La pandémie du Covid-19 a provoqué la fermeture des frontières aériennes, maritimes et terrestres dans plusieurs pays afin de contrôler sa propagation. L’Algérie, suite à la décrue considérable du nombre des cas de contamination, a rouvert partiellement ses frontières aériennes, une décision annoncée le 1er juin dernier.
Plusieurs destinations et vols s’ajoutent au fur et à mesure au programme initial de réouverture des frontières aériennes. Le 10 novembre, l’Algérie a repris ses vols avec le Qatar, ce qui enchante notre diaspora au Qatar ; dans le cadre du renforcement et la revalorisation de l’Algérie comme destination, décision prise par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
La ligne Alger – Doha renaît avec une moyenne de deux vols commerciaux par semaine qu’Air Algérie opérera. Dans un cadre de réciprocité, les compagnies aériennes qataries pourront opérer deux vols commerciaux par semaine sur la même ligne.
Qatar Airways dévoile le programme et les conditionsLa compagnie aérienne qatarie, Qatar Airways, a programmé trois vols de rapatriement et deux vols commerciaux par semaine. Ces derniers seront opérés tous les vendredis et dimanches, programme prévu jusqu’au 22 mars 2022. Les vols de rapatriement, quant à eux, se feront tous les samedis, lundis et mercredis, et ce, jusqu’au 30 novembre 2021.
Les restrictions et le protocole sanitaire sont toujours mis en place. Pour les conditions d’entrée au Qatar, un test PCR de moins de 36 heures est exigé pour les vols sans escale Doha – Alger, et un autre de moins de 72 heures pour les vols avec escale Kuala Lumpur – Doha – Alger. En plus d’une fiche sanitaire, un test antigénique à l’arrivée est tout aussi obligatoire.
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Alors que l’Algérie traverse une situation économique des plus difficiles, le nombre de chômeurs ne cesse d’augmenter, menaçant ainsi le tissu social du pays. Face à cette problématique qui n’est pas des moindres, le gouvernement tente d’y faire face de plusieurs manières.
L’assurance chômage est l’une des solutions mise en place par le gouvernement, pour assurer un minimum de revenus aux sans emploi. Selon le Premier ministre, Aimene Benabderrahmane, près de 200.000 travailleurs ayant été licenciés ont pu bénéficier de ce dispositif.
En effet, lors d’une séance en plénière à l’APN, le Premier ministre a déclaré, devant les députés, que le nombre des salariés licenciés est de 190.805, bénéficiaires de l’assurance chômage.
Le ministre explique que cette « indemnité concerne les travailleurs qui ont été licenciés de manière involontaire, pour des raisons économiques. Cela peut arriver dans le cadre d’une compression d’effectif ou d’une cessation d’activité de l’employeur ».
Assurance chômage : 7500 bénéficiaires par anBenabderrahmane indique que « cette indemnité est octroyée par la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC). L’assurance chômage bénéficie de 1,5 % seulement des cotisations de la Caisse des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS), confie cependant le premier ministre ».
Lors de la même séance de la Chambre basse, le Premier ministre affirme que « 7.380 salariés licenciés bénéficient de l’assurance chômage chaque année ».
Concernant l’allocation chômage, mise en place dernièrement, suite à une ordonnance du président Abdelmadjid Tebboune, le Premier ministre indique qu’elle sera destinée aux jeunes primo-demandeurs d’emploi, âgés entre 19 et 40 ans. Ces derniers doivent toutefois être inscrits sur les listes de l’ANEM.
Ces deux dispositifs et celui de l’insertion sociale, dont ce dernier est destiné aux chômeurs âgés entre 18 et 60 ans bénéficiaires d’un salaire égal ou supérieur au SNMG, dans un cadre contractuel, permettent, d’après le même intervenant, d’assurer la catégorie des chômeurs primo-demandeurs d’emploi sans revenu, le minimum d’une vie décente.
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Le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a mis en garde, ce dimanche, contre la 4e vague de l’épidémie du coronavirus ; appelant ainsi à se faire vacciner et se tenir prêt pour y faire face.
Intervenant sur les ondes de la radio nationale, le ministre a d’emblée souligné que « la situation épidémiologique est stable, avec une moyenne de 100 cas et 5 à 6 décès par jour ». Cependant, il a mis l’accent sur une bonne préparation en cas d’une quatrième vague épidémique.
Cela devra éviter, selon lui, de tomber sous les mêmes effets de la 3e vague qui était très virulente. À ce propos, il explique que « l’Algérie n’est pas à l’abri de la quatrième vague que connaissent actuellement certains pays dans le monde ». D’ailleurs, affirme-t-il, « toute vague qui affecte l’Europe finit par atteindre l’Algérie au bout de deux mois ».
Ainsi, « la préparation à cette nouvelle vague devra passer inéluctablement par la vaccination », a-t-il préconisé. Dans ce sillage, le premier responsable du secteur sanitaire, déplore la grande réticence des citoyens à la vaccination, bien qu’elle eût connu un rush en juillet dernier, avec une moyenne de 250 000 opérations de vaccination par jour.
La réticence à la vaccination en chiffresFace à ce nombre, dit-il, « nous étions optimistes d’atteindre les 70% prévus initialement avant la fin de l’année ». Or, avec la décrue de l’épidémie constatée dès la fin août, « les gens ont commencé à se montrer réticents, avec une moyenne maximale de 13 000 vaccinations par jour ».
Concernant la campagne de vaccination, le ministre a fait savoir que « 11 millions de doses ont été administrées, dont 6 millions pour la première dose et 5 millions pour les deux, ce qui représente seulement 25% de la population ».
Cela dit, il ajoute que ce taux « est loin des chiffres recommandés par les spécialistes (environ 70%) ,ou encore par l’Organisation mondiale de la santé (environ 50%) ». Ainsi, il réitère son appel « aux Algériens de se faire vacciner » tout en rassurant ces derniers sur la disponibilité des vaccins.
À ce propos, Benbouzid souligne que les stocks disponibles actuellement sont à hauteur de 13 millions de doses, notant qu’en raison de l’accumulation des vaccins, « nous avons refusé de recevoir de nouvelles quantités ».
S’exprimant sur l’obligation du pass vaccinal, le ministre indique que cela devra être entamé auprès du public voulant assister à la prochaine rencontre de l’équipe nationale au stade de Blida. Or, « la généralisation de cette mesure ne relève pas des prérogatives du ministère de la Santé », a-t-il précisé.
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L’écrivain algérien, Kamel Daoud, compte à son actif plusieurs Prix prestigieux, auxquels il ajoute cette fois-ci le Prix international de la laïcité 2020. Un prix annuel organisé par le Comité Laïcité République ayant pour but de récompenser les personnes engagées en faveur de la laïcité.
L’auteur à succès a tenu, lors de la cérémonie de remise des Prix de la laïcité dans sa 15e édition, à expliquer le pouvoir que porte chaque mot entre ses lettres, à savoir, la capacité de changer de sens, glisser d’un domaine à l’autre et d’être si expressif et si mystérieux à la fois.
Nous arrivons donc au sens du mot laïcité, qui, pour l’auteur de Zabor ou les Psaumes « il ne s’agit pas seulement de séparer l’Église de l’État, mais la liberté de la mort, la croyance de la vérité, le marchandage de la foi, la violence de l’acceptation, la tolérance de la fuse et le vivre du survivre ».
Un mot et un concept à redéfinirLe lauréat du Prix international de la laïcité connait très bien la sensibilité du mot « laïcité » dans la société arabe, raison pour laquelle il a également tenu à souligner qu’il faut le dénuer de tout mauvais sens, que lui a conféré « une adversité intolérante » et d’ajouter que « ce sont les intégrismes et les terrorismes qui le définissent, accaparent ce mot, dans leur sournoise conquête du réel ».
Par ailleurs, il estime que ce mot doit être défendu, ou du moins, son sens propre. Dans un siècle envahi par l’intolérance, le sens de la laïcité selon Kamel Daoud est « essentiel, vécu, partagé et prouvé ». La « laïcité » doit également être vite redéfinie pour parer aux catastrophes, selon l’écrivain francophone.
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Des banques en ligne bientôt en Algérie. C’est ce qu’a affirmé Yacine Oualid, ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l’économie de la connaissance et de la start-up. Cette annonce intervient au moment où le Premier ministre déploie des efforts pour réorganiser et moderniser le secteur bancaire en Algérie.
En effet, hier samedi, sur Clubhouse (réseau social), le jeune ministre délégué de la start-up, Yacine Oualid, a indiqué que »l’Algérie s’apprête à entrer dans l’ère des banques virtuelles » qui, explique-t-il, proposent des services 100% en ligne.
Une nouvelle loi monétaire ?Selon le même intervenant, le gouvernement est entrain de travailler sur une nouvelle loi monétaire permettant de créer et lancer des banques virtuelles qui proposent tous les services des banques classiques, mais en ligne.
Les banques en ligne seront bientôt lancées en Algérie et elles vont doter leurs clients de cartes bancaires pour les paiements et les transferts d’argent en ligne, et ce, sans être obligé de se déplacer.
Le ministre ajoute que grâce à cette nouvelle loi, les prestataires de services de paiement (PSP) vont voir le jour, ce qui permettra aux clients de profiter de la naissance de divers nouveaux services de paiement en ligne à travers le pays, à l’instar du paiement via téléphone.
Par ailleurs, le Premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, suite à l’installation du Centre national de l’épargne, a déclaré que « l’épargne est un stimulateur pour l’économie et pour le développement national », et que « cela devra se répercuter positivement et de manière globale sur l’investissement et la gestion des risques et autres ».
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Depuis plusieurs semaines, l’ensemble des spécialistes et responsables du secteur sanitaire en Algérie, alertent sur le risque d’une 4e vague. Actuellement, tout porte à croire que »l’Algérie est en plein dedans », selon le Dr Fawzi Derrar.
Intervenant ce dimanche matin sur la chaine Echorouk News, le directeur général de l’ IPA (Institut Pasteur d’Algérie) a affirmé que »l’Algérie est officiellement entrée dans la quatrième vague épidermique du coronavirus ».
En effet, le même responsable affirme que »la courbe épidémique de la 4e vague commence à monter, certes pas assez vite, mais autant ascendante que les vagues précédentes ». Ce qui sous-entend, selon lui, que nous sommes en pleine 4e vague du Covid-19.
D’ailleurs, précise-t-il »l’avènement de cette nouvelle vague épidémique était prévisible ». Dans le même sillage, l’intervenant explique que »le nombre des contaminations est en augmentation depuis un mois ».
Cela est essentiellement dû, ajoute encore le Dr Fawzi Derrar, à »l’arrivée de la saison hivernale où les gens ont tendance à se réunir dans des espaces clos, ce qui augmente les facteurs de propagation du virus, parallèlement au faible taux de vaccination.
Le Dr Derrar parle du risque d’une 5e vagueConcernant ce dernier point, le directeur de l’IPA a réitéré que »l’affluence sur la vaccination actuellement pourra nous éviter une cinquième vague plus tard », expliquant que »même avec la hausse des cas, la vaccination évitera la recrudescence de l’épidémie ».
D’ailleurs, le même responsable va au-delà de la quatrième vague, désormais évidente, pour parler du risque de l’avènement d’une 5e vague, notamment avec la réticence des citoyens à la vaccination.
Toujours à propos de la vaccination, le Dr Derrar indique que »13 millions de doses de différents vaccins sont actuellement en stock au niveau de l’Institut Pasteur d’Algérie ». Il a également fait savoir que »5 millions de doses devraient arriver avant la fin du mois en cours.
Pour ce qui est de la situation épidémiologique, le premier responsable de l’IPA souligne que les wilayas d’Alger, Oran et Constantine sont les plus touchées par l’épidémie du coronavirus.
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Le taux de change de l’euro et du dollar face au dinar s’est stabilisé dans les cotations officielles de ce dimanche 14 novembre. Sur le marché parallèle des devises, les cours des principales devises ont connu de légères hausses.
Dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, la monnaie unique européenne s’échange contre 158,51 dinars à l’achat et 158,56 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, l’unité de la même monnaie est proposée à environ 218,50 dinars à l’achat et 220,50 dinars à la vente.
Le cours du dollar s’est également stabilisé à la Banque centrale d’Algérie, enregistrant 138,13 dinars à l’achat et 138,15 dinars à la vente. Au marché noir aujourd’hui, il est cédé à 188 dinars à l’achat et 191 dinars à la vente.
Le taux de change de la livre sterling dans les cotations commerciales d’ouverture du 11 au 15 novembre 2021, affiche 185,09 dinars à l’achat et 185,16 dinars à la vente. Sur le marché parallèle des devises, un pound s’échange contre 249 DA à l’achat et 245 DA à la vente.
Au niveau des guichets de la Banque d’Algérie, un dollar canadien s’échange contre 110.40 dinars à l’achat et 110.42 dinars à la vente. En outre, il est cédé par les cambistes du square Port-Saïd à 141 dinars à l’achat et 144 dinars à la vente.
Taux de change des monnaies des pays arabesLe prix du riyal saoudien est resté, dans les cotations de la Banque d’Algérie, à 36,83 dinars à l’achat comme à la vente. Sur le marché parallèle, il est échangé à 48,00 dinars à l’achat et 48,50 dinars à la vente.
Le taux de change du dirham émirati dans les transactions bancaires est de 37,60 dinars à l’achat et 37,61 dinars à la vente. En revanche, sur le marché noir, son échange est de 49,00 dinars à l’achat et 49,50 dinars à la vente.
Le cours du dinar koweïtien, dans le circuit bancaire, est de 456,64 dinars algériens à l’achat et 457,75 dinars algériens à la vente. Par ailleurs, il a baissé sur le marché parallèle à 595,00 dinars algériens à l’achat et 601,50 dinars algériens à la vente.
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Plusieurs wilayas du nord du pays seront au rendez-vous avec de fortes précipitations, indique le bulletin météo spécial (BMS) de l’Office national de la météorologie.
Dans son alerte publiée hier soir, météo-Algérie a placé 13 wilayas du nord du pays en vigilance orange. Il s’agit des wilayas d’El Taref, Annaba, Skikda, Jijel, Béjaia, Chlef, Tipaza, Alger, Blida, Médéa, Boumerdès, Bouira et Tizi-Ouzou.
Les quantités de pluie annoncées oscilleront entre 20 et 40 mm, et ce, jusqu’à l’après-midi de ce dimanche, vers 15 h 00, précise la même source.
D’autres wilayas du pays sont également placées en vigilance jaune pluie : Sétif, Mila, Constantine, Guelma pour le nord du pays et Adrar, Béni Abbès et Béchar pour le sud.
Pour ce qui est des quantités attendues pour ces régions, Météo Algérie indique qu’elles varieront entre 30 et 50 mm. La validité du bulletin devra s’étaler de dimanche à 03 h 00 au lundi à 03 h 00.
Températures et météo marineDans sa carte de vigilance marine, l’Office national de météorologie a mis en alerte jaune, pour la même journée, plusieurs zones côtières et fait état de vents et vagues dangereuses. Il s’agit des côtes d’Annaba, El Kala, Skikda, Jijel, Béjaia, Azefoun et Déllys.
Les températures maximales prévues pour ce début de semaine, selon l’ONM, varient entre 13 à 19 degrés sur les régions côtières ; 12 à 20 degrés sur les régions intérieures et enfin 17 à 29 degrés sur les régions sahariennes.
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Les partis politiques entament la deuxième semaine de la campagne électorale, ayant démarré le 4 novembre. Une campagne qui s’est annoncé timidement dans un contexte socio-économique fragilisé. La plupart des formations politiques ont opté pour les meetings et rassemblements.
C’est le cas notamment de l’ex-parti unique dont le secrétaire général n’est apparemment pas satisfait de la couverture médiatique dédiée à sa campagne électorale. En effet, Le FLN vient de critiquer violemment l’Entreprise National de Télévision.
Dans un communiqué de presse, rendu public ce samedi 13 novembre, le FLN a fait part de son indignation et sa colère vis-à-vis des pratiques de la chaine de télévision nationale. Il s’agit, selon la même source, de pratiques arbitraires qui ciblent intentionnellement le FLN, et ce, dans l’objectif de limiter ses chances dans les prochaines élections locales.
En d’autres termes, l’ex-parti unique reproche à la télévision nationale de ne pas avoir assuré la couverture médiatique de deux meetings tenus par le secrétaire générale, Abou El-Fadl Baadji, dans le cadre de sa campagne électorale.
Victime de « Marginalisation »Le FLN qualifie la « marginalisation » dont il a été victime de « transgression majeure de la loi ». Selon le même communiqué, cette exclusion s’oppose aux règles et principes établies par l’autorité nationale indépendante des élections (l’ANIE) qui a exigé une couverture médiatique équilibrée et équitable en faveurs de tous les partis politiques.
Il convient de préciser en conclusion, que cette réaction intervient suite à un acte « irresponsable » de l’un des journalistes exerçant à la télévision nationale. Le FLN indique dans son communiqué, que le journaliste en question a eu des altercations avec les organisateurs du meeting, tenu le 10 novembre dans la wilaya de M’sila, avant que le chef du parti Abou El-Fadl Baadji, intervienne et s’excuse auprès du journaliste.
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Les violences conjugales ne sont guère tolérées dans l’autre rive de la méditerranéenne. La soumission des femmes est un phénomène étrange aux sociétés européennes ou les droits de la femme sont promus notamment le droit d’être protégé de son propre mari.
C’est le cas en effet d’une jeune femme ayant subie de violences physiques de la part de son mari, un jeune algérien âgée de 26 ans et installé en France. Tout a commencé le 7 novembre, lorsque la victime s’est caché dans la salle de bain pour appeler la police afin de venir la sauver.
Une fois sur les lieux, les éléments de la police ont trouvé la jeune épouse dans un état lamentable, souffrant de traces de strangulation au niveau du cou, des griffures au bras et des hématomes. Ainsi, cinq jours d’Incapacité temporaire de travail (ITT) lui ont été prescrits.
De son côté, le jeune homme a essayé de tout nié en avouant qu’il a juste bousculé son épouse qui l’avait provoqué. Pour lui, les traces de coups sont dues à une allergie. Sachant que l’accusé est un alcoolique, la victime a affirmé que le jour de l’incident, son conjoint à consommer une demi bouteille de Vodka
La victime se montre clémente, malgré les violences subiesPrésente devant le juge, la jeune femme lâche : « je ne veux pas que mon mari aille en prison ». Pire encore, elle n’a pas tenu un discours cohérent. La victime ajoute « j’ai peut-être abusé un peu ».
Le journal français Télégramme qui a rapporté l’histoire de cette malheureuse femme indique que le tribunal de Quimper dans le nord-ouest de la France a condamné, vendredi 12 novembre le jeune algérien à huit mois avec sursis pour violences conjugales et à une interdiction de contacter sa femme pendant six mois.
D’après l’avocate de la jeune épouse, Me Nassera Hajji, « la victime a fait ce qu’il fallait faire en portant plainte. Mais elle ne veut pas que son mari aille en prison ». De son côté, l’avocat du jeune algérien estime que « le condamner, c’est condamner une famille entière ».
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La rencontre Gouvernement-Walis, entamée hier samedi en présence du chef de l’État, a vu aujourd’hui le premier ministre donner quelques directives aux responsables des 58 wilayas. Aimene Benabderrahmane s’est en effet penché sur plusieurs questions importantes, dont celles portant sur les pouvoirs des élus locaux.
Dans un discours prononcé aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le premier ministre a abordé devant les 58 walis plusieurs affaires qui revêtent une grande importance. Le premier ministre a notamment donner trois nouvelles directives.
Recensement, APC et bureaucratieAimene Benabderahmane a fait savoir que plus de pouvoir vont être accordés aux APC, et donc aux élus locaux. Une demande qui a été faite par Youcef Aouchiche dernièrement, le premier homme au FFS. Le premier ministre, toujours dans ce contexte, a invité à créer des cellules d’écoute pour être plus proches des préoccupations des citoyens.
Lors de son dernier discours Aiemene benabderrahmane a également indiqué que son gouvernement va procéder à un recensement général de la population et de l’habitat. Il a aussi indiqué qu’une enquête statistique municipale complète va se faire pour réduire les inégalités et booster le développement.
La troisième directive du premier ministre concerne la bureaucratie. Devant les walis, il a notamment souligné la nécessité de simplifier les procédures administratives et l’importance de lutter contre la bureaucratie afin d’améliorer le service public, et de contenir les jeunes énergies porteuses de projets et d’idées créatives.
Pour conclure, Benabderahmane a également rappelé que les zones de l’ombre restent un problème d’actualité, et ce, malgré les « avancées » qui ont été enregistrées ces derniers mois.
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Un sujet qui a toujours fait polémique en Algérie refait surface cette année avec des critères tantôt compréhensibles et justifiables tantôt saugrenus et abusés. On parle bien de la tenue vestimentaire dans les établissements scolaires.
Les lycées algériens sortent instruction après instruction, chacun fixe des règles concernant la tenue correcte exigée pour les filles et les garçons, et ce, hormis la blouse obligatoire pour tous, dès la rentrée scolaire. C’est le cas du lycée Houari Boumediene d’El Achir de la Wilaya de Bordj Bou Arreridj, publiant une instruction qui dicte, selon son règlement intérieur, les critères de cette tenue.
De l’interdiction de “coupes bizarres qui vont à l’encontre de l’éthique de l’éducation et de l’enseignement”, les pantalons déchirés et les casquettes pour les garçons, les vêtements “serrés” pour les filles, toujours pour les lycéennes pas de maquillages ou d’accessoires et pour couronner le tout, on sait que l’utilisation du téléphone portable est interdite, or on parle ici d’interdiction de le ramener dans l’enceinte de l’établissement.
Quant aux mesures préventives contre le Covid-19, elles ont été timidement mentionnées en bas.
Tenue correcte, le bouchon est-il poussé un peu trop loin ?C’est un sujet clivant, aussi bien entre les élèves que leurs parents, certains félicitent ces restrictions et trouvent que c’est tout à fait normal d’imposer ces règles, d’autres déplorent toutes ces interdictions exagérées en s’interrogeant sur leur pertinence quant au bon déroulement du cours.
Il est important de préciser que si toutefois, ces interdictions qui semblent porter atteinte à la morale publique ne sont pas respectées, l’élève en question ne pourra pas accéder à l’établissement.
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En Algérie, la pandémie de la covid-19 fait de moins en moins de ravages. Cette décrue, insistent les spécialistes, doit inciter la population à la vaccination. Aujourd’hui, le 26 septembre 2021, les chiffres démontrent encore que malgré la baisse des infections, le danger demeure présent.
Le ministère de la Santé a indiqué dans son bilan de ce dimanche que le pays a recensé 10 décès causés par le virus ces 24 dernières heures. Les mêmes chiffres soulignent aussi que l’Algérie a enregistré 148 nouveaux cas de contamination, 115 guérisons.
Suite au bilan d’aujourd’hui, le total des cas de contamination en Algérie s’élève donc à 202.722 cas. Le pays a également recensé, et ce, depuis le début de la pandémie, pas moins de 5788 décès.
Immunité collective : c’est pour bientôtLe ministre de la Santé, Abderahmane Benbouzid, a annoncé il y a quelques jours des chiffres positifs concernant le taux de vaccination en Algérie. En effet, le ministre a dévoilé que 50 % de la population algérienne concernée a été vaccinée.
Des chiffres bons certes, mais ambiguës affirment plusieurs spécialistes. Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique, reste quant à lui sceptique. Il affirme que » l’Algérie n’a pas encore atteint l’immunité collective« .
Pour ce spécialiste, « lorsqu’on parle de 10 millions d’Algériens, je pense que la majorité n’ont reçu qu’une première dose ». Merabet indique que seulement le tiers de ce nombre ont reçu les deux doses. Un constat qui veut dire que le pays est encore loin d’avoir atteint une immunité collective, ce qui nous expose au risque d’une quatrième vague.
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Le président de la République a procédé ce dimanche 26 septembre 2021 à la nomination d’un nouveau porte-parole de la Présidence de la République. Il s’agit de Samir Aggoune, qui occupait ce même poste par intérim.
Le nouveau porte-parole de la présidence était enseignant à la faculté des sciences de l’information et de communication à l’université d’Alger 3. Il a également fait une carrière en journalisme au sein de plusieurs médias.
Il a exercé en tant que journaliste à la chaine Echorouk TV. Avant cela, il a occupé le poste de Directeur de l’information à la chaine Dzair News, avant de démissionner de ce poste en novembre 2018, après quatre années passées dans cette chaîne.
Avant d’intégrer l’équipe de Dzair News en 2014, il a fait un passage remarqué à la radio nationale. En 2016, il est nommé à la tête de la Direction de l’information de la chaine privée après le départ de Djamal Maafa.
En août 2020, Tebboune avait nommé Samir Aggoune, par décret présidentiel du 29 Dhou El Hidja 1441 correspondant au 19 août 2020, chargé de mission à la Présidence de la République.
Porte-parole de la présidence par intérimSuite au départ de Belaïd Mohand-Oussaïd du poste de porte-parole de la présidence, au lendemain de son retour de son voyage de soins d’Allemagne, Samir Aggoune a été nommé à ce poste par intérim.
Sa première apparition officielle remonte au 7 juillet 2021, lorsqu’il a annoncé la composante du nouveau gouvernement de Aïmene Benabderrahmane. Ce dimanche, le président de la République l’a nommé, par décret présidentiel, comme porte-parole officiel de la présidence de la République.
Par ailleurs, le chef de l’État a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République, indique un communiqué de la présidence.
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Après une fermeture de plus d’une année, les autorités ont annoncé, le 1er juin dernier, la réouverture partielle des frontières aériennes, avec un nouveau programme de vols internationaux, mis en place le 28 août de l’année en cours, qui vise à augmenter le nombre de vols à 64 par semaine avec sept pays, dont 48 vols entre l’Algérie et la France.
Depuis cette réouverture, la compagnie aérienne espagnole, Vueling, est devenue la seule compagnie étrangère à opérer des vols vers l’Algérie à partir de deux pays différents, où elle est autorisée à opérer depuis sa base à l’aéroport international d’El Prat à Barcelone et au départ de l’aéroport de Marseille Provence.
En effet, la low cost espagnole opère chaque semaine, deux vols depuis la ville de Barcelone, et ce, conformément au principe de réciprocité. Notons que la compagnie aérienne nationale, quant à elle, programme également deux jours par semaine, à savoir le dimanche et le jeudi, afin d’opérer ses vols.
48 euros pour la ligne Marseille – Alger chez VuelingPour le mois de novembre, Vueling a déjà commencé la commercialisation de ses billets d’avion sur son site pour la ligne Marseille – Alger. Les prix proposés par ladite compagnie sont les plus bas en comparant de ses concurrentes.
Les billets présentés pour la vente sont pour des vols prévus tous les jours, sauf les mardis et les dimanches, tout en long du mois de novembre.
Dans le site, les prix des billets d’avion sont proposés à des prix bas, arrivés à 48 euros et peuvent atteindre jusqu’à plus de 450 euros.
Il est cependant utile de rappeler qu’aucune compagnie aérienne n’a obtenu l’autorisation officielle pour opérer des vols en mois de novembre. Donc, ces vols vont être certainement annulés, vu que la low cost espagnole maintient en vente actuellement les billets d’avion en novembre pour des vols qui dépendent de son programme annuel.
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Rien ne va plus pour le dernier premier ministre de Bouteflika. Nouredine Bedoui, qui a pu jusqu’à là éviter le sort réservé à Ouyahia et Sellal, vient de faire face à une décision du juge du tribunal de Sidi M’Hamed. Même si l’ancien premier ministre évite, encore une fois, la prison, il n’en sort pas tout à fait indemne.
En effet, aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le tribunal de Sidi M’Hamed vient de mettre l’ancien premier ministre Nouredine Bedoui sous contrôle judiciaire. Une décision du juge qui s’accompagne d’une interdiction de quitter le territoire national, vu que le passeport de l’ancien responsable a été également confisqué.
Coup dur pour BedouiBedoui qui a été premier ministre alors que Bouteflika s’apprêtait à sortir par la petite porte d’El Mouradia, a été rattrapé par plusieurs scandales qui lui ont valu sa convocation par la justice Algérienne. Corruption, abus de pouvoir, dilapidation et détournement du foncier, Bedoui risque gros.
Même si les accusations portées contre Bedoui ne concernent pas la période ou il occupait le poste de premier ministre, cela n’empêche pas qu’elles puissent lui valoir la prison. Une épée de Damoclès est suspendue au-dessus de sa tête. Bedoui est notamment accusé d’avoir octroyé illégalement plusieurs marchés à des entrepreneurs qui ne remplissait pas les conditions légales et qui ne respectaient pas les normes nécessaires à la réalisation de ces projets.
Les accusations portées à l’encontre de Bedoui concernent des affaires de corruption qui remontent à l’époque où il occupait le poste de wali de Constantine. C’était avant qu’on le nomme ministre de la Formation professionnelle, puis ministre de l’Intérieur et enfin Premier ministre jusqu’au 19 décembre 2019.
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Le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a procédé, ce dimanche 26 septembre 2021, à de nouvelles nominations au sein de la Présidence de la République.
Selon un communiqué de la Présidence, Tebboune a nommé, par décret présidentiel, un nouveau chef de cabinet et un nouveau porte-parole à la présidence de la République.
« Le président de la République a signé, aujourd’hui, un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République », lit-on dans le communiqué.
Cette nomination intervient en « remplacement de Noureddine Beghdada, qui est appelé à de nouvelles fonctions », précise-t-on encore selon la même source.
Nouveau porte-parole à la présidence de la RépubliquePar ailleurs, « le président a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Samir Aggoune comme porte-parole officiel de la présidence de la République », ajoute encore la même source. Ce dernier occupait le poste du porte-parole de la Présidence de la République par intérim.
Il convient de noter que le poste de porte-parole à la présidence est occupé, depuis le 29 décembre 2020, par Belaïd Mohand Oussaïd. Ce dernier avait été alors nommé par Tebboune, ministre conseiller à la communication porte-parole de la présidence de la République.
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La Coupe du Monde de la Pâtisserie est un concours culinaire international consacré à la pâtisserie, qui se déroule tous les deux ans à la ville de Lyon en France. Il est initié par le chef pâtissier Gabriel Paillasson. Ce dernier récompense la meilleure équipe de pâtissiers nationaux.
Cette année, le concours a réuni dans sa 16ᵉ édition qui s’est tenue pendant le Sirha Lyon, salon de restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation à Lyon, vingts nations pour une journée de compétition autour de la pâtisserie, et ce, le 24 et le 25 septembre.
Pour ce concours présidé par Pierre Hermé, les pâtissiers de différents pays disposaient de 10 heures seulement afin de réaliser trois épreuves de dégustation, à savoir, un dessert à partager, un entremets glacé et un dessert de restaurant. En outre, les mêmes candidats doivent passer deux autres épreuves artistiques, dont une sculpture en chocolat et une autre de sucre.
Une équipe qui regroupe les meilleurs chefs pâtissiersPortant sur thème « Tout art est imitation de la nature », une équipe algérienne composée de talentueux pâtissiers a été présente lors dudit concours.
Il s’agit de quatre chefs pâtissiers, à savoir, le candidat chocolat, Salah Amour, chef de la pâtisserie algéroise Le Roi ; le candidat ayant réalisé l’entremet glacé, Mehdi Mehenni en l’occurrence, chef pâtissier algérois ; le sucre capitaine, le chef pâtissier Abderrazak Abdoun ; et enfin le président de l’équipe, le chef pâtissier habitué des concours et compétitions, Fouas Yakoub Mehenni.
Avec ces quatre brillants candidats, qui ont représenté fièrement et dignement leur pays, l’Algérie est classée à la dixième position.
Les Italiens remportent la Coupe de cette annéeCette 16ᵉ édition, tenue pendant le Sirha Lyon, était placée sous le signe de la résilience et de la créativité. » Cette finale a été marquée par l’émotion et la créativité, ainsi que les saveurs et couleurs qui se sont dégagées des desserts des 11 équipes participantes”, a souligné Pierre Hermé, Président du concours depuis septembre 2019.
Il est utile d’indiquer que pour cette année, l’équipe italienne, composée de Massimo Pica, Lorenzo Puca, Andrea Restuccia, a remporté ce samedi 25 septembre la finale de la Coupe du Monde de la Pâtisserie 2021, tandis que l’équipe française s’est hissée à la troisième position.
Notons que cette pour sa 16e édition, l’épreuve du dessert à l’assiette a été remplacée par celle du dessert de restaurant, afin de valoriser le métier de pâtissier de restaurant.
Il convient également d’ajouter que les jurés ont porté une attention particulière aux alliances de saveurs, aux textures, aux jeux de températures et au dressage de ces desserts éphémères destinés à être dégustés immédiatement.
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Beaucoup d’entreprises créées dans le cadre du dispositif de l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat Anade (ex-Ansej), sont en crise et nécessitent une prise en charge. Face à cela, l’Agence propose plusieurs solutions.
La question des dettes accumulées a été abordée, une nouvelle fois, par le Directeur général de l’agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat Anade (ex-Ansej), Mohamed Cherif Bouaoud.
Dans un entretien accordé au quotidien Echaab, le responsable a indiqué que les catégories qui n’ont pas encore versé trois tranches aux banques sont la plupart des cas. Face à cela, « nous travaillons à régler leurs situations en les intégrants et en leur accordant des projets leur permettant de se relever », a-t-il déclaré.
D’ailleurs, « c’est le cas avec plusieurs entreprises créées dans le cadre du dispositif, et qui sont dans cette situation », selon lui. L’intervenant a également abordé la question des catégories exemptées du paiement de dettes.
À ce propos, il affirme que les catégories exemptées sont : « les entreprises dont les propriétaires sont décédés, celles touchées par les catastrophes naturelles (tel que les feux de forêt) et celles dont les propriétaires sont atteints d’empêchement physique ou moral en exerçant leurs activités respectives ».
Mohamed Cherif Bouaoud a également fait état d’une proposition en cours l’étude, relative aux entreprises dont l’activité ne suit plus le rythme des évolutions technologiques et économiques et qui ne sert désormais pas à grand-chose.
Le Fonds de caution mutuelle de garantieEn cas d’échec du projet, le premier responsable de l’ex-Ansej a souligné que son Agence a réadapté les mesures du Fonds de caution mutuelle de garantie risques/crédit. Ce dernier est garant des prêts accordés par les banques et assure également la protection du jeune promoteur.
« En cas d’échec du projet, il existe un fonds qui prend en charge les dettes de la banque », a-t-il encore souligné. Selon lui, ce Fond a deux missions principales ; donner au jeune une garantie auprès de la banque avant de recevoir le prêt, en échange d’une adhésion au fonds à hauteur de 1,5 % par an de la valeur du prêt.
Et en contrepartie, la banque garantit une indemnisation du prêt à 70 %. Cela veut dire qu’il n’y aura pas de poursuite par la banque contre le jeune promoteur propriétaire du projet.
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Dans le cadre de la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes, les services sécuritaires de la wilaya d’Alger ont réussi à mettre hors d’état de nuire l’activité de trois personnes.
En effet, le procureur de la République près le tribunal de Dar El Beida a prononcé une peine de cinq ans de prison ferme à l’encontre d’un ressortissant Chinois, qui est dans un état de fuite, assortie d’une amende d’un million de dinars, avec un mandat d’arrêt.
Dans la même affaire, le procureur de la République a également requis une peine de deux ans de prison ferme assortie d’une amende de 200 000 dinars à l’encontre de deux policiers, pour deux accusations, à savoir, l’abus de fonction et réception d’indus avantages. Ces derniers travaillent à l’aéroport international d’Alger Houari Boumediene.
Des ressortissants Chinois résidant illégalement en AlgérieLa poursuite judiciaire à l’encontre des mis en cause s’est intervenue suite à » de graves incidents » à l’aéroport susmentionné, où un mouvement de transport inhabituel pour la prise en charge de ressortissants Chinois résidant illégalement en Algérie, par des éléments de la police des frontières, a été repéré.
Les Chinois en question disposaient de passeports, portant de manière anormale, le cachet de la police des frontières, et ce, malgré qu’ils n’ont pas quitté le territoire national. Sur ce, une enquête a été ouverte, où les trois mis en cause précités ont été convoqués.
L’enquête dans la même affaire a révélé l’implication du Chinois, actuellement en fuite. Ce dernier vendait des passeports portant le cachet des deux policiers, aux ressortissants Chinois pour des sommes estimées à 65 millions de centimes.
Il est également utile d’indiquer que le verdict a été renvoyé au 10 octobre de l’année en cours.
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