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Diplomacy & Defense Think Tank News

Culture, Biennale d'Athènes

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/11/2018 - 01:00
La Biennale d'Athènes, une manifestation internationale d'art contemporain, est organisée à Athènes jusqu'au 9 décembre. Elle constitue une large plate-forme pour un engagement critique de la production artistique locale et pour un échange avec la scène internationale.

Culture, Festival de cinéma européen à Ségovie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/11/2018 - 01:00
La 13e édition du festival du cinéma européen qui se tient du 14 au 20 novembre à Ségovie met à l'honneur une sélection de films du continent européen et plus particulièrement cette année la Roumanie, en tant que pays invité.

Culture, Exposition Liberté des artistes du "groupe de novembre" 1918-1935

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/11/2018 - 01:00
La Berlinische Galerie expose pour la première fois les oeuvres du Novembergruppe, une association d'artistes créée en novembre 1918, comme une plateforme pour la liberté, la démocratie et la diversité dans l'arène publique et artistique de la République de Weimar. 119 œuvres de 69 artistes sont présentées jusqu'au 11 mars 2019 pour marquer le centenaire de la plus célèbre de toutes les communautés créatives méconnues et de ses origines dramatiques.

Culture, Rêve d'Italie au Louvre

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 12/11/2018 - 01:00
L'exposition "Rêve d'Italie, la collection du marquis Campana" rassemble jusqu'au 18 février 2019 une collection constituée entre 1830 et 1850 et dorénavant dispersée. A travers des pièces allant d'objets archéologiques à des œuvres de la Renaissance, l'exposition met en lumière le patrimoine culturel de la péninsule à l'heure où émergeait la nation italienne.

Die neue Wirklichkeit der Außenpolitik: Diplomatie im 21. Jahrhundert

SWP - Mon, 12/11/2018 - 00:00

Die moderne Diplomatie ist mit fundamentalen Veränderungen konfrontiert, die in beispielloser Geschwindigkeit auf sie einstürmen: Technische Entwicklungen, insbesondere die Digitalisierung, wirken sich darauf aus, wie sie agiert. Es treten auf nationaler wie internationaler Bühne immer mehr Akteure auf, deren Tätigkeit die Diplomatie berührt; dabei geraten zunehmend auch innenpolitische Politikfelder auf die außenpolitische Agenda. Die Öffentlichkeit sensibilisiert sich für solche Fragen und strebt über soziale Medien oder andere Plattformen nach Einfluss auf die Diplomatie. Zwischenstaatlicher Austausch nimmt ebenso zu wie die innerstaatliche Interdependenz von Regierungshandeln. Inwieweit kann Diplomatie dann noch als legitime Repräsentantin einer in sich schlüssigen Außenpolitik wahrgenommen und entsprechend effektiv tätig werden? Nicht zuletzt ändern sich als Erstes die Ansprüche an Qualifikation und Persönlichkeitsprofil des diplomatischen Korps. Diese Tendenzen, allesamt Ausdruck all­gemeiner gesellschaftlicher Entwicklungen, wird die Diplomatie verarbeiten und in Regierungshandeln übersetzen müssen.

Vier Bereiche sind dafür ausschlaggebend:

1. das Spannungsverhältnis zwischen individuellen Befindlichkeiten und staatlichen Erfordernissen, das ohne Nachteil für den Staat zu nutzen ist;

2. ein Einsatz der Digitalisierung, der so erfolgt, dass die Gewinne an Effi­zienz nicht zu Lasten der Effektivität gehen;

3. neue Formate des Interessenausgleichs, die es Regierungen erlauben, unter Einbindung von Einfluss und Potenzial anderer Akteure immer noch als souveräne Staaten tätig zu werden;

4. neue Formen offener staatlicher Tätigkeit, die dem emotionalisierten Ausdruck von Teilhabewünschen gerecht werden, ohne die Prinzipien reprä­sentativer Demokratie preiszugeben.

New Realities in Foreign Affairs: Diplomacy in the 21st Century

SWP - Mon, 12/11/2018 - 00:00

Modern diplomacy is currently experiencing fundamental changes at an unprecedented rate, which affect the very character of diplomacy as we know it. These changes also affect aspects of domestic and international politics that were once of no great concern to diplomacy. Technical develop­ments, mainly digitization, affect how the work of the diplomat is understood; the number of domestic and international actors whose activity implicates (or is a form of) diplomacy is increasing; the public is more sen­sitive to foreign policy issues and seeks to influence diplomacy through social media and other platforms; the way exchange between states, as well as the interchange between government and other domestic actors, pro­gresses is influencing diplomacy’s ability to act legitimately and effectively; and finally, diplomats themselves do not necessarily need the same attri­butes as they previously did. These trends, reflecting general societal devel­opments, need to be absorbed by diplomacy as part of state governance.

Ministries of Foreign Affairs, diplomats and governments in general should therefore be proactive in four areas:

1. Diplomats must understand the tension between individual needs and state requirements, and engage with that tension without detriment to the state.

2. Digitization must be employed in such a way that gains in efficiency are not at the expense of efficacy.

3. Forms of mediation should be developed that reconcile the interests of all sides allowing governments to operate as sovereign states, and yet simul­taneously use the influence and potential of other actors.

4. New and more open state activities need to be advanced that respond to the ways in which emotionalized publics who wish to participate in govern­ance express themselves.

Un DAC audio : à quoi ça sert ?

RMES - Sun, 11/11/2018 - 11:29

Il existe plusieurs formats de fichier audio et vidéo. Parallèlement, il existe 2 types précis de sons en fonctions de ces fichiers : les sons numériques et les sons analogiques. Un DAC est un outil qui permet de passer d’un son à un autre. Il est difficile de maitriser son utilité. Pour réussir à mieux l’appréhender, il faudra aborder tour à tour chacune de ses utilités, à savoir, la conversion audio, le remplacement des convertisseurs internes et la lecture de format audio difficile à lire.

La conversion audio

Généralement, la notion de conversion audio rappelle celle du changement de format des fichiers présents sur nos ordinateurs. Elle rappelle aussi les notions de transformation de nos fichiers vidéo en fichiers audio. Pourtant, la conversion audio ne se fait pas qu’au niveau des logiciels. Elle peut se faire plus matériellement. Le DAC audio est un outil de conversion des formats numériques vers les sons analogiques.

Le format numérique est un format de stockage d’une grande quantité de musique. Pour pouvoir être lu et perçu par l’ouïe humaine, il faut qu’il soit converti en format analogique. Tous les appareils de lecture possèdent alors des convertisseurs intégrés pour pouvoir transférer en son audible les fichiers analysés. C’est ce rôle que joue aussi le DAC. Toutefois, il joue ce rôle à la perfection, quitte à remplacer totalement les convertisseurs intégrés.

Venez lire : homecinema.fr

Le remplacement des convertisseurs intégrés

Tous les hauts parleurs internes ou externes ont des convertisseurs intégrés. Ces convertisseurs subissent plus de pression que ce à quoi ils sont adaptés. En effet, les convertisseurs intégrés aux appareils de lecture et même dans les ordinateurs ne sont pas destinés à produire de la musique ou des sons à haute fréquence. Pourtant, c’est cette utilisation qui est faite. Cet état de chose a une conséquence : une réduction de la durée de vie de l’appareil.

Avec l’installation d’un DAC, le convertisseur interne sera oublié et remplacé par le convertisseur externe. Il n’y a plus de risque de destruction de l’appareil. Pour cela, les DAC sont installés presque systématiquement par les animateurs de boite de nuit ou pour toute fête où la musique doit battre son plein. De plus, les appareils ont une durée de vie plus pérenne. L’intérêt des DAC se remarque aussi au niveau des formats que les appareils sont capables de supporter. Le DAC peut faciliter la lecture de certains formats.

Venez lire : Différence entre poussette et landau

La lecture de certains formats

Il existe une multitude de format audio et vidéo. Les meilleures qualités sont des formats de type analogique. Sans un DAC adapté à la bonne fréquence, la lecture de ce type de fichier est impossible. Souvent, les messages d’erreurs apparaissent au niveau des ordinateurs. D’autres fois, l’image fluide fait entendre un son décalé ou en retard. La solution face à ce problème est l’installation d’un DAC à son ordinateur. Avec sa capacité d’intégration, il prendra la place du convertisseur interne et permettra la lecture de tous les types de fichier audio, ou la meilleure réception audio de tous les fichiers vidéo.

Sources : convertisseuraudio.info

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Trois mises en garde de la Grande Guerre

Institut Montaigne - Sun, 11/11/2018 - 11:00

Le 11 Novembre 1918 était une date qui comptait dans la vie de mon père. Il avait alors seize ans et avait fumé sa première cigarette, "pour célébrer la victoire de la France et la fin de la guerre". Il n’allait pas devoir rejoindre ses frères aînés qui venaient d’être mobilisés. Mais il ne perdait rien pour attendre. Vingt deux ans plus tard au Printemps 1940, seul sous-officier encore combattant dans son unité, il allait faire traverser la Loire à ce qui restait…

Erinnerung, Mahnung und Auftrag

Konrad Adenauer Stiftung - Sun, 11/11/2018 - 08:00
Tobias Fresenius 2018-11-11T07:00:00Z

Prince Turki: No Outside Investigation of Killing of Khashoggi

European Peace Institute / News - Fri, 09/11/2018 - 22:23
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Prince Turki Al-Faisal, Saudi Arabia’s former intelligence chief, told an IPI audience on November 9th that the kingdom would never permit an international investigation into the death of dissident Saudi journalist Jamal Khashoggi.

“The kingdom is not going to accept an international tribunal to look into something that is Saudi,” he said. “And the Saudi judicial system is sound, it is up, it is running, and it will take its course.” Saudi Arabia, he said, will “never accept foreign interference in that system.”

Mr. Khashoggi, a Saudi journalist who had been living in self-exile for the past year in the United States and contributing articles to The Washington Post, was killed on October 2nd in the Saudi consulate in Istanbul, where he had gone to obtain papers to marry his Turkish fiancée. Saudi officials at first claimed that he had left the consulate safely, but eventually acknowledged that  he had been murdered in a “premeditated” fashion.

The killers were members of a team of 15 Saudis who had flown to Turkey that day, and the episode called public attention to the possible involvement of the powerful young Crown Prince of Saudi Arabia, Mohammed bin Salman, because photographs showed that some of the team were known associates of his.

In turning aside suggestions from United Nations Secretary-General Antonio Guterres, human rights groups and others for independent outside investigators, Prince Turki said that Saudi Arabia was following the example of other countries that have refused to allow international tribunals to investigate acts by their citizens. He cited the abuse of prisoners by American troops and CIA staff at Abu Ghraib prison in Iraq following the 2003 invasion, which the United States itself investigated.

He denied that there had been any attempted cover up, saying instead that what was originally reported to Saudi authorities was “misleading” because “those who perpetrated the crime wanted to hide what had happened and to justify what they had told to the authorities.”

He said he expected the kingdom to live up to its promise to “put all the facts on the table” and answer all outstanding questions, including what happened to Mr. Khashoggi’s body, which remains a mystery. He said that would be disclosed as “part of the reporting that we expect from the authorities.”

Prince Turki, who is now Chairman of the King Faisal Center for Research and Islamic Studies, was Director General of the General Intelligence Directorate, which is Saudi Arabia’s main foreign intelligence service, from 1977 to 2001. In 2002, he became Ambassador to the United Kingdom and Ireland and in 2005 Ambassador to the United States.

In both ambassadorial posts, Mr. Khashoggi was his media adviser, and the Prince said, “We had very friendly relations over the years.” He called his murder “a tragic occurrence” and cited a passage from the Koran that “‘the killing of an innocent man is like the killing of humanity,’ and I think his death falls into that category.”

Asked whether the controversy over Mr. Khashoggi’s killing had damaged Crown Prince Mohammed bin Salman at home, he said, “The more that he is attacked in the media and speculated upon by particularly Western media, the more he gets support among the people and among the Saudi [royal] family…They feel that he is unjustifiably victimized by this media.”

During the 40-minute Q&A session, he answered questions about Yemen, the rights of women, and the effect of the Khashoggi killing on international investment.

Prince Turki has been a member of IPI’s International Advisory Council for 12 years and was appearing at IPI as part of its Speaker Series.

IPI Senior Adviser for External Relations Warren Hoge moderated the discussion.

Related Coverage

Audio of Khashoggi’s killing given to U.S., Saudi, Europeans, Erdogan says,” Washington Post, November 10, 2018
Ex-Saudi spy chief: No independent Khashoggi investigation,” Associate Press, November 9, 2018
Former Saudi Official Rejects Outside Probe of Journalist’s Death,” Wall Street Journal, November 9, 2018
Download Press Review Report (in Arabic)

Zukunft der EU abhängig von ihrer Rechtlichkeit

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 09/11/2018 - 21:35
Tobias Fresenius 2018-11-09T20:35:00Z

<p class="text-align-justify">Le

Institut Montaigne - Fri, 09/11/2018 - 18:13

Le Premier ministre s’est exprimé lors d'un événement organisé par l’Institut Montaigne sur la situation politique française, la poursuite des réformes menées par le gouvernement et les enjeux liés aux déséquilibres engendrés par la montée de l’illibéralisme et la remise en cause du multilatéralisme.

<p class="text-align-justify">Mercredi

Institut Montaigne - Fri, 09/11/2018 - 18:12

Mercredi 7 novembre, Jean-Charles Decaux, président du directoire de JCDecaux SA et co-directeur général du groupe, était présent afin de présenter l’histoire et l’avenir de son groupe, en France et dans le monde. Il a notamment eu l’occasion d’aborder la question de la position de JCDecaux face au défi de la transformation digitale et des GAFA ainsi que face à la guerre des talents dans un secteur en pleine expansion.

<p class="text-align-justify">Mardi 6

Institut Montaigne - Fri, 09/11/2018 - 18:05

Mardi 6 novembre, quelques heures avant les résultats des "Midterms" aux Etats-Unis, l'Institut Montaigne et l'AmCham ont réuni Jérémie Gallon, Directeur général de l’AmCham, Stacy Meichtry, chef du bureau de Paris de The Wall Street Journal, Meghan Milloy, Fellow à la Bosch Foundation et co-fondatrice de Republican Women for Progress, et Soli Özel, Visiting Fellow à l’Institut Montaigne. Ils ont partagé leur analyse sur l'impact que…

Forum de Paris sur la Paix - Mettre l'éducation à l'agenda de la gouvernance mondiale

Institut Montaigne - Fri, 09/11/2018 - 16:30

L’Institut Montaigne, Sciences Po, la Fondation Körber, la Fondation Mo Ibrahim, l’Institut français des relations internationales (IFRI) et le Quai d’Orsay sont les six membres fondateurs à l’initiative du Forum de Paris sur la Paix. Le 11 novembre 2018, cet événement rassemblera des chefs d’Etat et de gouvernement, des élus, des organisations…

Gebt den Bürgern eine hörbarere Stimme in der EZ

Bonn, 12.11.2018. Mitte Oktober verbreitete Reuters die Nachricht über eine geplante Gesetzesänderung in Tansania, die das infrage stellen öffentlicher Statistiken unter Strafe stellt. Nach der Unterzeichnung durch Präsident John Magufuli droht jeder Person, die öffentlich Statistiken kritisch hinterfragt, eine Strafe von umgerechnet 3780 Euro – schlimmstenfalls sogar drei Jahre Gefängnis. Die Weltbank sowie zahlreiche Nichtregierungsorganisationen (NROs)zeigten sich darüber tief besorgt. Statistische Daten sind eine wichtige Basis für Evidenz. Breit verstanden ist Evidenz auf Fakten gestütztes Wissen, wie etwa Hinweise zu Problemlösungen und ihre Relevanz: die Einsicht, was in welchem Kontext (nicht) funktioniert. Häufig sind damit wissenschaftliche Erkenntnisse gemeint, die auf Grundlage verschiedener Methoden generiert wurden. In der entwicklungspolitischen Praxis spielen auch Daten und Informationen, die von Durchführungsorganisationen wie der GIZ gesammelt werden, eine wichtige Rolle. Seit Jahren steht die Entwicklungszusammenarbeit unter einem hohen Rechtfertigungsdruck. Deshalb wird Evidenz dazu genutzt, um über Projekte laufend zu berichten und Rechenschaft abzugeben. Evidenz wird auch verwendet, um bestehende Vorhaben anzupassen oder neue Interventionen zu konzipieren. Um die Verlässlichkeit verfügbarer Evidenz zu beurteilen muss ihre Qualität bekannt sein. Ob und wie Ergebnisse generiert werden, hängt davon ab, wie die Fragen gestellt und welche Methoden eingesetzt werden sowie ob die entsprechenden Indikatoren auch messen, was sie sollen. Die Regierungen von Geber- und Partnerländern, aber auch Durchführungsorganisationen können dabei einen anderen Blick auf Interventionen haben, als die Zivilgesellschaft, die Nutznießer von Entwicklungsmaßnahmen sein sollte. Gerade deshalb ist es zentral, auch die Wahrnehmung der Bürgerinnen und Bürgern bei der Politikgestaltung zu berücksichtigen. Partizipative Ansätze betonen die sogenannte Bürger-Evidenz (citizen evidence) als weitere zentrale Informationsquelle. Ein jeder sammelt direkte Eindrücke und Erfahrungen im täglichen Leben: Im lokalen Kontext etwa darüber, was der Staat leistet, wer davon profitiert und wer ausgegrenzt wird. Das damit verbundene Wissen kann im Rahmen demokratischer Prozesse durch Wahlen ausgedrückt werden. Dorfversammlungen können genutzt werden, um die Belangen der Zivilgesellschaft zu erfassen. Auch über NROs kann Bürger-Evidenz vermittelt werden. Für die Generierung von Bürger-Evidenz ist es wichtig, alle potentiell Betroffenen mit einzubinden. Insbesondere marginalisierte Gruppen, die etwa aufgrund ihres Geschlechts, ihres Alters, oder der geographischen Lage von Leistungen ausgeschlossen sind, müssen besonders identifiziert und adressiert werden, damit ihre Stimme gehört wird. Damit kann kritisch überprüft werden, ob die richtigen Maßnahmen geplant werden (wie etwa Straßen), Projekte so ausgestaltet werden, dass sie gerade diese Personengruppen erreichen (Sozialtransfers), und wo Verbesserungsbedarf besteht. Die Einbeziehung von Bürger-Evidenz muss deshalb der Grundbaustein für Strategien sein, die auf „Leave no one behind“ abzielen. Alle einzubinden ist ein sehr ambitioniertes Ziel der Entwicklungspolitik, das nur erreicht werden kann, wenn wir wissen, wer aus den bestehenden Rastern fällt und welche Bedürfnisse gerade diese Menschen haben. Die Bürgerbeteiligung kann etwa mit Blick auf die Wahrnehmung von Korruption als auch zur Wirkung staatlicher Ausgabenprogramme erfolgen. Damit kann Bürger-Evidenz ein aktiver Beitrag gegen Fake News sein. So richtete Amnesty International die Online-Plattform Citizen Evidence Lab als Plattform ein, um mögliche Fälschungen von YouTube Filmmaterial aufzuspüren. Allerdings darf Bürger-Evidenz nicht mit der Meinung Einzelner verwechselt werden. Meldungen aus der Zivilgesellschaft bieten offene Tore für Missbrauch. So gibt es seit einigen Jahren zum Beispiel in Uganda Smartphone-Apps mit denen wahrgenommene Korruption gemeldet werden kann. Damit können aber auch bestimmte Personen grundlos angeschwärzt werden. Deshalb ist es von zentraler Bedeutung, geeignete Instrumente zu finden und weiterzuentwickeln, so dass Bürger-Evidenz mit hoher Qualität verfügbar ist, die bei Entscheidungen eingesetzt werden kann. Sie muss dafür genutzt werden, das offizielle Berichtswesen kritisch zu reflektieren. Die Bedeutung der Bürger-Evidenz wird bezüglich einzelner Fragestellungen und vor allem im globalen Süden, wie zum Beispiel bei der Konferenz Evidence 2018 des Africa Evidence Networks im September 2018 in Pretoria, intensiv diskutiert. Die meisten Geber messen ihr jedoch noch zu wenig Bedeutung bei. Es genügt nicht, auf bestehende Methoden der Evidenzerzeugung, die „Ownership“ in Partnerländer, die Einbeziehung der dortigen Kooperationspartner/innen, wie auch die Beteiligung von Nichtregierungsorganisationen, zu verweisen. Bürger-Evidenz muss in angemessener Weise in die Prozesse der Entwicklungszusammenarbeit integriert werden. Denn sie ist ein entscheidender Hebel zur Verbesserung ihrer Wirksamkeit. Deshalb müssen alle beteiligten Akteure verpflichtet werden, Formen und Möglichkeiten zu suchen, um die Bedürfnisse der Zivilgesellschaft angemessen abzubilden. Nur so kann Leave no one behind erreicht werden.

Keine verlässliche Prophylaxe

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 08/11/2018 - 18:12
Saskia Gamradt 2018-11-08T17:12:00Z

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