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Croatian Navy test-fires Saab-built RBS15 anti-ship missile

Naval Technology - Wed, 04/11/2015 - 01:00
The Croatian Navy has successfully test-fired Saab-built RBS15 anti-ship missiles from a naval vessel during a military exercise in the Adriatic Sea.

UK Royal Navy’s HMS Monmouth returns to operational service

Naval Technology - Wed, 04/11/2015 - 01:00
The UK Royal Navy's Duke-class Type 23 frigate HMS Monmouth has returned to operational service after successfully completing its 20-month refit and upgrade programme.

Lockheed Martin team lays keel for US Navy’s fifteenth LCS

Naval Technology - Wed, 04/11/2015 - 01:00
The Lockheed Martin-led industry team has successfully laid the keel for the US Navy's fifteenth littoral combat ship (LCS), the future USS Billings.

Australia conducts exercise with Chinese Navy

Naval Technology - Wed, 04/11/2015 - 01:00
The Royal Australian Navy (RAN) has conducted naval exercise with the People's Liberation Army - Navy (PLA-N) in Zhanjiang, China.

Après Sentinelle, bientôt des agrafes pour la Marine

Blog Secret Défense - Tue, 03/11/2015 - 18:13
Elles pourraient être baptisées Vigie, Epaulard et Poséidon.

Après Sentinelle, bientôt des agrafes pour la Marine

Blog Secret Défense - Tue, 03/11/2015 - 18:13
Elles pourraient être baptisées Vigie, Epaulard et Poséidon.

Est-il possible de réanimer l’Europe de la Défense ?

Bruxelles2 Blog - Tue, 03/11/2015 - 15:01

(B2) Réunis à Lille autour des ateliers de la Citadelle, ce jeudi d’octobre, on pouvait avoir l’impression d’être au chevet d’un grand malade, se demandant que faire du gisant. L’optimisme qui prévalait il y a quelques années a cédé la place, même chez les plus fervents défenseurs européens, sinon à du scepticisme, au moins à une interrogation : comment relancer l’Europe de la défense ? Que peut-on faire ensemble ? Alors que de nombreux Etats sont aujourd’hui préoccupés tout d’abord d’assurer leur défense territoriale.

Un enfant abandonné ?

Nick Witney, l’ancien directeur de l’Agence européenne de défense a dans une parabole bien résumé la situation « La PSDC (politique de sécurité et de défense commune) est née de 2 parents. Mais très rapidement un des deux parents l’a abandonné. Pendant des années, la Marianne a alors élevé cet enfant en tant que mère célibataire. Puis Marianne en a un peu assez de cet enfant » a-t-il expliqué dans un humour tout en finesse et très british. « Le Mali, la Centrafrique étaient une occasion parfaite pour mobiliser un battlegroup européen. Vous (Français) avez décidé d’y aller tout seul. De fait, la PSDC est aujourd’hui orpheline. »

Avoir une Europe puissance

Michel Barnier a dressé un « bilan en demi teinte » des différents outils utilisés au plan européen. « Il n’y a pas assez de partage de fardeau, pas assez de solidarité (le budget dans les opérations est limité à 10%), les battlegroups ne fonctionnent pas ». En mutualisant les moyens européens, « cela permet d’avoir une puissance collective » selon l’ancien commissaire européen. « Ce mot n’est pas archaïque. La Chine, la Russie n’ont pas de complexe pour avoir cette capacité. Il faut avoir une capacité de puissance et d’influence plutôt que d’être marginalisé. » Pour lui, « les éléments de puissance sont : une économie, une monnaie, une politique étrangère et une défense ». Pour autant il ne s’agit pas de créer une structure unique. «  Mutualiser n’est pas fusionner. L’Union européenne n’est pas un Etat fédéral, comme l’Allemagne et les USA, il n’y a pas la même langue, c’est une Union de 28 nations qui ont, chacune, leur histoire, leur tradition, leur langue, leur différence. On veut une Europe unie pas une Europe uniforme. »

Revoir le code génétique de nos Etats membres

Joachim Bitterlich, ancien conseiller de Helmut Kohl, a joué le rôle du bulldozer. « Il faut réformer le code génétique de tous les Etats membres. Ce code génétique a changé avec la crise financière, économique ». Il estime que « le service diplomatique européen est nul part. Il faut revoir notre politique de développement, avoir une vraie politique de développement. » Bien sûr, reconnait-il le moment est difficile. Mais, « en politique, il n’y a jamais de bon moment ».

La politique de voisinage, un échec

Mais surtout, il insiste sur un point fondamental. « On doit revoir totalement notre politique de voisinage qui est un échec flagrant ». « Il y a un seul Etat qui fonctionne dans notre voisinage, le Maroc, mal considéré, il y a un défaut d’appréciation de la situation dans plusieurs Etats. Algérie, Tunisie… » « En Ukraine, nous sommes tous coresponsables – USA, Russie, UE, Otan – car nous avons fait une mauvaise évaluation de ce qui se passait en Ukraine. » Mais la Suède comme la Pologne ont, selon lui, « une part de responsabilité (particulière), dans la politique d’échec sur l’Ukraine. Heureusement que la France et l’Allemagne ont repris le dossier en main. »

Une menace pour un pays doit concerner toute l’Europe

« L’annexion de la Crimée et l’intervention en Ukraine est la plus grande menace pour la Suède » a noté l’ambassadrice de Suède en France, Veronika Wand-Danielson, bien connue dans les cercles bruxellois pour avoir été à la représentante auprès de l’UE avant de devenir la représentante suédois auprès de l’OTAN. « En refusant aux Ukrainiens le droit de choisir, cela remet en question les bases de la construction européenne, des principes. L’agression russe nous concerne tous. Et nous avons une responsabilité commune d’y faire face. Cela nécessite une solidarité continue, une continuité dans nos actions et une clarté dans nos paroles. » Elle estime que si même chacun n’a pas la même conscience de tous les menaces, il doit y avoir une solidarité. « S’il y a une menace, un sentiment d’urgence pour un pays, ce doit être une menace pour l’Europe. »

Attention à ne pas rompre la solidarité

De façon plus générale, l’ambassadrice a insisté sur les aspects « essentiels » de la construction européenne « l’unité et la solidarité, et que tous les pays participent à la décision. De plus en plus quand on sent que les décisions se prennent à 2 ou 3, plutôt à 2 d’ailleurs (1). Il n’y a plus le sentiment de participer à une décision. » Ceci « on peut le faire en cas de crise soudaine, mais quand la crise se prolonge, il faut au moins que les pays les plus concernés soient associés. Sinon il y a le risque qu’on se détourne de l’Union européenne. Pour nous il aurait été souhaitable d’inclure la Haute représentante dans le format de Normandie. » Elle s’inscrit en faux contre son voisin de débat, J. Bitterlich.

Une équation imparable : l’Europe va devoir se préoccuper de l’origine des crises

« Cela pourrait sembler à certains surréaliste, d’un angélisme sympathique. On peut se dire que l’Europe de la sécurité n’est pas pour demain. Je pense le contraire » a affirmé Nicole Gnesotto, présidente du Conseil d’administration de l’IHEDN et qui animait les débats de la Citadelle. « L’Europe est l’échelon pertinent en matière de défense et sécurité. Il y a de plus en plus de crises, moins d’Amérique, moins d’argent. Cela devrait entraîner plus de coordination en Europe. » Pour l’ancienne présidente de l’Institut d’études pour la sécurité en Europe, « l’équation est imparable. Les Chefs d’Etat et de gouvernement devront le faire de gré ou de force. Ce n’est pas seulement une préoccupation idéologique — d’avoir une Europe puissance — ou une approche technique et pragmatique de gestion des opérations — la gestion de crises —, c’est une question très politique, plus profonde qui préoccupe les citoyens. La question de l’origine des crises (Moyen-Orient, Afrique…) — et des moyens de la résoudre — doit revenir au premier plan.

Une armée européenne, il suffit de le décider

Pour le général Margall, commandant de l’Etat-Major du Corps de réaction rapide – France (CRR-FR), basé justement à Lille. « Nous savons travailler avec les Alliés, nous sommes habitués. Cette expérience a encore été accrue dans les opérations réelles, particulièrement en Afghanistan. Les militaires sont très ouverts aux questions internationales et habitués à travailler entre alliés, à assurer ce qu’on appelle l’interopérabilité. Nous ne sommes un obstacle mais un outil. » Autrement dit sir les politiques décident un jour de faire l’armée européenne « si on nous le demande on la fait demain ».

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) L’ambassadrice fait référence au format Normandie décidé entre la France et l’Allemagne

Austal receives contract to procure materials for US Navy’s new EPF vessel

Naval Technology - Tue, 03/11/2015 - 01:00
Austal has secured a contract to procure long-lead time materials for the US Navy's eleventh expeditionary fast transport (EPF 11), formerly known as the Joint High-Speed Vessel (JHSV).

Australian Navy to decommission Adelaide-class HMAS Sydney

Naval Technology - Tue, 03/11/2015 - 01:00
The Royal Australian Navy (RAN) is set to decommission its Adelaide-class guided-missile frigate, HMAS Sydney, after 32 years of service with the navy.

US Navy conducts exercise with Chilean officers as part of UNITAS

Naval Technology - Tue, 03/11/2015 - 01:00
The US Navy's nuclear-powered aircraft carrier, USS George Washington (CVN 73), Carrier Strike Group (CSG) NINE, and embarked Carrier Air Wing TWO have conducted drills with Chilean officers for UNITAS Pacific (PAC).

US Navy conducts air defence exercises with South Korean Navy

Naval Technology - Tue, 03/11/2015 - 01:00
The US Navy's Ronald Reagan Carrier Strike Group (CSG) and the Republic of Korea Navy (ROKN) have carried out air defence exercises (ADEX) during bilateral training off the east coast of the Korean peninsula.

Raif Badawi nouveau lauréat du Prix Sakharov

Bruxelles2 Blog - Mon, 02/11/2015 - 19:11

Le libre reprend les 14 articles qui lui ont valu prison et flagellation

(BRUXELLES2) Le blogueur saoudien Raif Badawi est le nouveau lauréat du prix Sakharov pour la liberté de penser, décerné par le Parlement de l’Union européenne. Martin Schulz, le président du Parlement européen l’a proclamé à la fin de la dernière plénière à Strasbourg, jeudi dernier (29 octobre). Une récompense pour ce blogueur de 31 ans, incarcéré pour avoir critiqué le régime saoudien et l’Islam. Raif Badawi est également lauréat du Prix Reporter sans frontières et du Prix Reuters pour la liberté de la presse, et nominé pour le Prix Nobel de la paix en 2015. La cérémonie de remise du prix Sakharov aura lieu à Strasbourg le 16 décembre. C’est sa femme qui représentera le blogueur.

Journaliste engagé et poursuivi, dès ses débuts

Durant ses jeunes années, Raif Badawi est animateur du site internet «Liberal Saudi Network», un blog aux idées progressistes qui dérange très vite. Dès 2009, le père de Raif le mène devant un tribunal saoudien pour l’obliger à stopper ses activités. En Arabie Saoudite, la loi stipule l’obéissance totale d’un fils envers son père. Le cercle infernal est alors lancé: interdiction de sortir du territoire, retrait du permis, interdiction de travailler… En 2009, sa femme et ses trois enfants quittent le pays et se réfugient au Québec. Ils ne l’ont pas revu depuis. Raif Badawi continue son travail et fonde le site web Free Saudi Liberals.

En prison depuis 2012

Le 17 juin 2012, Raif est arrêté pour cybercrime, désobéissance à son père, critique à l’Islam et apostasie. Tout s’accélère. Il passe devant une première instance, puis une seconde. C’est la cour d’appel de Riyad qui est finalement la plus sévère. En mai 2014, elle le déclare coupable pour « insultes envers l’islam » et le condamne à 10 ans de prison, 1000 coups de fouet et 260 000 dollars d’amende. Il échappe à la condamnation pour apostasie, qui implique une peine de mort. Un an plus tard, en juin 2015, la Cour suprême de l’Arabie saoudite confirme la peine de 10 ans et 1 000 coups de fouet, à raison de 50 par semaine pendant vingt semaines.

Inquiétudes pour son futur: nouveau procès et reprise de la flagellation

Aujourd’hui, la femme de Badawi et Amnistie Internationale alertent sur la possibilité d’un troisième procès pour apostasie. C’est alors la peine de mort qui pourrait être prévue pour le blogueur. La menace plus imminente est de la reprise de la flagellation publique. Le 9 janvier 2015, Badawi avait reçu 50 coups de fouet. La séance de flagellation publique s’est déroulée devant la mosquée Djuffali, dans le centre de Djeddah, la ville où il est incarcéré. Les châtiments corporels ont alors été suspendus en janvier 2015, en raison des protestations internationales et de son mauvais état de santé.

Sa critique de l’Islam : les articles qui l’ont mené en prison

Un livre reprend les 14 articles qui lui ont valu prison et flagellation.  « 1 000 coups de fouet parce que j’ai osé parler librement » est publié aux Editions Kero, avec le soutien d’Amnesty International. Sur internet, Badawi exprime sa volonté d’une moindre influence de la religion sur la vie du royaume. Il a notamment écrit que musulmans, chrétiens, juifs et athées sont tous égaux. Il dénonce l’oppression infligée par la grande pétromonarchie aux non-musulmans, aux femmes, aux libre-penseurs.

« Comment pouvons-­nous, avec de tels individus, bâtir une civilisation humaine, et avoir des relations normales avec six milliards de personnes, dont plus de quatre milliards et demi ne sont pas de confession musulmane ? »

Badawi rejette frontalement toute forme d’islamisme politique. Il affirme qu’il resterait hostile au Hamas, même si ce dernier libérait la Palestine :

« Je ne suis pas pour l’occupation d’un pays arabe par Israël, mais, en revanche, je ne veux pas remplacer Israël par une nation islamique qui s’installerait sur ses ruines, et dont le seul souci serait de promouvoir une culture de mort et d’ignorance parmi ses fidèles, à une époque où nous avons désespérément besoin de ceux qui en appellent à une culture de vie et de développement, propre à cultiver l’espoir dans nos âmes. »

Le Prix Sakharov: un prix au courage

Martin Schulz, président du Parlement européen, a décrit Badawi comme un blogueur et écrivain qui « a courageusement exprimé ses idées et ses doutes sur certaines règles de son pays jugées excessivement restrictives, et a cherché à défendre la liberté de pensée de tous les Saoudiens ». Le Parlement européen a d’ailleurs demandé, lors de la dernière plénière, au Roi d’Arabie Saoudite de gracier Raif Badawi, a-t-il ajouté, et «de le laisser sortir de prison pour qu’il puisse retrouver sa famille et qu’il puisse venir recevoir ce prix lors de notre session de décembre, ici à Strasbourg ».

(Leonor Hubaut)

(*) Le Prix Sakharov pour la liberté de l’esprit, parfois considérée comme l’équivalent européen du Prix Nobel de la Paix, est décerné chaque année par le Parlement européen. Il a été créé en 1988 pour honorer des personnalités collectives ou individuelles qui s’efforcent de défendre les droits de l’homme et les libertés fondamentales.

L’armée va former du personnel pour Disney

Blog Secret Défense - Mon, 02/11/2015 - 11:15
François Hollande a inauguré jeudi dernier le premier centre du nouveau Service militaire volontaire

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