You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 months 1 week ago

Constantine: fête annuelle de la distillation de l’eau de rose et de la fleur d’oranger

Thu, 26/04/2018 - 01:49

CONSTANTINE – La fête de la distillation de l’eau de rose et de fleur d’oranger, une tradition intemporelle à Constantine, a été lancée mardi depuis le palais de la Culture Mohamed Laid Al Khalifa dans une ambiance des plus festives.

Marquant la reviviscence de la nature dans l’antique Cirta, la fête a donné lieu à une exposition des équipements utilisés traditionnellement pour la distillation, où le suave parfum de plusieurs variétés de pâtisseries aromatisées à l’eau de fleur d’oranger ou à l’eau de rose a suscité un vif intérêt de nombreux visiteurs, ravis de renouer avec une fête, désormais tradition dans la cité.

Organisée par la Direction locale de la culture, en coordination avec l’association El Baha des arts et des cultures populaires, à l’occasion du mois du patrimoine de la ville du Vieux Rocher, l’exposition, constituée de nombreux stands, met en valeur les différents ingrédients et autres équipements de distillation.

Elle réunit jusqu’au 3 mai prochain, des artisans spécialisés de Constantine, mais aussi de Tunisie, où l’eau de rose et l’eau de fleurs d’oranger sont tout aussi appréciées.

Selon le directeur local de la culture, Zitouni Laribi, la fête de la distillation de l’eau de rose et de la fleur d’oranger s’inscrit dans le cadre de la célébration et la préservation d’un patrimoine immatériel de Constantine, soulignant que pour cette année, la distillation concernera également d’autres plantes aromatiques, « pour encourager les artisans à entretenir et préserver ce domaine ».

Mettant en avant l’apport de ce savoir-faire ancestral, transmis de génération en génération, le même responsable a souligné que cette année la distillation d’eau de fleurs d’oranger et de rose est « en live » devant le public.

Rituel incontournable dans les traditions populaires constantinoises, la distillation d’eau de fleurs d’oranger et de rose marquant l’arrivée de la saison du printemps à l’antique Cirta, demeure jalousement sauvegardée et soigneusement pratiquée par les familles constantinoises.

Pratique ancestrale, les artisans de la distillation de l’eau de fleurs d’oranger et de rose utilisent un qettar (alambic) composé d’une partie inférieure que l’on appelle « tandjra » (un grand récipient en cuivre) dans laquelle est mise une kouba (boule) de roses, et d’une partie supérieure nommé « Keskas » (sorte de passoire à cuisson), généralement en tôle, remplie d’une eau portée à ébullition, a-t-on noté.

En s’élevant, la vapeur dégagée s’imprègne au passage des principes odorants des roses et les entraîne dans un serpentin où un système de réfrigération permet sa condensation, puis l’essence de l’eau de rose, « rass el qettar », est récupérée dans une meguelfa (une sorte de fiasque recouverte en paille).

La fête de la distillation c’est aussi l’occasion de revisiter l’art culinaire de la cité bimillénaire, l’eau de fleurs d’oranger et de rose est très présente dans sa gastronomie locale.

Au hall du palais Mohamed Laid Al Khalifa, les petits délices parfumés au « ma ouard » (eau de rose), M’chelouech, de Shbah Essafra, de R’fiss, de Taminet el louz, et T’charek, notamment sont proposés aux visiteurs reflétant les multiples saveurs de la ville.

The post Constantine: fête annuelle de la distillation de l’eau de rose et de la fleur d’oranger appeared first on .

Categories: Afrique

L’utilisation des Smartphones à un âge précoce, un phénomène qui prend de l’ampleur

Thu, 26/04/2018 - 01:40

ALGER – Les opérations de sensibilisation menées par les cellules d’écoute et de communication de la sûreté d’Alger à travers des écoles de la capitale contre les risques de mauvaise utilisation de l’internet ont permis de relever le développement du phénomène d’utilisation des appareils smartphones à un âge précoce chez les enfants, a indiqué le Lieutenant de police, Mohamed Nadjib Gharssalah de la direction de la police judiciaire.

Les campagnes de sensibilisation menées à travers des écoles d’Alger ont permis aux éléments de la sûreté de relever le développement du phénomène d’utilisation des appareils (téléphones et ordinateurs) à « un âge précoce » chez les enfants, qui excellent même dans les jeux virtuels destinés aux jeunes de plus de 18 ans, ce qui constitue une menace pour leur santé physique et psychologique, a déclaré à l’APS le Lieutenant de police, Mohamed Nadjib Gharsallah du service central de lutte contre les crimes liés aux technologies de l’information et de la communication (TIC), en marge d’une journée de sensibilisation, organisée par la sûreté de la 13e circonscription de Dar El Beïda à l’école primaire Krim Belkacem sur les risques de la mauvaise utilisation d’internet.

Les enfants, même ceux scolarisés au primaire, ont accès aux réseaux sociaux, a-t-il indiqué, soulignant la nécessité de leur prodiguer des conseils pour les protéger des risques de ces réseaux.

Bon nombre d’enfants maitrisent des jeux virtuels « destinés aux jeunes de plus de 18 ans », a-t-il fait savoir, soulignant que les parents doivent contrôler les contenus auxquels les enfants ont accès pour éviter les effets néfastes du réseau Internet.

Lors de cette journée de sensibilisation, les élèves de l’établissement Krim Belkacem ont bénéficié d’ateliers interactifs lors desquels les éléments de la sureté ont évoqué plusieurs points relatifs à la mauvaise utilisation d’Internet, permettant aux élèves de prendre connaissance des dangers de la route et des moyens d’éviter les accidents de la circulation.

Cette rencontre de sensibilisation s’inscrit dans le cadre de l’action périodique des cellules d’écoute et de communication, menée tout au long de l’année au profit des élèves des trois paliers d’enseignement, a précisé le chef de la cellule d’écoute au niveau de la circonscription de Dar El Beida, le lieutenant de police, Saoudi Salma, ajoutant que des explications et des conseils avaient été prodigués aux élèves, outre la distribution de supports pédagogiques et de dépliants évoquant les thèmes débattus.

De son côté, la directrice de l’école primaire Krim Belkacem, situé à Dar El Beida, Mme Meziani Dalila, a estimé que l’organisation de cette journée, constituait « un cours de plus » pour les élèves de son établissement, qui ont été très attentifs aux explications des éléments de la sureté, en dépit de leur jeune âge, soulignant que cette action de sensibilisation vient compléter le travail de l’enseignant, de l’éducateur et du parent également, afin de protéger l’élève contre les dangers qui menacent leur sécurité au quotidien et dans le monde virtuel ».

The post L’utilisation des Smartphones à un âge précoce, un phénomène qui prend de l’ampleur appeared first on .

Categories: Afrique

Un hommage au martyr palestinien « Abou Djihad »

Thu, 26/04/2018 - 01:30
Samir Mouloud


Le Forum de la Mémoire d’El Moudjahid a consacré ce mardi un hommage à celui que l’on surnomme le « Prince des martyrs », Khalil El Wazir connu sous le nom de guerre Abou Djihad.


Cette rencontre a été organisée par l’association Machaal Echahid en collaboration avec le quotidien El Moudjahid, et l’ambassade de Palestine en Algérie au siège du journal el Moudjahid à l’occasion de la commémoration du 33e anniversaire de l’assassinat d’Abou Djihad qui est commémoré le 16 avril de chaque année.


Intisar El Wazir la veuve du défunt et la présidente de la société des enfants des martyrs Palestiniens a animé le forum, marqué la présence de plusieurs personnalités historiques, des moudjahidines et des parlementaires.


Cette commémoration, selon Intisar El Wazir, doit rappeler à tous que la lutte contre le sionisme nécessite l’unification des rangs internes, elle constitue aussi le garant de l’existence même des Palestiniens et de leur capacité à faire face à l’ennemi. Elle a rappelé que ce stratège avait planifié et dirigé plusieurs actions contre l’ennemi sioniste qui ont eu pour effet de consolider l’esprit de résistance et d’unité des jeunes générations.

The post Un hommage au martyr palestinien « Abou Djihad » appeared first on .

Categories: Afrique

Claude Mangin-Asfari plus que jamais déterminée, entame sa 2e semaine de grève de la faim

Thu, 26/04/2018 - 01:23

IVRY-SUR-SEINE (Ile-de-France)- La militante française de la cause sahraouie, Claude Mangin, plus que jamais déterminée, a entamé mercredi sa deuxième semaine de grève de la faim illimitée revendiquant sans relâche son droit de rendre visite à son époux, le militant sahraoui Naâma Asfari, détenu politique au Maroc.

Claude Mangin, rappelle-t-on, a été empêchée mardi dernier par les autorités marocaines de rendre visite à Naâma Asfari, et expulsée pour la quatrième fois en deux ans.

Lors d’une conférence de presse, organisée à la mairie d’Ivry-sur-Seine, Claude Mangin, qui s’était habituée à jeûner pendant huit jours en solidarité avec son époux, s’est montrée quelque peu sceptique quant à sa capacité physique d’observer cette grève de la faim jusqu’à la satisfaction de sa revendication « légitime », garantie par la Convention de Genève en matière de droit humanitaire que le Maroc, a-t-elle dit, en est signataire.

« Je remercie le maire d’Ivry-sur-Seine qui a aménagé à la mairie un espace pour moi. Je suis suivie quotidiennement par un médecin », a-t-elle dit aux journalistes présents, précisant qu’elle commence à sentir une fièvre.

Par ailleurs, elle a indiqué qu’elle a envoyé mercredi une lettre au président Emmanuel Macron afin qu’il intervienne, sur le plan humanitaire, auprès des autorités marocaines pour l’autoriser à se rendre au Maroc.

Au cours de la conférence de presse, Claude Mangin a lu une lettre envoyée par Naâma Asfari, condamné à 30 ans de prison, qui a salué son courage.

« Ton acte n’est pas une vengeance coûte que coûte mais un appel à la réconciliation », a-t-il notamment écrit.

Le maire Philippe Bouyssou a souligné, lors de la conférence de presse, que « nous avons conscience de la gravité de notre engagement en soutenant la grève de la faim illimité de Claude Mangin », relevant que c’est « une première » dans la commune.

« Notre seul objectif est que Claude puisse rendre visite librement et le plus vite possible à son mari », a-t-il ajouté, affirmant qu’il partage la même position que Claude Mangin en matière de soutien au peuple sahraoui dans sa lutte pour l’autodétermination.

-Rendre la dignité au peuple sahraoui-

Pour sa part, le délégué général de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), Jean-Etienne de Linarès, a estimé que Naâma Asfari et le groupe des Sahraouis de Gdeim Izik sont le « symbole » du combat du peuple sahraoui, soulignant que l’interdiction par les autorités marocaines du droit de visite aux prisonniers est « la simple preuve de représailles ».

Manifestant son soutien à la gréviste de la faim, il a affirmé qu’il faut « rendre la dignité au peuple sahraoui qui se bat pacifiquement au moment où d’autres combats se manifestent par des violences », dénonçant le « silence terrifiant » des autorités françaises.

Intervenant de son côté, la présidente de l’Association des amis de la République arabe sahraouie démocratique (AARASD), Régine Villemond, a considéré que la grève de la faim de Claude Mangin est un appel à « plus de raison » aux autorités marocaines qui doivent, selon elle, « sortir de plus de 40 ans d’isolement et d’enfermement » sur la question du Sahara occidental.

« Il est temps pour le Maroc de se construire autrement que dans la haine », a-t-elle dit.

Sur un autre plan, le maire Philippe Bouyssou a indiqué qui s’était rendu mardi au château de Betz (Oise) du roi du Maroc, Mohammed VI, espérant être reçu afin de l’interpeller, a-t-il dit, sur le « désespoir » de Claude Mangin. Une vidéo diffusée dans les réseaux sociaux montre qu’il s’était déplacé au château sans être reçu par le roi et que l’ambassade lui a fait savoir qu’il était reparti au Maroc.

Le Maroc, soutenu par la France, interdit depuis des mois des visites aux prisonniers sahraouis détenus dans ses prisons, ainsi que celles des militants des droits de l’Homme. On dénombre au total 350 personnes interdites de se rendre au Maroc.

En février dernier, deux avocates, Ingrid Metton et Olfa Ouled, du groupe  des 24 militants sahraouis de Gdeim Iziz, détenus au Maroc depuis plus de  sept ans, ont été interdites d’entrer au Maroc.

Les deux avocates, du barreau de Paris, qui avaient défendu les militants  sahraouis lors des audiences de leur procès en appel, entre janvier et mai  2017, à la Cour d’appel de Rabat-Salé, ont voulu rendre visite à leurs  clients suite à des informations faisant état des mauvais traitements  qu’ils auraient subis en prison, rappelle-t-on.

Dix-neuf militants sahraouis, rappelle-t-on encore, ont été lourdement  condamné le 19 juillet 2017, au terme de ce procès où les seules preuves  présentées restent des aveux signés sous la contrainte. Les prisonniers  politiques sahraouis ont été dispersés dans 7 prisons à travers le  territoire marocain.

The post Claude Mangin-Asfari plus que jamais déterminée, entame sa 2e semaine de grève de la faim appeared first on .

Categories: Afrique

Palestine: un journaliste touché par des tirs de l’occupant israélien succombe à ses blessures

Thu, 26/04/2018 - 01:12

GHAZA – Un journaliste palestinien touché par des tirs de soldats d’occupation israéliens lors de manifestations dans la bande de Ghaza a succombé à ses blessures, ont indiqué sa famille et les autorités locales mercredi.

Ahmed Abou Hussein, 25 ans, atteint par balle le 13 avril, est le deuxième journaliste palestinien tué depuis le début le 30 mars d’un vaste mouvement de protestation appelé « la marche du retour ».

Ahmed Abou Hussein travaillait pour la station palestinienne « Radio Shaab » et comme photographe pour un autre organe de presse.

Sa mort porte à 41 le nombre de Palestiniens tués par des tirs de l’occupant israélien dans la bande de Ghaza depuis le 30 mars.

Des dizaines de milliers de personnes se rassemblent depuis cette date à Ghaza pour revendiquer le droit des Palestiniens de retourner sur les terres dont ils ont été chassés ou qu’ils ont fuies en 1948.

Le mouvement, prévu pour durer jusqu’à mi-mai, dénonce aussi le blocus israélien imposé à Ghaza.

The post Palestine: un journaliste touché par des tirs de l’occupant israélien succombe à ses blessures appeared first on .

Categories: Afrique

Hattab: nécessité de rationaliser l’utilisation des TIC par les jeunes

Thu, 26/04/2018 - 01:12

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab a souligné mardi à Alger la nécessité d’accompagner les jeunes et de rationaliser leur utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC), en les incitant à s’éloigner des sites qui véhiculent des messages violents.

« La révolution des TIC et le numérique est à l’origine des changements profondes opérés dans les sociétés rabes », a affirmé le ministre lors d’une rencontre arabe sur « l’utilisation des contenus numériques et la prévention contre des attitudes véhiculant la violence en milieu de jeunes », appelant à la nécessité de « rationaliser l’utilisation des TIC ».

Le ministre a appelé, par ailleurs, à investir dans la jeunesse qu’il convient d’orienter au service du développement durable dans le monde arabe et en vue d’être au diapason des développements en cours.

« L’Algérie n’est pas à l’abri de ce qui ce passe dans le monde », a indiqué le ministre qui a ajouté que « les enjeux à venir, mettent le pays devant le défi d’une mondialisation dangereuse.

Dans un contexte pareil, le ministre de la Jeunesse et des Sports à une meilleure adaptation à cette évolution technologique énorme et à préserver l’immunité de notre société en contrôlant ces technologies.

Par la même occasion, le ministre a rappelé le nombre d’utilisateurs d’Internet en Algérie, qui a dépassé 33 millions d’utilisateurs sur un total de 42 millions d’habitants, dont 19 millions utilisant les réseaux sociaux, « ce qui explique que cet espace virtuel soit devenu un défi sécuritaire, de par la mauvaise utilisation des technologies modernes nécessitant l’élaboration d’un projet de loi sur le traitement des retombées négatives émanant de ces développements technologiques énormes.

Hattab a indiqué, en outre, que l’étude menée en 2017 par l’Organisation des Nations unies pour l’enfance (Unicef) sur la relation entre les enfants et jeunes avec le monde numérique, sur un échantillon de 24 pays y compris l’Algérie, a dévoilé que les jeunes âgés de 15 à 24 ans, sont ceux qui utilisent le plus Internet, dont le taux a atteint 70%, soit 48% du total de la population.

Pour leur part, les jeunes de moins de 18 ans représentent les deux tiers des utilisateurs d’Internet à travers le monde.

A cette occasion, le ministre a appelé les participants à la conjugaison des efforts, l’échange d’expériences ainsi qu’à la coordination permanente à travers la rationalisation de l’implication fougueuse de la jeunesse arabe dans le monde numérique.

Il a également appelé à la mise en place de plans, d’outils et de moyens nécessaires en vue d’arriver à une société d’informations en adéquation avec les cultures et les spécificités des sociétés arabes dans le cadre du processus de développement durable des pays.

Dans ce cadre, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a été honoré pour ses efforts à l(égard de la jeunesse.

Hattab a annoncé la création prochaine du Haut conseil de la jeunesse, soulignant que l’Algérie accueillera en juillet la troisième édition des Jeux africains de la Jeunesse (JAJ-2018).

En réponse à une question sur les travaux de l’AG de la Fédération algérienne de football (FAF) qui a été marquée par la présence de plusieurs personnalités à l’instar de l’ex président de la FAF, Mohamed Raouraoua, le ministre a mis en avant que la rencontre à laquelle ont pris part tous les acteurs du football, s’est déroulée en toute démocratie, appelant à « davantage de communication et d’entente ».

Organisée en collaboration avec la Ligue arabe, la rencontre s’étalera jusqu’au 27 avril et sera sanctionnée par des recommandations.

The post Hattab: nécessité de rationaliser l’utilisation des TIC par les jeunes appeared first on .

Categories: Afrique

Traitement des vides sanitaires de 35 sites à Médéa : Mettre fin à la prolifération des moustiques

Thu, 26/04/2018 - 00:59

Cette opération, qui a nécessité la mobilisation d’une enveloppe d’un montant de 32 milliards de centimes, a été confiée à l’ONA.

Le coup d’envoi d’une importante opération de traitement des vides sanitaires des ensembles d’habitat a été donné, lundi, par le secrétaire général de la wilaya, Mohamed Merzougui, à partir d’un bloc situé au quartier Merdjechekir du chef-lieu de wilaya. Une enveloppe d’un montant de 32 milliards de centimes a été mobilisée pour les besoins de l’opération dont l’exécution a été confiée à l’ONA (Office national de l’assainissement) dans le cadre de la procédure du gré à gré, conformément aux instructions du wali, Mohamed Bouchema. Pas moins de 35 sites, situés dans 15 communes relevant des daïras de Médéa, Ksar El-Boukhari, Berrouaghia, Aïn Boucif, Ouzera, El-Azizia, Boughezoul, vont recevoir au cours des semaines prochaines les équipes techniques de l’ONA chargées de réaliser les travaux de traitement prévus dans le cadre du marché. Pour garantir le succès de l’opération, une réunion a eu lieu la veille dans le bureau du directeur de l’urbanisme, de l’architecture et de la construction, Ameur Riadh, en présence du directeur de l’ONA, M. Zitouni, assisté par son staff. “Le traitement des vides sanitaires permettra de mettre fin à la prolifération des moustiques et des petits carnassiers et, en même temps, de supprimer les émanations incommodantes et les odeurs nauséabondes se dégageant des caves souvent dégradées et remplies d’eaux usées.” L’opération concernera aussi bien la restauration des grilles d’aération arrachées par les occupants des cités, la réhabilitation des systèmes d’évacuation des eaux usées, que la réfection des parties communes, l’entretien des façades, le remplacement des colonnes montantes et les travaux de peinture et d’étanchéité des blocs. Première expérience du genre qui va être mise en œuvre dans la wilaya : l’installation de panneaux photovoltaïques pour l’éclairage des cages d’escalier dans un bâtiment-témoin, expérience qui sera élargie à d’autres cités, si les équipements mis en place ne sont pas vandalisés. L’on fait également savoir qu’une 2e tranche de l’opération de traitement des vides sanitaires est retenue par l’administration dans l’objectif de toucher le reste des communes de la wilaya, dès l’achèvement de la première tranche dont le délai ne saurait dépasser la saison estivale. Il est insisté sur la qualité des travaux de traitement entamés qui vont toucher 162 cités situées dans 7 sites du chef-lieu de wilaya, dont l’achèvement devra intervenir avant Ramadhan et se poursuivre dans une deuxième phase dans de nouvelles agglomérations.

M. EL BEY

The post Traitement des vides sanitaires de 35 sites à Médéa : Mettre fin à la prolifération des moustiques appeared first on .

Categories: Afrique

Recrutement au pôle industriel d’aArzew à Oran : Des entreprises piétinent la législation

Thu, 26/04/2018 - 00:59

À Oran, passer par les agences de l’emploi pour le recrutement n’est pas un réflexe naturel pour les entreprises et l’administration publique.

C’est un vrai scandale qui vient d’éclater au cœur du pôle industriel d’Arzew. Cette fois, c’est le port d’Arzew et la société turque Tosyali qui ont été épinglés par l’Organisation nationale de la jeunesse et de l’emploi, pour avoir procédé au recrutement de 86 retraités sans être passés par l’Anem. Kettouche Hamid, secrétaire de wilaya de cette organisation chargée du placement des jeunes dans le cadre du contrat pré-emploi (CPE), a expliqué que des retraités ont été reconduits avec des contrats à durée déterminée, alors qu’ils devraient être en retraite. Depuis la consignation de ce fait saillant, l’organisation attend d’avoir des explications de l’entreprise portuaire d’Arzew. Et dans cette même foulée, le même responsable annonce avoir exigé une intervention de la direction de l’emploi par l’envoi d’une commission d’enquête de la wilaya d’Oran. En effet, ce phénomène du recrutement des retraités est une réalité amère, constatée depuis plusieurs années, menaçant le marché du travail en réduisant l’offre d’emploi au détriment des jeunes chômeurs. L’opacité et le clientélisme dans le recrutement au sein de diverses entreprises publiques et privées ouvre forcément la voie au trafic d’influence, puisque personne ne sait comment ni sur quelle logique repose cette politique de recrutement. À Oran, passer par les agences de l’emploi pour le recrutement n’est pas un réflexe naturel pour les entreprises et l’administration publique.
Une vérité crue à propos de ces entreprises qui recrutent des retraités alors que d’autres préfèrent maintenir en poste leur personnel, même ceux qui ont atteint l’âge de la retraite requis (60 ans). Les jeunes chômeurs, tous niveaux confondus, expliquent que les entreprises qui annoncent leurs besoins auprès de l’Anem ne le font que pour recruter ce qui est qualifié de “bouche-trous”, avec un salaire de misère, lié par un contrat et exposé à tous les risques. En somme un sale boulot pour ne pas être affecté au personnel permanent. Dans le cadre du recrutement, les procédures choisies par certaines entreprises, qui annoncent leurs besoins auprès de l’agence ou par la presse écrite, ne sont qu’un subterfuge et une formalité qui cache les vrais desseins par des réalités amères, car le poste, qui figure dans l’annonce, a déjà été réservé, soit pour un sénior appelé à reprendre du service, soit pour le fils d’un ancien employé décédé, ajoutent-ils. Au vu de la loi, cette pratique est formellement interdite mais certaines entreprises ne s’embarrassent pas de la réglementation. Dans ce cadre, la loi n°04/19 du 25 décembre 2005 oblige les employeurs à notifier à l’agence habilitée tout emploi vacant dans leurs entreprises et qu’ils souhaitent pourvoir, puis de transmettre les informations relatives aux besoins en main-d’œuvre et au recrutement effectué.

Hamdouche Hadj

The post Recrutement au pôle industriel d’aArzew à Oran : Des entreprises piétinent la législation appeared first on .

Categories: Afrique

L’Algérie pré-certifiée par l’OMS pour éliminer le paludisme d’ici la fin 2018

Thu, 26/04/2018 - 00:56

La célébration de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, mardi à Alger, a coïncidé avec la pré-certification de l’Algérie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme pays devant éliminer le paludisme d’ici la fin 2018.

« Cette année est placée sous le signe de la pré-certification de l’Algérie par l’OMS comme pays devant éliminer le paludisme d’ici la fin 2018 », a indiqué le directeur général de la prévention et de la promotion de la santé au ministère de la Santé, Djamel Fourar, lors de cette Journée, précisant que l’Algérie figure parmi les quelques pays dans le monde ayant eu la chance de pouvoir présenter le rapport de certification de l’élimination du paludisme.

Il a fait savoir que l’Algérie recevra prochainement la commission de pré-certification de l’élimination du paludisme. A cet effet, les services du ministre de la Santé s’activent à préparer les documents et les rapports concernant les efforts déployés pour éradiquer cette pathologie.

« Cette journée va nous permettre aussi de partager tout ce qui est entrepris avec les différents professionnels de la santé et mettre en valeur tous les efforts déployés par l’Algérie depuis les années 1960 quand notre pays avait entamé son programme d’éradication du paludisme », a ajouté M. Fourar.

Pour rappel, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a été honoré en janvier dernier à Addis-Abeba (Ethiopie), par l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme (ALMA) pour son action et ses efforts en matière de lutte contre cette maladie, l’ALMA étant une alliance de 49 pays africains qui œuvrent dans le but de mettre fin au paludisme sur tout le continent d’ici 2030.

Selon les informations recueillies à l’occasion de cette Journée organisée à l’Institut national de Santé publique avec l’appui de l’OMS sous le thème « Prêt à vaincre le paludisme », la situation épidémiologique en Algérie est marquée par la notification de cas de paludisme essentiellement importés, allant de 400 à 800 cas par an en moyenne, avec zéro cas de transmission locale depuis 2014.

Selon la déléguée du bureau OMS Algérie, Lilya Oubraham, son Organisation a identifié 21 pays potentiels à éliminer le paludisme d’ici 2020 et travaille en collaboration avec les gouvernements de ces pays en les appuyant à accélérer l’atteinte de cet objectif.

Le paludisme fait plus de 400.000 morts chaque année à travers le monde, selon l’OMS, relevant qu’en 2016, il a été enregistré 216 millions cas de paludisme dans 91 pays, dont 90% en région africaine, soit 5 millions de cas en plus qu’en 2015.

En 2016 aussi, cette pathologie avait entrainé 445.000 décès dont 91% en Afrique, selon les statistiques de l’OMS.

The post L’Algérie pré-certifiée par l’OMS pour éliminer le paludisme d’ici la fin 2018 appeared first on .

Categories: Afrique

El-Milia (Jijel) Rencontre médicale sur les hémoglobinopathies

Thu, 26/04/2018 - 00:55

Les hémoglobinopathies seront, ce jeudi, au centre d’une rencontre médicale qui se tiendra à El-Milia, à l’initiative de l’association locale des anémies héréditaires.
C’est ce que dévoile le programme établi par cette association, qui a fait appel à des spécialistes dans le domaine pour présenter des communications autour de ce thème, qui a une grande priorité pour améliorer les conditions de prise en charge et de suivi des malades. Les hémoglobinopathies ou encore hémoglobinoses sont des pathologies liées à une anomalie génétique de l’hémoglobine, selon leur définition médicale. Elles touchent une proportion importante de la population algérienne, notamment au nord-est du pays, où de nombreux malades, souffrant souvent dans le silence et le désarroi de leurs familles, sont recensés. Selon le président de l’association, l’objectif de cette rencontre est beaucoup plus un signal d’alarme lancé en direction de la communauté médicale et des autorités pour sensibiliser à ces maladies qui regroupent la drépanocytose et la thalassémie. Lors de cette rencontre, il sera également question de revenir sur les moyens de leur prévention et de prise en charge dans un contexte où on leur accorde encore peu d’intérêt, selon le même interlocuteur. Pour ce qui est du programme de cette journée, il est prévu la présentation de cinq communications portant sur divers thèmes touchant à ces pathologies. Outre le suivi et le traitement de la drépanocytose, un thème qui sera développée par Dr Ben Fetima de l’établissement hospitalier spécialisé de Constantine (EHS), il est également question d’aborder la situation de cette maladie en milieu scolaire sous l’angle d’une expérience menée à El-Tarf.
Une approche épidémiologique des hémoglobinopathies sera au menu d’une intervention de Dr Sebti de Skikda, qui donnera une vision de prévention de la pathologie. Le programme sera complété par des approches de traitement et de suivi, qui seront présentées par Dr Yahia de Skikda, Dr Bouterfa, Dr Fenghour et Dr Dieb d’El-Tarf dans des thèmes liés à la maladie, a-t-on fait savoir.

RAYAN MOUSSAOUI

The post El-Milia (Jijel) Rencontre médicale sur les hémoglobinopathies appeared first on .

Categories: Afrique

Blida : Les habitants de Bouinan exigent une maternité

Thu, 26/04/2018 - 00:55

Les habitants de la ville de Bouinan, située à l’est du chef-lieu de wilaya, lancent un appel aux autorités locales et surtout au directeur de la santé de la wilaya de Blida, pour ouvrir une maternité afin de mettre fin au calvaire que vivent les familles de cette région. Avec une population de plus de 40 000 personnes, l’ouverture d’une maternité dans la ville de Bouinan est devenue plus que nécessaire. Les habitants de cette localité sont obligés d’évacuer, jour et nuit, et souvent en urgence les parturientes vers l’hôpital de Boufarik ou la polyclinique de la ville de Chebli. Souvent aussi, des femmes accouchent en route à cause de la densité de la circulation routière que connaît cette région surtout le tronçon Bouinan-Blida pour rejoindre l’hôpital Ben-Boulaïd. “Souvent les responsables de l’hôpital de Boufarik ou de Blida refusent de nous accueillir sous l’argument qu’il n’y a pas de place. Chacun nous oriente vers un autre établissement. Nous passons notre temps, parfois, en pleine nuit à se déplacer d’un hôpital à l’autre pour pouvoir trouver une place en service de maternité”, explique un des habitants de la ville de Bouinan. Ce dernier évoque avec amertume le mauvais comportement des infirmières et sages-femmes envers les parturientes. Selon lui, certaines sages-femmes imposent leur diktat au service de maternité en traitant les femmes de tous les noms. “Au service de maternité de Boufarik, on trouve des femmes partageant un seul lit alors que d’autres, qui attendent leur tour pour accoucher, sont assises à même le sol ! C’est un abattoir est non une maternité”, raconte B. Samia qui a vécue, selon elle, “l’enfer au service de maternité de Boufarik, avant d’accoucher”. Les habitants de la ville de Bouinan exigent la création donc d’une maternité pour éviter tous ces désagréments qu’ils vivent depuis de années.

K. FAWZI

The post Blida : Les habitants de Bouinan exigent une maternité appeared first on .

Categories: Afrique

Accident de la route à Tiaret : Deux morts dont un policier à Hamadia

Thu, 26/04/2018 - 00:48
Le mardi 24 avril 2018 ,en fin d après-midi, le tronçon reliant la commune de Hemadia à celle de Rechaiga, a été théâtre d’un tragique accident reflétée par la collision de plein fouet entre deux véhicules l’un de marque « Ibis » et l’autre un petit camion de marque « DFM »,apprend-on de source généralement bien informées, qui ajoutent que la violente collision a fait deux morts sur le coup, dont un policier qui était chez ses parents et comptait rejoindre son travail au niveau de la sûreté de Daira de Sidi-Laajel(wilaya de Djelfa),l accident a eu lieu sur la RN 40 et à quelque 85 km du chef-lieu de wilaya de Tiaret et selon les mêmes sources, cet accident a fait 3 blesses qui ont été évacués à l’hôpital de Mahdia .Les corps des 2 victimes ont été déposés à la morgue de l hôpital cite et une enquête a été ouverte par les services de la brigade de gendarmerie nationale de la commune de Hemadia, territorialement compétents. Abdelkader Benrebiha

The post Accident de la route à Tiaret : Deux morts dont un policier à Hamadia appeared first on .

Categories: Afrique

Projet de loi sur la Santé: 73 amendements soumis

Thu, 26/04/2018 - 00:47

Soixante-treize (73) amendements au projet de loi sur la Santé ont été soumis à la commission de la Santé, des Affaires sociales, du Travail et de la Formation professionnelle de l’Assemblée populaire nationale (APN) qui a consacré mercredi une réunion à leur examen en présence du ministre de la Santé, Mokhtar Hasballaoui et du ministre des Relations avec le Parlement, Mahdjoub Bedda ainsi que les délégués des auteurs de ces amendements, a indiqué un communiqué de l’APN.

Le bureau de l’APN a enregistré mardi 77 amendements proposés à ce projet de loi, qui sera soumis au vote lundi prochain, et décidé de soumettre 73 répondant aux conditions de forme à la commission ad hoc après le retrait de 4 amendements par les délégués.

Parmi les dispositions phares du projet de loi sur la Santé, présenté dimanche dernier par M. Mokhtar Hasbellaoui devant les députés de la chambre basse du Parlement, le renforcement du service public de santé en le rendant « plus accessible et plus performant » et à « mieux exploiter les capacités du secteur privé et de l’offre de soins qu’il représente pour que les citoyens puissent être pris en charge dans les meilleures conditions ».

Composé de 470 articles, le texte de loi a introduit d’importantes réformes, notamment la prise en considération des résultats et les recommandations de la Conférence nationale sur le système de santé, des Assises nationales et des différentes rencontres sur la santé durant les deux dernières décennies, outre le « renforcement des droits des citoyens dans le cadre de la gratuité des soins, la mise en place de la commission de médiation et de conciliation et le développement de l’organisation sanitaire à travers la mise en place de la carte, du schéma d’organisation et la planification sanitaire » .

Le texte consacre également la qualité de fonctionnaire pour les professionnels de santé dans les structures et établissements publics de santé, outre la promotion de bonnes pratiques des activités médicales et la suppression de l’activité complémentaire et/ou lucrative et l’organisation rationnelle et équitable dans l’accomplissement de l’obligation du service civil prévue par les articles 205 et 206 qui soumet les praticiens spécialistes aux dispositions de la 84-10 du 11 février 1984.

Le projet de loi sur la Santé prévoit, en outre, l’introduction d’une disposition relative à la bioéthique définissant les règles de greffe d’organes, de tissus et de cellules humaines, de l’assistance médicale à la procréation, le don de sang et les études cliniques.

L’article 356 du texte prévoit la création d’un « Conseil national de déontologie et des sciences de la Santé placé auprès du ministre chargé de la santé qui sera chargé de présenter des avis et des recommandations sur les questions de déontologie ».

Pour rappel, les deux séances consacrées à l’examen du projet de loi durant deux jours a comporté 194 questions posées par les députés et portant sur les dysfonctionnements du secteur et les préoccupations locales outre de nombreuses lacunes contenues dans le projet de loi dont certaines relatives à la rédaction et d’autres à l’ambiguïté de certains articles et concepts.

The post Projet de loi sur la Santé: 73 amendements soumis appeared first on .

Categories: Afrique

L’énergie solaire, l’avenir de l’Algérie

Thu, 26/04/2018 - 00:38
Les énergies renouvelables sont une source d’énergie inépuisable. En Algérie, elles sont  disponibles à volonté,  sont diverses et variées, et peuvent devenir de véritables ressources, pouvant  répondre à tant de besoins en matière d’électricité et autres produits énergétiques. Grâce à ces énergies peu polluantes, l’Algérie peut  envisager un système de production énergétique prolifique plus respectueux de la nature et devenir un leader en la production de l’énergie solaire, de par l’immensité de son Sud. Ce dernier  est largement plébiscité dans le secteur énergétique et se développe à vitesse grand V, par la  production d’électricité grâce au photovoltaïque, mais aussi de chauffage grâce aux panneaux solaires thermiques, il peut être exploité à grande échelle dans des parcs prévus à cet effet ou à petite échelle chez les particuliers. Les panneaux solaires possèdent un meilleur rendement, surtout  en zone très ensoleillée, ils conviennent tout à fait à des foyers du Sud du pays. Le solaire reste un domaine d’activité à priviléger par l’Etat, de par ses coûts d’investissement, son soutien public élevé et ses faibles émissions de carbone. Combinée au stockage d’énergie et aux solutions logicielles intelligentes, l’énergie solaire devient une source d’énergie fiable et moins coûteuse. Une ressource illimitée, contrairement aux combustibles fossiles. Les systèmes solaires sont faciles à installer et nécessitent très peu de maintenance. Les systèmes de cellules solaires ont une longue durée de vie d’environ 25 ans.L’énergie solaire génère également peu de déchets pouvant même être recyclable, il reste aussi un facteur positif très important pour développer certains territoires et le développement local. Le marché du travail concernant ces énergies  peut aussi générer de nombreux postes d’emplois.. Pour résumer, ces énergies renouvelables permettent de réduire considérablement l’émission de CO2. Elles ne généreraient pas non plus de déchets radioactifs dangereux et leurs ressources seraient infinies grâce au vent, à l’eau et au soleil. En un mot, l’inauguration de la centrale solaire de Tamanrasset ne peut être que considéré comme un pas positif vers un avenir si riche en produits énergétiques. L.Ammar

The post L’énergie solaire, l’avenir de l’Algérie appeared first on .

Categories: Afrique

Alger : 2 ans de prison pour le ‘’dénudé’’

Thu, 26/04/2018 - 00:35
L’automobiliste qui s’est dénudé, le 16 avril dernier, au niveau des Sablettes à Alger, pour protester contre le retrait de son permis, est passé, hier devant le juge du tribunal d’Hussein Dey pour des faits relatifs à l’atteinte à la pudeur, outrage à un agent de l’ordre et exercice d’une activité (clandestin) sans autorisation. Le Procureur de la République a requis contre lui une peine d’emprisonnement de deux années en plus d’une amende de 50 000 dinars. Le nommé H. Mustapha, né en 1965 (âgé de 52 ans), est actuellement sous les verrous au niveau de la prison d’El Harrach. Devant le juge, ses avocats commis d’office ont évoqué des troubles mentaux. Selon eux, le mis en cause a été interné, durant les années quatre-vingt-dix, pendant trois mois. Affirmant que le policier qui l’avait verbalisé lui avait manqué de respect. Le juge a signifié à la défense que son client aurait dû déposer une plainte. Rappelons que le prévenu, chauffeur clandestin, transportait quatre personnes des Eucalyptus vers Alger centre ce jour-là. Arrivé à un point de contrôle, il s’est vu retirer le permis de conduire pour un excès de vitesse. Mécontent, il monte sur le toit de son véhicule et se dénude. Nadine

The post Alger : 2 ans de prison pour le ‘’dénudé’’ appeared first on .

Categories: Afrique

Demolition des constructions illicites au douar El-hachem, à Mostaganem : Qui a tort et qui a raison ?

Thu, 26/04/2018 - 00:31
Une chose est sûre, on n’a pas forcément le même avis sur ce qui s’est passé au douar Hachem, la veille de la démolition des constructions illicites. Parfois on parle de choses qui se sont produites des semaines, des mois ou des années avant. Chacun campe sur ses positions et pense avoir de bonnes raisons. Si on cherche à savoir qui a tort et qui a raison, tout se mélange. C’est difficile de juger. Mais un retour sur l’événement pour tenter de comprendre pourquoi les pouvoirs publics ont pratiqué la politique du bulldozer, nous ouvre plusieurs interrogations sur l’application de la loi de l’urbanisation qui n’a pas encore fait son chemin dans les esprits des citoyens ! Enquête. Retour sur un événement qui a récemment défrayé la chronique. La démolition des constructions déclarées illicites au  douar El-Hachem. Un retour  sur le terrain pour tenter de comprendre pourquoi  la réglementation en matière de construction et d’urbanisme semble avoir  du mal à faire son chemin dans les esprits. Et pourquoi  les moyens de prévention du phénomène de la construction illicite manquent d’efficacité et n’arrivent pas à contenir le phénomène pour ne laisser d’autres choix, au final, quand  c’est déjà trop tard,  que le recours à la main lourde et aux bulldozers.  Avec les conséquences que l’on connaît. Des pertes matérielles pour tout le monde et parfois, des drames….

Des citoyens témoignent…
Douar El-Hachem, dimanche dernier, sous un soleil de plomb. La poussière soulevée par la démolition des constructions déclarées illicites, entreprises il y a quelques semaines,  est déjà retombée. Pour de bon ? Impossible de le dire avec certitude. Ce qui est sûr par contre, c’est que, sur les lieux, la visibilité est presque infinie maintenant  et les gens vaquent à leurs occupations comme d’ordinaire. Certains font ce qui reste encore possible à faire sur une terre « agricole » qui ne produit plus rien : construire des habitations. Pour le visiteur de quelques heures, cette terre est devenue « constructible » par la force des choses et par la disponibilité de l’eau, de l’électricité et de la route à proximité. Dans la zone où a eu lieu la démolition, un citoyen  a dégagé les gravats et s’est remis à nouveau à creuser et à installer ses poteaux au même endroit. Encore un défi lancé à l’administration et aux élus? « Non », répondent les ouvriers rencontrés sur place.  « L’administration et l’APC sont revenues à de meilleurs sentiments et une solution a été trouvée », lance l’un d’eux,  avec un sourire au coin des lèvres. Revenant sur la démolition et ses raisons, certains habitants du douar pensent que pour quelques constructions, « c’est à cause du fait qu’elles soient érigées sur une grande canalisation d’eau ». Mais pour le reste, ils disent ne rien comprendre. Selon eux, « ces gens ont un titre de propriété, ils se sont mis à construire et personne n’est venu les inquiéter jusqu’au jour de la démolition. La disponibilité à cet endroit de  l’électricité, de l’eau et de la voie bitumée a mis ces gens en confiance et les a encouragés en quelque sorte  à aller de l’avant dans la réalisation de leurs projets de construction ». Non loin d’un amas de ruines, une habitation de plusieurs niveaux est intacte. Elle est branchée à l’électricité. « Epargnée », selon nos interlocuteurs le jour de la démolition, « pour éviter un drame ». « Une famille s’était installée à l’intérieur le jour de la démolition et avait refusé de la quitter, mettant  en échec l’opération »,  expliquent-ils.  Mais, les drames, il y en a eu malgré tout, selon nos mêmes interlocuteurs.

La problématique des propriétés indivises
A la commune de Sayada, un agent, originaire de douar El-Hachem, nous explique pourquoi, selon lui,  les terres gagnées progressivement par le béton dans ce douar posent problème et ne peuvent ni être cultivées , ni devenir constructibles légalement dans un proche avenir. « Il s’agit de propriétés privées indivises (chouyou3). Pour les extraire de cette situation, la procédure est lourde, difficile et coûteuse. Elle peut s’éterniser aussi. Il faut également que tous les héritiers soient connus et participent aux frais, ce n’est pas chose aisée.  Au bureau d’un notaire bien connu à Mostaganem, on nous confirme que  « la fredha d’une propriété indivise est d’une complexité impossible. Elle est d’abord longue et fastidieuse. En plus, les  surprises sont souvent au rendez-vous. Une fois la procédure terminée et le partage fait, un jour ou l’autre, peut sortir de nulle part un héritier oublié pour tout  remettre  en cause ». « C’est pour cette raison que nous nous limitons à ne traiter que les cas s’étalant au plus sur deux générations successives ».

Le partage de la terre loin des labyrinthes administratifs
Pour notre agent de la commune de Sayada, « c’est à cause de cette problématique  que, pour les grandes parcelles de terre, des  héritiers en sont arrivés à opérer un partage à l’amiable, loin des tracasseries administratives, en recourant à un expert, et  chacun a  commencé à exploiter  sa part pour lui-même, pour planter des arbres ou pour construire sa maison. Construire sans permis de construire bien entendu, faute d’acte de propriété notarié,   mettant en conséquence les élus locaux et l’administration devant une situation embarrassante… Personne n’est assez dupe pour mettre son doigt dans l’engrenage, dans un environnement social aussi complexe, et de surcroît en bute à un problème d’héritage inextricable…».

Juridiquement, leurs actes de propriété équivalent un bout de papier d’un vieux journal
Il poursuit, « maintenant pour ce qui est des petites parcelles, dont le partage conduit à des parts insignifiantes, inexploitables à titre individuel, les héritiers visibles ont préféré vendre toute la propriété commune et se partager le produit de la vente. A des prix défiant toute concurrence sur le marché du foncier. Conséquences, des gens ont accouru de divers horizons, alléchés par les prix,  pour tomber en fin de compte dans le panneau….  Juridiquement parlant, les titres de propriété qu’ils détiennent valent à peine ce que vaut un bout de papier d’un vieux journal. Ils ne leur  donnent droit à rien. L’administration et les élus  actuels n’ont pas lésiné alors sur les moyens pour traiter leur cas et  rappeler la primauté de la loi. Les choses ont été pliées ainsi en cinq sec, sans incidences remarquables…. En tout cas, ils  ne pouvaient pas faire autrement avec “ce cadeau de bienvenue” sur les bras “offert” par leurs prédécesseurs …. ».

Le PDAU, ce que ça vaut….
Pour leur part, les  élus de l’APC de Sayada ne jurent que par la loi et ses vertus. Pour eux,  « elle a été appliquée dans toute sa rigueur en respectant la procédure d’usage. Les constructions incriminées ne sont pas incluses dans le périmètre du  PDAU, elles se trouvent sur une terre agricole. Les concernés ont été destinataires de plusieurs mises en demeure, ils se sont entêtés. Ils ont joué la carte du fait accompli et de la régularisation ultérieure, ils ont perdu à ce jeu ». Ils ont insisté toutefois pour signaler que « les citoyens qui ont fait l’objet des démolitions n’ont rien à voir avec les mal logés et ceux  en quête d’un logement recensés dans la commune ». Selon eux, « ces cas sociaux sont pris en charge dans le cadre du social, du FONAL et aussi du RHP (Résorption de l’Habitat Précaire ». Ils reconnaissent, par ailleurs, implicitement,  que les mesures préventives contre le phénomène de la construction illicite ne sont pas à la hauteur désirée. Dans ce sens, ils disent « travailler sur  une brigade de veille, qui aura en permanence le phénomène dans son viseur ».Un élu a, quant à lui, signalé «  les limites des instruments d’urbanisme devant la propriété indivise ». Pour lui, « la levée du caractère agricole de ces terres privées et  leur intégration dans le PDAU ne résoudra pas le problème de sitôt. La question de la propriété effective restera toujours pendante, empêchant du coup toute mise en branle immédiate de son urbanisation et son utilisation d’une manière légale »…

La vulgarisation des instruments d’urbanisme
Est-il possible de voir les instruments d’urbanisme (POS et PDAU) de la commune de Sayada ? Pour le secrétaire général, « il faut aller les voir à  l’URBOR –Mostaganem ». A l’URBOR, ils disent n’être qu’un bureau  d’études et qu’il faut plutôt s’adresser à la Direction de l’Urbanisme et de la Construction. Au niveau de la DUC, il faut d’abord l’aval du DUC. Un DUC indisponible toute la journée, le jour de réception hebdomadaire des citoyens. Un parcours du combattant vain au final. Comme quoi, familiariser le citoyen avec ces instruments à caractère public, l’outiller  pour ne pas tomber dans le  piège des titres de propriétés bidons et leurs conséquences néfastes, vulgariser ces instruments, et inculquer, à large échelle,  dans les mentalités le sens des documents officiels et  du juridiquement correct en matière d’urbanisme et de construction etc., ce n’est pas pour demain la veille….

Mokhtar Aicha

The post Demolition des constructions illicites au douar El-hachem, à Mostaganem : Qui a tort et qui a raison ? appeared first on .

Categories: Afrique

Grogne des médecins résidents : Arrêt des gardes dès le 29 Avril

Thu, 26/04/2018 - 00:30
Nouvelle escalade dans le conflit entre les médecins résidents et les autorités. Le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra) a appelé tous ses membres à ne plus assurer les gardes d’urgences ni celles des services, à partir du 29 avril, selon un communiqué du collectif daté de mardi 24 avril. Cette décision, qui risque de plonger les hôpitaux algériens dans une situation de crise à cause du manque de personnel soignant qu’elle provoquera, a été prise en réaction au traitement qu’ont reçu les résidents lors de la manifestation qu’ils ont organisée à Alger mardi. Dans son communiqué, le Camra dénonce les forces de l’ordre qui ont « agressé les résidentes et résidents » lors de la manifestation. Les résidents ont également rappelé les motifs de leur manifestation de ce mardi, à savoir « une loi de santé faite sur mesure pour détruire le système de santé et aggraver la prise en charge du malade déjà médiocre » et le service civil qu’ils qualifient d’« archaïque et inefficace ».En plus de l’arrêt des gardes, le Camra a appelé ses membres aux « actions nationales prochaines », ce qui annonce de nouvelles tentatives de manifestations à Alger ou dans d’autres wilayas. Ismain

The post Grogne des médecins résidents : Arrêt des gardes dès le 29 Avril appeared first on .

Categories: Afrique

Beni-Saf (Ain Temouchent) : Ibnou Sina, une école centenaire dans un piteux état

Thu, 26/04/2018 - 00:25
L’école primaire Ibnou Sina ( ex Léo LaGrange ), située au niveau du quartier de Sidi Boucif dans la commune de Beni-Saf, construite il y a plus d’un siècle ( 1889 ) où sont scolarisés 500 élèves, garçons et filles renfermant 17 divisions scolaires et où exercent 17 enseignantes est en piteux état. C’est le délaissement et l’abandon total, selon Benarbia Abdelkader, président de l’association des parents d’élèves malgré les deux correspondances envoyées depuis le début de l’année au wali ainsi qu’à la directrice de l’éducation de la wilaya, aucune suite n’a été donnée à leurs doléances leur plate forme de revendications concerne plusieurs points dont les manque flagrant de gardiens de jour et femmes de ménage l’école fonctionne avec trois agents, une seule femme de ménage  et deux gardiens de nuits recrutés dans le cadre du FCCL.  Aucune rénovation n’a bénéficié cette école à savoir : l’état désastreux des classes en passant par le manque flagrant d’éclairage dans les salles de cours et même la sécurité de leurs progénitures est compromise à leur sortie étant donné que l’école se trouve au niveau d’un virage très dangereux.  Aucune considération  n’est prise  pour cette école malgré les excellents résultats obtenus chaque année à l’issue de l’examen de la cinquième année conclut notre interlocuteur  qui dira que les parents d’élèves comptent entreprendre une action de protestation et envisagent pour se faire entendre par les responsables concernés de ne pas envoyer leurs enfants à  l’école jusqu’à ce que les pouvoirs publics engagent le problème des travaux et celui des gardiens H. Bouna

The post Beni-Saf (Ain Temouchent) : Ibnou Sina, une école centenaire dans un piteux état appeared first on .

Categories: Afrique

Direction Algérie Poste de Mostaganem : Six nouveaux bureaux de Poste en chantier

Thu, 26/04/2018 - 00:04
Si la wilaya de Mostaganem possède déjà 65 bureaux de postes et une dizaine d’annexes fonctionnelles, il n’en demeure pas moins que la demande en prestations de services divers, au niveau des bureaux de poste, est en constante augmentation en parallèle avec la croissance de la population. La pression de cette demande a été réduite avec les nouvelles structures implantées dans les quartiers populeux et des communes. En ce moment, 6 chantiers de construction de nouveau bureaux de poste sont lancés et d’autres suivront, ultérieurement.

L’investissement dans les établissements et les moyens de traitement électronique  a pris les pas et l’année 2018 est entrée de plein pied dans cette stratégie d’accompagnement de la vie socioéconomique  des citoyens par les fournitures de prestations rapides et de qualité. En ce sens, le début de cette année est marqué par d’intenses activités tels les nouveaux bureau de poste « Maaraf Abdallah »,au centre de Mostaganem ;au Douar Aïzeb, au quartier de Tigditt .Un autre  nouveau bureau de poste sera inauguré  prochainement, à l’occasion de la journées des travailleurs qui coïncide avec le 30 avril 2018,au niveau du Douar « Rouaouna » ( commune de Ben Abdelmalek Ramdane).Entre- temps, nous confie le Directeur d’Algérie Poste de Mostaganem, M. Benosmane Bendhiba , six (6) nouveaux projets de construction ont été lancés, ciblant le chef lieu de Wilaya dont (4) quatre financés sur fonds propres d’Algérie Poste et  les (2) deux autres  financés par le Budget de l’Etat .Ces projets en question  sont répartis comme suit : Cité du 5 juillet dons les travaux sont à 50%,à réceptionner avant la fin de l’année en cours ;A la cité de la Salamandre, construction d’une (RP2) d’un grand bureau de Poste qui a la fonction de « 2eme Recette Principale »d’Algérie Poste au niveau de Mostaganem ;Au niveau de « kharrouba » c’est le projet de construction d’un grand bureau de Poste de catégorie R2 qui sera lancé dès cette semaine et à Bouguirat a démarré  également un autre chantier de construction d’un bureau de Poste R2 , le deuxième du genre dans cette localité. A Sidi Lakhdar, chef-lieu, également, un nouveau projet de construction d’un bureau de poste a été lancé de même qu’un autre projet de construction d’un 3eme bureau de Poste au niveau de Sidi-Ali, a déclaré le Directeur d’Algérie Poste. Il a ajouté d’autre part, que dans notre stratégie de développement et de croissance, il est prévu de doter chaque chef-lieu de Daïra d’au moins 2à 3 bureaux de poste et un bureau de Poste pour chaque Commune. Younes Zahachi

The post Direction Algérie Poste de Mostaganem : Six nouveaux bureaux de Poste en chantier appeared first on .

Categories: Afrique

« Condor» Sponsor premium du salon International de la Créativité et l’Innovation

Fri, 20/04/2018 - 14:24
  1. Alger, le 17 avril 2018Condor Group annonce sa participation en qualité de Sponsor premium au salon International de la Créativité et l’Innovation, organisé par l’Office National des Droits d’Auteurs et droits communs, du 17 au 20 avril 2018au Palais de la Culture, Alger.

Condor Group, acteur incontournable de l’innovation et de l’expertise en Algérie, marque sa présence à travers un stand institutionnel de 25 m².

Le salon International de la Créativité et l’Innovation regroupe de nombreux professionnels des arts et des lettres, des artistes algériens et étrangers, des partenaires de l’ONDA ainsi que des représentants d’organismes mondiaux, tels que l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et la Confédération internationale des sociétés d’auteurs et compositeurs (CISAC).

A propos de Condor:

Certifiée ISO 9001, 14001, 26000 et OHSAS 18001, pour les normes de qualité́, respect de l’environnement, responsabilité́ sociétale, santé et sécurité́, respectivement, la compagnie tend entre un modèle de sérieux et de compétence. Condor est l’une des premières entreprises à être certifiée « BASMA DJAZAIRIA », un label délivré par le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) visant à garantir l’origine algérienne des produits Condor.
Misant sur l’innovation et l’accessibilité, Condor œuvre pour maintenir son leadership en proposant des produits à la fois performants, d’excellente qualité́ et à un prix très abordable pour une présence sur tout le territoire national.

Condor n’est pas juste un exemple de réussite et de succès, à travers ses réalisations et ses performances, elle est aussi le modèle par excellence de la compagnie qui marque son époque par son innovation et son avant-gardisme, avec des articles « Made In Algeria » à la pointe de la technologie, certifiés aux normes de qualité́ et de sécurité́ les plus strictes.

Avec les différentes gammes des produits proposés, Condor parvient à toucher toutes les cibles possibles et arrive à être présente dans 90% des foyers algériens grâce à ses potentiels humains et techniques. Elle s’inscrit dans son temps mais aussi dans la pérennité́.

Condor n’est pas seulement un label marchand mais un opérateur et un compagnon du quotidien de chaque algérien en proposant concrètement plus de confort et d’accessibilité́.

The post « Condor» Sponsor premium du salon International de la Créativité et l’Innovation appeared first on .

Categories: Afrique

Pages