South Korea’s new AH-64Es:
Le corps sans vie de Maroufou Fagbohoun, la soixantaine, a été retrouvé dans une fosse dans sa concession mercredi matin, au quartier Gbèkon-Hounlin dans la commune d'Abomey, a constaté le correspondant de l'ABP.
A la découverte du corps de Maroufou Fagbohoun, un malvoyant, les membres de sa famille et ses proches consternés dans ce drame, suppose que le défunt se serait réveillé tôt le matin pour aller aux toilettes, quand il est tombé dans une fosse ouverte dans la concession, à 10 mètres environ de sa chambre.
De son vivant, a-t-on précisé, le sieur Maroufou tâtait les murs pour se déplacer dans la concession.
Cette fosse à ciel ouvert est creusée par les fils du défunt pour servir de latrines, informe-t-on. Seulement, depuis le début des travaux, la fosse n'est pas protégée jusqu'à la survenance du drame.
ABP/IA/DKJ
La nouvelle vient de tomber. Les importateurs de produits étrangers au Bénin par voie terrestre doivent trouver un nouveau moyen pour faire rentrer leurs marchandises sur le territoire national.
(Par Roger Gbégnonvi)
Le 8 septembre 2016 à Tori-Avamê, à quelques encablures de Cotonou, sur un site bien circonscrit, les services de santé font incinérer des produits avariés préalablement aspergés de liquide inflammable. Des gens de la région se précipitent dans le trou pour récupérer les produits destinés à être brûlés. Une poche de feu, que nul n'avait vu, repart et c'est la fournaise : des morts brûlés vifs et des rescapés grièvement brûlés, dont les corps saignants sont insupportables à tout regard un peu sensible. L'horreur. Et l'on se demande quelle idée de s'introduire dans un trou pour en ressortir chargé de produits réputés nocifs à la santé et en tout cas empoisonnés par un produit inflammable.
L'on viendrait pourtant bien mal à propos de condamner ces malheureuses gens, morts carbonisés ou réchappés des flammes le corps en lambeaux. Avamê, avec ses sinistrés de circonstance, n'est jamais que l'odieuse vitrine du Bénin laxiste et permissif, gangrené par une corruption barbare, ce Bénin où femmes et hommes meurent, tués par les leurs à grand et à petit feu. En la circonstance tragique, les rescapés ont été transportés ‘‘à l'hôpital le plus proche''. Si leur corps flambé ne leur a pas enlevé la conscience des choses environnantes, ils ont dû voir des infirmiers et infirmières en plein désarroi, allant et venant, lâchant des vérités connues telles que : ‘‘Mais on n'a rien pour les soigner. Rien n'a jamais été prévu pour ça. Il n'y a même pas de compresse. Le médecin est rare depuis trois jours parce qu'il se doit aux patients de sa clinique privée…'' Choses entendues en des circonstances moins tragiques. Et il est vrai que nos hôpitaux sont souvent si démunis que le malade est prié de se munir du thermomètre devant servir à lui prendre la température. Les malades ne sont pas maltraités, on ne les conduit pas à grand feu à la mort, on les laisse y aller à petit feu, en leur faisant croire que la vie est possible. Mais faute de moyens et de personnel suffisants, on sait que seuls seront bien soignés les malades transportés en Afrique du Sud.
Et parce qu'on n'imagine pas les mamans ou les papas, fatigués, sauter dans un cratère au mépris de leur vie, on présume que les auteurs du bond suicidaire sont des jeunes gens exténués par le chômage et vivant d'expédients dans leur pays malmené. S'ils ont été scolarisés, ils n'ont rien appris ou pas grand-chose car, pour raisons de difficultés et de grèves à répétition, l'Etat a laissé valider des années scolaires de trois mois au lieu de neuf, on a rabougri d'autant les quotas horaires de cours, on a recruté des maîtres foncièrement incompétents, etc. Je-m'en-foutisme et négligences en série ont fait de ces enfants des gens qui massacrent la langue française, qu'on était censé leur enseigner, et qui bégaient la langue maternelle qu'ils n'ont jamais soignée. Et les voici spectres errants dans un Bénin qui tue son avenir à grand et à petit feu. Avenir flambé dans un trou avec des produits avariés.
Le Chef de l'Etat a promis enquête et sanctions suite au drame d'Avamê. Il est en effet au moins deux questions à poser :- Les produits ont-ils été importés avariés ?- Au lieu de bloquer tout accès au site de leur incinération, qu'a-t-on pu dire aux riverains ? Peut-être leur a-t-on soufflé : ‘‘Allez-y, ce n'est pas si avarié que ça. Nous, on s'est servis au passage. Faites quand même attention à vite remonter.'' Oui, il faut punir les coupables. Dans la foulée, le Chef de l'Etat devra rendre publics avec effet les résultats des audits en cours. Il se murmure déjà qu' ''ils vont se taire là-dessus comme en 2006'', à cause des gens haut placés tapis au fond des gros scandales financiers. Il paraît qu'on ne saurait les inquiéter sans que le pays n'explose. Puisse le Chef de l'Etat ne pas se laisser récupérer. Le pays s'est effondré. S'il explose, ce sera signe de résurrection, de rupture pour un nouveau départ. Dans le Bénin à venir, nous ne tolérerons plus que, à grand et à petit feu, on nous tue.
Aux grands maux les grands remèdes, dit-on. Dans son combat contre le grand banditisme pour l’instant non maîtrisé, le gouvernement du Président Patrice Talon vient de prendre une grande décision.
Heute entscheidet der Ständerat über die Zukunft des Raschelsäckli. Schreibt der Rat diese Motion ab, wird der Detailhandel das Säckli von den Kassen verbannen. Aber nicht überall.
Die Tage des kostenlosen Einwegsäckli sind gezählt. Vorausgesetzt, der Ständerat schreibt heute die Plastiksäckli-Motion von Dominique de Buman (CVP, 60) ab. Die Chancen dafür stehen sehr gut – hat doch der Nationalrat die Motion bereits versenkt.
Es wäre eine gute Nachricht für die Umwelt. Denn mit dem Aus für die Motion kommt die Branchenvereinbarung der Detailhändler zum Tragen. Ihre Alternative zum Verbot: Dass spätestens in zwei Jahren das Gratissäckli an der Kasse Geschichte ist.
Das Papier liegt fixfertig in den Schubladen. Die Interessengemeinschaft Detailhandel Schweiz (IG DHS), die Coop, Migros und Co. vertritt, wartet einzig den Ständeratsentscheid ab.
Preis der Raschelsäckli noch unklarGanz verschwinden werden die Tüten allerdings nicht. Aber die Vereinbarung verlangt, dass die Detailhändler die Säckli nicht mehr gratis abgeben dürfen. Die Läden müssten also entweder die kostenlose Tüte verbannen – oder sie verkaufen. «Das wird den Gesamtverbrauch von Raschelsäckli um 70 bis 80 Prozent reduzieren», erwartet Patrick Marty (40), Leiter Geschäftsstelle der IG DHS. Einen möglichen Preis pro weissen Sack will er aber nicht nennen.
Klar ist: Das Säckli muss keine Unsummen kosten, damit die Kunden umdenken. Das beweist die Migros im Waadtland. Dort wird das Raschelsäckli für fünf Rappen verkauft. Resultat: Die Zahl der in Migros-Filialen ausgegebenen Säckchen hat um stolze 94 Prozent abgenommen.
In Convenience Stores, etwa Tankstellenshops, werden die weissen Tüten weiterhin gratis abgegeben. Grund: «Dort kauft man ungeplant ein», sagt Marty. Ein Verkaufspreis hätte darum wenig Wirkung, glaubt er. Welcher Detailhändler die Säckli verbannt, und wer bald dafür Geld verlangt, ist offen. Migros und Coop wollten sich gestern nicht dazu äussern. Bei Lidl gibt es bereits seit Anfang Jahr keine Raschelsäckli mehr.
Mit der Vereinbarung kann auch Dominique de Buman gut leben – obwohl seine Motion ein Verbot von Raschelsäckli verlangte. «Es bleibt zu hoffen, dass kostenpflichtige Säckli die gewünschte abschreckende Wirkung haben», sagt er. Sonst müsse das von beiden Kammern ursprünglich angenommene Verbot eingeführt werden.
Das Rüstungsprojekt Bodluv lief korrekt. Zu diesem Schluss kommt jedenfalls eine Administrativuntersuchung. Die Kommunikation müsse aber verbessert werden - das findet auch Bundesrat Guy Parmelin.
Das Projekt zur Beschaffung der Bodengestützten Luftverteidigung (abgekürzt: BODLUV) wurde gemäss Weisungen und Reglementen abgewickelt. Zu diesem Schluss kommt Kurt Grüter, der ehemalige Chef der Eidgenössischen Finanzaufsicht. Ihn hatte Verteidigungsminister Guy Parmelin Ende März mit einer Adminstrativuntersuchung in dieser Sache beauftragt.
Schönwetter-WaffenAnlass waren war ein Bericht der «Rundschau» des Schweizer Fernsehens, wonach die Armeebeschafferin Armasuisse plane, zwei untaugliche Abwehrsysteme zu beschaffen.
Beides ungenügende Leistungen gemäss den Anforderungen der Luftwaffe. Das hielt die mit der Aufgabe betraute Arbeitsgruppe jedoch nicht davon ab, die Beschaffung weiterzutreiben. Mit der Kombination beider Systeme wollte man die jeweiligen Mängel kompensieren. Oder einfach gesagt: Aus 2x «nicht erfüllt» sollte 1x «knapp erfüllt» werden.
Persilschein für alle BeteiligtenAls das publik wurde, sistierte der neue Verteidigungsminister Parmelin das Projekt und setzte Grüter ein. Der stellt in seinem Bericht nun allen involvierten einen Persilschein aus. Allerdings empfiehlt er für die Zukunft, Politik und Öffentlichkeit von Beginn weg besser einzubeziehen. «Transparenz schafft Vertrauen», so Grüter.
Dennoch lässt auch Grüters Bericht viele Fragen offen. So hat die für die Beschaffung zuständige Generalunternehmerin nur ein System zum Kauf empfohlen. Warum setzte sich die Arbeitsgruppe darüber hinweg? Und war Bundesrat Guy Parmelin ausreichend informiert? Er hatte explizit gefordert, dass ohne Rücksprache mit ihm kein Entscheid getroffen wurde. Diese Fragen wird Grüter beantworten müssen. BLICK hält sie auf dem laufenden.
Les hommes de l'équipe nationale du Bénin n'ont pas pu prendre la revanche des femmes dans l'après-midi du mercredi 21 septembre 2016 face à leurs homologues du Burkina Faso. Déjà vainqueurs chez les dames, les Etalon ont réédité l'exploit en dominant les Écureuils du Bénin par un score de 3 sets à 1, suite à des erreurs techniques.
Le Bénin avait pourtant bien commencé en affichant sa détermination et en arrachant le premier set, 21-25. Mais, au deuxième set, les burkinabé vont appuyer sur l'accélérateur et changent de tactique de jeu. Une stratégie qui va leur permettre de prendre le deuxième set avec quatre points d'écart, 25-18. Au troisième set, malgré les changements de Ghislain Tomèdé, les Écureuils ne sont pas parvenus à rétablir la parité et tombent à nouveau, 25-21 face à une équipe du Burkina Faso qui n'était pas une foudre de guerre. Lucien Assogba, Jawal Tabé, Éric Assogba et autres vont finalement se réveiller pour le compte du quatrième set. Ils tentent le tout pour le tout. Ils mettent l'agressivité et la rapidité dans leur jeu.
A ce stade de la rencontre, les béninois devraient arracher ce set pour contraindre les burkinabé à aller au time-break. A 17-17, les Écureuils ont réussi à prendre une large avance sur leur adversaire, 20-17. Mais, les mauvais positionnements, placements et déplacements sur le terrain vont permettre à la formation du Burkina Faso de les rattraper au score et de prendre finalement ce quatrième set 25-23.
Ainsi, pour leur première sortie dans cette compétition, les béninois perdent par un score de 1 set à 3. A en croire, le capitaine Lucien Assogba, le jeu était équilibré dans l'ensemble. " Nous avons perdu grâce à nos propres erreurs. Cette défaite est trop facile. Cette rencontre est à notre portée " a-t-il déclaré.
De son côté, l'entraîneur Ghislain Tomèdé croit en ses poulains et est optimiste pour la suite de ma compétition. " Nous aurions aimé gagner ce match, mais nous sommes confiants en l'avenir. Nous avons joué avec des jeunes qui ont beaucoup d'espoir et qui ont failli dans les deniers gestes " a-t-il déclaré. Il faut rappeler que le tournoi se poursuit ce jeudi 22 septembre 2016. Chez les dames, le Niger affronte le Burkina Faso à 10h et le Bénin sera face au Ghana à 12h. Du côté des hommes, le Niger défie le Burkina Faso à 15h et le Ghana joue le Bénin à 17h.
Chez les Dames :
Burkina Faso # Bénin 3 - 0 ( 25-16 / 25-21 et 25-19)
Niger # Ghana 0 - 3 (08-25 / 17-25 et 13-25)
Chez les Hommes
Burkina Faso # Bénin 3 - 1 (21-25 / 25 - 18 / 25 - 21 / 25 - 23)
Niger # Ghana 0 - 3
De Ouagadougou, Pérez LEKOTAN
Le Conseil Municipal de Cotonou tient depuis le mercredi 21 septembre 2016, sa troisième session ordinaire pour le compte de l'année. Il convient de noter que le même état d'esprit d'apaisement et de rassemblement qui a toujours prévalu depuis l'installation du Maire Léhady Vinagnon SOGLO continue de régner au sein du conseil. Ce qui était encore le cas hier lors des travaux qui se sont déroulés dans une ambiance conviviale et chaleureuse entre les élus municipaux, toutes tendances politiques confondues. Prévus pour durer trois jours, les travaux de la session ordinaire portent sur un ordre du jour en cinq points. Il s'agit de la présentation des rapports de mission du Maire Léhady Vinagnon SOGLO en France et du Premier adjoint au Maire Isidore GNONLONFOUN en Chine, de l'examen du projet de mise en place du Fonds de Développement Municipal de Cotonou, du compte rendu relatif au dossier SODECIB, de l'examen du collectif budgétaire, de la présentation des rapports des commissions permanentes, de l'élection du nouveau Chef du 2ème Arrondissement en remplacement de Bruno DOSSOU dont le siège a été invalidé.
Tous unis autour du président du Conseil, les distingués conseillers ont examiné les différents dossiers prévus pour le compte de la première journée. Ainsi, le rapport de mission du Maire en France a été applaudi par l'ensemble du conseil. Un document très apprécié de plusieurs élus municipaux qui ont salué les efforts de l'autorité municipale dans la recherche de solutions idoines aux différents problèmes des Cotonois notamment la gestion des ordures ménagères. L'autre point qui a reçu l'approbation des conseillers est celui relatif au projet decréation d'un Fonds de Développement Municipal destiné à accompagner lesjeunes, les femmes, les artisans dans la promotion de leur activités. Dans son allocution d'ouverture, Le Maire Léhady SOGLO a attiré l'attention desconseillers sur certains évènements regrettables que subissent les populationsde Cotonou depuis quelques temps. Il s'agit de l'épidémie de choléra et de lamontée des eaux des cours d'eaux dans la ville avec leurs menaces sur la quiétudedes citoyens de la Capitale économique du Bénin. Face à cette situationdramatique, l'édile de Cotonou a invité les membres de son conseil à s'impliquerdans la recherche de solutions pour contrer cette épidémie de choléra dans unesprit de solidarité et d'entraide. S'agissant toujours de cette situation relativeà la montée des eaux, l'édile de Cotonou a présenté aux élus quelques actionspréventives entreprises. Entre autres, il s'agit de la formation des pairséducateurs ; de l'identification des sites successible d'accueillir les sinistrés encas de nécessité ; de l'élaboration d'un plan de communication et désensibilisation impliquant les élus. Soulignons qu'en respect de la décision de la Cour suprême invalidant le siège de ancien Chef du 2ème arrondissement M. Bruno DOSSOU, le président du Conseil municipal de Cotonou a procédé à l'installation officielle du nouveau conseiller AliKAMAROU. Il convient de noter qu'avant l'ouverture des travaux de la session, le Maire Léhady Vinagnon SOGLO et ses adjoints ont fait d'une pierre deux coups en procédant à la remise officielle des matériels roulants aux agents de liaison. Acet effet, un lot de vingt-quatre motos flambant-neufs ont été officiellement mis à la disposition du personnel qui assure la liaison entre la ville et les autres structures. Un geste très apprécié par les différents responsables syndicaux de la mairie qui ont salué cet effort de l'édile de Cotonou.
La rentrée scolaire 2016-2017 est fixée au 3 octobre 2016. Mais cette rentrée, à en croire la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (CSTB) dans une déclaration en date de ce mercredi 21 septembre 2016, angoisse les parents d’élèves et d’étudiants, les élèves, les étudiants et les enseignants.