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Diplomacy & Defense Think Tank News

« Il est peut-être temps de rénover les Jeux de la Francophonie »

IRIS - Wed, 20/03/2019 - 15:54

Les Jeux de la Francophonie fêtent leurs trente ans. Cet événement qui mélange sports et culture est-il toujours pertinent ?

Pour moi, cet événement l’est toujours puisqu’il s’inscrit dans l’ADN, dans la logique de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) depuis trente ans. Il a donc une histoire. Une véritable chronologie a accompagné ces Jeux de la Francophonie, depuis 1989.

Ces Jeux symbolisent aussi l’importance que la Francophonie a accordé au sport mais également à la culture, puisqu’ils sont porteurs de ces deux aspects.

Ils sont encore pertinents. Mais ils doivent faire face à un certain nombre d’enjeux et d’obligations qui peuvent perturber leur déroulé. Il y a notamment le fait que le calendrier puisse s’alourdir. Il y a aussi la question des charges qui ont entraîné l’annulation de la candidature canadienne pour les Jeux de la Francophonie 2021. Cette annulation pousse l’organisation à s’accélérer alors que cette édition est censée avoir lieu dans deux ans.

Le Nouveau-Brunswick devait effectivement organiser l’édition 2021 mais cette province canadienne a fait machine arrière. Selon vous, ce revirement est-il lié au contexte canadien ? Ou est-il symptomatique des difficultés des Jeux de la Francophonie ?

J’ai tendance à voir cet abandon à travers deux aspects. Il y a tout d’abord la question du coût de ces Jeux qui a été mis en avant par le gouvernement local. Ce coût semblait beaucoup trop important par rapport aux retombées envisageables. Il y a eu un dépassement des budgets initiaux.

Mais cet abandon est aussi symptomatique d’une perte de vitesse des Jeux qu’on a pu constater au cours des dernières années. Il y a eu des éditions extrêmement importantes, comme celle de Beyrouth en 2009. Celles de Nice (2013) et d’Abidjan (2017) ont également été importantes et intéressantes. Mais elles ont sans doute été un tout petit peu en-deçà des attentes des organisateurs. […]

Le budget conventionnel des Jeux de la Francophonie est de 10 millions d’euros. Est-ce réaliste, de nos jours, de vouloir organiser un événement multisport et culturel de cette ampleur avec de tels moyens ?

C’est une vraie question. Ce qui est important, c’est le fait de voir quels sont les dispositifs mis en œuvre. Ça semble intéressant et réalisable si les Jeux de la Francophonie se déroulent dans le cadre d’une ville, d’une région ou d’une province qui dispose déjà d’infrastructures, et que ces Jeux s’intègrent à ces infrastructures existantes ainsi qu’à un agenda. Les retombées sont alors extrêmement positives sur le court terme, mais aussi sur le plus long terme.

Cependant, certains éléments ont conduit au dépassement de ces budgets initiaux et à tirer la sonnette d’alarme sur les conséquences que risquaient d’engendrer les Jeux de la Francophonie.

Mais, au-delà des problématiques budgétaires – ô combien essentielles –, il faut aussi se poser la question de savoir ce que veulent être les Jeux de la Francophonie et comment ils veulent exister par la suite. […] Trente ans après la première édition, il faut vraiment se poser la question de l’avenir qu’on veut pour les Jeux de la Francophonie. Il faut aussi se demander comment on veut écrire l’avenir de la Francophonie, par le biais du sport et par celui de la culture.

Le calendrier des compétitions sportives internationales est surchargé. Est-ce que les Jeux de la Francophonie y ont encore toute leur place, en tant qu’événement multisport de haut-niveau ?

Les Jeux de la Francophonie sont aussi intéressants parce qu’ils sont à la fois à destination de la jeunesse, à celui du monde de la culture et à celui du monde du sport. C’est vrai que le calendrier sportif est surchargé. Mais ce qui a prévalu jusqu’à présent avec ces Jeux, c’était un mélange de sportif et de festif. C’est ce qui a fait l’ADN de cet événement.

Des éléments sont en train de changer. Parmi ceux-ci, il y a le calendrier sportif qui pèse dans les esprits mais aussi sur des athlètes qui sont déjà extrêmement sollicités. Pourtant, là encore, il faut garder en tête que les Jeux de la Francophonie doivent rester un vrai rendez-vous dans l’agenda des sportifs, s’ils veulent continuer à exister et ne pas être délaissés.

Des personnalités du monde sportif ont signé une tribune dans la presse française pour défendre les Jeux de la Francophonie. Leur existence vous parait-elle en danger ?

Je ne dirais pas qu’ils sont en danger, dans l’immédiat. Cette tribune me parait assez intéressante. Elle arrive trente ans après les premiers Jeux, à un moment où il est peut-être temps de rénover les Jeux de la Francophonie, de faire évoluer un peu leur dispositif. Il ne s’agit pas de les révolutionner mais de leur donner un nouveau départ.

L’idée de cette tribune était également d’attirer à la fois l’attention sur la Journée internationale de la Francophonie, mais aussi sur ces Jeux qui ont tendance à être un peu négligés et oubliés. Ils sont pourtant porteurs de messages extrêmement importants, à la fois dans le domaine de la Francophonie et dans celui du sport. […]

Quel va être l’avenir de la Francophonie d’un point de vu sportif ? Et surtout, quelle est la diplomatie sportive francophone qu’on peut aujourd’hui mettre en œuvre. Si chaque pays a pu mettre en place une diplomatie sportive, qu’en est-il de la Francophonie ? Est-ce qu’il y a une volonté commune d’aller dans la même direction et de faire passer un certain nombre de messages ? Ou, au contraire, est-ce qu’on reste dans une logique plutôt nationale ? Auquel cas, les Jeux de la Francophonie pourraient perdre de l’influence et être potentiellement remis en cause dans les prochaines années, compte tenu du calendrier sportif et compte tenu d’un certain nombre d’obligations.

„Deutschland muss mehr Verantwortung übernehmen“

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 20/03/2019 - 15:06
Stefan Stahlberg 2019-03-20T14:06:00Z

Vand og verdensmål: Lad ingen i stikken, heller ikke når det gælder vand

DIIS - Wed, 20/03/2019 - 11:32
DIIS-forsker bidrager til FN's World Water Development Report

Vers une assurance maladie universelle aux États-Unis ?

Institut Montaigne - Wed, 20/03/2019 - 10:47

La santé a occupé une place centrale dans les élections de mi-mandat de novembre 2018 qui ont marqué la fin d’années de controverses autour de l’Obamacare. De nouveaux thèmes occupent aujourd’hui le devant de la scène dans les discussions sur la santé aux Etats-Unis. Angèle Malatre-Lansac, notre directrice déléguée…

The EU should insist on a long extension

SWP - Wed, 20/03/2019 - 01:00
After the renewed rejection of Theresa May’s withdrawal agreement and the symbolic rejection of a no-deal Brexit, the question about the extension of the exit process is now the main focus of the Brexit drama. Despite the risks, the EU-27 should only accept an extension of at least nine months, says Nicolai von Ondarza.

Disinformation and Elections to the European Parliament

SWP - Wed, 20/03/2019 - 00:00

Elections to the European Parliament (EP) will take place in May 2019. Politicians and experts fear that the election process might be disrupted by disinformation cam­paigns and cyber attacks. In December 2018, the European Commission presented an action plan against disinformation. It provided 5 million euros for raising awareness amongst voters and policymakers about manipulation, and for increasing the cyber security of electoral systems and processes. The strategy relies on voluntary and non­binding approaches by Internet companies to fight disinformation. To protect the integrity of elections in the medium term, independent research into technical, legal and market-regulating reforms must be boosted. The objective should be to preserve the functionality of democracies and elections in the age of digitalisation.

Intervention de Dominique Reynié lors du Grands débat des idées à l’Elysée

Fondapol / Général - Tue, 19/03/2019 - 18:04

Retrouver l’intégralité de la vidéo sur ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=0D6mFkaa4wI&lc=z235vhpihovogtw3lacdp4355qcf4pi540giak5wyyhw03c010c

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Musulmanes, elles veulent ouvrir une mosquée mixte et être imames

Fondapol / Général - Tue, 19/03/2019 - 17:27

Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay ont fondé les « Voix pour un islam éclairé » avec pour ambition de proposer une alternative « progressiste et spirituelle » à leur religion Janadin et Anne-Sophie Monsinay. Photos: Léo Aupetit pour VICE FR « Bienvenue à toutes et à tous pour cette journée de réflexion autour de la thématique : […]

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Defining foreign fighters paves the way for safety

DIIS - Tue, 19/03/2019 - 14:00
Stranded foreign fighters, both from IS and other groups, present western governments with dilemmas of prioritizing between security, adhering to international conventions and reacting to public sentiment

What changes in the Middle East will define the Trump presidency?

DIIS - Tue, 19/03/2019 - 13:46
Michael Rubin gives a talk at DIIS

Saudi Arabian military activism in Yemen

DIIS - Tue, 19/03/2019 - 13:38
The foreign policy of Saudi Arabia is shaped by both internal and external factors

Erythrée-Ethiopie : à qui profite la "paix éclair" ?

Institut Montaigne - Tue, 19/03/2019 - 10:26

Addis-Abeba était, après Djibouti, la deuxième étape du déplacement du président de la République en Afrique de l’Est du 12 au 15 mars 2019. Quelques mois plus tôt, entre l’Ethiopie et son voisin direct, l’Erythrée, une "paix éclair" a vu le jour, après des années de guerre (1961 - 1991) et un statu quo depuis 2000. Quelles sont les raisons de cet accord de paix ? Quelles sont les implications internationales de ce rapprochement et quel rôle la France…

Local and globalist foreign fighters

DIIS - Tue, 19/03/2019 - 10:24
We need to distinguish between different categories of foreign fighters

Rwanda makes its own rules

Bonn, 19 March 2019. It is difficult to find countries in sub-Saharan Africa where forms of South–South Cooperation (SSC) are not visible. Rwanda is no exception, with the presence of China, in particular, in various parts of the country. China’s funding and construction of a new building for Rwanda’s Prime Minister’s Office and four ministries is an example of its aid approach (‘ready-to-use’ infrastructure support); and visits by President Xi Jinping and India’s prime minister, Narendra Modi, to Kigali in 2018 have reinforced Rwanda’s position as a ‘small big country’. SSC has been an important trend for Rwanda in the last 10 to 15 years, as it has for other African countries, and for developing regions beyond the African continent. What marks out Rwanda as different is its requirement that SSC providers be guided by Kigali’s own aid policy: the Rwandan government demands more transparency, alignment with government priorities and donor coordination not just from traditional donors, but from SSC providers too. Kigali is designing a new way to conduct South–South Cooperation, an approach based on Rwanda’s concept of itself as a ‘developmental’ state. A central feature of this is Rwanda’s locally inspired system of concepts for enhancing the development of the country. Home Grown Solutions (HGS) is the umbrella term, which is even trademarked to frame a number of Rwandan concepts, such as Imihigo (performance contracts at all levels of the country) and Umuganda (community work by the whole population), with strong links to the country’s cultural heritage. These Home Grown Solutions are expected to contribute significantly to Rwanda’s ambition to transition from a least developed country (LDC) to an upper-middle income country (UMIC) by 2035, and a high-income country (HIC) by 2050. Learning from Rwanda? Many of the Home Grown Solution concepts are famous elsewhere in Africa and beyond for pushing the development agenda of a country with very limited financial resources and several additional constraints, such as a high population density and a landlocked economy with a small domestic market. In 2018 alone, around 300 delegations from other countries came to Rwanda to have a closer look at Home Grown Solutions. For the country’s public institutions, with their lean structures and capacities, this created quite a workload, as government employees devoted time to explaining their experiences and methods to the visitors. Even more significantly, Rwanda started to support other African countries by sending staff to provide expertise. On the request of the government of Benin, Rwanda has assigned an expert to spend 18 months advising the presidency in Cotonou on how to reform the link between the public and private sectors.
Rwanda has used its own experiences as a starting point for professionalising and upscaling what it is already doing. In September 2018, the government founded the Rwanda Cooperation Initiative (RCI). RCI is a private company and is now in charge of taking care of incoming delegations as well as providing short- and long-term advisory services to other countries. These activities are explicitly seen as Rwanda’s own South–South Cooperation approach. RCI started as a small entity with eight professionals but an upscaling to 20 staff members is already underway. Services provided by RCI need to be paid for: this might be by a foreign government interested in Rwanda’s knowledge, or a study tour initiated and paid for by a donor, or by the Rwandan government itself. In addition, RCI might also be able to offer its expertise as an agency in a future triangular cooperation constellation. Rwanda’s SSC move could turn out to be an important investment; the country’s reputation and influence on the African continent and beyond is linked to its proactive role in recent years. This is clearly visible, not least in President Paul Kagame’s role as chair of the African Union (until February 2019) and in the role of Louise Mushikiwabo, the former Rwandan minister for foreign affairs, as the new leader of the Francophonie. Thus, SSC can contribute to the country’s soft power ability. At the same time, RCI might even be a wise commercial investment. If the demand to learn from Rwanda’s Home Grown Solutions continues to grow, SSC could become an important and profitable pillar of Rwanda’s quest to be a service hub. Thus, Rwanda’s approach might serve as an inspiration for new debates on SSC. The upcoming Second High-Level United Nations Conference on South–South Cooperation (BAPA+40) in Buenos Aires (20–22 March 2019) should be a great opportunity for such a discussion.

This article was published online first on Le Monde diplomatique – English Edition.

Folgen des Handelsdefizites in den USA: Diplomatie statt Schadenfreude

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 19/03/2019 - 09:55
Das Kalkül des amerikanischen Präsidenten Donald Trump ging nicht auf. Mit Zöllen wollte er die heimische Wirtschaft schützen, mit Steuerentlastungen die Konjunktur ankurbeln, um auch das Handelsdefizit der Vereinigten Staaten abzubauen. Die neuesten Zahlen zeigen: Das Handelsdefizit der USA ist heute größer denn je. Die Ökonomen hatten genau diese Entwicklung vorhergesagt. Aber nun ist Diplomatie gefragt. Ein Twitter nach dem Motto: „Haben wir`s nicht gesagt, Donald?“ schadet uns allen.

Historische Ereignisse im April 2019

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 19/03/2019 - 09:26

04.04.1949    vor 70 Jahren
Zwölf Nationen unterzeichnen den Atlantikpakt (NATO), dem 1955 auch die Bundesrepublik beitritt.

13.04.1919    vor 100 Jahren
Palmsonntagsputsch

14.04.1899 
  
120. Geburtstag Josef Oesterle

15.04.1969    vor 50 Jahren

Einführung des neunten Schuljahres und Umwandlung der Volksschuloberstufe in die Hauptschule.

19.04.1999    vor 20 Jahren
Einweihung des Reichstages: Der Deutsche Bundestag tagt mit einem Festakt erstmals im neugestalteten Reichstag in Berlin.

21.04.1989    vor 30 Jahren
Theo Waigel wird Bundesfinanzminister. Sein Nachfolger als Vorsitzender der Landesgruppe in Bonn wird Wolfgang Bötsch (1989-1993).

22.04.1939   
80. Geburtstag Theo Waigel

24.04.1969   
50. Todestag Hans Wutzlhofer

Enfiler sur une surjeteuse Brother : Astuce

RMES - Tue, 19/03/2019 - 08:51

Les surjeteuses Brother sont l’une des rares surjeteuses fabriquées par leurs propres sociétés. Pour cela, ils présentent beaucoup de particularités. La plus grande de ces particularités reste le caractère automatique de ses modèles. Toutefois, l’enfilage d’une surjeteuse ne peut être automatique.

Pour enfiler votre surjeteuse Brother, vous devez connaitre les différents points à prendre en compte, à savoir le nombre de fils nécessaires à choisir, le mode d’enfilage et de règlement des problèmes.

Nombre de fils

La marque Brother propose tous les types de surjeteuse. Pour bien réaliser l’enfilage, il faut distinguer entre les surjeteuses à 2, 3 ou 4 fils. Il faut rappeler que les surjeteuses à 2 ou 3 fils ont les mêmes objectifs et utilisations. Voici un site qui sélectionne les meilleures surjeteuse Brother : https://surjeuteuse.info. Elles sont destinées aux amateurs avec une possibilité limitée d’utilisation. Une fois que vous avez appris à enfiler une surjeteuse d’un nombre de fils supérieur, vous pourrez réaliser ces enfilages sans difficulté.

Tel est surtout le cas de l’enfilage des surjeteuses de 4 fils. Ces surjeteuses sont utilisées comme des machines à coudre simples. Elles servent aussi comme des surjeteuses, mais elles ne sont pas entièrement automatisées. Elles sont dès lors destinées aux professionnels capables de contrôler la machine.

Choix des fils

Pour ce qui concerne le choix des fils, comme il est question d’une surjeteuse de 4 fils, il s’agira de 4 bobines de fil. En principe, pour ce qui est de la matière et de la qualité, vous devez utiliser les mêmes qualités pour les 4 fils. La question se posera surtout au niveau des couleurs. La technique des 3 couleurs noires et d’une couleur différente n’est pas à appliquer.

Pour un site de couture : L’étoile de coton

Il est plus conseillé pour la machine d’utiliser des fils identiques. Pour toutes les coutures sombres, des fils noirs seront utilisés et pour les tissus de couleurs plus vives, les fils gris seront préférés. Cela est dû au fait que l’enfilage prend beaucoup de temps. Dès lors, il vaut mieux éviter d’y procéder trop souvent. Quoi qu’il en soit, après la maitrise de la technique, vous pourrez changer le quatrième fil autant que vous le voudrez.

Mode d’enfilage

Le mode d’enfilage reste le même que pour toutes les autres machines. En réalité, la marque est l’une des rares à procéder elle-même à la fabrication de ses machines. Pourtant, comme toutes les autres machines, le mode d’enfilage est exactement le même. Il s’agit en sommes de passer par le boucleur supérieur et le boucleur inférieur.

Pour le passage au niveau d’un boucleur, il vous suffira de suivre le circuit prévu par la machine. Ce circuit établit un passage entre les guide-fils, après ouverture de la machine, sous les presseurs, mais aussi dans les chas des aiguilles. Telle est la méthode générale et la méthode particulière à la surjeteuse Brother.

Problèmes d’enfilage

Deux problèmes d’enfilage sont les plus fréquents. En premier lieu, il s’agit des fils qui cassent trop souvent. La seule solution consiste à opter pour des fils de meilleure qualité. La soie ou la mousse sont à privilégier pour les machines Brother. En second lieu, il se pose le problème du changement de fil. La technique la plus fréquente est celle dite du double nœud. Cela fait, vous pourrez passer d’un fil à l’autre sans retirer le précédent.

Lire un autre sujet : Comment choisir son wakeboard ?

L’article Enfiler sur une surjeteuse Brother : Astuce est apparu en premier sur RMES.

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Institut Montaigne - Mon, 18/03/2019 - 18:48
Les ateliers Parlons Psy 

Alors qu’elles concernent 12 millions de Français, les maladies psychiques restent peu connues. La Fondation de France et l’Institut Montaigne se mobilisent sur le sujet et organisent une série d’ateliers régionaux intitulés “Parlons Psy”, dans huit villes de France. Ce cycle se clôturera à Paris en décembre 2019, lors d'un…

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