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Diplomacy & Defense Think Tank News

Reaktionen aus Ungarn auf die Suspendierung von Fidesz

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 22/03/2019 - 08:57
Stefan Stahlberg 2019-03-22T07:57:00Z

Drei Szenarien zur Entwicklung des Sisi‑Regimes in Ägypten

SWP - Fri, 22/03/2019 - 00:00

Anfang Mai soll in Ägypten ein Referendum über eine Verfassungsänderung abgehalten werden, die Präsident Abdel-Fatah al-Sisi nach dem Ende seiner laufenden Amtszeit ein Weiterregieren ermöglichen würde. Angesichts massiver Repression scheint die Zustimmung gewiss. Damit wäre die Machtkonsolidierung des Sisi-Regimes, das aus dem Militärputsch vom Juli 2013 hervorgegangen ist, weitgehend abgeschlossen. Doch wie wird sich dieses Regime in Zukunft entwickeln? Denkbare Szenarien sind eine erfolgreiche Entwicklungsdiktatur, jahrzehntelange politische und wirtschaft­liche Stagnation wie unter Mubarak oder ein baldiges Scheitern. Während eine Ent­wicklungsdiktatur mangels Reformbereitschaft unrealistisch ist, sind die beiden an­deren Szenarien für Deutschland und seine europäischen Partner mit großen Risiken verbunden. Sie sollten daher künftig die Vergabe neuer Budgethilfen an eine Verbes­serung der Menschen- und Bürgerrechte knüpfen, auf humanitäre Krisenprävention im Sinne des »Do-No-Harm«-Ansatzes setzen und die Kontakte mit Vertretern der ägyp­tischen Opposition auch im Ausland ausbauen.

Implementing Action for Peacekeeping: Troop Contributing Countries as Key Stakeholders

European Peace Institute / News - Thu, 21/03/2019 - 19:58

On Wednesday, March 27th, IPI is hosting a speaker series event featuring H.E. Mr. Paul Kehoe and H.E. Mr. Inia Seruiratu on the topic of “Implementing Action for Peacekeeping: Troop Contributing Countries as key stakeholders.”

Remarks will begin at 10:15am PST / 1:15pm EST

The presentations will be followed by a moderated panel discussion, which will include H.E. Ms. Geraldine Byrne Nason, Permanent Representative of the Mission of Ireland and H.E. Mr. Satyendra Prasad, Permanent Representative of the Mission of Fiji.

H.E. Mr. Paul Kehoe was appointed Minister with Responsibility for Defence in June 2017. He previously served as the Government Chief Whip and Minister of State at the Department of the Prime Minister and the Department of Defence. Mr. Kehoe has also been a Parliamentarian for County Wexford since he was first elected to the Dáil in May 2002.

H.E. Mr. Inia Batikoto Seruiratu is a Fijian politician and member of the Parliament of Fiji for the Fiji First Party. He is the Minister for Defence and National Security of Fiji and, since January 2019, also serves as the Minister of Foreign Affairs.

Keynote speakers:
H.E. Mr. Paul Kehoe, Minister for Defence of Ireland
H.E. Mr. Inia Seruiratu, Minister for Defence, National Security & Foreign Affairs of the Republic of Fiji

Moderator:
Mr. Jake Sherman, Director of the Brian Urquhart Center for Peace Operations, International Peace Institute

Christen im Nahen Osten: Wir haben genug gelitten!

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 21/03/2019 - 16:42
Nach dem Niedergang des sogenannten Islamischen Staates in Syrien und dem Irak, brauchen die Christen der Region Sicherheit und Zukunftsperspektiven. Auf der Münchner Sicherheitskonferenz richteten Vertreter einen Appell an die Staatengemeinschaft.

„Wir entscheiden in der Demokratie“

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 21/03/2019 - 16:36
Stefan Stahlberg 2019-03-21T15:36:00Z

<p class="text-align-justify">Jeudi 14

Institut Montaigne - Thu, 21/03/2019 - 16:21

Jeudi 14 mars, un échange était organisé autour de Madame Catherine Guillouard, Président-Directrice générale du Groupe RATP, et Monsieur Carlo Ratti, Directeur du MIT Senseable City Lab. Ils ont pu exposer leur vision et ambitions communes sur les questions liant urbanisme et mobilité en France et dans le monde.

« Atlas des droits de l’homme » – 3 questions à Catherine Wihtol de Wenden

IRIS - Thu, 21/03/2019 - 16:21

 

Catherine Wihtol de Wenden est directrice de recherche émérite au CNRS et enseignante à Sciences Po (Paris). Elle répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage « Atlas des droits de l’homme », dont elle a dirigé l’élaboration, préfacé par Henri Leclerc et paru aux éditions Autrement.  

La carte montre que nous sommes encore loin de l’abolition universelle de la peine de mort, comment l’expliquer ?

142 sur 198 membres de l’ONU ont aboli la peine de mort. Ces abolitions ont souvent correspondu dans le temps avec des « moments abolitionnistes ». Aux États-Unis, 18 États sur 50 sont abolitionnistes, 4 le sont en pratique depuis longtemps, mais certains, comme le Texas, la considèrent comme partie prenante de leur histoire, voire de leur identité. La Chine la pratique encore (sous le sceau du secret d’État), mais en a réduit le nombre. L’Arabie saoudite la maintient, au nom de la charia (pour adultère, par lapidation). La peine de mort existe aussi en Irak, au Pakistan et en Iran, qui comptabilisent tous les cinq, 84% des exécutions.  En Europe, c’est le Portugal qui l’a abolie le premier en 1867, suivi par l’Italie, à la fin du XIXe siècle, soit 100 ans avant la France (1981). Mais les alternatives (prison à perpétuité ou relégation dans les colonies), pratiquées hier n’ont pas été satisfaisantes, car elles n’ont pas toujours conduit à la reconstruction des victimes ni été un abri contre la récidive.

 Y aurait-il un clivage Nord/Sud concernant les droits de l’homme ?

Oui, mais il ne va pas toujours dans le même sens. Ainsi les 50 États non-signataires de la Convention de Genève de 1951 sur l’asile sont des pays du sud. En revanche, parmi les 54 pays signataires de la Convention des Nations Unies de 1990 sur les droits de tous les travailleurs migrants et de leurs familles, il ne s’agit, à l’exception du Monténégro et du Kosovo, que de pays du sud, car les pays du Nord ne veulent pas être liés par des droits à accorder aux sans-papiers. Beaucoup de pays du sud ne sont pas des démocraties, aussi une multiplicité de droits n’est pas reconnue (liberté d’expression, d’association, liberté syndicale, accès aux droits, prisons, protection des libertés publiques à l’ère numérique) et parfois les États religieux de culture musulmane notamment limitent certains droits (droits des femmes, liberté de religion, persistance des castes en Inde malgré la Constitution). De plus le fait que la plupart des réfugiés proviennent de pays du sud (qui les accueillent également majoritairement, mais comme réfugiés de fait), que les déplacés environnementaux soient aussi originaires du sud de la planète, que les apatrides soient essentiellement des personnes du sud aggrave la situation des sans droits dans des pays qui ne leur donnent aucun statut. Les pays du sud deviennent aussi des pays d’immigration, sans aucune législation le plus souvent sur l’immigration et l’asile, dans un contexte de mondialisation accrue des migrations, ce qui va aggraver les carences au regard des droits de l’homme auprès des populations mobiles du sud du monde.

La carte de l’esclavage montre-t-elle une persistance inquiétante ?

Oui, car il continue d’être pratiqué dans nombre de pays du sud, du fait de la non-application de la législation des États. Les raisons en sont multiples. Il peut s’agir de la poursuite de l’esclavage domestique traditionnel (comme en Haïti ou en Mauritanie), du travail forcé et de la traite des êtres humains, du travail des enfants, imposé par les mafias du passage irrégulier des frontières imposant l’esclavage comme contrepartie, de l’esclavage sexuel du fait de la mondialisation de filières de prostitution. Une victime sur quatre est un enfant, 71% sont des femmes et des filles. Des formes d’esclavage existent aussi à la suite de guerres civiles, dans les camps. En France ce n’est qu’en 2013 que le crime d’esclavage est entré dans le Code pénal. Souvent, l’esclavage correspond aussi à des clivages ethniques ou racialisés : castes, subsahariennes et arabes, Blancs/Noirs en Amérique latine, en Afrique et en Asie et semble long à éradiquer compte tenu de sa longue tradition dans les pratiques des pays concernés.

<p class="text-align-justify">Mercredi

Institut Montaigne - Thu, 21/03/2019 - 16:11

Mercredi 20 mars dernier, un petit-déjeuner était organisé autour de Rodolphe Saadé, Président-Directeur général du Groupe CMA CGM. Ce dernier a pu exposer la situation et les mutations en cours dans l'industrie maritime et échanger avec le public autour des principales actualités du Groupe CMA CGM.

Brexit : « Les difficultés de Theresa May ne justifient pas de sacrifier les solidarités historiques aux saccades de l’actualité »

IRIS - Thu, 21/03/2019 - 11:46

Les dirigeants européens se réunissent aujourd’hui à Bruxelles pour un nouveau sommet « décisif » sur le Brexit, alors que le Royaume-Uni est toujours divisé sur le sujet, à une semaine de l’échéance officielle. Quelles sont les issues envisageables ? Entretien avec Olivier de France, directeur de recherche à l’IRIS, en charge du programme Europe, stratégie et sécurité.

Comme se fait-il que le Royaume-Uni se trouve dans une telle position de faiblesse aujourd’hui, à une semaine de la date officielle du Brexit ?

Pour tout dire, la situation dans laquelle se trouve le pays aujourd’hui n’avait rien d’automatique. Le Royaume-Uni est en proie aux divisions intestines les plus vivaces depuis trois ans, certes. Il n’en reste pas moins que Londres a commis beaucoup d’erreurs « non forcées » depuis le début de ces négociations, comme l’on dirait au tennis, tant du point de vue tactique et stratégique, que du point de vue politique et intellectuel.

D’une part, les Britanniques ne sont pas dans une discussion bilatérale classique, où ils ont leurs repères et sont plutôt à l’aise. Londres a tenté de négocier en direct avec Berlin et même Dublin, avant de se rendre à l’évidence que cette négociation avait ceci de spécifique qu’elle met aux prises un pays et vingt-sept autres.

Deuxième élément que le Royaume-Uni a tardé à comprendre, c’est qu’il abordait ces négociations dans une position structurelle de faiblesse. Londres n’y est pas forcément habitué et l’Histoire y est naturellement pour beaucoup. Cela peut paraître évident, mais le poids économique et juridique du marché unique explique que le rapport de force ne soit pas en faveur des Britanniques.

Enfin, le Royaume-Uni a refusé de comprendre que l’Union européenne n’était pas uniquement un projet économique. Londres a du mal à saisir que l’on puisse privilégier un bénéfice politique à long terme, par rapport à l’impact économique à court terme sur l’industrie automobile allemande ou sur le Nord de la France. Paris et Berlin peuvent s’accommoder de certains dommages économiques à court terme, car le démantèlement de l’Union à long terme constitue aux yeux du couple franco-allemand un danger plus immédiat pour l’Europe.

C’est ce qui explique l’unité stratégique des Européens, que Michel Barnier a mise en musique de manière extrêmement méticuleuse et professionnelle. L’unité des Européens a aussi des ressorts tactiques : elle s’explique tout simplement parce que c’est une tactique qui a été très efficace, et qui continue de faire ses preuves. Le Royaume-Uni s’est davantage divisé en son sein que les vingt-sept acteurs qui lui ont fait face.

Je ne parle pas des erreurs tactiques comme la convocation d’élections générales anticipées, qui ont détruit la majorité parlementaire de Theresa May et qui la laissent aujourd’hui à la merci des Unionistes nord-irlandais, ce qui rend le problème de la frontière irlandaise inextricable.

De quelles marges de manœuvre le Royaume-Uni dispose-t-il encore dans les négociations ?

Les Européens considèrent les discussions comme achevées du point de vue de l’accord de sortie. Les négociations n’iront donc pas au-delà sur ce point. Cela n’a rien d’illogique puisque l’on sort de deux ans de négociations, mais cela n’a pas toujours été bien compris à Londres. Au contraire, l’on entend encore chez certains conservateurs que « l’Union européenne plie toujours à la fin ».

Il y a en revanche davantage de marge de manœuvre s’il s’agit d’amender la déclaration d’intention qui est adjointe à l’accord de sortie, à condition que le Royaume-Uni souhaite changer l’orientation de son rapport futur avec le bloc européen. Si une majorité parlementaire se dégageait pour un Brexit moins dur par exemple, cela pourrait se répercuter dans la déclaration politique.

Theresa May va demander un délai aux Européens ce jeudi pour prolonger les discussions sur la sortie du Royaume-Uni. Que doivent-ils faire ?

Michel Barnier a dit que l’UE ne serait pas forcément favorable à l’extension de l’article 50, car cela prolongerait l’incertitude et les coûts économiques pour les entreprises. Je comprends son point de vue, mais je trouve que l’Union commettrait une erreur non forcée si elle refusait l’extension courte.

Aux yeux des opinions publiques, la responsabilité de la situation actuelle, comme celle d’une absence d’accord éventuelle, échoit aujourd’hui au gouvernement britannique. Même les conservateurs britanniques ont du mal à convaincre que la faute en revient aux Européens, c’est dire ! Il ne faut pas prendre cette perception à la légère. Elle aura un impact à moyen et à long terme, y compris face à l’Histoire. L’Union européenne aurait tort de s’en écarter sans raison, en risquant de se rendre responsable d’une absence d’accord. En somme, il me semble que les bénéfices qu’elle retirerait d’un refus d’une extension, tels que les met en avant Barnier, ne sont pas suffisants au regard des inconvénients politiques.

Enfin, il faut faire attention à ne pas se laisser emporter par les émotions de court terme. Les difficultés de Theresa May ne justifient pas de sacrifier les solidarités historiques aux saccades de l’actualité. Le Royaume-Uni est un pays ami et voisin. Il serait dangereux qu’une acrimonie politique à court terme mette en danger les liens stratégiques à plus long terme. Même s’il s’agit de dossiers un peu moins médiatiques aujourd’hui, le continent a besoin des Britanniques pour combattre le terrorisme, assurer la stabilité du Sahel ou encore s’adresser à la Russie.

La question de l’extension longue qui s’étendrait par-delà les élections européennes est complètement différente. La lassitude provoquée par le Brexit des deux côtés de la Manche rend cette hypothèse délicate à mettre en œuvre. De même, organiser un second référendum aurait des conséquences tout à fait néfastes sur le tissu démocratique britannique, mais aussi européen. Londres a choisi la voie du référendum, il lui faut désormais aller au bout.

Leipzig liest

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 21/03/2019 - 10:05
Stefan Stahlberg 2019-03-21T09:05:00Z

Ein Präsidialsystem »türkischer Art«

SWP - Thu, 21/03/2019 - 00:00

Das neue Präsidialsystem in der Türkei ist für seine Verfechter der Schlüssel, um alle Probleme des Landes zu lösen – ob es um die endgültige Überwindung bürokratischer Vormundschaft über die gewählte Regierung geht oder um eine Verkürzung der Entscheidungswege, die eine effektive Wirtschaftspolitik ermöglichen soll. Doch bietet das System tatsächlich die Grundlage dafür, dass die Türkei innenpolitisch zur Ruhe kommt? Garantiert es wirk­lich mehr Stabilität, und eröffnet es so die Chance, allmählich zu demo­kratischen Reformen zurückzukehren? Schafft es vielleicht sogar die Bedin­gungen dafür, den EU-Beitrittsprozess des Landes wieder aufzunehmen, wie es die türkische Regierung in den letzten Wochen und Monaten verkündet hat? Pragmatiker hoffen darauf, dass Präsident Erdoğan sich bereits nach den nächsten Wahlen seiner Macht vollkommen sicher sein und deshalb zu einer gemäßigten Politik zurückkehren werde. Denn nach den Kommunalwahlen, die für den 31. März 2019 angesetzt sind, habe die türkische Regierung fast fünf Jahre ohne Urnengänge vor sich und könne deshalb erneut Reformpolitik betreiben.

Doch wie ist es um die Reformfähigkeit der Türkei bestellt, wenn die Konzentration aller Macht in den Händen des Staatspräsidenten dessen politischen Spielraum gar nicht erweitert, sondern im Gegenteil beschränkt? Wenn die Sicherung der eigenen Kontrolle mit dem Verlust politischer Gestaltungskraft erkauft wird? Wenn nur der Schulterschluss mit Kräften, die jegliche Reformagenda ablehnen, das Monopol der Macht erhält? Vieles spricht dafür, dass genau damit die heutige Situation in der Türkei umschrieben ist.

European Strategic Autonomy

SWP - Thu, 21/03/2019 - 00:00

Europe is increasingly required to assume greater responsibility for its own well-being and security. The debate about strengthening Europe’s ability to exert influence and act on its interests revolves around concepts such as strategic autonomy and – above all in France – European sovereignty. But rarely are these terms defined, or their political and practical implications explained.

In this publication strategic autonomy is defined as the ability to set priorities and make decisions in matters of foreign policy and security, together with the institutional, political and material wherewithal to carry these through – in cooperation with third parties, or if need be alone. This understanding encompasses the entire spectrum of foreign policy and secu­rity, and not just the dimension of defence. Autonomy is always relative. Politically it means growing readiness, a process rather than a condition. Autonomy means neither autarchy nor isolation, nor rejection of alliances. It is not an end in itself, but a means to protect and promote values and interests.

The authors of this collaborative study offer more than definitions. They explore what Germany needs to do, on its own and in cooperation with its European partners, to achieve greater strategic autonomy. What difficulties and conflicts of goals are to be expected. What is necessary and urgent? What is possible at all? What resources will Germany and Europe need to commit? What red lines will Germany encounter in its own internal politics and among its partners? And which questions will need further political dis­cussion?

Les Gilets jaunes : la partie émergée de la crise sociale française ?

Institut Montaigne - Wed, 20/03/2019 - 22:00

Cette analyse est le fruit d’une enquête d’opinion réalisée entre le 14 décembre 2018 et le 8 janvier 2019 par Elabe, en partenariat avec l’Institut Montaigne. Ont été interrogées 10 010 personnes, réparties en 12 sous-échantillons régionaux de 800 individus (1 200 en Ile-de-France) représentatifs de la population résidente de chaque région administrative métropolitaine âgée de 18 ans et plus. Ce

Brexit : qu’en pensent les entreprises ?

Institut Montaigne - Wed, 20/03/2019 - 17:30

Alors que le Royaume-Uni semble plonger dans un grand marasme politique, les entreprises britanniques et européennes continuent à s’interroger sur l’issue finale du Brexit. Arnaud Vaissié, président directeur général-d’International SOS, co-président du Cercle d’outre-Manche et président du groupe de travail ETI : taille intermédiaire, gros potentiel

Mobilizing Men as Partners for Women, Peace and Security

European Peace Institute / News - Wed, 20/03/2019 - 17:24
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Karin Landgren, the Executive Director of Security Council Report and the first woman to have led three United Nations peace operations, was talking about her 35 years of experience at the UN working with men and how to make that partnership more effective in the future.

“I’m convinced that men hear other men more effectively than they hear women,” she said. “Like it or not, the world over, there seems to be widespread male discounting of truth spoken in a female voice. One way forward is more female voices, but for now it galls me, if we want effective communication and outreach, there need to be more male voices not simply relating the evidence but persuading others at a more visceral level of the value of women holding power.”

Ms. Landgren was addressing a policy forum on Mobilizing Men as Partners for Women, Peace and Security held at IPI on March 20 and co-sponsored by Our Secure Future.

Sounding a similar note was Ana Maria Menéndez, Senior Adviser to the UN Secretary-General on Policy, who said, “Male allies use their power to provide a platform to amplify the voices of women.” She said the broad goal was to have “more women leading their communities, changing the face of the security sector and having an equal say in how we reconstruct societies, how we heal from conflict, and how we prevent it in the first place.” She added: “We’re not even close.”

IPI Senior Fellow Sarah Taylor said, “If we are going to move forward on the core of the women, peace and security agenda and everything that means, on ensuring that this is recognized and implemented as a universal agenda, then these difficult tasks are necessary tasks, tasks to be done in a considered, even humble, and certainly in a feminist way.”

Fatima Kadhim Al-Bahadly, Director of the Al-Firdaws Society in Basra, Iraq, spoke of how she worked to deradicalize young boys in her country through social cohesion campaigns on peace and coexistence and warned of the consequences of inaction. “Ignoring women and children will expand the base of extremism and violence all over again and will help establish new extremist organizations,” she said.

Donald Steinberg, the executive director of Mobilizing Men as Partners for Women, Peace and Security, said the failure to involve women at all levels of leadership constituted “an emergency. And it requires nothing less than a wholesale reordering of our male-dominated global security priorities.  There has been impressive progress on international norms and practices…but our success can’t be measured on how many Security Council resolutions we pass, how many national action plans we adopt, or even now many women have served in peace processes. Instead our success will be measured by whether these peace processes can actually bring just and lasting ends to conflict.

Several speakers reported instances of “push back” from men resisting advances by women. “If I ever broached the idea of quotas for women, as I sometimes did,” said Ms. Landgren “even my extremely reasonable male friends would—metaphorically speaking—reach for their revolvers and start to talk about ‘lowering standards,’ as if current selection processes for male leaders are all about high standards,” she remarked, in a comment that drew knowing laughter.

She acknowledged the fear that men, if given the opportunity, might try to wrest leadership from women and the reality that “women can be reluctant to propel themselves to front lines.” But she asserted: “We need both men and women to pull other women into leadership roles.”

Mirsad “Miki” Jacevic, Vice Chair of the Institute for Inclusive Security, expressed impatience with those calling for more study of the issue. “The news I have for those who say we need more research, we’ve researched enough. We have enough case studies and data. We just need to now translate this into making this happen. I recognize the push back, but I think we need to recognize the enormous power of the potential that women have from letting war take even more lives.”

Noting that gender inequality impacts us all negatively, IPI Vice President Adam Lupel cited the findings of research by Valerie M. Hudson of the Bush School of Government and Public Service at Texas A&M University that showed that the best predictor of a country’s peacefulness is not its economic status, nor its level of democracy nor its religious or ethnic composition, but how well its women are treated. “It’s not just about the rights of women,” he said, “but a more peaceful and prosperous world for everyone.”

Sahana Dharmapuri, Director of Our Secure Future, said that to further her organization’s mission of strengthening the women, peace and security movement, she was looking for strategic entry points. “There can be nothing more strategic than leveraging the principles of partnership and equality,” she said.

Anwarul K. Chowdhury, a former UN Undersecretary-General and High Representative, alluded to the necessity of including women in furthering the peace agenda. “Half of humanity bring a new breadth, quality, and balance of vision to our common efforts to move away from the cult of war towards the culture of peace,” he said. “Women’s equality makes our planet safe and secure…If we are serious about peace, we must take women seriously.”

The discussion was moderated by IPI Senior Fellow Sarah Taylor.

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