine, compétitive et durable, un cadre européen équitable, des incitations aux carburants durables (SAF) et un soutien public ciblé sont nécessaires.

Refaire du transport aérien un pilier de souveraineté

Repenser la gouvernance et l’ambition du transport aérien, c’est renforcer notre résilience nationale. Dans un monde instable, il demeure un outil vital de continuité, d’indépendance et d’influence. L’enjeu : construire une aviation française sobre, puissante et stratégiquement alignée.

Tchad : pourquoi le soutien de Mahamat Déby aux milices soudanaises constitue un risque grave pour son régime, pour le Tchad, et pour la stabilité régionale.

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Thu, 20/02/2025 - 15:31
A mon communiqué du 19 février 2025 ayant pour titre « Tchad : Mahamat Deby a-t-il misé sur le « mauvais cheval » ? il manquait, une fois n’est pas coutume, la dimension ethno-politique sans laquelle les évènements ne peuvent être compris[1].
Dans la guerre civile du Soudan, qui, depuis avril 2023, oppose les Forces armées soudanaises (FAS) du général Abdel Fattah al-Burhan, aux Forces de soutien rapide (FSR), de Mohamed Hamdan Dagalo alias Hemeti,  le président tchadien Mahamat a pris le parti des FSR. Or, les FSR sont issues des Janjawid, milice tristement célèbre pour ses atrocités commises lors de la deuxième guerre du Darfour débutée en 2003 contre les Fur, les Massalit et les Zaghawa (voir à ce sujet mon livre Histoire du Sahel des origines à nos jours).
Or, ces trois ethnies transfrontalières sont ulcérées de voir que le président tchadien a décidé de soutenir ceux qui ont quasi-ethnocidé les leurs.  Résultat, les FAS arment actuellement des rebelles tchadiens dont l’objectif est la prise du pouvoir à Ndjamena, afin de priver les FSR de leur base arrière. Or, comme je l’ai écrit dans mon précédent communiqué, à la différence de son père, Mahamat Déby qui n’a ni ses capacités militaires, ni son envergure politique, se retrouve avec une armée profondément divisée et un pouvoir fragilisé face à des rebelles aguerris, équipés et soutenus par l’armée soudanaise. Un Mahamat Déby qui, de plus, ne pourra pas être sauvé par une intervention de la France puisqu’il a fait fermer ses bases militaires…Voilà pourquoi une grande fébrilité agite actuellement la classe politique tchadienne.
Le plus grave est que le choix de Mahamat Déby menace de faire voler en éclats l’alchimie ethnique et politique tchadienne avec le risque d’un retour à la terrible guerre civile qui a ravagé le pays avant la prise de pouvoir par Idriss Déby Itno. En plus de cela, Mahamat Déby s’est coupé d’une partie du socle militaire zaghawa qui faisait la force de son père.
Or, toute la vie politico-ethnique tchadienne dépend des rapports internes de longue durée, des alliances, des ruptures et des réconciliations plus ou moins éphémères des ethnies nordistes autour desquelles s’est écrite l’histoire du pays depuis l’indépendance. C’est autour d’elles que se sont faites toutes les guerres du Tchad depuis 1963. C’est de leurs relations que dépend le futur du pays, la majorité de la population n’étant que la spectatrice-victime de leurs déchirements et de leurs ambitions. Or, l’alignement du Tchad sur les FSR fait éclater au grand jour leurs divisions.
Il faut en effet bien avoir à l’esprit que les Zaghawa, les Toubou du Tibesti (les Teda), les Toubou de l’Ennedi-Oum Chalouba (les Daza-Gorane) et les Arabes du Ouadaï sont divisés en une multitude de clans et de sous-groupes régulièrement prêts à s’affronter. Ainsi, les Zaghawa du clan Bideyat, celui d’Idriss Déby Itno, n’ont cessé de se diviser. Pour mémoire, les frères Timan et Tom Erdibi, les propres neveux d’Idriss Déby Itno, furent en guerre contre lui.
Mahamat Idriss Déby, l’un des fils d’Idriss Déby Itno est de mère gorane. Gorane est le nom arabe désignant les Toubou de l’Ennedi et d’Oum Chalouba dont la langue est le daza. Lui-même a épousé une Gorane. D’où la méfiance de certains Zaghawa qui considèrent qu’il n’est qu’en partie des leurs. Même si, par le passé, des alliances plus qu’étroites ont pu régulièrement associer Zaghawa et certains clans Gorane, les actuels évènements du Soudan font renaître les ferments de division, certains Zaghawa considérant ainsi que le soutien aux FSR pourrait être compris comme une rupture avec eux.
Autre point, n’oublions pas qu’Hinda, l’épouse  d’Idriss Déby Itno, est une Arabe du Ouadaï et que, dans la guerre civile soudanaise, les Arabes penchent du côté des FSR.
Il est donc évident que le choix de Mahamat Déby de soutenir les FSR fait en réalité éclater la triple alliance ethno-clanique constituée par Idriss Déby , une alliance qui était le socle même de son pouvoir.
Dans ce contexte, les rebelles tchadiens qui combattent aujourd’hui aux côtés des FAS sont utilisés par ces dernières pour tenter de renverser le pouvoir à Ndjamena afin de priver les FSR de leur base arrière tchadienne. La manœuvre initiée par les FAS qui  est claire est mise en pratique depuis plusieurs mois : porter la guerre au Darfour, fief des FSR, après avoir brisé le siège d’El-Facher, afin de couper les routes d’approvisionnement de ces dernières depuis le Tchad. Une manœuvre en forme de mouvement tournant qui se précise encore davantage à la lumière des récents succès militaires des FAS.
Voilà pourquoi, en plus d’avoir peut-être misé sur le « mauvais cheval », Mahamat Déby pourrait avoir soulevé le couvercle de la cocotte-minute ethno-politique tchadienne…
 [1] Pour l’évolution de la situation militaire au Soudan on se reportera à l’article de Leslie Varenne intitulé « Guerre au Soudan, le Tchad pris à son propre piège » publié dans Iveris et dans Mondafrique.
Categories: Afrique

LŐTT SEB A HÁZ SARKÁN

Air Base Blog - Thu, 20/02/2025 - 15:01

Egyes európai városokban a mai napig megtalálhatók a második világháborús utcai harcok nyomai. Néhány kivételtől eltekintve, többnyire a kézifegyverek tüzétől származó golyónyomokról van szó, amelyeket az utókor nem akart eltüntetni. Hogy ez az igénytelenségre vagy e sajátos emlék megőrzésének szándékára vezethető vissza, a napnál is világosabb - az egyik helyen elkoszolódott falak, málló vakolat övezik a találatok nyomait, a másikon új funkciót találtak neki.

Az utóbbira Hollandiában, a Maastricht közelében lévő hangulatos kisváros, Valkenburg egyik sétáló utcáján láthatunk példát, nem messze a városháza parkjában kiállított német páncéltörő ágyútól. A régióban nemcsak számos harcjármű és tüzérségi fegyver emlékeztet az 1944 szeptemberében vívott harcokra, de még egy harckocsi ágyú találatából is sikerült egy emlékhelyet kialakítani. Az érintett épületet egy amerikai Sherman 75 milliméteres ágyúja találta el a városi harc közben. Valkenburg újjáépítésekor a hollandok úgy döntöttek, hogy a találat nyomát megőrzik és a mélyedésben később egy apró Mária szobor is helyet kapott.

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Tchad : Mahamat Deby a-t-il misé sur le « mauvais cheval » ?

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Wed, 19/02/2025 - 23:01
Dans la guerre civile du Soudan, qui, depuis avril 2023, oppose les Forces armées soudanaises (FAS) du général Abdel Fattah al-Burhan, aux Forces de soutien rapide (FSR), de Mohamed Hamdan Dagalo alias Hemeti, en soutenant ce dernier, le président tchadien Mahamat pourrait avoir misé sur le « mauvais cheval ». Résultat, les FAS arment actuellement des rebelles tchadiens dont l’objectif est la prise de pouvoir à Ndjamena, ce qui priverait les FSR de leur base arrière. Or, à la différence de son père, Mahamat Déby ne pourra pas être sauvé par une intervention de la France puisqu’il a fait fermer ses bases militaires… Explications.
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Categories: Afrique

KatPol Kávéház CXIX. - A szent tengerész pasa

KatPol Blog - Wed, 19/02/2025 - 13:25

Puskin egy helyen szerénytelenül a "jekatyerinai sasok dicsőséges seregeként" aposztrofálta azokat a tehetséges állami tisztviselőket és katonai parancsnokokat, akiket a "Nagy" jelzővel illetett híres cárnő szintúgy tehetséges (vagy egyszerűen csak szerencsés) kézzel választott ki magas pozícióikba, ezzel (is) megalapozva az orosz biodalomépítés egyik legjelentősebb korszakát. Közülük Fjodor Usakov tengernagyot a krónikások inkább mellőzték a többiekhez képest, elvégre "csak" kisnemes volt egy alapvetően ugye szárazföldi hatalom szolgálatában, egy épphogy csak létrehozott és mellékes orosz flottánál, olyan háborúkban, melyek nem kifejezetten a tengereken dőltek el. De ilyen körülmények is kétséget kizáróan bizonyította zsenialitását a tengeri hadviselés terén.

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Explosion des usages numériques : le défi des villes

Institut Choiseul - Wed, 19/02/2025 - 11:03

Face à la croissance exponentielle des usages numériques dans les espaces urbains, les collectivités doivent repenser l’aménagement, la mutualisation des infrastructures télécoms et l’intégration écologique des équipements. Ce défi appelle à une réponse concertée entre industriels, aménageurs et pouvoirs publics.

Des usages numériques toujours plus importants et concentrés

Streaming, cloud, télétravail, IA, objets connectés : les besoins en connectivité explosent, notamment dans les zones urbaines denses. Ces usages créent une pression croissante sur les infrastructures numériques (data centers, antennes, réseaux), souvent invisibles mais essentielles. Or, les villes manquent d’espaces, les réseaux saturent, et les équipements peinent à suivre.

Ce déséquilibre alimente une double tension : entre vitesse des usages et lenteur de l’aménagement, mais aussi entre besoins technologiques et acceptabilité locale. Les antennes sont essentielles à la connectivité mobile, mais suscitent parfois le rejet en raison de leur visibilité ou de leurs impacts perçus.

Construire une gouvernance locale de la connectivité

Le développement d’une connectivité résiliente passe par une stratégie de mutualisation et d’anticipation. Des acteurs comme TOTEM (Tower Company) proposent des modèles partagés, mutualisant les infrastructures entre opérateurs pour limiter l’emprise au sol, améliorer l’efficacité énergétique et faciliter l’acceptabilité locale.

Les collectivités doivent désormais intégrer ces infrastructures comme des éléments à part entière de leur politique d’aménagement. Cela suppose de décloisonner les réflexions entre urbanisme, environnement, numérique et transition énergétique. C’est aussi un enjeu de planification stratégique : implanter, réguler, concilier les usages et créer des modèles contractuels équilibrés.

Ce modèle permet également d’innover sur le plan environnemental. Des initiatives comme celles de Demet’air proposent des infrastructures végétalisées, conciliant performance réseau et intégration paysagère.

Une nouvelle grammaire pour aménager la ville connectée

Répondre à l’explosion des usages numériques impose une vision industrielle et territoriale nouvelle. La connectivité ne peut plus être pensée comme un simple service technique, mais comme un pilier d’aménagement stratégique. Coopération, innovation et régulation locale sont les clés pour articuler usages, performance et durabilité.

Russia's pipeline natural gas exports to grow to 240 billion cubic meters per year

Pravda.ru / Russia - Fri, 14/02/2025 - 15:04
Russia's pipeline natural gas exports could see a significant increase, reaching approximately 240 billion cubic meters per year. This means that supply volumes could not only double compared to current levels but also surpass the highest figures recorded in previous years. These conclusions stem from a statement by Pavel Zavalny, First Deputy Chairman of the State Duma Committee on Energy. Speaking at the XXII International Forum Gas Russia 2025, Zavalny noted that such export growth would be possible if the current level of demand for Russian gas on international markets is maintained.
Categories: Russia & CIS

Saints – A döntő ütközet 01.

Héttenger - Thu, 13/02/2025 - 13:21

 Az amerikai függetlenségi háborúként ismert események a valóságban egyáltalán nem korlátozódtak Észak-Amerikára, a harcok kisebb-nagyobb mértékben szinte valamennyi kontinensre kiterjedtek, olyannyira, hogy többen ezt tartják a történelem első világháborújának. (Mások pedig a hétéves háborút.) Az igazi háború valójában persze nem az angolok és az amerikaiak között folyt, ha csupán volt gyarmataikkal kellett volna megküzdeniük, a britek egy-két év alatt felszámolták volna azok ellenállását. Az angolok valódi ellenfele ebben a háborúban – is – Franciaország volt, mely a függetlenségi mozgalmakban kiváló eszközt látott arra, hogy meggyengítse túl nagyra nőtt riválisát, és elégtételt vegyen a korábbi háborúkban elszenvedett megalázó vereségekért. A franciák, bár közvetlen érdekük nem fűződött hozzá, ezért támogatták minden rendelkezésükre álló eszközzel az elszakadni kívánó gyarmatokat, majd amikor a felkelők első nagyobb sikerei után már látható volt, hogy támogatásukkal azoknak tényleg reális győzelmi esélyeik vannak, maguk is hadat üzentek régi ellenfelüknek.

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Categories: Biztonságpolitika

Les femmes face aux maladies cardiaques structurelles

Institut Choiseul - Wed, 12/02/2025 - 15:11

Dans un contexte de vieillissement de la population et compte tenu d’inégalités persistantes, les femmes sont en première ligne du combat de santé publique face aux maladies cardiovasculaires. Il apparait donc crucial de mettre en lumière les causes et l’impact réel des maladies cardiaques, notamment structurelles, répandues chez les femmes.

Une urgence de santé publique trop méconnue

En France, les maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, insuffisances cardiaques, etc.) représentent la deuxième cause de mortalité et la pre­mière chez les femmes. Véritable urgence de santé publique, elles étaient à l’origine de 400 décès par jour en 2019, soit 150 000 décès par an dans notre pays. Or les Français ne sont pas tous égaux face à ces pathologies : dans un contexte de vieillissement de la population, les maladies cardiaques dites structurelles forment une véritable « épidémie silencieuse » qui touchent en particulier les femmes.

Mieux prévenir pour mieux vieillir : une priorité stratégique

Face à ce constat, l’Institut Choiseul souhaite se saisir des enjeux relatifs à la santé cardiaque, qui cristallisent l’avenir du « bien-vieillir » dans notre pays. Dans un nouveau Briefing, les causes et l’impact réel des maladies cardiovasculaires sont explorées, assorties de propositions concrètes destinées à nourrir la stratégie des autorités publiques, ainsi qu’à sensibiliser le grand public aux actions de prévention à instaurer.

Pourquoi cette étude ?

Pour sensibiliser les décideurs et ouvrir la voie à des actions concrètes, ce Briefing propose trois pistes d’action rapidement mobilisables :

  1. Mettre en place des actions de prévention et d’information du public ;
  2. Déployer les innovations technologiques pour réduire les inégalités face à ces pathologies ;
  3. Renforcer l’inclusion les femmes dans les travaux de recherche et les études cliniques.

KatPol Kávéház CXVIII. - A közjó alkotói

KatPol Blog - Wed, 12/02/2025 - 05:45

Legutóbbi adásunkban az amerikai polgárháborús tematikájú westernfilm alműfaját tárgyaltuk ki, amely elég nyilvánvalóan mutatja meg azt, hogy a közönség kíváncsiságát egyaránt csigázzák fel az egzotikus tájak, gyéren lakott hatalmas térségek és a tovaszállt korok, amikor még fiatal volt a nemzet és könnyebben akadtak lelkesítő nagy közös célok. A múlt szelektív megszépítése, romantizálása persze minden társadalomban jelen van, és bizony furcsa lenne, ha ez pont a filmművészetben nem érvényesülne. Diktatúrákban ez bizonyára fokozottan érvényes, pláne ha egyenesen a rendszer születésének és megszilárdulásának „hőskora” kerül vászonra.

A Szovjetunió esetében ehhez hozzávehetjük, hogy a konszolidáció és viszonylagos enyhülés periódusában felértékelődött a könnyed tömegszórakoztatás, és korlátozottan persze, de azért új lehetőségek nyíltak a nyugati kulturális trendek követésére, összhangban a közönség erre vonatkozó jelentős igényeivel. Így futhatott fel – bár kultúrtörténeti léptékben azért nem olyan hosszú időre - a műfaj, amit a Vasfüggöny túloldalán Eastern/Ostern névvel illettek, azaz vadregényes távoli vidékeken játszódó és az amerikai westernek főbb mintáit átvevő szocialista kalandfilm.   

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