À peine entrée en vigueur, la loi de finances 2022 suscite déjà la controverse, notamment en ce qui concerne les taxes douanières, à tel point que les autorités ont tout bonnement décidé d’en suspendre ou geler plusieurs dispositions portant sur les taxes.
Vraisemblablement, la loi de finances pour l’exercice de l’année en cours a carrément foiré ses calculs en ce qui concerne l’imposition de taxes sur divers produits. Outre cela, plusieurs autres points sont restés en suspens, malgré l’adoption et l’entrée en vigueur du texte de loi en question.
A priori, les dispositions portant sur la levée des subventions généralisée et leur transfert direct au profit des ménages qui y sont éligibles, sont dans l’attente de textes réglementaires et de la mise en place d’un dispositif national de compensation monétaire. À cela viennent s’ajouter donc la suspension et le gel de plusieurs taxes prévues dans le cadre de cette même loi.
Lors de la réunion du Conseil des ministres, tenue hier dimanche, le président de la République a ordonné le gel, à compter d’aujourd’hui et jusqu’à nouvel ordre, de tous les impôts et les taxes, notamment les taxes contenues dans la loi de finances 2022 sur certains produits alimentaires.
De surcroit, le chef de l’État a également décidé la suppression de tous les impôts et taxe sur l’e-commerce, les téléphones portables, les matériels informatiques à usage personnel et les startups en se contentant des tarifications réglementées.
Une réponse à la polémique ?Il convient de rappeler qu’une vive polémique a éclaté, il y a seulement quelques jours, concernant les montants des taxes douanières imposées sur le E-Commerce, et notamment sur les articles électroniques commandés en ligne sur des sites étrangers.
Cela sans parler de la liste des produits importés, soumis au droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS). Face à la polémique, ou dans un souci de corriger les lacunes contenues à ce propos dans la LF 2022, les autorités ont tout bonnement décidé de revenir à la raison.
En applications des instructions du président, la Direction générale de la régulation et l’organisation des marchés au ministère du Commerce tiendra, mercredi prochain, une réunion avec les professionnels et producteurs de produits alimentaires, tels que les pâtes et le sucre, afin d’appliquer le gel des taxes et revenir aux prix appliqués en 2021.
C’est ce qu’a annoncé ce lundi, le Directeur général de la régulation et de l’organisation des marchés au ministère du Commerce Sami Kolli lors de son passage sur les ondes de la Radio nationale. Pendant ce temps-là, des experts préconisent que les taxes prévues dans le cadre de la LF 2022 soient révisées dans la loi des finances complémentaires.
Vers une révision radicale dans la loi des finances complémentaireSuite aux dernières décisions du Conseil des ministres, des experts prévoient donc que les taxes imposées sur des produits alimentaires, des activités e-commerce et des appareils informatiques, soient toutes révisées dans le cadre de la loi des finances complémentaires 2022.
Selon l’expert financier et en économie Nabil Djemaâ, cité par le quotidien arabophone Echaab, « la loi des finances 2022 contenait plusieurs irrégularités, notamment en ce qui concerne les taxes douanières imposées sur plusieurs produits ». Selon lui, certaines de ces taxes « touchent au pouvoir d’achat des citoyens et d’autres aux efforts de développement et de généralisation de la numérisation ».
L’intervenant estime que « l’Algérie peut jouer la carte des prix du pétrole afin d’investir dans le développement de la numérisation et sa généralisation dans de nombreux secteurs ». À ce propos, il préconise de profiter de la hausse des prix du pétrole par rapport au prix de référence fixé dans la loi de finances.
En effet, il suggère qu’au « lieu d’imposer des taxes douanières sur les appareils informatiques, on peut profiter de la différence du prix de référence du pétrole dans la loi de finances par rapport au prix actuel ». Il convient de rappeler que les prix du pétrole dépassent actuellement les 95 dollars le baril, alors que la loi de finances 2022 table sur un baril à 45 dollars et un prix du marché du baril à 50 dollars.
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La pandémie du Covid-19 a touché négativement pleins de secteurs. Avant d’arriver à la conclusion qu’on ne peut que coexister avec le coronavirus tout en respectant un protocole sanitaire et des mesures préventives visant à l’endiguer, tout a été mis « on hold » notamment le trafic aérien.
Le trafic aérien a enregistré une baisse considérable de 40% en Algérie par rapport à 2019 avant le début de la pandémie du Covid-19. Algérie Presse Service a révélé les chiffres avancés par Youcef Safir, le directeur général de l’Etablissement national de la navigation aérienne (ENNA), et le constat est amer.
En effet, le recul de la navigation aérienne a engendré la baisse de 50% en 2020 et 45% en 2021 du chiffre d’affaire de l’ENNA qui avoisinait 13,22 milliards DA en 2019, une véritable chute dans les chiffres dans un secteur viscéral dans l’économie nationale. Ce n’est pas tout, car il a prévu une baisse de 40% du chiffre d’affaire en 2022 par rapport aux niveaux enregistrés avant la pandémie (2019).
L’impact négatif persiste en 2022Les compagnies aériennes du monde entier ont été durement frappées par la pandémie. La preuve en est, la crise financière à laquelle la compagnie aérienne nationale Air Algérie fait face avec plus de 500 000 billets à rembourser et un programme très réduit. Bien que le secteur souffle à nouveau en 2022 et effectue un retour progressif à la vie normale, il est encore très fragilisé.
Selon les prévisions de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), le trafic aérien mondial retrouverait entre 69 % et 74 % de son niveau d’avant crise en 2022, contre 51 % en 2021 et 40 % en 2020. Avec les assouplissements des conditions d’entrée et la décrue de la pandémie, les voyages pourront se multiplier et faire un bond qualitatif.
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Après une attente qui a dépassé deux ans et demi, un couple algérien s’est impatienté et a décidé de poursuivre Immigration Canada en Justice. En effet, Nidhal Chaabena et Amira Meslem n’ont reçu aucune réponse de la part de ce ministère, depuis l’expiration de leur permis de travail dont le délai de renouvellement semble être très long.
Selon le règlement d’Immigration Canada, le délai pour l’obtention d’une résidence permanente est de deux ans et 4 mois. Cependant, le délai ne semble pas être respecté, car le couple en question a été contraint d’attendre plus de 32 mois.
Attendant un bébé au cours des prochains mois, Amira et Nidhal n’ont pas eu d’autres choix que d’avoir recours à la justice pour dénoncer ce délai déraisonnable.
Selon le média canadien ayant relayé l’information, le gouvernement fédéral justifie le dépassement des délais de l’obtention de la résidence permanente au Canada par plusieurs raisons. En effet, la pandémie a imposé le mode de travail à distance pour plusieurs employés alors que le système informatique est obsolète.
“Je sais que les délais de traitement ont été incroyablement frustrants pour de nombreuses personnes. Aider les clients à venir rapidement au Canada, avec des délais de traitement prévisibles et une communication efficace avec IRCC, demeure pour moi une priorité absolue”, a déclaré le ministre de l’Immigration à la fin du mois dernier.
Par ailleurs, le premier reportage qui a été publié concernant cette affaire, la poursuite judiciaire qu’Amira et Nidhal ont entamé semble être fructueuse. En effet, le jeune couple algérien a reçu une invitation pour un examen médical, étant une étape essentielle pour l’obtention d’une résidence permanente. Cependant, la prise de conscience soudaine d’Immigration Canada qui a ignoré le couple pendant plus de deux ans n’a pas suffi pour que ce dernier renonce à son recours à la justice.
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C’est depuis 2014 que les Algériens attendent la reprise de l’importation des véhicules neufs et la baisse des prix des voitures d’occasions. Les dernières déclarations du ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, ont enterré les espérances des plus optimistes.
Le ministre a clairement fait savoir, dans une déclaration accordée à l’APS, que le retour de l’importation des véhicules « doit aller de paire avec la relance d’une véritable industrie mécanique orientée, au début, vers le marché national avant d’explorer d’autres voies d’exportation une fois maîtrisée ». Le ministre, qui ne dit pas que l’industrie nationale de l’automobile est au point zéro, laisse entendre de ce fait que le retour de l’importation est encore loin.
L’autre point que le ministre a évoqué est celui de l’écologie. Ahmed Zeghdar a déclaré que “la nouvelle stratégie tracée pour l’industrie automobile tient en compte la fabrication de véhicules électriques et hybrides, au diapason de l’évolution des voitures à moyen et à long terme, et ce, pour cadrer avec les objectifs de la transition énergétique adoptée dans plusieurs pays à travers le monde”.
Importation de véhicules : Zeghdar veut-il gagner du temps ?Pour Zeghdar, l’importation des véhicules, « est principalement à l’origine de l’hémorragie de devises ». Cette déclaration intervient au moment où les prix du pétrole ont atteint leur plus haut niveau depuis 2014, l’année ou l’importation des véhicules a été suspendue.
Il est à rappeler que le même responsable a affirmé que le nouveau cahier de charges sera prêt la fin du mois de janvier écoulé. Zeghdar rectifie son tir et assure cette fois que le cahier des charges a été révisé “en application des instructions du président de la République”, sans s’aventurer cette fois à donner une échéance quant à sa publication.
Le dossier du retour de l’importation de véhicules traine depuis plus de deux ans. Les concessionnaires, qui s’attendaient à du nouveau lors de ce début d’année 2022, ont été frappés par la dernière sortie du ministre. Ils dénoncent «l’absence d’une volonté d’accorder les agréments, et ce, malgré les instructions du président».
Les concessionnaires ont, dans une énième lettre formulée par le groupement des concessionnaires automobiles, en guise de réponse au ministre de l’Industrie, exprimé leurs «inquiétudes quant aux mesures qui vont à l’encontre des instructions du président de la République qui avait insisté, en décembre dernier, sur la nécessité d’accélérer la délivrance des agréments».
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Les femmes sont de plus en plus courageuses pour dénoncer les agressions et les menaces. Cette dénonciation est souvent le détail qui les sauvent de la violence, de l’insécurité et de la mort.
Le 5 janvier dernier, Ahmed Kahlouche, un Algérien en situation irrégulière âgé de 27 ans a commis un acte odieux et irréversible, une scène choquante que la police a du voir et que sa femme et son bébé ont du vivre. En effet, les policiers se sont présentés chez la maman à Lille, où ils l’ont trouvé figée avec un bébé dans les bras avec des vêtements gorgés d’essence. Elle tente tant bien que mal de leur raconter ce qui s’est passé, son conjoint l’a menacé elle et son enfant d’immolation.
Elle raconte difficilement les moments d’horreur qu’elle a vécus, son mari avait un bidon d’essence qu’il versait sur elle. Ahmed Kahlouche, son époux, avait sorti son briquet, l’a allumé et ne cessait de lui répéter « je te brûle », il est sorti à cause des pleurs de son bébé. Les policiers partent à la recherche d’Ahmed et le trouvent grâce à la géolocalisation de son téléphone.
Un déni sans pareilLe journal La voix du nord raconte comment s’est déroulé la garde à vue de l’Algérien. Il a évoqué « une histoire virtuelle » pour démentir sa femme, il nie totalement toute acte de violence et explique l’odeur envahissante de l’essence par son travail, il est mécanicien.
Comme de coutume, les agresseurs passent rarement aux aveux, ils nient jusqu’au bout. Sauf que leur innocence est vite estompée par les preuves, dans ce cas là les messages adressés à sa femme du genre «je te tue pour ce que tu fais», « t’es morte ! », « je te jure je vais te tuer ! ». Devant les enquêteurs, il continue à se dédouaner expliquant que les messages n’étaient que du second degré. Avec sa défense douteuse, il passe à une autre technique, le silence.
La procureure réclame une peine sévère afin de le sanctionner de façon aussi grave que les faits. Ahmed Kahlouche est donc condamné à 8 ans de prison avec maintien en détention, il perd l’autorité parentale totale sur sa fille et il est interdit définitivement du territoire français.
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À l’approche du mois sacré, les Algériens commencent déjà à sentir les flambées des prix. À l’exemple des viandes, les prix ont connu ces derniers jours des hausses exorbitantes. En prévision du mois de Ramadhan, l’Algérienne des viandes promet un seuil.
Intervenant ce lundi sur les ondes de la Radio nationale, Président-Directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR) Lamine Derradji affirme que son organisation compte mettre au point un dispositif spécial pour le mois de Ramadhan.
En effet, en prévision des pics de consommation de ce produit durant le mois sacré, la filiale du Groupe public agro-logistique (AGROLOG), compte renforcer son réseau commercial à travers le pays. Et ce à travers « l’ouverture de 150 points de vente dans plusieurs wilayas ».
L’ALVIAR compte également proposer « des prix étudiés, qui ne dépasseraient pas 1.300 Da pour la viande ovine et 1.200 Da pour la viande bovine ». D’ailleurs, l’intervenant a fait savoir que la filiale du groupe agro-logistique a importé « 4.000 bovins dédiés à l’abattage spécialement pour le mois de Ramadhan ».
Flambées des prix de la viande : l’explication de l’ALVIARRevenant sur les dernières flambées des prix des viandes rouges ces derniers jours, l’invité de la Radio estime que cela revient à « la sécheresse enregistrée, et qui a fortement réduit les espaces de pâturages et les zones de parcours »,
En outre, et dans le souci de lutter contre la spéculation, l’Algérienne des viandes suggère aux éleveurs « des conventions triangulaires avec l’OAIC, ce qui permet de leur assurer un approvisionnement en orge subventionné ».
Ces derniers doivent, en contrepartie destiner « la totalité de leur production à l’ALVIAR, qui s’assure, à travers son réseau commercial, que la viande soit vendue au consommateur final à un prix plus accessible, conforme à la subvention accordée par l’État ».
À ce propos, Lamine Derradji indique que « ce nouveau dispositif de convention triangulaire a déjà attiré quelque 200 éleveurs adhérents, ce qui représente un cheptel de plus de 20 000 têtes ».
Par ailleurs, il explique que « le marché est perturbé par les éleveurs saisonniers, qui ne disposent pas d’un cheptel permanent ». Ces derniers optent pour l’achat « des têtes à l’approche des périodes de forte demande, telles que Ramadan et l’Aïd », a-t-il souligné.
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Auteur d’une très haute performance lors de chaque rencontre disputée, avec son club professionnel comme avec sa sélection nationale, le talentueux défenseur des Verts, Ramy Bensebaini, ne cesse d’être sous le feu des projecteurs.
En effet, l’international algérien du club allemand Borussia Möchengladbach continue toujours de briller et de susciter l’intérêt de grands clubs étrangers, notamment européens.
Bensebaini brille avec Borussia MöchengladbachCe dernier, a fait preuve d’une excellente performance lors du dernier match avec son club face à Augsbourg en Bundesliga. Titulaire lors de ladite rencontre, le natif de Constantine s’est montré décisif dès les premières minutes du jeu, où il a fait une magnifique passe décisive à son coéquipier Hoffmann, qui s’est soldée par un joli but.
En outre, Ramy Bensebaini n’a pas manqué d’inscrire un incroyable but dans les filets de l’équipe adverse, et ce, quelques minutes seulement après sa passe décisive.
Le Fennec séduit Manchester UnitedCe grand potentiel a mis le défenseur des Fennecs dans le viseur du grand club anglais, Manchester United, c’est en tout cas ce que révèle plusieurs sources, dont le site espagnol spécialisé Fichajes.net.
Selon la même source, l’ancien joueur du Stade Rennais séduit Manchester United. Le club anglais aurait fait de Ramy Bensebaini pour le prochain mercato estival, notamment après avoir été délaissé sur son flanc gauche par un Luke Shaw et un Alex Telles en difficultés.
Ledit club n’a trouvé mieux donc que de se lancer sur la piste menant à l’Algérien, surtout que le footballeur ne cesse de performer et d’impressionner les observateurs du football européen, mais aussi mondial.
Titulaire indiscutable en Allemagne comme avec les Fennecs, Bensebaini serait la solution pour pallier aux problèmes défensifs de Manchester United. Sachant que le Borussia Möchengladbach estime son talentueux joueur à 25 millions d’euros.
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Depuis la nuit des temps, certains actes et incidents ont obligé les musulmans à se faire tout petits. Suite aux attentats en France, victimes de généralisation, ils ont longtemps étaient pointés du doigts.
Alors qu’ils ne voulaient que pratiquer leur religion et vivre le plus normalement possible, il y a toujours eu ce sentiment de malaise qui leur faisait savoir qu’ils ne sont pas les bienvenus. Bien qu’ils soient français de souche, on leur a fait croire qu’ils n’appartenaient pas à la France, qu’ils étaient étrangers chez eux et qu’ils n’étaient pas « conformes » à l’identité de la « République ».
Ne cherchant que la paix, ils se font de plus en plus petits, ils se recroquevillent sur eux-mêmes contre leur gré, sans pouvoir s’en défendre et en faisant leur vie dans leur « coin ». Avec la montée des idées de l’extrême droite et la haine y afférente, ils se sentent de plus en plus mal, ils ont mal à leur France.
Ce sont les regards du voisin, les débats télévisés au tour du voile et des mosquées, les agressions sur les boucheries Halal et les chuchotements dans les restaurants, si avant on insinuait, maintenant on leur dit haut et fort, oyez musulmans, vous n’avez plus votre place à l’Hexagone.
L’immigration, le sujet de la présidentielle française de 2022A l’approche de la présidentielle, tous les candidats évoquent le sujet de l’immigration qu’ils soient de gauche ou de droite, de quoi créer un malaise qui démange les immigrants et les musulmans français. Le journal américain The New York Times a dédié un papier à ce sujet intitulé « le départ silencieux des musulmans de France » soulignant les compagnes anti-immigration que les principaux concurrents du président Emmanuel Macron mènent aux portes des élections d’avril.
Le thème de l’immigration étant au cœur des programmes des candidats, soulève une question dont on connait la réponse, la France reçoit-elle le plus d’immigration en Europe ? Pour les estimations des professionnels, 10% sont musulmans, un pourcentage qui ne peut justifier l’engouement au tour d’eux notamment dans le débat politique.
La France a-t-elle instillé une culpabilité aux musulmans ?L’article de NY Times raconte l’histoire d’un Algérien musulman, Sabri Louatah qui s’est vu contraint de quitter la France pour les Etats-Unis après les attentats de 2015. “C’est vraiment les attentats de 2015 qui m’ont fait partir — j’ai compris qu’on n’allait pas nous pardonner » a-t-il confié, se remémorant les moments douloureux où on l’a traité de sale arabe et on lui a craché dessus.
Ou encore l’histoire de Amar Mekrous qui a également quitté le pays de Molière à cause de la suspicion pesante sur les Français musulmans après les attentats de 2015, il s’est installé en Angleterre, « il n’y a qu’à l’étranger que je suis français » déplore Amar.
Sachant que les actes anti-musulmans étaient en hausse de 52 % en 2020 par rapport à l’année précédente et que la montée de haine ne fait que s’accentuer, les musulmans français vont-ils partir afin de fuir la haine ?
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Pour rappel, le dollar ne valait pas plus de 80 dinars algériens en 2014. Aujourd’hui, en 2022, soit moins de 10 ans après, la monnaie étasunienne s’échange à la banque d’Algérie contre pas moins de 140 dinars algériens. Depuis le crash des prix du pétrole, le dinar poursuit à vive allure sa descente aux enfers.
En 2014, l’Euro valait 102 dinars, aujourd’hui, il est cédé à 160. Il s’agit bien entendu des cours officiels, car si l’on se penche du côté du marché noir, les choses deviennent plus volatiles, et les flambées confirment de plus en plus leur gravité. Un dollar américain est cédé au Square Port-Saïd contre 192 dinars, et l’Euro contre 217 dinars.
Au-delà du crash pétrolier, il est légitime de se demander pourquoi cette rapide dépréciation ? La réponse nous fait obligatoirement remonter à l’ère du président Chadli, quand les déboires de la monnaie nationale ont commencé. C’est en 1989 que l’Algérie a eu recours pour la première fois au FMI. Le Fonds Monétaire International a accordé un financement à l’Algérie sans aucune condition.
En 1991, l’Algérie se rapproche une deuxième fois du FMI, cette dernière exige des conditions dont la première est la dévaluation de la monnaie nationale, pour qu’elle accorde un nouveau financement. Selon le FMI, cette condition aiderait les économies titubantes à se remettre sur pied. Lors de cette période, un dollar valait 4,83 DA en 1987, En 1992 il flambe à 21,87 DA, puis à 36 dinars en mars 1994, avant d’atteindre 41 dinars fin septembre 1994.
Pourquoi laisser le dinar se déprécier ?À l’arrivée de Bouteflika au pouvoir, et après son installation, un dollar valait environ 75 dinars (l’an 2000). C’est à ce moment-là que l’économie algérienne a commencé à cueillir les fruits d’un régime de change flexible. Toujours selon le FMI, cette politique, qui consiste à laisser la monnaie nationale se déprécier davantage, favorise la diversification de l’économie et protége le pays de la volatilité des prix des hydrocarbures.
Entre l’an 2000 et l’an 2013, un dollar s’échangeait contre une marge étroite allant entre 75,25 et 77,55 DA. En 2014, le crash survient, et le dinar algérien qui était déjà au fond du trou commence à creuser. En effet, pour faire face à la baisse soudaine des prix des hydrocarbures, l’Algérie décide de poursuivre la politique du FMI qui consiste en la dévaluation et la dépréciation du dinar.
«Le gouvernement a été conseillé de déprécier la monnaie pour faire face à la masse monétaire qui se rétrécit ainsi qu’au déficit budgétaire, mais aussi pour préserver le niveau des réserves de change», indique Nemouchi Farouk, docteur en finances, à nos confrères d’El Watan. « La baisse de la valeur de la monnaie nationale, c’est la solution de facilité. La Banque d’Algérie en cherchant à régler par la dépréciation du dinar les problèmes complexes qui perdurent ne résout rien », estime pour sa part Badreddine Nouioua , Ancien gouverneur de la BCA.
Toutefois, et selon la Loi de finances 2022, la dépréciation va se poursuivre, au moins jusqu’en 2024. Le taux de change du dinar sera de 149,3 dinars pour 1 dollar américain en 2022, de 156,8 dinars pour un dollar en 2023 et de 164,6 dinars pour un Dollar US en 2024. Ce sont des perspectives sombres de la chute, que rien ne semble pouvoir arrêter, de la monnaie nationale.
Outre le problème du chômage, l’on constate de plus en plus que même ceux qui travaillent n’arrivent plus à joindre les deux bouts, à cause de la dégradation sans précédent du pouvoir d’achat.
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Avec l’approche des matchs barrages pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar, les hommes de Djamel Belmadi s’apprêtent, avec détermination et beaucoup de motivation, pour ces confrontations décisives, dans le but de participer à ce grand événement footballistique planétaire.
Djamel Belmai devrait bien préparer ses jeunes joueurs pour lesdites rencontres, prévues à la fin du mois de mars de l’année en cours, contre l’équipe camerounaise.
Le cauchemar des blessures poursuit les VertsLes Verts sont appelés donc, à faire preuve d’une bonne performance et de montrer un haut niveau lors du jeu, dans l’espoir de surmonter la déception de la Coupe d’Afrique 2021 au Cameroun, où l’Algérie a quitté la compétition lors du tout premier tour de ce tournoi.
En fait, l’élimination précoce des Fennecs de ladite CAN est intervenue à la suite d’une performance faible, voire catastrophique. Ces derniers n’ont réussi à obtenir qu’un seul point lors de trois rencontres. Ils ont fait d’abord un nul face à la Sierra Leone, pour être vaincus par la suite, par la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire, respectivement.
Cependant, le cauchemar des blessures ne cesse de poursuivre les stars de l’équipe nationale. En effet, le talentueux Fennec Adam Ounas, a été victime d’une anomalie cardiaque lors de la précédente CAN, l’empêchant ainsi à participer avec ses coéquipiers.
Ounas retrouve enfin la compétition !À la grande satisfaction de son entraîneur Djamel Belmadi, le milieu offensif des Verts a enfin pu rejoindre les entrainements avec son club italien de Naples. Une nouvelle qui pourra certainement rassurer le « Ministre du Bonheur », notamment avec l’approche des matchs barrages.
En fait, l’international algérien du Napoli, vient de retrouver les terrains de Série A, ce samedi 12 février, pour la réception de l’Inter Milan. L’Algérien a participé au match lors des dernières minutes de la rencontre, remplaçant son coéquipier Lorenzo Insigne.
Sachant que c’est son tout premier match de l’année sous le maillot de Naples, et il a disputé sa dernière rencontre le 5 janvier de l’année en cours sous le maillot des Verts, lors du match amical de préparation pour la CAN 2021 au Cameroun contre le Ghana, qui s’est soldé par la victoire des Fennecs, avec 3 buts contre 0.
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L’ancien coordinateur des services de renseignement et de la sécurité, le général-major à la retraite Bachir Tartag, devra comparaitre en compagne de 4 autres anciens officiers, le 21 février prochain devant le tribunal militaire de Blida.
Le nouveau procès qui s’ouvrira incessamment auprès de la même juridiction concerne l’affaire « de corruption et de fraude lors des élections législatives de 2017 » et l’affaire « de la prétendue fille de l’ancien président Zoulikha Nechnech alias madame Maya », rapporte le quotidien arabophone Echorouk.
Selon des sources citées par le même journal, le général-major à la retraite devra comparaitre le 21 février en compagnie d’autres officiers dont le général B.A, deux colonels et un commandant. Le frère de l’ancien président, Saïd Bouteflika devra également comparaitre, mais en tant que témoin.
Les mis en cause font face à de lourdes accusations dont « l’abus de fonction et non-respect des procédures judiciaires dans les enquêtes ». Les faits concernent, en effet, le non-respect de la voie légale par la police judiciaire lors des enquêtes et leur transfert au procureur de la République du tribunal militaire territorialement compétent.
Le juge instructeur militaire avait, début de l’année 2021, jumelé l’affaire « de corruption et de fraude lors des élections législatives de 2017 » avec celle « de la Zoulikha Nechnech ».
Retour sur les deux affaires et l’audition de TartagLa première affaire concerne les conditions dans lesquelles les fonds et les bijoux de la prétendue fille secrète du Président déchu, Mme Maya, ont été saisis lors d’une perquisition effectuée en 2017, par les officiers de la Sécurité intérieure, dans sa villa de Moretti.
La deuxième affaire est liée à El Wafi Ould Abbès, le fils de l’ex-secrétaire général du FLN, qui avait été arrêté en situation de flagrant délit, sur dénonciation du député Baha Eddine Tliba, pour avoir « monnayé » les places sur la liste des candidatures à la députation.
Lors de son audition en juin de l’année dernière concernant l’affaire madame Maya, le général Tartag avait affirmé qu’il avait appliqué les instructions du président transmises par Saïd Bouteflika, qui servait d’intermédiaire pour toute décision.
« Après avoir demandé une enquête, il m’a instruit de gérer le dossier de manière discrète, parce qu’il s’agit d’une affaire qui concerne le Président », avait-il témoigné. Et d’ajouter que « lors des perquisitions, des sommes importantes en dinar et en devise ont été saisies. Elles ne devaient pas rester à la caserne. Elles ont été déposées à la Banque d’Algérie et les documents afférents à ses dépôts existent ».
Concernant la seconde affaire, il avait affirmé avoir exécuté « les instructions du président Bouteflika, qui était le président d’honneur du FLN, et qui m’ont été transmises par son frère et conseiller Saïd. Djamel Ould Abbès, dont les deux fils ont fait l’objet d’arrestation, était le secrétaire général du FLN. Je n’ai fait qu’exécuter les ordres ».
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Selon les médias français, un franco-algérien, âgé de 75 ans répondant au nom d’Ali Saidi a disparu depuis 10 jours à Valenciennes dans le nord de la France. Le septuagénaire a été vu la dernière fois dans le tramway, portant un gilet à capuche, un polaire, un pantalon en jeans et des chaussures de sport grises et noires.
Décrit comme un homme sympathique et adorable, Ali Saidi est très respecté par ses voisins. Suite à sa disparition, sa famille a alerté le commissariat de Valenciennes qui a lancé un avis de recherche ce samedi. En signe de solidarité, une trentaine de personnes se sont lancés à sa recherche dans la commune voisine, où le disparu avait été repéré pour la dernière fois.
La famille du vieil homme disparu a exprimé sa profonde inquiétude, d’autant plus qu’il souffre de troubles mentaux. Selon Farhat Saidi, son neveu, c’est la première fois qu’il part seul ainsi.
Suicide par le feu en coïncidence avec la disparition de l’AlgérienLa disparition du vieil homme est survenue après que ses proches aient constaté un étrange changement de comportement chez lui. D’ailleurs le neveu d’Ali a déclaré : “Mon oncle s’est rendu en Kabylie (Algérie) à la fin de cette année pour fêter le réveillon. Le 31 décembre, il est rentré à Valenciennes. Mais, depuis son retour, ses troubles mentaux semblaient s’accentuaient. Il ne voulait pas retourner chez lui, il s’imaginait que des personnes viendraient le ligoter et le kidnapper.”
En plus des troubles mentaux dont souffre le septuagénaire, un drame survenu ce vendredi et coïncidant inquiète sa famille. En effet, un homme s’est suicidé par le feu à Anzin, à proximité du parc de Dampierre vers 11h30 du matin.
Craignant que ce soit lui, des proches se sont rendus dans les magasins pour vérifier s’il avait acheté du liquide inflammable le jour de sa disparition, mais, aucune conclusion n’a été tirée jusqu’à ce jour.
À rappeler que deux autres algériens ont été portés disparus l’année dernière en France, il s’agit de la jeune femme Karima disparue le 15 août 2021 et de l’octogénaire Maamar Belghali, disparue le 11 février 2021.
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Récemment, plusieurs polémiques tournent autour des étrangers en France, particulièrement les Maghrébins. On constate l’émergence de questions qu’on ne se posait pas auparavant, ont-ils leur place ici ? faut-il diminuer ou carrément arrêter l’immigration ? plusieurs questionnement pour une seule réalité, l’Hexagone ne peut se passer des immigrants.
Le podium des polémiques a été occupé par l’exode des médecins. Tout le monde en parle, les statistiques ont fait couler beaucoup d’encre et ont fait l’objet de multiples débats politiques. En effet, cela partait d’une interrogation et sa réponse, lorsque le candidat à la présidentielle française Eric Zemmour s’est prononcé sur le sujet des médecins étrangers. Sur BFM TV dans l’émission La France dans les yeux, avec 1200 médecins algériens acceptés sur un total de 2000 places disponibles, le polémiste s’est montré clairement défavorable.
Contre les médecins étrangers pour le bien des Français ?Avec 15 000 médecins algériens déjà installés en France et les nouveaux qui arrivent en masse, le journaliste politique s’est interrogé sur la place que l’on laisse pour les médecins français, » Je veux y mettre fin » avait-il déclaré. Néanmoins, Zemmour ne s’est jamais montré contre l’accueil de l’élite et des intellectuels étrangers, s’il s’y oppose cette fois-ci, c’est plutôt pour souligner les réformes que nécessite le secteur médical en France.
Zemmour développe en expliquant « depuis 30 ans, on a empêché les jeunes français de faire médecine pour un quart de point, pour un demi point. Tout ça pour aller chercher ensuite des médecins algériens, tunisiens ou marocains qu’on enlève à leurs pays, et en plus, on les paye moins. C’est un double scandale« .
Les médecins algériens « volent » la place des français ?Le Parisien a abordé ce sujet avec les témoignages et les opinions des médecins français, à l’instar de Patrick Pelloux, un praticien hospitalier qui explique qu’un grand problème de démographie médicale persiste en France, en plus d’une concurrence entre le secteur privé et le public.
D’autres partagent son avis comme Jérôme Marty, médecin et président de l’Union française pour une médecine libre qui a fait savoir que les étrangers n’occupent que 30% des emplois, et qu’ils ne prennent en aucun cas les places des français, notamment à cause d’un quota limité de 8% pour les étrangers. Il déclare dans le même contexte que l’Hexagone ne peut se passer des médecins étrangers, cela engendrera la fermeture des hôpitaux.
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Le porte-conteneurs Imedghassen de la compagnie algérienne Global maritime Algérie (GMA), qui était sous saisie conservatoire à Sète en France depuis le 9 novembre 2021, a accosté hier dans le port d’Alger. C’est le procureur général près la Cour d’Alger, Mourad Sid Ahmed qui a annoncé, hier dimanche, la récupération du navire « Imedghassen ».
Selon le procureur, le navire « Imedghassen » a été détourné à l’étranger au moment où il faisait l’objet d’une saisie judiciaire dans le cadre d’une enquête de corruption. Suite à cette « récupération », un mandat de dépôt a été prononcé contre l’accusé principal tandis qu’un autre mis en cause a été mis sous contrôle judiciaire.
Il s’agit d’une affaire de « récupération de biens et avoirs issus des affaires de corruption », a déclaré le procureur hier dimanche lors d’une conférence de presse tenue dans la capitale Alger. Mourad Sid Ahmed assure que « cette affaire largement relayée sur les réseaux sociaux fait l’objet de suivi par les hautes autorités du pays ».
Un navire de 18 millions de dollarsLe même intervenant a fait savoir, lors de cette même conférence de presse, que « la valeur du navire Imedghassen est de 18 millions de dollars et faisait l’objet de saisie suite à une enquête judiciaire dans une affaire de corruption ». C’est suite à cette enquête que « que l’affréteur le détourne vers l’étranger, d’où sa saisie dans un port étranger », accuse le procureur.
Le principal accusé qui n’est qu’un « directeur d’une société privée », confie le procureur, qui précise que le mise en cause « a été placé en détention provisoire » suite à une enquête sur l’affaire lancée le 23 janvier 2022. Un autre accusé a été mis sous contrôle judiciaire.
Les responsables de ce détournement font face à plusieurs chefs d’inculpations liés au « recel d’avoirs criminels issus des affaires de corruption et du blanchiment d’argent », explique le procureur prés la cour d’Alger.
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Les matchs barrages Zone Afrique pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar s’annoncent bientôt. Il s’agit, en effet, d’une double confrontation aller-retour, qualifiée de « décisive », qui déterminera les cinq sélections africaines, parmi dix, pour jouer au grand tournoi footballistique du monde entier.
Sur ce, le tirage au sort a révélé que la sélection camerounaise sera l’adversaire de l’équipe nationale pour ces matchs en question. Une rencontre qui s’annonce déjà enflammée, regroupant deux grandes sélections du continent africain.
Le stage des Verts dans un pays voisin du Cameroun ?Pour la date des matchs barrages, ces derniers sont prévus la fin du mois de mars de l’année en cours. Les hommes de Djamel Belmadi vont tout d’abord se déplacer au Cameroun pour la rencontre aller, avant de rejoindre le territoire national pour le match retour, prévu au Stade de Blida, Mustapha Tchaker.
À cet effet, l’APS a révélé que les protégés de Djamel Belmadi devraient organiser leur stage d’acclimatation dans un pays limitrophe du Cameroun, à partir du 21 mars en Guinée équatoriale, au Gabon ou au Congo.
Selon la même source, cette décision est prise par le sélectionneur national Djamel Belmadi dans le but de permettre à ses joueurs de s’acclimater avec le temps chaud et humide de l’Afrique centrale.
Bouhanika critique la décision de BelmadiToutefois, cette décision ne semblrait pas être au goût d’un présentateur d’une émission sur la chaine arabophone El Heddaf. Il s’agit bel et bien de Redouane Bouhanika.
Dans une émission sur la chaine sportive en question, ledit présentateur a fortement montré son opposition à l’égard de la stratégie du « Ministre du Bonheur ». Ce dernier juge, en fait, que le stage des Fennecs dans un pays limitrophe des Lions Indomptables sera impossible en raison du manque de temps.
« On parle ici d’un stage au Nigeria, au Gabon ou autre. Les joueurs arrivent le 21 et jouent le 24. Comment peut-on faire le stage dans un pays limitrophe ? C’est impossible. Les joueurs n’ont que 48 heures. », affirme Bouhanika, qui estime que le temps est très serré pour programmer un stage dans un pays voisin du Cameroun et commencer les entraînements, pour revenir par la suite, au pays des Lions Indomptables.
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Les amoureux du ballon rond du monde entier, notamment du continent africain, seront au rendez-vous à partir de ce dimanche 9 janvier, avec la compétition footballistique africaine, la Coupe d’Afrique des Nations.
Le tournoi se déroulera à partir de ce dimanche au Cameroun, et s’étalera jusqu’au 6 février de l’année en cours. À cet effet, la délégation des Verts s’est envolée aujourd’hui vers le pays organisateur de ce championnat africain, afin de se lancer dans l’aventure.
Aujourd’hui, le journal sportif L’Équipe a dédié un article spécialement pour désigner les équipes nominées à remporter le prestigieux trophée de la CAN.
Le nom « Algérie » a figuré en tête de la liste de nominations, contenant plusieurs autres grandes équipes. En effet, selon ledit journal, les Fennecs sont le principal nominé et le sacré favori de cette compétition africaine.
Cela revient sans doute à la haute performance présentée par les hommes de Djamel Belmadi, mais aussi grâce à leur grand jeu d’équipe, qui les a permis d’atteindre une sacrée série d’invincibilité de 34 matchs invaincus.
» Le champion d’Afrique, invaincu en 34 rencontres, n’a guère faibli depuis sa prise de pouvoir, il y a deux ans et demi en Égypte « , a affirmé le média français.
Quelle place pour le Sénégal, le Maroc et le Cameroun ?Dans le même sillage, L’Équipe a placé le Sénégal comme deuxième candidat, tandis que le Maroc et le Cameroun ont partagé la troisième place.
Ainsi, la même source a classé en bas de la liste, les sélections du Mali, l’Égypte, la Tunisie, la Côte d’Ivoire, le Nigéria et le Ghana, comme candidats moins dangereux.
Rappelant que la 33e édition de la Coupe d’Afrique des Nations donnera son coup d’envoi ce dimanche 9 janvier, par le match opposant le Cameroun et le Burkina Faso. Les Verts disputeront leur première rencontre le mardi 11 janvier face à leurs homologues de la Sierra Leone, au Stade Japoma à partir de 14 heures (heure locale).
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Le bilan des contaminations au nouveau variant Omicron augmente en Algérie. Hier, l’Institut Pasteur a annoncé 29 nouveaux cas, ce qui porte le total à 63 cas d’Omicron. Malgré cette situation, la suspension ou la réduction des vols internationaux n’est pas abordée.
L’information a été donnée ce samedi 8 janvier 2022 par le membre du Comité scientifique chargé de suivi de l’évolution de l’épidémie du coronavirus, le Dr Lyes Akhamouk dans une déclaration à la presse en marge du séminaire national sur la modernisation du système de santé tenu à Alger.
Selon lui, « la suspension des vols internationaux est écartée pour le moment, d’autant que la mesure de fermeture de l’espace aérien n’a pas prouvé son efficacité devant les différents variants du coronavirus ».
Cependant, le même responsable a évoqué la possibilité de généralisation du pass sanitaire pour d’autres espaces comme deuxième étape. S’exprimant sur le variant Omicron, le spécialiste affirme qu’il sera prédominant en Algérie d’ici à la fin du mois en cours.
Vers le retour au confinement dans certaines wilayas ?Dans le même contexte, le membre du Comité scientifique annonce le durcissement prochain des mesures sanitaires dans les écoles. En outre, l’intervenant n’a pas écarté le retour au confinement partiel dans certaines wilayas et communes qui connaitront des nombres importants de contaminations.
Pour rappel, l’Institut Pasteur d’Algérie a annoncé durant la soirée d’hier la détection de 47 nouveaux cas du variant Omicron (B.1.1.529), confirmés au niveau du Laboratoire de référence de l’Institut, sur tests PCR positifs des concernés.
Selon la même source, 11 cas parmi les 47 ont été enregistrés dans la wilaya de Constantine. Ces derniers représentent des retours de voyages de France, de Turquie et du Royaume-Uni.
Pour les autres cas, à savoir « 29 cas de la wilaya d’Alger, 06 cas de la wilaya de Béjaïa et 01 cas de la wilaya de Bouira », ils représentent des personnes ayant été en contact avec des cas confirmés précédemment.
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Le public sportif algérien, mais aussi africain, est impatient quant au lancement officiel de la grande compétition footballistique du continent, la Coupe d’Afrique des Nations.
Prévu initialement en 2021 au Cameroun, ce tournoi africain a fini par être reporté pour janvier 2022, et ce, à cause de la situation sanitaire alarmante qu’a connu le monde.
Sur ce, les équipes africaines qualifiées s’annoncent prêtes au défi, notamment face à une certaine sélection Championne d’Afrique en titre, mais aussi qui enchaine une série monstrueuse de 34 matchs sans défaite.
À cet effet, la Télévision Nationale Algérienne, dans un communiqué rendu public, a dévoilé son obtention des droits de diffusion des matchs des Verts tout au long de la Coupe d’Afrique au Cameroun.
» Afin d’offrir un service qui réponde aux attentes du public algérien, l’ENTV assurera la retransmission des matchs de l’équipe nationale d’Algérie tout au long de la CAN au Cameroun « , peut-on lire dans ledit communiqué.
En outre, la même source fait savoir qu’elle assurera également la diffusion du tout premier match de la CAN, prévu ce dimanche 9 janvier, opposant le Cameroun et le Burkina Faso, ainsi que le match de la finale.
Bein Sport assure la diffusion des matchs de la CANDans le même sillage, la chaine sportive Bein Sports va à son tour, assurer la diffusion des matchs de la compétition africaine de football. Cette dernière a programmé pour le dimanche, la diffusion du premier match entre le Cameroun et le Burkina Faso, prévu à partir de 17 heures, dans sa chaine 2, ainsi le que match réunissant l’Éthiopie et le Cap-Vert sur sa chaine 6, à 20 heures.
Pour le lundi, la même chaine a programmé les rencontres opposant le Sénégal au Zimbabwe, la Guinée au Malawi, le Maroc au Ghana et les Comores au Gabon, et ce, à partir de 14 heures jusqu’au 22 heures du soir.
Le mardi sera sans doute le jour exceptionnel, pour cause : les Champions d’Afrique vont jouer leur premier match face à la Sierra Leone à 14 heures. À cet effet, Bein Sport a opéré sa diffusion, mais aussi le reste des rencontres, opposant le Nigeria à l’Égypte et le Soudan à la Guinée-Bissau, prévues respectivement, à 17 heures et à 20 heures.
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Si le variant Delta est considéré comme le responsable de la 3e et 4e vague du Coronavirus en Algérie, le nouveau variant baptisé Omicron pourra bien prendre sa place et anticiper l’arrivée de la 5e vague qui pourrait, selon Professeur Lounici, « anéantir le système de santé algérien ».
C’est ce qu’a laissé entendre, le Chef du service de médecine interne au CHU de Tlemcen et membre du conseil scientifique de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire, le Professeur Ali Lounici.
Dans une déclaration à Algérie360, le spécialiste confirme que la quatrième vague que traverse l’Algérie actuellement est provoquée par le variant Delta. Dans le même sillage, le Pr Ali Lounici a tenu à mettre l’accent sur le danger du nouveau variant Omicron qui commence déjà à prendre place.
D’emblée, il indique que l’image relayée par les médias concernant le variant Omicron, est qu’il n’est pas fatal et sans conséquence grave. Cependant, il souligne que ce même variant « est en train de mettre à genou les systèmes de santé européens, et ce, par le nombre élevé des hospitalisations ».
Selon lui, le variant Omicron est, certes moins grave, mais il se propage en revanche très rapidement. Citant l’exemple de l’Europe, notre interlocuteur estime que c’est « le taux de vaccination qui dépasse les 80% et l’accélération de la 3e dose, qui aident leurs systèmes à tenir », face à Omicron.
5e vague et variant Omicron : à quoi faut-il s’attendre en Algérie ?Pour ce qui est de l’Algérie, le spécialiste cite deux cas de figure ; un scénario comme celui qu’a connu l’Afrique du Sud ou le scénario européen. Si l’Algérie fera face au variant Omicron comme l’avait connu l’Afrique du Sud, « on est sauvé », car ce variant s’y était montré plus clément qu’en Europe.
En revanche, le spécialiste estime que si le scénario européen se produit en Algérie, « on est foutus », notamment si l’on prend en considération « la vaccination qui est en retard ». D’ailleurs, il ajoute « qu’il vaut mieux craindre le pire et se préparer avec la vaccination ».
Ainsi, l’intervenant estime que « s’il y a l’Omicron avec une 5e vague ou un télescopage des deux vagues, notre système de santé va complètement être à genou ». Autrement dit, il explique que si la 5e vague de l’Omicron intervient en Algérie sous la forme européenne, ça sera catastrophique.
En conclusion, le Pr Ali Lounici estime que la vaccination est la solution idéale, pour faire face au variant Omicron et tout ce qu’il pourra engendrer sur la santé publique et le système sanitaire de l’Algérie.
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Les chiffres de suivi de l’évolution de l’épidémie du coronavirus en Algérie ne cessent de grimper. Ce samedi 8 janvier 2022, le nombre de contaminations a enregistré une nouvelle baisse, tout en restant au-dessus de la barre des 400 cas.
Dans son dernier bilan établi sur les dernières 24 heures, rendu en cette fin de journée, le ministère de la Santé a fait état de 426 nouveaux cas de contamination. Hier, le nombre des nouveaux cas de Covid-19 était de 491.
Le nouveau bilan a également fait état de 218 nouveaux cas rétablis de la maladie. Hier, le nombre des guérisons avait atteint les 294. Pour les décès, le bilan d’aujourd’hui indique 5 morts contre 7 décès du Covid-19 hier.
Pour ce qui est des cas graves hospitalisés à travers le territoire national, le ministère de la Santé a annoncé que 35 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source.
Avec ces nouveaux chiffres, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 221 742, celui des décès 6 330 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 152 116 cas.
Variant Omicron : l’Algérie totalise 63 cas confirmésDans le cadre de la continuité des activités de séquençage, l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) a annoncé durant la soirée d’hier vendredi 47 nouveaux cas du variant Omicron du coronavirus. Ces nouveaux cas ont été confirmés au niveau du Laboratoire de référence de l’Institut, sur tests PCR positifs.
Les nouveaux cas du variant Omicron sont repartis comme suit : « 29 cas dans la wilaya d’Alger, 06 cas dans la wilaya de Béjaïa, 01 cas dans la wilaya de Bouira, représentant des personnes ayant été en contact avec des cas confirmés précédemment ».
Il s’agit également de « 11 cas dans la wilaya de Constantine représentant des retours de voyages de France, de Turquie et du Royaume-Uni ». Ainsi, « l’Algérie enregistre à ce jour un total de 63 cas confirmés de ce variant ».
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