You are here

Feed aggregator

Marisol Touraine, la "carte vitale" de François Hollande

Le Point / France - Fri, 23/09/2016 - 10:28
Elle bouche le trou de la Sécu, augmente les médecins et assume la réforme des retraites. Avec elle, Hollande jouera la carte sociale de sa campagne.
Categories: France

Menacé de mort en Guinée mais expulsé ?

L`Humanité - Fri, 23/09/2016 - 10:22

Étudiant à l’université Panthéon-Sorbonne, Abdoulaye vit depuis une semaine sous la menace d’être renvoyé dans son pays, où il a été pourtant traqué comme membre de l’opposition…

Categories: France

Ces obstacles qui barrent l'autoroute du bonheur

Le Monde Diplomatique - Fri, 23/09/2016 - 10:19

Cette allocution a été prononcée le 27 octobre 2000, à Salzbourg, dans le cadre de la Conférence internationale sur les services, par un certain Andreas Bichlbauer en remplacement du directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), M. Mike Moore, indisponible. Le public était constitué de spécialistes du commerce international et d'avocats d'affaires. Nous en présentons ici quelques extraits.

Le thème qui nous occupera aujourd'hui est celui des obstacles au libre-échange, des diverses barrières qui ont été érigées à son encontre — de façon officielle, semi-officielle ou complètement informelle. Bien entendu, ces barrières n'affectent pas seulement les présents, elles affectent aussi le reste du monde. Il s'agit d'un problème crucial pour le progrès et le développement. (…)

Les barrières tarifaires

Par « barrières tarifaires », j'entends les initiatives prises à diverses reprises par les gouvernements de divers pays pour protéger les conditions de leur développement économique en vue du bien-être de leurs propres citoyens, ou bien des citoyens d'autres pays dans la mesure où ils éprouvent envers eux un certain sentiment de responsabilité, pour telle ou telle raison historique.

L'exemple le plus notoire, celui que tout un chacun associe au thème du commerce international dans plusieurs régions du monde, en particulier dans les secteurs de la population les plus réticents au libre-échange, est celui dit « de la banane équitable ».

Vous connaissez tous la blague : « On ne peut pas tuer quelqu'un en le frappant à la tête avec une banane. Mais on peut tuer quelqu'un pour une histoire de bananes en le frappant à la tête avec une machette. »

Qu'est-ce que ça veut dire au juste ? (…)

Si nous permettons qu'un seul pays paie une seule banane au-dessus de sa valeur, la porte est ouverte à tous les excès. C'est comme quand un amateur de vin passe un beau jour à la marijuana, un peu plus tard à l'héroïne et, de fil en aiguille, devient accro à la coke. Le jour où vous verrez vos proches chanceler comme des zombies, vous saurez que vous avez glissé sur une sacrée peau de banane !

Le thème des bananes n'est pas de ceux qu'on peut prendre à la légère.

Les barrières non tarifaires

La question des barrières non tarifaires est un peu plus compliquée. Elles peuvent inclure tout un tas de choses, depuis la protection de l'environnement — cf. les dauphins — jusqu'aux coutumes locales, qui se substituent au gouvernement en matière de restriction du flux des biens et des capitaux, imposant des limites au fonctionnement normal des forces économiques.

Il n'y a pas longtemps, il y a eu une tentative de fusion entre KLM, une entreprise néerlandaise, et Alitalia, une compagnie italienne. La variable principale, en l'occurrence, était le facteur sieste.

En effet, aux Pays-Bas et dans la plupart des pays nordiques, les gens dorment la nuit et se permettent au maximum un bref Mittaggesundheitschlaf au milieu de la journée. Il y a très peu d'occasions de se soustraire aux exigences de l'environnement de travail. Les gens ont un emploi du temps quotidien extrêmement régulier, en particulier en ce qui concerne le sommeil.

En revanche, en Italie, la situation est tout à fait différente. On dort presque autant le jour que la nuit. En outre, la pause-déjeuner peut durer une ou deux heures. Une petite sieste est souvent de mise après le repas. Les gens sont très conviviaux, ils aiment bien se payer une bonne tranche de rigolade. On boit souvent un peu trop de vin, on s'offre volontiers un saltimbocca alla romana et tous ces plats délicieux qui finissent par nuire à la discipline de travail.

Tous ces problèmes ont fait échouer la fusion et toute l'opération est tombée à l'eau. Voilà encore une grande opportunité de transnationalisation remisée au placard.

C'est là un exemple particulièrement déchirant pour l'OMC, car s'il y a un mot qui résume notre identité, c'est bien celui d'« alliance ». L'OMC est une excroissance du GATT, qui a lui-même émergé au lendemain de la seconde guerre mondiale dans un souci de prévenir les conflits futurs. L'idée de base — que nous colportons toujours volontiers —, c'est que les fournisseurs tuent rarement leurs clients et que, quand on fait des affaires avec quelqu'un, on n'a généralement pas recours au meurtre.

Bien entendu, il y a des exceptions : la première guerre mondiale, la seconde guerre mondiale, le génocide rwandais, la Yougoslavie, l'Irak, etc. Mais notre théorie est valable pour au moins un cas important, la totalité du XIXe siècle, époque où le libre-échange a empêché les partenaires en affaires de s'entretuer. Pendant cent ans, le type de liberté des échanges que l'OMC s'emploie à mettre en pratique aujourd'hui a contribué à préserver la paix entre les nations riches et puissantes d'Europe, avec comme seule exception le colonialisme et la traite des esclaves.

C'est pourquoi, quand les fusions sont menacées par des idiosyncrasies locales, quand les mœurs font obstacle à la marche forcée du commerce, c'est tout le système des intérêts transnationaux qui est remis en question et, avec lui, la paix et la stabilité de l'après-guerre.

Nous sommes confrontés à une situation globalement assez grave. Tout obstacle artificiel au libre flux des capitaux constitue un risque majeur. Dans quel sens va l'évolution de cette situation ? Nous n'en savons rien. Quelle est la solution, lorsque non seulement les gouvernements, mais la diversité des cultures locales conspirent pour faire obstacle au libre flux du progrès ?

Mystère.

Les barrières systémiques

Pour conclure, j'aimerais vous parler d'un type de barrières commerciales qui est à la fois le plus énigmatique et, bizarrement, sans doute le plus facile à éliminer : les barrières systémiques.

Nous savons tous ce qu'est la démocratie : la participation du plus grand nombre possible de consommateurs au fonctionnement direct du gouvernement et de l'économie. Il s'ensuit de façon quasi obligée que le libre-échange n'est que l'autre face de la monnaie démocratique, et que la consommation est la forme suprême de démocratie et de citoyenneté dans le monde moderne.

Démocratie, deux voies possibles

La liberté du consommateur est, bien entendu, un élément essentiel du processus démocratique, même si son rôle est rarement apprécié à sa juste valeur, et si elle est toujours inopérante dans la pratique. Cela est dû à la multiplicité de phénomènes spécifiques qui caractérisent la politique dans les démocraties contemporaines, aux diverses manifestations du pouvoir du peuple : les Parlements, les Congrès, etc. Une telle variété, une telle complexité ne peuvent que déboucher sur l'inefficacité, une inefficacité parfois fatale pour l'idéal d'une démocratie de consommateurs.

Heureusement, l'exemple du secteur privé nous permet d'envisager des solutions émergentes au faible rendement des institutions dites « démocratiques ».

Une solution possible, actuellement testée sur la scène politique américaine, serait de rationaliser un processus électoral qui s'avère grotesquement inefficace — et les élections sont évidemment au cœur de la démocratie des consommateurs.

Examinons d'abord le fonctionnement actuel des élections, avec toutes leurs déficiences. Au sommet, nous avons une série d'entreprises, que nous baptiserons Entreprises A. Chacune d'elles emploie en moyenne une douzaine de salariés pour transférer des sommes importantes au bénéfice de telle ou telle campagne électorale — disons la Campagne B. Il peut s'agir de n'importe quelle élection, y compris au poste de président. De son côté, l'état-major de la campagne — qui emploie lui aussi un grand nombre de salariés — transfère des sommes non moins importantes à une agence de relations publiques, type Hill & Knowlton, que nous nommerons C. Ladite agence de relations publiques, qui emploie une cinquantaine de salariés à plein temps, transfère de coquettes sommes à plusieurs chaînes de télévision qui, en fin de parcours, transmettent l'information pertinente au consommateur — sans lui remettre d'argent, bien entendu.

L'ironie de la chose, c'est que pour engendrer toute la quantité d'argent nécessaire afin d'alimenter cette chaîne, au début de la chaîne, vous avez les travailleurs des entreprises qui financent la campagne, lesquels se trouvent être aussi les citoyens et les électeurs en fin de chaîne. Il s'agit donc d'un système qui s'autoalimente et dont l'utilité réelle est proche de zéro.

Mais on peut proposer un autre modèle. Avec l'aide d'à peu près le même nombre de salariés, les entreprises ne paient plus qu'une seule entité : Voteauction.com. Voteauction.com, à son tour, n'a besoin que de quatre salariés pour transmettre directement à l'électeur-consommateur non pas de l'information, mais des espèces sonnantes et trébuchantes. Voteauction.com est un système qui permet aux électeurs de mettre de leur plein gré leur vote aux enchères et de le vendre au plus offrant. Il s'agit d'un espace où les gens qui ne ressentent pas d'affinité particulière pour tel ou tel candidat peuvent confier leur voix au marché. Cela permet de rationaliser l'ensemble du processus électoral et, comme dans tous les marchés, tout le système fonctionne au profit des consommateurs — et des entreprises qui en sont à l'origine, bien entendu.

Cette conférence est l'un des nombreux canulars réalisés par le collectif des Yes Men. Au début des années 2000, grâce à un faux site de l'OMC, ils se font inviter à plusieurs réunions économiques où ils présentent leur « expertise » devant un public enchanté. Leurs performances sont visionnables sur : http://theyesmen.org/

Les abeilles aussi ont souffert du climat en 2016

L`Humanité - Fri, 23/09/2016 - 10:15

La récolte de miel sera d’environ 9.000 tonnes cette année, soit 1000 tonnes de moins qu’en 2015 une année déjà médiocre. Une aberration dans un pays aux paysages variés propices à la production d’une grande diversité de miels alors que la consommation dépasse les 40.000 tonnes par an.

Categories: France

Átfestett forgószárnyasok

JetFly - Fri, 23/09/2016 - 10:15
„Ruhacsere”.
Categories: Biztonságpolitika

Le oui mais... de Zurich aux JO d'hiver

24heures.ch - Fri, 23/09/2016 - 10:07
La ville de Zurich n'est pas très chaude pour participer à l'organisation des Jeux olympiques d'hiver 2026.
Categories: Swiss News

Kiújultak a tüntetések Charlotte-ban, a rendőrség könnygázt vetett be

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 23/09/2016 - 10:07

Könnygázt vetett be a rendőrség csütörtök este az egyesült államokbeli Charlotte-ban a tüntetők ellen, akik le akartak zárni egy autópályát, tiltakozva az ellen, hogy egy rendőr intézkedés közben lelőtt egy afroamerikai férfit.

Égypte : Orange, Vodafone et Etisalat font l'impasse sur la 4G

Jeune Afrique / Economie - Fri, 23/09/2016 - 10:06

La filiale du groupe français en Égypte a renoncé à acheter une licence 4G proposée par le régulateur national des télécoms, a-t-elle fait savoir jeudi. Les deux autres leaders du marché, le britannique Vodafone et l'émirati Etisalat, ne se sont pas manifestés non plus alors que le dépôt des candidatures arrivait à son terme.

Cet article Égypte : Orange, Vodafone et Etisalat font l’impasse sur la 4G est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.

Categories: Afrique

La plus belle arnaque du monde

La Tribune - Fri, 23/09/2016 - 10:06
Chaque matin, l'actualité économique commentée par Marc Fiorentino...
Categories: France

What We Get Wrong about Climate Change Solutions

Foreign Policy Blogs - Fri, 23/09/2016 - 10:04

Photo by orangesparrow. (FlickR)

The world of climate change wonks suffers no shortage of policy ideas. Virtually every day, a new visionary policy proposal joins the portfolio of clever climate change solutions both big and small. The latest and greatest of these belongs to the Club of Rome, of “Limits to Growth” fame. In sweeping fashion, the organization’s newest report suggests a number of measures to curb environmental degradation and set the world on a path towards sustainable development. The authors’ grab bag of policy ideas includes a universal basic income, carbon and wealth taxes, but also an increase in the retirement age. Most controversially, the report suggests paying women in industrial countries to have fewer children.

On the one hand, the report can be read as an important contribution towards how to think about climate change. There is a growing awareness that it is not exclusively an environmental phenomenon. As such, climate change is not exogenous to society. It is a direct corollary of what we produce in society, how we decide to produce it, where our priorities lie, and how we distribute gains. With that in mind, we should be more creative in conceiving effective social and economic policies at a much broader level. The days of climate change as a niche policy area are gone. By contrast, it is an outcome of a vast array of decisions we as members of society make every day. That should be reflected in public policy.

So far so good. Yet, the Club of Rome report, like most of its kind, lacks a fundamental quality. Whatever you think of paying women to have fewer babies, or the merits and downsides of a wealth tax, the paper has little to say about possible strategies to implement these suggestions politically. This is where most policy experts fail. We often tend to segregate policy generation from policy implementation. Sure, from a climate perspective a carbon tax sounds lovely. Both economists and environmental activists are for it. Mountains of detailed studies have been produced to determine the most efficient design of such a tax. Yet, it has proven exceedingly difficult to actually establish the political conditions under which carbon taxes can be implemented. National or supranational carbon taxation schemes remain practically non-existent. The few that do exist remain marginal.

What explains the repeated failure of policy implementation? Political scientist Robert MacNeil argues that policies associated with market environmentalism—such as carbon levies and emissions trading—tend to fail in liberal-market economies. At first, that seems paradoxical. MacNeil’s hypothesis is that, in countries like the United States, Canada, or Australia, workers enjoy less protection from market-based effects. In turn, putting a price on carbon is perceived as an additional tax on the most vulnerable. As Oscar Wilde knew, it is only shallow people who do not judge by appearances. The politics around policy matters. The lesson is that we should pay as much attention on researching possible enabling conditions as we do on policy content. It should not just be left to politicians to figure it out.

Of course, climate change is not exceptional in this regard. There are plenty of public policy areas in which much is made about detailed plans without giving sufficient thought to a political implementation strategy. Clever education policies often end up on the scrap heap when the political coalitions to implement them fail to materialize. Most people agree that infrastructure spending in industrialized countries is woefully inadequate, but policy change continues to be elusive. With climate change increasingly becoming an issue associated with political identity, however, there is some exigency in paying more attention to politics instead of policy.

Now, it goes without saying that we need visionary policy ideas. There is a certain legitimacy to thinking about ideas in the abstract. Without the restrictions of actual political conditions on the ground, we can develop ideal scenarios and bench marks. This is not where research should stop, however. The analogy here is the way many economists tend to think about their discipline. As the joke goes, you need eight economists to change a light bulb—one to change the bulb, and seven to hold everything else constant. Reality is messier than that. And climate change policy needs to adapt to reflect a messy political reality. We should think hard about whether policy suggestions should generally be accompanied by an analysis of what would need to happen politically to make them feasible. Would we need a change in norms? Is there a particular set of policy entrepreneurs that would be required? Does policy change in field X presuppose a change in field Y?

Take the debate about fossil fuel subsidies. In many cases big fossil fuel companies continue to receive unnecessary handouts from governments. By all accounts, that should stop. Yet, the majority of subsidies actually go towards consumers. Governments, justifiably or not, use these subsidies as a substitute for social policy. As repeated examples have shown, it is then incredibly difficult to remove them. While research has indicated that fossil fuel subsidies are wasteful, kill the climate, and are not actually beneficial to the poor, the perception among people is a different one. Therefore, the emphasis has rightly shifted towards an analysis of the enabling conditions which would allow for meaningful reform.

If we return to the Club of Rome report, the same concern emerges. Take something like curbing population growth. This has been a popular idea for quite some time now. As early as the 1960s, Paul Ehrlich warned about the impending “population bomb”. Suppose for the sake of argument that you agree that managing population growth is key to curbing climate change. We have only seen two mechanisms by which population control has actually been achieved. One is, of course, China’s one-child policy. Fortunately or unfortunately, depending on one’s perspective, the one-child policy appears to be particular to China’s political system and the point in time when it was implemented. With its erosion even in China itself, it has little to no chance of revival. The other option would be economic development broadly speaking, and education in particular. That is not a policy. So if the aim is effective population control, one has to both describe a set of policies and provide an analysis of how those policies will be put on the agenda.

The politics around policy matters. To be more effective at policy implementation, wonks should contextualize ideas within the given political environment. Climate change is politics. Policy ideas need to reflect that reality.

The post What We Get Wrong about Climate Change Solutions appeared first on Foreign Policy Blogs.

Normandie: les femmes du président Hervé Morin

L`Express / Politique - Fri, 23/09/2016 - 10:00
Elles sont trois à occuper une place particulière autour du patron de la région Hervé Morin. Passage en revue.
Categories: France

Le 13 septembre 1946, la Sécurité sociale pour tous les citoyens

L`Humanité - Fri, 23/09/2016 - 09:58

Quand la généralisation de la Sécurité sociale est mise en place, s’ouvre au niveau du pays un important débat entre partisans et détracteurs de cette institution programmée par le Conseil national de la Résistance. Ambroise Croizat et Pierre Laroque mènent la bataille pour l’imposer.

Categories: France

Oroszországban büntetőeljárást indítottak ukrán katonai vezetők ellen

Biztonságpiac - Fri, 23/09/2016 - 09:57
Büntetőeljárást indított az orosz Nyomozó Bizottság (SZK) Sztepan Poltorak ukrán védelmi miniszter, valamint Ukrajna fegyveres erőinek több más magas rangú vezetője, köztük Viktor Muzsenko vezérkari főnök és Jurij Allerov, az ukrán Nemzeti Gárda parancsnoka ellen — jelentették orosz hírügynökségek

A SZK szerint az eljárásban érintettek felelősek azért, hogy a Donyec-medencében az ukránok tiltott eszközöket és módszereket alkalmaztak a polgári lakosság ellen. Az orosz hatóságon belül 2014-ben állítottak fel egy, a szakadár kelet-ukrajnai területeken elkövetett háborús bűncselekmények kivizsgálására szakosodott osztályt, amely eddig mintegy hatvan büntetőeljárást kezdeményezett.

A legújabb érintettek köre kiterjed Viktor Muzsenkóra és Szerhij Popkóra, az ukrán szárazföldi erők volt és jelenlegi parancsnokára is.

Az ukrán katonai főügyész áprilisban Ukrajna elleni különösen súlyos bűncselekmények elkövetésével vádolta meg Alekszandr Vitkót, az orosz Fekete-tengeri Flotta parancsnokát, majd hétfőn idézést küldött több orosz katonai vezetőnek, köztük Szergej Sojgu orosz védelmi miniszternek és két helyettesének. Az ukrán nemzetbiztonságot veszélyeztető bűncselekmények címén körözést adtak ki ellenük.

Categories: Biztonságpolitika

Pourquoi l'Inde s'offre le Rafale

La Tribune - Fri, 23/09/2016 - 09:57
New Delhi a signé vendredi matin avec Paris l'achat de 36 Rafale de Dassault Aviation. L'Inde a sept bonnes raisons de s'offrir l'avion de combat français.
Categories: France

Fennáll az afrikai sertéspestis továbbterjedésének veszélye Kárpátalján

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 23/09/2016 - 09:50

A megyénkben jelentkező afrikai sertéspestises megbetegedésekről beszélt a Kárpátaljai Megyei Tanács ülésén az Ukrán Állami Élelmiszer-biztonsági és Fogyasztóvédelmi Szolgálat kárpátaljai vezetője, Zinovij Romanovics – adta hírül a vsapravda.info szeptember 22-én.

A hivatalnok szerint egyelőre tudják kontrollálni a helyzetet, ám továbbra is számolni kell a vírus továbbterjedésének kockázatával.

Eddig Ukrajna 9 régiójában 54 megbetegedést regisztráltak. Kárpátalja sertéstartó gazdaságainak vezetőit arra intették, ideiglenesen ne forgalmazzák a sertéshúsból készült termékeiket, mivel a vírust a feldolgozott termékek is tartalmazhatják – jegyezte meg Zinovij Romanovics.

A megbetegedés már a szomszédos Csernyivci megye egyik sertéstelepén is felütötte a fejét, abban a gazdaságban az állatállomány száma meghaladja a 16 ezret.

Kárpátalja.ma

Auch Zürcher unter den Gewinnern: Geissen-Brite bekommt Anti-Nobelpreis

Blick.ch - Fri, 23/09/2016 - 09:49

Vorlieben von Pferdebremsen und ein Spottpreis für Volkswagen: Zehn Forschungen, die «zum Lachen anregen», sind mit den sogenannten «Ig-Nobelpreisen» ausgezeichnet worden.

Die traditionell schrille Gala fand in der Nacht zum Freitag an der US-Elite-Uni Harvard zum 26. Mal statt und wurde live im Internet übertragen. Unter den mehr als 1000 Zuschauern waren wie jedes Jahr auch echte Nobelpreisträger vertreten.

Der Preis in der Kategorie Physik ging teilweise in die Schweiz: Hansruedi Wildermuth wurde zusammen mit Wissenschaftler aus Ungarn, Spanien und Schweden für die Entdeckung geehrt, dass Pferdebremsen weniger von weissen Pferden angezogen werden als von schwarzen. Der 75-jährige Zürcher Wildermuth ist in der Libellenforschung tätig und Autor von Naturschutz- und Naturkundebüchern.

Die Ig-Auszeichnung in der Kategorie Wirtschaft bekamen Forscher um Mark Avis von der Massey-Universität in Neuseeland für Forschungen über empfundene Persönlichkeiten von Steinen aus einer Verkaufs- und Marketingperspektive. Der Preis sei eine «riesige Ehre», sagte Avis' Kollegin Sarah Forbes. «Es ist eine grossartige Studie, wir sind sehr stolz darauf.»

Geissen-Forscher ausgezeichnet

Drei Wissenschaftler wurden für aussergewöhnlichen Einsatz bei ihren Forschungen geehrt: Charles Foster, der Dachsen, Ottern, Füchsen, Rehen und Mauerseglern in ihre natürlichen Lebensräume folgte, Thomas Thwaites, der sich für seine Forschungen in der Schweiz als Ziege verkleidete, und Fredrik Sjöberg, der ein dreibändiges Werk über die Freuden des Sammelns von toten Fliegen - und Fliegen, die noch nicht tot sind - schrieb.

Forscher um Gordon Pennycook von der kanadischen University of Waterloo bekamen den Preis in der Kategorie Frieden für eine Studie namens «Zur Rezeption und Aufdeckung von pseudo-tiefgängigem Schwachsinn». Die japanischen Wissenschaftler Atsuki Higashiyama und Kohei Adachi wurden geehrt für Forschungen darüber, ob Dinge anders aussehen, wenn man sich hinunterbeugt und sie durch die Beine ansieht - und machten das auch gleich auf der Bühne vor.

Hosen-Wirkung auf Sexleben

Der ägyptische Wissenschaftler Ahmed Shafik wurde ausgezeichnet für Studien zu den Auswirkungen von Hosen aus Polyester, Baumwolle oder Wolle auf das Sexleben von Ratten - und für ähnliche Experimente mit Männern.

Dem Automobilhersteller Volkswagen verliehen die Veranstalter den - ironisch gemeinten - Preis in der Kategorie Chemie für «die Lösung des Problems des übermässigen Ausstosses von Autoabgasen, indem automatisch elektromechanisch weniger Abgase produziert werden, wenn die Autos getestet werden». «Der Gewinner konnte oder wollte heute Abend nicht bei uns sein«, sagte Moderator Marc Abrahams.

Spiegel-Kratzen funktioniert

Auch zwei weitere Ig-Nobelpreise (ignoble heisst auf Deutsch unwürdig) gingen zumindest teilweise nach Deutschland: Ein Forscherteam um Christoph Helmchen von der Universität Lübeck bekam den undotierten Spasspreis in der Kategorie Medizin für die Entdeckung, dass ein Hautjucken auf der linken Seite des Körpers auch gelindert werden kann, indem man sich vor einen Spiegel stellt und die rechte Seite kratzt - und anders herum.

«Man kann sein Gehirn austricksen», sagte Andreas Sprenger von der Universität Lübeck, der zu der Gala angereist war und den Preis - in diesem Jahr in Form einer Plastikuhr - entgegennahm.

Der Ig-Nobelpreis für Psychologie ging ebenfalls zum Teil nach Deutschland. Ausgezeichnet wurden Forscher um Evelyne Debey von der Universität in Gent - darunter auch Kristina Suchotzki von der Universität Würzburg - für eine Studie, in der 1000 Lügner befragt wurden, wie oft sie lügen - und für die Entscheidung, ob man ihren Antworten glauben kann. (SDA/pma)

Categories: Swiss News

Pages