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RAN’s Nuship Adelaide completes initial sea trials

Naval Technology - Mon, 13/07/2015 - 01:00
The Royal Australian Navy's (RAN) second landing helicopter dock (LHD) ship, Nuship Adelaide, has docked at BAE Systems' Williamstown shipyard after successfully completing initial sea trials.

India’s nuclear submarine INS Arihant to test fire first missile this year

Naval Technology - Mon, 13/07/2015 - 01:00
India's first indigenously developed nuclear submarine INS Arihant is set to carry out its first missile firing this year, enabling the country to launch a nuclear missile from air, land, and sea.

Canadian Navy's HMCS Fredericton returns after NATO mission

Naval Technology - Mon, 13/07/2015 - 01:00
The Royal Canadian Navy's (RCN) Halifax-class frigate HMCS Fredericton has returned to its home port of Halifax in Nova Scotia, after completing a Nato mission.

Royal Navy’s third Astute-class submarine HMS Artful to begin sea trials

Naval Technology - Mon, 13/07/2015 - 01:00
The UK Royal Navy's third Astute-class submarine HMS Artful is set to start sea trials after final construction was completed at BAE Systems shipyard in Barrow-in-Furness in Cumbria.

Unis pour le meilleur, désunis pour le pire ?

Bruxelles2 Blog - Sun, 12/07/2015 - 16:32

Un superbe instantané au sein de l’Eurogroupe ce 12 juillet (crédit / Conseil de l’UE)

(BRUXELLES2) Les ministres des Finances de la Zone Euro sont en train de faire un (très) mauvais sort à l’Europe politique, au poids de l’Europe dans le monde et à l’idée européenne, tout simplement. Disputes de chiffonniers, rodomontades devant les médias, populisme de bas aloi, démocratie réduite au plus strict minimum… Et l’ego, le psycho, pour ne pas dire l’égoïsme et le ressentiment qui prennent le pas sur la politique et la raison. Tout est là pour montrer au monde ce que l’Europe peut avoir de pire et non ce qu’elle peut avoir de meilleur. Aujourd’hui un ‘vrai’ Européen a mal au coeur devant ce spectacle de bas étage.

Quelle Europe dans le monde demain

Je plains demain les diplomates européens, la Haute représentante de l’UE ou Donald Tusk, le président du Conseil européen, et même chacun des pays européens quand ils iront demain parcourir le monde pour expliquer aux Burundais comment faire une élection, aux Maliens comment construire un Etat, aux Népalais comment rebâtir une économie basée sur le tourisme, en insistant à chaque fois sur la nécessité de bâtir un Etat, de respecter le vote démocratique, de travailler ensemble au plan régional ou de faire la paix… La parole européenne risque d’être plutôt décrédibilisée.

Un processus de décision totalement « adémocratique »

Au plan européen, nous révélons, en effet, totalement incapables de faire ce que nous prônons à l’extérieur. Les discussions au sein de l’Eurogroupe sont atterrantes et aberrantes. Elles sont tout sauf transparentes et démocratiques. Dans quel pays laisserait-on, en effet, un ministre des Finances décider seul, avec quelques conseillers, de l’avenir du pays ? Voire de faire des déclarations intempestives sur les relations politiques avec un autre pays ? Une décision sur la Grèce, et encore plus sur le Grexit, ne peut évidemment pas se prendre sous le seul angle financier. C’est une décision purement politique. Avec ce type de raisonnement, jamais les pays baltes ou la Slovaquie ne seraient rentrés dans l’Union européenne.

Une incapacité de faire ensemble ?

Ces négociations donnent une image pitoyable de l’Europe non seulement pour ses citoyens mais aussi pour le reste du monde. Qu’est-ce que l’Europe aujourd’hui ? Une communauté de valeurs et de principes ? Une union de peuples et d’Etats ? On en semble loin… L’Europe est-elle devenue une boutique avec un étalage mal assorti, où certains participants veulent bien les bénéfices mais pas les pertes ? Sur tous les dossiers récents, la solidarité européenne peine aujourd’hui à s’exprimer. Quand il y a un risque, terroriste, au Mali ? Pas grand monde ne veut vraiment s’exposer. Quand il y a des migrants et réfugiés en nombre qui arrivent sur plusieurs plages en Europe, une large minorité d’Etats refuse d’assumer une part du fardeau ? Avec des arguments qui frisent le nationalisme voire le racisme (et pas uniquement en Hongrie souvent montrée du doigt)… Quand la Grèce est dans l’incapacité de régler ses dettes, on semble vouloir la laisser se débrouiller ? … L’Europe est-elle devenue la somme de ces égoïsmes. A-t-on parcouru tout ce chemin depuis des années, avec des hauts et des bas, pour en arriver là, ?

Redressez-vous ?

Non ! L’Europe n’a pas été conçue comme une SARL – une société à responsabilité limitée. C’est une Union personnelle, entre des peuples et des Etats. Et ces peuples et ces Etats ont des visions et des niveaux de développement différents. Le rôle des responsables politiques n’est pas de flatter les idées les plus viles qui sommeillent en chacun de nous, mais de remuer le meilleur, de titiller l’excellence… Les gouvernement baltes, slovaques ou finlandais qui font actuellement de la surenchère à qui sera le plus cinglant envers les Grecs, feraient bien de faire attention. A force de refuser la solidarité, ils risquent de se retrouver un jour sous le marteau de l’enclume. Dans 5 ou 10 ans, qui sait … (*) Et, ce jour-là certains souvenirs remonteront à la surface. La solidarité ne fonctionne pas à sens unique… Et il n’est jamais bon d’humilier un Etat ou un peuple…

(Nicolas Gros-Verheyde)

(*) Sans attendre jusqu’à là, le renouvellement des sanctions sur la Russie en janvier prochain comme la discussion des fonds structurels lors de la mid-term review qui commencera prochainement pourrait donner lieu à de sérieux retours de manivelles

Le Godetia rentre à Zeebruges. Mission « Triton » terminée…

Bruxelles2 Blog - Sat, 11/07/2015 - 19:16

Le Godetia en mer Méditerranée (crédit : armée belge)

(B2) Le Godetia, navire de soutien logistique belge, qui participait à l’opération de sauvetage en mer Méditerranée, rentre à son port d’attache, Zeebruges, ce dimanche (12 juillet). Depuis fin mai, il participait aux renforts pour l’opération Triton. Il a ainsi recueilli à bord un total de 1 617 réfugiés, remis par la suite aux autorités italiennes. Après la pause d’été, le Godetia devrait participer à la NRF martiime (NATO Response Force), « comme navire de soutien logistique pour l’escadre permanente de lutte contre les mines de l’OTAN, composée de six chasseurs de mines », précise l’état-major belge.

La Commission ne veut pas du Grexit, ce serait un échec collectif majeur (Pierre Moscovici)

Bruxelles2 Blog - Fri, 10/07/2015 - 18:14

Pierre Moscovici avec JC Juncker (crédit : CE)

(B2) A quelques heures d’une réunion décisive des ministres des finances et des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Zone Euro, Pierre Moscovici, le commissaire européen chargé de l’Economie et des Affaires financières, a bien voulu répondre à nos questions. Au-delà d’un réel engagement européen, et d’une volonté d’aboutir à un accord avec les Grecs et l’ensemble de la Zone Euro, on sent aussi comment la confiance a pu être ébranlée par la négociation des derniers mois…

Jusqu’où l’Europe doit-elle aller pour maintenir la Grèce dans la zone euro ?

La situation est partagée. Il existe indéniablement chez beaucoup de chefs d’Etats et de gouvernement, chez la plupart des ministres des Finances, qui ont été confrontés à la situation avec plus d’une dizaine d’Eurogroupes depuis l’élection de Alexis Tsipras, une lassitude, parfois une irritation, en tous les cas, un manque de confiance qui doit, maintenant, être comblé. Il est certain qu’il faut tenir compte de cette donnée qui n’est pas que psychologique. De l’autre côté, il y a un sentiment de responsabilité partagée, un attachement à la zone Euro. Et la Zone Euro, c’est 19 membres, pas 18. Tout le monde est conscient de cette responsabilité. Pour arriver à réconcilier ces deux dimensions, il n’y a qu’une voie, c’est de dépasser les irritations, de surmonter, la lassitude, de transformer la responsabilité en volonté.

On sent beaucoup de pathos dans ce dossier, c’est la Grèce historique, la Grèce de Platon tout de même qui est là face à nous ?

C’est vrai. La Grèce n’est pas insignifiante dans l’histoire européenne. Elle ne l’est pas dans la démocratie, dans la philosophie, dans la poésie, la littérature, elle ne l’est pas à travers son histoire dramatique. C’est un des cœurs de la civilisation européenne. C’est sûr qu’il y a une dimension affective, sentimentale, culturelle, majeure, qui explique que tout le monde y passe autant de temps. Mais, au final, ce n’est pas quand même pas la psychologie qui l’emporte, c’est l’action et ce sont les actes. Il ne s’agit pas de savoir si on fait un accord avec Platon ou Homère, mais de savoir si la Grèce aujourd’hui est capable de réformer son économie pour se mettre à niveau de ce qu’implique l’appartenance à la Zone Euro.

Vous pensez justement que la Grèce est capable de faire encore un plan de réformes ?

Oui. Je pense qu’ils sont capables de le faire. J’ai senti cette semaine pour la première fois, se nouer un débat, au niveau nécessaire. Ils ont cette capacité, il faut qu’ils en aient aussi la volonté, la responsabilité. Mais ce qui compte, ce n’est pas le ton, ce sont les actes. Ce n’est pas le style, ce sont les positions. Il arrive un moment où on doit passer à l’acte, où on doit délivrer, comme disent les anglo-saxons. Ce moment est arrivé. C’est l’heure de vérité…

On est au moment critique alors ?

C’est vrai. Nous sommes dans la dernière ligne droite. C’est la négociation de la dernière chance. Ce week-end est un week-end décisif, je ne dirai pas historique car ce n’est pas la fin de l’histoire. Dans l’hypothèse positive, on n’en aura pas, en effet, terminé avec ce dossier. Et on commencera à négocier un programme d’assistance.

Sur quelle base va-t-on négocier ?

La première demande du programme d’assistance financière est arrivée hier matin (mercredi) avec des promesses de réforme qui ont été plutôt bien accueillies, notamment sur la partie fiscale, la TVA, et les retraites. Mais nous attendons maintenant comme base d’un accord possible, des propositions concrètes, complètes, tangibles, précises de Alexis Tsipras. C’est surtout cette base là que se nouera, ou non, cette négociation de la dernière chance, d’ici dimanche

Comment pouvez-vous en 24 heures analyser que le plan est crédible ?

Nous avons déjà toutes les données et connaissons tous les paramètres. Les cinq derniers mois n’ont pas été inutiles. Nous allons regarder si le programme qui nous est fourni est, d’abord, sérieux sur le plan économique ; ensuite, financièrement soutenable, en prenant en compte les données économiques et financières du pays qui ne se sont pas améliorées ces derniers temps.

Pourquoi ne pas reprendre le plan proposé auparavant ?

On ne peut pas faire un copier-coller. La situation d’incertitude a eu un impact massif sur l’économie grecque qui est maintenant en récession. Les données financières se sont détériorées. La fermeture des banques n’a pas aidé. Les données financières se sont détériorées. Nous devons évaluer le sérieux économique, la soutenabilité financière, la cohérence d’ensemble.

La restructuration de la dette n’est-elle pas une clé de la négociation ? Je crois que vous n’aimez pas ce mot de « restructuration », parlons de soutenabilité de la dette alors ?

Cette question devra être traitée le moment venu. Mais en son temps. Aujourd’hui, le processus est clair. Il y a sur la table, une demande de programme d’assistance financière. Et il y a des remboursements qui doivent être faits, à hauteur de 4,22 milliards pour le 20 juillet. Ce qui doit être décidé ce week-end, c’est si premièrement, des ressources financières sont dégagées pour permettre à la Grèce de procéder à ce remboursement alors que Grèce n’a pas ses ressources Deuxièmement, si les négociations s’engagent pour un nouveau programme, Et pour çà il faut une autorisation de certains parlements, à commencer par le parlement allemand, le Bundestag. Dans ce contexte, on pourra alors parler de la dette dans un cadre qu’il convient de définir. Enfin, la condition de tout, ce qui déclenche le financement et les négociations : ce sont les réformes.

L’Etat grec est-il à la hauteur ?

Le vrai problème, dans cette affaire depuis l’origine, c’est que la Grèce n’a ni une économie ni un Etat qui soit à la hauteur qui implique l’appartenance à la Zone Euro. Si nous demandons des réformes, ce n’est pas pour infliger plus d’austérité au peuple grec. Il n’y en aura pas. C’est pour que ce pays fasse enfin des réformes pour lui permettre d’avoir une économie moderne, de se mettre à niveau de ses partenaires, de retrouver le chemin de la croissance, de l’emploi et de la justice sociale.

Qu’est-ce qui convaincra tout le monde ?

La qualité des réformes et la capacité du gouvernement grec à les mettre en œuvre. Il est important d’avoir une liste d’actions prioritaires, avec des réformes qui soient votées dans les prochaines semaines voire les prochains jours. C’est un critère. La réforme fiscale et de la réforme des retraites notamment. Il faut enclencher un cycle de réformes.

Mais le peuple grec souffre de ces réformes sans cesse ?

Je suis conscient des sacrifices que cela demande au peuple grec. C’est pour lui que nous agissons. Tout le monde sait la souffrance qu’il a endurer : la perte de 25% de PIB, les 50% de jeunes au chômage, les 30% de Grecs sous le seuil de pauvreté. C’est la raison pour lequel il est nécessaire aussi d’envisager un plan d’aide humanitaire. La Commission européenne y est bien sûr prête.

On pourrait se dire après tout, allez les Grecs hors de la Zone Euro, non ?

Non. Le Grexit serait un échec collectif. Nous ne devons pas nous y résigner. Nous devons faire notre devoir, agir en responsabilité, faire preuve de solidarité à l’égard de la Grèce mais, en même temps, faire preuve d’exigence, non pas une exigence idéologique mais une exigence pour le bien de la Grèce et des Grecs.

Le Grexit n’est donc pas une solution ?

Ce n’est pas une solution que souhaite la Commission européenne. La Commission ne veut pas du Grexit. Depuis des mois, depuis des années, la Commission est mobilisée pour l’intégrité, l’irréversibilité de la Zone euro. Et la Zone Euro, c’est à 19 ! Le Grexit serait un échec collectif, majeur. Nous ne devons pas nous y résigner.

Pourtant, vous travaillez bien sur un scénario de sortie ?

Nous ne sommes pas en train de travailler de manière équivalente sur les différents scénarios. En même temps, la responsabilité de la Commission est de se préparer à toutes les situations. Si d’autres éventualités que celle que nous souhaitons – un bon accord – surviennent, on saura faire face.

Y-aurait un risque de contagion ?

La Zone euro est solide, elle a tous les pare-feux nécessaires pour se prémunir d’un choc. Nous sommes prêts à toutes les éventualités. Mais, encore une fois, ce n’est pas là dessus que nous travaillons. Ce n’est pas ce que nous souhaitons.

Au-delà des conséquences économiques pour la Grèce, le Grexit serait un aveu d’échec politique pour l’Europe également ?

C’est le projet politique de l’Euro qui serait entamé. L’Euro est une monnaie unique. Cela suppose l’intégrité — tout le monde y est — et l’irréversibilité — tout le monde y reste —. Un Euro dont on pourrait partir deviendrait une simple zone de taux de change fixe. Et l’histoire monétaire a prouvé que les zones de taux de change fixe ne survivent pas dans la durée. Etant attaché à l’idée de l’Euro, je suis attaché à l’irréversibilité de l’Euro. Cela ne veut pas dire qu’il faut le souhaiter à tout prix. On en connait le prix, les conditions. Les conditions, ce sont que les réformes proposées par le gouvernement Tsipras soient crédibles et les engagements à mettre en œuvre soient solides.

… Et un sacré encouragement à tous ceux qui veulent la fin de l’Euro, et aux extrêmes ?

Je crois que spontanément, intuitivement, les Européens sont attachés à l’Euro. Car ils savent que c’est un élément de stabilité, de force, d’ancrage tout à fait essentiel. On ne doit pas jouer avec çà. Les populistes jouent avec ce sentiment. Nous ne devons pas leur céder. C’est vrai que çà fait aussi des paramètres dont on doit tenir compte, dans tous les pays européens. Il ne faut jamais céder au populisme, jamais.

Nicolas Gros-Verheyde

version longue de l’interview de P. Moscovici publiée ce matin dans Ouest-France et Sud-Ouest

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Naval Technology - Fri, 10/07/2015 - 16:39
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